affionceb «fulclalres.bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_10_03_mrc.pdf•r kotat'...

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•r Kotat' ctoure enve rs. 1 Jours ro qui itinfé- Is ré- ursen irplus sur la otoLit- nblütte ivoc la sous. m pa$, daillet, vrn tUre .IS. iSaincdi â Octobre 10^ 7. Ri” >iO an iu 'c . A Si'iiiis U;.|f-I-I . .u n a i i . ' I 1. H r,,,,,. ; 0 M||t»*}#*irtr»!n.»' |R i, lui’Iol» l'‘ .'>i. 4 M M KJ«è»iliiraiM IOffS : .. >I f i u i i i i o . AffiONCEB «fUlClAlRES. un liiirK^ii lin Joiirn il, i iir ,| mh, ,,| — A f.ii |.v. i lii j. M lUT.nr, I,* i.v’- '-lisConiiirii-i. ;• M. {.rcKi.M.. niii i. n m.iiri'} — A l'n>'ii,:il.’i<:<nii|ni;ii Oiilr.iti:il'Aii' iiniM-i'ü, ‘i l , rn r <ln lu lUiur.n-; —Al'OMU'i' rnrrvs. ..... ilif JIAI. (.rmi ivii ri I/, r. N -Il -.l.s- V i i - l n i r r s , — AIn Muir.nn .IrCnia lr.j;!. I.r.nlv. l'i>isM>uii)iirrr, H ; — AAIU riui.iTM K u rl l'.ti'. ilim-lrili.« fir l'OlliiV rrntrulr i1r .!‘iii.lnsliir ri iiii ('.niniilrm-, rnr <ln r.-iiiininrij-Minilniirir.', Il" 3Hj — ri l'tir;. le. iilir.-iirr:. <1ii ilrjiarl. ■ÜMfa m ic Fleiify, â niiR. }0 fr. v: ‘i l|IIC lions )iiH les Ue- . On (leul us (le ruM- — Vkrte arjitii |iuri illüll |IOII- maritime. Ions. llKfi». 1.0 c s i i i ’o p i 'i û - r un regis- rcnscigne- 'Cii(li'o(t:nis insid'inlur. c«|uôioins, Mensiun. SKMilS. On ocril lie Sietn, le 30 scpiem iire, au JfonOCui- linhersd : i;Einpe««r a diilA Hier A la ori'ferlilre cl s’tïsl rOiliIO raulilc ail mlllcii Aûs accliimalioiis de II» Rmlc ; la ville on- liitc, édifices ptiliIkH cl maisons pai llciilicrcs, élail st»leii- ilideincrü navoiaèc cl illuminée. , . , c., .u .1 Vjst malin, h neuf heures. Sa M ajesii sw l t»K 'onc avec S. A. II. Je |»rin(M! Henry des Paysdlas. frère îîfcidellottandti, podry nas.Scrla réviW des Iroupcs < iî la division. Sa Majcslé a élè P.»; iflBlcs armes aux cris Unanimes dC Vil» Tlirti/we»»*. ré|H.- Ii^parla nopulalioiuiiiiscprcssaildaiis le» rue» claiiloür Un polygurttt. L’Empereur, accompagné de S. A. U. le prince Henry di^s Fays-Ba» Cl de» personne» foroposalit sou du général de Wcdel. hnVoyô liai* S. .M. W U.m de Fri Inlir le complihWÿilerj dU général Dolherg el des onicicr» •iLsanl partie de la inis.sloii priissieiinc. est monté a elieval co malin à neuf heures: Sa Màj.îslé a passé la revue de I» -ai iiison do Mêla. rJliliinaiijfe |»ar l« général Marey-Monge, roininandaiil la (V dlviitioii'. line foule iimiteasc, accoiindi des l*oin]s l«» l’Jî'« du dt'parlcmcnl, se pressall sur le passdgrt de I Rmpereiir el l’a salué des plus chaleunlusbs cl des plus eiitliüUsiasles acclaiiialionH. , , , , A midi, l’Empereur a pris congé de Soit Alles.sc iloyal». cl du général de Wcdel, cl s’Osl mis en nm lc imur le «ami» de ' *A Sil-i-M ousson. A Froiiard, à Ctînlméréy} il ^ llar-le-Duc. à VÜry-le-Français, rEnlpcreiir a iniiivé Ids Hinulalion» simnlanéiridul n’uiiiies pour le féliciter. Sa Ijjcsti a 414 fobjcl O’oiio ï4riiam e «rtalioii. , \ Eu arrivant à cinq heures à la gare du camp a Mourmc- Ion. l’Empereur a été rdçii par Id général conlld ll(îgn.iild le Saiiil-Jean-d’Angely, tous les généraux de division cl de iriaade venus pour l’escorter jiis(iu‘aU quartier impérial. S. A. le prince Joacliim Mural a quitté rEmpcrddr A McU pour Rc rendre & ilcrlin cl pdrter une lettre de Sa Majesté au IM de Prusse; diicllcs dh ne sâuràll rien préjügdr daas liii sens du daiis l’aiilre, pour |icii que l’on se rende compte des moyens dont disposent les révolté»comme leurs dominalimé». la» fbuilles,anglaises Boni remplies cc maliii d’hésitation. d'Iitccrtilllde». U Uorniny t*oxt dit mi’il laill cnvoyifr ddd renforts au général Havclock par.tqu» les moyens possibles ; car il faili idén sè nleltre ddiis l’idéd qdê, itilelqiie magiii- flqiics que soiént les conibals qu’il livre, ces .cojnbals lui enlèvent dos lionimes dont la perte lui csl sius.si fatale que peuvent l’élre se» victoires à reiincmi; sa position csl cxirémemeiit critiqué, et il im|>ortu au plus haut iHiini qH’it |iilis.sc continuer sa marche en avant. A. Esparbié.(Poi/#.) Une WUre particnlièni de î/nnircs, (lu 30 an soir, nous ..ausm el. an sujet des alfain^s de l’Inde, les réilsüignc- menOi suivants, (|iii éitiaiK'til (riiiic goilrt'Jl dl{tné dè fôii Nana-Saih <ist arrivé à l.iicknow dans les nrcniiers jours du mois d’août, il csl aujourd’hui maître de la ville et le commaiidaiil eu clief de l’armée d’Oiidc, Einin-Scb. s’est rangé sons son autorité. Li*» Anglais retirés tlaiis lu finie- resse de la ville sont assWgé.» par Nanu-Saîb Cii |féi-s(jniie. Il atuit couper les canaux qui citildiüseril A l:i (ût.i(l(ulc, ieseaiixdiHa rivière Uoutniy, et les iroinies anglaises se trouvaient rédiiit(^s aux plus dures (ixlnhilili';». Mmllcnrcii; sèm ent il h’est pas pixd»»hle (|u’eUe.s puis.sent être .sei^ouriiesa rinpit. car le giuiihuil Havd1tfr.k, A U dale ^ ^htraier*» loiivtdles, était bhppié dans tiawinldré. J. ltaralon.(/*(iy*.) On lit dans lu HimWat : | !.e goilvernemeiil de l’Emperénr a cru déVoir proîq^dr jns(|trau 30 septembre 1858 les mesures relatives aux den rées aliinciilaires. (à!s incsifres ont nu double caractère : elles r.oublcnl rim|>ortallnn de.s cunLitUs et en siispeiideut l’(^x|)ortation. I>!S faeilités tloiinécs A l’iinpoiialiuii ont paru nécessaire^ r ur atténuer une clierlé des sillisistanrès (jiie la abondaiire dç nos récoltes nous permet d.e ne re douter à aucun degré, mais pour as.siirer la complète liqui- — IX. MM. rEmperciir et l’Imiiératricc sont partis hier deux heures ÜA liiinule» pour se rendre au wunp de diàlüii». I.I.; MM., parties du palais de 9.inÉt-Uloud, sont arrivé(» A la gare du chemin de fer de l’Est, où un salon avait été préparé pour les rijcevoir. l.'EmiHsreur cl rlin|Mjrairicc ont été reçus a hmr ark (lia gare par Mi Fiélrit séiialcuri préfet dépolit^; M. le U rëii dlle rirt»iMmiHMrAliiütr,.aM < JtolbW«ttl( dtjcccjgtu: du mouvenicni. ,. , i» ,i«„ .i„ I.cur8 Majestés étaient acconipagnées de M. le d te de Monlelicllo, aide de camp de rEinj(ereur; de M. |« général Kletiry, aide de cam p de I Empereur; .de M. le comte r.ist hin delà Pagcrie, çlwmbellan de S. M. I Imptralricc; de AI h priiMXîssc d’I^Ilng el dé niildaine.la dlfehesse de Monte licllo. dames d’honncii*’ de rimin'îratrice. l.'Èmimreur, l’Inniéralricc et hs jMjrsonnages de teui siiite ont pris place dans le wagon-palais qui» cifiiduit par M. !iallo|)cilH, élicf du mouvement, s’est dirige A toute viles.sè vcre le cam p de CliAlons. . .. Icortège imi>érial, c.n traversant les,rites el tioilievai ts iHiur se rendre d ia gilrti du clicinin de fer, a r(-ne(»nln!sm- !:iin pas.sagoduc fouléilonibreus(}(|ui a m am rcstea l.L. .M.n. des témoignages de respect el de sympathie.- ICcl k- ;;ni|| tJnvKit un VIE Iæs minvclles des Imlcs sc sillveut. et se ressemlileiil. c’!-st-A-(hrc qu’en général, el m algré h» eflorls partiel» faits par les géiiéniiix anglais, le mouvement iusiirrectiomicl se îllaiiifestc tanlûidans un endroit; tantôt dans un aiitre.^t-e sont toujours des réglmenls qui se révollcllt el (pu di^armo après le» avoir décimés; c’est A Calciitt.Ti *'a H Uoinhay, comme A Madras, une agitation cl d(*s terreurs ipii itorteul à tout commerce, A tout mouvèipcnt social, iCs jiliH cruelles atteintes; cniln, cc sont des espéramuis chaipie onr (îonçues et détruites le lendemain pour renaître encore sur la noiivcllè de quelque marche hardie ou de quelque combat brillaul du général liavcloiik. Én r/sumiî, celle siluatinn» dont noii.s ne tard(ïrnu8 point sans (Imite A apprendre' lé term e, est de celles d’après le.- ximUicn), de I/i Neitvillc-Garnicr; cl la prime de 100 fr., A M: dertanx IThéi^lule); de Saint-Gernb'r. liH,prime (le 120 fr.;.el kv» deux secoiuks primi's de 90 frd accordée» anx pOuliclies, ont été il(iiin(!e.s A AIM. tb;- laim iyi propriéliiirè a É'ormerie; Vas.selle, d’Iléloluiisuil, cl Cidx,(Merrp-Aibéric), cnitivaleur A Frocoiirt. Ldjilry à bonslnl.é.unc amélioration reiisiblc dans.le» siijêt» présentés en plus grand iiôhtbreqile l’amiée dernière. P ar im|iorla- lion, nue sorte d’eng.igeinciil de la |Kirt du gouvernement. I»!S circonstances et les cours en détermineront le m.iinl|cii du la sitppréssiuii: HOini£LlES DÊP&RtËlGHf àlÉt. triiemiM Me fe r Me ijf compagnie (lii diemili de iTer du Nord vient de fairi! conimenccr les (’ludçs de la ligne de Farls A Sois.soiis, qui lui a été dcrnièremciil..(M»ij(^dée. La ligue de Soissoiis se déladtc (lé la Voie priricipâlcciilre La Idiapclle-Suinl-Ijenis, et tdMlic A la Cotir-NciivC sc dirigeant sur Sevron où une statHin doit être établie. ^ 0 entre d»n.s notre d(!partcm(?nl ppr. Eve; travcrec ou to iii^ 1csr«mmunesduM(miagny-Sainie-Félicilé,Versigny. l*ero|dc9( (iombrics, tirmoy, UressonsacJi, Crépy, Vaumoise cl Vjitlcienncs. Kilc aboutit, du lA, en drlior» du di’paiMc- mciâ»A Villcfs-Oitturets, et duVilierâ-l^olterels A rmis;;»!!». du reste, est simplement un av.mt-prujel que dtkSwdfiÿjmstérièuiics |>c(ivcnl modifier, î- ’T ii.i.iir i— ia llisélissiitns fréquentes, qui ont sniivcril (irHîéiiéré éll se sont éluvérs entre liw administrations locales et Irepropriélairds. s'ur la nafnrc des clu!iniu.s ruraux «pii ueRM lpas clas-sésdans la cahigorie des iigin;» vicinale.s. jurisprudence et la doctrine ont varié les droits res- b que le» propriétuire.s et lés coniintiiies sont A même tursurclièniins.runmanquegéiiéralemeutdedonii(^c.s es »iir la malière. la; inoinuut (ist opporlim pour en r un exposé complut, un jüsioriqiie (h’daillé c’c.st ce M* Vitard, diixa-.teiir du Cttidc Vicitidl, se propose de .dans la prochaine livraison de son utile recueil. Nous lis pas besoin (Je dire que M; Vitiird traitera la qiies- ruiié iiiauièré compétente. Tons ses lecleiire ont pu lier avec qiielle intelligénce et qncltc clarté il élucide les questions qui, de près ou de loin, intéressent lUure. I.IUVAIS. — laî nommé Iliitin (Félix-Ilenis), Agé du I», ouvrier rairdonnier, né el deinctiraiil A Ituauvais, Orenici>A-Sdl, avait quitté sou domicile , depuis lu i inoi» dernier. On nd s.ivail ce ([u’il élnit (h'Veuii. Le disparition, il était ivre; cl an dire de sa remmé, suireUvaildaus a n état, il était sujet A (|es attaqncis aui lé faUaioiit t(»mUor fréquemment. V m n'csl que ^JL t^ 'd. -««.M. An»t h R élévjrtilllC. Par ord(nmance du M: le garde des sWdux, niini.'îîrii Se crétaire d’Etat AU département de l.v justiia*, (Ui dale du !" sindemhrc dernier, M. Moisset, ' conseiller en la auir impériale d’Aïuieiis, a été nomiiié pour pré.sider hw assises du A' trimc.slrc de 1857, dans le départeiueul de roisc. ^ . Par décret impérial en date du 19 sepliinlhre 1857, le.s tarifs de.s droits de navigation (pli sont actuellement penuis A récluse d’Iwiiy et Sdr les canaux dii Saiul-lteiils, de Ma- nicampi de Saillt-tjuuiiliik latéral A rtlisu; sur I ttise calia- Hsée, ainsi que sur les caii.iiix de la Somiiie et des ArtUiii- ne.s, sont prerogé» jusqu’au 25 septembre 1858. V «n««U M M« p'MiilicflÉM ét Muj i in f cn<B iioO Itnlùru*. Le concours de pouliches el de jiiinents poulinières de rarrundissçmeiil de Ikaiivais. pivserit par l’arnhé de M. le Priîfid do rOisc, du 18 août dernier, a eu lieu le 31) siq»- tcmbru, dans une des cours de la prérecture, sous la prési dence de M. de Gasié. directeur des haras du dé|Hkt du llraiKiic, eu présunco de M. le Préfet. - 22 jument», suivies'do leurs produits^ ont (hé prisentues. Quatre de cca jilnieuts ont été mises liois (le «uiceuiv; et Itw priiiKM ont été dispulétîs par tu» (lix-huil aulr(;s. La pninlièré prime, de ‘idO fr., a été accordée A .M. Vas- solle, prepriélaire A llétoinénil; les deux si;(ion(le.s primes, de 1.59 fr., à MM. Gixlrlrd, cultivateur A Saiut-Germer, et Ih'cton, pr(q*riélaire A Songeons ; l(« Iroiif prim es, (le 125 f., A M.M. Gangéi m aire do Fay, Vasselle> et llüdiii (Félix-.Ma- çadM're dans le am rs.d’uaii qui longe la rûè (lii Moiilin-à- nliiile, A llcaiivais. tin ganaui meunier, chargé d’enlever avx'cuncroc les immondices amassées aux barrages du mou lin du sieiir ravënier, l’.i aperçu, el aussitôt il est allé aver tir le a>mnlis.salrê de police. Le docteur lloorgeois, appelé A const.'iler le décè.s, a déclaré que Ihilin s’(hail noyé cl ipi’il (tortait A la tiMjî la trace d’un coup. On suppose <piu cc coup provient de sa chute. (’.llANl'tLLÏ. — f'avoi-isées par un Unnps magniliqim, liisçoilrîfcs avaient jitliré iiiio grande aniueuce, moins con sidérable copeiidant tpie les coui-su.; du priulisiups. I.'élilo (il! monde parisien s’était donné remlez-vous sur la pelouse, lais rirlks toilettes aliondaient. Un gratiil liouibre de pur- soniiag(S de distinction v assistaient, parmi !esquellc.s on rciuAniuail M. le Pn’-fet d(5 l’Dise, parti le m ilin de beau- vais; M. le comte de Moi ny, M. le prince de t.roy, etc., etc., el les principaux meiulircs du Jodi(*y-('.Uib; M. de la llo- chettc (Iniiiiait. comme A l’ordinaire, le,signal du départ. L’intérél principal de la journée s'csl conrentré sur lu prix de lt),0(K)rr. olferl par l’Eiuiicreur, pour chevaux de 3 ans cl au-dessus, dè t.outc (ispt’ice ut de tout pays. Ciilli, apparlenaut au prlna; attire de lleaiivcau. . LtW’mniVi'L'Wbrmiii, prix l,OWM'r., poiir ,poulains de d(Uix ans, distance 800 mètres, gagné \m ‘ litflaijiiy, apjiar- tcuapt au baron Nalhanicl de llolhscliild. Srcoiid Criienuin. |irix 1 iODO fr.. pour pouliclias de *2 ans. distailrè 8Î)0 mètre.s, a été gagné par (loèlcllc, au pl‘iuce Marc de bcauveau. . , , D raiuwo Poule, [tr'm 500 fi*:, polir chevaux nés en 1855, distance du grand Crileriiim, gagné par Tonneirc, d(!s Indos, A M. llippolytc Mniiclmari. Prix dc,%/(v'c, 1,000 fr., nllbrl nar l'adminlstralirtn des haras pour chevaux de 3 ans el nii-(Je.s.Mu.s, distance un luiir, gagné par Giorniie, A M. Fasquel. Première Pmdc, 500 fr. ajeiifé A Une pnule 1,000 fr. rbaqiie, distance du grand Gritcrium, gagiié par ItubiHo, A M. Auguste Lupin. GOMPltlGNE. — La Cour ira décidément à Cnmpiègno en ocU»brc,-où tout sc prépare pour la recmoir. t:’est là (lue l’on veut encore supposer que se rendrait la reiné d'Au!ilei(u;re; mais le lait est du plus en plus iin|>robnlde ayciv la l(iuriiure grave que pr.'iineul le.> évéïiemunis de l'Iiide. —7 Le 28. au malin, la domc.siiiiiio de M. t .... négnciaid A t^ijjnpic^iie, .à votdn mv’M.re jilt .A »es junrs en sc Jvlanjl. dans la rivière d'Olsc, snr.le Coui-s.Le sieur PaviUaj-d, porte faix, eiilcudaul les cris de délrcs.se pnussé.s par les lémoin : de relié scene, se préeipiia à l’eau cl l’iil asse>; heureux pour rclirer saine cl sauve r(dle jeune (ille <|u’tni désc.sp<dr d’a-. iiiour avilit conduite A rolte limosle déioi'mimdion. CUEVEr.ŒUIl. — Un arciihml bien mallieiireiix doal h cause doit être allrib.uée A rimpriidence chï relui (|iii (mi .1 (’déla victime, c.sl arrivé s'ir le çliemin Vicinal de Urevta-oeir A th'oissy, dans i’après-niidi dit dim:inrhe27 seplumbre : Le siuiir François Dofrausiire.s, cantouiiim' à <:allleu^, était monté, sur une voilure chargée de »^ab!e, loi-stim;, ai-- rivé A l’endroit où le cheiiiin fornic mi euraissemetil. à «-u- viron qiiatrç kilomctn^s de U.i'evcco-iir, il pordit l’ctpiililiro et tomba si malhciireusemcul que la roue lui passa .sur lé corps. La inorl a élé iusi.mianéc. — Derrausurus était nu ouvrier estimé de s(;s clu'fs, il laissera ccrlaiiiumuiil des regrets cl il sera dinioile de le remplacer. DOMÉI.IEIIS. — Le vendredi 25 septembre a élé (‘xécu- t(ié une messe Cn tniisitpie daii.s t’cgiise, A rorcasion dë la fétn patronnlu. Los musiciens du pays, unis A ceux (le Grèveauur, sous la direction du M. Lacaillo. oïd exéçiu'é avec bcaiKump de précision cl d’ensemble,' <ks mmvêaiix d’harmonie qui méritaient d’étré goûlés par d(;s urti»t(^.‘ Nous ]H)uvnns dire A la loiiangu des musicieu.s cl .^iirtodl <hM>hnf<<yM’a p r è » p w r e t ’<éi d (l^ i ih r 9 whl *’ - il L.U Ulnv.im .t3 t» |>«ii .1 j ...... , favori (les parieurs français, a loiiglc.mns et courageuse- iilcnl disputé la mdmu A sou vaimpiuur d*t)utrc-Manchc. Ia! prix (i(!.s iiurài impiriitnjr, pour (dievaiix do 1 ans (1,000 fr., dislaaco -1,000 métros), a été gagné par.Viw liant degré de savoir. ETOfiV. — Ijs 30 sepleiuluv dernier, un tncenilic, d ml la-caii.se (^st inconnue, a éclaté d.ms celte com'itune cl a (mnsumé huit moules de blé, l'oriiiaiit un en.semidt; de 18,101) gerlms de b’Ié, cvaliu'Ts A 18,100 t’cantvs, app.-irlenaul au siinii'Véret. Les meiibs étaient adossées l’une (Contre l’:'utre i!l assurées A la Compu.jiiic tlu Soleil iioiir une somme (le 11,720 frano;. FONTE.N.W-TOUr.Y. — Lundi dernier, le feit a cnnsiinté la toiture d’une pelilu iiTaiso'u couverte cn chaume, appa.r- leuant au sieur Ihilard (Michel), eharpimtier, deimnirant à Fonleuay, ainsi qu'une )eirtie dit son moliiber. Lut inrcmlie a élé ocrasioiinné par riinprudcnce de son lits, (•nlaut de cinq ans, qui, en rabsencc de sus parents, prit des allu- m 'dtes cliiniiqiie.s cl allimia la paille dé son lil. La n;?Te aperçut U; feu du dehors cl acr.ourul. S(*s cilbrls pour l'é- tinndVe furonl inutiles. I.es voisins vinrent A son aide et Ms parvinrent A remlre nnilres. I.i perte est csl’xuée 000 f.i. La muison ut lu mobilier u’élaicnl point a.:suré.(. GEIthEliDY. — Chaque ,-;'nnée la vente dés poulains comnicm'e, dans r.-irrondisseiuciU de heanvais, [«ar laToire de Gerbm'oy, et l'on peut augurer du iiejubi-e (d du la «jua- tilé desjiuuius chevaux amènes A la foire de la Saint-Michel, ('c que sera pendant l'anlomue le coiilmerc('Jdes poulains, si on doit espérer eu rcncontrm- sur les chaidps de foire non-sculeiuenl itii grand nombre, lu.'ds encore de f irt jolis. I.a foire iiiarcliamlc aéiépcni animée; iif.iis en rc\anclie, ratrziaïaiBTO iT » (N- 30.) iES 8 m 9 fil) 8 21) 1) 15 8 jO » _ 8 Ofi - ‘iT a tT c , L e s Ü Â M E S d e T O iX l\E IW S. 0*<3 PrrMVtuv'e ' fS’u i l c l . ) , • — ElvnilA le malheur, mon colomd, reprit tristé’nmiil Gondriii; si yotis avie* paru au milieu de nous, cet enfant vivrait, cl j’aurai» pu allonger un.coup de sabre ail maiidil 'ïd c llamlicrl éiail plongé dans une niédilnlimi pro- barôlds qiïe la (Hirtd s'ouvril bruyairimeui, cl .Mrieihu^ p.v rtti, les cheveux (léifaits,- pâle, mais le visage inondé de larme». Elle avait idcuré, elle était sauvée. Si ta vie (Mail brisiîft, du moins, la raison était revcuiiu toute entière, lliic dl/iileiir |H)igu:iiite ♦cifail de déte'nïlinër une’ crise iier- veuse, mais l'ardente soif de la vengeance brûlait nu fond dû’ C(uur cl détail o’piW r une réaction subite; M"* de Toimuins revint bieulùl A elle. Rè' débarrasîttr dé .^a femme de chambre, imifose'l'silcnèc A’ sa uoilrri(XJ él aller coller son oreille A la porte du salon, fut i’alhfire d ihi moment. Elle savait (pie l’amitié prudente, ou si l’on veut J’airtiftir (IfiTîfcift (le M. de Itam hcrI, lui carlierall sans doute une partie de cc (pi’elle avait intérêt A savoir. Si un chas- sfc’ùr a dérofré S la lionne smp lionceau, ranmial revient dans son repaire, s’assied sur le seitil, cl aspirant les éina- nairmis nnMécs S l'Aîf qi/f lé frappF, l'dûl suè lé» Irares laiw(k:s sur le sable on dans le fourré du bois, il interrogé ... - .......- - su r le ràvis.<buir. t'a; cette voix .éonfUstf qfiî l'avait apitClé deux heures aii|e vaut ci (jn’ii jrlail m^gllgé d’é(»ulcr; A quoi licnl la vio? A (pioi tioni le imuhetft d’une lucre T — Dans le momcid (rfi je vous u|)pelni», (’.olouel, rqu il Goiidrin, lorsque je vpus Ri|iv.vis dti regard, M. du ion- noins, ivre de colère, M-.,dé 'Tonueinsdopl iin vertail 0 iii- siilicr fa miire, lira son épée, le dragon était en garile, cl avant qu’avec ma maudite jnnilic (il iitontra son gciiml )tiu- lihh je pusse mû jeter entre les combattants, le coup était forte... il n’a dit qii’iin mot, et rx; mût c’est : • ma mère! • Gondrin avait A peine achevé de preiiomxr ces derniercs voi/s avez (muliuiié votre course. . 4„ — ^h ! se dil-t'ffè' afcc am crtuuc.je u acimsc pas le a»m- nel mais s’il avait en le (uuiir d’une mère, aucun èrï, auciift bruit lïe lui airraiciil échappé, et II aurait àutrU fers Eugène. , . . . n , 1. •. lAM-squc Gondriii dit que le m eurtrier de sou fils I avait insultée, l’avait («ilomniuc, l’avait accusée de coirioitftr de- (T)' Vciiï U-, mimcrr» <lu Joilrunt li- 'i'î .li^inl.r.- ISr.li. I fuit allusion A des éxi'nèments qu’il dev'ait ignoriir. cé ne pouvait (’^lrc (pie par suite d’Utie révélation calomnieuse. VoiiA’ d’oû venait le coup. L.mtic était le prix du sang, el ('lie ro-'arda’l’amour d’Eugène piinr la jeune lllle foimue Un prétexte inventé par ié meurtrier pour ameiic.r un duel (loiil ou no pouvait pas dire la véritalile cause, t. vtait doiic p(Uir elle, iKuir clic seule, (pic sou fils avait lire l epee el (pi’il (hait lombé sous Ic-s coups d’un spadassin. Lnliii, jorK(|ii’elle cule'rulit ümidriii raïamter d’iiuo voix, émue que le (Icruiér mot (le son eiifiint avait été : Ma riière! ma mure! Adrièiinc no sc contint jihis, elle s’élança dans lu salon, se lu lilIlU |»iH IVI -|i,i M..... .. . ' ... cii'iir ; elle’ lié prononça pas un mol, el scs larmes recami- meurèrcht A couler . ..... Ilommc sc’nsibW et en mcinc lumps liabili*. le ndonul ne crut pas (let(rtr inlcrromore par un seul mot tu silciicc de relie iiièrê ainsi frappée. Il savait (|uc lc.s grandes doulcuis sont nincltt». . m: de llairibcrlr(îgVcllail de iKhru phis sons-lioulunanl. il aurait iMuiru ap'.*o( le meijrlriér cl il lui aurait fait payér do sa vie lès douleurs d’Adriciine. Meurtre pour muui lre, dç la cpusoJer lU il ne vil qu’un moyen d y parvenir, e était (lapi>elerpr(’;s (l’elle le jeune Maxinm. D’un signe du la main le colonel éloigna doue Gondrin, cl hii-mftiifc, srtu» craliufrc de laisser Adneimu sc rassasier de sa doifleiir. sortit ifrtmoment du salon noiir ér.rire. ainsi que mftis’l’aéülis déjA dit, au gouverneur de Foiit.i'incblcan. GII.VPITItE XII. ANTOINK KT M.MUKTTK. Le n’isullat (h;s soihbns et douloureuses réfirxions du M. de Uamhurl fut bien simple: il pensa, avee raison que la vio.deviendrait odieuse, ri )»i‘ul-rin‘ iinpossdili'. a M"" itr Tonnein», si (die était exposi’re A voir Jnnrnrllemenl h; m eurtrier de son lils, a si; croiser aVcc lui, et enfin, A ûtn: lu témoin forcé d'un mariage ipii, la vidlle, hii ('ùt élé iu- diri'érenl, et <pii mainlunant lui )>araitrait être le jirix du sang précieux (pii V(>nait d’être vei'sé. |.é grenadier Gondriii avait beau dire (juC Icsvhosi'ss’élaicnl passées loyalement, que le duel aVail élé ri'gulier, lu colonel s’obslin.dl A le ru- gnrdèr comnn; un assassinat ; si'ulciuail la iiai'veié du Gnn- (irin, trompé par les ap'pareni'cs, rèii’dr.iit bi preuve du crime impossible. l.n France vivait alors sous iin gouverne ment intelligent, mais absolu, .'uiqnul les preuves miirale.> snflisaient. ('t ici ci's preuves abomlaieid. .M. de Ilam bril résolut d'alh'r à Paris, de voir l’autoi'ité, do IHiisIrnirr. d’obtenir l’éloigumnont de .'Initial SairÙ-Léger, pout^élro pnrvieirdrail il mémo A le faire euh :.r dans uii irgimenl discipltuairi’, ce (|ui d ît iir.ancotip mieux valu el eût em pêché toute ccdlision eulru la ramille du 'roiinciascl lui. Le cofoncl prévoyait l’avonii’. M'”' de 'l’ouneins voudra su vdigër, se disait-il, cl ajeiiscr les mânes do son fils <|iii crient A sou oreille; maintenant même elle rcpail sus yeux d’im spectacle dont on nu peuf l'arrachur, cl (pii remplit son Ame (r.int:int de colère ipio dc..doul<'nr. Maxime va arrivée plein dés im‘mussdilimcns ; il n’aura de rcpii» nue loi-squ’il su sera rencontré l’épéu ;» la main avec cet cx-(iragou Martial, el l'adrt^fwé du ce spa- d.Vssin peut être fatale deux fois du suite A 'l'"’de Tonneius. Pierre enfin (il comiaisail Pierre', d savait du moins (|uellu élr(»ite amitié l’unissait à Adricauc),q’iurre enfin voudra tuer le ni()urtrier d'Eugène ou su faire tuer par lui. Dans le premier cas tout serait fiid, dans le second la posi tion dcvrondrail encore plus gr.avc : il f.iu! que cc Martial diRparais.so. Et le colonel partit pour Paris lu soir même. ( Lu xiiile fin proc/’irtûi iinnuro. ) Mabir tvcira

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Page 1: AffiONCEB «fUlClAlRES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_10_03_MRC.pdf•r Kotat' ctoure enve rs. 1 Jours ro qui itinfé- Is ré- ursen irplus sur la otoLit- nblütte

• rKotat'ctoureenve­

rs .1 Jours ro q u i itin fé - I s ré- u r s e n i rp lu s

s u r la otoLit- nblütte ivoc la sous.

m pa$, d a i l l e t , v r n t U r e

. I S .

iSaincdi â Octobre 10^7. Ri” >iO a n i u ' c .

A Si'iiiis

U;.|f-I-I

. . u n a i i . ' I 1. H r , , , , , . ; 0M||t»*}#*irtr»!n.»' |R i ,

lu i’Io l» l ' ‘ ‘.'>i. 4 M M K J « è » i l i i r a i M I O f f S :

.. > I f i u i i i i o .

AffiONCEB «fUlClAlRES.

un liiirK ii lin Joiirn i l , i iir , |m h, ,,| — A f.ii |.v. i lii j. M lUT.nr, I,* i.v’-'-lisConiiirii-i. ;• M. {.rcKi.M.. niii i. n

m.iiri'} — A l'n>'ii,:il.’i<:<nii|ni;ii Oiilr.iti:il'Aii' iiniM-i'ü, ‘i l , rnr <ln lu lUiur.n-; — A l'OMU'i' rnrrvs. ..... ilif JIAI. (.rmi ivii ri I / , r. N -Il -.l.s-V i i - l n i r r s , — A In Muir.nn .IrCnia lr.j;!. I.r.nlv. l'i>isM>uii)iirrr, H ; — AAIU riui.iTM K u r l l'.ti'. ilim-lrili.« fir l'OlliiV rrntrulr i1r .!‘iii.lnsliir ri iiii ('.niniilrm-, rn r <ln r.-iiiininrij-Minilniirir.', Il" 3Hj — ri l'tir;. le. iilir.-iirr:. <1ii ilrjiarl.

■ Ü M fa m

ic F le iify ,

â niiR.

’}0 f r .

v :‘i l|IIC lions )iiH le s U e- . O n (leul us (le ruM-

— Vk rte

a r j i t i i |iu r iillü ll |IOII-m a ritim e .

Io n s.

llK fi». 1.0c s i i i ’o p i'iû - r u n r e g is - r c n s c ig n e - 'Cii(li'o(t:nis in s id 'in lu r . c« |u ô io in s , M ensiun .

S K M ilS .

On o cril lie S ietn, le 3 0 sc p ie m iire , a u JfonOCui- l in h e r s d : i ;E in p e « « r a diilA H ier A la o r i 'f e r l i l r e c l s ’tïs l rOiliIO

rau lilc a il m lllc ii Aûs acc liim a lio iis d e II» Rmlc ; la v ille on- l iitc , éd ifices ptiliIkH c l m a iso n s p a i l lc iilic rc s , é l a i l st»leii- ilideincrü navo iaèc c l i llu m in é e . , . , c . , .u .1

Vjst m a lin , h n e u f h e u re s . Sa M a je s ii s w l t»K 'onc avec S . A. II . Je |»rin(M! H e n ry d e s P a y sd la s . f r è r e î î f c i d e l l o t t a n d t i , p o d r y n a s .S cr la réviW d e s I ro u p c s < iî la d ivision. S a M ajcslé a é lè P.»;iflBlcs a rm e s a u x c r i s U nan im es dC V il» T lirti/w e»»*. ré|H.- I i^ p a r la n o p u la l io iu i i i i s c p r c s s a i ld a i i s le» rue» c l a i i l o ü r Un polygurttt.

L’E m p ereu r, acco m p ag n é d e S . A. U . le p r in c e H en ry di^s Fays-Ba» Cl d e» p e rso n n e» fo ro p o sa lit so u du g énéral d e W cd e l. hnVoyô liai* S . .M. W U.m d e F r i Inlir le com plihW ÿilerj dU g é n é ra l D o lherg e l d e s o n ic ic r» •iLsanl p a r t ie d e la inis.sloii p r iis s ie iin c . e s t m o n té a elieval

co m alin à n e u f h e u re s : S a M àj.îs lé a p a s sé la re v u e d e I» -ai iiison d o M êla. r J l i l i in a i i j f e |»ar l« g é n é ra l M arey-M onge,ro in in an d a iil la (V dlviitioii'. •

lin e fou le i im ite a sc , a c c o iin d i d e s l*oin]s l«» l’Jî'« du d t 'p a r lc m c n l, s e p re s s a l l s u r le passdgrt d e I R m p e re iir el l’a s a lu é d e s p lu s c h a le u n lu sb s c l d e s p lu s e iitliüU siasles acclaiiialionH. „ , , , ,

A m id i, l’E m p e re u r a p r i s c o n g é d e Soit Alles.sc iloyal». c l du g é n é ra l d e W cd e l, c l s’Osl m is e n n m lc im u r le «ami» d e

' *A S i l - i - M o u s s o n . A F ro i ia rd , à C tînlm éréy} il ^ llar-le-D uc. à V Ü ry -le -F ran ça is , rE n lp c r e i i r a in i i iv é Ids Hinulalion» s im n lan é irid u l n ’u iiiie s p o u r le fé lic ite r . Sa I j j c s t i a 414 fo b jc l O’o iio ï 4 r i ia m e « rta lio ii. , \

Eu a r r iv a n t à c in q h e u re s à la g a r e d u c a m p a M o u rm c- Ion. l’E m p e re u r a é té rd ç ii p a r Id g é n é ra l co n lld ll(îgn .iild le S a iiil-Jean -d ’A ngely , to u s les g é n é ra u x d e d iv is io n c l d e iriaade v en u s p o u r l’e s c o r te r jiis ( iu ‘aU q u a r t i e r im p é r ia l .

S. A. le p r in c e Jo a c liim M u ra l a q u i t té r E m p c r d d r A McU p o u r Rc r e n d r e & i lc r lin c l p d r te r u n e le t t r e d e Sa Majesté a u I M d e P ru s se ;

d iic llc s d h n e s â u r à l l r ie n p ré jü g d r d a a s liii s e n s d u d a iis l’a i i l r e , p o u r |ic ii q u e l’o n s e re n d e co m p te d e s m oyens d o n t d isp o se n t les ré v o lté » c o m m e le u r s d o m in a lim é» .

l a » fb u ille s ,an g la ise s Boni re m p lie s c c m a lii i d ’h é s ita tio n . d 'I itc c r tillld e» . U U o rn in y t*oxt d i t m i’il l a i l l c nvoyifr ddd

re n fo r ts a u g é n é ra l H avclock p a r .tq u » le s m o y en s p o ssib le s ; c a r il fa ili id én s è n le l t r e d d iis l ’id éd q d ê , itile lq iie m ag iii- flq iics q u e s o ié n t le s c o n ib a ls q u ’il liv re , ces .co jnbals lui en lè v e n t d o s lio n im es d o n t la p e r te lu i c s l sius.si fa ta le q u e p e u v e n t l’é l r e se» v ic to ire s à r e i in c m i ; s a p o s itio n c s l c x iré m e m e iit c r i t iq u é , e t i l im |>ortu a u p lu s h a u t iHiini qH ’it |iilis.sc c o n t in u e r s a m a rc h e e n a v a n t . A. E sparb ié .(P o i/# .)

U n e W Ure p a r t ic n l iè n i d e î / n n i r c s , (lu 3 0 a n s o ir , nous . .a u s m e l . a n s u je t d e s alfa in^s d e l’In d e , le s réilsü ignc- m enOi su iv a n ts , ( |iii é itia iK 'til ( r i i i ic goilrt'Jl dl{tné d è fôii

N an a -S a ih <ist a r r iv é à l . iick n o w d a n s les n rc n iie rs jo u rs d u m o is d ’a o û t , il c s l a u jo u rd ’h u i m a î t r e d e la ville e t le c o m m a iid a iil e u c lie f d e l’a rm é e d ’O iidc , E in in -S cb . s ’est ra n g é so n s so n a u to r i té . Li*» A ng la is r e t i r é s t la iis lu f in ie - re s se d e la v ille so n t assWgé.» p a r N an u -S aîb Cii |féi-s(jniie. I l a t u i t c o u p e r le s c a n a u x q u i c itild iü se ril A l:i (ût.i(l(ulc, i e s e a i ix d iH a r iv iè r e U o u tn iy , e t les iro in ie s a n g la ise s se t ro u v a ie n t rédiiit(^s a u x p lu s d u re s (ixlnhilili';». M m llcnrcii; s è m e n t il h ’e s t p a s pixd»»hle ( |u ’eUe.s pu is.sent ê t r e .sei^ouriiesa

rinp it. c a r le giuiihuil Havd1tfr.k, A U d a le ^ ^h tra ie r* » loiivtdles, é ta i t b h p p ié d a n s t ia w in ld ré . J . ltaralon.(/*(iy*.)

O n li t d a n s lu H im W a t : |! .e g o ilv e rn e m e iil d e l’E m p e ré n r a c ru déV oir p ro îq ^ d r

jn s ( |t r a u 3 0 se p te m b re 1858 les m e s u re s re la tiv e s a u x d e n ­r é e s a li in c iila ire s .

(à!s in c s ifre s o n t n u d o u b le c a ra c tè r e : e lle s r.o u b lcn l rim |> o rta lln n de.s cunLitUs e t e n s iisp e iid eu t l’(^x |)ortation .

I>!S fae ilité s tlo iin écs A l ’iin p o iia liu ii o n t p a ru n écessa ire^

r u r a t té n u e r u n e c l ie r lé d e s s illis is ta n rè s (jiie la a b o n d a iire d ç n o s ré c o lte s n o u s p e rm e t d.e ne r e ­d o u te r à a u c u n d e g ré , m a is p o u r as .s iire r la co m p lè te l iq u i-

— I X . MM. rE m p e r c i i r e t l’Im iié r a tr ic c so n t p a r t i s h ie r deu x h e u re s ÜA liiin u le» p o u r s e r e n d re a u w u n p d e

d ià lü ii» . I.I.; M M ., p a r t ie s d u p a la is d e 9.inÉt-U loud, so n t a rrivé(» A la g a re d u c h e m in d e fe r d e l’E s t, o ù u n sa lo n avait é té p ré p a ré p o u r les r ijcev o ir.

l.'Em iH sreur c l r l in |M jra ir ic c o n t é té re ç u s a h m r a r k ( l ia g a re p a r Mi F ié l r i t s é i ia lc u r i p ré fe t d é p o l i t ^ ; M. le U r ë i i d l l e r ir t» iM m iH M r Aliiü tr , . a M < J to lbW «tt l ( dtjcccjgtu: du m o uven icn i. , . , i» ,i« „ .i„

I.cur8 M ajestés é ta ie n t a cc o n ip a g n é e s d e M. le d te de M onlelicllo, a id e d e c a m p d e r E in j( e r e u r ; d e M. |« g én é ra l Kletiry, a id e d e c a m p d e I E m p e re u r ; .de M. le c o m te r .is t h in d e là P a g c rie , ç lw m b e lla n d e S . M. I I m p t r a l r ic c ; d e AI h priiMXîssc d ’I ^ I l n g e l d é n iild a in e .la d lfeh esse d e M onte licllo. d a m e s d ’honncii*’ d e r im in 'îra tr ic e .

l . 'È m im re u r , l’In n ié r a lr ic c e t h s jM jrsonnages d e teu i siiite o n t p r is p la c e d a n s le w a g o n -p a la is qui» c ifiid u it p a r M. !iallo |)cilH , é lic f d u m o u v e m e n t, s ’e s t d ir ig e A to u te viles.sè v c re le c a m p d e CliAlons. . ..

Iaî co r tè g e im i>érial, c.n t r a v e r s a n t le s ,r i te s e l tio ilievai ts iHiur se r e n d re d i a g ilrti d u c lic in in d e fe r , a r(-ne(»nln!sm - !:iin pas.sagoduc fo u lé ilo n ib reu s(} ( |u i a m a m rc s te a l .L . .M.n. des tém o ig n ag es d e re sp e c t e l d e sym path ie .-

IC cl k- ;;ni|| tJn vK it un

VIE

Iæ s m invclles d e s Im lc s sc s il lv e u t. e t se re ssem lile iil. c’!-st-A-(hrc q u ’e n g é n é ra l, e l m a lg ré h » e flo rls p a r tie l» fa its par les g é iién iiix a n g la is , le m o u v e m e n t iu s iir re c tio m ic l se îllaiiifestc ta n lû id a n s u n e n d r o i t ; ta n tô t d a n s u n a iitre .^ t-e sont to u jo u rs d e s ré g lm e n ls q u i s e rév o llc llt e l (pu d i^a rm o a p rè s le» a v o ir d é c im é s ; c ’e s t A Calciitt.Ti *'a H U oinhay, c o m m e A M ad ras , u n e a g ita tio n c l d(*s te r r e u r s ipii i to r te u l à to u t c o m m e rc e , A to u t m o u v è ip c n t so c ia l , iCs jiliH c ru e lle s a t te in te s ; c n iln , c c s o n t d e s e sp é ram u is ch a ip ie on r ( îonçues e t d é t r u i te s le le n d e m a in p o u r r e n a î t r e e n co re

su r la no iivcllè d e q u e lq u e m a rc h e h a r d ie o u d e q u e lq u e com bat b r i l la u l d u g é n é ra l liav c lo iik .

Én r /su m iî, c e l le s ilu a tin n » d o n t noii.s ne ta rd ( ïrn u 8 p o in t sans (Imite A a p p re n d re ' lé te r m e , e s t d e ce lle s d ’a p rè s le.-

xim U icn), d e I / i N e itv illc -G arn ic r; c l la p r im e d e 100 f r . , A M: d e r ta n x IT héi^ lu le ); d e S a in t-G e rn b 'r .

l iH ,p rim e (le 120 f r .; .e l kv» d e u x s e c o iu k s p r im i's de 9 0 f rd a c co rd ée» a n x pO uliclies, o n t é té il(iiin(!e.s A AIM. tb;- la im iy i p ro p r ié l i i i r è a É 'o rm erie ; Vas.selle, d ’Ilé lo lu iisu il, c l C idx ,(M errp -A ibéric ), c n i tiv a le u r A F ro c o iir t.

L d j i l r y à b o n s ln l.é .u n c am é lio ra tio n re iis ib lc d a n s .le » s iijê t» p ré se n té s e n p lu s g ra n d iiô h tb re q ile l’am iée d e rn iè re .

Pa rim |io r la -

l io n , n u e s o r te d ’eng .ig e in c iil d e la |K irt d u g o u v e rn e m e n t. I»!S c irc o n s ta n c e s e t le s c o u rs e n d é te rm in e ro n t le m .iin l |c ii d u la sitp p réssiu ii:

HOini£LlES DÊP&RtËlGHf àlÉt.

triiem iM Me f e r Me

i j f c o m p ag n ie (lii d ie m ili d e iTer d u N o rd v ie n t d e fairi! co n im en cc r les (’lu d ç s d e la lig n e d e F a r ls A Sois.soiis, q u i lu i a é té dcrn ièrem ciil..(M »ij(^dée. L a lig u e d e Soisso iis se d é la d tc (lé la Voie p r i r ic ip â lc c ii lre La Id iapclle-S u in l-Ijen is, e t td M lic A la Cotir-NciivC sc d ir ig e a n t s u r S ev ro n o ù u n e sta tH in d o it ê t r e é ta b lie .

^ 0 e n t r e d»n.s n o tre d(!partcm (?nl p p r . E ve ; t ra v c re c ou t o i i i ^ 1csr«m m u n esd u M (m iag n y -S a in ie -F é lic ilé ,V ersig n y . l*ero|dc9( ( io m b r ic s , t irm o y , U ressonsacJi, C rép y , V aum oise c l V jitlcienncs. Kilc ab o u tit , d u lA, e n d r lio r» d u d i’paiM c- m ciâ»A V illc fs -O ittu re ts , e t duV ilie râ -l^o lte re ls A rmis;;»!!».

d u re s te , e s t s im p le m e n t u n a v .m t-p ru je l q u e d tk S w d fiÿ jm s té r iè u iic s |>c(ivcnl m od ifie r,

î- ’T i i . i. i i r i— ia

llisé lissiitn s f ré q u e n te s , q u i o n t sn iivcril (irHîéiiéré é ll se so n t é lu v é rs e n t r e liw a d m in is tra tio n s loca lese t I re p ro p r ié la ird s . s 'u r la n a fn rc d e s clu!iniu.s ru ra u x «pii u e R M lp a s c la s -sé sd an s la c ah ig o rie d e s iigin;» vicinale.s.

ju r is p ru d e n c e e t la d o c tr in e o n t v a r ié les d ro its re s - b q u e le» p ro p rié tu ire .s e t lé s con iin tiiies so n t A m êm etu rsu rc liè n iin s .ru n m a n q u e g é iié ra le m e u td e d o n ii(^ c .se s » iir la m a liè re . la ; in o in u u t (ist o p p o rlim p o u r e n r u n exposé co m p lu t, u n jü s io r iq iie (h’d a illé c ’c.st ce

M* V ita rd , diixa-.teiir d u C ttidc Vicitidl, se p ro p o se d e .d an s la p ro c h a in e liv ra iso n d e son u tile r ecu e il. N ous lis p a s b e so in (Je d ir e q u e M; V itiird t r a i te r a la qiies- r u i i é ii ia u iè ré co m p é ten te . T o n s s e s le c le iire o n t pu lie r avec q iie lle in te llig én ce e t q n c ltc c la r té il é lu c id e les q u es tio n s q u i , d e p rè s o u d e lo in , in té re s se n t lU ure.

I.IU V A IS. — la î nom m é I liitin (F é lix -Ilen is), Agé du I», o u v r ie r ra ird o n n ie r , n é e l d e in c tira ii l A Ituauvais,

Orenici>A-Sdl, a v a it q u i t té so u d o m ic ile , d e p u is lu i inoi» d e r n ie r . O n n d s .iv a il ce ([u’il é ln i t (h'Veuii. Le

d is p a r i t io n , il é ta i t iv r e ; c l a n d ir e d e s a rem m é , s u ir e U v a i ld a u s a n é t a t , il é ta i t s u je t A ( |e s a ttaqncis a u i l é faU aio iit t(»mUor f ré q u e m m e n t. Vm n 'c s l q u e^ J L t^ 'd. -««.M. An»t h R é l é v j r t i lllC.

P a r o rd (n m an ce d u M: le g a rd e d e s sW d u x , niini.'îîrii Se­c r é ta i r e d ’E ta t AU d é p a r te m e n t d e l.v justiia* , (Ui d a le d u ! " s in d e m h rc d e r n i e r , M. M o is s e t, ' c o n se ille r e n la a u i r im p é ria le d ’A ïu ieiis, a é té n o m iiié p o u r p ré .s id e r hw ass ise s d u A' tr im c .s lrc d e 1857 , d a n s le d é p a r te iu e u l d e r o i s c . ^ .

P a r d é c re t im p é ria l e n d a te d u 19 sep liin lh re 1857, le.s ta r i f s de.s d ro i ts d e n a v ig a tio n (p li so n t ac tu e lle m e n t p en u is A r é c lu s e d ’Iw iiy e t S d r les c a n a u x d ii S a iu l- l te ii ls , d e Ma- n ic a m p i d e S a illt- tju u iiliik la té r a l A r t l is u ; s u r I tt is e ca lia - H sée, a in s i q u e s u r les ca ii.iiix d e la S om iiie e t d e s ArtUiii- ne.s, so n t p re ro g é » ju s q u ’a u 25 s e p te m b re 1858.

V « n « « U M M« p'MiilicflÉM é t Mu j i i n f cn<B iio O Itn lù ru * .

L e c o n c o u rs d e p o u lich es e l d e j i i in e n ts p o u lin iè re s der a r ru n d is s ç m e ii l d e Ik a iiv a is . p iv s e r it p a r l’a r n h é d e M. le P riîfid d o rO isc , d u 18 a o û t d e rn ie r , a e u lieu le 31) siq»- tc m b ru , d a n s u n e d e s c o u rs d e la p ré re c tu re , so u s la p r é s i­d e n c e d e M. d e G as ié . d i r e c te u r d e s h a r a s d u dé|Hkt du llraiK iic, e u p ré su n co d e M. le P ré fe t.- 2 2 ju m e n t» , s u iv ie s 'd o le u rs p ro d u its^ o n t (hé p r is e n tu e s . Q u a tr e d e cca j i ln ie u ts o n t é té m ise s l io is (le « u ic e u iv ; e t Itw priiiKM o n t é té d isp u lé tîs p a r tu» (lix -h u il au lr( ;s .

L a p n in liè ré p r im e , d e ‘idO f r . , a é té a c c o rd é e A .M. Vas- so lle , p r e p r ié la i r e A llé to in é n i l ; les d e u x si;(ion(le.s p r im e s , d e 1.59 f r . , à MM. G ix lrlrd , c u l t iv a te u r A S a iu t-G e rm e r , e t Ih 'c to n , p r(q * rié la ire A S o n g eo n s ; l(« Iro iif p r im e s , ( le 125 f ., A M.M. G angéi m a ir e d o F ay , Vasselle> e t l lü d iii (Félix-.M a-

çadM 're d a n s le a m r s .d ’uaii q u i longe la rû è (lii M oiilin-à- n l i i i l e , A llc a iiv a is . t i n g a n a u i m e u n ie r , c h a rg é d ’e n lev e r av x 'cu n c ro c le s im m ond ices a m assées a u x b a r ra g e s d u m o u ­lin d u s ie i i r ravën ie r, l ’.i a p e rç u , e l a u ss itô t il e s t a llé a v e r ­t i r le a>m nlis.salrê d e po lice . Le d o c te u r llo o rg eo is , a p p e lé A const.'ile r le décè.s, a d é c la ré q u e Ih ilin s ’(hail noyé cl ipi’il ( to r ta it A la tiMjî la t ra c e d ’un co u p . On su p p o se <piu cc coup p ro v ie n t d e sa c h u te .

(’.l lA N l 'tL L Ï . — f'avoi-isées p a r u n U nnps m agn iliq im , liisçoilrîfcs a v a ie n t j i t l iré iiiio g ra n d e an iu e u c e , m o in s c o n ­s id é ra b le c o p e iid a n t tp ie le s coui-su.; d u p riu lis iups. I .'é lilo (il! m o n d e p a r is ie n s ’é ta it d o n n é rem lez-vous s u r la p e lo u se , lais r i r l k s to ile tte s a lio n d a ie n t. Un g ra tiil lio u ib re d e p u r- soniiag(S d e d is tin c tio n v a s s is ta ie n t, p a rm i !esquellc.s on rc iu A n iu a il M. le P n ’-fet d(5 l ’D ise, p a r ti le m il in d e b e a u - vais; M. le c o m te d e Moi n y , M. le p rin ce d e t .ro y , e tc ., e tc ., e l les p r in c ip a u x m e iu lirc s d u Jodi(*y-('.Uib; M. d e la llo- che ttc (In iiiia it. co m m e A l’o rd in a ir e , le ,s ig n a l d u d é p a r t . L’in té ré l p r in c ip a l d e la jo u rn é e s 'c s l c o n re n tré s u r lu p r ix de lt),0 (K )rr. o lfe r l p a r l’E iu iic re u r , p o u r ch ev au x d e 3 an s c l au -d e s su s , d è t.outc (ispt’ice u t d e to u t pays.

Ciilli, a p p a r le n a u t a u p r ln a ; a ttire d e llea iiv cau .. L tW ’m n iV i'L 'W b rm iii, p r ix l,O W M 'r., p o iir ,p o u la in s de

d(Uix a n s , d is ta n c e 800 m è tr e s , gagné \ m ‘ litflaijiiy, a p jia r - tc u a p t a u b a ro n N a lh a n ic l d e llo lh sc liild .

Srco iid C r iie n u in . |i r ix 1 iODO f r . . p o u r pou lic lias de *2 a n s . d is ta i l rè 8Î)0 m ètre .s, a é té g ag n é p a r (loèlcllc, a u p l‘iuce M arc d e b c a u v e a u . . , ,

D r a iu w o P ou le , [tr'm 500 fi*:, p o lir chev au x n és e n 1855, d is ta n c e d u g ra n d C r i le r i i im , g ag n é p a r T o n n e irc , d(!s In d o s , A M. llip p o ly tc M niiclm ari.

P r ix d c ,% /(v 'c , 1 ,000 f r . , n llb r l n a r l 'a d m in ls tra lir tn des h a r a s p o u r chev au x d e 3 a n s e l nii-(Je.s.Mu.s, d is ta n c e u n lu iir , g ag n é p a r G iorn iie , A M. F asq u e l.

P rem ière P m d c , 500 f r . a je iifé A Une p n u le 1 ,000 fr. r b a q iie , d is ta n c e d u g ra n d G ritc r iu m , gag iié p a r ItubiHo, A M. A u g u ste L u p in .

G O M PltlG N E. — L a C o u r i r a d éc id ém en t à C nm piègno e n ocU »brc,-où to u t sc p ré p a re p o u r la re c m o ir . t : ’e s t là (lue l’on v e u t en c o re s u p p o se r q u e se r e n d r a i t la re in é d 'A u!ile i(u ;re ; m a is le la it e s t d u p lu s en p lu s iin |>robnlde ayciv la l( iu r iiu re g ra v e q u e p r .'i in e u l le.> évé ïiem un is de l 'I i id e .

—7 Le 2 8 . a u m a lin , la dom c.siiiiiio d e M. t . . . . n égn c ia id A t^ijjnpic^iie, .à vo tdn mv’M.re j i l t .A »es ju n r s en s c Jvlanjl. d a n s la r iv iè re d 'O lsc , s n r .l e C oui-s.Le s ie u r PaviU aj-d, p o r te ­faix , e ii lc u d a u l les c r is d e délrcs.se pnussé.s p a r les lém o in : d e r e l ié sc e n e , se p ré e ip iia à l’eau cl l’iil asse>; h e u re u x p o u r r c l i r e r s a in e c l sa u v e r (d le je u n e (ille <|u’tni désc.sp<dr d ’a-. iiio u r av ilit c o n d u ite A ro lte lim osle dé io i'm im d io n .

C U EV Er.Œ U Il. — U n a rc iih m l b ien m a llie iire iix d o a l h ca u se d o it ê t r e a llrib .u ée A r im p r iid e n c e chï re lu i ( |iii (mi .1 (’d é la v ic tim e , c.sl a r r iv é s ' i r le çliem in Vicinal d e Urevta-oeir A th 'o issy , d a n s i’ap rè s -n iid i d it d im :in rh e 2 7 se p lu m b re :

L e s iu iir F ra n ç o is D ofrausiire.s, c an to u iiim ' à < :allleu^, é ta it m onté, s u r u n e v o ilu re c h a rg ée d e »^ab!e, loi-stim;, ai-- r iv é A l’e n d ro i t o ù le che iiiin fo rn ic m i eu ra is se m e til . à «-u- v iro n q i ia trç k ilom ctn^s d e U.i'evcco-iir, il p o rd it l’c tp iililiro e t to m b a s i m a lh c iire u se m c u l q u e la ro u e lu i passa .sur lé c o rp s . La in o r l a é lé iu s i.m ian éc . — D errausu rus é ta i t nu o u v r ie r e s tim é d e s(;s c lu 'fs , il la isse ra ccrla iiiu m u iil d e s re g re ts c l il s e r a d in io ile d e le rem p la c e r .

DO M ÉI.IEIIS . — Le v e n d re d i 25 se p te m b re a é lé (‘xécu- t(ié u n e m esse Cn tn iisitp ie daii.s t’cg iise , A ro rc a s io n d ë la fétn p a tro n n lu . Los m u s ic ien s d u p ay s , u n is A ceu x (le G rè v e a u u r , so u s la d ire c tio n d u M. Lacaillo . o ïd exéçiu 'é avec bcaiK um p d e p réc is io n c l d ’en sem b le ,' <ks m m v êa iix d ’h a rm o n ie q u i m é r ita ie n t d ’é t r é g o û lé s p a r d(;s u r ti» t(^ .‘ N ous ]H)uvnns d ir e A la lo iiangu d e s m usicieu.s c l .^ iirtodl <hM>hnf<<yM’ap rè» p w re t’<éid (l^ i ihr 9whl *’ -

il

L.U Ulnv.im .t3 t» |>«ii .1 j . . . . . . — ,favori (les p a r ie u r s fra n ç a is , a loiiglc.m ns e t co u rag eu se- iilcnl d is p u té la m dm u A so u v a im p iu u r d * t)u trc -M anchc .

Ia! p r ix (i(!.s i iu rà i im p iriitn jr , p o u r (dievaiix do 1 a n s (1,000 f r . , d is la a c o -1,000 m é tro s), a é té g ag n é p a r .V iw

lia n t d e g ré d e sav o ir .

ETO fiV . — Ijs 30 s e p le iu lu v d e rn ie r , un tn cen ilic , d m l la-caii.se (^st in c o n n u e , a é c la té d .m s c e lte c o m 'itu n e c l a (m nsum é h u i t m ou les d e b lé , l'o riiiaiit u n en.sem idt; de 18,101) g e rlm s d e b’Ié, cvaliu 'Ts A 18,100 t’cantvs, ap p .-irlenau l a u s iin ii 'V é re t. Les m e iib s é ta ie n t ad o ssées l ’u n e (Contre l’: 'u t r e i!l a ssu ré e s A la Compu.jiiic tlu So le il iio iir u n e som m e (le 11 ,720 f ra n o ;.

FONTE.N.W -TOUr.Y. — L und i d e rn ie r , le feit a cnnsiin té la to i tu r e d ’u n e pe lilu iiTaiso'u co u v e rte cn c h a u m e , appa.r- le u a n t a u s ie u r Ih ila rd (M ichel), eh a rp im tie r , d e im n ira n t à F o n le u a y , a in s i q u 'u n e ) e ir tie dit son m o liib er. Lut in rcm lie a é lé o c ra s io iin n é p a r r i in p ru d c n c e d e son lits , (•nlaut d e cinq a n s , q u i , en ra b se n c c d e sus p a re n ts , p r i t d e s a llu - m 'd te s cliiniiqiie.s c l a llim ia la p a ille d é son lil. La n;?Te a p e rç u t U; feu d u d e h o rs c l a c r .o u ru l. S(*s c ilb r ls p o u r l'é- tinndVe fu ro n l in u tile s . I.es vo isins v in re n t A so n a id e e t Ms p a rv in re n t A re m lre n n i l r e s . I .i p e r te e s t c s l ’xuée 0 00 f.i. L a m u ison u t lu m o b ilie r u’é la ic n l p o in t a .:suré.(.

G E IthE liD Y . — C h aq u e ,-;'nnée la v en te d és p o u la in s co m n icm 'e , d a n s r.-irrondisseiuciU d e h e a n v a is , [«ar laT o ire d e G erbm 'oy , e t l 'on p e u t a u g u re r d u iiejubi-e (d d u la «jua- t ilé d e s jiu u iu s chev au x am èn es A la fo ire d e la Sain t-M ichel, ('c q u e s e ra p e n d an t l 'a n lo m u e le c o iilm erc ( 'Jd es p o u la in s , s i on do it e s p é re r e u rcncon trm - s u r les c h a id p s d e fo ire n o n -scu le iu en l itii g ra n d n o m b re , lu.'ds e n c o re de f ir t jo lis.

I.a fo ire iiia rc lia m lc a é ié p c n i a n im é e ; iif.iis en rc \a n c lie ,

r a t r z i a ï a i B T O i T »

(N- 3 0 .)

iES

8 m9 fil) 8 21) 1) 1 5 8 jO » 5 â

_ 8 Ofi

- ‘iT a tT c ,

L e s Ü Â M E S d e T O i X l \ E I W S .

0 * < 3

P rrM V tu v 'e

' fS ’u i l c l . ) ,

• — E lv n ilA le m a lh e u r , m o n co lom d , r e p r i t tr is té ’nm iil G ondriii; s i yotis av ie* p a ru a u m ilieu d e n o u s , c e t en fan t v ivrait, c l j ’au ra i» p u a llo n g e r u n .c o u p d e s a b re a il m a iid il

' ï d c l la m lic r l é ia i l p longé d a n s u n e n iéd iln lim i p ro -

b a rô ld s q iïe la (Hirtd s 'o u v r i l b ru y a ir im e u i, c l .M rieihu^ p .v r t t i , le s chev eu x (léifaits,- p â le , m a is le v isag e in o n d é d e la rm e» . E lle a v a i t id c u ré , e lle é t a i t sa u v é e . S i ta v ie (Mail b risiîft, d u m o in s , la ra iso n é ta i t revcu iiu to u te e n t iè re , lli ic d l/iile iir |H )igu:iiite ♦ c ifa il d e d é te 'n ïl in ë r une’ c r is e i ie r- v eu se , m a is l 'a rd e n te so if d e la veng ean ce b r û la i t n u fond dû’ C(uur c l d é t a i l o’p iW r u n e ré a c tio n s u b ite ;

M"* d e T o im uins re v in t b ie u lù l A e lle . Rè' d é b a r r a s î t t r d é .^a fem m e d e c h a m b re , im ifo se 'l 's ilcn èc A’ s a uoilrri(XJ é l a l le r c o lle r so n o re ille A la p o r te d u sa lo n , fu t i ’a lh f ire d ih i m o m e n t. E lle s a v a i t (p ie l’a m itié p ru d e n te , o u s i l’o n veu t J’airtiftir (IfiTîfcift (le M. d e I ta m h c rI , lu i c a r l ie r a l l s a n s d o u te u n e p a r t ie d e cc (p i’e lle a v a it in té r ê t A sa v o ir . S i u n ch as- sfc’ù r a déro fré S la lio n n e smp lio n c e a u , r a n m ia l re v ie n t d a n s so n r e p a ir e , s ’assied s u r le se itil, c l a s p ir a n t les é in a - n a irm is nnMécs S l'A îf q i/f l é frap p F , l'd û l s u è lé» I r a r e s la iw (k:s s u r le s a b le o n d a n s le fo u r r é d u b o is , il in te rro g é

• . . . - .......- - s u r le ràvis.<buir. t'a;

cette voix .éonfUstf q fiî l 'a v a i t apitC lé d e u x h e u re s a ii |e vaut c i (jn’ii j r l a i l m^gllgé d ’é ( » u lc r ; A q u o i l ic n l la vio? A (pioi tion i le im u h e tf t d ’u n e lu c re T

— D ans le m o m c id (rfi j e v o u s u |)peln i» , (’.o louel, r q u il G oiidrin , lo rsq u e j e v p u s Ri|iv.vis d ti r e g a r d , M. d u io n - noins, iv re d e c o lè re , M-.,dé 'T o n u e in s d o p l iin v e rta il 0 iii- siilic r fa m iire , l i r a so n é p é e , le d r a g o n é ta i t e n g a r ile , c l avant q u ’avec m a m a u d ite jn n ilic (il i i to n tra so n gciim l )tiu- lihh je p u sse m û je t e r e n t r e le s c o m b a tta n ts , le co u p é ta i t f o r te . . . il n’a d i t q ii’iin m o t, e t rx; m û t c ’e s t : • m a m è re ! •

G o n d rin a v a it A p e in e a ch ev é d e p re i io m x r c e s d e rn ie rc s

vo i/s avez (m u liu iié v o tre c o u rs e . ■ . 4„— ^ h ! se dil-t'ffè' a f c c a m c r tu u c .je u ac im sc p a s le a»m -

ne l m a is s ’il a v a it e n le (uu iir d ’u n e m è re , a u c u n è r ï , auciift b r u i t lïe lu i a ir ra ic ii l é c h a p p é , e t II a u r a i t à u trU f e r sE u g èn e . , . . . n , 1. •.

lAM-squc G o n d riii d it q u e le m e u r t r ie r d e so u fils I a v a it in su lté e , l’a v a it (« ilom niuc, l ’a v a i t a c cu sée d e c o irio itftr d e -

(T)' Vciiï U-, mimcrr» <lu Joilrunt li- 'i'î .li^inl.r.- ISr.li. I

fu it a llu s io n A d es é x i'n èm en ts q u ’il dev 'a it ig n o riir . cé ne pou v a it (’ lrc (p ie p a r s u i te d ’Utie ré v é la tio n ca lo m n ieu se . VoiiA’ d ’oû v e n a it le co u p . L .m tic é ta it le p r ix d u sa n g , e l ('lie ro - 'a rd a ’l ’a m o u r d ’Eu g èn e p iin r la je u n e lllle fo im u e

Un p ré te x te in v e n té p a r ié m e u r t r ie r p o u r am eiic .r u n d u e l (loiil o u no p o u v a it p a s d i r e la v é rita lile c a u se , t . v ta it d o iic p(Uir e lle , iK uir c lic se u le , (p ic sou fils a v a it l i r e l ep ee e l (pi’il (h a it lo m b é so u s Ic-s co u p s d ’u n s p a d a s s in . L n lii i , jorK(|ii’e lle cu le 'ru lit ü m id r ii i r a ïa m te r d ’iiuo voix, é m u e q u e le ( Ic ru ié r m o t (le so n eiifiin t a v a i t é té : Ma riiè re ! m a m u re ! A drièiinc no s c c o n tin t j ih is , e lle s’é lan ça d a n s lu sa lo n , se

lu lilIlU |»iH IVI - |i,i M ..... .. .' ...c ii 'iir ; e l le ’ lié p ro n o n ç a p a s u n m o l, e l sc s la rm e s recam i- m e u rè rc h t A c o u le r . . . . . .

I lo m m c sc’nsibW e t en m c in c lum ps liabili*. le n d o n u l ne c ru t p a s ( le t( r tr in lc r ro m o re p a r u n seu l m o t tu silc iicc de r e l ie iiiè rê a in s i f ra p p é e . I l sav a it ( |u c lc.s g ra n d e s d o u lc u is so n t n in c l t t» . .

m : d e lla ir ib c r lr ( îg V c lla il d e iK h ru p h is sons-lio u lu n an l.il a u r a i t iMuiru ap'.*o( le m e ij r l r ié r c l il lu i a u ra i t fait p a y é r do s a v ie lès d o u le u rs d ’A dric iine . M eu rtre p o u r m uui l r e ,

dç la cp u so Je r lU il n e v il q u ’un m oyen d y p a rv e n ir , e é ta it ( la p i> e le rp r(’;s (l’e lle le j e u n e M axinm . „

D’u n s ig n e du la m a in le co lonel é lo igna do u e G o n d rin ,c l hii-m ftiifc, srtu» c ra liu f rc d e la is se r A d n e im u sc ra s sa s ie r d e sa d o if le iir . s o r t i t i f r tm o m e n t d u sa lo n n o iir é r.rire . a in si q u e m ftis’l’aé ü lis déjA d i t , a u g o u v e rn e u r d e Foiit.i'incblcan.

GII.VPITItE X II.ANTOINK KT M.MUKTTK.

Le n ’is u l la t (h;s s o ih b n s e t d o u lo u re u se s ré firx io n s du M. d e U a m h u rl fut b ien s im p le : il p en sa , avee ra iso n q u e la v io .d ev ie n d ra it o d ieu se , r i )»i‘u l- r in ‘ iinpossd ili'. a M"" itr

T o n n e in » , s i (die é ta i t exposi’re A v o ir Jn n rn r lle m e n l h; m e u r t r ie r d e son lils, a si; c ro is e r aVcc lu i, et en fin , A û tn : lu té m o in fo rcé d 'u n m a ria g e ip ii, la vidlle, h ii ( 'ù t é lé iu- d iri'é ren l, e t <pii m a in lu n a n t lu i )> ara itra it ê tre le jirix du s a n g p ré c ie u x (pii V(>nait d ’ê t r e vei'sé. |. é g re n a d ie r G ondriii a v a it b e a u d ire (juC Ic s v h o s i 's s ’é la ic n l passées loya lem en t, q u e le d u e l aVail é lé r i 'g u lie r , lu co lonel s ’o b s lin .d l A le ru- g n rd è r c o m n n ; un a s sa ss in a t ; s i 'u lc iu a il la iiai'veié du G nn- ( ir in , t ro m p é p a r les ap 'paren i'cs , rèii’d r .iit bi p re u v e du c r im e im p o ssib le . l.n F ra n c e vivait a lo rs so u s iin g o u v e rn e ­m en t in te llig e n t, m a is ab so lu , .'uiqnul les p reu v es miirale.> sn f lisa ie n t. ( 't ic i c i's p reu v es ab o m la ie id . .M. d e I l a m b r i l ré so lu t d 'a lh 'r à P a r is , d e vo ir l ’au to i 'i té , do IH iisIrn irr . d ’o b te n ir l’élo igum non t d e . 'In itia l SairÙ -Léger, pout^élro p n rv ie ird ra il il m ém o A le fa ire e u h :.r d a n s uii i rg im e n l d is c ip ltu a ir i’, ce (|u i d î t iir.ancotip m ieu x va lu e l e û t e m ­p êch é to u te ccdlision e u lru la ram ille d u 'r o i in c ia s c l lu i. Le cofoncl p rév o y a it l’avon ii’.

M'”' d e 'l’o u n e in s v o u d ra su v d ig ë r , se d isa it-il, c l a je iisc r les m ân es do son fils <|iii c r ie n t A so u o re il le ; m a in te n a n t m êm e e lle r c p a il sus yeux d ’im sp e c ta c le do n t on nu peuf l 'a r r a c h u r , c l (pii r e m p lit son Ame (r.in t: in t d e c o lè re ipio dc..doul<'nr. M axim e va a r r iv é e p le in d és im‘ m u s s d i l im c n s ; il n’a u ra d e rcpii» n u e lo i-squ’il su s e ra re n c o n tré l ’épéu ;» la m ain avec ce t cx -(iragou M artia l, e l l'adrt^fwé du ce spa- d.Vssin p e u t ê t r e fa ta le d e u x fois du s u ite A 'l '" ’d e T o n n eiu s .

P ie r re en fin ( i l c o m ia isa il P ie r r e ', d sav a it d u m o ins (|uellu élr(»ite a m itié l’u n is sa it à A d r ic a u c ) ,q ’iu r re enfin v o u d ra t u e r le n i( )u r tr ie r d 'E u g è n e o u su fa ire t u e r p a r lu i. D ans le p r e m ie r c a s to u t s e ra it fiid , d a n s le seco n d la posi­tio n d c v ro n d ra il e n c o re p lu s gr.avc : il f.iu! q ue cc M artia l diRparais.so.

E t le co lone l p a r t i t p o u r P a r is lu s o ir m êm e.

( Lu xiiile fin proc/’irtûi iin n u ro . ) Mabir t v c i r a

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S

1!tis

tiiiis rc iix q u i .liiiiotit iC f ln i s i r cl ).i i)aii<io«’ln ic» l .irco iii'iis » h s c iiv in m s c l sV in icn l ilnu in i rcm lcz-Y tuis :iii l 'ied dos

vk-illos miii'HilIcs do la ville.

S K N I.IS .'— S ih ia lio ii d e la C aisse d'c |»:n‘giu! d e Soalis, en v e rs se s l)c|t<i.s:ints. le ôl) s c |i le u ib re 1K57.

l 'c m la n l le tro ls ièm o I r i t i io s lre d e I8r*7, il a «Me la it vcrse iu e iiis par. 6 d i . nê|HtVsatiis, d e iit l iO iiixivuaiix .

Ils sc su iit «ilcvés i\ Ü f .O ^ ü IV. îK) e . , sav o ir :8(m ver.som cnls e u cspèce.s 1 11 f. IIO o. ?

5 Ira iis fe r ls -re c e lle s . . 2,r»8d 1»9 f12 v ersfio jc iils p ro v e n a n t >

d 'arr»b 'aiîe.s d e renlc.> \app* iW 2 dtq>osauls . l lO OU /

' Il a (Mê Tait 221 re in ln n iiso iu cn ts , d o n t 92p o u r s id tle , m o u la n t ASS,»7SiV.W» e ., sa v o ir:2 0 2 reud iom -s. en e.spêces. 7û,."o7 01 i

2 tra n s fe r ls -p a iin u e n ls . 154 70 |17 a c h a ts »|y re n ie s s u r (

l 'E t a t ........................................ 15,580 55l . ’o x céd au i d i s ver.seiucids s u r Ics' re m -

li iu rs c m e n ts e s l d e .............................................

88 ,878 89

25 ,203 11).A qu o i a jo u ta n t ;1.CS iiiU ^rcIs iju ion té lépayV ssif.-leseo iup lC s

s-ildcs, se!«!vant i\ . . . ' . , . .E t le so ld e d ù a u x Iti^po.sants le 50 ju in

d e rn ie r (]ui é la it d e . . 1 .035 .018 .10

('irU l'ic iHir II' a ih .i

1 A l'lU M 'X . — E n in r e n d ie a è . lah i d a n s c e lle ro u n u in ic , d .n is la nu il d u 27 a u 28 s rp le n d n c . t 'n e ^ r a n g e . u n e éen- r ie . u n e ê ta ld e c l u n e r l i a n v ic r ic . r o n v e i is eu lu iie^ , oui é ié b rû le s , a in si « |u 'nn chev a l. 1 vaches, d u m o b ilie r c l d e s n^Cidlcs. I.a pei le a p p ro x im -d iv e csl de 5 ,8 9 5 IV. Illeij u 'c la i l as;o irc . t ’.e lte p e r le osl au préjudice, d u .sieur b id o iv C i r r é , c ii l l iv a le u r a u d it lien . I..i r a m e o.O re s ié e ju sq u 'û p ré se n t ineum m e.

V Il,l,EllS-VlCOAlTI-r.— l.e 2 5 sepicaitu '»; d e rn ie r , la lille A u g u s lh ie l,c i|u c sn e . Agée île 18 an s , ép o u se d u s ie u r M a y c u x , d é b i ta n t A V iilcrs>A 'ir<oule. sV sl peu iln e à nu a r b r e , dan.s u n boi.v d e la eo m iu n n c d e C iirn ieille . — l.a Icm ine M avcux aiVcelée p a r nu m .illii i ir réc iu u tn cn t a rr i:'i son m a r i, a v a it , à p lu s ie u rs ccjo ises. u n n i lç s ié r in lc u lio n d e se d o n n e r la m o rt E lle a .n -c .enpii .son lu n e s lc dc:tm lg ré la su rv e illa n c e ac tiv e do .it e lle é la it l 'o b jc l île la p .irt . i lc sa fam ille .

tBî^ S r t t f i ÿ .

Piiésiorsc:: ni: M. OariaiKiu:/

-tud/cHce du 25 .‘vcp/c/u 'ov

Je.an-Alidi cist; lialil'o l, â g ' d e 2.) an.s, p io p r ic l .i i iv . de-, m e u ra n t à Ponl-Sain ie-M axenee, e s t p rév en u d 'a v o ir co assé d .in s u n te r ra in non d ép o u illé d o s a réco lte . Le s ie u r O.difol n 'a c e iie s p a s eo m iu is ce. d é lit avec r in te ti l io u d e n u ire , e t s 'i l a m is d e la p e is is la n c e à b .ilh 'o e t à l'aire b a l l i e |ia r se s d o m es li.iu e .sd es p ièces c h a în é e s , c 'e s t i»cu l-élre nu peu le l'eu d u p la is ir e t en co re plu.s la p e rsu as io n nu il é ta it d ’é i r e en d ro it d e se d o n n e r n iae s.d is l'ae lion sa n s iin iile e t sa n s fre in . Le d é lit es t cei>-nd i;il c o u s ta n l .e l le lr i i iu n .i | e o |id a n in c lu s i.u ir ii.d iful e u 10 IV. d 'a m e n .le et a u x fi a is

— l.ou is-L uc ien T is se ra u l, Agé d e 54 a n s , m :u>in, d e - m e iira ii l A ('.reil, e s t p ré v e n u d u m êm e d é lit q u e le p ré c é ­d e n t ; m a is ee v lias.scur, déJA b ien co n n u [t.ir se s a iilécé- i le n ts q u 'o n n e p e u t iiéaun io iiis [tas ap |>eler m a u v a is , sa it fo r t b ien un fa it d e ch asse ce q u i e.si l ic ite ; il s a i t q u e l’on n e |te ii l p a s {dus c h a s se r d a n s de.s réco lte s q u e s u r u n 1e r-

d 'a u t r u i sa iis c o u se n tc m o iil , e t c ep e n d a n t e /est lA son l'a ib le h a b itu e l. T is.seran t est u n bon e t a c h a rn é ch.i.sseiir q u e les o lis in rie s n e s a u ra ie o t a r r ê t e r ; d u re s te , il ne nie p .is s 'ê t r e la issé c n lr a tu e r , e t le t r ib u n a l le co n d am n e eu iO fr. d 'iim en d e c | au.v fra is .

—• Jea ii-F rau ço is Ih ir ie r , Agé d e 10 an s . m a n o n v rie r , né c l d e m e u ra n t A ro n ta r m é , a é té reiiiM iih'é p a r la g e n d a r ­m e rie , n a n ti d e lap in s de g .irom ie , le 29 a o û t, e t p a r c o n ­sé q u e n t av an t l 'o u v e r l i i r e d e la rlia.sse. Il e s t a s se z s iiig u lic r q u e D u ric r, é ta n t d c INm I.iinr*, se c ro it eu d ro i l d e ciil|>oi-- t e r ce g ib ie r p a rc e q u e . d ii- i l , on lui a con iié ces lap in s A p o r te r en un e n d ro it dé.signé. L 'est u ne p la is a n te r ie qn'Ü a c rileu d ii f.d re s a n s d o u te nu u ne ex cu se b a n a le q u 'il a je té e e n a v a n t fa ille do m ieu x . I.C Ir ib m ia l le ro u d a ïu u e do n c en îrt) IV. d 'a m o iu lc c l a u x f ra is .

— Erne.st V asse, âgé «le 22 a n s , m e u n ie r A May. a é té s u r p r i s en ch asse le l> se p le n ib re , lU. a in si q u 'i l l'a d é c la ré a u x g e n d a rm e s , il n 'av a il pas en c o re reçu son iien n is de cli.is.se d o n t la d e m a n d e é la i l fa ile d ep u is Iqiig lem ps. Iho- cc.s-ver!):il lu i a donc, é té d é c la ré . .M.iis so u p e h n is d e chasse lu i e s t iiarveiiu p eu do jo u r s a p rè s c l d a té d u -1 sepleiii!»re. I l é ta i t b ien n a tu re l d ’en f .iire im a iéd ia len te iil rc x h ib ilio n a u m a ire d e sa co im m in e o u a Al. le p ro c u re u r im p é ria l. V asse s 'on est a b s te n u c l a [lensé a u é .m lir la poni-su ilc eu la is sa n t m a rc h e r les cho.ses Jusqu 'A le u r a r r iv é e à l'.iu- d ieneo . S.IU.S d o u té la iu s titira tio ii d e ce p e rm is d e ch.is.so e s l u n p o in t fo r l im p o rta n t p u isq u 'il l 'ex em p te d 'iin e cou- d .im n atio n A r a n ie n d c , n ia is il a la issé a s s ig n e r d ev an t lapo lice c o rrcc tio n iie lle e t il p a ra i t ile v o ii-ê tre p .issib le d es f ra is q u 'i l a o ccasio n n és p a r s.i nég ligence e t son in so u ­c ia n c e . Le tr ib u n a l l 'a ju g é a in s i, c l . to u t en acq iii t ia n l Vasse, l 'a c ep e n d a n t co n d am n é A p ay e r les f ra is fa its d ep u isle m o m en t o u il a g a rd é s ni p e rm is d c c h asse e n se d isiica- s a u t d ’en fa ire rex ib ilio ii.

- A ngéliuue Lii la n d c , âgée de 17 an.i, e t A n.islasie l ’an- Im , fem m e d e D liv ie r l lr ico g n e , âgée de 58 ans, d e n ie u ra iilto u te s lieu x A T h iv e rn y , so n t accusées d 'a v o ir volé dos p u m m es d e te r r e . La q u a n tité n 'en e s t p .is im p o rta n te c l c e n e n d a n t le p ro p r ié ta ire se p la in t a m é re m o n l. i l e s l n a in - l'cl q u e ch acu n tie n n e A so u a v o ir ; m a is s i on le j ie rd , il ne fa u t pas d an s la re c h e rc h e sc c h a rg e r d e to r ts ({ni p e u v en t s c d iv u lg u e r . Q u an t A la fem m e llr ic o g n e , p e rso n n e ne l 'a vue e n le v e r de.s p o m m es d.t t e r r e , m ais le >rocês-vorlial a é té s i r id ic u le m e n t d re ssé q u 'i l a u ra i t 's e m b lé q u 'e lle é la it a u ta n t e t m êm e [dus co u p ab le q u e sa com jiagne ; q u a n t A la lllle L ir la n d e , e lle p ré te n d ({tie le p ro p r ié ta ire lu t a d o n n é les n o m m es d c te r r e <|u'oii a tro u v ées daii:. so n p a n ie i’, e t ce a e rn io r , p a r sa co n d u ite p o s té r ie u re , d é m o n tre assez q u e s 'il ne les a p a s d o n n ées , it a u ra i t voulu on fa ire le d>ui u n i a é té re fu sé a u p r ix ex igé. Eu ron sé ip icn ce , le t r ib u n a l d é la isse sa n s dé[iens les deu x p rév en u es d es lins d e la p la in te . «

•— l-oifise-A déla 'ide l.a lo u , Agée d e 04 a n s , p r o p r ié ta ir e r e n t i è r e , d e m e u ra n t A F rc sn o y -le -L n a t, a eu m o ins de .succè,s d a n s sc s m a ra u d a g e s ; e lle n 'a v ra im e n t p.is d e ch an ce , c a r ré c e m m e n t en co re le tr ib u n a l lu i d o n n a it u n av e rtis scm en l p a le rn c l. Mais il p a r a i t q u 'e lle v e u t v iv re no ft-scu le incn t d c s e s re n te s , m a is en co re d e celle.s d c son p ro c h a in . ElTe ne cho is it p a s e t s 'e m p a re d c to u t ce i[ni c ;l A s a g u ise ; c lic a jn su u ’a h tr s im a g in é q u e la pos!i).-:sion v a u t l i t r e san s s 'in q u ié te r c o m m e n t c lic a c q u ie r t , m ais le ga ix lc c h a m p ê tre lu i a p rouvé q u 'c llo n 'e s t p a s e n c o re au ssi av a n c é e e n d ro it (p i'eu fa its . L^ fdio Lalou ne s.iit tro p q u e r é p o n d re aux accu sa tio n s d c vids d iv e rs q u i lu i so n t im p u ­té s ; e lle v o u d ra i t b ien ê tre d isp en sée d 'a v o u e r , e t vo it ce- j ie n d a u t le b o u rb ie r d a n s loquet (die va sc p lo n g e r eu n ia n t. Le t r ib u n a l , p o u r la t i r e r d u i’em b triMs d a n s le ip iel e llo sc t r o m ’c, la c o n d a m n e c e tte fo i; en 11) jo u rs di; [iriso ii c l .iii.x

L :i.so m m jto ta le d u e a u x d é p o .;;m ts s 'é (c v .:A 1 .111 .585 79

fra is . Lelli* h v o n m m vcU c la c o rr ig e ra - t-e lle e u n u ? C 'est u n e (p iestun i i|'ue le tem p s ré s o u d ra , e u n o u s a p p o r ta n t la rép o n se .

— E rn e s l L esu c u r , .Agé île 20 a n s , c h a r r e t ie r , { iem eiirau l A V crb ‘r ie , co n d u isa it , le 2 5 a o û r , n u e v o itu re ' a t te lé e ^ c in q ch ev au x e t c h a rg é e do c h a rb o n d é l é r r e , lo rsq u e m on- ta n t la ctUu d é t 'r é p y é t A u n e c o u rb e , H fu t réneiuU x^ p a r m i jég é r t i lb u ry m o n té p a r d e û x pcrsonne.s. l'Ii ifillijllu cédé lit so u pos.siblo po rtr é v ite r u n c llu é ; n ia isd é to r t r n a n l ' .......... . ..........tit i id é

Hde lit so n pos.siblo p o itr é v ite r u n c llu é ; n ia is U M ttw r , e n lé to û rn a n l se.s clitivuiix. u 'y a p p o r ta n t dns to n ie l a ^ m b - ' i tu d é n é cessa ire , les lAnyétix sc so n t h e u r té ^ olH RO à t i 'royagiuu 's ay an t é té lanci! hoi'S do la v o itu re a é té blessévoyag ra v é n ie n t, e t e s t d écéd é (jucliiucs jn m 's a p rè s d e s suit) do sa b le s su re . L’a c c id e n t <!St <lû c é r ta in n m ç iit a u pouB é n o rm e d é la v o itn ro d e c h a rb o n q u i n 'a p li sa lu a liv o ir assez, v ivem en t. Le t r ib u n a l co n d am n e L e sq e u r e n 50 fr. d 'a m e n d e e t a u x fra is 11 e s t ix ig re ltab lé q u e l ’o n em ployé A la c o n d u ite di; p a re ille s v<dluro.s d e s je u n e s g en s d ’u n Agé au ss i peu av an cé e lsm x q u o ls ré .x p én o q ctv C n it^ éh m L pm s- im 'ils devraiihU co m m en ce r le u r a iq ire iitis sag c p a r la .con - ( lu ile d e s im p le c h a r ro is c l p e n d a n t (le nrtmbixmse.s au - néo.s av an t d 'e n tr e p re n d re des c o n d u ite s a u -d essu s d e 'ie ’u rs force.s c l d e le u rs co n n aissan cés.

il ( lé e M v itv Jü iir s m o n éês c la ild ô s tin e s . l^ jÀ U lè« a in lljc J p l s lu M p n u e s ; m a is liv ré e s A la J tro s tlh U io a , cHé-s n e w i i t [ ( ■ n tU a i r éo m n lé d e s n ien iiseâ p in s d u e d e s àVuk é l

M aric-U ose-D é.sirée N oël, âgée d e 32 a h s , fem m e llo l- s in , d e m e u ra n t A M aysul, a s o u s tra it f ra u d u le u se m e n t d é sréco lte s d a n s !e.s ch a m p s , e t la d é co u v e rte d e ce d é lit a p ro c u ré la co n n a issan ce d u c e r ta in s au ti. ........ autix ïs p e tits ra p isd o n t c iû te lém m e s 'e s t r e n d u é g a lem en t co u p ab le . L a fem m e Ilo isin a p r is , p o u r se d isc u lp e r , u n m oyen p ire q u e so n d é lit. E lle v o u d ra it d é v e rse r s u r le g a rd e cliam pêti'e un id âm e (jui e s l d e tem p s e n tem ps le d e i n ie r so u p ir d e la défcn.se d e s fem m es d e n u e u rs douteu.sos. Le g a rd e cham - l 'ê t r e es t un hom m ejA cheveux b lan cs ns.sez. c im n u d(S a u ­to r i té s p tiu r ê t r e e x em p t d e souju-ons A ce t é g a rd , e t nous a im o n s A p e n se r q u e la p rév en u e n 'a cmployi* ce pe tit m oyen q u 'à c a u se d u d a n g e r im m InciiL Le t r ib u n a l .i cou- d a m n é la fem m e U oisiu en u n m ois d e p r iso n c i au x d é p e n s .

— O phalta S i ii i la s , ;'igé d e 2(5 a n s ,s c i e u r d e long,■de­m e u ra n t A l.lly -S I-tieo rges, tra v a illa n t le long d 'u n petit la iilis a d h é re n t A la fo rê t, a v a it a llu m é d u l'eu c l san sfa(;o u a v a it iu!s s a m a rm ite a tln d e ne pas sè d é ra n g e r p o u r a lle r a u villiige la ii’e sa p o t-b im illi'. (,e.s g e n d a rm e s p a s sa n t prc’s d e la cl a y an t vu n u e épai-sse fu m ée , se so n t r e n d u s |irè.s d e S a n i la s c l o n t co n s ta té q u e ce feu é la it a llu m é A b ien m o ius (le ‘2U9 u ic lrc s d e la fo rê t. S a n ila s n e co n n a issa it p .is, d it- i l , c e l le cxigeutk^ c l eiq ten 'dau t il e s l s c ie u r d e long , d nu n o u s devons a i ig m c r q u e ce t h o m m e a vou lu .sim plcm im l a v o ir s;i cu is in e ad jo in b ; A so n c h a n tie r . Le t r ib u n a l co n d am n e S a n ila s en 20 fr. d ’a m e n d e c l a u x fra is .

L ou iae -isn ic rie ne.ssaial Agée d e .54 a n s , fem m e de l.sidor ( .id la s , in an o n v ric i 'c A l .am o rlay e , e s t u n e voisino Irè.s-pcii m a n ia b le (pii ne e incède p.is m êm e A sc s voisins le (lc(»it q u i le u r e s t acifu is d e jo u ir d u p u its , c l co la sous le p ré te x te q u ils n t son t pas lid é ra u ls A l '( igard d e s(5s en- fant.s. (ju ils ne le u r soutVro’il pas le u is ca |) r ic c s e t ne s'y p lien t pas. L:i fem m e tlid las a do n c ro ssé sa vo isine pouiï (je setii tiio ld , (‘I s 'y es t r(îp rise à [(htsieui-^ fois p o u r satis* ta i r e a .sou d é s ir d e faii-e v o le r s;i n ia rm o lle e t (le m e su re r.-IliliillL* lit* Ci.ti nui.1.1..V !.. I , . . . .1.. •___ ' ■i.iiii. .1 .SOU ocMi u e la ire v o le r s;i m a rm o tte e t d e m e su re r • id lo n r (le son po igne t la lo n g u e u r d e s.i c h e v e lu re . La tom m e Lobjs .ivoiie, c a r e lle a u ra i t tro p A fid rc s 'i l lu i prO' m u t lan l.iis je do n ie r , (d e lle n 'a pti trouvaù* (le v e rs io n cou v cuab le p o u r cxplii[U cr sa (lin d u ile . Le t r ib u n a l la cou d a m n e en (i J o u rs de p r is m .

■— Le it> a o û t , c’(^tail la fo ire d e ( '.han lilly , c l l 'o n sa it q u A ce tte rp n q u e les m a rc h a n d s , les h im blo tie i'S , {(jssul- |im l)auc |uos, e tc ., co u ch en t ou so u s le u rs le n te s o u daiw le u rs v o ilu re s d e voyage. î,cs nonlmiVs F réd é ric . S m ith , Agé (le 2t> an s , e t Jo h n .M idail, Agé d e 28 a n s , a n g la is (le nais-CÜIII.a J\t .u . .1...................■ . ... . .. . ^ . . . ----- * " '• • v 0^0 n e a n s , a n g la is n e nais-s .u ice e t j i.ijlrcm o rs , d e m e u ra n t A ('.han tilly , n ’a y a n t p a s eu assez d e la jo iirinh i p o u r sc d iv b r tir , av n n t p a m u t r a l e s

jIj, i l .. r ..i.... . . . . . . . t . . . . j !.. . .r . î i ......... 1. -* ,r,.. 1.1 |n»«ir sc « iiveriir, . . . . . . . . , n . , v «iib o rd s d u chanq» d e fo ire lUîiidant la in iit, r o n d s conin le d e s a n g la is , se lon le p ro v e rb e , a llè ren t t r a c a s s e r u n n ia r -..... |i i i r , i . iu c . ,iM(-(eoi ira c a s se ï u n in a r -.•.haiid (pu re p o s a it avi!c s a fam ille d a n s sa v o ilu re L e u r m lcu tio n ('•latl d e -b o x e r le s i ls .lil i iJ a rc h .m d , n ia is il p a ra i t ({Ile coî d e rn ie r ap p liiju .d t ce la A la f ran ça ise aussi bien }pi A ! ang la ise . La lig u re de l 'u n (U nos p iu iu r b a te u is en ta isa it foi S m ith av a it m êm e u n ch leu ([ii'il h a rc e la it co n tre le lu .ilheu i-eux s.illim lia iiq u e tp ii e u t b e a u c o u p d e pen i;‘ A se d é fa ire de ces im porlun .s visilour.s q u i lo n l.ilén t m em e d e v is ite r l;i v o itu re dom icile . S m ith e s l as.sez {lorté A ee,s so r te s de inc f.u ts ; n a g u è re il trem iv iil d a n s u n e coali­tion e t a m êm e su b i u n e c o u d am n a lio n . Le t r ib u n a l (ion- (lam no do u e S m ilh eu 2 m ois d e p ris io i. .\lid a il (ui 100 fr. (I a m en d e e t les eo n d a ïu ie to u s d e u x so lid a ire m e n t auxd é p e n s .

E .ico re u n b a l.i i i le u r , le nom né l.ou is-.Iiilien E o lii tre , d e .»5 a n s , né A ILillon .S arllic ), s a n s d o m ic ile Lot

h o m m e, q u i ne tra v a ille (pie (p ia ïu i il ne p e u t s 'é ii d is jicn - s e r e t <[iii flâne ( juand il ne trav a ille pas , é la i i t e n t r é d a n s la in.ii.sioi d un li.ib itiin l d e tiieu d io m e, s e c ru t en d ro i t d et( 'm r a u n e je u n e lille occ.:ipéi5 A Ira v a ille r , les p ro jio s les p lu s in co n v eaau ts san .i vou lo ir d é i in r d r e m a lg ré les inv i- ta tio iis ré ité ré e s d e re n f .in l . rpil, onuuvée d e V id is tin a tio nle l 'im p o rli iu , a[.pela sa m ère . E e lte d e rn iè re [ la ia issa iît

hum to t e t p r ia n t ( .o in te d e se r e t i r e r , c e lu i-c i con im cnçà p a r Ini d ire to u te s le.s h o r r e u r s d e son r é p e r to ire p o iir la u f fo r t volurnine.ux, e t , p o u r IVn b ien j ié n é tre r , p r i t un b .kon

ce le iiuel il se m it en d e v o ir d e la ro n d iu e r i io iir lui ip re iid re , ixn jsait-il, A ne [. is se m ê le r d e ce ({iii ne la re -apprciK u»;, p(oi.s.m-u, a ne |» is se m ê le r d e ce ({iii

g a rd a i t p a s ; il re ia im m euea m êm e lo is .p i 'd v it q u e c e tte le m m o p re n l i t l c c hem in d e l.t •••••= '• • ' — ■ •.................................. ....................ne p a re ille c o n d u itec>l v ra im e n t d é p lo ra b le e t m é rite u ne ré p re s s io n ; c a r I iv resse, q u e le.s d é lin q u a n ts in e lten t to ii jo iiis en a v a n t , loin ( 'ê tre n u e a tté n n a lio n , e s t un seco n d d é l i t (p ia n d il e s t ad jo in t a u ne a u tr e lauli*. l.e Iriln ia .il c o n d a m a e C o in trc en 40 Jo u rs d e [irisoii e t a u x fra is .

Luon I ap o n , âge d e 21 an s , n é A E a m b r a i .s a n s dom l- c n e , a fa it n u peu d e tous les m é tie rs ; il les a to u s ébau c lié s [Tarce ([Ue la ju s tic e e s t l( tu jo u rs venue (m lra v e r la in arc lio (le se s a ll.iire s , aus.si é.st-ll fa tig u é d e Iravw ille r ta n t b ien q u e m a t, e t « o inm e il a g o û té A peu p r i s to u s l i s u e n iv s d« soiijies flt d e pa in s des [(élisions, il In n iv e q u 'i l lu i s e ra co m m o d e (le s 'in s ta lle r p o u r Un tem ps a u lUoins d a n s c-cllc q u il tro u v e le p lu s à sa c im venaiice . H.iiis les p re m ie rs j()ur.s (le s « |d c .n b ro , il rc iio sa il t ra ib |u il le m e n l A Foinhi-e

jciino.s q u e l le s so n t e n c o r e , les fiUes lam Lse-.^iigusIiué l lo n io n l, Ag(êc d e 2 0 a n s , K osam oniie-U cunviève U um uiil,AgAo d o I d a n s , E m ôlie -lte lp h iiio U e iiqu in , Agée d e 17 a n s ,' e t nu'^mc K niélie-V ietorinc la ib ru n . Anéo d u 1 0 an siu to rin c la ib ru n . Âgée d u 1 0 a n s , su d ls a n î onv riè re .s , d u in e u ra i i t i S o n lis . H s e r a i t Idou d lf lk H è dud ir e q iic lto p ro h tts io n -è llo s o x c rcen L c t .cc ()ead aM e l l » V ly c tÿ e t ||u c l(iQ efo )â H ^s'-ed itiu iiaB leiden l. M. le èo idiA Ii- s a iru d c po ltcc o n k iU à « è t é g a rd lMùiU(ui(ip p lu s q u o ^ ù i

a y a p l-sa n s ce sse les yeu x o u v u rto su riè llu S j

.ïm n !_ ________ ............................dc.s (Mvusclls. L a (xsn(luil(i sc^indideiise e t ré v id ta n io n n ù cès

la tro p ré v e n u e s n iè n è n l d e p u is io n g tc m p s . n e f a i t i iu ’aû g - e n to r d e j o u r cil j o u r ; é lle s i^ o n t a p c u n iO nycn d 'uxisIciK a) in n c ic : e lle s n b n n d u n û é n l le d o m ic ilè M le u rs p a re n ts

o ù c lle ^ iiü para is isen l n i lu j o u r n i la iiii i l , c l .d c |irô f(» s io ne lle s n *cxcrcen t, s i c 'e n e s t u n e . qiVé la p liis hiilC üsc Cl la p in s m é p ris a b le . M. lu co n lm ls sa irc d è jMlici}, futigU é en fin d li( fnéni-]*« niTo r..si .i..d lU ra é p r^ q u e ces ma1bcuh!Us(3.s d é b a u c h é e s o n t Cdt d e SCS c o n se n s , lus a a r i 'é té c s , cl- a n jo u rd ’I in i ' s u r le b a n c d c la fmlicü o o rre c tio n n c llo , e lle s filu d eu t e a d a r m e s p o u r fa iro c ro ire A u n s in c è re iv p c n t i r ; elliai so c n ch cn t le v isage avecd es m ouclio ii's p o u r fa ire [len sc r A ra i id i to i i 'c ({ii’c llc s r c a - le n l lu i d é r o b e r le u r lio n lé , m a is le u rs n n té c é d c u ls [ la ra - ly scn t la cpm|>as.slon d u p nb lii;, c l lù t r ib u n a l Ic.h c u n d a ip iie to u te s quati-(! e n chac iinu tre iz e m o is d e p r iso n u t so U d a l- ro m c n i a u x d ép en s .

. C O U R D’ASSISES DE E’OISB.

AtiiUcnco d u 8 Scp lû inbre. iïfTuirc DriaHikye;Iwl ù l 'a ide d'cffi-acUon.

L(*qjiidli-| (litiis lu niiiliiiév, le aivur P iévnsI, di-bilàul<Im «iitMi; ,1 Liic(ic«)ui1-Il--Sl'i-, ü':i|>cnj-4l <|iic pc-iiilMiit U luiiî ou niiilfiiitctir sV lail iiUrodidl dans sa cave, à l'a ide d 'u iic onvcilucvpraliqiiüc ilnos le ouïr, c r s ’cat ciiipdrv »le 23 p;o|ucts de IÛImi foiiiei Ji. ' 2 t'( (te I liectograiiMiics, cl d 'uii pol en grès v(hi(c- II.ou cavirnn 3 kitogcniuinos dc tabac ii priser. L 'au l^iir de ce v«l resta (|(u-l(joc lenips ioedioin, m.iis des ventes considérables de l|d);iu de régie fjtiles p a r int noiiinié Alagluîro ü rla liay e lUliièieiit «or ee dern ier des s(io|i^<iiis ipii nu lardèren t pas à su enntîi'n ier. Apiès qo(d(pies dunégalluiis, l'aeeusé reeoiiiitil (pie c clail^ Itii qui avaii pénéiré d.ttls t.l cave d u sieiir FrevnsI, e t fit eonnaiiru I endruit où if av.iil ea« lié les ubiiets volés ; il p rcteud seiilenieid que le trou praliqiié dans le m ur ne Ini ao ra il pas seivi a s uilrudtiire daiii la cave, m.iis nniipiemeiil .à faire passer iv*i i'*'***' ‘’ovrir ainsi la [lurle en soulevant le erueliel. O iiubaye a de déploratilcM aniéeédunis ; il a snbi tn n s (H m jam - nalfuiis eorreeli<miiclles dont ru n e en nue année d’em prisonne- m niitet cini] .fns d’interdieliun pntir Vol.

M . ihiriitgaiili, p rocureur im|>éi'ial, suntîeiit l'.ircusntimt.M* de S i- l'bnin-is, avocal, présenle la défense.Apn>s le ié»iimé dc iM le présidenl; te ju ry rappurle un ver­

dict a llinii iiit, avce admission de eireunslaiiees ■Uvnuantes.Delaliayu est eoiiJaiiiiié à cinq ans do réelusidii.

^ A ud ience des 10 c M I Sep le inbrc .L'aff.iiie de banqiieioiilc frauiluleuse inditjuée (iixir le in lient a ll-lllt .(«.HT .liiili<.ni.<..! ..I ...-..(....i.â.. .1...leineiil u tenu deux audiences e t s’est pridongce jns(pie' dans la

du n . V ingt-huit léiiioius ont Ihé entendus dans la j»rc-I été eoiisaerée au réipiisiîuirem ière journée; l,i sccuiide séance

et aux plaidoiiHL’arensatiu» a été soulcime par M Aiiger, su in tilu t du p ro ­

cu reu r im péiial.La défense a été préseiilce par BI« Douré, du b a n e a u de

Heauvais; Al* flialut, d u barreau d ’Amiens, e t Ai* Laeliaiid, du b .u reau du P aris .

Le ju ry , après une courte délibéraliuii, a rapparié un verdict du non eidpabilité. Le* accuses o nt été acquittes et mis eu tiberlé iu iiuéJia tem éul.

A ud ience d u 12 Scpicinbro .Affnire fille l,eiufiire.

In fa n lic id e .M C kIcIIc nreiipe le sii'ge du minislèis-’ publie.Lri filteL •in.iire (Ilurioriiiu-IL nuniire}, prévennu iriiifan lie ide,

e-sl eondauiuée .'i dix ans de tiavaiix fuicés.AI' Ulaiiebct a présenté la défense.

Arfitire Vevnuv*I iy/.Ÿ, alicidtU (i la p u d e u r e t vol avec e ffraction ddus tm c

im iso n habitée . ■‘ «Lu arréi de la Cuur d ’assisrs ayant ordonné le bull-clus, huus

nous ab.^lieudroiis, dans l'in ié iè l des mueurs, de la iie eo n - iV itre u nos teeieurs les détails huutoiaiix relevés eoiilre Uevaiix.

L’aeeiisalion n élc soiilcduc par Al Ootclie substitut.La délense a été [uésentéo pd r AI* A laretl Leroux qui u lutté

viclorieusement eoiitre le ohel priiie pal du l’aceusaliuu (les vio!'). •

iju r les a(ilrcs eln fs, le Ju ry ii rdpp'oric un Verdiei atlirm alif, mitigé [>ar I .idmi.'.siuii de eireonsluUrcs altéiiuaiites. E u eoiisé- «jni'iice, Devanx a été couJauiué eu deu< diluées d ’t meut seiitemeiil.

I empiisuiiUt—

C A N C i A X . -

N’OII nrisüiis I ia s im u plaismilcrii.': ail ruiiil la rliose'cai par lt'u|) Kéi'teiiso.

d a n s tijic cu lb ilc d e 1 h()lei d e s p a in s ixim ls, lo is iiitc le mii* liîiicm ilreiix g a rd ie n v in t lui im n m ire r le béiiélh-p d 'im e ordoim anK o d e timi lien , e t lui sig n ifie r d o p :ir t ir . Il fa illit

â lii iv ila lim i en fo rm e d 'o r d r e ; iiiaiB nno fois ( (dior.-J, IVi|Km, a p rè s ({iicbinos in sla iits d e d é h b é ra lio ii , sc d éc id e a re v e n ir m;mg(>r in saii[>o A so-i dom tc lie m a lg ré I e \ p r n f ‘ ia lio n . Il va d n i l l A la p lace d c C ro il. en fim ce A (•üiins d c piçd.s les vilrc.s d e la b ra s s e r ie , e t r o i i r l ch ez .M. le ro m in is sa irc de po lice se o o n s lil i ie r pp ison iii(» r,c il d is a n t q n o son se u l m o lif r s l ([ii’il c n lc m l rc s ic r A SeuilsNou.s (Im ilons fo rl (j(te Fapim a il choisi lA le m oyen le phw s u r ptfiir o b te n ir la p e rm iss io n , c a r , A so n p ins g ra n d d ê - sa p p n in lc m e iil, le I r ilm n a l lu l.in ilig .! lo n l s im p lc m c n l 40jo u r s d c p r iso n .

— 1 lièophile n .i t te lic r . Agi; de 28 nus, c o rd o n n ie r , s a n s ( o im cile , e.s| tin d e s abniim is tp ii venitm l au s s i d e m m iu r dan.s le.s p r iso n s ; il e s t h e u re u x d 'a v lir ré u s s i A sc f.iirc p la c e r so u s la su rv tn ltn n ec . c a r il [lenl a in si r e v e n ir p é r io ­d iq u e m e n t a son p .im l d e d é p a rl . D e rn m rcm en l, I la i le l ie r é la i l (Micore, p o u r le fa it de ru p im o de li.in , so u s le.s ver- ro u x d 'u n e ce llu le A Senlis. Le lrib ;in :il le c o n d a m n e A y d e m e u re r e n c o re 15 joqr.s.

- On c a n n a 'l dèJ.V d'.'piiis longlvrnps ê St.-nlls, l()uU s

Le c a i i ra n , A bitîit le p ro m irc , (|ir(*.sl-H d o n c ? u n p asse- le m q s , u n e joH issaitco f s a n s d o u te , h é la s ! i tia ls èticoixt^

Le ca n c a n , c'e.sl l 'o m b re d u p ro g iè s , c 'c s l le ly ra ii d u ’o p in io n , c 'c s l la b a se d c rh i im a in e .suciété , c ’c s l lu ro i d u m o n d e .

Et le ca n c a n , n 'e s t- il p a s au s s i le f r è r e d o rc iiv ie , le flis ( lu m ensiingi! e t d e la c a lo m n ie , le v c iiiird u la m échaiicelé*

**a ^ I- 1 li‘ jo ie d u cyiiism è^ ru r tn o d e s I r a i l r c sc l d(!S lâches?

E l c o m p re n d re q u e la c iv tllsa lîi)n n ’a î l p a s ,(';foufré lu v a m in re a u x a iles d e plom b-, a u sou ffle v cu im cu x , c s t-cc [■osslble?

Eu lln , si hous p o uv ions re jo in d re le m o n s ti 'e 'o l le com - b a l l r c d e n o s faible.s m a in s !

Alais A q u e l ra n g o n l ’é lèv e , c l q u e lle fo rce on lu i d o iiu c p o u r c u ira s se !

Voyez d o n c !; Le ca itcan in o n le d a u ^ lc n p a la is , ju s q u 'a u pitnl d u Irêinc.

ju s tiu A I( iro illc d e s s o u v e ia it is ; la m a je s té de.s ro is ne le d u la ig n c ja in a is . Q ue d is - je? les m o n a rq ttc if n 'e u foiil-ils p a s la l in ie u l d c Ic u re - ip r il , le [d ia re d c le u r ro u le , l 'é lo ile do le u r c ie l, c l ne ra c h è tc n l- i ls [las A pri.x d ’o r , c e lle lo r- c h c (lui va le u r im m lro r le ju s lc , le e o u jia b lc , ce f lam b eau q u i do it le u r i llu m in e r la [icii.sén un iv e rse lle?

Mais la v ah m r de ce vil ag e n t cac h é s o u s les I r a i ls d e la Smcei-lté, d u d é v o u e m e n t, [ ire iid ra il-o it la iie iiie d e la Kcser?

l 'i donc ! si la vérité; (h^plaît c l ldes.so, le cancaiT iw e l q u 'i l d . esl to u jo u rs s û r d ’o b te n ir le m c i r e t f r a ccu e il.A m è sc u av o ir ép u isé lo iile la ([u in lc ssen ce , les n ràd isan ls1 l ( I — .......... - , • « « . i i l vui oai i u,

le lAcliont a u to u r d 'c'tix co m m e u n a r d e n t lo v r ie f u u le s(;m onl co m m e IC'-. d c n ls d u d rag im d e C ad iiiu s .

E l Iqu l u n p u b lic éicetri.sé p a r t'I in p o rlan cc ' q u e Itii (lüuno le m a ilr iî, c é lè b re la b ien v en u e d u cnncaii ; c lic le s .ivou rc avec d é lice , [m is le fa ll c i r c u le r d e s sa lo n s aux b n ro u u x , di; l 'a u li-c h a m b re a u x po.Ues, d e s g u é r ilc s aux ........ . d(‘ l'oîUct' A la ru o . o t , r h c m in fa isa til, U leu sa il

U fiiveiir (|ii'il recueille, les récil.s qu'il anime, le cliariii iiii'tl léimiid, les erreurs qu'il acttrédllc, les vicliniesqd' frappe, les ôliisqu'il immimo, I(»< inôlninorphoscs (iti’il oi4r».... . . illiriwj . . .1*ài A .ll I l i i . . . ..aS, . . . . . . . . . . . . .1 .... .les p ro d ig es i |i f i l fa it m iilrc ; D ieu sa l i com iiiode.s nWioii

ftUjM'èinos, il s o r t (aunuienUS d é n a tu r é . |H>ttr s’.-ibain-c syin v ille , p o u r é b a h ir , u iic h a n le r le j>ett|ilo, e t iNUirs'imiiKn (A lise r daiiA l 'h is lo ir a !

K l lotis (’X‘.s C(hi)iûis, loûs (oiS Julpii{ ,l cps oisif:; m itUcs ces machines 8otidoyéc8 jioiii' luiiruci* iiiccssÂhb'én atjb le manège de?i volonljcs sucoiidaircs;'i ib soni prlvi10 notre bon air des chain|>s, dé iiolro eltèro lilieiié, s’e énimnl-ils du.riancaii ! ,lo.ujoui-s côhVro ftrmaure, bie

c u rc iid ii , n ia is (jù y fa ire ? D 'a b o rd , t(NW£MiJ»raB.du flout siiiv e iil le c é i i rè ; C (» l t M nn liitx ;l, c 'c s l d u l 'im ita lin n , c'c»d IntijoiirA a ii ln id d u p r i s A u u h ii d o n l M n v s c r a i l iZ d u tu i i l l 'A c h é d ’u ira ib lh 'la posiU éd , ,

K l q u e n e [las d iro d e c e s p lu s ignoble* CdMUUia prém/i d i lé s , é c r i ts , ( |e ces t r â i l s si^ iiarés d a n s l’u in b re c om nic eu b o m b e s in c e n d ia ire s d é |io sé e s pAi* (Té riv a le s perfid ie s somles flo ls iiino(‘a )n ls '

E o iiim eiit!fa n g a e ti» f lM x l* g n id e |t i i« t* u tra 'm v e B w ^ B ie f ie n lll lfe if l i ila ii ia ii iq ii i h* in az ,. •- - "la ii ia ii iq ii i le to u c h e , l’Idée q u i s ’e n occupe] ïlom n te iil i m a jo u te ra foi a u x délatioiLs d u m isé ra b le q u i i)’,A p.i;t stinb im m l le c o u ra g e d o s a n o ir c e u r , sc illem e iil le cdi(r.l<»e é, s u p p o r te r la li im ic rc d u jo u r !

A illeu rs d 'u n v ra i s e rv ic e A r c m iré , d ’u n v ra i biôii i\ ré p a iid re , q u o i? vous c r a in d r ie z d c vous m o iilre r . d o voni■ .t.. .....i.» A.. I. *.liipm m oi’, d e v o n s c o u ro n n e r e u p le in so le il d u m érite i, (lllls ré e l; d e l 'u rg iiu il te p lu s ju s te !

Les té n è b re s , vous voyez b ie n q u ’e lle s n e récè le iit que lec r im e , ( |iie la h o n te !1-0 Imn sens dc l’homme c.sl souvcnl en détaul, elles sunl-elles parfois assez uvcpgics, as. jllantiiS c a p a r i lé i in f irm e s !

M ais, d ira - ls m , le m oyen d e s c re n sc ig m y , d e sav(i|r i lo i » 'en te n ir ?q u o iL e m oyen? le vo ici, to u jo u rs A v o tre d isp o s itio n ; j[

s 'a g i l ([lie (Je vo jilo ir l 'em pb*ycr; e t , le v o u lo ir , c’e s t ciicoir a ssp z r a r e !

D onc je chas.se ra is v i te c c s n u é e s d ’in sec te s a u iHiurdoniic. m e n t v én a l, e t j e chcrchoraL s a v ec la lan te rn o (Je Üiogèac ly ie in ten li()ii [Mire, u n d év o u e m e n t sa n s b o rn e s , ù d désin.te r e s s e m e n l (â iiiip let. L a déliii;ile.s.sc, l’ab n é g a lio u n e soin p a s to iil-A -fail é te in te s [luu l-é tra !

Q ue lle n o b le lâ c h e , q u e l h o i l ic u r , q u e l p ro fit d c les ré­v e i l le r d 'u n e longiii; so m n o len co , ce s . v e r tu s a u lii |u e s ! ces hoimiKM tra d itio n n e ls , q u i n e c ra ig iie iil po.s d ’en lre t(9 i i r en e u x lu feu s .ic ré d e fa cdnse ienco , a u lieu d o les rdlégiicr p a rm i le s n ia is , j e ni'efl'orccraij} d e les r é u n i r e n faisceiuu [u ê c ie lix , d c les e n ré g im e n le r en b a ta illo n s inv inc ib les ii j e l e u r c r ie r a is un p le in o rd r e d u jo u r : ’

V ous, )iossè.s.suiirs d 't;s tim e , d e con fiance ; v o u s a rm é s de l 'a m o u r d u pays, vous n o s m o d è le s , co u re z A la com iiiétï d u v ra i , d u hou ; vous .seuls vm icz m 'é c la i iv r , m 'éd ilic rs tir le p r ix d e s lion iiues e t dits cho .scs: venez m ’appn iie r ili‘ttü m c u t, f ra n c h e m e n t la lo u an g e o u le b lâm e d(s ne iip le s , v en ez m e d év o ile r les r e s so r ts d u l’in tr iu ic les ofroi ts du l 'ég o ism e , la lièv re d e l ’a u d u tio n . l'im m ureiir d e 1 a u d a c e ; vouez m e le s in d iq u e r , l e s d is e ip le s d c ladm i- tu r a , les a m is d e la p ro b ité , le sc a m tn m ie is d e la délicatcsso v en ez m 'a s s is te r p o u r g u é r i r le ca iicc i' d è l 'e r n u i r , lesp1kî|..,lkk.kll(., ili î i.».. A ...... I..A .. . _____* ( . .c id re m e itts d e l 'in jiis lic e , p o i i r t u e r ta u l d e passlim s (iiii ra n g e n t l 'o r d r e so c ia l; v en ez m 'a id e r A b â t i r u u édifice à I e p re ilv e dos rév id u tio iis e t dc.s s ièc les . «*

.e c a n c a n , d e s h a u te u r s [lo liliquos, d e s œ n d a u milieu d(;s sa lo n s ; il y rè g n e e n d e sp o te , e f , d e s a lim e , d e

e iim te p e r lé e s , p roclairiées!,

q u e lle s d é su n io n s , q u e lle s ra n c u n e s , q u e ls in a lh e lirs n'a-wi p a s e n fa n té s !

Le can c a n n e m è n e -l- ii p a s A la h a in e . A la veU‘»carr(X‘I sm cuh*, nu d u e l, a u n iiîM liv , A l’é c h .ifau d ? ‘E ep em la iil (juels h m in e m s o n lu i d é c e rn e (;n r.o re ’ En

m énu! te n ip s d c q u e lle f ra y e u r o u r e i iv iro n n e ! 'O n le re­c h e rc h e , on l'év ite av(s« le imême so in ; ou le d é s ire comni,; la v ie , o n le re d o u te c o m m e la m o r t!

D ans la p ro v in ce , d a n s la c a m p a g n e ; le can c a n n ’e s lil pa s d a n s le j o u r (pii lu i t , d a n s l’a i r ( ju 'o n rc-spire? la i can­c a n n (îs l-il [tas l 'a l in ie u l c h o is i, co n tia u e l, I c m o ld ’évanaile de s p o |m liitio n s? »

A u b r u i t m o n o ln n e e f rfinfu.s d e s pofitc.s lo ca lité s iova- g e iir , fu rcd d e vous im |d a a lc r d a n s l 'é l r a i t èspiu-a*, n e viiin w n lc z - i im s p as co m m e a s s o u rd i, co m m e h é b é té , coiniiic to m b é d e v o tre d ig n ité d 'h o m m e ?

l'nA (lu to u t IE n effe t, vos o r d i le s s ’y fon t A m erv e ille . L a confaginii

vous g a g n e , e t y ijns co n tin u e z p a r vous h a b i tù e r a u c a n a i i a in s i ( |u e M i th r id a tc a u p o iso n ; vm is e n a rr iv e z A trouver c x c d le u l ce b re u v a g e q u o tid ie n , exc lusif; m a is c e b rc u v a sc p e r f id e re n v c ra e rn v o tre ind iqun idancc ; m a is , so u s Ira hallu­c in a tio n s d ii c a n c a n , fa ib le , |K isilln iiiine e n face d u dèvoir. TOUS fu ire z les i r ré p ro c h a b le s p o u r v o u s 'to u rn e r v e rs ccik u n e la p ré ra n lio n o u le c a lc u l e iivehqipe d 'u n m asq u e sé­d u isa n t e t tro ra p c u i '. .

I.'iffnociû il on le m alliem -eiix « tygm ntisé p a r le c.-m'can. n e i-essem hle-l-il p a s a n P a r ia d e l ’In d e , a u lé p re u x d(s an c ie n s , tem p s? N(! ro iig it-o n p as d e le c o n n a ître , n ’évite-

‘ r t ‘ «I - le c a n c a n ie r^ n es 'h o n o ro -l-o tid è le fiib |iT cn té r? - *- •

N ’i in p o ’r f e ! D (ja fu i t a u x h a b i t u d e s d u l ie u , v o irs volis g a r d e r i e z b ie n d 'é c h a p i io r A r in f l i ic n C e d u c a n c a n ; s : f c o u ­l e u r e s t lu c o u l e u r i in e v o u s a v e z p r i s e : s o n ox iirom -» o<i i.»m ie u r q u e vous avez [ irise ; so u ex igence e s t lu re a lc n u e vous aclrt|itcz ; k! ra ircau ', il so ia la voile, lu kuii- v c rn a d , I a n c re d e vo tre ' n .iv ire. l 'a n c re d e .v o tre n av ire ,

l 'a t i l- if vo'us on fa ire u u c r im e ? En c e la , vous n e suivez q u e e .xenqde su p iir ic u r . l-es puis-sances déparlcm en 'la lcs u o n l- e lb s [las le m êm e p en c lfa n l, le nR^ine a m p iir? N dril- e lfes p a s Iciii-s o d v r ie rs , l e u rs re c rh le u rs ifu 'c a n c a n , Icstprelsso n t ra v is d e l(W . ib a s e r p o u r d e l 'a rg e n t e t du s ’c 'ngra sser d e l e u r c ré d u lité >

C u jicn d au l e lles .sont [ilacécs, to u te s ces pul.ssnuc(xs di* in a m è ro A ne r ie n ig n o re r . De la luo iriagnc , ne v o it-o n p a s ce q n i s e pas.se d a n s Ions les co in s d u vallon? E l d a n s c h a ­q u e lo ca lité , q u i, d 'h o n n è le .d e b ie n in te n tio n n é 'n e s e forait u n d e v o ir g ra tu it, u n (d a is ir d rsin lé rc ssé d e v a n te r la [Miretc d c l’a tm o sp lie ra o u d e in é n t r e r dos tach es A l'iio-

h t i(]. c an can d o s pelitiw g en s , le c an c a n d u co in d e ruê ou d e 1 éch o p p e e s l-d as.sez ignob le I c ’e s t lo fange q u i vous s a h l e n p as sa n t ; c e .s t le son l'de im |n q ;q u i re m u e lo fleuve jio u r m ê le r d c la vase a u c r is ln t d c l ’o n d e .

N’(Miblions p as q u e (e can c a n e s l au ss i lo p ré c u rs e u r 1 m s l i tu lc i i r , l ’in tro d u c te u r d e ces c o te r ie s do p ro v in ce for­m ées p a rfo is d ’élém cnt.s liv s-s in g tilio i 's , m a is q u i n 'o n d o ­m in e n t p a s m o in s la v ille so u s la p ré s id en ce d u p lu s forl

N e p a s ù tra d c la c o te rw , c 'e s t ro s to r é lr a n g c r A fa 'homni-, - P— . A ,,:, <v. u.iK iiiluvi, uü lit n o s (10 ■

l’o i i r s y y u ir am iiii. q u c llo s iran a fn i m aflim s. a » irio rai aa lillysm iio i C phiw o il fa iil sc ta il le r , s e fa™ im i.r le c iê lir,

t e n i r a u rrfveaii d e s élu.s !■ N 'im p o r lc ch c o rc !

L a l ib e r té d e consc ience , q u e lle iro n ie !

Le c a n c a n , d e <{uels a u t r e s b ien fa its il d o te ses favori.-»! C eux q u d g o û le , d e que lle s [lerfcclio iis n e sunl-ils p as doués

Page 3: AffiONCEB «fUlClAlRES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_10_03_MRC.pdf•r Kotat' ctoure enve rs. 1 Jours ro qui itinfé- Is ré- ursen irplus sur la otoLit- nblütte

I .n ilis , iU soiU lic a iix ; nu^tiliatils. iU s o i i l Iumik; iléi)ràvA.s, i ls so iil v e i'lu tiiix ; n im issu ik '.;, ils so iil a iiiinb lL s; v u lg a ire s , i is s o i i l a b s iin ln s , ils u n i «lu ru s p i 'l l : iiiûd iucrus ,i ls ix^spiuuüisseiil d u g é n ie !

T o u te s CCS « jualilés ( |c c o n v en lio n , a iib le s p a r la m ulU - Inde» q u e devItfiiilrtiiflH ldilles b o ra d u c à n e a n ?

E l r a r n ié ç , e t lu Ic in p io c l le c tu îlro , iiiiag lno -l-d ii «ju'ils ^ ro re s s c n t là h a in e d u c an can ?

D ans l 'a n n é e , c h e z ce p eu p le « ra llie , le cailc«àn li'nvJso* r a i l d l d o j e t e r d e so n o d ie u se v a iie u r? d s e r p i ld l o M e u ro r j e c a j’a q l ^ b c lieva lu restu iu d u g tiu ir i iT , l 'a y o n ir d û Û ravo, Cl SOI 'VMS 'éch o s s e in c lb ra te n ld ls aüX ûûlJles écliu s d e s iK daiîlcs?

E l le s vo iles d u l.ciuple, c l la g r il le d u )>Hrl(ilr l l y m i ld l s p assag e a u c a n c a n f D ans l’ég lise , d a n s le d o i l i 'e . le c a n c a n m o rd to u t a u s s i p re ro n d é m c n l la c l ia i r q u i d a n s tu ,m o n d e; il y g lis se d a n s lü s v e in es u n |hûso ii «pli s 'iu co rp « irc avec le s a n g ; m a is il s 'e x e rc e (dus d is e rè le m e iil c l so iis d e s rd ro ira b ien p in s m o é llcu sc s , D ar e x em p le , In n l co m m e a il le u rs , so n p o in l d e m ir e e s t tm iia iirs la s i ip r é n ia l ic : le c a n r^ i i lù i c h e rc lie ra . lu i ( ro u v e ra d é ra ii ls c l lo rlS ; c l , «unis r a p p a rp n c o (le r h u in 1 l i lé ,4 u d é la .c h e n ic h l.i l lAchiira d ô r e n v e r s e r q iil ro ff iisq u e p o u r s 'e m p a r e r d u |>oste.

Ic i l e e a u c a n n o m a n q u e ra p a s non p lu s d e s e rv a n ts , d é ro lp o r lo u rs , d ’a m lta s s a d c n rs , ircS 'S o h ru s d e s« m e iru s io n , ceuxdA , n ia is , a u d é m c iira n t, I r é s - a n lé i i ls & te s a is i r , I rë s - KoigncHX d e le r c n c o n ir e r a n b e rc a il lan n m c u n e n io ü 'tu u pro liU ik le , c o m m e u n e b u m ic p r is e d e g u e r r e

Cè|>o.iidani le c a n c a n , n 'c s l ipi'.un b r u i t l'ug ilir, q u e le In itô m e d es p y g m é e s , q u e la n u i i r r i ln ro d e s p e tils e s p r i ts i q u e Ip c h a rm e d u v iilg a iré . D’a c c o rd ! M ais q u e l lin m in c sé r ie u x , é m in o u l a u r a le c o u ra g e d e le re p o u sse r^ E l rc> m a rq u e z , s ’il v o u s p la ît , q u e les p in s d é c o ré s d e s u p e rb e s d é d a in s p o u r le c a n c a n , so n t p ré c isé m é n l le s p lu s om p reâ - ^és à lo d 'cccv o ir , à le c h é r ir .

1 ^ «cancan a s s is te lu p ro u iic r a u x c u n tra d iid io n s d u l'os* p r il h u m a in .

N 'e s ld l p a s r ré q u c n l d e (u ii l lc r les rég io n s d e ra ig le , p o u r s u iv re le n io u rltu ro n «lu ru sp a c e , j io u r ra m a s s e r lé ié lU d a n s la p o u ss iè re o u lu .ro su a ii d a n s la vase?

A pron«)S :E tiez les g e n s .d c le l i r e s , r tiuz c e s . I iis lo r ic n s , ccd p o è te s

q u i p la n c n l s i llei'd au -d e ssu s d u n o u s , p c n se - l-o n q u e le cnnr.an a i l acc«\s. ’

N ous, é b lo u is , p a r le s ray o n s d è r e s g ra n d s gi'm ies, si n o u s p é u é tn m s d a n s A e s a ïu d u a ire d e le u r im m o r ta lité . (|u ’y tro u v o n s-n o u s «A c«Mé d e tuni-s d iv in e s iiL spIralions? Le caïu'-an, la c a in a ra d u r ie , s a d ig u u s iq iir , u.s«’.o r(és , tudns! d e te iilu s les misèix!:^ «lu n o tru h u m a n ité , q u e «^s ro is «lu la [lensée id é a le e t s u b lim e s e m b te n l n ’av u ir j a m a is to u ch ées «Ut p ie d . ■ '. N u i n e ri-sistu a u c a n c a n . I.'c c a d rû n fan e les p lu s i)c1les fleu rs d e ru x is te n c u , il un pur«u; les p lu s lieaux r ru its ; il un « léraciiie les a r b r e s les p lu s m ajcsIV eiix . i,e caiir-an s 'in t ro d u i t d a n s lc.s m oindre.s t is su re s d u la v ie p o u r y la is se r d u sa b a v e , d e so n iiel o u «lu r-c b a u m e fac liçp d o n t vo'us a u re z b ien p lu s à ro u g ir s 'i l vuus r e s te d é là c onsc ien ce e t d p coeur. ' . .

E t p a r to u t lu c a n c a n vous d é c o u v re , v o u s a t te in t , vdiis scc«m e, v o u s g a lv a n ise . Sous la c o m m o tio n «lu c a n c a n , V«>us v o leriez ju s q u ’a u x n u e s , vous vous p ré« àp ite r icz d a n s lu goulTre, v o u s p ra iid r ie z les or«>pi>rtiuns d u g é a n k vou:^ v o u s réc lu ir icz A l’c x ig u ité «lu l 'a lû m e , v o u s su b ir i t ;z les fu rm cs le s p lu s b iz a r re s .

Lu c a ra c tè r e le p lu s o rgu«ù |leux , le id n s re b e lle , il le to rd e ra co m m e u n e faib lu l ig e : il l e 'p é t r i r a c o m m e u n e pù lc m o ite , e l s a n s q u ’il opi>osu d e ré .sislance .

N on , q u o iq u e v o u s fassiez , vous n e fu ire z p d s lé ca n c a n . lÆ p lu s so lU a ire , il le re jo in t ; l e 'p lu s c a lm e , il l ' a i l e ; lu p lu s m u e t , i l lu fa it p a r l e r ; le p lu s ino irunsir,, il la lU i* q u e ; le p lu s p u r , il r u n ta c h e ; lu p lu s in n u é c n t, Il l 'in - crim ino .

Mate sttyez fu u rl> e ,,in éch n n l, c o r ro m p u , v o u s n e r isq u e z p as d & q u e lu c a n c a n vuu.s p ro tè g e c l v o u s a b sr tu l.

R é p u ta tio n , e s tim e , h o n n c t i r r e p o s c n ld o n 'c s u r le c o n can ? E c rla in c m e n t ! S i le - c a n c a n n e v o u s '.g lo r in c , s ’il n ’on n e v o tre v o ile , o ù d o n c i rez -v o u s , panvi-e ig n o ré d u c^; m onde.? V ous i re z o ù va la feu illu so lita ire o m p o rlé c p a r le.-« v é n is ; e t; co m m e e lle , v u u s v o ltig e rez , v u u s d isp a ra iti-c z d a n s le v i j jc l , , i - -

• Q u elle h o r r ib le p e in e à u n h o m m e q u i e s t s a n s p ro - ■< n c d i’s u l . s n n s c .a b lu e l q u i n ’a q u e bua im q u p d e m ui-itc » p o u r to u te rc ia u n m a n d a lio n t k s«* fa ire j o u r A tra v e rs• . I'«)l>scurilé o ù il s e tn m v u , e t d u v e iiir .n u nivè 'au «l'un fa t• q u i e s t e n c r é d i t ! » é c r i t L ab ru y èrc .'.

E tes-vous p h ilo so p h e , a n a c h o rè te , s a u v a g e ?A q u o i b o n ?ia) c a n c a n s 'i r r i t e r a d e v o tre sag esse , d e v o tre réc lu s io n ,'

do vos d is la in s ; s f ir «pie vm is ni! p o u r re z von.s d é fe n d re , il voiLs p rê te r a d e s p a ro le s q u e v ous n ’avez p a s d i te s , «les p e n ­sées q u i h e vous v jen d ru ie n l ja m a is ; co m n e u n f ra lo n le can c a n b o u rd o n n e ra saiks c.esse a i i l è u r d e v u u s, e t , m o n D ieu , vous fin ire z p a r n iu i i r i r d o sus p iq û re s .. liO p o u v o ir «Di’éxérc«i le cA;i«ian, la tu r i-e q r «iù 'il in s p ir e

c itlèv e iil l 'I iom m c A lM H ilém s o t i d q é i ia ln ru iil co iilp ik o .- m o n t. E e pouY«Hr. c e tte Ic n -e u r u ilcU ainen l lés p a s , üa t*

Klie n t t r iHsnséé, fe rm e n t la consciunc«i, ija ra ly se n l rliis* ic i d u d o v p ir e l c lia n g c n l les. p lu s d o u c e s ex p an siô n si

dü.s m in u tie ,S ,to ü id iirs a b r i té e so i is r a u v e t i l d e s p ré c a u tlu n u , to u jo u rs ç i i v o l o p ^ d û llle l p ré s u rv d to n r , lo iijo ü rs a u p û ste «jii ip a l, so u s le b o im l jc r d u s a tu l ; e h b ie n ! le c a n c a n , c e lle h a rp ie d l i .b a u q n é t d e r t in id a n i lc , ce po iso n «le l’e s p r i t , ce tlé a u d e l’â m e , liioi» j e v«>udrai.s Ip c o in b a ttiv , I a n é a n t i r ; j e v o u d ra is r q x l i r im r jiH q u é «luiis s e s m o in d re s rdc'uics.

Oc o rim o m o ra l , j ô tu c o iiv r im is «lu r id iu iilc , j e le fe ra is h u e r , e t j e le p o u rs u iv ra is éncoi-é n lic ilx q u e le d é l l l dC ' c o u r d'a&siseS. L é c a n c a n n iu r . Je ,lu i per«’s :ra is la , la n g u e ; [;nininé le m i to iu is IX f a is a it a u n iu ti to u r ; j e lu i iiitlig u ra is d e s p e ines in lilm an lc s tu lles q u e r^slui q u i . u n s é r a i l f ra p p é rctescniblu a u f lé tr i d u b a g n e , e t c e tte f lé tr is s u re tro p «louce p o u r lu vol d e ia r é n i t ta t io n , p o u r le m c u i i r é d u r i i o n n u i i r , j 'o r d o n u u r j i s q u ’e lle fd l a p p liq u é e a u n iiliu ti d u IVunl..

, . ' l 'a r tn y D éno ix dus VKaifxKs. O u a u v n is .jn il lo i i8 5 7 .

(Tditeécriitlan «lea uoviveaais cinirlièrbM (l’Olftiu C!t de I«ods|iérlcr--Hi>iiH>D(ituniiir<iai«

S.t1ol! ô i-Iiiiii)|ts ili's iiiori» : novrt-z.vns |i»rt(*s sainips,' Ijp pri’lrv v ifiil liénir vos lioovpltpii pnct'iolPii

Vos m ors bîtlis d'Iiic-r, an jourd 'ln ii ro o su rrc s;IjnisM Z-noos, ri-tfiit’iiiis so in rt-.-io ipii »«ir» .ispiTgp,V oir siox dtioil (S sans larnics .«-pUc tc-rn: enoor vierge

Où iioiis tli'vmis é irc eiitpirvs.

S or ou Ivrlrc ritcnr mi s’i'li^vpol vos rnlvniroa; l>-ors cro ix , lo in do piiys, soiit vocore sutiliiiri-s,L n ir C tirisl u ’pst iinsciicur coiiiui clt-s luili'liiiils, l^ 'iirs (b^rès oc soiit plis usés pur In p riéro , ijtriirs brus u’uiil pus encnr, idriorbis prie la lu incri*,

Vivitli scHtii l'piup'rphdo ilo Iriojts.

A’otri! sol notrcfois fiq, Piivabi p.ir I 'oiiiIp , ,Dais tard il so couvrit d ’une foiét profondi*,Uiputol l’a rl le rend it plus fcriilv cl plus Ik.mo,D e l’hiuiimp unjnurd 'liui triste et «Ipriiicn* driueiire, il ne produira jilns «pie le sau le qui ideorif.

Q ue l’hcriK qui coiivrù un tomlie.-iu. < -

Au lieu de ces Iroiipcnux q u i puîssuient vos lieili.-igcs,D e ces fleurs, CCS «ibcaux «'g.-iyaul vos laiiiagcs;Au lieu de CCS (iinissous «pii dn'r.iiput vos guércts,Vous verrez le eyprè^ nssoiiiliiir vos mitidillcs,Vousvcrr«‘Z su r vos croix l’oiseau des. runcruilics,

Vous ti’cntondrcz «pic dcir regrets. '

Vous sen-z d 'os lluniaîiis le vnslè rflup ln ire .' ' l ,e pnrlbpic fuuçb rc 'où , pour iiiic uiilrè splièie,L'Aidc laisse eu purluiit sou vélenieul m ortel ;T ous ivreZ le grand fit que personne u’cuvie, ,O ù les lioiunies vieiidruiil, fatigues de la vie,'

U o n u ir d u sonuncil clefiiel.

Vos portes s'o iivrîront pour des convois fiinèlirps,U u solitaire eu pleurs p riera dans vos téuètires;

' l,p silcucc o l la mort garderont votrù K’uil,Votre lierbc cifai-era la fortdiî*'» lî* gloii** » nVoire asile li’nuru «pi'uii non» pour la ntéinoire, . .

Q u ’une loinbc pour un cercueil.

Chez vous d 'u n momie vain fuyant lu pom pe vutne, .Du cœ ur religieux on bien quci<pi'«‘tiiie eu peine V iendra du nos g randeurs fouler la vnpilc.P laindre ou Iw nir ici l’Iiommu «jnc Dieu rappelle.Et stir lu Ib'ntli6 «lù gtl sa «lépouillc niorlcUc

M éditer l’itniuorlalilé.

Aliiis 1.1 lelîgîon sncrcrn votre Irrrc ,Chaque pnncc, iuvoqii.-i'ii.i Iciir ange tiUcluire,L 't^ lisc , an nom de D ieu , viendra Ikumi' vos morts.Dans l'espo ir ou, la c rain te , à genoux su r lu pierre,Vous verrez des n io rttit lic«ircux par bî prière,

Ou m alhéiircux p a r le rem ords.

El ip ia n l aux eutip? congeiirs d 'un lo iine iic qui g iu inb ', La Ironipclle icrribb^ cliinidcr.i le m onde.Vous seuls y répontlrez ; seuls des cbam ps d ’idi*ntour Vous veiToz s'iihiincr volic liunuiine ponssicif.E t vos m pris, ccontimt leu r scnlcncc dern ière .

S ’effrayer de revoir le jo u r.

.. Duisicnt clii-z vous le lu-nit respecter li silcitct^ counuble Ironvcr le pardon ,,|a «ilrpicnci:;,

N oire liomningv honorer le jusiè , l'iirnoeenl :Diiisscnl vos iirorty pour juge un jo u r trouver un père D ans ce Clirisl uni li's|r(ingc ici tons sou calvaire,

E l les rnclieler de son sangV ictor O l’F IlO V , de D am niarlin.

t Æ » i i l i n r j s .

A P a ris , siir le qu.il Ji> lu Alégtsserii-,U ii m .ircband, réiioninié pur sÜ quincuMU rie,P o n r ses lilnc.s sn rion t, une ceiiiiinu iintl,G 'u l dans son inagaMn cnlenilre quelque bruit -, r cconte, lo lirnil redouble de plus belle.Il se lève à lu liùte, ulinnie sa clinndclle;N otre boinm t beiircu<ctn>'nl crurgnail peu le d .ingcr, P as même les v ideurs; alors d 'un pus léger,

, JI descend... que vu il-il? vous ne Icneiiscz gu«‘:rc.Scs liiilès, o m albenr! qui sc fa isiil'u i la gue rre ;

: Uon Otcii! quel tin lam arre et quel acbarnem eui I l.c'irïarclinnd sliqxifait les regarde un nionictil,

' Il les voit s 'a ttaquant coinme des fniibondes;(î’çluiciil lus Tiiv t-po iiiU niDi'daut les l)cini-niti<{fs, Q uj.le leur rendiiient bien ; jng iz quel carillon ; *loi R dpe dévorait le |>nn«ic Fauvillaii,C’étiiit la Lime piale «'grén.anl la Ihilanli', "Avant que ceUe-ci puisse .«e mettre en g a rd e ;Il voyait tout auprès les L/mc.r « carreau.Qui nu ii)i'nag<-uicnl pas les lÀmes h D uisle Fancillon p im à l’ardeu r împiiissanle,Usant toutes ses ileals su r la Lime fen d a n te ,'l 'nnies, dans leur fureur, se m ordaient sans p itié ; Notre pauvre niareliaiid reste péliifié :A rrè lri! c r ia - t- il, en Iruiclinnt scs o reille ',Non, je ne vis jam ais fidles'à vans pareilles ;Quoi! vous battre c u lte vous, mais c’est vous uvîtir,

' ymiSj.faijcs pour e rre r, vous, faites pour polir Vous, d ’un sî b ran liiii, si forlem enl Irrnipees!O li! qu 'il lu’esl do 'ilou ienx do vous voir occupées A vous m eilre en lam beaux, hors d 'c la t <le seiv ir,E l cela, dilc.s-tnoi, pour ipii? j>our assom ir Une lia.lie, citez vous (pu- suscite l’envie.Faites pour vous aim i-r, e'esl donc la jalousie.Qui vous fait au jo iird 'b li von.s enlre-tlécb ircr,A quels excès, bon I) en, venez-vous vous livrcr-1 Votre rôle clail li.-aii, je dois vous le redire.Non, voire mission ii'r^l pas de vous délruire, l.'liomme altend.iil de vous quelque rlinsc de mieux Que tout ce qui sc passe ;i p iésenl sous mes yeux .Une aveugle fureur en tra îne à la snifise Et la sottise h tout, aussi je vous inéjirise. l)u ce lioniriix coniba;, dites, (piri est le fru it?D e tan t d 'arli irucnicnt quel est dune le p tuduil ? Q uelque peu de lim aillr, une vile scorie,Pour de sales «Icbat.s qui- rien ne justifie.J e vouscbassd d 'ic i, nième avant qu’il soit jo u r!(à:lu d it, il les p rend , les js-lte dans sa co u r;Elles j sont ilc|inÎ!. eonverics par In fange ;Le luaii'band 1rs dédaigne ci lu rou ille les matigo.

Alessienrs les écrivains,'ceci s’adresse à vous,Pour des mots, p on r des riens, vous vous vliiim.tlllrz ti i.e fru it de vtis ta len ts sei.-iil pins profliablc '8 i vuus u’im iti'Z pas les limes de m a fable.

MiVCU.

B S K X C O n iT R i:.

J 'a lla is e rran t ce soir au m ilieu des prairies.Mes pus faisaictit penelier mille plantes fleuries.E t luesyeux , quelquefois tournes sur les gazons,S.! relevaient souvent vers les bleus horizons.O n n ’entendait dans l'a ir , dans les lieit)es nouvelles, D.ts un b ru it, pas nu chant, pas uu fiûlem cnl d’aîlcs, P.ts un clioe ; ce 'sitenee était burm onirux :Gnr il semblait coufondre et la terre e l les elinix ; T nu l, oni tout se t.iisail. c l de l’eau pm e cl douce A peine on distinguait le babil sous la m ousse;

Et des feuilles du bois, le jo u r -i plein d'aecurds,A peine uu «eut ilii scd» luisait b ém ir les bords.Lepcndaiit piè.s de moi \ii,l à pn.sser rércuse L ue fille des ehanips, alerle mois.suuuetise,Q ui, m aicliant lentement dans les prés 'vvils,-ti>oJI uns;1 araissait écouter «les acceitis iiieoiinus.J e fts un pas vers elle cl sur soit fiai» visage , l'ucilciueiil alors je pus lire son âge,El j é co m p iis . La belle, encore nn preinbrr jour.Ecoutait diins sou cœ ur chanter tonl lu s l’am our.

Gu»ni.p,3 U E C N A R li.

T 5 ! l 2 A T K l ! : .

L iiiitll d tjn iic i’, il y a v a it cn«;ofe p liis tlt; iiiou ilc . Déitlflé- in iîiil la tid iip ij tic M. C ofa il a la vogue r e l ie aiiiiéiî. A tissi les a r l is tM c lia rg iis iltw pi-iiicipaiix r é b 's uiii-ils jo ité U «iiMtno (le MidhHdo avec U tlctil. D citdatil «leux Itcuixîs le p u b lic a li-e.ssailli a u x iitro iliiite s d e M alliilde q u i ch ttixbcA é i 'h a p p c f a u x po»fstitle .s d e L tig a r lu , e t ou a vu av ec p la is ir II! «iéitiiiiiiiiteiil do la piôia;. L u va iid cy llle d u D alais-ilnyal a lo fiiiiiié joyo tison te iil la so iré e c l ttou.-t a re p o sé d e s ém u- liü iis «lu d ra ttu !.

l .i tu d i pi'tii'liaûi o u do itiic t'à iiax > rM ')Z 3 S L zjB d £ x a F A IL L E o u /»; Scci'ct «fil (oinbuati, rliaimo e u fl acl«;s Ct 7 lii- b lem tx , (Iti l l ié â i iv d o la G a ilé , p a r M.M. AtiicÆi iu iurffceis c l G . L ç » i» iu e .~ C o s tti in e .i i m u u x n i tt«m veaax c u tife^ lo n - n c s sp ec ta icm o iil p o itr c e lle p ièce . D écoss tiu itvcaux m U a la dispo.sillüii d e ra d tu iu is l f a l in u p a r M. ic M aire , tlii f in ira p a r l e c h a p s a u d e L ' a o t ü O t t s u . ro in é d ir- VittidevtUe on u u a c te , d e r i t iè re p ièce d e .h"" K tnilc (b- f l i r a r d iu .

— .Sous vor.om tnnndoits A tins le rlrire .s li:.- n in g asin s dt; n n n y ea ttlé s «lu /'c//f-.S'aûd-T/j«»t(iÿ. «annuie l'étc ib lisseiiien l le tuiuiix n ssftrti d e la r.itp ii.ile eti I ta tilc iioitveatilé.s, suic- n « s , con fec tion , a m e u lile in c n ts , e tc ., el<^. (S erv ice sp éc ia l c ré é p o u r fa p rov ince .) — E xpéd iliu ii f r .ijie d o p o r t p o u r to u te la F ra itc e j u s q u 'à d c s lit ia tio n .

— Le « le rn ic r n tu n é ro d u ilo n d c ilU isirc d it 2 0 s cp lem ltre DtaT, ci'iilio itl lo.s g ra v u re s e t les a r lic le s .stiivan îs :

ïicxTE. G u iir r ie rd n rc lo iir , p a r A itd ré . — Iria tig îirn lio n , à R«tttic, «le la co lonne rnonu ru c itla lc «le l'tu itn ac iiiée Con- c rp tlo ii , | i a r J tid ile . — E g lise d e lle 'le v iü e , p a r Ktîlficiirc G ir a rd . — (a i t i r r ic r d u c a m |i d e C ità lons, p a r D u v ill.— G usliive D Iauclie, p a r E ru o s l D au ilc i. — S c ic iirc s , beaux- a r l s «;i tra v a u x jiitblic.s, p a r L it. dV>rg«*. — L o iir r ie r des i 'y re ttéo s , p .tr A riiille J t ib iu a i. — Vovage .sur ie c lie ittiu de fe r «le H o idea tix à C elle c l à n .iy o n u c, p a r à fa ry L afu ii. ~ ’l l ié a lr c s , p a r C h a rle s M otiselid. — C brou itjiu t m u s ica le , {lar A lb e rt «le L asa llc . — R ulictiii d e la tiiod«î. p a r lo lan d e .— re iti l ic to ii : ht VoÎj: d u sanej, p a r Isvui» L ü iach .

GiiAvrucs. tia u ip île C ltâ lons : le v id ag e d u G rnm l-M our-in r lu it. — In a iig itra lio ti, a U oine, d e la co lo n n e m y an iu en - ta ie d e riu ii t ia c u lé e C ouceplio it. — S alon d e 1857 : l tt eu- le r re t t ic u l à la T ra p p e , p a r .M. Fottlo iig iic . — L’ég lise de l ic llev illc . ~ Caitij) «le Ciiâl«»ns ; Jeu tic* Info d es zi)unv«‘s.— Aspcr.t d u c a m p d e la c a v a le r ie , — Slr.lion d it D rlil- 'M o iirm clo ii e f i i ia u g u ra l io t i d u «rlifqniu d e fe r tic Cliâloits nu cn tn p , le 15 s e p le in b re 1857, d 'ap rê .s le deiwln d e .M. A riii.iiid D u n ia rceq . — C otiim c oit lo rg n e .. .; le s l ’r is e tirs , p a r D a in o tire lle . — C abiite l d e tra v a il il 'A lcx an d rc D qm as I tè r e . — .Modc.i p a r is ie n n e s . — R ébus.

Oti s 'ab o iiite A P a r is , à la L ib ra ir ie .Nouvelle, 15, b o u le ­v a rd d e s K a jicn s .

Le M onde illuslfi'SQ Xcwd a u n ti tn é ro e h c z to u s le s l ih ra ire .i d e Jiittre v ille , c h a rg é s «'•galettienl d e recev o ir les abo ttiie -

— Lu siipilrinritc de b n o u velle n ic th o d e d es D enis et D en tiers s a n s r e s so r ts «lu «b icletir Giox, a é té d è f tn i lh a u r n l cn ttsn crée p a r le J u r y d e rcx p o s ilio u tiuivers«;ife d e 185.5 . la p lu s h a u te c l la p lu s g r a n d e « ra /a r/fJ ip ti a il l a n ia i s é lé ap p e lé e à j u g e r c l à a p p ré c ie r tc.s tr .iv a iix e t lo.s découverlc .j d e la sc ie iiee c l do riiid ti.s lric u io thn iios.

Oit itc s a t i r a i l , ou o lfel.^ ricit v o ir d e p h is in gé tiic ttx , «le p b ts eom m ode c t d e p lu s sn tidc en m e ,n e tem p s , q u e b \; p ic ro s a r li l ic ic ü c s e x écu tées p a r r c l h i i l i i lo d e u l is le q u i v ien t euc«*rc d ’c n r ic li ir l 'a r t d e t ila ire «l'une dêcoiu 'ct'le d«s- l i t t ib A g u é f ir c l A co itse rv e r le.s d e n ts , in è n te tes p lu s «bu- lo w eu ses e t les p lits ijidêcs, s a n s q u 'i l so it ja iu t is tiécessair.- d 'e n fa ire Ic x tra c lio n . 7 , r tte d e la P aix .

L e Prnpvicim iC 'C LranI, REG N IER .

HËARGENTUitE Ô B P É l T A ^ f f i ï É C Q f f i B ï S T O F L BDECOÜYEÏITS.P o u i' e m p é rh o r !» f r a u d e q u i s c fai^ s u r b ré a rg c n f iire d e s c o n v e r ls d e l e u r fiih ric .tlio n , fra u d e

flo n l Iteaucdiup d e è d riso m m ale tirs «ml é té v le U in c s ,, JLV. C harles GttmswVLiî cf C ' d o n n e n t l’av is s t i iv a iil , Lc.s c o m p r is

M arq u e s u r le s c o u v e rts :

D'OËFËVREBIE.veiiiU is il y a td 'tis lc iirs am iécs,s«>il p a r e u x , s o i t p a r ii’iin p o r lc q u e ls jn le rm é ü in irc s , A c e lle ép m p le «u'i, se u ls b re v . s . g . <Vk., i ls a v a ie n t se u ls le dr«Ml d ’n rg e iile r , c o u lie n n e u t e n c o re c u l t e 8 c l 12 f r . d '» i-ge iit p a r do ilz tiiiie , d o n t ^ tlcu fpareu t la p lu­p a r t d e s ré a i55ç iitc u rs . MM. Charles GilmsTorLKcf C 't iè n i ie u t c o m p te d e to u te la Valcuè «le r a r g e u t t 'e s ta n t e n c o re s u r les

S farq tic s u r t 'o ri‘év ;c ; i

c o u v e r ts , A to n ie s l«?s per.sonno.s q u i s 'a d re s s e n t , p o u r les faii c n * a rg c n lc r , so it à le u rs rcprt'.sen- la ii ls , so it a u x m a iso n s h«>uoraides «pii o n t C-iiabilude d e v e n d re le.-« p i-ud iiits d e le u r in a n n l'a c lu re .

I l e n 'e s t «le n iéino p o u r lo.s autr«)s a r l ic ic s d 'o r fé v rc r ic argcnié-e. i l fa tit Im m p rc m in '- nol«; «in sp éc im en dos po im pm s d e la S o c ié té , r i- J c s s u s in d iq u é e . qu'«m r h e r r h '; à in d io r ; !cs uns

p a r les sigue.s d e l 'i t r lé r le u r , les a u t r e s p a r la forn'ie e x té r ie u re .

Annonces .linliciaii'e.s.TRIBUNAL DE SEMLIS (OISE).P a r j t ig c m c n l rc iiilu a u t r ib u n a l d e p re m iè re

în s lap co s(!au t h. S c n i is . e u m a irè fo d o .p n iice <;<Trrcctiouiicite, le m e rc re d i n e u f s c p ic m b rc f 8 ü 7 , , . .

L,a no ram ée !;o ù isc -Jo 8 ép iru ic -C o n slau c« fn .\- UONIEU, fc ii iù ic ilc A u g u s tc -F ra iH ^ is G u ë n u t , c u lt iv a te u r , d c m e û rà iil à M a rc u il- sù r -O u rc q ,.

D éc la rée c o u p a b le d 'u v ô lr I ro in n é les nclic> le u rs s u r la q u a lité d e la m arclian« lisc v i'in liic , cil n îc t la n l u n «piàrl dV aii d a n s le la it q u ’e lle l iv ra it a u x c o n so m m a te u rs ,

A é té coiuJaninéic e n v in g t c in q f ra n c s d ’a ­m en d e c t au x fra is .

P a r ap p lic a tio n d e s a r tic le s 4 " d e la loi d u 2 7 m a rs i 8 o l , 4 2 5 , 4(13 d u co d é p é n a l.

L e t r ib u n a l» o rd o n iié «pic le ju g e m e n t s e r a i t im p r im é c t a fllché a u n o m b re «le 2 5 e x e m p la i­re s , d o i t t i in s e r a i t ap p o sé s u r la p o r te d u d o - m ie i lc d ç .la p ré y o n u e , c U ju ’c n o u t r e l e d i i j u - giMnciu s e r a i t in s é ré a u x d eu x jo u rn a u x p u b lié s h S en lis .

P o u r e x tra it :L a C ùm m is^G ri'itier d u IrUmnal.

Signé : G iuom ).P o u r lu s c r l io u :

L a .P rocurcM ' Im p é r ia l,Sigui! : C ai»k u .Ev , •

a t i f i» ! ¥ ü â » c o m s k ) .

P a r ju g e m e n t r e n d u a u t r ib u n a l d«> n re m tè ro in s ta n c e 's é u tu à S c n i is , on n i a t iè r c d c po lice c o r re c iip u u c llf l « le m e rc re d i n e u f s e p tc u \b re 4851

L a n o m m écF ran ç« > isc-V ictô ire R.Miv.xnt.tîT, fem m e d e F ra n ç o is -A n to in c CACM'Vr, c u ltiv a ­te u r , d e m e u ra n t à M a re u ll-su r-Ü u rc q ,

D éc la rée co u p a b le d ’av o ir iron ip 'é lc.s a c iip - ) tçU rs.su 'f la q u a lité «le la m arc lia iid ise vond im , e n m e tta n t ifn t ie r s d ’c^tu d a n s le la it «pi’e llc liv ra it a u x c o n so m m a te tirs ,

A été . c o n d a m n é e e n q u a ra n te f ra n c s d ’a ­m e n d e c l a u x fi^ is . '

t% r a p p lic a tio n d o s a r t ic le s 1” d e I» loi «lu 2 7 m a rs 1 8 5 1 , 425* 4 8 3 d u c o d e p é n a l . .

L e t r ib u n a l » o rd o n n é q u e le ju g e m e n t s e r.iit im p r in ié e t a llich é a u n o m b re «:e 2 5 e x e m p la i­re s , d o n t u n s e ra it a p p o sé s u r lai p o rto d u d o ­m ic ile d e la |)î'éV cntic, e t q u ’e n o u tr e le d it j t i - g e m e n t s e r a i t in sé ré a u x d eu x jU u rn au x p u b lié s a S en lis .

P o u r e x tra it :L à ÇotiUnis-Grcffier d u Irihudal,

S ig n é : G iu o c n .P o u r in se r tio n :

L e P i'ocureur h n p ér iti l;' S ig n é ; CAPEi.bh.'

' T H i a v x j k t é O B s m x M 4 t s ( o r s n ) .

P a r ju g e m e n t r e n d u a u tr ib u n a l d e p r e m iè re in s ta n c e s é a n t à S e n lis , e u m a tiè re d e po lice c o r rc c lio n n c lic , le m e rc re d i n e u f s e p te m b re I8«>7,

L a n o m m é e M aric -R o scG u Ë x o T , fe m m c 'd e J o s e p h B a u v . \r i .e t , c u h iv a te n r , d o m e u ra n t A M a re u il- su r -O u rc q . .

D éc la rée c o u p ab le d 'a v o ir tro m n é le s a c h e ­te u r s s u r la ( ju a l i té d c la liia rc lian d ise v e n d u e , e n m e tta n t u n tie rs d ’e a u d a n s le la it q u 'c llo l iv ra it n iix c o 'n so m m atc iirs ,

A été coiïdainuéo on tren te francs S’am ende e ia ifx f ra is .

^ a r applic .a tion d e s a r tic le s 1 " d o la lo i d u 2 7 l i ta r s i 8 5 1 , 4 2 3 , 4 8 3 du co d e p é n a l.

-L e t r ib u n a l n o rd o n n é q u e le ju g e m e n t s«'rait im |> rim é olafli« 'lié a u nom brcM le 2 5 e x \.'m p la i- \ r o s ,d o n t u u se ra it ap |)o sé s u r la po rto d u doin i-

ftile «le la p’rév ç rfo e , e l qù*cn o u tr e kn lit j u g e - i m e n t s e r a i t in s é ré aux deux^ jo u rn a u x p u b lié s a .S c iil is .

P o u r e x tra it :L e C o inm it^ ire fficr du 'T rib itiu it,

S ig n é : C in o 'u n ., P o u r iû sec tio n ;

L e P rocureur linitérîd l.S ig n é : C a pk i.i. K . . __________________

A itT . r ' ’ . .

E lu d e «le Sf' Jucris T IIEJIR Y , a v o u é à S im hs . r u e «hi f.liA tcl, 11- 21 .

VEIVTED e D Im ir d e M ln en rM ,

6’on.xi’s(an t e n : ■

t N E MMSÙMÀ i i e e C t e w r r # * f a f a ( n

BN'Uél'BMlAItr,L e to u t s i tu é a il Rr u v a i; , c o m m u n e d e B o n -

nou il (O ise), licU d it l a M on tagne «les in n o c e n ts ;

M PIÈci DE ÎËÉliS itiié c su u x te r ro ir s d u d it R e r Va i. c t d e D u ssy -

Be sm o n t .* iM qd e lle ven te a u r a l ieu n u Ü crca l, eu Ut

'M a ison s u s iliie .E t p a r te m in is tè re do â P T a s s a u t , n u ia iru à

C rép y (O ise), co m m is a c e t oll'ei,DEIÎXL L O T Ii,d o iillo d c ra lc rM cri« HiiIxIUtsè.

{ /A d ju d ic a tio n e s t fixée a u D Jinanvhc v im ji- c in q O ctobre I 8 S 7 , ^ m id i.

S 'a d re sse r p o u r Us reuseuiuem ciits ;■f” A M'' J t ; i ,E S T H E M R Y , a e c m .', «/i'.'Hi i< -

r a n i à Sen lis, rue du V 'uU cl.iC 2 1 , po u r- suicaiU la veille;

2* li t à M* TASS.VRT, notaire à Crrpi/. «/i‘j)rtsùa«'r<; dc.s. litres ct du cahier des chnrurs.

A t ît : u .

E tu d e d e f l ' Ji'i.r.s GODI.N’, a v o u é à S«'niis O ise), lu e Nenve-il«î-l*aris, ri' 2'2.

V E X i 'C E s u i t L i r . l T A T I O XENTIIE M.VIRVnS CT MIXKimS,

/;» l'cludc et par le ministère de M* L esio i.xe , iio faû e (i Chaulilhj (O se), commis à c-:t effet,

TROIS MAISONSÆ r c e CVzrra’s O e i i f f f t f t f a H c e a ,

S itu é e s » C iiA M ii.! .v , c ;m lou d e C rc il-su r-O isc , Sta tion du t'hcmiii de 1 er du . \o r d ,

liijm d c S a in l-D c im ù Crcil,D ont «leux so n t s iiiico s s u r la p lace d e i 'i lê p i ia l ,

e t i 'a u lro , r u e d e la M achine tiy (h u u lii |u c ' «‘I s u r le «juai do la G an a rd iè rc ;

B'iia S l iO T iS .Q ui p o u r ro n lé l r o r é u n is c n lo iid ilé o u o n [la ilie .

L 'a t i ju d ic i l in n a u ra limi le D im am hc d ix -h u it Octobre 1837. lic m v d«î m id i.

1 A n i i o n c t ' s 8 > i v d ' S ( ' . s .

A V E S D I U ' ; A l . ' A . ' l l A l ü . i : .üME mMBQmP o u v a n t r c rv ir do

l Æ A I S O l T D 3 O A M P A O I T SS itu é e ( îra iid e H ue , ù ( ’ourteuH , p rès .S'r«//s.

A vec ! " n n G R .iM ) JARDf.N p la n té d ’a r - i»res f ru ih o r.s ;

2 “ ü n ’ iCXGLO.S c n s u i ic , e n to u ré d«> m m ,; n e u fs , a y an t en iré o s n r la ro u te d e Senti:- à C h an tilly , p a r u n e p n r le -g rÜ lo o n fo r, c i grille.s s u r m u r «i’ap jiu i d è s «leux c ô té s d e c e tte p o rte .On n c c o rd c rn io n tc « C acllliès p n n r p n iem c iit.

S 'a d resse r p o u r v o ir celle . lia iso n à .\I. PotuLi-,.« 'u/fi'i'«/cnr à V o u r tc u il;

'( : / p o u r tous rcnso iiinem ents. ù .M ' î,IjcuE t.F .r. n o tn n v à S e n lis .

s ' . i n i t K s s i î n ;/■' .1 M G O D IN , « t'uuê <l SeiiHs, p n u , .iu i-

v iin t la ('«’;»«• ;

2 .( M ' L A S S E lU îE , avoué û S c iilis , cu - l ie ita n i ;

.>■’ .1 ’d ‘ l'.liA L M IN , (iroué d S c n iis , co-liri-iûOl'.

<i M’ I.F M O IM ). d V k v i l i lh i! f.;: d - f'tn-: il dn \.aliier d« c'r.vijes.

BOIS, PLMCMS. SOLIVESc t c i i v t a - o n 8 0 0 B f îR 'T f 'I lS iS jB Î .S v i i S c . - ,

A V K K D ï l E

f.e D im a a eh c i O ctobre IS .J7 , hnurc de m id i A Scn li.s . s u r la pl icc d e Ç re il,

P i i r h m iiu .tli''ir d e ’y i' II . coiiiiniis-ure-iri.se itr à d eo fis .

X«i co n ijï ln n t,

APFAlâTESIEAJT. t r : .

\ S(*nlis, ru(; «le V illev o rt, n" î*.

A L O ÏU 'R rilI '-S E iN T t'.M E N T , V';nh-t’«,«r; ù .M. Üe'L'vr.T.

jîùfM

Page 4: AffiONCEB «fUlClAlRES.bmsenlis.com/data/pdf/js/1856-1859/bms_js_1857_10_03_MRC.pdf•r Kotat' ctoure enve rs. 1 Jours ro qui itinfé- Is ré- ursen irplus sur la otoLit- nblütte

.1 raXOBt! BU SiiÆTK, I

B O U L A N G E R I ESilH ë ï IH >at-Sainlc>M 4X onro,

CmI—»• m m Me et «iernl de fiarlne m»r|ewr,

Eieploitil par M . E L O Y ilrpuis vingt mh <im*. I to n n c C tic iiiè le .

A C Ë Ü E K Ül<: S U t T b : .

C O H E B tE 'b 'tn ïE B IEEx|> to ilé S e n l is , r « c «lu la C uu li‘l lo r i t \ n« 1 -i

â>’a ilm s«T d.iH a< /ufN e C ü ^ 'IN -L a m y , q u i V tx p lo ite .

VniTE DE CHCTÂâiA r K X O H B B K « M * . • • / * « ,20lNiS(;ilEVAli\ DE PRIMIËBE FORCEA y ao l s e rv i a u x Irav au x «lu ch c n ii» «le fe r

tic S a iiit-D c iiis l iC re il .S'«li*e/.ver nux- écuries <Iu c h n n iii d e f e r , su r

la t'etîlc de ChaHtiUij (i L am orhu jc , vis-ti-vis lu d e ChaHlilly.

M i s e H P r U fertMeM.rw M « i/e eiie/uVe rt<l/iiyehi. • _

IW vem i «les liic iis , 8 , 8 5 7 f .^ iO c ., n e l tl’ifnpo ls . S 'adresser : à tVwn/«7/i/, à M ' L e uo lxe , notaire; E l û S en tis , à Dl' ( '.u au tik r, RoFa/re.

• llee«»res «» Are* • ! CemtUiN»

D E T E B B an iÉ E IlO ISS is lo r ro ir s tic S iirv ill ie rs , la C lta ite llc -c u -

. S e rv a l , S a i i i i -W iU c l V é m a rs ,

A V E N D IU -:P a r adJudicH lioii v o lo iita in s

A la C h a ix lle -e n -S e rv a l, r u la A lu isvn /iV cole, L e IH m anclie O e lu b re 1 8 3 7 , à u iie l ie u re ,

l \ t r te in in is lè re d c M' (Iiia iitikq , S en tis .S 'titiie .< »erau ilil f l i ' lln*iiTiK tt.

Eluilu de M- GHAUX, n o la iie J Acy.

16 PIECES DE TEBIEm i t m a ù i h h m i

Silutkis t e r r o i r NeufclicUcs,A V E N D R E

# A r ««•m u Om ).A Neufrlicllcs, en la maison <1 i^wlc.

!»«»• le tU M sU rc d e M* G b au x , n o ta ire a Atiij, U IMiiianclie 18 Oclobre 1857, h iniüi.

iüiiissancc tic suite. FàciHtés |MHir lo |iaiciiieiii S ’a dresser a u d it ,U ’-finAws, tiolatro.

m iss io n s C 3 tb e l6 's , t lo la F o u ru l lu r e tle s O bio ts c l- t le s su s é n o n c é s .

S 'a d resse r p o u r p ren d re » wcalticrs d e , so it tiu s iéyc d e F E lab lisse 'm en t, so it a u fcureau tlu flecceeu r poHépxil, ru eSa in l^P ierre i i f 7 ____________

A la m ô m e sé a n c e , il s e r a ^ U r v n h l a 4 'o u r - n i tu r c t lu P a in d e c l 2* q u a lité s n é c e s sa ire b la c o n so m m atio n d u d i t H ôp ita l p c i ld a n l lad ito altm^e tic 1 8 5 8 , p a r u n t r a i té tle g r é îi g r é , a v ec c e lu i d e s R on tan g e rs q u i oflfH rt le s co n d itio n s les p lu s avantagcust»® a l’étab lisS C m elit.

F tu d c d e M'’ T A S S A K T , n o ta ire à C rép y .

A V E N D R E A L * A H I A U L E ,Km tm «n |»liiHirurH IjelH,

U B E IE PROPRIETED E G O V D U E V I L L E ,

C o n s is tan t e n : ( ’liü lc .iu , P a rc tr c s -g ib o y e n v , P e n n e c l T e r r e s , le to u t d ’u n e c<Milenunce du la O H K C T A llE S .

/te v e n u a n n u e l , 6 ,0 0 0 fra n cs Jo n issa n p c d u f i tâ le a n e t «lu p a rc «le su ite .

S 'a d iv ssc r itoiir tm is renseigneineiis ù M‘ TassauT.

TRES REUI CiRRlÔLEID it V I C r O t t i A .

A r e c M H X m i ’F ,A V E N D R E

S ’a d re s s e r ù M* llÈ u e T , b n is s ic r li C lia iitillv .

M* E m i l e LOCJCH K Z. R n d lie r -p r is c i i r à C re i t .

▼ B X T T B I C O B n i X à m iA 8 i i tn < > lA e « -4 ’a :* f» e rm « ,

A p rè s le d é c è s d e M. llip |H d y lc V i a i i t , l i o u r r e l i c r , .

|MMir>uiie et «iitiRcncc alu curairur ù la luci'ci- ston «acanlc aluitil kieur Viiiit ,

l . e D im an ch e 4 ( tc to b r c 18<’)7 , à m id i. l 'o r te m in is tè re de M* L o u ch rz , yre ffie r - iv is c u r

û Crr<7.

C e tte v e n te c o n s is te : t" * ”' , on m e u b le s , l in g e , e ffe ts m o b ilie rs d e to n te n a tu re , c o in - |K>sanl n ii mcnag«>;

d a n s le s m a rc b a n d ise s , o u tils , u s te n ­s ile s e t o b je ts g a rn is sa n t le fo n d s d e b o u r re lie r i]uc le d é fu n t e x p lo ita it h S a in l-L o n .

A « C«aapUkM<.

E tu d e «le C IlA ltT IE R , lu d a ire ù S en tis.

A m U E R P A R A D J U D I C A T I O N , P o u r n e u f années q u i com m enceront p a r lu

récolte d e 1 8 6 0 ,E n la M aison « réco lc d ’O rry - la -V iilc .

P a r le m iN ii tè re d e M' ('.iiartieti, No/MO'cù.S’eMh'.t, L e D im an cb c I I O c to b re 1 8 3 7 , à m iili,

UN TERRAINi f a » j* r f 0 F m to s s 'm g ^ f

S is te r r o i r d 'O rry , a p p a r te n a n t b la cn in in u tic (le c c n o m ,

C'MiSrMnt 99 HreSnmi 9* Arro M 4'.

C e tte ad ju d ic a tio n a u ra lien e n 2 7 L ty r S . S 'a d resser à .V. le M aire d 'O rrrdaA 'iU c;E t û N ' CiiAHTiCR, notaire.

E tu d e d e M 'I t lV IÈ H E , n o ta ire t'ix ;il (Oistî).

A V K K D N R P a r a U JaU lra tlaN • • • • • ‘■ • ïr* ,,

E n l'è tu d e e t j« ir te m in is tère d e M'^IUvikui-, nota ire à C re d ,

L e D im an ch e I I O c to b re 1 8 5 7 , b » h e u re s ,

DIE PIECE DE TERRE•S'ttMée d 1 ierges, lieu d i t le Clos

d e la F erm e des f jn n iÿ r t ,CAPiitcnant ! H e c ta re .U > .\r e s 5 8 l ic n 1 ia rc s .

S 'a d resse r aud it^M ItivtCKR, « « /im -c .

M ém o é tu d e .

AIÂISONS ise à M o n ta tu irc , e n la r u e d u C u l-d c -S .tc ,

TERRES LiBODRiBLES,F H F K T n O M M

E n 11 p ièces s u r le te r ro ir d e M o n ta tâ irc ,

A V E N D R E P a r a d ju d ie a lio n v td o iitn ire .

E n lu suite de lu M a ir ie d e M o n ta la ire ,L e D im an cb c 18 O e io b ro 18.57 , b 2 iK u r is ,P i ir i c i i i i i i i x tâ r d e M 'l l i v i i i n r . , n o m ire n C i r i f ,

t>n e n t r e r a en jim is sa iire d e su ite . Faeilit«*s iMiur p a y e r .

S 'a d resse r a u d it M' IIiv ik rc , wotmV-e.

Mf.M t: ËTL'DE .

M Â Ï S O NA u sa g e d ’A u b e rg e , ay an t p o u r e n se ig n e

n u V ltrva l l lo u g e , •S itu é e b L a ig n cv ille , ,

ET 7 PIECES DE TERRES ise s te r ro ir s d e l.a ig n c v illc e t N«»gent,

A V E N D R EPAR AllJdtiniATIOX VOLO.XTAIRE,

A N o g o n t- le s -V ie i^ e s , e n ta d e m e u re d e n ia - d e m e v e u v e N icolas >Vatteble«l,

P a r te n i in i tU te d e M* Itiv i» .* * . i .o ia h e a C r tV ,1.0; Itim a iic lie 2 3 O c to b re 1 8 3 7 , a 2 h e u re s .

S 'i td rc fs tr a u d it M ' Uivièrk, Hpluire.

d e îtP TA SSA ItT. n o ta i r e à C répy'.

A V E N D R E r « r w U wIolr» ,

I j t D nnaiicA a 18 O ctobre 4 8 S 7 ,A 1 0 h e u re s , b O r m ^ V i l l e r s v e n la m a iso n

d ’écolCf |H )ur k s bietiB s u r V ilie rs-S a in i- C e n c s t e t F re sn o y -B o issy ,

E t b 2 h e u re s , b A u g e r -S a tin t 'V in c e n t, e n la m a iso n d 'é c o le , p o u r le s b ie n s s u r F rc sn o y - le - L u a t ,

Pm- le in iu is lèrc d e M ' T a s s a r t , no ta ire à t t r p y . 4 H é e lM r e * S * A aw * 4 * C c « iU 4 rc M

DE TERREE n h u it p iè c e s , «lont deu x s u r V ille r s -S a in t

C e n c s i, u n e ,s u r B o issy -E re sn o y , e t cin«i s u r E rc s iio y - lc -L iia t .

Il y a to u te s û re té p o u r a c q i ié r inS 'a .in ;i» erà ftl* T«**«rl, nota.re à C rép f.

A D J U D IC A T IO N V O L O N T A I R E E u lu M airie d e N é h tc u il- lc -d la u d o u in

Viir le ministère de III' P sT it no/oiir, lî N anteut '-te-- H at& o a in ,

L e D im an ch e 11 O c lo b re 1 8 5 7 , b m id i,Kb N B iw eM p a r

H lleeiare* 9 1 Arr* ! • VcNltare*

DE TERRE ET PR£K tt p ik e *

S iiu é c s te r r o i r s d c N an tcu il e t D ro izc llcs .F a r i l i l é s p o u r p»y«T.

S 'i i d ie s s r r a u d it SI». P e u t , n o ta ire .

V ü I N T Ë

1,800L e D im an ch e 1 1 O c to b re 1 8 3 7 . b u n e Ite n rc ,

U s e ra proc«i«'li6 b l’H ô p ita l g é n é ra l d e S èn ils . b l 'a d ju d ic a tio n p u b liq u e e t a u x e n c liè rc s , d e la q u a n t i té d e 1 ,8 0 0 b o u r ré e s , e s se n c e d e c lié - iie , d é p o sé e s d a n s u n e d«» c o u r s d e IT lô p ita l.

i , ’a i( jnd ica tion s e ra la ite e n n ia s to d ’ab o rd c l e n s u i te e n d é ta il .

S'a tlressériM iir d u cahierdes charges, à M. liAwowKiRKua, twcrt-'M r d e f lfo - p ita l généra l, rite S iU itt-P ierre , « “ 7 .

UN JEUNE IlOHMË DE 17 ANS,D é s ire ra it s e p la c e r c o m m e 5m us - M aître

d a n s n u e I'IcoIü P r im a ir e , o u c o m m e S c rv e i l - ia iit d a n s u n e p e t i te P e n s io n .

A |M p e lé le e s e » < *S 'a d re s se r a u B u r e a u d u J o u rn td t

O n ( l e n i a n i l c

UN APPRENTIF O i m v n c P R i a e a m m

S ’a d re s s e r a u B u re a u d u J o u r n a l , ' r u e d o R e a u v a is , 3x ' ' ,

« I# C * i « r r MUN VOLUM E IN -18i

v a x a c t 6 0 o n r r i M B S ;

C hez ttC G m E R , S i L l O T e t M A H O ft-N A Z E , lib ra ires à S e n îis : iÆ C O IN T E , f té ra ire à Chan* lillg] e t c h e z U A liiM E R , lib ra ire à P aris , a u i*d- hiiS’H oyali .,•

SIROP LADROCÉRASIDdEP ré iH irà p a rC lIlS Ÿ R IÉ B iiilia èm d eivn ù S e n lis .

C e sin>p, d 'u n e s a v e u r fo r t a g ré a b le , j o u i t iih c o n te s ta b le m e n t d e I» p ro p r ié té d e c a lm e r la lo n x q iiia rc o m p a g n c .d 'U u é n i {IttiOrcdiCdns ta il lé c l s i f a tig a n te , lo n té s les m a la d ie s d o p oU riitc . I l s e d o n n é A la d o se d e d e u x c u i l l é r t ^ ik ca lé «p in ln! (Ht c in q fo is p a r j o u r {m ur Itls a d u lte s^ e t 'A ce lle «l’u n e se m b la b le c tlillé rc o m a lin > e t s p ir |m n r lus e n f a n t s . O n le p r e n d p u r o r é t ç n d u d a n s im c p e tite la s .s e d 'e a u c h .a u d e c n hivei^, ou A la te iii |> era iiirc d e ra lm o s]iliÔ rc e n é té .

rn ix uu FLA«a)X : 1 r a . 5 0 c .

0 j i r m B : w Æ W 0 t s

DR RUDE ClUlTtTRED an s la c o m m u n e d e V il le r s -S l-E ra m b o u rg .

nnp*lM ««M M 6N4H M « 4 4 e 4 M ir r M M C * .S 'a d re sse r à M . G Ê E Q U I N , tn a f re .

K tudedeM - DE MAY ,n o ta ircA Pont»Stc-M axcncé

A V E N D R ErATi ADJUDic.vnox voLOirr.viRB,

Kh r é tu d e e t p a r t e m in is tè re d e M* d e M a » , no ta ire à P o n t-S a in tC ’-M a x e n e e ,

L e D im an ch e 11 O c to b re 1 8 3 7 , b m id i,

UNE MAISONS is e à S a i ii i- I* a lc m e , e o m in o n e d e P o n liio iiii,

» PIÈCES DE TERRE ET lARBSS itu é e s b » i n t - G erva'ig .

i l y a to u te s û re lé p o u r a c q u é f ir , J»u is.sance d e s u i te . F ac ilité s p o u r le p a ie m e n t.

O n t r a i t e r a à l’am iab{e a v a n t ra « b u d lc a lio n s 'i l e s t fa it d e s o ffres s u n isu iitc s .

S a d i e t i e r a ï u h t M ' B b M a T , «o fo ir» .

M èin o ^ tu d e .

HÂISOnS ET JARDINSS itu é s b N o g e n t- le s -V ie rg e s , r u e d e lîo n v ille rô ,

. A 1 E N U K 1 -: r « r ndjM dlro«l*M « « lo N b iIrr .

E n la d e m e u re d e .M. J u l ie n S a in t- J u s t , b N o gen i-les-V iergo .s ,

P ar le m iHisIère d e M* IIiv ikrk , nota ire « Creit, lo j D in iiiiiche 8 N«Dve m b rc i8^»7 , b 2 h e u re s .

Jiiiiissa iiee d e su i te .G ra n d e s faiàHli^s |HUir paycr.^

O n | ,o iu r ; i (i.iO ci a x a iil t ’u ilp i iliru lin t i , k’il e»l rsiti (le;, olfrt'A sidlisiiaileA .

«iidi7 ItiviK us, notaire.

SFItGESKTERRES itu é e s s u r le te r ro ir d c .R u lly ,

A V K IV D R KP a r a d ju d ic a tio n v id u n ta irc .

Km rnammm • « «m

E n la M a iso n d 'école d e B id ly .Lu D im an c lie 1 8 O c to b re 18.57, b I h e u re ,

i \ i r t r m io i.ttc re d e AI* (JuA nriE ii, no titirr a .S tn li .iS 'a d re s s e r a u d i t M ' C nA R iiE n , n o ta ire .

M êm e é tu d e .

ü piÈCLslTii: TEitiiii;S itu é e s s u r le t e r r o i r d e H ully ,

A V E N D R ErAK AIUeDlr.ATIÜ.N VOIAINTAUIR,

KW M«W<K Mtl KM.MKT.tlI..£ i i la A fa ison d ’école d e t tu l ly ,

L e D im an ch e 1 8 O c to b re 1 8 5 7 , b 1 h e u re ,P a r fe m in is /è r e f/c M 'C h i r t i c r | , no ta ire à S t i i l i . i

S ’a d re s s e r a u d i t M ' G u a r u r r .

FERME& s e b A u g e r -S a in t-V in c e n t,

kVU

1 3 6 Uecl. U S A r c s S 3 C .

DE TERREA V E N D R E C A R A D J U D I C A T I O N ,

E n Fétude e t p a r te nuniiFèfv de M* C IIA IIT IE II, N oU Û rtà SenUi (O ise ),

L e O iu iM ic ite 1 3 N ovcm ibrc 1 8 3 7 , b m id i.

F ac illtég p o u r le pa iem en t.D n t r a i t e r a b v a n t l ’a d ju d ic a tio n s 'i l e s t fa it des

o ffre ssu ffisan lc s .

s I l e c l a r e * 4 4 A r e * M i I n t i m e *

I D Ü m i r i t s 4 1 4 9 1 3T e r ro ir s d e U a v ilIo u e t D icu d u n iie ,

A V E N D R ErM T n4 jM U IrM tl*B « o l« H < M lrr .

P u r le «K fiûTércf/c M ' tiRANr.É. iii<l<iire à C lu u id iiy , K n la d e m e u re d e M . J /a« 7 /a rd j e u n e ,

b t'.av illon ,! .e D im a n ch e O ctobre 1 8 6 7 , d »m«/«.

J i i i i is s a n re d e siiili*. Fai-ili(«''S p o u r h* p a iem en t. .S'«4/iv.*,.<c»' fli«/«7 .M' G uaniik, Holilire.

lASA CHÊNESfiHr p l n l .

S itu é s d a n s le R o is d e s C a u rh c s , 'o r r o i r de N c u illy -e n -T lie f ,

A V E N D R E P A R A D J U D IC A T IO N E n g r o s , en u n seu l lo tp

Mur la ml*e • inrix de H,909 fr..P a r le u iiiiis ié re d e RL (inA N oÉ , r.otairc à f 'h a i iib 'y ,

Kn la M airie d e N e iiilty H 'n -T h e l.I ,e D im a n ch e i " A’oeeHiôre 4 8 6 7 , d / Aciirr.

F acilit(^ .spour le p a ie m e n t.Ix>ng «liilai p o u r l’ex p lo ita tin n .

S'adresser aud it M- (iRAXcé* nota ire .

K tiide d e M ' DEL.VC.OUR, n o ta ir e à Neuilly-eii- 'r i ie llc , s iicce s s c n r d e M-. T hibact.

20 IIECTAUKSDE TERRE ET BOIS

S is a u t e r r o i r d e D ie iid o n n c ,

A V E N D R EPAR ADJUDICATION VOLONTAIRR,

A D ieu d o n n e , en la sa lle d e la M a ir ie ,1.6 D im an ch e 1 8 O c to b re 1 8 3 7 , b 11 h eu re s ,

P a r le in in is lè rc d e M* ilELArxiCR, notaire à N euiU ij-en-ThelIc.

F a c ili té s p o u r le |>aiem enl.O n |m ii f rA lr .« i(e rà r iim ia 1 » te avant t’a ilio d ic n liu n .

S 'a d resser a u d it M* D e l a c o v i , notaire.

H * ■ U i l l . 'V ) M t n i r e k ■‘« é c y - * u r - 9 i * e < •teW H TSH fe

t r u ' s B i T ï i à i c a o i i B i o .

K lllde d e M- M .l)TM tB E V A l,L 01S , llulillrCà GJiam M y (Oiac).

I iiKtrrABK 4* Àmv»3)1 ttjBKlllS is te i ru ir d u IB eh n il-S a in l-D en ts ,

A V E N D R E' PAR AIMUDICATIÔH VOLOXT.AinR ,

P ar le »«tH i>»erc de M ' M aitb k -1>kv.v u « > , nota ire à C ham bly,

E n t a m a iso n d ’éco le d u M e sm i-S a in l-D c n is , Ijc L u n d i 6 O ctobre 485 7 , à une h eu re .Il siéra a « ro rd é d e s f a c il i té s p o u r payei:.

S 'a d re s se ra u lit .M* MAirnE-IlKVAtLoa. Hofatre.

■iHMiinr de C lw tilly.

GOIJPESDËIIOISde r*rdlMilre t 9 My

A V E N D R E ‘A rJ ia n f illT , li>i local o rd in a ir e .

P iir le m in is tir e d e y i‘ lh io ifit,n o ta ire â C h a n fil t i j ,L e M ao li2 U O c to b re 1 8 5 7 , h e u re d e m id i. Oh /«nirrfl pren d re co n n a isea n eep u cahier des

c lu u yes , en l'é tu d e d e M* L r n o ik e , e t au Intreau d e H . G a i l lv , c h e f d u serv ice fo re s tie r ,à C hantilly .

E tu d e d eM 'IiE M E T .h u is s ie r^ p r is c u rà C h à iit i l ly

*w « cMeliArg* p * fc ll**e u ,B a r s u ite d e d é c è s , '

A C hantilliff G ra tu fe R u e , «* 8 0 , d a n s h t mai>on q u 'h a b ita it M“ * v* L e c e r f ,

L es D im an ch e 1 8 , L u n d i 1 9 e t M ardi 2 0 O c­to b re 1 8 5 7 , b m id i p réc is ,

P ar le m in is tè re t lu d it M* lléuCT.

C ette v e n te c o n s is te ra p r in c ip a le m e n l e n : b a tte r ie d e c u is in e , v a isse lle , v e rre r ie , c ris tau x , g a rn i tu r e s d e foyer c l d e ch e m in é e , b o n n e li- UTie, g la c e s , p c im u lc s , m e u b le s d e to u te s s o r ­te s , p ia n o , r id e a u x , ta p is , h a rn a is «le c a b rio le t e t «ic d ic v a l . V in d e B ord eau x e t M àcon, 1 0 0 0 b o u te il le s v id es .p:ufin u ne trés-tfra itde q u a n tité d 'a u tre s ob jets.

MU «UitfÿM M .

N « r i T A t b t l É R É M A I i M R » » » ■ * ■ # .

FOtURNlTUREA fa ire e n 1 8 5 8 b l’H ô p ita l g é n é ra l d e S cftiis, Mm « « M A tM é * d e W h w d e d e , » e * * l w r * e ,

d e V l n a d e d * F m w » d ’K p I a o r t e e t d * I N i t a j

JVécessaires a u x beso in^ d u d i t E tablissem ent. O n fa it s a v o ir q u e le S a m e d i 1 0 O c to b re

1 8 3 7 , b u n e h e u re d e re le v é e , il se ra p ro céd é b l ’ad ju d ica tio il pnbliq iM a u ra b a is e t s u r Sou-

/*•« /m r n o m B ta iro do ta v i l l t d» . \ t i d i i , fo u r tê /tn li- a t on d e la ti iti ia lh ie d e i t / . K*/;s:er, nfj»>u'e k l 'a i t .

C e 3 Ocloùic 1857

K n ie jf itl iè i X e i ilii ,\ le I8r.7 I»

M cM M vrrte ■M C*M t^r*M « |M*r M V crliU A U t u n i q u ï :PARAfflOTE DES fflEVEUX

M e C H A I k H I M t C l i l M l * t e .G flle comiKtittioH e«t in railtilile |M iurarrêln r|in> M |f

tcm eiit la chu ie d e a c ticv c u , ; «Iteci» emi*ècli«- la «««»• lara lion , ne ito îe p a tfa ite iH sa t le tiiir c h ere lu , d é tru it U t m atières g r u n te tu e t e t p e llira te s ù ia a c h d in 't ; ses fro p r ir té s régéiiéra ttices J '.u v r tn n t la repradarliun de ifoureauT che.-eur, l»». îa il èi»ai«»«r I*» «•«'* plva c l b r itla n U , c l cm|>^-l«« lu b la n ch im en t; c i

— P ris «lu F lacon, J f r . ................. ,In iq u e à RùucH , rUtf «le I H ô p ita l, t o i — trépU

(Un* inHCcs le» ville* «le France 5 — » IU-auv»i«, cfh-a M. /.a n g le ! , rne S a în l-S au v e n r-, — n e M. rKUHM>ff«, co i§ 'eur^p .ir /um eut, Flacc «lu la lia ltr , n* 31; ____________________

ETAT U lVlt» IDE SE.'VtJS.n a issa n ces .

l lé l i ta s (P an )-L éo n ). Rl i r é b a lil (V ii'g in ie-llé^riic} .F lu iiry (L u g é iiie^ .td é laid c].

M ariage.

M artin (la)((is-Juscph)i c l H im ard (M arie - K lisalictli}.

B c é è i .

M aille (A Inhonscd iiles), 5 an.s 5 m o is.Id c lo t (A lircd rF c rd in m id ). 1 1 a n s .M t^rcicr (A tcide-Joscph), 2 1 illis.V idé (P ie rrtv A u g u sliii) , 5 8 a n s 1 0 m o is.Ilo u stp iin (A n g é liq n o Ju lie ] , veuve U rots.sc,

0 0 a n s 2 moi.s.V e rr iè re s (N arie-P acifiqu& C lém ciicc), I l a n s

6 m o is.Ilavy (C la iré -P ru d c n c e ) ; fem m e L ic f i |u in ,

2 5 a n s 1 m o is .

tP « M le i i< iM d o n V a r i i i ic e .

l in tr e M. B o ttiii (Jeaii-L oiiis-A lcée). d o m c s - ti<iue û S e n tis ; e t M "' G ltém u (lhislréed> 'ilis- s ie n n e ) , fem uie d e c lia in b rc û S en tis.

B O N l F I C A T lO B i d e s V I N SÆWBC Bm m W ^ V B T M M B V B tfB N B ,

le tM iirar vieillU IM te e*pi«-e «le vin* tncdm -rc* e t lunr <-«)idmuhi<iike im ljiriU ném ont l‘nn tm e e l le goAt «te» virt* »M«l* «le lU iü^nuna. «- t» R iu n u p o n r nue piv.;e «tu 23i» lilrus, 5 f r . te p«*fl e n iii». — A.(ru*»«,T^r.j/ico uu

■t «le |«ii.lc .i MM. l iB e e ln l e r , 1 - i — «h L**, IS«>, rdu M drtiiilarifr, l'drl* . (Cu'nmiuicJii] cS /io iia tiitn .

B O N I F I C A T I O N DES E A U S - B B ^ V I EAvec l‘tK**é»ce de viewm Vtgmmo de A. r.hCiBltS, chimiste dftglais.

C elle M tenrc «IrlrStt fc mdlh-aU fittd l «fti* ati-«>«>K, l«r* .idiiiicit e t leiO'' ilnnnc in s la n la n c n r i i l le g o d t d -y 'U n.4e«u, iHijie un h«!(f«lllff. S f r . — l . t i«fr« «•« »i

MM. LkVcnstaa, M «i*nt « ( C*. ru e M ontm artre. t.'Mi. l'a irx|>c<li«: l 'u iitre fcinlMMlrscinuid.

- («Uimtiiiuioii ) K x roataT ioa.• S'ailressl-r à

C R É D I T D E L ’O I S E , G L A V D O N et G ”.VocftftI m o h il i i fe e t /imMOÔihVre, a u C a p iia l d ’u n m illio n , d iv is é en A c tio n s d e 400 f r .

DlrecaiM «icMér*l« i rue J««»uve-d’'AMiieM*, '

O P É R A T I O : t ! S E N C O t K S D ’ E X É C U T I O K :

v r . X T R r i A C II .4 T M d e R e n te s , A c tio n s e t O b lig a tio n s d u V Jiem ins d e f e r , e t a u tre s V id eu rs d e l lo n rs e .

P aib M rn t M iu fra is d es C n p o n s «le R entes^ A c tio n s e t O b lig a tio n s .

C A I IM K D R H K P 4 m T N .~ C c l ( c c a i s s e o l f r c l’a v a n ta g e d ’n t i l i s e r /rMcfMcH»ci«e«l ef lem - p o ra irem en t le s c a p ita u x dis|Kniibtcs. O n y r e ç o i t les so m m e s d e 5U 0 f r . e t au -des.s iis . O n p e u t d isp o se r d e s fo in ls d e m o is e n m o is.

A V A .V C R 9 9 U R m w t r w t » d e T i t r e s d e R unleS i A c tio n s e t O b lig a tio n s .

C « . 9 8 T 1 T I J V I * N d e R B .V T K M v l e c è r e s . A M U I I A M C R 9 « U N l<A V I K . R l l M Ê N A T i a W m i M T A l M t R . A s s u -

n48C E8 ET FÀCII.ITÊ» POUR LE PAIEMENT.O n r e ç o i t , p o u r le s c la s se s b v e n ir , les s o n tm e s q u c l 'o n v e u t d é p o s e r p a r a iif ic ip a - t i u n , c t o n e n c a p |l a l i s e r in té r ê t b 3 * / .p a r a n .

N A T Ê l I l K I r A t l î l » i c ® l « l f . — VERTE AVEC

f a c il it e RE-PAIEMENT, c t W /é C À T É B A . — L e ( '.a ta lo g n c g o n é ra ld ii .M atériel q u e n o u s p o u v o n s fo u rn ir .se t ro u v e c h e z to u s le s R e ­p ré s e n ta n ts «lu Créstit d e l ’O ise . O n p eu t é g a le m e n t y dé|fO 60r le s d e m a n d e s d e r e n ­se ig n e m e n ts /

K A 4 3 H A I9 d e to u te s p ro v e n a n c e s . — V e n t e

SPÊ'h'iALË i1- GUAKO RU p É n o u , l ^ f p ia l l f è , g ar« in ii p u r ; 2* GUANO R 'A u n E n v iL L ien s ( c b e v a lc n p o u ­

d re ) d e la C om pagn ie gé/iéra le m a r itim e .

9 R .i iK 9 (T E S te n d u e s s u r é c h a n til lo n s . P I R « r K I K T K I » I M m M I l k I K B H i . L c

C réd it d e l ’O ise E icilitc la v e n te d e s p r o p r ié ­té s c t d e s m a iso n s , e n r e c e v a n t s u r u n r ^ i s - t r e , d a n s to n s s e s D u re m ix , k ^ f e n s c ig n e - m c n s e t Ic s p la n s d c s j i r o p r ié té s b tc n d re d a ô 'sl e d é p a r te m c n td c P 0 is c ; ’8 e r ta r r ta in r id ’in ie é - m é d ia ire e n tre le s v e n d e u rs e t le s a c t io é rc u rs ,

' il d o n n e a tf (n a rc lié u n e g ra n d e e x le b s ro n .

, a ’e u t r ^ m e r *\ F m m P sre m n e tM —e s H e s e i t ,A u D irecteur do circo itscrip tion : A S en lis , à f* . « n L A W o n r , 1 0 , p la c e d u M arché au B lé ;

E l a u x 8r/M*J<CNhiH/« caN/oNNdux :A Crépit, <i M . V 0 V 0 9 T , prtrprléta lre , ancien h u iss ie r , , , , , „ „ .A N eu illy-en -T helle , à va. M ttvmwoaT, jH incq ia l d c l U rbaiÉ te;A y a n te u ild e ’l la u d b u m , ô va. n i a o o A a T , h u iss ie r .

M Ê i n W H M A Ê é Ê î H ,

V IL L E S .

S e n lis . C o m p ii^ n e . heauva 'w . U e rm o rr t . « W ,,y . N oyoïi. l ’o n t .

D A T E S .rhOHLSi

fqualtlé.

2 9 S e p te m b re . 2 0 & 'p te in b i 'c . 2 9 S e p te m b re . 2 0 S e p te m b re .1 9 S «;p tem bfc.2 0 S c p te m trre . 2 5 S c p tc fn b re .

iU .V i?"C T P À l S a Jg /e r^ iT ü lo c /o ftre I8&7.— i» q u a K î é , 5 2 c . le Ic irog ram m e;

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« p iu li lé .

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S R N M S . - T V l ’O G R A P I I I K E T L m i O G R A I ’I I I E D E R E G N I E R .