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TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

NATIONALE

pas de compte à demander àqui que ce soit. C'est commecela que fonctionnent toutesles sociétés, qu'elles soientmobiles ou non, dans notrechère et belle patrie, l'or del'humanité. Toutes les sociétésde consommation nous dé-pouillent, nous volent, noustruandent, nous escroquent…avec la bénédiction, pour ainsidire, la complicité de ceux-làqui devaient en principe nousprotéger. Où allons-nous ?

Ce réquisitoire n'est nulle-ment commandé par quel-qu'un contre qui que ce soit.Car, somme toute, en matièrede téléphonie, qu'elle soit mo-bile ou non, c'est-à-dire, quece soit Moov, Togocel ouTogotélécom, c'est mêmes pi-pes, mêmes dégâts. Elles nousont tel lement truandés quenous n'arrivons même plus ànous énerver, craignant demourir prématurément. Il n'estplus un secret pour personnesi nous disons que dans notresous-région, c'est seulementau Togo, par exemple, quelorsque le délai de votre créditest passé, la société de télé-phonie qui vous alimente sepermet d'annuler le créditdans votre portable. Le com-ble, c'est que certaines socié-tés, après l'avoir fait, se per-mettent finalement de vousbalancer un Sms sur votrecompte pour vous avertir quevotre "crédit est nul". Provoca-tion, cela s'appelle !

Au Bénin et au Ghana àcôté - deux pays que les auto-rités de notre pays citent sou-vent lorsque ce qu'elles veu-lent dire les arrange - lorsquele délai de votre crédit estpassé, vous avez toujours lecrédit sur votre compte, maisvous ne pouvez plus l'utiliser.Vous êtes en réception d'ap-pel, et ne pouvez appeler quelorsque vous aurez rechargévotre compte pour pouvoir con-tinuer à appeler. Au Togo, c'esttout autre !

Une question nous vient àl'esprit. Pourquoi ce qui estpossible ailleurs ne peut jamaisl'être chez nous au Togo ?Sommes-nous des extra-ter-restres pour nous comportercomme des hommes à partentière ou entièrement à part? Nous avons eu à dénoncercela déjà. Non seulementMoov, Togocel ou Togotélécomrefusent toujours de nous

En plus de la cherté des coûts de communications au TogoRoublardise dans la téléphonie mobile

Au Togo, nous sommes bienpartis avec le vol, l'arnaque detous genres dans les commu-nications téléphoniques etplus spécialement dans la té-léphonie mobile. Point n'estbesoin de rappeler à quicon-que la manière dont les clientsde ces sociétés qui ont le mo-nopole de la communicationtéléphonique nous trai tentdans notre pays. Nous ne re-viendrons plus sur les cas quenous avons déjà dénoncésdans nos colonnes. Cepen-dant, un fait retient notre atten-tion et nous ne sommes pasloin de dire que c'est parceque c'est au Togo que ces con-neries de ces emmerdeurs quis'occupent de la communica-tion se perpétuent.

En effet, depuis près desept mois, les abonnés de lasociété Moov ont reçu un textopar lequel elle rassure que, àpartir de ce jour-là, c'est-à-diredepuis la semaine du 24 no-vembre 2013, elle ne va plusles voler. Le contenu du smsdisait simplement ceci : "Cherclient, vous pouvez désormaisréserver vos différents forfaitsMoov la veille pour en profiterle lendemain. Faites le en ta-pant *143*53*10#". Sansaucun accent, s'il vous plait.Comme si à Moov, ils n'ontaucune notion d'accent.

C'est cela ! Mot pour mot.Nous y avons cru crédulementet nous y avons laissé nos plu-mes. En effet, nous avonspensé que cette société étaitrevenue enfin à de meilleurssentiments pour comprendreses clients qu'elle a toujoursdépossédés de leurs biens, deleurs crédits. Hélas ! Ce quenous avions toujours redoutén'avait bougé d'un seul iota.Nous avions procédé à cetteopération bidon appelée pom-peusement forfait et les minu-tes que cette société nous avaitaccordées ont été encore ra-massées comme de par lepassé. Parfois même, lorsquevous faites le *143*53*5# ou*143*53*10#, vous avezd'abord 2 chances sur 10 pourbénéficier de ce forfait. Maisquand vous l'avez enfin, tâ-chez de consommer toutes vos5 ou 10 minutes acquisesavant 16 heures 59 minutes.Comme avant. Sinon, vousperdez tout ce que vous réser-vez pour la consommation lelendemain. Et vous n'aurez

écouter mais ensuite elles onttrouvé mieux : tromper avantde voler on te dira que c'est lemarketing commercial. Et c'estle cas de Moov Togo. Quant àTogotélécom, elle vous grillevotre carte Sim et quand vouspayez pour avoir une nouvellecarte, on vous annonce quevotre ancien crédit sur l'an-cienne carte est nul. C'est-à-dire 0 franc Cfa. Pire encore,on vous dit clairement que vo-tre ancien numéro est perduet que vous n'allez plus le ré-cupérer. Du coup vous payezun tout nouveau, on ne vousretourne pas votre ancien cré-dit qui était sur le numéro perduou dont la carte Sim est grillée.

Ailleurs encore, griller lacarte Sim est le sport favori deTogocel et d'Illico. Mais il fautreconnaitre que chez l'opéra-teur Moov Togo, les cartes Simne se grillent pas aussi facile-ment comme à Togocel et à Il-lico. Et la nouvelle trouvaille deTogotélécom pour siphonnerle crédit de ses abonnés à laclé nomade est très bien et elleest toute simple. La connexionest établie avec la clé surinternet. Mais juste après quel-ques secondes ou minutespour les plus chanceux, laconnexion reste établie maisle service internet ne marchepas. Pendant ce temps votrecrédit s'égrainera lentementmais sûrement suivant la du-rée de la connexion. Ici, nouspréférons passer sous silencela lenteur même de la con-nexion et son inexistencedans certaines localités mal-gré les publicités ronflantesqui sont diffusées abondam-ment sur les médias, marketingcommercial oblige. Même deslocalités situées à moins de 40Km de la Lomé n'ont pasl'internet sur la clé nomade.Nous faisons l'économie de laliste de ces localités.

Au finish, que ce soit àMoov, à Togocel ou àTogotélécom, ces boîtes-là nesont que spécialisés dans levol de leurs clients sous uneforme ou une autre. Le Togoest un pays particulier où toutest possible. Même l'impossi-ble ! Ailleurs, c'est l'Etat mêmequi prend la défense desclients ; chez nous au Togo,malgré les plaintes l'Etat resteinsensible aux souffrances deses populations. Complicitéoblige ! Habamé

Chaque mercredi matin, réclamezvotre exemplaire de Tingo-Tingo

Déjà trois cas de mort mys-térieuse dénoncés par la ré-daction de votre journal danscet hôtel, sans compter celui-ci. Vivement que le ministère dela sécurité qui est non loin decet hôtel renforce plus la sécu-rité dans ses environs pourque de tels cas ne se repro-duisent plus !!!

La Rédaction

ne comprend toujours pas lesilence de M. Kiki auprès de quinous avions voulu avoir plusd'informations. Loin de nousl' idée de le soupçonner decomplicité. Néanmoins on sedemande pourquoi il a préférécacher le cul sale de la damedans cette affaire puante. Demême, loin de nous l'idée desalir l'image de cette jeunestructure bancaire. Prière àtous les clients de bien vouloirvérifier l'état de leur argent quiaurait, par moments, été la ci-ble de la dame Lawson !

La Rédaction

Diamond Bank TogoNadia Lawson aurait détourné

seize millions de francs CFAson où el le croupit depuisquelques semaines. La ban-que aurait demandé unesomme de la part de la familleen remboursement, celle-ci apayé une partie de cette cau-tion, mais leur fille demeure endétention.

La dame Lawson Nadia,en effet, une patronne de laboite, aurait créé depuis uncertain temps un compte fictifvers lequel elle transféreraitrégulièrement de l'argent de-puis les comptes des clients.Mais à son grand étonnementson acte fut découvert, cequ'elle est en train de payeramèrement. Mais depuis-là, on

Dans les colonnes de no-tre dernière parution, nousavions annoncé un problèmequi se pose au sein de la struc-ture Diamond Bank Togo, avecrendez-vous sûr dans cette pa-rution pour vous donner d'am-ples informations sur cettemorbide affaire qui secoue lajeune banque. Et comme pro-mis, voici le nœud du pro-blème.

Il s'agit, en effet, d'une af-faire de détournement defonds au sein de cette struc-ture. Une dame au nom deLawson Nadia aurait volé unesomme de seize millions de nosfrancs, ce qui lui a coûté la pri-

Insécurité grandissante et galopante au sein et aux environsde l'ancien Hôtel de la PaixMort mystérieuse de M. Sambiani

dans l'une des chambres de l'hôteltel. C'était la semaine passée.Il s'agit, en effet, d'un certainM. Sambiani qui fut retrouvémort dans sa chambre. Lecorps fut amené à la morguepar un certain Kodjo qui s'estnommé Sambiani : SambianiKodjo. Voilà le nom que la per-sonne avait laissé avant dequitter la morgue sans aucuneautre indication. Depuis là, onse demande si un Sambianipeut se prénommer Kodjo !

La paix, nous l'avons tousvoulue et nous la voulons tous,raison même pour laquel lel'hôtel, qui fut jadis un lieu tou-ristique, fut nommé " la Paix ".Néanmoins, i l est clairaujourd'hui que la paix ne rè-gne plus dans ces lieux, unepaix qui a donné place à uneinsécurité galopante et gran-dissante de jour en jour.

Encore une dépouille mor-telle dans les locaux de l'hô-

rite pas du tout ce titre là. Au lieude montrer le bon exemple entant que pasteur, il tend plutôt àdévoiler sa vraie personnalité,en faisant l'ange chez sa femmeet le loup ravisseur de l'autrecôté. C'est donc un véritablejoueur de pile ou face, augrand dam de sa femme. On sedemande si ce monsieur peutencore se tenir devant ces fi-dèles pour leur enseigner onne sait quoi. En fait qui trompequi ?

Nous garderons l'œil surcet homme sans scrupule, etnotre rédaction se charge d'yrevenir dans nos prochainesparutions. Othniel

Homme de Dieu ou du diableUn pasteur amateur de l'alcool et des femmes

cadre pour notre fameux pas-teur non pour évangéliser ladame du bar, mais plutôt pourlui faire la cour. Tout cela à l'insude la femme dudit pasteur.Comme quoi, le pasteur sait lebon moment et la belle occa-sion pour jouer le tour à safemme. Pour la femme, à sonabsence le mari est sensé restédans leur boutique pour veillersur la bonne marche de tout.

Comment peut-on imaginerun homme de Dieu aller jusqu'àtromper sa propre femme et cesans aucun scrupule. C'estcertainement un pasteur quis'amuse avec le titre qu'il porte.Un homme de Dieu qui ne mé-

On ne le dirait jamais assez,fais ce que tu dois et advienneque pourra. C'est là une véritéincontournable de la vie. Nom-breux sont ceux qui se disentquelque chose, mais en réalitécela ne se fait pas voir dans lapratique.

Lorsque nous entrons dansle monde de la religion, unmonde très sensible ou lesâmes faibles sont souvent prisen tenaille. Et nombreux sontd'ailleurs ces pasteurs, pro-phètes et apôtres qui aimentjouer sur la vigilance de leursfidèles. Puisqu'en réalité cesderniers mettent leur totale con-fiance en eux.

Cet homme de Dieu dontnous taisons pour le moment lenom aime jouer à la fois pile etface à son épouse. C'est-à-direse comportant comme un angeen présence de sa femme et unloup en l'absence de cette der-nière. En effet, c'est une opéra-tion qui se déroule au mêmeendroit. Le bar en face de laboutique de Madame sert de

TINGO-TINGODirecteur de Publication: Augustin AssioboAdresse: Ablogamé N°1 BP: 1999 Lomé-Togo

Tel. (228) 90 04 22 41 E-mail: [email protected]

Récépissé N° 0027 du 30 juillet 1998Tirage: 2500 expl. Imp: TINGO-TINGO Tel. 90 04 22 41 (Lomé-Togo)

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TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

Tragique disparition d'Essohanam Adewui et en attendant l'autopsie des corps

Accident ou assassinat ?Triste et étonnante fin que

celle de Essohanam Adewui,ambassadeur du Togo au Ga-bon, qui est mort noyé dansune automobile de sa missiondiplomatique qui a plongédans l'eau du Komo, le samedi10 mars 2014, à Michelle Ma-rine, un débarcadère de plai-sance de Libreville d'où par-tent des yachts et des vedet-tes pour des randonnées ma-rines dans les sites touristi-ques des parcs de Pongara etde Wonga-Wongé

Le diplomate n'était pour-tant pas sur cet ersatz de ma-rina afin d'embarquer pour laPointe-Denis, mais plutôt pourle "203", le night-club de l'en-droit, où il était venu passer dubon temps. Si les services duministère gabonais des Affai-res étrangères se sont mon-trés avares d'informations surce drame, de nombreux rive-rains du quartier Glass et di-vers témoins de l'opérationd'émersion de la voiture sou-tiennent que le diplomate a étéretrouvé avec une jeunedame. Celle-ci serait la filled'un magistrat gabonais.

Selon des sources policiè-res, SE Essohanam Adewuiqui, en début de soirée, étaitprésent à la célébration de lajournée de l'Europe, a étéaperçu en fin de soirée dansun restaurant de Louis, lequartier des agapes à Libre-ville, en compagnie de quel-ques personnes présentéescomme ses compatriotes. Il seserait rendu au night-club le"203", tard dans la nuit. Lesmêmes sources policières es-timent que l'accident se seraitproduit aux environs de 4 heu-res. Ce qui amène à déplorerl'arrivée tardive des secours.Car, les dépouilles mortellesn'ont été sorties de l'eau qu'enfin de matinée et ont été récep-tionnées à la Société gabo-naise de sépultures(Gabosep) aux alentours de12h30. On croyait pourtant

que les services spéciaux tien-nent à l'œil les diplomates af-fectés au Gabon.

Pour l'heure, l'hypothèse laplus plausible est qu'en étatd'ébriété avancé, l'ambassa-deur se serait trompé de routeet aurait dirigé le petit 4X4 qu'ilconduisait sur la voie cimen-tée aménagée sur le quai pourque les remorqueurs puissentdescendre dans l'eau en vued'en sort ir les bateaux. Etcomme, tout le monde l'ima-gine, la pression de l'eau a dûempêcher les occupants de lavoiture d'en ouvrir les portiè-res. L'endroit qui n'a que trèsrarement été récuré, selon lesriverains, est fort glissant etcause souvent des problèmesaux porte-bateaux qui n'ydescendent que reliés à desvoitures avec de grossesamarres. On n'en est qu'auxhypothèses, en attendant lesrésultats d'une enquête qui aété ouverte et dont les premiè-res pistes devraient être com-muniquées très prochaine-ment.

Plus triste dans cette his-toire, selon des sources diplo-matiques, SE EssohanamAdewui venait d'être frappépar le décès de sa sœur et sonépouse avait quitté Librevilleà cet effet tandis que lui-mêmedevait rejoindre Lomé dans lajournée où sa dépouille mor-telle a été repêchée.

Marié et père d'un enfant,selon des sources de la com-munauté togolaise du Gabon,SE Essohanam Adewui étaitpassé par l'Ecole nationaled'administration d'Alger avant

d'effectuer des études de scien-ces politiques à l'université deRennes. Depuis 2010, il étaitambassadeur extraordinaireet plénipotentiaire de son paysau Gabon. Il meurt dans sa 58èannée.

La thèse de l'ébriété auvolant

Un véhicule est repêché del'eau avec à son bord deuxpassagers noyés. Et parcequ'on dit les avoir aperçusquelques heures avant dansun night club, on se pressed'avancer, sans aucun indiceconcordant, que le conducteurdu véhicule, en état d'ébriétéavancé, se serait trompé deroute pour finir sa course dansla mer. Comme si quand onrentre dans une boîte de nuit,on en sort forcément ivre àmourir.

Et si donc le supposé "étatd'ébriété avancé" indexée estsimplement motivé par le faitque les victimes sortaient d'unnight-club, alors c'est qu'on atout faux, car une petite en-quête dans l'entourage del'Ambassadeur infirme cettethèse : le monsieur avait radi-calement rompu avec l'alcooldepuis plus de deux ans déjà,quand il lui a été révélé dansun bilan médical, des problè-mes hépatiques. M. Adéwui,même pour les solennités, neprenait que du jus de fruit etde l'eau minérale.

On se demande commentsubitement cette nuit-là, l'Am-bassadeur ait pu craquer, poursombrer dans l'alcool, au mé-pris de son rang et de sa santé,au point de ne plus reconnaî-

tre sa route. De toute façon, lenight-club d'où il sortait n'estpas fermé et le gérant pourraitrenseigner sur le nombre debouteilles de whisky qu' ilaurait éventuellement bu. Etune police responsable atten-drait de dérouler une enquête,avant d'avancer quoi que cesoit. En dernier recours, seuleune initiative de l'Etat togolais,pourrait bien élucider les cau-ses de la mort de son diplo-mate.

Comment expliquer, enoutre, qu'à cette aube, puis-qu'il sonnait déjà 4 heures,aucun autre usager de la routeou riverain n'ait pu percevoirla scène, pour que les secoursne soient intervenus qu'en finde matinée ? Et qui les a enfinalertés ? Tout est décrit en toutevraisemblance comme si l'ac-cident se soit produit inco-gnito. De là à penser que levéhicule ait pu être coulé à cetendroit par des malfaiteurs,avec ses passagers à bord

mort ou vif, il n'y a qu'un pas.La thèse d'un crime

crapuleuxDes témoins de l'opération

de secours affirment que lescorps des deux vict imesavaient été retrouvés curieu-sement à l'arrière du véhiculerepêché. L'Ambassadeur enétat d'ébriété avancée, auraitmanqué de réflexe et de luci-dité pour réaliser à temps qu'iln'était pas sur sa voie, mais ildébordait de force pour arri-ver à se mouvoir une fois dansl'eau, pour se retrouver avecsa prétendue maîtresse à l'ar-rière du véhicule.

Et ses supposés amis avecqui ils seraient allés en boîte,qui sont-ils? Où étaient-ils aumoment du drame et que di-sent-ils ? Aussi fortuitementque cela apparaisse, tout celaest arrivé le week-end mêmeoù son épouse et son fils avecqui il réside au Gabon se sontabsentés : le fils avait fait uncrochet à Dakar avant de re-

joindre sa mère qui est rentréeun jour plus tôt au Togo, délé-guée par son mari, pour pren-dre part aux obsèques d'unmembre de la famille.

M. Adéwui au Gabon, n'avaitpas, en réalité, que des amisqui l'invitaient en soirées tellesque la dernière qui s'est sol-dée par un drame, comme onveut le faire croire. Son adhé-sion à certaines nobles initiati-ves sur le sol gabonais était denature à déplaire à ceux qui yvoyaient une menace pourleurs intérêts. Il était, en effet,l'un des parrains attitrés d'uneassociation luttant contre laservitude des jeunes f illesqu'on débarque au Gabon pardes réseaux illicites pour destravaux ménagers et qui finis-sent dans l'abime. Il s'y était for-tement engagé, dans la me-sure où nombre de jeunesfilles togolaises mordent à cesaventures qui tournent à unesclave moderne qui ne dit passon nom. Cela reste entreautres une piste à explorer.

Il apparait à l'évidence, queles circonstances de la mort del'Ambassadeur EssohanamAdéwui au Gabon, restent àêtre élucidées au-delà de l'hy-pothèse flottante de l'accident,distillée un peu trop tôt. L'Etatgabonais se doit la manifesta-tion de la vérité, à travers uneenquête minutieuse à laquelledevrait être associée une ex-pertise togolaise, ce dans l'in-térêt de l'amitié légendaire quiexiste entre ces deux Etats.

Source: Gabonreview.com

Feu Essohanam Adewui

en application de cette nouvellemesure, les premiers à donnerle bon exemple. Malheureuse-ment, ce n'est pas le cas au re-gard de ce que nous observonsavec les forces en charge de"l'opération araignée". A l'issued'une petite enquête que nousavions réalisée dans le cadrede cet article, nous avions toutsimplement remarqué que bonnombre des occupants des dif-férents véhicules en circulationne prennent pas la peine demettre leur ceinture de sécurité.Une attitude sans doute toutaussi irresponsable qui n'estpas un bon exemple pour lesautres citoyens.

Vivement que les autoritésen charge de l'application deces mesures passent à la vitessesupérieure pour qu'à jamais,ces désobéissances ne restentplus impunies, quelle que soitla personne fautive. La vie dechacun doit être préservée partous les moyens.

A bon entendeurManu Chau

Sécurité routière/ Malgré le port de casque rendu obligatoireEncore des "hors la loi" sur nos routes

gers de la route choisissent defaçon délibérée de ne pasporter des casques. Il n'est pasrare, ces derniers temps decroiser en circulation, certainsusagers qui, quand bien mêmedétenteurs de casque, choisis-sent de les accrocher à leurchassis. C'est d'ailleurs et mal-heureusement la nouvelletrouvaille à Lomé. Malheureu-sement nous avions été témoinde la fin tragique de certainsde ces usagers. D'autres, parcontre, décident de tenir entreleurs mains les casques sansles porter au moment même oùcelui qui les transporte a soncasque bien en place. Des at-titudes tout simplement irres-ponsables qui mettent en dan-ger leur vie quels que soientles arguments que les uns etles autres avancent pour sejustifier.

Même les gendarmes s'ymettent…

Si on devait tenir compte deleur place dans notre société,les forces de l'ordre doiventêtre, dans le cadre de la mise

Vraiment les habitudes ontla vie dure dans ce pays. Il vousen souvient que depuis quel-ques mois déjà et, dans l'opti-que de sauver des vies sur nosroutes, les autorités politiquesont rendu obligatoire le port decasque et de ceinture de sécu-rité sans oublier l'interdictionde parler au téléphone pourtous les usagers de la route.Une mesure qui, depuis sonapplication, a commencé pardonner des résultats satisfai-sants. Beaucoup de nos com-patriotes, usagers de la route,ont adopté cette nouvelle atti-tude, gage d'une chance desurvivre suite aux éventuelscas d'accident. La route n'étantjamais une assurance-vie, cesusagers ont vite compris l'im-portance de cette mesure pourleur vie. Malheureusement, ilen reste encore qui tardent àse mettre dans les rangs.

Une attitude délibérée…Au regard de certains com-

portements auxquels nous as-sistons sur nos routes, il est vrai-semblables que certains usa-

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TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

NATIONALEAtelier

Validation des rapports-bilan de la miseen œuvre de la SCAPE pour l'année 2013

pondant aux cinq axes de laSCAPE, produits après consul-tations des acteurs ministérielset institutions. Plus spécifique-ment, les participants se penche-ront à obtenir un consensus surl'état de la mise en œuvre dechaque axe, présentant l'étatdes réalisations physiques et fi-nancières, les indicateurs deperformance acquise et le bi-lan des réalisations. La syn-thèse de ces cinq rapports-bi-lan, assortie d'une matrice derecommandations permettrad'effectuer la revue annuelleconjointe de la SCAPE en juilletprochain

Le directeur de cabinet,représentant le ministre de laplanification, du développe-ment et de l'aménagement du

Un atelier, le premier d'unesérie de rencontres qui pren-nent fin le 23 du mois en cours,a été ouvert le lundi dernier envue de procéder à la validationdes rapports-bilan par axe dela première année de mise enœuvre de la Stratégie de crois-sance accélérée et de promo-tion de l'emploi (SCAPE).Celle-ci a été lancée l'année dernièrepar le gouvernement soucieuxd'améliorer les conditions de viedes populations.La SCAPE a pu faire des réali-sations tangibles dans les sec-teurs de l'agriculture, du com-merce de l'industrie, des mineset de l'artisanat entre autres. Atravers, ces ateliers, il s'agitd'examiner et de valider cinqrapports intermédiaires corres-

de l'enseignement techniquerépartis sur 155 centres d'écrits,avec les épreuves écrites quivont leur ouvrir la porte du BacII l'année prochaine. Le minis-tre des enseignements primaireet secondaire Yao FlorentBadjam Maganawé a effectuédes visites dans certains centresd'écrits de Lomé. Il faut rappelerque le Togo demeure l'un despays de la sous-région exceptéle Sénégal à continuer par ef-fectuer cet examen bizarre qui

Communément appelé Pro-batoire, le baccalauréat pre-mière partie a débuté depuislundi sur toute l'étendue du ter-ritoire national, par les épreu-ves facultatives des candidatsde l'enseignement technique.Les épreuves obligatoires ontcommencé tant pour eux quepour l'enseignement général cemardi et c'est parti pour durerquatre jours. Pas moins de46406 de l'enseignement géné-ral et 14214 pour les candidats

Togbui ODJIMA Kalipé IV, Chefcanton de la ville de Vogan ;Togbui ABIDI Kalénou l, Chef can-ton d'Afangnan Kpenou ;Mme AKAKPO Djatougbe, Prési-dent de l'associationAKOUETEVIWO de Vo-Hangbankoé ;AKOUETE AYINA Joseph, Menui-sier à Lomé Bé Gbégnédji ;ASSIOBO Agossou Nestor, Entre-preneur à Lomé ;ASSIOBO Augustin, Directeur duJournal Tingo Tingo à Lomé ;AKOUETE ATAH Théophile, Elec-tricien bâtiment à Lomé ;TOGBOSSI Kokou, Directeur desSociétés ŒIL D'AFRIC SARL etFlash Production à Lomé ;Eglise des Assemblés de Dieu duTOGO, Temple de la Victoire deHédzranawoé à LoméLa famille AKOUETE de Vo-HangbakoeLa famille BADASSOU de Vo-SevaganLes familles parentes et alliées etamies;

Profondément touchées des nom-breuses marques de sympathies etd'affection que vous leur avez té-moignées lors du décès de leur trèscher et regretté

Avis de décès

Georges Agbadji AKOUETEEx-employé de bureau de CTMB

et OTP, Ancien Diacre etSecrétaire des Eglise des

Assemblées de Dieu, Temple dela Victoire Décédé le 06 mai

2014 à l'âge de 59ans

Programme des ObsèquesVendredi 23 Mai 2014 :20H à l'aube : Veillée de prières etde chants au domicile du défunt àVo-HangbakoéSamedi 24 Mai 2014 :06H00: Chapelle ardente10H00: Culte d'enterrement au do-micile du défunt suivi de l'enterre-ment au cimetière familial.12H30: Les salutations d’usagesseront reçues dans la maisonmortuaire13H30 : Sortie de DeuilMaison mortuaire : Maison FeuAKOUETE AZANLEKO à Vogan -Hangbakoé

en réalité ne sert plus de filtre àla porte du Bac II. Des gens ontdemandé avec moult raison pourqu'on supprime cette conneried'examen en vain. Puisqu'il per-met à certaines autorités de fairedes sous, sans même bouger deleur bureau froid. Même si cer-tains croient que c'est lui quidonne la qualité reconnue ànotre Bac II à l'extérieur de no-tre pays.

Il ne nous reste qu'à souhai-ter, cependant, une bonnechance à tous nos candidats.

Othniel

les que les vagues de chaleur,les inondations et les sécheres-ses.

" Au Togo, la variation cons-tatée des paramètres climati-ques est à l'origine de nombreu-ses maladies vectorielles commele paludisme, affection qui cons-titue la première cause de con-sultation, l'onchocercose, etd'autres maladies d'origine hy-drique telles que le choléra, lesmaladies des voies respiratoi-res, les méningites ainsi que lamalnutrition chez les enfants demoins de 5 ans dans certainesrégions vulnérables ", a-t-il dé-claré.

Pour le Premier ministre, leschangements climatiques sontun phénomène qui vise à privertotalement l'homme de ses droitsles plus indispensables tels quele droit à l'habitat, le droit à lanourriture, le droit à l'épanouis-sement et au divertissement.

Face à ce défi mondial,Arthème Ahoomey Zunu a ap-pelé à une mobilisation interna-tionale de façon harmonisée etavec une vision commune pourparer à l'évolution inquiétantedu phénomène.

Changements climatiquesRelever le défi mondial

L'Assemblée annuelle del'Organisation mondiale de laSanté s'est ouverte lundi à Ge-nève. Plus de 3000 déléguéssont présents. Au cours descinq prochains jours, des repré-sentants de haut niveau des194 États Membres de l'OMSdébattront des principalesquestions de santé mondiale etprendront notamment des déci-sions sur les efforts visant à pré-venir et combattre les maladiesnon transmissibles telles que lediabète, les cardiopathies, lescancers et les pneumopathieschroniques.

La réunion annuelle devraitannoncer une nouvelle straté-gie mondiale et les cibles à at-teindre pour lutter contre la tu-berculose. Des proposit ionsseront faites pour améliorer lasanté des patients atteints d'unehépatite virale et les moyens àmettre en œuvre pour combat-tre la résistance aux médica-ments antimicrobiens.

Les délégués se pencherontaussi sur les progrès de la ré-forme entreprise par l'Organisa-tion.

Le thème central choisi cetteannée est 'Santé et environne-ment'.

Les changements climati-ques constituent une nouvellemenace importante pour la santépublique. La variabilité du cli-mat et son réchauffement sontcause de décès et de maladiesà travers les catastrophes natu-relles qu'elles entraînent - tel-

territoire, au nom de celui-ci s'estdit confiant, qu'au terme de l'ate-lier en plénière et en commission,les participants disposeront d'unrapport consensuel, reflétant cequi a été réalisé durant l'annéeécoulée au titre de l'axe1 de laSCAPE.

L'ensemble des activitésde suivi-évaluation de la SCAPEest appuyé par le volet 1 du se-cond Projet d'appui institutionnel(PAI 2) financé par l'Union euro-péenne et mis en œuvre à tra-vers le Programme des nationsunies pour le développement(PNUD) et le ministère de la pla-nification, du développementet de l'aménagement du territoire.

Céphas Le Vert.

clès planant sur la tête de tousles Africains et que ceux-ci endehors de l'indigence et desmaladies qui les frappent, ilsseront obligés de compter aurang de leurs maux cette sectesanguinaire. Par conséquent,il est du devoir des chefs d'Etatdes pays d'Afrique de conju-guer leurs efforts afin d'élimi-ner cette calamité cancérigènequ'est Boko Haram. Dans cetteoptique, la sortie médiatiquede l'ambassadeur du Nigériaau Togo, M. Adoli, en 2012, doitêtre saluée. En effet, il y a unpeu plus de deux ans, ce der-nier, face à la presse, avaitsonné le tocsin pour que le casde cette secte islamiste quironge la partie boréale de sonpays soit pris au sérieux auTogo. Des rencontres de cegenre devraient être imitéespartout en Afrique afin quel'opinion puisse être sensibili-sée sur la menace dange-reuse de Boko Haram et queles pouvoirs publics prennentles mesures draconiennespour son sabordage.

Céphas Laré Le Vert.

Terrorisme et kidnappingLa CFU dit non au rapt des filles nigérianes par

Boko Haram à travers une messe chrétiennea organisé une messe au petitséminaire de Tokoin à Lomé.But de la manœuvre : joindresa voix aux autres en faveurdes otages. Mme RaymondaKayi Lawson, la numéro 1 dela CFU, au sortir de ce culte,tout envahie par l'émotion alaissé entendre que son ini-tiative est motivée par l'espritde compassion et de solida-rité pour la cause de ces en-fants arrachées de l'autoritéparentale. Elle a vivementsouhaité leur retour chez el-les.

On ne le dira jamais assez,Boko Haram est un virus mor-tel redoutable. Les dernièresinformations circulant dans lapresse internationale font étatde ce qu'il a des relations étroi-tes avec l'Aq Aïda au Maghrebislamique (Aqmi), cet autregroupe terroriste qui fait par-ler la poudre et fait couler sau-vagement à flot le sang en Al-gérie et dans le reste de l'Afri-que du Nord. Si ces liens avecles djihadjistes d'Algérie sontvraiment avérés, il faut recon-naître que Boko Haram de-viendrait une épée de Damo-

Dans une de nos livraisonsde l'année dernière, nous at-tirions l'attention de la commu-nauté nationale et internatio-nale sur le caractère on nepeut plus dangereux de lasecte islamiste du Nigéria,Boko Haram qui veut dire "lacivilisation occidentale est unpéché". L'article qui portait surce groupe de hors-la loi étaitpassé quelque peu inaperçu.Aujourd'hui, les actes bestiauxque cette entité nuisible conti-nue à poser nous renforcentdans notre conviction qu'elleconstitue un cancer pour toutel'Afrique de l'ouest commenous l'écrivions et qu'elle doitêtre combattue par tous lesmoyens et sabordée .

Il y a un mois, ces terro-ristes qui se font appelés BokoHaram et qui sévissent dans lapart ie septentrionale duNigéria ont kidnappé plu-sieurs dizaines de filles dansleurs établissements scolaires.Ces enlèvements de masse ontsuscité l'émoi dans le mondeentier. En Europe et aux Etats-Unis, des manifestations ontété organisées en vue de con-damner ce kidnapping igno-ble et demander la libérationde ces jeunes filles. La pre-mière dame du pays de l'On-cle Sam, Michelle Obama estpersonnellement montée aucréneau dans ce sens. LaConvention des femmes pourUnir (CFU), une organisationféminine soutenant le pouvoirtogolais, n'est pas restée enmarge de ces actions visant àramener les f illes enlevéesdans leurs familles respecti-ves. Le dimanche dernier, elle

Fin de l'année scolaire 2013-2014Le Bac 1 ouvre cahin-caha

le bal des examens officiels

d'une centaine de morts àAbuja, la capitale fédérale.C'est dire la préoccupation desdirigeants africains.

Le ministre togolais des Af-faires étrangères RobertDussey et le consul honorairedu Togo en Côte d'Ivoire,Ghassan Zarour, faisaient par-tie de la délégation.

Alassane Ouattara a reçu Faure Gnassingbé à Abidjanria même et dans les pays limi-trophes.

Au même moment, deux at-tentats à la bombe visaient unmarché très fréquenté de laville de Jos, dans le centre duNigeria.

En un mois, deux attentatsà la voiture piégée et revendi-qués par le groupe islamisteBoko Haram ont fait près

Mali et du Nigeria. Les islamis-tes maintiennent la pression etfont régner la terreur malgréles opérations de l'arméeépaulée par les Etats-Unis etdes spécialistes européens.

MM. Gnassingbé etOuattara ont souligné l'ur-gente nécessité de mettre unterme aux nuisances dugroupe Boko Haram au Nige-

Le président FaureGnassingbé a quitté Abidjanà 16hTU au terme d'une visitede quelques heures dans lacapitale ivoirienne où il s'estentretenu avec son homolo-gue Alassane Ouattara.

Les deux hommes ont évo-qué la coopération bilatéraleet les questions de sécurité. Ila notamment été question du

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TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

MESSAGE

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TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

MESSAGES

LOTERIE NATIONALE TOGOLAISE

BOURSES LONATO

Calendrier de paiement

Périodes des paiements des bourses* Fonds d’Equipement: dès la rentrée scolaire* Prime du 1er trimestre: en Décembre* Prime du 2ème trimestre: en Mars* Prime du 3ème trimestre: en JuinDurée de jouissance : deux (2) années scolaires

AVEC LA LONATOExcellente rentrée scolaireAvec la Lonato jouer petit pour un gros gain garanti

Avant Après

Types de bourses Fondsd’équipement

Prime du1er trimestre

Prime du2è trimestre

Prime du3è trimestre

Bourse pleine 30.000 15.000 15.000 15.000

Demi bourse 15.000 7.500 7.500 7.500

Quart de bourse 7.500 3.750 3.750 3.750

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7MESSAGES

TINGO-TINGO N°730 du 21 Mai 2014

Promu dans les années 1975 par SE Mgr Robert Casimir Dosseh-Anyron, le projet de Biblio-thèque Diocésaine Saint-Augustin n’a vu sa réalisation qu’en 2002. Espace de lecture et dedocumentation, la Bibliothèque s’offre à un public de prêtres, de séminaristes, et à toute per-sonne de bonne volonté, désireuse de se former et de s’informer y trouve son compte. C’est direque la BIDISA est accueillante à tous.

Sa gestion est confiée aux sœurs de Saint-Augustin dont la vocation est l’Evangélisation parle livre et les médias.

La Bibliothèque Saint-Augustin a donc été installée au Centre Christ Rédempteur (AncienneEcole Professionnelle) BROTHER HOME sur un espace de 400m2 et inaugurée le 30 juillet 2002par son Excellence Mgr Philippe Fanoko KPODZRO avec pour mission et objectifs :

·de constituer et mettre à disposition de tous les publics des collections de différents typesde documents à des fins d’information, d’éducation, de culture et de loisir ;

·d’offrir un accès à l’information sous toutes ses formes et favoriser son appropriation ;·d’être un espace public de rencontre, de confrontation d’idées et de débats citoyen entre

les générations et les communautés ;·de participer à la formation initiale et continue de tous les âges ;·de contribuer à la promotion et à la diffusion de la création culturelle nationale et interna-

tionale…Dix ans après sa création, nous pouvons inventorier de nombreuses réalisations de cette

œuvre diocésaine dont le patrimoine s’élevant actuellement à plus de 30.000 ouvrages, reli-gieux et de culture générale, et une salle de lecture aérée. Avec un personnel passionné etmotivé, la Bibliothèque Saint-Augustin (BIDISA) a nourri et continue de nourrir toute sorte depublic, fidèle à sa mission.

Les ateliers de lecture, d’écriture, de dessin, de culture numérique et de jeux éducatifs quenous proposons depuis quelques années ont imprimé un rythme à la vie de la Bibliothèquediocésaine Saint-Augustin qui connait un développement planifié. Les 21 mars de chaquedepuis 2009, nous organisons les «tams-tams pour la Paix et la Réconciliation au Togo» dansles sept diocèses afin de développer le sens du dialogue et la culture de paix chez les enfantsde 6 à 13 ans.

L’ouverture d’un espace numérique constitue une avancée majeure dans la vie de la Biblio-thèque. A travers cet espace numérique, les abonnés ont accès aux ordinateurs connectés àInternet pour faciliter les recherches, ceci pour réduire la fracture numérique existant entre lespays du Nord (pays développés) et les pays du Sud (pays en voie de développement).

La Bibliothèque Diocésaine Saint-Augustin,œuvre sociale de l’archidiocèse de Lomé,

sise à Brother Homé/ Assigamé

Heure d’ouverture: lundi à vendredi de 08h00 à 12h00 et 14h30 à 17h30/ Samedi 09h00 à 13h00Abonnement: Adulte- 2500f par an/ Etudiant et apprenti: 2000f par an/ Elèves: 1500f par anContact: 00228 22 36 58 30 / 22 21 22 77. mail: [email protected]

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