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<l«l de Ipi ^ ^ |if M rl fiÂiijcier, : m' c<^l!^^f[^',dii* i» èh trbisjôurt. UUilme Dis uîs »<,|kl..CM«i;de |ii«i'>eikilfti4f« ' 21 «ÆÙ iff» PU. r|. jtsr^asspu^ I7 w /t '•.dirrctfon .du les .suites, de la I faubourg Po|s* t, 2* légion .de la \ viçe*présid«ii|. ,P^ a îîTÎÏSîiBr^ *; 1. '■" .-IJi.'*- mmmmmm ices Diva^su, ^ c la li|{iiir l'848,' r«'^ un iri»« ' BuMRStSL. iedi a9 Juillvt 184a I <“ J .*i.ul }( •lii.v ............ < -rm M m 18'"' nunc p». yAyffàlffWPli»^ C iA IH E S . Us an. «ISix Traii moU e fr. &nc ..;3. Po«ft «A'Vixia. ToOK U DirilTINIRT. ^rnaf |«r«y : Troumoit, t lÜasu; . 9 ne»a ‘éO' IMjr^aeSMtitb Isûc aoU IT. Trou;mou^ i> 21k 5 motifs scroiii facilrmenl sppr w Agréez, Houbieur, rassniaiiue xlt SENLIS. Mué<!S.(|iin «iiHliiigiiée • Ifeiirt Dcrsv. Sriilis lédS UiHiA 1M8 SüOCiiKa. T, bnissier à iii. KpSL.. liiU'Gagtrie, liè(ire <lVluiüi/ r Baron^ [flED |OUebvrs^i;qu!U* eisiblé, méiHI, mi HsitvtpcoeaT. àSenUa, 4e* C. m ^m ^v ) li'Z (Gvnefièvc* Cest 43p(Wuebe« ^oe.i|oiyrnl,aTÔir Jifÿ ^tefi ëléclions.innt ...eipaiot),.Si.pqtts, n^iroipt |> i|sb ^ n i de recpatmaudéit A ùbs &t^ci> toyens de choisir des honmes djii:ojlS| ,de ^ 'n sens,' ami» Tordre ride b jnslice,el.fcrinqsél calmes dans|a discussion ei Teüéèùtidn des mesiirés 'adiiiifiis'trii'üv^és, nèbs ci^yôiis' iiiile'de ntppHbr à plu* sietire d’etilre èiix, ilispOi'és Ik'né pa'è se- rendre %iix' éleclidnS, -que, dans looies 'eirconsiSiiceS, et surtouf dans celle» où'nous nous troii»ou8, Vâbùi*hir de'TOtri* rSt-tioAf'sèùlenienr aiio'>aciion cou pable, mais encore une action dangereuse. Taule d’uuu voix.,. Télectiou d*uQ citoyen recouimaudslrte 'peut dire manquée; et s*il arriéSll qoece citoyen:fût •josieàieoi/leplàs-«apablu4uASfl.V/pf<lp'; cité, daiis un moment d» crises Tindiffér.riice on la faiblesse des éleoienrs absents, aurait privé la coiumurie de »pM unique re^ource desalut ... . . • Que. ^s-tin'électeur ne’inianqné donc à l'appel; que obaqneci*: 4 i^toyén se souvienne qur, '»! la sdciété tè'prolège. il doit en retonri la séciélé IVmploi dé; toUs' lée moyens dont il peut disposer pour elle; C'ésl d*aillruni iihe néérstité‘qilé hn impose la loi; et rr/user ou néglige^ d*obé|r à la‘tôt est on Sele d'iiieivisaie impardonnable.'. Nous ne pèiisèns pas qu'il y ait à- Senlis des Idinitnes voués à ce qn^oii éppellfralijdojrd'hni té èàcialùUf mai»s’il y- en-avail, qne les'éléct^ri ségiirdetit bien dé li» laisser'entrer an Conseil.. Ce système;-'pTrloUl oÙlI Vioshioe, empoisonne, gâte et corrompt font, il délèritfj'c''té‘bieii, arrête les choses les plus betfreuseroent commencé^/petéécnte lés géHédé bion;-les-farce à 'se retirer, dé* conrage le zèle, favorise les, malveillants, ét ênil-'par causer'-des- milhenrs îiicaléofables. L'éX^Henée liélàsl'nel'a que iroppronvé rdRaiment A 'Piiris.’ Administrer les communes, gouverner la France évee ' les partisSns' des hommes qni l'ont déchirée, eu-serait tomber daiib la ^itts funeste dés èrrènrs. La France veut les iniéièts politiques et hiakériels'créés par’lè temps, et défêtidus av«o tant d'héroïsme, daps les journées de juin, par la garde’:nalionale et ratsiVér;' 'm*ié>n‘é''tm- VcUl''iil‘4r*^‘pr1neipes ne lea- paritsans ae» hommes quioilt sosciié ceité Inile ièrriblé: Hors de là. mut est illu- sioni et Tsdminisiration qui ne seiitirait pas cette vérité tomberait dans de»fautes irrépairahlés. A Ui U ïttdütUur du Journal de Seplis. "a Monsienr, ■ Je vois mon nom figurer sur une des innoml’l'ables'listes qui circolent à propos des éléclions municipales. ' " • Je sais fort bléo^^ùè nia caiidldstùré h'ést pas sértense; lUsis je ne vrnx.ménie psji qne moq silence soit pris pour mie acoeptaliOit. a Je recours V intè^iédiaire pour lai repousser publiqiie* ment. ' " ' adeleine], femme lABtAOES* HtarleMKran^i>-J, efraite; ‘à Meaiix l'inltlay- (Jeàinit* mhice.à Senlis. Nou»-venons do recevoir: iA. Üêf&ro'suivante, lélative à rarlicle deSl.***, insérôdatts'(|>tre dernier niiinéi!». Mon cher N ., <1 ■Sans votre ^pltre du35, sigmteifjn lmtes'letliçs, je nte sentis (jnslamment rafosé à vous croire l'AuSur de la BéBonse, tissez P^u hieiiveilbnte, insëirée dans le ÿ St^u de,vS&incdi dernier:'<l'J’attaque l’homme qmblieV'm’éenvez-vous-: toais je rétère h l’homme privé mes sentiments de sincère aScetivta.. » - r. Pérméttcü h l’homme privé de vqus assurer des mêmes sentiments:' atèidUeni^.'Maintenant l’homme publitt.Va têcher de>répondre.è. vètré Lettré dn'33. Si,’âans cetté'répbnse, quelques expressions ivons. blessent, ayez la bonté de les.luiMgnaler; et il s’empressera de)cs',rét{racter. ,.................. ‘ Vous recotlnaisscz ^Ue J’ai fait, dins le Courrier de VOite dn 30, un appel d la bienfaieonce. eii'ihvâédës habitants nécessiteux de %n1is.'-^ Vous'n'acceptez pas lesjtérmes de cet appel et vous n’^Vépondrcz pas. Vcus' avez pariM le^nt le droit d ’agir de la sptté' ' " . ' Le Bourgeois, pdulr btoi, est un htWihie aisé, richei. — Je di- ise mûBoùràeoa en 'delix elasSes -t léh-bolna et les mauvais. Je bis àux 'Imhs ttn' jtÿ^l ijd’ils ehtén'dâbilt, et'je souhaite, de tout éceuiç^jqùë iqs m ànau,^viennent bo'i^, ; AyW'.yoqs, jaqqiéiq'qu'il^h notre société 'moderne, que.des. rrqpptfinqv. — M^is, paiiîiU'ces Travailleurs, lesUiis ga^éntS, 10, i5et 30’'millé rrad^;|^r^h,'— les autres-lètia SQsous par jottr, Ttpy.dqns i’a iitre v ^ J’enfpiee Jes prém<efs a Venirawéwjwe'e.de» «Mtewde. ,j j ^ i i w n ' , ~ h ’T 'uînTiTn / ili me semble; c’<»t fraternité, non des levrés, mais dit cœui'. Si vous n’étes pas de cet avis, tant pis pour. vous. .Avec vous, j’admetsen.core, sans peine ancüne, t’indsa.liié des conditions et les dittiérénces de fortune. — Mais c’est pour çétâ pnicisément m e je necesseraide vous dire : vous qui êtes d'ans une position mrtnnée.’Uidee votre semblable malheureux. Que parlez-vous depuf (ÿderû>.sa^ab*.f(Eët-ce qu’il en est lestiob dans nm Lettré,.h hjqnêlb voua re n d e z d’une fafon si étraimel-^Qu’aH ebatl un .appel h la hieobisance et rien de plus.' Vous l'aves ireconnu. vous-même., an.eominencement de votre Lettre du 33. JPne dépend, ui de vons, ni de moi ; de faire renaître le crédit, de rétablir les travaux. C’est-Jh i’alTaire dn gouvernement, aidé de. - C’est-là, nur B'Ampisj»:'.. . A Sentis, an biir«ati dit.Journal ruetii- Bran lis, n° b ;— A (Irrp.-r,clic«M.JfAaM,Jihni<r<v r—A CerojT'IcfvGpuiL.rieSa ù M. I.p'naA^à; «nrp«:it iTiaire; r~ A Paris , ü l\\geuv<; universelle d*anp launcrs et d’Abonnemenls, pl.-de 1%Bourse, Js, ft à l’OiltperorrespfiD4a»ve;de ' C*, p. N.Æ.-deiS'>'ic-loin!S,46{v— liupritqL’urs,et |.ibnur«a.du de^.artemcnt. uitzk .Dss JSisjmnTiosar i ANNpNRCs jUniciMnes, ,4 AS-yOrtCES fttVKRSBS.^ «o • id. - Mais il dépend de moi, de vous et de toiis ceux qiii sont riéhés,'Comme Vous, — qon pas d’anéantir la misère, — qiais de la soulager d ’Uno manière elncacc. . . : . ., , . Vous trouvez nfon langage,violent. Je,croiB,meâ,.qii’il.ést seu lement plein de fiuncliise. J’ai toujours appelé ei j’appellerai toujours « un ehat, un chat, etc. » Quant à la parole dorée, je ne l’ai pointpjé r.avoue hautement j e n’ai pas non plus le sourire incessant sur les lèvres, mais cela n’exclut pas les sentiments de vraie fratemité. Kn fait de fraternité, je n’en suis pas, dieu merci, à ma première preuve. ■ Avec mie bonne foi plus ou moins insigne, vmis prétendezque. o nidii projet, patrênë: par iiU'poêlé illustre, est un projet de sousqriplion, à laquelle eliaciin contribuera j suivant ses res sources, et l’auteur pour dix francs par mois!!!' » - j’en---------------------------- ----- —=- J- -j- —!.=^. avez i pas parlé, avec tact.et bienvçiUance, — visites devant àmeher; âvant trois mois, une AtnéJiortfiion vtorale qu’on ne petit trop désirer? — Pourquoi.n’avoir dit mot de ces. visites auxquelles j’êltache iine extrême importance, moi en cpmpagnie de.bien d’autres? — En avez-vous déjà fait beaucoup de ce genre-^la, vous ét les Philan thropes de votre connai^nce? Toujours avec votre même bonne foi, et sans perfidie aucune, vous insinuez quq tous les Bourgeois sont, à mes yeux, des égdistés effiepés, des/Wpons énrichs. Relisez le troisièitte'para- giaphé de ma Lettre duSR, et vous mettrez ces expressions sur le compte de la Uaine aveuglé qui, malheuredsémcnt, divise en deux camps tous les membres oc la grande, bntille nationale. — Et la note, ainsi conçue, êtes-vous bien sAr de l’avoir lue ; « Parmi les Ministres de la religion,^t les Bourgeois, il y a, je le sais, d’excellentsPbilantbropes, etc,? . Je suis profondément convaincu de n’avoir déclamé contre |.vWeo>UMi«,‘4 « opprsl » .niintanA fUU^inn fîHt un appel à la bienfaisance, en faveur des habitants nécessiteux de Senlis (première phrase de votre Lettre du 33). Je suis lmndc m’en repentir, comme bien vous pensez. Seulement, je regrette que mon Projet philanthropique dont le fond doit vous plaire, vous ait choqué Si fort'daiis la forme. Je vous croyais le ccenr trop généreux pour vous rebeller contre ei peu de chose. Si vous connaissiez mieux la misère de la Classe ouvrière notre localité, vous vous seriez bien gardé de dire; en tcnmnant ; ■« attendons: rien ne presse... » Sans doute, pour vous et pour moi, à la rigueur, nen ne pressé; et fidus pouvons attendre. — Mais il n’en est pas de même'de nos Frères indigents. « Les tra-‘ vani( de la campagne né sont pas ouverts » pour eux tous. Et d’ailleurs, n avons-nous pas, aujourd’hui même, dos maux FEUILLETON, «lî.T-î-, tSc. PhliÿnM» t«MUU:U|l tifi.ii U6 6& OtdX t cifàVùnM» . m h M w t^ns vm nfm be cim m iixoir. ' ^ -V 1.*' ' « Accorêe-novs, A mon Hîenl ooti» paînp'npî^ nos êouces' lormesièt ttàlÿe yiorire «|e <h»qoy f.Amfg t. • t Tcllfc 4«ii la simpls cl l«il.U bcm rljaymis lêpàiaU .e^aqw Uyamix-Xiori^L* ^ .q a a ê e |qîtJ*a! poiti^ iq à tqgrâçîousé hameurp à ton iDallérabtffgaUëlrr* Çhe^lierefniDl Jf^WfqiiVy.^oùjoum ^\\t s8r te charmant que la ff oUfsie n^iaîl «I .vito, cl #i ^oîn< jamais iip , B*as rcnomilrè l'cnnai «iir la rouis, Qç)Mrîc *.<*9 b|çfi '] ê!aperccvoir oct éternel voyageor de fous Im chèmîai^g m iouslcs ^ n - - tierli.•**Ob»qoeltt,Tauraslausàloîq dfirn^loi^.danjiJU.fange / nièrés* le eidllard impqieiil et alofi^i',.*^ Y'f* «(‘«Wrleg si jeàqe ' loujontst;. > -' n jallait ai peu .de çhose povii.a^iusfr .tcs hen^es. d M ier na\f «I co- rieus i lejbruU'du veot. le'mMrinfirc .«|es ca^x,, ^u.ii.nuage qui court, uo oiseau qui Yoltft'oq pSssaal qui P)^^ffi>.qurr*l»vhc»rrossep uq ,cbieop * faîl.HO oeq d'ombre ug Adeploulçe.qui faît.MO dé,|>ryit.,.......... ^ 'Que dcBMada'it t«q coeur .|tpur sV l 4 odrir( Û»..yeux pour Vçrsçr les doueis lanaies qim.tn. dep^Ddcs^dlbS; ta prière, qrchaqM jjna.Upr M chagrin dn premier, venu, ja là iplqff \i «rnlrmriM * • ' d' des T T- --» . r*-:; V -». t’,-.- . .■ ,1 souffre! ».à SOU âniepleîned'amoqr DOW* pâture eutîèrê,, . Bt sa .léle de poite?Tç«tJs fait révid^»n,dril questionnràr irpeerM Tcspahect la muiailly;son.^îi; ppiyw |w le .Iqul.ce qu'iitouch^; ù^t loi parle; loi rit; ei pas uq yoile à *<1 mlfcvue eu devinée» vu bout de.ha|l|j9|n nu Mo de rpum , U (ilainle^ J’dbaniiiul, legèmiuement dn ar|ins,.b«fldex nilinu» génles'rm n; h t laOrdi.cbKriolt de b pnlC). I»n|e,»>'<P!>.tÇ* »»< ?,{*?■*>■'■ " i _ X Jl*n«nnnv nuksimA naitilM» «tllIAr»! . ............... . sansliorneSpio^SWPi^® voltigent avec ses caprices» comme des ôiscaosJvres de 1# hbcne.t..^ Qhl oui. Sterne, tu fus le plw,bçur.euz .dés V^mes et des,poèl^!... •îs dis-moi» bon Yorick,.4'aÙ set? Avais tu quelque gèoip.bieafsisaptà.Mà, tectrice fut-elle la roarralue de tou ' ' vcpsit ce libdhMr lojimuaa^e, nn^ÿsr- i»»nii.lM.ordtft?.,,,Quelque ^nw!q?v:P“b re ou des eaux» groroe^ ondine oii syh •yh lus tard, elle t'âùta Celte fée, enfant de Tsir, de la terre' ou dm eaux, gi phide» l'a dàlè d'insouciance ou de folle gaieté. F aimé, celte marraine invisible; et qui ne t'eût pas aii . ^ vile aura qditlé sa grotte» sa fleur on son nuage, pour venir habiter c«ur. Ccst elle qui te donnait ces spectacles magiques; elle qui le sait tout v(Mr et Idut comprendre» elle qui le secouait dw rêves d'or I# pas aimé, TorickL.. Alérs^ ige, pour venir habiter toq lacles magiques; elle qui le' faiJ joori cdmme la> dull:>dle enfin qui n'avait rpx'à toucher du bout de son doÿl ta lèvre ou la paupière pourja faire sourire on plcurec! . ' Mais lu n'étais qu'on homme» Yorlck, et la fée êlMt imuiortelle. Tu dors dans le marbre, à Cambridge » et b panvre' veuve éplqrée erre an baXard^dcpnis qui; la -bmfale mort T» rhàsséu de sa deiqeqre. çb^ie! Elle vole, cbcrrbani on coeur .ttui vaille ton cmur» etfdcpiMs te. jour où son nid fut brisé, elle vole, hélasi elle vole»*sans asile pour.abriter sou. coi^, qni» pfot*ètre»!»t.unebriiit,tunecidneonnnpanumh-v - Parfois, aux jours de fatîgne et d'uragé\ elle ebotsil un de. uous, cl vient se lèfiigier dans uue de* npéî poilrineé » qofellp allège ci ^ ouit. Jours’heureux!..-«'OÙ le caprice noos tuèné,'la .poésie uous iimotle, où nous sommes -Yorick { mais Yoriÿk pour quelques bçpres sefi|emçut, heures rapides» fugitives» vSgreltéc» comme un apuvenir d'eufance... L« fée uops laisse Ûcaldt ad premier lelOur du soleil» «Ipnoés, ivres, éblouis, avec des harraooiès expirantes dans. ToceUlc»- avpo. des rayopuf!'**^**'!^ confuis devant les ycoxl.. Or, " i'éa jure Il Vfnhit d'éclater lin de ces orages que jùiltfel ctfuvre-spui son ciel de fcu,,J*ét'aîsàceàb1é, brisé, anéanti. — Au diablelé Ibv'ail, iù*écriii*je. Ici iutéréis'ct les soocis> Je pris mon èbapean, ma èknne, et je dcMetidis taea cinq étages, sans savdir dé quèrrètej'allaisdîHgçéiùd pàresMH'Akb flanerie. & ns dontcla fée de YdHèk'dvliU enteodo nta'bMtadé; salis doute la Vs ' ^ ......... ■* ............................ ^lîn gonflérefet'éu seuil d e la mâltKMi* Socvant ses yeox »... » il y a prés d'un mois, j'eus l'honneur d'une srqiblalilç.visiiu. Oui, ure paèTrislam Stbaudy» je fus Sicroe pendaplle.quait d'uiijoûr.^ cnthôt' Tarait trouvée Ù ta fénUisJêrèkr; 'j*en stib eérlhio, ce fut qdé J'iApirai' dàns là première 1ioùf!ée d'air dm&t mes pounioPfe ta ^ Sérebt'éu’seoildelaiMiiiKMi*'''' j : Aossilêt je me sentis réjoui,' ravséréoé. Q n r f ^ chqM de. délicieux s'épànàoissâit en moi.'M i 'Iiaitrinaikie -seiublakonâieoiliéu pleine du ebanl des pàliu oitaitak. Voef^sàtorce incooomr.hpjgnait.Mesipaupiùres 'homldés»ct'«niè’j o ^ k sourires babübientjëar.nNéiUvkTa^ , .. Jl plenWiitbiftoindè gresSfs gontfes; je ose prfs. d'nbprdrà pbiiapter avqewi' èéoiM sttr Tabtartee dTimparaptaie qnhlaoèqne..P4tb» )« proma- ItàtlI'èkiKwrtaMi^rdsàhHenài'La rue était.pcasquf^déserlr» et l> ' rhgé ÿMàiH Jd ihim lia tallétlo'da |»àvé.'Mà foi», vivq b{|dnie ! E|lé hnlaie, ^àrecflAIbngèdféMséetnt»1«e |>vbmeoeàlb friééoH^paieéitÿ taiutela..Qà-; regai_............. Taébre dééa'plaineTooodét. La vcstaeoi«i^,»H.ftaeÿ,«Ü*jqdtayoo f*'l éNrfr.9alSbie. Cesi'OPe cbhuf*» un pébinèlf a.doMrph).p* Tpus. lès raii^ de fortune.ou de position sont confondiis, et c'est d'une.goutte d'caii vrca quivedonient la pluie pour leur'onîque toilette, les p'r«^Ai qui enra gent. 0n k'abordf, on cause. BieO des Stuillés, bien des .amours na's-ient sous le corridor obscur. Ob est entré un, ou sort deux de la porte eo^ chère.— Tout cela est animé»cùWeUX, réjouissant!... Dans la rue, il a presque personne. De rare,« paraplnnai courent sur le trolloîr, et donnent aiix habilvnt's de ces lentes bariolées je nesais^ quel air burlt^que et eocapncbonnnnt,. Mais ceux que je ppéfére, cé'sont' les intrépides qui marchent fiers et superbm, i :^ÂM>i)vert.Mns les cata ractes du ciel. La plnje eafait ^es réservoirs ambutants, des stic* ursalcs de scs nuages. Autour d*vux, il pleut.deux 'fois. Ix’urs v'éteiuènl» les d ia - pcol de plis roqrnrs et désespéré*. Ils opl pa'tout dé petites rigoles qui dislilicnl leurs gouttes à chaque cxtr'émilc, au bout des doigt'ü, dés che veux, dcs-cils, du menton, du ma, partout... Leurs cba'pcaui^, motis et tta.squ«s, ont des poils abaUus il couchés qui sciiiblenl' verser dès' larmes amères sur le.s infortunes du feutre compromis. On dirait 'dés' barlieis portant.'d« 'l'rau; on bien le* ombres de quelques fleuves à la r'ccbervhe de leur urne perdue. Quoi de plu* amusant, de plu» diélâtiquc ? Ma fui, vive la pluie! J'eo étais U de ces réflexions, lorsqîie j'aprrç'us que indj aiis<i jVtiM*» dans celle cireonstaucè aqtialique, et que je resseniblahs fort à uu triton du jardin du Versuillcs’uô jour de grandcs eaiix. Maisquem'lmporlait... La fée de Yorick était là qui se rccbauffa:! en' moi» qui me remplissait dO rêverie et de gaieté. {C'eût été le «Icluge, que je ne m'en serais.pas fàckél'Ge .n'éleil qu'iinç bonne ondée» une pleine eau par les rues de Iq capitale. Or, je suis nageur comipe un terre-neuve, et ma canne, eu sa qualité de jun.c, n’avuit pas droit dq sp, plaindre; elle élajt dans sa palrie,.dan» son élément» eljee^ 6^''*'^^» j^,g*gy» sous sou vernis, an lieau milieu de In rue Notre-Dame-dc-l^orcttc. Car j'étais rue Notre-Danie-de-Lorelte. Et n'allez pas croire que je me sois orienté à la vue du télégraphe de Montmartre, dont, les bras noirsjouaieàt le.< Debureaù à Thorizon pâle et grisâtre, nu bien encore à'là pancarte bleu, iinrention-du gratticuxet' puloral llambnteau.'.. Nonl'non!!.. Msjs dcpiii» quelques minutes, je voyais thoHraer autonr de mof dis f Mrapta'es Jiélit»'et coquets, aux couleurs cUilvs èt'guillerettes, anx ‘ ires capricieuses et daniotlantcs, comnte un' bsHct d'otnbreletles à pera. Cela m'aVail-sourl..J'Avais irgardé ail-;dèssoüs'de ee«'eorâlicA soiej au-de*soits frétillaient des. taillés élàsiiqitaè, HeS' hanches'de boYerd ou caéhncba, TliVii b.-is, des jàmbès qrii SètnMa'îeht de léàilHc^ ' '€ ~ '

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Que. ^s-tin 'électeur ne’inianqné donc à l'appel; que obaqneci*: 4 i^toyén se souvienne qur, '»! la sdciété tè'prolège. il doit en re tonri

la séciélé IVmploi dé; toUs' lée moyens dont il peut disposer pour elle; C'ésl d*aillruni iihe néérstité‘qilé hn impose la loi; e t rr/user ou néglige^ d*obé|r à la‘tôt est on Sele d'iiieivisaie impardonnable.'.

Nous ne pèiisèns pas qu'il y ait à- Senlis des Idinitnes voués à ce qn^oii éppellfralijdojrd'hni té èàcialùUf mai»s’il y- en-avail,qne le s 'é léc t^ ri ségiirdetit bien dé li» laisser'entrer an Conseil.. Ce système;-'pTrloUl oÙlI Vioshioe, empoisonne, gâte e t corrompt font, il délèritfj'c''té‘bieii, arrête les choses les plus betfreuseroent commencé^/petéécnte lés géHédé bion;-les-farce à 'se retirer, dé* conrage le zèle, favorise les, malveillants, ét ênil-'par causer'-des- milhenrs îiicaléofables. L'éX^Henée liélàsl'nel'a que iroppronvé rdRaiment A 'Piiris.’ Administrer les communes, gouverner la France évee ' les partisSns' des hommes qni l'ont déchirée, eu-serait tomber daiib la ^itts funeste dés èrrènrs. La France veut les iniéièts politiques et hiakériels'créés p a r ’lè temps, e t défêtidus av«o tant d'héroïsme, daps les journées de juin, par la garde’:nalionale et ratsiVér;' 'm*ié>n‘é''tm- VcUl''iil‘4r* ‘pr1neipes ne lea- paritsans ae» hommes quioilt sosciié ceité Inile ièrriblé: Hors de là. mut est illu- sioni et Tsdminisiration qui ne seiitirait pas cette vérité tomberait dans de»fautes irrépairahlés.

A U i U ïttdütUur du Journal de Seplis."a Monsienr,

■ Je vois mon nom figurer sur une des innoml’l'ables'listes qui circolent à propos des éléclions municipales. ' "

• Je sais fort bléo^^ùè nia caiidldstùré h'ést pas sértense; lUsis je ne vrnx.ménie psji qne moq silence soit pris pour mie acoeptaliOit.

a Je recours V intè^iédiaire pour lai repousser publiqiie* ment. ' " '

adeleine], femme

lA B tA O E S *HtarleMKran^i>-J, efraite; ‘à Meaiix l'inltlay- (Jeàinit* mhice.à Senlis.

N ou»-venons do recevoir: iA. Ü êf& ro'suivante, lé la tiv e à r a r l i c le d e S l .* * * , in sé rô d a tts '( |> tre d e rn ie r niiinéi!».

Mon cher N ., < 1■Sans votre ^pltre d u 35 , sigmteifjn lm tes 'le tliçs , je nte sentis (jnslamment rafosé à vous croire l'A uS ur de la BéBonse, tissez

P^u hieiiveilbnte, insëirée dans le ÿ S t ^ u de,vS&incdidernier:'<l'J’attaque l’homme qmblieV'm’éenvez-vous-: toais je ré tè re h l’homme privé mes sentiments de sincère aScetivta.. » - r . Pérméttcü h l’homme privé de vqus assurer des mêmes sentiments:' atèidUeni^.'Maintenant l’homme publitt.Va têcher de>répondre.è. vètré Lettré dn'33. S i,’âans cetté'répbnse, quelques expressions ivons. blessent, ayez la bonté de les.luiMgnaler; et il s’empresserade)cs',rét{racter. ,..................

‘ Vous recotlnaisscz ^Ue J’ai fait, d in s le Courrier de VOite dn 30, un appel d la bienfaieonce. e ii'ihvâédës habitants nécessiteux de % n1is.'-^ Vous'n'acceptez pas lesjtérmes de cet appel et vous n ’ Vépondrcz pas. Vcus' avez p a riM le^ n t le droit d ’agir de la s p t té ' ' " .' Le Bourgeois, pdulr b to i, est u n htWihie a is é , richei. — Je d i- ise m ûB oùràeoa en 'delix elasSes -t léh-bolna et les mauvais. Je

b is àux 'Imhs ttn' j tÿ ^ l ijd’ils ehtén'dâbilt, et'je souhaite, de tout éceuiç^jqùë iqs m à n a u ,^ v ie n n e n t bo'i^,; AyW'.yoqs, jaqqiéiq 'qu'il^h notre société 'moderne,que.des. rrqpptfinqv. — M^is, paiiîiU'ces Travailleurs, lesUiis g a ^ é n tS , 10 , i 5 e t 30’'millé r r a d ^ ; |^ r ^ h , '— les autres-lètia SQsous par jo ttr, Ttpy.dqns i’a i i t r e v ^ J ’enfpiee Jes prém<efs aV en iraw éw jw e 'e .d e» «Mtewde. , j j ^ i i w n ' , ~ h ’T 'uînTiTn / ilim e semble; c’<»t fraternité, non des levrés, mais dit cœui'. Si vous n’étes pas de cet avis, tant pis pour. vous.

.Avec vous, j’admetsen.core, sans peine ancüne, t’indsa.liié des conditions e t les dittiérénces de fortune. — Mais c’est pour çétâ pnicisément m e je n e ce sse ra id e vous d ire : vous qui êtes d'ans une position mrtnnée.’Uidee votre semblable malheureux.

Que parlez-vous d e p u f (ÿderû>.sa^ab*.f(Eët-ce qu’il en est lestiob dans nm Lettré,.h hjqnêlb voua r e n d e z d’une fafon

si é tra im e l-^ Q u ’a H e b a t l un .appel h la hieobisance e t rien de plus.' Vous l'aves ireconnu. vous-même., an.eominencement de votre Lettre du 33.

JPne dépend, u i de vons, ni de moi ; de faire renaître le crédit, de rétablir les travaux. C’est-Jh i’alTaire dn gouvernement, aidé de.

- C’est-là,

nur B'Ampisj»:'.. .A Sentis, an biir«ati dit.Journal ruetii- Branlis, n° b ;— A (Irrp.-r,clic«M.JfAaM,Jihni<r<v

r—A CerojT'IcfvGpuiL.rieSa ù M. I.p'naA^à; «nrp«:it iTiaire; r~ A Paris , ü l\\geuv<; universelle d*anp launcrs et d’Abonnemenls, pl.-de 1% Bourse, Js, f t à l’OiltperorrespfiD4a»ve;de 'C*, p. N.Æ.-deiS'>'ic-loin!S,46{v— liupritqL’urs,et |.ibnur«a.du de^.artemcnt.

u itz k .D ss JSisjmnTiosar iANNpNRCs jUniciMnes, ,4AS-yOrtCES fttVKRSBS.^ «o • id.

- Mais il dépend de moi, de vous et de toiis ceux qiii sont riéhés,'Comme Vous, — qon pas d’anéantir la misère, — qiais de la soulager d ’Uno manière elncacc. . . : . . , , .

Vous trouvez nfon langage,violent. Je,croiB,meâ,.qii’il.ést seu­lement plein de fiuncliise. J ’ai toujours appelé e i j ’appellerai toujours « un ehat, un chat, etc. » Quant à la parole dorée, je ne l’ai pointpjé r.avoue hautement j e n ’ai pas non plus le sourire incessant sur les lèvres, mais cela n ’exclut pas les sentiments de vraie fratemité. Kn fait de fraternité, je n ’en suis pas, dieu merci, à ma première preuve. ■

Avec mie bonne foi plus ou moins insigne, vmis prétendezque. o nidii projet, patrênë: par iiU'poêlé illustre, est un projet de sousqriplion, à laquelle eliaciin contribuera j suivant ses res­sources, et l’auteur pour dix francs par mois!!!' » -j ’en---------------------------- ----- — =- J - - j- —!.= .avez i pas parlé,avec tact.et bienvçiUance, — visites devant àmeher; âvant trois mois, une AtnéJiortfiion vtorale qu’on ne petit trop désirer? — Pourquoi.n’avoir dit mot de ces. visites auxquelles j ’êltache iine extrême importance, moi en cpmpagnie de.bien d’autres? — En avez-vous déjà fait beaucoup de ce genre-^la, vous ét les Philan­thropes de votre co nnai^nce?

Toujours avec votre même bonne foi, et sans perfidie aucune, vous insinuez quq tous les Bourgeois son t, à mes yeux, des égdistés effiepés, des/Wpons énrichs. — Relisez le troisièitte'para- giaphé de ma Lettre duSR, et vous mettrez ces expressions sur le compte de la Uaine aveuglé qui, malheuredsémcnt, divise en deux camps tous les membres oc la grande, bntille nationale. — E t la note, ainsi conçue, êtes-vous bien sAr de l’avoir lue ; « Parmi les Ministres de la religion,^t les Bourgeois, il y a, je le sais, d’excellentsPbilantbropes, etc,? .

Je suis profondément convaincu de n’avoir déclamé contre|.vWeo>UMi«,‘4 « opprsl » .niintanA fUU^inn fîHtun appel à la bienfaisance, en faveur des habitants nécessiteux de Senlis (première phrase de votre Lettre du 33). Je suis lm ndc m’en repentir, comme bien vous pensez. Seulement, je regrette que mon Projet philanthropique dont le fond doit vous plaire, vous ait choqué Si fort'daiis la forme. Je vous croyais le ccenr trop généreux pour vous rebeller contre ei peu de chose.

Si vous connaissiez mieux la misère de la Classe ouvrière dé notre localité, vous vous seriez bien gardé de dire; en tcnm nant ; ■« attendons: rien ne presse... » Sans doute, pour vous et pourm oi, à la rigueur, nen ne pressé; e t fidus pouvons attendre. — Mais il n’en est pas de même'de nos Frères indigents. « Les tra-‘ vani( de la campagne né sont pas ouverts » pour eux tous.

E t d’ailleurs, n avons-nous pas, aujourd’hui m ême, dos maux

F E U I L L E T O N ,

« l î .T - î - , tS c .

PhliÿnM»t«M UU:U|l

tifi.iiU6 6&

OtdX

t cifàVùnM» .m h M

w t ^ n s v m n f m b e c i m m i i x o i r .

' -V 1.*'' « Accorêe-novs, A mon Hîenl ooti» paînp'npî^ nos êouces'lormesièt ttàlÿe yiorire «|e <h»qoy f.Amf g t . •t Tcllfc 4« ii la simpls cl l«il.U bcm rljaym is lêpàiaU .e^aqw

Uyamix-Xiori^L* .q aa êe |qîtJ*a! poiti iq à tqgrâçîousé hameurpà ton iDallérabtffgaUëlrr* Çhe^lierefniDl Jf^WfqiiVy.^oùjoum ^ \ \ t s8r te charmant que la ff oUfsie n^iaîl «I .vito, cl #i oîn< jamais iip

, B*as rcnomilrè l'cnnai «iir la rouis, Qç)Mrîc*.<*9 b|çfi '] ê!aperccvoir oct éternel voyageor de fous Im chèmîai^g m iouslcs n - - tierli.•**Ob»qoeltt,Tauraslausàloîq dfirn^loi^.danjiJU.fange / nièrés* le eidllard impqieiil et alofi^i',.*^ Y'f* «(‘«Wrleg si jeàqe' loujontst;. > -'

n jallait ai peu .de çhose povii.a^iusfr .tcs hen^es. d M i e r na\f «I co- rieus i lejbruU'du veot. le'mMrinfirc .«|es ca^x,, ^u.ii.nuage qui court, uo oiseau qui Yoltft'oq pSssaal qui P)^^ffi>.qurr*l»vhc»rrossep uq ,cbieop

* faîl.HO oeq d'ombreug Adeploulçe.qui faît.MO d é , | > r y i t . ,..........^'Que dcBMada'it t«q coeur .|tpur sV l4 odrir( Û»..yeux pour Vçrsçr les

doueis lanaies qim.tn. dep^Ddcs^dlbS; ta prière, qrchaqM jjna.Upr Mchagrin dn premier, venu, ja là iplqff \i«rnlrmriM * • ' d'des T T---». r*-:; V-» . t’,-.- . .■,1souffre! ».à SOU âniepleîned'amoqr DOW* pâture eu tîèrê,, . ■

Bt sa .léle de po ite?T ç« tJs fait révid^»n,dril questionnràr irpeerM Tcspahect la m u ia illy ;so n .^ îi; p p iy w |w le .Iqul.ce qu'iitouch^; ù ^ t loi parle; loi rit; ei pas uq yoile à *<1

mlfcvue eu devinée» vu bout de.ha|l|j9|n nu Mo de rp u m , U (ilainle^ J’dbaniiiul, legèmiuement d n a r |in s,.b« fldex n ilinu» g é n le s 'rm n ; h t laOrdi.cbKriolt de b pnlC). I»n|e,»>'<P!>.tÇ* »»< ?,{*?■*>■'■ " i_ X Jl*n«nnnv nuksimA naitilM» «tllIAr»! .

............... . sansliorneSpioSWPi ®voltigent avec ses caprices» comme des ôiscaosJvres de 1# hbcne.t..^

Qhl oui. Sterne, tu fus le plw,bçur.euz .dés V^m es et des,poèl^!... •îs dis-moi» bon Yorick,.4'aÙ

set? Avais tu quelque gèoip.bieafsisaptà.Mà, tectrice fut-elle la roarralue de tou ' '

vcpsit ce libdhMr lojimuaa^e, nn^ÿsr- i»»nii.lM.ordtft?.,,,Quelque^nw!q?v:P“bre ou des eaux» groroe^ ondine oii syh•yh

lus tard, elle t'âùtaCelte fée, enfant de Tsir, de la terre' ou dm eaux, gi phide» l'a dàlè d'insouciance ou de folle gaieté. F aimé, celte marraine invisible; et qui ne t'eût pas aii . ^vile aura qditlé sa grotte» sa fleur on son nuage, pour venir habiter c«ur. Ccst elle qui te donnait ces spectacles magiques; elle qui le sait tout v(Mr et Idut comprendre» elle qui le secouait dw rêves d'or I#

pas aimé, TorickL.. Alérs^ ige, pour venir habiter toq

lacles magiques; elle qui le' faiJ

joori cdmme la> dull:>dle enfin qui n'avait rpx'à toucher du bout de son doÿl ta lèvre ou la paupière pourja faire sourire on plcurec! .' Mais lu n'étais qu'on homme» Yorlck, et la fée êlMt imuiortelle. Tu

dors dans le marbre, à Cambridge » et b panvre' veuve éplqrée erre an baXard^dcpnis qui; la -bmfale mort T» rhàsséu de sa deiqeqre. çb^ie! Elle vole, cbcrrbani on coeur .ttui vaille ton cmur» etfdcpiMs te. jour où son nid fut brisé, elle vole, hélasi elle vole»*sans asile pour.abriter sou. co i^ , qni» pfot*ètre»!»t.unebriiit,tunecidneonnnpanumh-v -

Parfois, aux jours de fatîgne et d'uragé\ elle ebotsil un de. uous, cl vient se lèfiigier dans uue de* npéî poilrineé » qofellp allège ci ^ ou it. Jours’heureux!..-«'OÙ le caprice noos tuèné,'la .poésie uous iimotle, où nous sommes -Yorick { mais Yoriÿk pour quelques bçpres sefi|emçut, heures rapides» fugitives» vSgreltéc» comme un apuvenir d'eufance... L« fée uops laisse Ûcaldt ad premier lelOur du soleil» «Ipnoés, ivres, éblouis, avec des harraooiès expirantes dans. ToceUlc»- avpo. des rayopuf!'** **'! confuis devant les ycoxl..

Or, " i'éa jure

Il Vfnhit d'éclater lin de ces orages que jùiltfel ctfuvre-spui son ciel de fcu,,J*ét'aîsàceàb1é, brisé, anéanti.

— Au diablelé Ibv'ail, iù*écriii*je. Ici iutéréis'ct les soocis>Je pris mon èbapean, ma èknne, et je dcMetidis taea cinq étages, sans

savdir dé quèrrètej'allaisdîHgçéiùd pàresMH'Akb flanerie.& ns dontcla fée de YdHèk'dvliU enteodo nta'bMtadé; salis doute la

Vs ' ......... ■* ............................lîn

gonflérefet'éu seuil de la mâltKMi*

S ocvant ses yeox »...» il y a prés d'un mois, j'eus l'honneur d'une srqiblalilç.visiiu. Oui, ure paèTrislam Stbaudy» je fus Sicroe pendaplle.quait d'uiijoûr.^

cnthôt' Tarait trouvée Ù ta fénUisJêrèkr; ' j*en stib eérlhio, ce fut qdé J'iApirai' dàns là première 1ioùf!ée d'air dm&t mes pounioPfe ta

^ Sérebt'éu’seoildelaiMiiiKMi*'''' ■ j :Aossilêt je me sentis réjoui,' ravséréoé. Q n r f ^ chqM de. délicieux

s'épànàoissâit en m oi.'M i 'Iiaitrinaikie -seiublakonâieoiliéu pleine du ebanl des pàliu oitaitak. Voef^sàtorce incooomr.hpjgnait.Mesipaupiùres

'homldés»ct'«niè’j o ^ k sourires babübientjëar.nNéiUvkTa^ , ..Jl plenWiitbiftoindè gresSfs gontfes; je ose prfs. d'nbprdrà pbiiapter

avqewi' èéoiM sttr Tabtartee dTimparaptaie qnhlaoèqne..P4tb» )« proma- ItàtlI'èkiKwrtaMi^rdsàhHenài'La rue était.pcasquf^déserlr» et l >

' rhgé ÿMàiH Jd ihim lia tallétlo'da |»àvé.'Mà foi», vivq b{|dnie ! E|lé hnlaie, ^àrecflAIbngèdféMséetnt»1«e |>vbmeoeàlb friééoH^paieéitÿ taiutela..Qà-;

regai_.............Taébre dééa'plaineTooodét. La vcstaeoi«i^,»H.ftaeÿ,«Ü*jqdtayoo f*'l éNrfr.9alSbie. Cesi'OPe cbhuf*» un pébinèlf a.doMrph).p* Tpus. lès raii^

de fortune.ou de position sont confondiis, et c'est d'une.goutte d'caii

vrca quivedonient la pluie pour leur'onîque toilette, les p'r«^Ai qui enra­gent. 0n k'abordf, on cause. BieO des Stuillés, bien des .amours na's-ient sous le corridor obscur. Ob est entré un, ou sort deux de la porte eo chère.— Tout cela est animé»cùWeUX, réjouissant!...

Dans la rue, il a presque personne. De rare,« paraplnnai courent sur le trolloîr, et donnent aiix habilvnt's de ces lentes bariolées je nesais quel air burlt^que et eocapncbonnnnt,. Mais ceux que je ppéfére, cé'sont' les intrépides qui marchent fiers et superbm, i : ÂM>i)vert.Mns les cata­ractes du ciel. La plnje eafait ^es réservoirs ambutants, des stic* ursalcs de scs nuages. Autour d*vux, il pleut.deux 'fois. Ix’urs v'éteiuènl» les d ia - pcol de plis roqrnrs et désespéré*. Ils opl pa'tout dé petites rigoles qui dislilicnl leurs gouttes à chaque cxtr'émilc, au bout des doigt'ü, dés che­veux, dcs-cils, du menton, du ma, partout... Leurs cba'pcaui , motis et tta.squ«s, ont des poils abaUus i l couchés qui sciiiblenl' verser dès' larmes amères sur le.s infortunes du feutre compromis. On dirait 'dés' barlieis portant.'d« 'l'rau; on bien le* ombres de quelques fleuves à la r'ccbervhe de leur urne perdue. Quoi de plu* amusant, de plu» diélâtiquc ? Ma fui, vive la pluie!

J'eo étais U de ces réflexions, lorsqîie j'aprrç'us que indj aiis<i jVtiM*» dans celle cireonstaucè aqtialique, et que je resseniblahs fort à uu triton du jardin du Versuillcs’uô jour de grandcs eaiix.

Maisquem'lmporlait... La fée de Yorick était là qui se rccbauffa:! en' moi» qui me remplissait dO rêverie et de gaieté. {C'eût été le «Icluge, que je ne m'en serais.pas fàckél'Ge .n'éleil qu'iinç bonne ondée» une pleine eau par les rues de Iq capitale. Or, je suis nageur comipe un terre-neuve, et ma canne, eu sa qualité de jun.c, n’avuit pas droit dq sp, plaindre; elle élajt dans sa palrie,.dan» son élément» eljee^ 6 ''*' » j^,g*gy» sous sou vernis, an lieau milieu de In rue Notre-Dame-dc-l^orcttc.

Car j'étais rue Notre-Danie-de-Lorelte.Et n'allez pas croire que je me sois orienté à la vue du télégraphe de

Montmartre, dont, les bras noirsjouaieàt le.< Debureaù à Thorizon pâle et grisâtre, nu bien encore à'là pancarte bleu, iinrention-du gratticuxet' puloral llambnteau.'.. Nonl'non!!..

Msjs dcpiii» quelques minutes, je voyais thoHraer autonr de mof dis

fMrapta'es Jiélit»'et coquets, aux couleurs cUilvs èt'guillerettes, anx‘ ires capricieuses et daniotlantcs, comnte un' bsHct d'otnbreletles à

pera. Cela m'aVail-sourl..J'Avais irgardé ail-;dèssoüs'de ee«'eorâlicA soiej au-de*soits frétillaient des. taillés élàsiiqitaè, HeS' hanches'de

boYerd ou caéhncba, TliVii b.-is, des jàmbès qrii SètnMa'îeht de léàilHc^ '

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réels cng rand nombre, à soulager? Pourquoi donc aUcndrcJt

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ic^rou'^rais de m e \is s e r a t tf le t f a^4*a^ï® W I S - à ^ t i ï î i ? i ' S o r m e r , de ma P ^ t , que *>Conseil m unidpal, que vous de la p M è deFrantrort.

Voire tout dévoué concitoyen,Di Belle:!ger.

26 juillet 1»W .

IIS-nos; rate,.»^

ijbyen Pelbol & iiln , dei luu pcunle.'M l- »

, w-it^ moii ^ o i i t ii'êlre

me élecleu

wuissaws. ~ |iiicipel feisan!

pour le» élrcli jvir de bulletin jcelte quetliou

moi», porMil selle eu pi le sien 4ip\

A V tS àm esiie^rs.tts EUcteurs. ^I e c i lo v e n Champion Iière. fait savoir à scs concillycns. qii il a

transmis L démission de membre d« conseilmnmcipal. an oiioyci.

de v o d , de donne? lenr. snCfrages à eelni qui leur pars.ira le plu.digne.

Senlis, le 28 juillet 1818. I - ascrct de l’assemblée naiionale dn 7 de ce mois, a prescrit

«n Vmnvent dans le cas cwlessos énoncé, le remboursement se fera par la remise d’nne renie an nom du dé|msanl. plus par le paiementen espèces d’on reliquat moindre de 16 francs. r r „ . . , j*

Ainsi! lente somme de 80 francs demie droit a S francs d renies, e t chaque «imme de 16 francs de capital au-dcla des 80

" Z i i t t ! t « l \ ' m ' r a n t Æ n . p . , 8 ^ ^ ^co.m nrU es ên renies, peuvent rester en dépél a nonvean ou être

versées depuis le 21 février 1848. ni a celle, qui seront verséespar ; ; ^ e , et'^q» 1. caisse d’épargne con.inne de « c ev o ir .n se Cnn- formant ans dispositions de la loi du 22 juin Ig lo .

qui lie conciToatl d ubo q les'iiisiruvlioiisie n is p .r I . circuU.re. « 6 .v ™ appelée» ü...»,„ e lîou" e aucnnè disposilion

l:vt.®ie""îoTqne*"nt%tmnnic.lto^^^^^^^rais de vous les faire comiatire. ■

Saint et fraternité. .- I l P r if t l de FOue,

, , . Sigiié)ll.,M*psm,

_ La dislribulionaura llèbl'« \™ dr”o'aoé^^^ à iine beore ici Uemie de.Kapiôs:

■â.ntoii«u>i ilWWIMM IiWM JSJW U ti&RMt a a ^ ^

S ;ipériensement son arn o,

fusil fut donc remis.luilia plus Désormeanx.ÿ

Désormeanx aBeclanS V au cabaret faire pié- . jremplissait ses d ^ ira ; la détente de son fusil

’ It'ddlh déinnalion. on ne reironva P*»»^'?'*" „„„avait trouvé dans la succession de se. parrats n ^ ^

au suicide! . «n :..:ii.t ittin' ” 'p « ir té lé de M. le minisiredes enauces

H. Caplin. perceplenrdeU réunion de Beiai«vien[( déteoappelA ».a .....' __.1__.la» uuilitt. arrondisfcémeliii'd^'SciiKio

Le 19 inillet l.onis.Jean-B.pliste Balle, dit Michel, marchand

Le même jour, à 9dVxercice» gymiiasiiquf».

n .6 lÉÎeai ' i« iiiiU du *>3‘»t» 24 h i i l lê l , «prô» «ne journée d e-m h l n r ; un eWant orage i éclaté « r Scnlis>ct,les envi-

lon?‘ L?» édairs et Ics'groodeménis do lonir.-rre se sont sucçédé., ; r ? :q .» . . t ï r e r ? ù ; . io l . i i e ^ P.^* d’nne Nnce, etom rccpnt-

“ u t Æ i î u n - î ^ î ' c » » ™ » » - '• a O ..«ion»é ml incem ^qui a détroit'unéécniie coiileitant 3&0 h o tip de fom j?u nommé :^ a lc l (François), cullivatcpr, La perle e s lé y * '" ^ » 487 franc»; rieli ïi^éi^U ^

asti a *-.-a.lvAaa <aacc£t fl fmlllV

par la gc'iiilarmeiie ét conduU> la |)rtsob db SeOhi._ Le ’ J du même m iis , la gendarmerie de Vçrherie a arrêlé

Franimis L ire .ro . dU Umand, âgé de, 18 ans, aops p, ^ ^ ^leétaîive de viol sur nu , jeune 6 'le de siqesl gravement, malade des a u i lv a do lallcutal.dW Hçlle » été stç- ^iine./

C A IS S E D ’é P Â B f f l l E ' 0 B S E N U S .

Lie’esVion,b& a r i i à t i î i i ÿ ; oùellea déirWnommé Broocl (Lonns), i:oU|ï!|le.ur. La (lerl^ eél«lq!- (- .^mle^a.'Xlait BftSUrd. *

d P t S . , .En esécntion du décret d u 7 j u i l l e t I818. ,les lilnlaires de livrais

qni lésnlunl de dépôts aulé.ienrs an 21l*O oelesliïrets.don l le roontanl en capital et tntéiéts régies

an 7 imllel, est Infériçnr à 80 francs, seront remboursés en nn»ic- raire snr les demandes qui eii seront faites par é c r it . et que les dépôts dont le remboursement ne serait pas réclamé, seront coiisi- déïés comme un capilal versé à la date du 7 imlIel, et complètement assimilés aux dépôis effectués après le 21 K’ rierî

2* Que la conversion en rentes 5 p. •/•«“ conrsde 80 ‘livrets de 80 francs et au-dessus, n’aura lien jnsqn ai. 16 octobre prochain, qu’à Pégard dèé'déposant, qn. en f " ;

.o rt« I- 11 orinhr-. 1“ ----------Ces diverses demandes seront reçues tons les Dimanches, de 10

henies dn matin-i midi, à compter de Dimanche prochain 30 juil­let, lan tà la caisse centrale à Senlis, qu’aux caisse» locales:

3’ Que les déposants qui, en vertu des dispostu™. du décret du 9 raara, ont été remboursés d’une partie de eurs livréts en rente. 5 p. V. " F«'>- doivent, pour avoir droit a la compeii» ion açcor- dée par l’article 4 du décret du 7 juillei, remettre avant le 16 ocm- bre prochain, i la caisse centrale à Sehiis, une demande par écrit, dont il lenr sera délivré ùn bulletin : après le I o octobre, ils seraient aéchu» du bénéfice de cette compeusation.

Senlis. ce 26 juillrl 1848. i o fL* Caissier Je la Caisse ^E p a rg n e Je SenUs,

Roquancourt.

•puertenent au uoium® r43q froiic»; mais la luaiwu était a»»Uf®*

I e 27 ioillel, vers hait heures du malin, pq inceqdip s effdé;claTi è & r .n dan. l’iabitalion d’une, vièille frmmej « * l f i W?h?urf?r Mil fôur; par malheur il se trouvait, •«••‘‘«abs de la cbm,

• ' lu la naiH'c fltti Cl üHi. c-oiPipyuuiua le.feu^atiiiminee, de la p ^ le ^ s e|WW“ ,

S S î à S a t S ï ï é f f t s i ï ^a iioulnse baiguer, lé courant Fa rtitraînéi et depuis ce moment dnu*a pas pu le lyiroMW

CheM'conciiôyeU»,La rentrée de l’iuiFé» * rencontré josqu’à prf-

séii^ d « s ledéparfem ^t de l’Oisq. d*.ntre mi.lrjveqsnceflnrfeÿ* 'tant de la gêne causée par le malpiw gépéraL Aü mihen.des diffi* lit,U éï^ u i « U g e n t tonjou.rn Wlàblirsemçnl. (l’on gonverwmunlt irn v e à l je tSwiilals.» .fe pjrncl.iier,, le .d é w n t'M l desii*a pas faitidéfauL- Lp.ver»fWP|i|! d ja*

, tèésS, dea.den* üers dn montanb.du > im |ili:ibM M nn„a«P t^^itiirfc, en seriit nu besoinlai linmv,e ,|a,.plo, mauifestbr.M.réf'l**»»,otleiiusans Fempllti d’anoniio mnsnre.çodrsm.»!’; g!, W .cç lan iéf® '

néuc lés erais «mi. du pay» , lémoigno

apMiHistéÂxioa DR» :yda'i»?*

demaU^èdenoüé aû i^éléi* d»Erniei»onVmé* «ont invitée» à t ^ t i r c lupr séu-

qu’elles possèdent les fscullés nécessaires pont- su charger,d«iser-

trilNBSilWM

qno.Fadroiiiialration avait hipU;Pé*m»é dn |«,aai«ou,st dp patno-^ a s . t a._ I_8.:m...im ala. . . .ilsmeécUirédeaibahitaotsdnJ.flliUt,. I . • .

CmiformémenbanXinUles-

états de dégrèvemenu ont été dte«W i <iaH» il.nnte» ,*qs pommnn « ppar les maires et les ré|iartitror«„avac gèle «I,” ^ . X _..a.e.. Xlal*. .rxtA etaAM».

LcpiisctiHicq.;|l ff,>?narle» mairet ei le» ipromptement,statué,sur! ce» éjaW, ,Les WVronb donc bientôt ono nouvelle prqtiijudp 1» tutélabrff ayntpM"'»

J.

iincttamenti l’admiuist»»l|onrél»H;Olt droit du penwr.qHe le Içeoo- vrvmeilt,entier d c s ié eentimps «’aebèverait pr^hainepionlelM jt» rencontrer aucune maiiil^tation hostile s mais ,1 esprit .de, |mr*i s’emparant habilement d ’on projet llimpôt proposé a 1 ■lalionale, sons forme de décret, cherche a accréditer le broit que la contribution tem ^ riire ét édile SW'les e i ^ o t t Hypotltécaires sont abolies. L’iguoi ance, de son côlé, vient, a sqn snsttç en »ide « la malveilluuçjaj,^» dff/aoime» qtie, fqnr pqsiMon ef *5,“,', devraient porter a écîairer leqr» epqeitçjpn», ne craignènt pès (l’af- B r j ï . nronoaition è é lé a d ii lé ïn itr la ntprésénUtion n»lto^

I

devraient porter • éci»irçr’i^qr» c«p«WVJP«®» V’.r .7 » " • »“ " ’:.T ', f itm erq n e^ pcppuaitiw a «doplée par la rop^^nU tion natto-

i“*iS.™.\,*.Ç^ii’m ï'lA !eil^ rejeté.loiis ^ f .*'“■tilsaimlm na^ntvt finUHci^re decMlée P»r= jniepnis'»» fiqce ,,oùV i|eà rrjeie.ipq» » « p f i ' " “

id a i^ t à infirmer du à dénaturer U luêsore tinauciére décWlée par

tant elle, avainrl d’élégance rt demoucheté dequelqoe. taches de boue; non pas de cette boue qui ocpare r« l i t ru o u .“- d’?»e omit, boue fripooue commje 1. mouche du coin d«tS r .U % w iiu rcS m ^^^ mouche d^Coih de.îèVrcs d’une Fompadonr ou d’une Dubarrv!... a bien! ‘" r î ”levre. u oue_ _ i ~ ^ . )i„eNotre-Daroe-de-lmrtne.leVre». U-HUiè * w»»»|am»^» - - - ■--- —.-r surcç»haiKbe»,»ure«» jambe», )/vais

Harem.de P -“ ' ' S^An.fm nmille boodoirs

“° C « r i i que la fée de Sléme me créa de Aarmante. surpr ix .! Ht»

les roîsséSux grossiisent. -o-lt y a li des enfauti qui barbottent pied a . . . » . Ilanvrs d’une heure. — tea voitures,ao croiaeut avec tapi-».

dlîé en faisant jaillir, soiis le for! de leur.' ro i^ , dé. jets. 8’“ !jSi!ni*llé¥ dèlfcO' I-I Pirfoi», au sommet d’un’ommbu»! se dre*M Id: faSfcWn* rte dé lite, où m ie l^ Ataaélle alnbéur'ce UlOt terrible I Codinlel 1 Paris a, lerjoim d oiage^ omi n b t i f f i ? " n t p l e . otigi^^^^ » johr-lir tOujonr. g.âtC ». m. toMO fée, Paris medunnall'iient apectaelea divers, cent impressiousdé-

■ llcirhieS el'lnCUnHn-e»; ^ ■■ ’EuEd j’arrivai près de:la barrièrePigale.

u% _dm,1.m.ma.( AirflHarflifie'Ml

moî, je ne m I»dais faim. Bientôt mon lômmeréparul,’ lèniiiéila main qnelqnj. de brillant, qu’il frottait avec un'iioiBISnt particulier. Je fisuu geste de

„ Æ r - ~ ~ ~ l e . , ’î . ’ l l ' ï ' . ' T Î ' r ;Germain an m l en d'one lavcmc q p pahct. — ------------------

Àr»wg«‘r'«’v»l op mélange de oiaiaéna.ed. r u l w S P r n ? S e X c b X l V y é de.côtés8,M ^

décoô au C du respect, il entra dan. 1. dernière maimn du ç»é

nilè tt’el’dé Att»lrbcn©M'lft»cne*w* * * » ... „bôlis, 0 de ItirgèS'ehamp, nns'et «érileS. «mla pouaaière.do moellOTt •AMhIe ■Mté'V^^OTdtoo'riowiWe' Parfoi» leierraio e»l crru^ par

ùne lillié eoir’onverte. el se. larme, se mllaienl, uir » n a

i ompris't SM7a” me vint perler an coin de ma paupière; mais ausoitôt la

'‘*j:vTe?r,:Sr'S £s?mT..""X. — ""aux mille écailles qui sort du Nil ou de 1 Arkaosas.

faienl, sur mu vUanîf..

l i t .Je repris donc UWBaSfensiop vers B^oolroartre

1?v .o ttôn rb iU o^lM p.m ^fee. « reinomèpl. en fnrme d'eblOnnoh.

J»élaw »rr*é devant on da ce» Miat» moaerne», q«»

léaer et traoapareot comme «a®

et dan» cette échoppe,un sevoliW.ilO’ ‘Tλ?'*’, » ..J (yétaitle brahde sa cbauap* W oT «W W ,'“ .J’avais «nesre d e v a n t .lèspeuurmBWcharmant dp 1,eq»Fln»«» ' Y

pi(fl«,pp:M>urîrcii ÿriant je me roi»ippa et lu'»«<klî4f *'•*’*roairoreî

cl«W qilWWIPWf.iM.d'qpo prûpr

tierf doux .. -fri»a!c»ti — ---------- - -

’bîtarrrfd lde»'toaoçb«»’’dai»â.^r---dG itet reiMal»cée»«o-^M<2” *éu

'«bail' d* dfclH^iHirJacbiab*. T*«»' ««ï*Califl-miM atm VArfMHiflMs MbIa-BMAI 0 C»i.« « MMiaWtlins'est.pu’ hw»»t»i.nu vieillaf» plefle, pu''enaïc «w ww»i»«i* a

•“5&*’Æ sr;£ :‘. r £ a . ^ ^-ewnWèlm'da boiihnnime-ita Bsulaïuei.' I ' - j il.’.• ! flÂliJlpéUkil ’lJelésvSlItebtôla aes IhocUee, oonanlta.le eiel, se.lava, e t W r ^ Ï w î r f f i é Æ ^ ^ fond dem n ééhoppe. ©uanb*

aéns’Pétrdll brtfiééV li vbéVmiriPqiflediaineire a’naicoio o » . ^de ntr;de'ti*|béteéiémè4éUiml n-lmf M l'llé b d ^ é 1..; _ a _ J .„ .t„ u ld n d e T ria iio u . Rien de hardi, de camIM, de

’niliHilre'Se«aMait pnae‘airr.<Téhus 'edéM uteftuiMéid'Wstfcauale. '','*i*«né».l'."Bti«r»»t’««»loorS S " d " t ( i é , 7 T l * '^ B U

ft'lTpiiîiitead*tll.’.’.'llirVjihl.a8,'hl in eo u S n ,ar irto .r.tiéo é :£ î5 i^A L .;’n a * h ^cM èi, une ièle a i T ^ ^ r è iq » Jed rac îito x ;’d8*.ifh(lillJeèj |2 é :^ |i rW é d Ô ® i.IM itè•ffwît'téswéiiitf *WlMj « è a i f f l l é a t h ^ -8* jeu^',ffll«i imnai» I ? iiS riS é d’é n fà im iS w é i ^ ' . "lien ro»e o enian» n auraicN»

de la rue, à WiiVWl ^W d w roe^pppofi-i' 7 7 7 7 ^ ^

Fià'è'là ;ilet6ddé'llilKÎ î« Vf. le bras 4’alloiqter'él,»»»|^dre un»pan- ■é»ftè'8«3è|*8illdé.',tï|Sdb-iiÜiW0WW«Â.^^^ ..........

t f i h s i lS W iw a w '» 'fsr?, ....tiiitvi / ni- I q’jîl 1)(> ’J i J ■ ( • I ' •• • ■_

___________............. >1 ..'tiiitiiift fin 11lièdinkHW lèî hèlancées pat tons les venu .„„„ .lyblUcé que iiiiie-deilia»-

'' {(tùlixxs ,fl»aivs.

' ‘(iïa.i^ofimr.J ,

. fXn i t t iu au préfèmu

Page 3: 18'' SENLIS. îîTÎÏSîiBr^ [flE Dbmsenlis.com/data/pdf/js/1848-1851/bms_js_1848_07_29_MRC.pdf · liè(ire

csconCilenttÏ5 ;« f.-ap w .' triiei» tonne* 108 le milieiiÿ eut 8011 arn é , donc rem is» .

Désormeaux. •iix affectant ire t faire pré- . iail ses d à i r s ; le de son fusil 1 on a rriv a aw

es parents one is s 'é tao tfsia» eut son patri-\^'> il a en recours

[) ju ille t 1848» i’m rfrapprié..à..

cheï, marcliand G eneviève Le- enversa à te rre leoreuse femme ^ e O td b lis 'u ii ceÿ a é té a r l ^ é

•rberie a arrfMié 18 prévenlioii de

psi|ivre eii&ut ^ r l t ô a é té viç-

e tiia in liiis

i|ré jo sqn 'a pré* e .qpecejlo f^p l*I Milieu,desII 'gouyernemftil’ sm dcs çi.lojieoS' |^y>,Cfisses/dp^ ^l|pn(.suppléyse»-

^1, par ,ci!l>I jwy)},; ^^oign»- won^t ÿ m iilr ib -

uT^fntniçi», les- •s ,1^ fominai\<0'piucieniK.vllfrra ,

ajœppibw

«niMlbÿa^i’es.ind^s- ptcr.qHp le h:pon- ;haiiiep)Bnl ef sens

iosé à l'Asaembléa iililer le broit que ■oü HypolMceires ^ j u s u f en eide «e^leur'inirlli^ncecraignè'iii pie ÿ’ef- priSii^Ulion nbtio-

^ iém énlé qui .ten> ùéiéire il'écl'éléè par

l’iuUialiee du roÙTcrêemenl proaiseire d iiia l'inldréi de la Âdpu- Wlqn»p»l,dWlM,iq>qiP|qiq?.p| «lTUMl|B.»q«lpnrien,«>»^^W ^ffllqTW •^lW M *K^tl^ «* >Pf “W * W b i

à f i u e l i e ^ m n V r é 'é ' i ’ofÏB lV pin 'lltij.iW i!^ -----------= _ ------------- . . . -iplffapfep/w j j jp p j 'H W /n m v

Bia»jea.««.dd»WB»iii./aiwpffF.HbiBP»‘,rtB»;«W,Wav'4^^ c l Ji.i - , HawpllM b% AegjM pnK p|,,p>i;bfH U9H «>qlm w e)l8rpn'fi; lPlu».^lOl»»,4qwu»^pu»^qqp^r,nq,pi4q;Jn,|l)i^»«lr;ppMÛ^l4,Mrrepfdx!q|pp||i«,f».dpu),)>q w i w q PW »!W yw le X'q*>|.,W W fflwlïfli p a r lp j|<iMtl|liwinqn>itlp l,Vilre,q»i SpypùUt IJqyepir bqqrep»,,.". !(), .propridli.e |it)ft|«ï(»m »„.;:, , ,,, / | ..L-i

Ciurgd.jd>M nreri,’tpib«»ii.f.q .p iew , f i .9"<wrT..W i''9SW Æ “ . I® ■ii»rad«rnwr,jenp«qb|i(WïgMnljq|itlsr,pfrA,qSqPWaii,iT,W’l"®.

^ e a reunlidairiffd^ljeq .rbcplfjilrqniapé p.reiq,iep,|,^ (.ii^dh)g^pcq ipraiiquiit jiwm’it w Jw rilW irtq la-WWpfte ŸP W!,,l WIl’H 'W W ;Ua,aK«Haidp,l>» p p i;p ep |^ ,p n ^ |fp(^r|e4e|q).:e p^K rapy l»,1»»q-bdiaaauce on l p , . n ^ |^ , l i ) p t s dça ^ a , ,Ç q a l,a p r |q l i l

'ConMe.kaTedeiaabjlqfaai^qghiqf^ qqplg.qn’ile .»)e|p.<poiul.encora an n ill i i J«np:..qpafoqMr|.t,.qH« Iw iPPqranMde ,N plqa T iga«rR nii!aaer«nt,ex iqrç^ ,,l^p ,iqÿqp |U >q>eioqt^ f tv fW laiaaor arrl>.enp»r-»P<>«n««oiaii|(fcaiioqr,., .,, , j . , : , . ' . i j .. ' ,

Bieiaque jeaeM te,lqM qceqntityia,qqel9nqfoia dç'péuible,a » p (e - . n ir lBibaM droit ,rt<bijq»tice,jn«qn!B,|a.rigfippr„iu aqia |)wp dd^'f:, tn ionb |ea.ina^leomôarP'nqe^ivl^XAb)e ftfppeid., , , ,

J e compte su r le Imu sens e t lé concours dc^.-,gen^ biens intep- tioniiés-|i^ur.é«ilqf,d*yq, v e n i^ b \l lc im ^ extrém ités.

F a it à B iiiuvais, le 18 juille t 1848.Lt Préjet de tO ise,

Hle UARTIN.

iarlôut aillrurSp il T f l ussa et psi liî pour l^aris ou il resta plusieurs , pursj il ne suitpersoiinyliem fnt rjen dep lu s. .

Hé^ieii. iule|'ro^*ejÂééil<èp d é c id e qu*'élaui;de garde Ie 8 au soir,- !tl se disppM it ^ pVptidii'e jé ' m chétii 'ét attendait' que riiéare. fut 'po|in4èô lorsque sob 'itténtëdr'-aiMvwW caniSl*Ade dé tbns fOs'vtis^'^ 'uniSn.sa.seule société, le nènbWé'Vjplietle àvéc lequéli depUispliN^• aÀaaaw 4ni.aX.de ' îflUaJ^^ê»'-- i l lM44M lleî|l «aiaaf las ttieiladwa^I

«ONTRIBDTIONS ic iO m E K T ^.' ^ ilÉfrÂBUSSEHENT DE,1 , : L’EXEHpfÇE., ..................

I .il , ,{,Bkaaaaia417jnillel.lSiB.Xc Préfet de f Oise', aett Citùiftnis SùttsiVomtàfisavre» et- Maires

. . . diSdépàriemefU4 ' '■ Ciio^Sÿ*

J*ai rbbiitiébi' dé 'metlré sons vos yéoa le décret de la représen* talion ùlslionilé ’dûî èétàblit‘'le'drèit''8n4'ték boissàds'Aboli par lé dé<'rel'dii‘5 f ’inqHdèrtiiei^i''J^“'/ ‘ •

J e iobsd^ie dë donbêè''lA'’plùA'i^àdé'j)ublièité è cêdéèret. Salut çt ftitéVoilé. ' - ^

' liié Msattn.

lé, maïs je le reçar- I main quelque cnose er. Je fis ub geste de

Le vieillard eortit son de botlea k un don

tala quel inaliiKl sc- ibelMnl- redoublaU à ifraeuImM, d'idie'dlA.bouibe A iim î iW^le-:larpamoune dâ Gek* s]e prohtanaitdl deila . brancbe de «iraili le sé aeriil’ k peiee lpsd 'dnbel‘d*aMCattv Bien ebef Padmirable-Léo* bardi. de canibrd, de iblait priae‘Mdl.iTfaiis ieft«nréid<W<kdrneale. rÉé.l'."ïWn<él««Mrteor _ bJé 'da» iè , d . ib é « * -î , inable'bealaiè pdftr.'iealMIlésdlaiefal . M tril''d'iW 'li«M ..é’yi i I d e jeoke'fillej janaia wI-- r,j >>| nii II Tncdoa paé aona les vcdii < d lkeèque ùne'dedia»- kdliyie'ile (iditM il ce i t Im 'fa ia à lt 'id M r do

"M tnapcndre nu* pan*l i ï . i . , ü I rddlèrea < ’ ' 'itiiji ni '

l l fù » » ,|*pair^ [

‘(iïa.i^o/itur.J , 1,

eu jiréfl^Vi aueidni J

.D ^o « « .,r ,k B 9 tf .^àt. yo-âi* '«10 Iç aD u 33 ju in IS4S .'

L*Aks4dibtée natipA'ale Ü üdo|ïiféi^lé''É'ïés1déni du conseil chargé du pouvoir exécutif, promnlgue le <^éoi)et doul ta teneur sqil ;

^AVié dU’Sl'ÉbÀilèlrfelaH^^ d rtf ilsu r les boissbns(0 est abrogé, à p a rtir du 10* ju ille t 1848.

2 . P our faciliter laper€ep^{Isq,dçj*|mp^t.9qrl,çy ^ s o n 8,con^or• mémeul aux lois en vigueur.a,q§qîj{ç 3j [ ^ a ^ i 04$,,l'abonuem eot sera accordé à tonS les déb it^ îs^ q y i,p p ,ÿ |o n t ja. dêq^nde.

Uabounem ent aur« ,|^ i|i^ ..^ |eÿ ,,en ..l8jlÿ»,j^cq.,p|;^ 1847,atténués d’un dixièmOr.........a ...I v, , .►/

3 e A l’égard des ilébitanip, poqv.^qx 4bt MICAMpi établis posté- rlcnreineiit au I*® ju ille t l 84^p!ou^ql4 .iC4 lA^trPni.#À*f *«»>>*, l’abon­nem ent sera fait, soit-«le grè,A.gléAreiolRiK«i?B m l ; dans la forme indiquée par l’article 70 de la loi du 28 av ril 18i|S, en prenant en cflHHM^^i^ir'‘tU|iii0 f^létr%lrcoiistt|àéur'iQp(ii' pcovcûi^tiifliiei'’ s o r *hr

4 . A dater de la promolgaUon du présent décret dans les lieux I sa tié iiép iio lisiBtnBWfi iniOfM M ipimile G oovém ém entlen i’app lk qner dTsl&cié<iÉliqMinriionsJnfciéeoits»non.fiacmts»irabonnement gé­n éra l au tp rM p a r l*articlë 73 de la loi du 28 avril 1816, pendant t o u t e ’î - i { -i -

A défaut de vote spécial eijm m édiat, le reroplacoment s’opéreri'' dans chaque c0m m uÀ èià m<Mén de centimes qddiiionoels^qv^imq' cipal des quatre contri^ lIb in jilir^ ieA b . ' , ^

Dans ce cas, 1rs com Uinb^ Aëtoui’Antbrfsim àjréconvrer^ par- ' déUtaniA, 1m sommes q b lâ le av«j

iracisément celui de Qroyard que mrsoiiira ne sayair étre '«diargéf=> 1 vpujani déibÎDiiVrili‘'à sofi ami (Jbe!ét , Tuli^ilékBjt-ht^ropipMAntsI Jp mpins'îfrèsyké.qu’il 'décUn‘),.nénen lepoH i ài'é |iadlé, lét^ilp '' partit, él'Vachéiïè ibbibAdany'vlej é tlà 'tdie fracAsaéél '< • '

lM[. ,ly Procureur de la fiépubliqne rend édin'pié Aa'trlbotial dii d ^ llpÔ ir’d e 'i!éricn , '*Aiiiè4 céi'*aécident; et ia -botitensAdei- le yisagei Viécelil' dp ce in'Alliètai^iiy ’jèuné' hômiiié’ làiSséiit éflCOre! pérc^V lé.cliâgrin 4u*il épi^b'aéë eii ëtf momeui. Cependant l’iitopVu- dencè'jm dfeux preVeiiùi cst pàfcÛle, ils le' reeonnaissebl eux- mémos; eVjd'ti'Ibnqal inforâié.drs'ëiitékédefifs dé éés'hommes déjà' bieu pbiiis do malheu^ j;dir' lai*diêA^é,'le8 condàm'n'é^Mulemelir-cba- çnn‘ a if6' Tripes d’amétidèi él' lés’ cétodamneut égaléiUent solidaire^' ttienijsux'fj'als.

—T C*est. encore lepom iné I>cle)^(Mico!as}Vdil.lÉorand, deniçn- -ranl.A >;n|is..qûl,)rflvlfp^,deT*iftliM ^ i p xçljo. jroi^, legéiire d e délit est changé. Leclere reVeuaii d,^ Ml'q lç,,f,8 jjiin .e t, pbmaitiWiSon dos oii«itêi|e do^piiK y(|rtr^ép<^]ii'ir^;ppr lé,gar^^^ cliamp6trq.;Méxiôi;^».iqui..faisait iq .touriiée ordinq^re, r«Téin du. signecsRsQléristijque..de. s rs fpiiciions,.oii penpé^,qnè tr ç le rq jra ] quitter, le sapin é t 's ’eiilTuir,? Pas-dn Iqul, il commence p a r itiju r|ê f le garde*cbaiôpéire.qi|ii, de fon çÔijS, lui ordpnite.ée déposer a ib reafin qnül en premiq.ia grossqn.Çy.Leclçrc ijAipaasêdeux piem^^ e t dit au>iga^t^,qo*M,le tU frapIplôy quQ ÿabàndoniiêr, pôn] arl&Ve- Oèpendani lo b i^ v e fdézières prond l grosseur de i*arlirf^ sans s’m* (juiéter^dOS)vociférations de Cvclçfc; mais pôqi; pe pas émbroù'iller tfop l^Ofaim» M gardycliam pêtre laisse le 'prévenu é^p ô i ié r .qoil a rb re qui, aujourd'hui, peiid aq.*dm>,us de.lq nprtp d^tiq ^ ^ j r è t de Seidisi, ohoM; l’e aclWté pu fràU , oÿqlimésii^lQq l.àd.^{f^rag.r4B,|;baii>iidtrB.;

Lyclero.ne.jugp .pas q propos de se prémiitcr a uudiepce; iqais son défaut de comparution o’empêcbie pas le tribunal do. lo; çoncjâni* per à un mois dp pfi|on et eux frais.

' ^excôsé; I tn b q ù h iic u n petit iki8tant«-9Trllobquiu»4iqud son îfoqttbi*- <i ietji|!^ralleAdfailiencore &!il:iifavait,pas su à peu p D ^ ju lemps qu 'il

tondues en matière du romplacomcnV. Avant do partir on svaiV prtV. les forces d 'usage e t de rigueur, e t coiume Simon était mal véui,. Rébqnifi ne criii pas devoir féire uioius qiie.dc le té i i r d’une bloii^v .. blpuoÿ 'd’utio céavaile, d’un paiitaloQ de sôtoii n^aios. 4 s Itii, .U de'péirevlf brodèqniiiB, nu nwuchoir de.poche, e t ton t eiifîii.çp^'uti, parsiiiM it'’coavonable. M a|xvollèqU !ari|ivéiA u,m U ten.tlom o^^ « uij pejif beédini presse -Siomug^ il en tre daim ls,for^ti;)*r-pard.oi>i„

i4di?élé^£sèirAlVitl^'8b^versliÿ'iili'iiâér'^jr f^.cim pie^. iJé fib é^ èiV 4ééiic» littbll^ob; è ’|fèV}4,^ë^33 p à 1848.

— Ilonrelte (François), demeurnot à Crépy» prétepdsit, le-33 Juin, étant pris de boisson, que le sièur Legrand de Crépy lui devait 6 francs pour salaire de travaux. 'À cette époque, les malveillants U surtout tes hommes qui aiment à boire et à s’enivrer se croyaient autorisés, en raison^dHt élréOftSlailoas, à-fairo<cdntribiier les per* ^oiiues qui, trop pusillanimes ou timorées pour résister, donnaient (ceiqui leur élaiC> demandé. < Mais .Jlburelte était nml tombé;, ca r le citoyen Legrand qu’il.vonlait duper, lui. oiijpigiiit de .aojqjr do sqn jdoàucilp,«fil ne voulait pasjofqire jeterà If pçrie. UoqreM^i-rcfusA oei»et'le!sieuc legrand sllait-itxécuier sx menace,,.lorsq.uo; Mpb*., Vcltese rqtiradans 1«7 cour,, d'où il s’Absttna.à im pas, Aortira llK.j igeùdarme mandé aassiiAt,,se .mil 0 0 devoir .de prier M.ès:b9 >*l tq-. ;mebt |e prévèna.dese retirerÿméme refus; alorà.te gendarme saisit^ ‘Mbèrettepar. la blousq pour. l’emniAoer aussi' doocemeot .qpjil.étj>it, possible de falrc} maiacelnjMsi. lq saisit par les aiguillettes, qu’j l sr*-- !racba,-puispor;ta ao geodsrme o n vigoureux coup de poing dans, ireslomac. Alorsî ma foi,-il fallut, user d'une cerialoe yioleu.ce;.)e^ ^gendarmé, tinf eO<r«spect;le préveno.sous lui, un second gendsrmet ‘aérlva^.ei-letarbuleni fut enjové.'' -I 1 ÀrlfauiUenee>il ne nie rien» et^dil seulement qn’il a frappé le geoii darme jen.>s*escsrmo!nebant;. mais qo’il n’a-pas pu yesçaj’m9HÇb''if loûgiqmps, parce qo’iU n est venu un qui lui a mis toutjde sqiie 1m focs aux-.mains.icl qn’i l a fallu, marcher. Tapi Jd mi- vrai proverbu os ,|iÂix..e iiqn,*o!n peut bien .dire depuis longtemps fOi Fraiiceique»^/a«^l4vmf<Nreÿaç(AMtcrorq i

J^.Uiban«l ççpeodgot iie çqnasipj>.e;4^qurçtte qn'h quinze jonra dé prison, pfeuant en considéràtion les antécédents do prévmin, analysés par le sieur Legrand lui*méme,-^ui Avait tfn t 'â iè platodos

Angéiiqne-Nicolle Lefèvre, femme do nOmmé Panl Petite de- u4Cqraq^ à ÛrrydSL-Ylllet.pqnse non seulement qu’elle a le droit de

r b è l M ^ n d M i ^ asètàènnosede ne pas répondre aux invilalions in ia i |g 4nj9nç,t^iiS,de,)a jnflicq.t Ainsi, M. le P rocureur dèiA Bépn.* pliqne n^pqsp isp^|tr|bjlinal qu’il n’est•^•'shrprnnA ntvqna cè ite pré-

, n «kiàtkMhâ’MA Amvenue ne comparaisse p u à iyudlence, pAisqtiéice n’est qu’avec de

^em^Usmsuiomld, •, MiaT|(dsd SbideRnâb:

«Latmaio;.. .j . ij . I i •»*.. I.: -m;

Le ^ d a P p ^ it^ tx M lif t

PourcOpU|Çp.mVip09*<'>>ii., Le QmseiUirdePréffctmrSfSeMt^ùrê'giàiéali

>TJ jC ,tnu II TlKùJ " KjieOn.-rV li'I.-:. >'U liK ■ i l . i .f ! i; '

TH|BUi;iAL DJ^ IK jljd fe 'bbW tt'fejÿlÙiaS

t- .ia iD U id . m .Mv VkTlbr/l . Ai^laU ê ’Jlà Ü tuÜ ui-

! q.Cr.il, Ib ^ ds-B ■ o u . ÀnjoaM*hui, '*commis lovolonlairemenl ee jo u r la , n’é ta it m s Io ré su h a id iii ie : imprudeiS&; en côbiéqoeAéo, IA tnlhlsfèré^tiolfo i|vatl48iiticitêfi.csk police co rree iA ô iA élem fc it^è fi 'fran ço > s* 8|u m é Broyaid,..p9p*, d ie r ,e t Lotds4 |Dld M*iÿei,-iaMflaB» tons deu:| dÿiearaioLôiGM iL A ucun témoin n*avAit*élé«pi>elé; ca r dans niie Affaire de cette na-q tu re j l’tMmmè pMlM;ei!(déll(Mùfe.pétiiqHe8 ancf|np çircnàaH o^.

'^^eetque.eggr«nan4o<qBNflle,soil..^» v r , .>-.,«^0 vBroyard interrogé 4é preidim>» dit .qnfétAhf dv^ 'gafdo e t cbéf du

le garde; B dotons

poste, le sept de ce mois, il avait porté son que là , à la suite d’uue conversation, il ayafl, pn ^ i

coin, il avait bien recommande aux n r ^ r toucberi aen .ia iv iia tion^o4t qui à sa profcs^Qp. chez lui chercher unq cruche p(qif pour régaler ses hommes de garde;

^ijeat^m eahBntojràn'iS^éli qup\devanV jparis, il allait manquer le convoi s’il i .i l jugea donc que son fusil était-pluseo s ù r ç ^ • 8' . ^ P ^ ^ 08S |dè quc

»l«»o

/pqf^eyef,pjepl*^rp qp’qile y est venue s’excuser, et'lémoigneF.de cjpiDduile.^l^t.bien pas-'dirtodl.''0 iiand.on lui de-

â’càt pas jré sg w é e éhr*iW dre qu’elle a pççpe^,élfy,f(wéqd q M pas^ouTu, ÿT elle h*S pÿ i bé^plM dé sg ppésmtejT. p ^ j jb j^ m d^e;ix^^^

J . W q . ù W ^ n i »65 qn’elie adm inistre conjuga-m a n . Elle répond

f* /» Às.^WafXiKRrft/wf^.^/M * y

vieoné p . , 00 dùooipor dÙMni'Ù j oûli- M A^Ïmoo éoJ fin»:nonpfl)||>,M n,|B, lai;l|«ii>B. | jk ’pjttiiitln''d-on'•nt’i M l bUA :jrist..^buod îKniui pâoiBroa yUa,dB'AA-|4l'bijott.'0|kinbo^o7|^^ S .n k P * - Tono'lNi-Wfd ®

BB nÿi^iiigyi bu o H R .D y w Vjèn n v .o wjn ioan |BA |idh- lira.» .a s , clquBUBpuUqnaU|^iB-niI ôïte cll6 lB''jd»ir/e»‘1b ,P d ' kynpjgrd; quB oepemUiil qA'ellB.'^l q a . 8-d 00

•ed<&n<l p .» , c’o itq u ’U b b Ib TBUlM i." ' ' ’La iriboniil o it ja tlem ont indiÿié.VBriiki' IjfAB l-oqditolln d ’otto

cnd^qyiÿ'li.qiii èlirOOrdimlM , e 'iU Y Bttlnio '^lii’cot'ctÿliUmaéo-ptr dÿbiut à dsDX mpU d s p n w o e i i n f n i i . " '

— $ m o n JoBohim. dgd Jb 27 »l> i n fl nn ..

mcbiCBt. Pb proBiiU'lBSJrïniio IW,iOMKILP(9..rBi.p»*.,Sinn'' - l ' ï f ,4‘iw jp jqp|iB)r,,qfr,,B5« , ,p o pas pour m .nge r uiiU pour •« rè lir^ rl

lUbergists kP iliilornin, e l lui propo». ds rn n p la c rr qjq^qlq.i^n.iBr- Tico mili'iaire. Rubquiu. ■ tisra lt -ln.>l{flBWMnqv,qqiS*l,qp qu 'il-—'

l o t d M u a i

tant.'p .o 'r udisTuiiie k'^ods les.besoins.quots .qu-i|s xoienl. Br.ef, le citoyen Rôbquin^ au Hou de vénir à Seiili», reiuurna, bi.0M çutcndii, à rutitariüéÿ 'annoucer à sa famille qu’il é ta it cflny,eii9blp de, reiU' ‘plÂcer le rem jilaçaut au. plus' v ite., puisque ses petits 'b,C8o|i|b •l’avaient sans doute appelé ailleurs. . . . .

Aujourd’hui^ Simon ne paraît pas plus, qu’il ne s’est reniqn:ro\ chezilobquiti, ce-qni n'cmpêciie pas le.lfibuual de le conilaïuiier :i. un au un jou r de prison, à 50 frauvs.d'amende et aux frais..

— Q iilU d a n sl’^rguirdeS o isso iisdd IS jû ilIcl :« La manufacture de glaçes de Chauny a repris tous ses ouvrieri^.

iix ateliers coihmuiiBUx qui viéiiiiëni'd’c lré diiisons. »—4 La dernière girafp qui se trouvait au ja rd in ,des p ùn ie s v icn h ^ '

d em o u iir . -- O u ’aséurequo le château d’Ecouen, bâti par pucerceaii, aiii

seizième siècle,- pour le connétable Anne de Ifunlmo.reucvj.appai- tenant aujourd’hui à 51. le duo-d’Aumale, va logqr dcs.prisojnjûers.. G ediâ iean^ qui a d^inmeiises et nombreuses salles* avec une fpriè- belté cour'iûivée en silex au milieu, est eitlonré de.fpssés.,

Le château B c o u e n est le seul moiiumênt de cp genre e t de lu. renaissance qui soit reslé d e l ^ l dans les environs de P aiïs.

Le tûinistre de la giierre vient de décider qu 'il ne serait pas. accordé de congés iie sem estre cette année.

— Plusieurs agents des adm inistrations financières, s’élan l élob gnésde.leur résidence sans congé, pour venir à P aris solliciter de l’avancement, Ip .ministre des. fiiiapcés* a chargé les cbefs d’admi- nislralion .d’av e rtir leurs 8ubqi;doimés, que lef ageriis qôi'q tü itc- raientjdorénayatit leur poste sans ep avoi|\‘obienu'Pàulbrlsatlbii dans les formes p rescrites, .seraient çousit(é’ré$ comme déIDl^ion• ùaires. • . j • .- r . ’ ' V.' — On parle beaucoup à 'P a n s du prochain mariage du généra) Oavaigoao avec 11" Duboclnq fiUe.de M* Viliceiil, Dubpchet, direc' . leu r d’une compagnie d’éclairage au gaz.F 'U ; V'J Dubbchel esl.une-irès'ancieiine connaissance delà fiuiille CavaignaOcl parent trèsBprouiie do SI. J . .L . Dubochet, ançiêii.*gC' rau t du A u lib iia /e t l’un des.créàlcurs du.journal r///qj<rqî<ôn,..

Lo Obhlitë 'de législation et celui du décret foncier ont c(é saisis tÜuhé é^jjiOsilioù su r U réforme hypothécaire, présentée par M, Poügirà^d.'' . r. •( . ' .•"•

. Voici^ d’ajirés cette {)ropbsllibn ; les modifications principales- à a p p o r^ r à )â lëgiiU tiân existante :

1® L’ A priéïfèëes'iréllûiis aôxmimbles;3*'Les hypothè^iies légales Assujetties à l’inscription e t à la spé-

|cialité;' , ’ ' ' • ' ,3* L’tiypotbè^de judiciaire supprim ée, et rèiltplAcéè par uu droit

d’opposition aux. hypothèques;4* LeÂëonfralAHÿdHthéuaires trénsroissifoles'à oi4 r e ; '

^ 5*'Ptbuv^Aii ùiodê d*iriS|CnbiiOtt, il fixe invariablem ent le rang du c r^ iié ié t: ” ‘ •

6* ^fét^bllsicmenl do ta ïràuserlplion deS-'ACles' tra n s la tif de la propiléiei • • ■

7* Lés'hy|iolhèqué8 'de8 vendeurs ei' îles coparlageants néeessai- rèm edt'iii'éib|èrés hypothèques; -

8* Suphfè'ssion'de Faction réSolntoire du vendeur;'9* Plus de renouvellement des inscriptions. — Elles subsistent

jiisqu’â'rOdlatièu; >'•lOt 6 implifisalio»4 o la SDreocligrev1 i® Suppréssion de la saisie immobilière; elle est rem placés par

la procéduréde)ic lla ilso ; ‘ , ' ; î *. «-12* Suppression des procédures d ’ordre. — P lus de côntlit pos^

Sibié biitre lés'créauciers. Réalisation Cèrtainedu gage bypoihécairo -daûs un'déU I do tro isA quatféièâ isiI J ' :

La cour de cassation vient, sur l'invitation de M. le m inistre de la justice, de, iiomiper dans son sein une commission chargés d’ém elire son avis ’ëb'r lé* projet iiFôrganisâtion 'jùdièiâire sothnis à -l’Assembléfl nationale; Gètlé commission est c o m p o ^ dè Mid* Las* sagntf • ÂAplagiieBBarris e t T liil, yice^présidents, de ofizo vonsi-il. Iers,}dtt prpcttrôiirrgdhéral f>upin, e t des avocats générap;^ Piiciaa G aillard e t ^v^Dq . uj

I^oiis aimons a c r o ^ que ceUq m esuré dq mm isfré de la 'jaàlice es t une manière po lis, M* Marliq de Stras-boorg, legs déploraldé iju ^çnyprqem çnt pVpvisoire.

avec em- .. ïçç, («i dqpnp

. . . .lui i ^ n l is pour deui»nd(»7m lAot d jq ^ .^ ÿ |B là u ^ , iiBraoniira su.;

d!iRii . . ^ ............................................ - ........................................................................projBt défiuilif i e r , i t xokibU ayq.olÙBrvaiiioiis de» priiibipinx corpa

' " ' i ' ■■ ■ ■■^ ■ l é d’administra.iion départem entale cl communale a

procéd& Tm ^i dernier^ au reuouvellémént de son bureau.. .^ i w 'b o m m é s y ’''' '

^crfi/ttér^St UM. Ja lq s ^ ieh ard c l Çélcstin Lsgache.Lo-JA JAtilvL fériùlÙ'la v ^ t e des chçvanx e t des voitures

.ayant apparleno au comte de PAriÀ 'e.i à sa mère, M** la dtichesso r G Î ^ i i s . id-.b- ’'"'*' '

.Àe^mqpàenl où on hlIsH ‘Rendre Te n® 13 » uit caltriolei à quatre rones, Qelqi d’où fut précipité le prince royal, quand il s’esi tué sur U irp u te de ^eun^i'IùQ e le tité del^U'”* tA‘ihHd|Mse?dfOrléans-csl qe iiueapporter l’ordre de ne point v end re 'ce cabriolet, de le ra« flbeter-mème. à tout p rix , s’il était dé^. ypii^p, e t de le faire brûler'etasoite.v.i . . ji.t.-, • ,.-'i

. pne; magiiiftque bériine e t Ica deux p los 'l^àpz cheÿqùx d a^cfâgo dés éc.uries.dn prince. Sterne e t S tüppe , débx ap |^aif pqra'race, ont'é.ié t^alenient relit és d e là viènle, par orîdre d e l à ‘duchesse,pouc ^co .offerls de aa .psri À.ltl W s.onne.qai. lq j,eluce poqr.qH ii^orQaris.el(«.FtSpçexle2ff$ijriei|:ide^p^crq 1.-.-ili b'lltW Hlff 'l'.l.' mi' i.u . ..

MMOtBBÀiiAlë sa «Ae l M x Sa.'HMAlkitmu*E ntre Panohérd é i Mbrtl||é 'eM pqè monta§pie éué lcs.Romaina

avaient cqnsatréè \ ju â o u , e t stn* laifiDrelle M ohthyouélève ses mai- sohè'cT' im lin f éés vigitébles» 6 e l l0 'MAnboWS, composéO d’eilvii'on oiizè cèois LÀbliànti e s i 'là plofs contrîdérlble dO'çAoiôn'de iMm*

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nm liii. S.HI i‘glise ii’a linn «le remarqnabli!; cllc.*l«le il« «ii/iciue aièclr; clleM i Bons l'invocalloo de Siiiil-Georges. Son cimlooii mo­derne avec des formes onliqnes n’a gaèro d’anlro ose que celni qu’il l ir t de l’homme de hien qui l’habila; il est soüs 1 invw lioo dn eéiiérable de Monibyoo. Ses babilanis sonlsimples. |» u ib l« . l a ^ rieiii- on ne Iroove pasencorecheïenx les innoealionsduprogrès; mais 'ils ont coiisereé eel espril de bieneeillaiico qn rie s porle a

al.. t.e»»<a:i fliii leursuiais ils om conserve w ue , .s’entraîner, cel amour de l’o rd re , dn travail qui ronferiM leurs d é s i r s d a n s les limites de l’utile; ils ne s’oeeopenl pas des passioiis Iiolitiqnes qui, souvent divisent les hommes en les avenglanl : roam ils s’intéressent à l’éducation qui rend leurs enfants meilienrs en les

Ils s’étaient donc réunis, dimanche dernier. entre le temps des foins et celui de la moisson pour nue distribution de prix, -le im luiis résister au désir do raconter cette simple et tonchaute céré- ■nonie qui fut pour toute cette commune la fête du sentiment.

■ _ ...:x__r..:« a...*..asm alâaifihiiliAn lin nriKrtoiiie qui lui pour louic w iic v«iMM-Ms.%. em a—

G’était pour la première fois qu’utio distribution do prix allait ivoir lieu à Monllijoli pour les enfants de l’école ; le pasteur, mmme sage et dévoué en avait conçu l’idée, et le maire et les

nvotrhomme sage et dévoué en avait conçu -----membres do conseil s’étaielit empressés de le seconder.

Ou avait pour cela choisi la place publique. Une estrade décoree de tentures et de caisses de fleurs, s’y dressait a l’ombre d un massif de tilleuls; une cinquantaine de prix e t de coiirounes y lignraienl sur une table, an milieu des pins belles pages des écoliers, e t douze sièitesv attendaient les notables qui devaient les décerner.

A i’entour se groupait la population du pays, et, ^ t i s on espace ré«rvé? ôm cenlaitie de jeunes enfants, beaux do la fiaîcltenr de leur âge. et parés pour la solèmiiité, se rassemblaienl sons les yeux des parent» curieux et attendris. On eut dit en voyant ces peltts «areSus e t ces petites fille, de blanches margoentcs et de jeunes frbJisseaox, rangés sous le rayon qni les fécondé et s animant sous nu souffle do printemps; le ciel était beau, il semblait sourire aveca m o u r à c e l le touchante fêle de fit mille. . . . . u

Bieulôt un vovageur arriva, le fronl rooile. le pied poudreux, le maire et son adjoint en écharpe, et les noubles du heu I accuml- lirenl, et se placèienl avec loi sur l’estrade; ils lui avaient déféré l’hoiinenr de la présidence; il était inspecteur délégué des école»orim aires, c’était l’adjoint de Dammartin.

Le uasteur se lève, il adresse aux parents, aux enfants une alln-eution pleine de sagesse q u e n o o s regretloti» de ne pouvoir reprm.luire ici; le piésident fait ensuite un petit discours ou I on remarque

"Dans le siècle où nous somme», me» enfants, ce n’est plus par , la naissance ni par le rang qo|on juge d’un . mérite personnel; car le riche et la fortune font deux, mais . l’homme et le mérite ne font qu’on. L’instruction est donc un be- . soin pour tous; c’était un luxe autrefois, c est une nécessité ao- . ionriKnt; mai» le meilleur écolier n’est pas seulement celui qui

apprend le mieux s» leçon ouëcritle mieux sa page, c est encore . ce£ i qui se condoit le mieux; celui-là possède uti mérite qui est , neut-être plus à lui; car, voyez-vous, mes amis, ce que non» »a- . n n s , nous ne le devons qu’a tioas. C’est donc par votre conduite . que nous jugerons de vos progrès; la leçon porWson frnildans la s pratique, e t l’enfant qoe l’inalruction tend meilleur est toujours . crioi qni en profite le mieux.

. Pères e t mère» je von» en conjure, au nom de ce que vous . avez de pluscher, ne négligez pas ce temps si rapidect ai précieux . du nremier âge-, secondez-nous dans l’éducation de vos enianU. » Un ami de l’humanité, un sage dont la F ra n c e » b o u o rj et qoi. v & rt dan. vos mnrs, fonda de. prix pour la vertu; eh! bieti, « aidez-nous ici à créer le mérite qui les obtient; que son exemple . ne soit pas stérile pour ses coropriote», et que cette J " '. fut celle du meilleur des homme», soit aussi celle des bous parents • eidesbonsécoliers... •

1,’assemblée n’applaodit pas; mais elle est émue. Ici pas d» mu-

siqite, pas de concert, le sentiment tient heu de tonl.Le»; petits enfant» étaieut attentifs, leur» mobiles et Hautes ii-

gnrea se contenaient en ce monjettt e t se réydtaient d une craintedévolieuse devant la gravité des pqrponttages- , ,

Doux ange» do la terre, qm f l’enlrèo de la yio ne vondraielil eoiniaitre que l’innocence do leurs jepx, que le baiser de leur utero et à qui il faut apprendre les misèrea de l’entant qm piécodeut lespeines de ühomme. , . . . x .

L’instituteur fait l’appel de» éçpflers qui ont bien mérité, e t ctta- cnn d’eux, le» bra» croisés, le front rayonuaut, vient d un pas timide recevoir le prix, la couronne, dont la possession I étonne et dont le triamjihe l’embarrasse. .

C’était sftim eot chose intéiessantq a voir que tontes ce» petites et joyeuses tète» d’enfants, cai;roiuiécs do roses, de feuillage, et se n^laul dans la fouie qui les applaudit, comme des fleurs dan» une moisson, et cette assemblée do parents qui, aii sortir de l éghso ou ils ont prié lo même père, venaient sou» ces tilleuls et devant ce mémo pasteur, s’attendrir, an premier triomphe de leurs enfant».

Après la distribution, ou se reiulit au presbytère. Cette maison de l’homme de flieu s’élève sur là montagne comme pour les besoin» du ciel-, son jardin.s’incline sur la cdle pour les besoins do la tel re; 011 y voit la roche, emblème du travail, le berceâu du bréviaire, le banc du mendiant, le cep qui produit le vio de là messe et le carré peur les légumes du pauvre. , » . ,»

Le cnifi heureux et content convia les autorités a un modeste repas préparé par sa bonne e | . pieuse sœur : je n’ai qu’un désir, disait-il à ses paroissiens, c’estdd vous servir, de vivre et mourir an milieu de vous. Tout à coup Hn bruit de lamlniur, des excla­mations joyeuses sé font entendre : c’étaient de» habitants de la commune; ils porUieut un bouquet, nu complimriit, et venaient l’offrira M. Dalitan, leur maire, eu le riniêrciment du pavage^ de leur rue (*). Heureuses, disais-je. le» communes où les pasteors s oc­cupent de l’iustiuction de» cnfauts, le» maire» des iiitéièts, du bienètre .les ciioycus, e t dont les habitants savent rcconnaîtro le dévonemeut qn’on leur porte et k bien qu’on lenr fait.

La commune de Moiithyon gardera' longtemps le souvenir de cette cérémonie; pnisse-t«lle, en se renonvellant, entretenir une douce fraternité de» ccpnrs chez les parents et nue heureuse émulationchez les enfants!' _

Victor Ovraov de Dammai tiii[') La eue Saint-George, de Munlhjou.

dence. Il n’y a qn’nn coup do sang (apoplexie) qni puisse trompe; toutes les prévisions, et encore itoiis consélllons aux tempéraments sanguins, apoplectiques, de lie jamais prendfodo bsins trop froid» et de ne jamais nager en plein soleil ; c’eat ainsi qu’ils éviteront presque è cOüi[l’s û r l’apoplexie foddrodXntè; '

(bi a attribué beatiCO'Op'de inalhelira àdea herbes qu’on disait

cftl vrai, le» mouvemeiii»; ma» ai uu tacnvrc » Mwnuua oni las caase oii iw leà fail gtisiek* av«e la tMln; pour ticla ilo e ttu t

' que du sang-froid, s i ; an Contraire, lorsqu’on »o sent pris'pâr uu neolbre où sé met à te débaitfé é l à faire déa 'moiivemeou détor- <iAnéii(«i AA dhniM sea forèses: liant 'ta fra?abr ou'ràtpifé' oendtiit

8 a i ]

tile. la rrayniir aagiDeiiie, e i rou t cTanQuii; »|w «mtioie la |du|>arl du lempt. Parmi let'berbet que l'on rencontre daut r«an. il y en a braucoap dont let grandèi feuille* rnbanéM tout ;______ I_koam.1. _.B:Éaam m.os .âtdU immiamhénidM dui «diamanti ean, il y en a nrauconp uoni ica graimca ichiiiv» ——^ rf iie t sur leurs bords de pelilct aspérité* irâiichante* qui eniameiit quelqoefoit estez profondément la prauo 'Lè meillené moyeu de le*éviter consiste à nager aur le dos pour patoerpardet^Df . ^ - '

Il y a quèlqurt rivièretoùplütieorècoaniiitéaecondairesfoniiéot I té Kiicontrant des iourbinouéi]iiidi'ii^dtiafoH drdel'eao tont

ce qui nage à ta aarfàce.'Si'rbn' a aliprtché^pir m ^k^de d*an 'do cet tourbillon* et qu*on se tente eniratùé iriolmnmeiit' par le cou­rant, il faut te laistèr aller à riirtpultion de reOp. car elle ne voua ebiraîiié que'pour vous rejeter plup loin, e t loriqo'én'Ce aent déjà en dehors du courants on fait'quelques brataeaédergiqne* et Ion s*eb Cfti bientôt éloigné. . i - ■.

E ntra it dn mànttel Jet baigneurs.

- m.’Ui^ ’» j vil 4».

I M M K iM• ' <' lî)

foea ta VlMUo o. ’liqi ■

la Sfll' ’ •'..t; /

-. ; u'j>v ijMtia,

CONSEIL A TOUT LE MONDE.

C ^ m e lle «lua M niciictirèo

Ou dit. et noua tommes de cet avis, qu’‘aujourd*liui dépenser le plus d’argent possible, c’est faire acte de civisme. Eu effet, puisque l’industrie.est aux abois, par la faiite ées;citoyens.qui. ot|tfOafi.q|tô jusqu’à présent de confiance'dans lé. nouvel ordre dechosèa (ou pourrait peut être dire, le désonlre des chose»), i) j pereft. 3 ^*te que ces mêmes citoyens, mtipienant que- |vOU .reapirp, i^él’ér^ut jeur faute, «n reprenant Içur iraio _jdeîVie.pnli*»|re{ que les aina^uf s dq

1 «êtemeiilt de prix ,de riches aroeufaleménls, de ^qiptueux éqiii- ^ pages, recommencent à se livrer .à leufa^jôts dispeudienz. afin que

let travailleurs en profilent: Il faut que la galléreviPime faire sau­ter les boncbons d’Aî. De la joie, ines amis! Vive I» joh*! Et foin des soucis politiques! Ecoutez ce que dit Montaigne : « La plus ex-

. 1________ I- aanm mcansiIftSAilAA é

ancnn fondement. Lorsqu oii veut te naigncr oans i eau truiuc, n faut allemlre trois ou quatre brjircs après un repas, et oo jamais se mettre à l’rao tant ^u’on es; en soeur; il pourrait en lésuller^de grave, accideul». Imrsqnela iranspiration est bien arrêtée et qu on commence à sentir le froid de l’air, on s’y plonge brusquement, afin d’éviter la sensation pénible qne l’on éprouve dau» la légton du cœur si l’on entre dans l’eaii lentement. Il ne faut jamais se bai­gner dan» un endroit inconnu, à moins de savoir fort bien nager. En général, il est bon de choisir on fond de sable fin qui vienne en s’élevant peu à peu sur le rivtgé, et toujours éviter le» endroit» où le» berges sont à pic, parce que les courouts y sont ordiouiromAt très-rapides, et qit’il est très dilficile d’aborder. On doit aussi ne ja­mais nager dan» le» environs d’uii courant trop violent, parce qo’on peut ê tre entrafné. et qne s’il «o rencontre sur son passage un ba­teau, un tiÙin de bois ou un monliti, on courrait les plus ^ u d » dangers. Loraqu’uu nageur péiil, c’e«t ordinairement jiar impra-

que 720-votai o’nvioMt |n a lé

de leprs UffairIeài«;;j»'jflùns"e poliuqné sb' fài re a w b le ià qn

a'Tèot'jfèli) a doH'èIvré,!!

An reste, si éUèt' dé'mtmc

' bUtUitèholké ' Toiéi'Ie 'riitH

f ll ynèàit'32

Niwéireén:UC9 nvuvim |fW»e»»»j»»»'*»o ma».»»..—~ W• presse marque de la sagesse, c’est une esiouissauce constante^

Arrière doue t'inqmélude et la morosité. Mn.a.v .v .......... - ___ Meiious CI» pràttquecelte seiilence de La Bruyère :

Il fau t rire avaui d’êiçe heurciu, de peur de m ounr fans avoirri. • -

E t d’ailleurs, comme tiont le chanltons, un mois, je c rou , avant la révolution de février, sur l’a ir de ÿ Angelot s

MM.Faavfelleftls, Odéat, . . . Cttiltoarg, . Vvnxiis, . .Pd}KM«{giéiTarqàecflBe

«L’hooime let-lu « t tta paMAiil,Qni, pusé, JàBMte ne réputé. Qacdetîenl, oà «a te pucaatr Toat ce qoe l’oé uic, c’u t q«*il paàee- MsU, peiaqee •» ee u o^de, peweel, I,*lM«aM piaié peint w repène ; Preneat le phUîr, eu pueent.De peer qtt*«illf«#e o« ae e*en puM'

Ge*..(leôze C l i r a ^ , oot été

l^ ipajorité doplycici 1erMM.deleBMite.

deJt«Try,. Ddeeoar,!

Ae i*repricC«irê-G<rren|,Â^(WIU.

Annonces Judiciaires.A u t . i " .

GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS (OISE.)

AvisAux Créancier* présumé* du sieur jBiti*Mxait

I9ANTET. marchand boulanger, demeurani à GouYieux. _ _ _ _Les créancier* présuiué* do *ieur Naniet tna-

iioinmé, déclaré en état de faillite par jugement du iribnnal de Sentit, en date du vingt juin 1848, sont invité» à »e irouvrr le samedi douze août IH48, heure de midi, en la chambre du conseil dudit tribunal, sise à Senlit, au Palais de Justice, pour y donner leur avis, tant sur la compotilion de l’é i t t des créancier» que sur la nomination d’un ou de plusieurs syndic* définitifs de la faillite, en cxéculiou de I article 462 du code de -cOiDinerce.

Senli», le vingt-sept juillet 1848.Le joge^com m ittaire de la fttiih ie

Signé Daussy.Euregittré à St^nlis, le viugt-sepl juillet 1848.

Ilccü un franc dix centimes, dixième compris.Si|pné BotiaxvAL.

Pour insertioopL e greffier.

Signé Boueux*.

la faillite, le samedi dix-neuf août prochain, heure de midi, eu la chambre du conseil du tribunal de Seul», a u P .l.i» de Jiulice, él sera coutiuuée sans interruption.

Les affirmations seront i^çues immédistemeul. A Senli*, le 24 juillet 1848.

L$ greffier du tribunal, SiguéBoocaxa.

Enregistré à Senli*. le vingt-six juillet 1848, 146, V* c. 7. Reçu un frauo dix ceuitmes,

dixième compris.Signé BomixvAi..

Pour üiaeriton.Le greffier du tribunaU

Signé Boueux*.

Ar t . a .<;REFFE d u TRIBUNAL DE SENLIS (OISE.)

AvisAux Cïéancirrs présumés do sieur Ei.oi-Cosux-

Rixtit DUCÛS, maître «birpentier, demeurant à Chantilly, failli.

A r t . 3 .GREFFE DU TRIBUNAL DE SENLIS (OISE.)'

'IzCS créauciers pfésumé* do sieur Ducos sus* nommé, déclaré eu éial de faillite, sont invités à se présenter en personne on par fondé de pouvoir dans le éélai de vingt jours, outre le délai de dis­tance,: à H. André Aubert, propriétaire, demeu­rant à Senli*, rue de Beaovais, syndic définitif de la faillite, et de loi remetire leurs titres de créance*.accompagné* d’un bordereau indicatif des somihes ^clamée*, si mieux n’aimeul en faire le dépôt 8 0 givffe du tribunal de Senli*.

La vérification de* créance* commencer* de­vant M. Bexout, juge suppléantv commi«aire de

Avi*Aux Créancier* présumé* du sieur Emmanl'Xl

IDIÉTRÉ, marcbaud fqrjfin, demeurant à Boran,

‘‘ Lés créanciers préspméa du sieur Détré sus nommé, dêclarj& en état de faillite, sont invités a se préséntèr en personne on par fondé dp pouvoir dans le délai de xUigl joors, eulre le déUi de dis- unce, à MM. André A o l ^ . j^ropriétaire, demeu ranl à Sm lis, è l Bellepfer Miperet, négociauU, demeorahtt à Paris, me SMUt:Marisn. u** IÛ4 e< 108, syndics défioitifa de ladite faillite, et de leur remettre leurs titre* de créances, accompa­gnés d’on bordereau indicatif .des sommes técla mées, ri mieux n’aiment en faire lo dépôt an greffe do tribunal de Senlis.

La vérifieatioR des créances commencera devant M. D aabry, juge-commissaire de lë faillite, le lundi viiigl-el-un août prochain, heure de midi, en la chambre du çonseH du tribunal de Senlis, au Palais de Justice, et Sera continué* sans interruption.

Les affirmations seront r r ^ e a immédiatemeal.A Senlis, le 24 juillet 1848.

t e greffier du tribunal. Signé Boocxxa.

Euregistré à Senlis, le vingt-six juillet 1841, t* 146, V* c. 5» Reçu on m n e dik cenlim*^ dixième compris. Signé Borxxval.

Pour insertion.Le greffier du tribunal.

Signé BoocRta.

A r t . 4-Etiiile de M" FRÉMY. avoué à Senlis (Oise.)

nnümE n StPIUIIOl DE UEI8.

Dstfoy,. . 7 pSàSlLpè

Ces onze cit cipsl.nGoux qni 01

quincaillier, 2 Gagny, 136; I BonqniUéni 81

D’iin expiloît du ministère dé Hémet, huissier à Chantilly, en date du vingt-huit juillet 1848, eu- régistré.

Il appert :Que madame &ifnnetle-Joséphitie-Armanua

Piaiot b*Azy. épouse de M- Laurent-Bcrnard-Hip- polyte Isnard, fabricant de papier^ avec lequel «Ile demeure à Chaotilly, ladite dame dûment au- , torisée à cet rlTel par ordounsnc* de H* le Prési­dent du ii'Uiutial civil de Senlis, en date du vingt? buildudit mois de juillet, aossi'cnregistrée,* formé contre,son mari et contre M. André AUlwr.i, pro­priétaire, ancien huissier, demeurant à Senlis, Sgissaitl au nom et comme syndic définitif de la faillite dudit sieur Isnard, une deipand* *n sépa­ration de biehs, e t que M* Tliéôphile Fréroy, avé'dé près ledit irlbunal civil de Senlis, y demeu- ¥1111, *rAè Neuvebdc-Paria, II* 13, a été conslitiié par ladite dame Dnard, jmur occuper sur la de­mande donj s’agil.

Senlis,1é vingt-neuf juillet 1848.' Signé FaéitT.

Enregistré à Senlis, lè èingt-TOuf juillet 1848.Reçu uufrauo dix centimes, dixième compris»

Signé SoimsvAL. Pour insertion.

Signé Faéuv. ■

îiaiitane^t.Lefèvre (Louisè-l^,iyée).Bigard (Paolfiie-Anqa.j

M a m g et, ;Gauchct (touissChârlea-Prançois) et Tremblay

(Jeaoue-Margiifrjte-Çarqljpe), ypuve ytémipcx.

— La disir demoiselles,'4 lieu dan* leur

Celle de Te: Le 18 dû iii

exameù desét

>—On ROtaa

P I I B ) Ü À 1 0 I O ^ M A R IA G E S .Entre le sieur L^fori (P ieir^lfsi'iu-V ictor),

employé à Paris, rûé Si-Honore, d* 353; et d«-Viupiwjl» • M »» »»»'moisellé Balossier (C la ri^ ) , bordeuse de souliers à Senlis.

Boire le sieur S|>ère (Victor-Emesi). tonnelier à Senlis; etdemg|s«lle Mabou (Victorîue-Msrtiiie), ouvrière en rcibe* a'Seulif.ouvrière en roue» a oeuiif. , , |

Entre le sieur Glffart (Henri-François), char­pentier à SenlUt et demiûsege P«rccval (Modesto- Gécilr). dosaesiique à Senlis.»

Entre le sieur Sarraule (Jean-Pierre), domesti­que à'Sèuli»; yi'demoisçlto Deaprez'(Josëphlue- Rotè^. repasScUsb à Senlis. . '

P R I X D U P A I N .à «omptSr da jeaiil sy juillet.

rla'jdi s’appdie ijiiyMé

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