ambitions & atouts · futuristic and exemplary territory in cameroon, africa and the world!...

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Dibombari au Podium trois années successives 2017-2018-2019 :Le culte de l’excellence, l’assurance de résultats et de progrès.

Ambitions & Atouts D’une commune émergente, durable et futuriste

Ambitions & Strengthsfrom an emerging, sustainable and futuristic municipality

Dans ce numéro spécial :◊ La vision, les objectifs et la stratégie de dévelop- pement ◊ Le bilan condensé des activités 2013-2019◊ Les perspectives de développement

In this special issue:◊ Vision, objectives and development strategy◊ Condensed assessment of activities 2013-2019◊ Development prospects

Dibombari at the Podium three years successively 2017 - 2018 - 2019:The cult of excellence, the assurance of results and progress

Directeur de Publication : Chief Frédéric NGUIME EKOLLORédacteur en chef: Pierre La Paix NdamèComité éditorial : Célestin Eyango, Émile WOUDOU, Marcel MPOH, Benjamin MPESSA, Noëlle NJOH, Josepha KEDI, La Fortune EMARA, Émile EKAMBI, Delphine YAKA.Photographie : Ndongo images/André PicturesConsultant : Grâce ENGOME (Matila)Infographie: LiGraDeEdition: OPTION GRAPHIC

Une publication de la commune de Dibombari

Maintenir le cap pour construire une commune émergente, durable et futuriste

Le mandat 2013-2019 qui vient de s’achever aura connu un engagement sans précédent de l’ensemble des conseillers, de l’exécutif et du personnel de notre commune, malgré le contexte national difficile et finan-cièrement contraignant.

Plusieurs forces vives ont démontré à quel point le bien-être de nos populations leur tient à cœur. Oui j’ai eu à féliciter un groupe de femmes qui se sont inves-ties un matin à redresser les garde-fous et à peindre le pont sur Kengue, certains volontaires occupés à fermer des trous sur les routes, etc.

C’est la preuve que nous avons tous, plus ou moins conscience de ce que notre bien-être dépend de la conscience partagée et de l’action collective.

Merci à tous. Merci particulièrement à ces grandes entreprises industrielles qui ont choisi notre territoire et ont accepté notre main tendue dans le cadre de la disposition relative à la Responsabilité sociétale d’en-treprise et du Contenu Local. Nous comptons davan-tage sur vous, entrepreneurs et industriels locaux pour lutter contre le chômage et créer de la valeur ajoutée à travers l’investissement social (bourses de formation, contrats, emplois, etc.).

Au cours des six dernières années, notre commune a bénéficié d’investissements structurants importants et de grande qualité dans les domaines de la santé, de l’éducation, des routes, des équipements marchands, de l’eau et de l’énergie, des infrastructures de gestion (Hôtel de ville, Maison de la Culture, Tribune munici-pale), outils déterminants pour le décollage écono-mique, social et culturel. Le financement du FEICOM, du PNDP et du BIP auront joué un rôle critique à cet égard. Ceci aura permis de doubler la part de l’inves-

Staying on course to build an emerging, sustai-nable and futuristic council

The 2013-2019 mandate that just ended has shown an unprecedented commitment from all the councilors, the executive and the staff of our commune, despite the difficulties and the financial issues that the country is facing.

Several actors have shown how much they care about the well-being of our populations. Yes, I congratulated a group of women who invested one morning in straightening the railings and painting the bridge over Kengue river, other volunteers busy closing holes on the roads, etc.

It is proof that we are all aware of the fact that our well-being depends on shared consciousness and collective action.

Thank you all so much. Special thanks to those indus-trial companies who have chosen our territory and accepted our extended hand within the framework of the provision relating to Corporate Social Responsibi-lity and Local Content. We rely more on you, local entrepreneurs and industrialists to fight unemployment and create added value through social investment (training grants, contracts, jobs, etc.).

Over the last six years, our Council has benefited from significant and high-quality structuring investments in the fields of health, education, roads, market equip-ment, water and energy, administrative infrastructure (City Hall, Cultural Center, Municipal grandstand), decisive tools for the economic, social and cultural take-off. Funding from FEICOM, PNDP and PIB have played a positive role in this regard. These funds have doubled the share of investment in municipal spen-ding, which reached 50% of total spending over the 2013-2019 period.

« On ne fait jamais attention à ce qui a été fait. On ne voit que ce qui reste à faire - Marie Curie »

Le Mot du Maire / From your Mayor’s Desk

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tissement dans les dépenses communales qui a atteint 50% des dépenses totales sur la période 2013-2019.

Nous avons tenu le cap sur deux variables considé-rées non négociables. La première c’est le focus sur la vision de développement définie dans le Plan commu-nal de développement (PCD) structurée autour de l’ambition d’une commune émergente, durable et futu-riste. Et la seconde n’est autre que la performance qui suppose la compétence, la rigueur et l’honnêteté, l’esprit d’équipe et de solidarité, valeurs sans lesquelles aucune réussite collective n’est possible.

Nous pouvons dire que le niveau consistant de notre conseil municipal, le professionnalisme de notre personnel entretenu par des formations de haut niveau, les stratégies et les études de prospectives effectuées en matière de d’urbanisation durable et futuriste, d’organisation de la gestion de l’eau, de l’énergie, de l’assainissement et du développement durable, de création et de gestion de projets généra-teurs de revenus, tout ceci rassemble des facteurs de succès pour l’avenir de notre commune.

N’est-ce pas une fierté méritée que de faire partie de Dibombari, une commune qui, de l'avis d'experts avisés dont le PNDP/Banque Mondiale, et de plusieurs organisations nationales et internationales, se distingue comme leader en matière de gestion et de qualité de réalisation dans notre région et notre pays ?

En cette veille d’accélération de la décentralisation et de grands changements dans notre pays, nous avons un devoir collectif, celui de nous interdire l’erreur de rebrousser chemin et d’échouer le pari pour l’avenir.

Tenons-nous la main pour construire un territoire émergent, durable, futuriste et exemplaire au Came-roun, en Afrique et dans le monde! Cher(e)s concitoyennes et concitoyens, recevez nos souhaits de bonne et heureuse année 2020.

Que Nyambe notre Dieu nous bénisse, bénisse Dibombari, le Cameroun et son illustre Chef le Président PAUL BIYA.

We have stayed the course on two variables hitherto considered non-negotiable. The first is the focus on the development vision defined in the Communal Develop-ment Plan (CDP), structured around the ambition of an emerging, sustainable and futuristic council. And the second is performance that involves competence, rigour and honesty, team spirit and solidarity, values without which no collective success is possible.

We can say that the consistent level of our city council, the professionalism of our staff maintained by high-le-vel trainings, strategies and prospective studies in sustainable and futuristic urbanization, organization of water management, energy, sanitation and sustainable development, all these together are factors for success in the future of our community.Is it not a deserved pride to be part of Dibombari, a city council which, in the opinion of wise experts including the PNDP/World Bank, and several national and inter-national organizations, stands out as a leader in the management and quality of production in our region and country?

On the eve of accelerating decentralization and major changes in our country, we have a collective duty: that of forbidding us the mistake of turning back and failing the bet for the future. We are forbidden to move backwards and fail the test of tomorrow’s progress.

Let us hold hands to build an emerging, sustainable, futuristic and exemplary territory in Cameroon, Africa and the world!

Dear fellow Citizens, please accept our best wishes for a happy new year 2020.

May the Almighty Nyambe our God bless us, bless Dibombari, Cameroon and its illustrious Head President PAUL BIYA.

Chief F. NGUIME EKOLLO


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1. BILAN DES RESSOURCES ET EMPLOIS

BILAN DES RESSOURCES / RESSOURCES BALANCE SHEETEvolution Budget et Recettes 2013-2018 / 2013-2019 Budget & Revenues evolution

STRUCTURE DES RECETTES / REVENUES STRUCTUREEvolution des recettes communales 2013-2018 / Council revenues evolution in F CFA

Réalisations / Achievements• Hausse des recettes de 41% de sur la période 2013-2018 • Baisses transitoires observées de 6% entre 2013 et 2014 et de 30% entre 2015 et 2016.

• 41% Income increase over 2013-2019.• Periodic drop of 6% between 2013 & 2014 & 30% over 2015-2016.

Facteur de hausse / Increase factors• Financements externes FEICOM, PNDP• Accroissement des investissements BIP et dotation à la décentralisation

Facteurs de baisse / Decrease actors

2015 (- 18% en moyenne de 2015 à 2018)• Faible évolution des taxes communales

• 2015 of about 18% over 2015-2018.• Weak evolution of council taxes


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STRUCTURE DES RECETTES /REVENUES BREAKDOWNComposition des recettes communales 2013-2018 en F CFA / 2013-2018 Council revenues breakdown

STRUCTURE DES DEPENSES / EXPENSES STRUCTUREEvolution des dépenses communales 2013-2018 en F CFA / 2013-2018 Council expenses evolution in F CFA

Les recettes issues des activités industrielles continuent à occuper une part très importante

vocation industrielle et commerciale amorcée depuis une décennie avec la constitution de zones industrielles le long des axes routiers nationaux n°3 et n°5.

Taxes collected from industrial activites contri-bute most in the overall council revenues, this

our council which started ten years ago with spon-tanous industrial zones along national nrs 3 and 5 main roads.


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STRUCTURE DES DEPENSES / EXPENSES BREAKDOWNEvolution des dépenses communales 2013-2018 en F CFA / 2013-2018 Council expenses evolution

STRUCTURE DES DEPENSES 2013-2018 / 2013-2018 EXPENSES BREAKDOWN

L’investissement structurant est au cœur de l’action communale. Son montant a doublé par rapport au mandat précédent 2007-2012. Il repré-sente 50% des dépenses totales, sans compter les dépenses relatives aux études de projets, qui elles, sont comptabilisées en fonctionnement.

Structuring investments are at the heart of muni-cipal action. It has doubled compared to the last 2007-2012 term. It represents 50% of total expenses, exluding expenses related to projects studies which are recorded in overhead expenses.

N° DEPENSES 2013 2014 2015 2016 2017 2018 cumul

1 Biens et services consommés 54 983 997 86 369 643 112 878 451 106 508 814 60 597 560 113 125 762 534 464 227

2 Transports consommés 2 580 238 5 344 438 1 276 800 500 000 - 1 240 000 10 941 476

3 Autres services consommés 82 143 755 89 463 349 53 907 045 66 524 581 50 392 364 48 968 355 391 399 449

4 Frais de personnel 88 255 018 94 605 300 109 239 908 106 652 365 131 387 445 115 405 731 645 545 767

5 Impôts et taxes 129 000 154 000 - 450 000 131 000 91 000 955 000

6 Frais nanciers 1 164 445 1 459 588 1 064 391 - 729 623 1 000 000 5 418 047

7 Subventions versées 14 008 055 14 705 636 15 286 177 6 729 794 2 416 120 3 294 470 56 440 252

8 Transferts versés 1 602 737 1 117 478 7 056 794 11 629 069 10 826 403 13 024 476 45 256 957

9 Autres charges et pertes diverses 43 253 962 87 445 963 77 840 272 35 885 746 44 397 050 37 131 506 325 954 499

Dépenses de fonctionnement 288 121 207 380 665 395 378 549 838 334 880 369 300 877 565 333 281 300 2 016 375 674

10 Remboursement des emprunts à LMT 7 385 177 - - - - - 7 385 177

11 Remboursement des autres emprunts - 7 841 916 16 080 837 24 857 291 30 020 000 17 658 438 96 458 482

12 Immobilisations incorporelles et dépenses payables par annuités - 2 375 225 - - - 9 274 003 11 649 228

13 Acquisition de terrains - - 10 000 000 - - - 10 000 000

14 Autres immobilisations corporelles 370 654 965 258 409 953 168 398 697 152 305 598 118 562 137 151 671 648 1 220 002 998

15 Agencements et aménagements 14 019 821 16 207 525 33 206 323 18 420 248 7 090 252 26 888 556 115 832 725

16 Matériel et mobilier 58 277 742 70 932 641 51 924 121 41 983 102 35 338 987 103 324 482 361 781 075

17 Acquisition des immobilisations corporelles en cours - - 80 663 890 - 84 739 925 - 165 403 815

18 Participations - - - - - 5 956 020 5 956 020

19 A ectations - 9 992 407 - - - - 9 992 407

20 Dépenses d'investissement 450 337 705 365 759 667 360 273 868 237 566 239 275 751 301 314 773 147 2 004 461 927

21 TOTAL 738 458 912 746 425 062 738 823 706 572 446 608 576 628 866 648 054 447 4 020 837 601


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2. PLAN COMMMUNAL DE DEVELOPPEMENT

2.1 ACTUALISATION DU PLAN COMMMUNAL DE DEVELOPPEMENTLe Plan Communal de Développement (PCD) qui est un outil de planification locale, d’aide aux transferts des compétences aux Communes, préparation du Budget d’Investissement Public (BIP) au niveau national a été actualisé et approuvé au cours d’un Conseil municipal élargi aux sectoriels (COMES) tenu les 18 au 20 avril 2018.

Cette actualisation a permis d’introduire de nouvelles informations relatives aux changements climatiques, à la petite enfance, au flux des réfugiés ainsi que les déplacements internes des populations, et surtout la liste des projets prioritaires sociaux et économiques par village, les solutions endogènes et leur arrimage au Budget Programme tel que prescrit par le Gouvernement.

L’Organisme d’Appui Local (OAL) dénommé CIETADEL, a été recruté pour apporter une assistance technique appropriée à la commune de Dibombari. Il a été élaboré avec la collaboration de l’ensemble des acteurs de développement de la com-mune de Dibombari.

Le PCD constitue la boussole et le cadre incontournable de choix des investissements à soumettre à la validation du Conseil communal et au financement du budget communal et d’organismes et partenaires financiers (FEICOM, PNDP, Coopération internationale, etc.) Le coût total des projets inscrits au PCD 200. Les projections financières du PCD situent les coût des investissements inscrits au plan à 30 209 400 000 F CFA pour la période 2012-2017 et à 38 707 525 500 F CFA pour 2019-2024.

La vision et les objectifs communaux sont restés constants à savoir :

2.2 PLAN D’OCCUPATION DES SOLD (POS)

2.2.1 Vision du POS de la Commune de Dibombari

2.2.1.1 Principes généraux d’aménagement

Les réalisations communales sont conforment au PCD depuis la mise en œuvre de celui-ci en 2012. Quelques confusions ont été observées au sein de la communauté, par le passé, entre les projections financières du PCD et la disponibilité effec-tive de fonds pour l’investissement communal.

La Commune de Dibombari a initié en 2018 l’étude d’élaboration de son Plan d’Occupation de Sols en vue d’éviter les conséquences de l’urbanisation anarchique et spontanée que rencontrent la plupart de nos villes. Cette étude qui s’est achevée par la validation du conseil municipal le 15 Novembre 2019 a eu la particularité d’innover en ce sens qu’il est l’un des premiers Plan d’Occupation des Sols du Cameroun à avoir utilisé les images aériennes de drone à l’initiative de la mairie.

Faire de la Commune de Dibombari, un hub économique, social et culturel, rationnellement aménagé, et complémentaire

moyens, de capacité de gouvernance et de mobilisation de ressources propres, afin d’améliorer sa compétitivité et son attractivité en vue de son émergence 2035.

La vision : Aménager rationnellement et durablement la Commune, la doter d’infrastructures de base, de moyens et de capacités de gouvernance et de mobilisation de ressources propres à améliorer sa compétitivité et son attractivité en vue de son émergence à l’horizon 2035.

Objectif général : Faire de l’espace communal de Dibombari un pôle de développement durable, rationnellement aména-gé, complémentaire aux communautés territoriales voisines et jouant pleinement le rôle de hub économique, social et cultu-rel que lui confère sa position géographique et ses ressources naturelles en vue de son émergence à l’horizon 2035.

Objectifs Spécifiques : L’objectif général se décline en 03 principaux objectifs spécifiques axés sur : • • • la gouvernance locale.


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2.2.1.2 Carte de zonage du plan d’occupation des sols de la commune de Dibombari

Le POS, une approche inclusive & une vision partagée

L’élaboration du POS a connu une large consultation et la prise en compte des recommandations des Chefs traditionnels, opérateurs économiques, élites et populations et la vaste majorité des parties prenantes.

Le POS de Dibombari prévoit une structure de routes radioconcentriques avec comme épicentre la ville de Dibombari. La commune est ceinturée par un boulevard périphérique sur berges fluviales dans les parties Sud, Est et Ouest permettant l’exploitation d’un grand réservoir d’activités touristiques, ludiques et résidentielles de luxe. Le boulevard longe la frontière avec la commune de Bonaléa dans la partie Nord. Les voies, véritablement puits de carbone agroforestier, ont des emprises qui permettent la mise en œuvre de la mobilité durable (pistes piétonnes et cyclabes) conformément aux objectifs du développement durable. Cette structure anticipe les problèmes de congestion et positionne Dibombari au rang de com-mune durable.

The Dibombari POS plans a radioconcentric road structure with the city of Dibombari as its epicenter. The town is surroun-ded by a peripheral boulevard on river banks in the southern, eastern and western parts allowing the exploitation of a large reservoir of tourist, recreational and luxury residential activities. The boulevard runs along the border with the municipality of Bonaléa in the northern part.

The tracks, real agroforestry carbon sinks, have rights of way which allow the imple-mentation of sustainable mobility (pedestrian and cyclabic tracks) in accor-dance with the objectives of sustainable development. This structure anticipates congestion problems and positions Dibombari as a sustainable municipality.


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2.2.2 Axes d’actions du Plan d’Occupation des Sols (POS)

Exemple d’aménagements ludico-touristiques le long des bergesdu Moungo/Wouri

Extrait Business Plan Moulanga City (Bomono ba Mbengue)

• La restructuration des zones de Nkapa, Yapaki, Bwadibo,

• Affirmation des potentielles zones touristiques existantes (Dibombari beach, plage à Yassem, vestiges de la gare de

• Création d’un Central Business District (CBD) à l’échangeur de

• Aménagements ludiques des berges du fleuve Moungo et

• Création des centralités secondaires à Bekoko, Nkapa, Yabéa,

• Création d’un réseau de transport assorti des pôles et points

• Création d’une ville nouvelle à Moulanga et d’un écovillage à

• Création d’une zone industrielle entre Yato et Békoko où environ 500 ha sont réservés à la MAGZI dans l’espace SOCA-

• Constitution des réserves communales dans tous les villages

• La récupération de l’espace de la SOCAPALM (626,89 ha), libre d’exploitation pour en faire la réserve foncière communale• Création des parcs urbains et des cimetières.

Exemple : Central Business District (CBD)

Dibombari recèle un haut potentiel de ville littorale moderne


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2.2.3 Le concept et le plan d’aménagement de Moulanga city : héritage, durabilité, innovation & créativité

Le projet d’aménagement de MOULANGA CITY s’appuie sur le modèle conceptuel assis sur l’Héritage, la Durabilité et l’Innova-tion & la Créativité qui vise à :

facile où la culture plurielle nationale des peuples de l’eau, de la forêt et des savanes trouve un réceptacle d’exposition en proje-tant l’image de symbiose et d’ouverture vers le futur.

urbains privilégient la pérennité ou la durabilité de la vie dans le futur grâce à un souci marqué de l’environnement, de la biodi-versité et de l’homme comme finalité du développement.

du génie d’innovation et de créativité à travers les arts, les sports, la détente, et l’expression des vocations. économiques

Le Plan délimite les secteurs par zones d’occupation des sols sur 845,72 hectares pour les usages suivants :

Certaines communautés Propriétaires des terres de Moulanga sont disposées à des investissements concertés sur ce merveil-leux site. Il s’agit de Bomono-ba-Mbengue 1, Bekoko et Bomono ba Mbengue 2 qui ont déjà mis à la disposition de la com-mune le site du marché de Moulanga et de l’usine à glace.


Résidences, centre commercial, pistes piétonneset cyclables sur berges Projections de Dibombari moderne dans le futur

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Ce mandat aura particulièrement été marqué par le lancement de nombreux chantiers infrastructurels dans les domaines des routes, de l’eau et de l’énergie, de l’éducation, la santé etc. de nombreux projets ont pu voir le jour toujours dans le but d’améliorer les conditions de vie de nos populations locales.

Dibombari : mobilité maximale et zéro enclavementSecteur prioritaire de développement communal, classé comme un enjeu, l’état des routes se trouve au cœur de l’amélioration des conditions de vie des populations au sein de la cité.

Là où la route passe, le développement suitLa mobilité des biens et des personnes, gages de la crois-sance de l’économie locale, s’inscrit dans la démarche de l’exécutif de la Commune de Dibombari.C’est ainsi que les fonds propres de la commune ont permis d’entretenir l’axe bitumé BOMONO GARE / DIBOMBARI, mais aussi le traitement des collines de BOMONO BA JEDU et de NJOUKI. Plusieurs tronçons sont également entretenus dans le cadre de l’exécution du budget d’investissement public dans la période de 2013 à 2019.

Préserver le patrimoine communal de routes bitumées: une préoccupation constantePréserver le patrimoine communal de routes bitumées : une préoccupation constante

Le traitement régulier de nids de poule sur la route bitumée Bomono Gare / Dibombari Centre permet de maintenir un confort de circulation appréciable pour les usagers. La com-mune s’est équipée à cet effet d’un compacteur mannuel.

Cela garantit une longévité à cet ouvrage via l’implication des populations par les méthodes HIMO appliquées pendant la saison d’entretien.

3. REALISATIONS

3.1 LES ROUTES : AXE MAJEUR D’ACTION COMMUNALE

Entretien et consolidation routiers par méthode HIMOet lutte contre le chômage des jeunes


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La commune a entretenu des pistes de chantiers d’exploitation de sable, activité qui contribue à la construction des infrastructures de BTP dans toutes localités voisines voire même certains pays voisins, à résorber le chômage, et à déga-ger des recettes pour la commune et l’Etat.

Les routes en terre entretenues des localités de Nkapa, Bomono gare, Moulanga, Yassouka, Minyoungo, etc. nécessitent déjà des rechargements importants, des constructions de fossés afin de s’assurer que ces dernières joueront pleinement leur fonction.

Le parc d’équipement de la mairie (niveleuse, pelle chargeuse, compacteur et pick-up de logistique) a subi le poids de l’intense activité d’entretien routier. Ces engins lourds acquis d’occasion ont fait l’objet d’une maintenance onéreuse au cours de la période 2013-2019 pour contribuer à entretenir les routes en terre et apporter à la communauté des services d’aménagement occasionnel et très appréciés (obsèques, constructions, etc.).

Le parc matériel de l’Unité des Grands Travaux de Dibombari (UGTD) : Une fierté communale et une nécessité, mais une complexité managériale compte tenu du contexte financier : coûts d’entretien de plus en plus élevés. Mais la mairie s’est fait un point d’honneur, compte tenu de leur utilité, à les main-tenir en état de fonctionnement.


3.2 TRIBUNE DES MANIFESTATIONS OFFICIELLES : UN OUVRAGE DE SPATIEUX, MODERNE, FONCTIONNEL ET SOMPTUEUXLa Commune de Dibombari suite à son développement et à l’augmentation de la population, le centre administratif qui autrefois était construit au quartier Bwélolo, se voit déporté du côté de Njobwele où sont désormais logées la Sous-préfec-ture, la tribune officielle et très prochainement la résidence du Sous-préfet.

14 www.commune-dibombari.com

L’objectif de la construction de la nouvelle tribune officielle est tout d’abord d’offrir un meilleur cadre pour les organisations des manifestations publiques et offrir un accueil trois fois plus chaleureux que le précédent.

La tribune municipale de Dibombari est un édifice dont les standards allient modernité architecturale, pérennité et exigences en matière d’hygiène et salubrité. Elle comprend :

Les toilettes publiques modernes de la tribune municipale de Dibombari participent du développement durable par la promotion de l’hygiène dans les lieux publics.

3.3 L’HOTEL DE VILLE DE DIBOMBARI : UN CADRE DE TRAVAIL QUI ALLIE FONCTIONNALITE, MODERNITE, DEVELOPPEMENT DURABLE, ARTS & CULTURE.

Faisant partie des multiples projets que la Commune de Dibombari a décidé de mettre sur pied, le lancement des travaux de ladite tribune officielle a eu lieu le 20/03/2018 grâce à l’accord du financement du FEICOM le 11 février 2019 journée nationale de la fête de la jeunesse, nous avons eu à célébrer la toute première manifestation dans ce bijou qui fait parler de lui dans tout le Moungo.

L’hôtel de ville de la Commune de Dibombari reçoit actuellement les derniers coups de retouche depuis la période de valida-tion des travaux supplémentaires, des travaux d’aménagement des voiries et réseaux divers. Le grand joyau architectural avec des fonctionnalités bioclimatiques affiche fière allure de monument touristique au paysage du quartier Bwelelo. Le bâtiment R+1 est équipé d’un système informatique de dernière génération. Au-delà de la connexion filaire, une connexion WIFI est installée au sein de cet ouvrage, facilitant la communication entre les services et limitant au maximum le déplacement du personnel d’un bureau à un autre. Une entrée biométrique et des caméras de surveillance filtreront à suffisance les entrées et les sorties des usagers ainsi que du personnel. Des meubles de bureau soigneusement conçus pour chaque bureau vont non seulement apporter tout le sérieux qu’on a donné à ce projet mais aussi améliorer les condi-tions de travail. Chaque niveau dispose de deux batteries de toilettes modernes, la mairie devant montrer l’exemple en matière d’hygiène et assainissement.

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Ministre de la Décentralisation et du Développement Local

L’architecte de l’Hôtel de ville Cyrille MOUKOKO NDOUMBE

Jean-Michel DISSAKE, Exposition Doual’Art – Nov 2019. La première exposition à Douala de J.M. DISSAKE a été l’œuvre de la Commune de Dibombari.


3.4 SANTE : UNE POLITIQUE INTEGREE

3.4.1 L’accroissement du taux d’accès des populations aux services de santé.

L’Hötel de ville de Dibombari est un monument qui célèbre deux artistes fils de Dibombari : M. Cyrille MOUKO-KO NDOUMBE, l’architecte (bioclimaticien) du bâtiment d’une part, et M. Jean DISSAKE, artiste pictosculpteur de renommée internationale, et auteur de la prestigieuse toile qui pare le hall central de l’hôtel de ville d’autre part.

en construction.

La mise en œuvre de la politique de santé de la commune de Dibomba-ri se décline en trois volets :

C’est dans ce cadre que la commune a construit, avec l’appui du FEICOM, cinq centres de santé intégré (CSI) à Nkapa, Yamikoki, Bomono Ba Mbengue, Bwadibo et à Yato. Un sixième CSI est chantier à Békoko financé par le Prix Performance 2017 PNDP/Banque Mondiale d’une part et le PNDP d’autre part. Quatre des six nouveaux CSI ont été mis en service au cours de la période 2013-2019. La commune a égale-ment équipé les CSI, pour leur démarrage, en équipements essentiels (lits, matelas, bureaux) et de laboratoire, ainsi que les médicaments. En outre, elle prend en charge, en attendant la prise en mains par l’adminis-tration de la santé publique, une grande partie du personnel soignant et de laboratoire, ainsi que l’électricité et l’eau.

3.4.2 La mutualisation des populations pour un accès économique (à prix abordable) aux examens médicaux, aux soins et aux médicaments.

Deux actions sont menées sur ce chapitre :a) L’assurance-maladie des employés de la mairie étendue aux citoyens de la commune volontaires et en mesure de s’acquitter de la prime d’assurance. Cette assurance contractée auprès d’AXXA a été interrompue depuis deux années en raison des de la conjoncture finan-cière difficile.


3.5 EDUCATION : POUR UN CADRE D’EDUCATION DE QUALITE

3.6 ACCES A L’EAU : A PROBLEME EPINEUX, SOLUTION SYSTEMIQUE (L’AGENCE DE L’EAU, DE L’ENERGIE, DE L’ASSAINISSEMENT ET DU DEVELOPPEMENT DURABLE (AEAD)

3.4.3 L’appui à l’hôpital de district de santé de Dibombari :

La remise en état de la morgue et divers appuis s’inscrivent dans ce volet. Le maire préside le conseil de gestion de l’hôpital de district.

La Commune Dibombari, consciente de l’enjeu que représente l’éducation dans le développement de sa jeunesse, a initié de nombreux projets liés à l’éducation. L’objectif est de permettre aux enfants l’accès à une éducation de qualité et les rappro-cher des équipements éducatifs. D’importants projets ont donc été réalisés dans la plupart des villages de la localité :

déplacés internes dans la Commune, c’est ainsi que dans le budget 2020 il a été prévu :

La problématique de l’approvisionnement en Eau Potable se pose avec acuité dans l’arrondissement de Dibombari. Cette question revêt un caractère de plus en plus politique dans la mesure où la population a de la peine à comprendre cet état des choses alors que LA CAMWATER puise et traite partie de l’eau à Yato (Dibombari) pour la transporter à travers Dibom-bari distribuer à Douala sans desservir les localités de la commune.

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b) La Mutuelle-santé communautaire qui a été étudiée et créée avec le soutien institutionnel de la mairie. Ce projet a fait l’objet d’une vaste campagne de sensibilisation par la commune il y a 7 ans et son échec avait permis d’identifier la problé-matique de couverture du territoire par les centres de santé comme un facteur bloquant.


Plusieurs forages ont été réalisés entre 2013 et 2018 dans le cadre de l’exécution du Budget d’Investisse-ment Public de la Commune de Dibombari (Moulan-ga, Yato, Bonabweng, Minyoungou, Bomono Gare, Bomono Ba Jedu, Bwassalo, Yamidjang, …). Ces installations, à motricité humaine pour la plupart, n’ont pas résisté pendant plus d’une année certains même moins d’un trimestre sans que de multiples pannes finissent par aboutir à leur arrêt. La mairie est sollicitée pour remettre ces installations en marche. Faute de moyens conséquents, la commune a pu apporter des réponses assez diligentes pour les grands réseaux de Dibombari et de Bomono.

Pour ce qui est des forages, leur dispersion et le manque de suivi se posent en termes de responsabilité technique et de financement de petites pannes au niveau des villages qui finissent par entrainer l’arrêt des équipements. Il a également été observé des cas de mauvaise qualité de l’eau (Moulanga) du fait de la faible profondeur des forages.

Placée au centre de toutes les activités humaines (agriculture, élevage, etc.), l’eau joue une fonction vitale dans le dévelop-pement socio-économique de nos localités.

Les réseaux d’adduction d’eau potable de Dibombari ville et de Bomono ont fonctionné de manière sporadique avec 30% de disponibilité de service aux usagers en moyenne au cours de la période 2013-2019. Dans les zones desservies par ces deux réseaux, l’offre s’est avérée très inférieure à la demande avec la poussée démographique, l’absence d’une expertise de planification et d’étude au sein des comités d’eau, et de moyens conséquents pour adapter les équipements de produc-tion, de traitement, de stockage et de distribution aux besoins, la décentralisation des ressources de gestion de ces installa-tions transférées par l’administration aux communes n’étant pas effective.

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Evolution de la population de Dibombari de 2005 à 2018 et projections horizon 2035

Source:

2005 2018 2023 2028 2033 2035

Hypothèse basse/ taux de

croissance naturelle (2,8%)

17 141 24 544 28 178 32 350 37 140 39 249

Hypothèse moyenne (3,2%) 17 141 25 815 30 218 35 373 41 406 44 099

Hypothèse haute (4,7%) 17 141 31 142 39 181 49 296 62 022 67 989


de Békoko

Pour pallier à la précarité de forages à motricité humaine, la commune a entrepris de procéder au remplacement systéma-tique des pompes à motricité humaine par des pompes électriques associées aux réserves d’eau, enfin l’installation des bornes fontaines : cas de Bekoko, Bwadibo et Yassouka).

Pour ce qui concerne la desserte de la ville de Dibombari, la Commune a décidé de réhabiliter les installations de captage et de pompage de DIPO pour accroitre l’offre. Le forage dédié à la mairie et dont la construction démarre très prochaine-ment viendra également renforcer les quantités d’eau stockée dans le château d’eau pour refoulement gravitaire dans le réseau de la ville. En matière d’énergie, le groupe de secours de la commune fournira à l’adduction d’eau de la ville l’éner-gie de secours nécessaire.

Ces dispositions permettront, à court terme, d’améliorer la quantité d’eau à fournir aux populations de la ville de Dibombari. Une extension a été faite à cet effet dans les localités de Bonabweng, Bossedi et Bali.

Par ailleurs, un financement FEICOM permet à la Commune de Dibombari de résoudre définitivement cette problématique dans les localités de BEKOKO, BABENGA, BWADIBO et YAPAKI. Les travaux une fois exécutés et réceptionnés permet-traient aux populations de ces localités de penser à d’autres challenges. Le retard de plusieurs mois observé quant au démarrage de ce projet est lié au problème foncier à savoir la difficulté à obtenir 500 m2 de terrain à Yapaki pour un château d’eau au point le plus élevé de la zone à couvrir.

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La proximité avec la métropole Douala est un avantage considérable. Mais elle induit des pressions multi-formes qui nécessitent des approches de gestion technique et managériale de niveaux conséquents.

Pourquoi l’AEAD ?Sa raison d’êtreRépondre à un besoin pressant d’efficacité, de cohérence, de régularité et de pérennité de l’action communale dans les quatre domaines cités plus haut : eau, énergie, assainissement, développement durable, dans l’objectif de livrer à la population et aux acteurs économiques des services continus de qualité à des prix compétitifs.

Asseoir une gestion appropriée des problèmes d’assainissement et d’environnement

Les problèmes liés à l’approvisionnement en eau et à l’énergie (éclairage public, énergies renouvelables dont le solaire, gaz domestique), sont traités actuellement de façon isolée et inefficace. La mairie n’intervient que par inter-mittence en cas de rupture grave, et sans aucune cohérence d’ensemble.

Les comités en charge de la gestion des adductions sont relativement peu performants dans la tenue des équipe-

l’approvisionnement insuffisant et irrégulier en eau et sa qualité souvent douteuse. Certains ménages utilisent encore l’eau de puits et de rivière.

L’éclairage public est constitué très souvent d’installations sommaires et avec des lampes énergivores.

Avec la pression démographique, l’urbanisation accélérée, et l’industrialisation, la gestion des ordures ména-gères et des déchets industriels méritent des réponses appropriées.

L’absence de toilettes dans certaines habitations précaires et les lieux publics, l’enterrement d’ordures dans les concessions, la saturation de cimetières dans les zones à forte densité démographique, l’hygiène publique est gravement menacée de même que les nappes phréatiques qui alimentent les forages et puits d’eau.

La destruction de l’environnement et la biodiversité avec la déforestation, l’exploitation sauvage des terres de remblai, le remblayage anarchique des rivières, plans d’eau et marécages, exploitation sauvage des carrières de terre sont autant de facteurs de menace des équilibres au niveau local et global sur le climat, la viabilité et l’aména-gement du territoire, toutes atteintes graves au potentiel économiques, social et culturel de la commune.

LE PROJET L’AGENCE DE L’EAU, DE L’ENERGIE, DE L’ASSAINISSEMENT ET DU DEVELOPPEMENTDURABLE (AEAD)


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Que va faire L’AEAD ?

Sa mission

L’AEAD est un établissement public qui a pour objet la mise en œuvre avec professionnalisme et efficacité, des compétences transférées par l’Etat aux communes dans les domaines de l’eau, de l’énergie, de l’assainis-sement et du développement durable.

Elle a pour mission :1) La mise en œuvre des compétences décentralisées en matière de l’eau, de l’énergie, de l’assainissement

2) L’identification, l’évaluation et l’exploitation du potentiel communal en vue de satisfaire les besoins des

4) La vulgarisation de l’utilisation des équipements de production et potabilisation de l’eau, de production et consommation d’énergies renouvelables, d’efficacité énergétique5) La mise en place et la gestion de solutions en matière d’assainissement et de protection de l’environnement6) L’élaboration et la recherche de financement de programmes et projets en liaison avec l’exécutif communal7) L’assistance à la maîtrise d’ouvrage des projets d’eau, d’énergie et d’assainissement dans la commune8) L’encadrement des populations dans la participation à la gestion et à la maintenance des équipements d’accès à l’eau, à l’énergie ainsi que dans les solutions d’assainissement.

Comment va procéder l’AEAD ?

Son organisation en sept points 1. Couverture complète du territoire et division efficace du travail L’AEAD est doté de la personnalité juridique et d’autonomie financière. Elle dispose :

délégués par le conseil.

La direction est organisée en divisions spécialisées par domaine, et des délégations par grandes zones couvrant tout le territoire. Tandis que les divisions sont chargées de définition, l’élaboration et la mise en œuvre des politiques, les délégations locales sont chargées de missions spécifiques sur le terrain et notamment :

continuité de service,

2. Inclusion de toutes les parties prenantes (administration, acteurs économiques, communautés, entreprises des secteurs de l’eau et de l’énergie, société civile) dans la définition et la gestion des activités de l’agence afin d’assurer une prise en compte maximale des besoins de la société et des acteurs écono- miques locaux.3. Définition claire des missions et des cahiers de charges4. Recrutement d’un personnel qualifié et dédiéTous les postes sont identifiés, et les profils définis pour remplir les missions de l’agence, notamment la réali-sation du cahier des charges domaine par domaine. Les recrutements se feront exclusivement sur la base des compétences et de l’expérience.5. Entretien curatif des équipements existants et extension des réseaux6. Investissement dans les nouveaux équipements 7. Assurance et sécurisation des recettes par un règlement coercitif des facturesCombien coûte la solution AEAD et d’où viendra l’argent?

« On ne fait jamais attention à ce qui a été fait. On ne voit que ce qui reste à faire – Marie Curie »


3.7 ACCES A L’ENERGIE 3.7.1 Couverture maximale en énergie électrique, mais instabilité et coupures fréquentes.La commune jouit d’une couverture quasi totale en énergie électrique. Cependant beaucoup de nouveaux quartiers et localités nécessitent des extensions de réseau pour être raccordés au réseau. Les problèmes rencontrés sont communs à la majorité des usagers à savoir les baisses de tension, les coupures souvent programmées, des dommages aux équipe-ments électro-domestiques au retour du courant électrique ainsi que des pertes en biens périssables par manque de réfrigération.

La commune devra promouvoir l’usage de l’énergie solaire qui pourrait servir pour l’éclairage et d’autres usages comme la radio, la télévision, la recharge des téléphones etc.

Les équipements de forages d’eau des comités de Dibombari et de Bomono sont très affectés par l’instabilité de l’énergie électrique.

La commune a procédé à l’extension et à l’entretien de réseaux d’éclairage public (EP) dans plusieurs localités de la com-mune. L’absence de régulation de l’allumage des lampes sur l’ensemble des réseaux affecte la durée de vie des ampoules exceptées pour les lampes à commande d’extinction manuelle sur poteaux. Par ailleurs, la faible durée de vie des supports en bois (deux ans en moyenne) et la chute des poteaux d’EP précarise le réseau municipal d’EP.

La commune recherche activement du financement auprès du FEICOM pour la consolidation du réseau d’EP sur toute

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La mise en place de l’Agence se fera progressivement sur cinq années pour un coût total de 1 793 Millions F CFA réparti ainsi qu’il suit :a) L’investissement (eau, énergie, assainissement, développement durable) : 1 376 Millions F CFAb) Personnel (salaires et charges) : 262.5 Millions F CFAc) Extension et entretien équipements : 100 Millions F CFAd) Fonctionnement et communication : 54.5 Millions F CFACes dépenses seront financées par les revenus de la vente d’eau (208 M FCFA), des contributions éclairage public (39 M FCFA), les revenus de décharge publique (41 M FCFA), des contributions sur financement mairie, FEICOM, PNDP, BIP, et organismes divers ainsi que des subventions (1 608 M FCFA), et dons et legs (40 M FCFA).

Le 3ème Prix Performance PNDP/Banque Mondiale 2019 d’un montant de 50 Millions de F CFA gagné par la commune de Dibombari sera mis à la disposition de l’AEAD

Les impacts considérables de l’AEAD

de l’eau.

durables.

d’énergie électrique ENEO fiables.

relatives à l’assainissement.

questions d’assainissement.

ronnement.

tés locales.

Création d’un cadre de concertation communale sur les questions liées à l’eau, l’énergie, l’assainissement et au développement durable.

Contribution à l’épanouissement des communautés locales.


3.8 EQUIPEMENTS MARCHANDS : RENFORCER L’ECONOMIE LOCALEDans le souci constant d’améliorer les conditions de vie de ses populations et d’accroître ses recettes propres, la Commune a entrepris la construction des espaces marchands dans plusieurs localités entre 2014 et 2015 avec l’aide de plusieurs bailleurs de fonds.

Quatre réalisations ont été effectuées avec l’appui financier du Programme National du Développement Participatif (PNDP) :

Les hangars de vente de poissons à Nkapa et à Bwadibo, et deux hangars au marché de Dibombari Centre ont été réalisés sur le budget d’investissement public (BIP).

Le Programme d’Investissement Prioritaire (PIP) a permis de doter la com-mune de deux hangars de marché de Moulanga qui viennent en complément du quai et de l’usine à glace ci-dessus.

Sur le plan financier, la construction de ces marchés a permis d’accroitre le taux des recettes propres bien que cette évolution se fasse en dents de scie.


l’étendue de la commune.

Cependant, il apparait que l’EP solaire constitue une solution, certes relativement plus onéreuse à l’investissement, mais moins instable et plus durable.

éclairage public par énergie solaire et (b) transformation des forages d’eau équipés de pompes à motricité manuelle par des pompes à motricité solaire.

Marché de Yabea

3.9.1 Sports : un soutien actif a la jeunesse

3.9 SPORTS, ARTS & CULTURE

La Commune a soutenu et pris activement part aux activités sportives intercommunales et à celles organisées par les jeunes dans le cadre des divers championnats. Un arrêté du maire règlemente l’organisation des championnats à l’effet de rationnaliser l’occupation des stades disponibles au sein de la commune.

Plusieurs activités sportives ont été organisées au sein de la commune dans le cadre de la Fête de la Jeunesse et de la Journée Internationale des Femmes.

La commune a acquis un terrain à Bomono ba Jedu (près de Solle) dans le but de délocaliser le stade de football sis au préau de l’école publique de Bomono gare, ce qui éviterait les dégradations subies par les bâtiments de l’école publique.

Le Plan d’Occupation des Sols (POS) de la commune de Dibombari prévoit dans chaque village, un espace dédié aux sports, loisirs et à la détente.


3.9.2 ARTS & CULTURE

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La Maison de la Culture: faire de Dibombari un pôle culturel, une maison de la promotion de la jeunesse et des valeurs de société

L’un des paris réussis par l’Exécutif Communal au cours de la période 2013-2019 aura été celui de la valorisation et de la promotion des arts et de la culture au sein de la Commune.

En effet, il faut rappeler que la Commune s’est dotée depuis 2015 d’un immeuble de la «Maison de la Culture» financée par le FEICOM et dont les activités principales visent la jeunesse. Entre autres activités : Forums sur la jeunesse, Conférence-Débat autour de la fête de la jeunesse, Concert de Musique, Projections Cinématographiques, Soirées Contes, Théâtre, Littérature et formation en langue locale et en artisanat. Sa Majesté Professeur MBONJI EJENGUELE souvent été disponible pour animer la réflexion et les débats à la Maison de la Culture.

Un calendrier culturel riche en activitésLes activités ont été programmées sur trois mois avec pour objectif majeur l’animation culturelle, la promotion des talents, la cohésion sociale et le vivre-ensemble, la valorisation de la diversité culturelle communale.

Axée sur trois activités par semaine environ, la programmation des contenus a été conçue et imprimée dans un livret de seize pages en format A5 et distribuée en 3000 exemplaires aux populations qui pouvaient dès lors prendre connaissance des activités bien à l’avance.

C’est un public chaleureux qui a honoré massivement ces nombreux rendez-vous culturels et artistique au sein de la Commune.

L’exécutif Communal a été d’un grand apport dans l’accompagnement de ces activités aussi bien pour leur production que pour la logistique ou encore les cachets des artistes.

Pour le Maire de la Commune de Dibombari, Chief FREDERIC NGUIME EKOLLO, « le défi de la maison de la culture s’inscrit non seule-ment dans notre volonté d’accompagner les populations dans la découverte de nombreuse richesses culturelles, artistiques et tradition-nelles dont regorgent nos communautés, mais aussi dans la résurrection de nombreux repères culturels en déperdition. »Concours de dictée en langue française

à la Maison de la Culture


La commune a apporté son appui aux festivals culturels organisés dans les chefferies de Dibombari et ambitionne opérationnaliser la culture dans une plateforme communautaire fédératrice, inclusive, autonome et pérenne avec l’appui de la commune : la Coopérative des Arts & de la Culture dont la première dirigeante a été élue en 2019 avec comme Président le Sa Majesté Professeur MBONJI EJENGUELE.

Un studio tout joli baptisé « Studio Caramel » doté d’équipements techniques de pointe. La Radio Dibombari FM 102.2 : Un produit du Prix Performance PNDP/Banque Mondiale 2017. En studio Mme Marie Madeleine NGAH, Coordina-

Banque Mondiale, accompagnés de M. le Coordo-nateur régional du PNDP pour le Littoral.

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Avec la Coopérative des Arts et de la Culture et l’Ecole des Traditions de Bomono Ba MBENGUE, la commune œuvre pour l’avènement d’une industrie de la culture à Dibombari.

Promesses communales tenues pour le grand bonheur de la jeunesse : une Maison de la culture, une fanfare, un orchestre, une radio commu-nautaire. En projet : -rique, un Musée, le Cyber centre, une Salle de spectacle.


3.10 DEVELOPPEMENT DURABLE

3.10.1 Le Programme Moïse : neutralisation & valorisation de la jacinthe d’eau

La Radio Communautaire de Dibombari : un média de proximité, un solide outil de développement culturel

La radio communautaire qui est abritée à l’étage de la Maison de La Culture de Dibombari a pour objectif de donner aux populations de Dibombari un espace d’expression et d’échanges. Mise sur pied depuis Aout 2018 grâce au financement de 50 millions gagnés lors du Guichet performance PNDP/Banque Mondiale en qualité de meilleure Commune du Littoral en 2017, la radio Communautaire baptisée « Dibombari FM 102.2 Mhz » couvre toute la Commune et ses environs et s’impose désormais comme une véritable fenêtre de Dibombari sur le monde. C’est est un outil de communication indépendant, géré et soutenu par les populations à travers la Société Coopérative des Arts et de la Culture dont le bureau est installé depuis Mai 2019.

Cette radio a pour but d’offrir des émissions de qualité répondant aux besoins d’information, de culture, d’éducation, de développement et de divertissement de la communauté. Elle vise l’intégration sociale des différentes composantes de la population.

Ce projet permet par ailleurs à la Commune de Dibombari de se rapprocher de ses populations. Bâtie sur des programmes essentiellement socio-éducatifs, elle diffuse de l’information locale, nationale et même internationale, mais aussi des conte-nus culturels variés et orientés vers les populations de Dibombari et ses environs avec un accent poussé vers le développe-ment.

Le programme communal Moïse vise la neutralisation des effets nocifs et la valorisation économique de la jacinthe d’eau. La commune a procédé à la construction de deux postes de compostage à Moulanga (berge du Moungo) et à Yassem (berge du bras du Wouri), à la formation des membres des deux communautés riveraines à la collecte et au compostage.La prise en mains par les populations locales s’effectue progressivement à des rythmes contrastés dans les deux sites. La commune compte mettre en œuvre une stratégie de stimulation de cette activité éminemment génératrice de valeur ajoutée et d’emplois.


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3.10.2 La protection de l’environnement

3.10.3 La Responsabilité sociétale d’entreprise et le Contenu local

Avec la mise en œuvre du Plan d’occupation des sols, la lutte contre les carrières anarchiques de rem-blai de terre doit s’intensifierLa lutte contre le creusement anarchique et effets délétères sur le foncier et l’environnement participe de la sauvegarde du potentiel de constructibilité et de développement économique du territoire communal. Certains citoyens s’adonnent à cette activité dans l’illégalité et le non-respect des techniques et des règles de l’art en exploitation des carrières. Les excavations géantes abandonnées constituent des graves risques de chutes dangereuses d’enfants (ce qui a été observé en 2019 à Bomono-Ba-Mbengue) et des dommages corporels et la fragilisation des constructions voisines dont des industries dûment autorisées par la mairie. Le visage induit par cette activité est celui d’un territoire de la période des cavernes, ce d’autant plus ses promoteurs se refusent à remettre en état les sols comme prévu par la législation.

L’apport de la mairie dans le processus des Etudes d’impact environnemental a été déterminantLa commune a contribué aux études d’impact environnemental et social prescrites par l’administration au cours de six dernières années de manière à interdire, le cas du projet d’usine de production d’énergie électrique à partir du gas naturel à l’échangeur de Békoko, localisation qui aurait gravement affecté le lycée bilingue de Békoko et les villages résidentiels de Yapaki, Békoko et Babenga du fait des rejets d’effluents gazeux toxiques dans l’air. Les localisations de plusieurs autres projets ont fait l’objet de dissuasion.

Il sera nécessaire d’éduquer les populations et promoteurs industriels et de projets résidentiels de l’obligation d’obtention préalable de certificats d’urbanisme avant d’acquérir des terrains.

La mairie s’est employée à la création de valeur ajoutée à l’économie et la communauté et d’emplois à travers les initiatives suivantes :

a) Une délibération règlementant la Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE) et le Contenu local (CL) sur le territoire communal mise en placeCette délibération vise à mettre en place une fondation sociale en Responsabilité Sociétale d’Entreprise (RSE) pour résoudre les gaps qui plombent la croissance du produit intérieur brut local (PIB) à travers la création d’opportunités pour les individus et les entrepreneurs locaux, l’utilisation au maximum des biens et services camerounais, et la création d’em-plois dans l’industrie.

La délibération structure la Responsabilité sociétale d’entreprise (RSE), autour des activités courantes de philanthropie (allocations et dons) et d’investissement social (projets de développement) qui contribuent à améliorer la réputation des entreprises et, bien souvent, s’inscrivent dans une logique de marketing, et induisent des effets bénéfiques de portée limitée.

Cependant l’accent est mis sur l’investissement social stratégique, et notamment sur le « Contenu Local » qui s’organise autour du paradigme du développement durable par la création de valeur dans la commune à travers l’utilisation maximale volontariste, délibérée et structurée de ressources humaines et matérielles locales. Le Contenu local se définit l’ensemble des actions visant à valoriser le tissu industriel et les compétences des habitants des communautés riveraines par le recrutement de locaux, la formation, l’achat de biens et de services locaux, le partenariat, l’octroi de contrat aux locaux, etc. Augmenter la « part locale » des industries locales permet de renforcer durablement les compétences humaines et les capacités industrielles locales et par conséquent de dynamiser la croissance économique et sociale.



Les dispositions de la RSE/CL font partie intégrante des modalités de mise en œuvre des certificats d’urbanisme et permis de construire sur le territoire commune bien que la commune de pouvoirs de coercition appropriés.

Certaines entreprises dont la multinationale OLAM CAM et les entreprises à capitaux nationaux SITRABCAM, SOPROI-CAM, EUROIL, SAD et AFRECOM ET QUELQUES 2LITES LOCALES se sont illustrées remarquablement dans la mise en œuvre de cette stratégie.

b) Des contrats de travaux et services aux entrepreneurs locaux par la mairieLa commune a encouragé et apporté un encadrement au cas par cas aux entrepreneurs et prestataires locaux engagés dans des travaux et prestations de services dans la commune. Les informations idoines ont été apportées sur l’existence d’opportunités. Il faut cependant noter l’abandon de contrats ou de chantiers par certains entrepreneurs locaux par manque de financement et/ou d’organisation.

c) Des stages de vacances pour les jeunes sauf pour les deux dernières années en raison des difficultés finan- cières.d) L’approche haute intensité de main-d’œuvre (HIMO) dans les travaux routiers qui a permis d’employer un nombre significatif de jeunes à titre temporaire. e) Le Contenu Local matérialisé par les formations suivantes :

f) La femme : pilier du développement Communal Les femmes de Dibombari jouent un rôle essentiel et incontournable dans l’économie de notre commune. Elles participent pour la plupart à la production agricole, fournissent la nourriture pour leur foyers, et elles mènent de front d’autres travaux pour améliorer le niveau de vie de leurs familles.

L’autonomisation et l’épanouissement des femmes de Dibombari revêtent une importance cruciale pour éradiquer la faim et la pauvreté. C’est la raison pour laquelle la mairie de Dibombari est à la fois le compagnon et l’encadreur de tous les instants, qui a tôt fait d’appréhender les attentes légitimes des femmes afin de mieux les préparer à affronter leurs défis pluriels et accéder ainsi à de meilleures conditions. Parmi les actions menées dans cet ordre d’idées au cours de la période 2013-2019 l’on peut citer :

La société OLAM CAM aura été l’entre-prise la plus socialement responsable au sein de la commune au cours de la période 2013-2019.

Arbre de Noël de Rêve /Dream Christmas Tree Jeunes stagiaires de vacances à la mairie

L’organisation de la filière miondo et la mise en place d’une équipe de de normalisation, de collecte, marketing et distribution

L’encadrement matérialisé par l’offre des boutures de manioc et

Les formations qualifiantes en leur faveur dans les domaines aussi porteurs que l’informatique, l’artisanat ou la musique pour laquelle elles constituent une composante essentielle de la Fanfare municipale.

La distribution de plus de 300 foyers améliorés en remplacement des foyers conventionnels participe aussi bien de la protection de l’environnement que de la protection de la femme contre les effets nocifs des gas pyroligneux de combustion du bois de feu sur la santé.

Engagement sociétal des Femmes MABAO de

Bwanjumba :travaux de redressement

et de peinture des garde-fous

du Pont de Kengue

JOURNEE INTERNATIONALE DE LA FEMME : LA FEMME RURALE À L’HONNEURSauvegarder l’écosystème et la santé de la femme, mère de l’humanité Telle est la noble ambition de la mairie, qui a mis à profit la journée consacrée sur le plan international à la femme, pour mettre les projecteurs sur deux phénomènes aux conséquences dramatiques pour la nature humaine : la mort lente de notre écosystème, victime de l’activité de l’homme, et le danger qui guette la femme rurale, occupée qu’elle est à la prépa-ration quotidienne des repas pour sa famille.

L’utilisation du bois à une échelle jamais égalée jusqu’alors pour le fumage du poisson, est à l’origine de la destruction massive de la mangrove. Un drame pour notre richesse halieutique, car les poissons ne disposent plus d’abris utiles pour leur reproduction. Et quand on imagine la rage avec laquelle se fait la pêche au poisson, le danger se rapproche. Le bois de chauffe, qui constitue encore l’essentiel de la matière qu’utilisent les femmes pour la cuisson, dans des conditions d’inhalation de fumée et de chaleur supportée à longueur de journée, provoque au fil du temps et imperceptiblement, la détérioration de la santé de nos mamans et de nos épouses, qui accomplissent avec amour leur devoir : à savoir nourrir la famille.

Consciente de l’impact de ces phénomènes et des dangers qui se profilent insidieusement mais inexorablement à l’horizon si rien n’est fait, la mairie de Dibombari a saisi l’occasion de la Journée Internationale de la Femme pour agir tout au moins dans un domaine accessible : le secours à la femme rurale, dont la santé est en danger.

1. Soutien aux artistes (Dimouamoua Bruneau, Ngongo Bille Salomon, Dina Michou, Azer Moukoutou, Samy Love)2. Soutien d'une femme sinistrée à Bomono Gare ( maman de Ewoudou Nguime) suite à un incendie qui a ravagé sa maison (don de 50 tôles de 3 mètres)3. Soutien à l'opération d'un aveugle de Nkapa (on n'a pas encore son nom)4. Soutien à l'opération d'un blessé grave à Njobwele ( ventre transpercer par la chute d'un arbre); pas encore de nom

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La femme de Bwajumba (MABAO) engagée socialement:entretien volontaire du pont sur Kengue


DIVERSES ACTIONS SOCIALES DE LA MAIRIE


3.11 ACTIVITES GENERATRICES DE REVENUS

3.11.1 Projets generateurs de revenus : insertion économique des jeunes et promotion de la femme

Séchage de fruits au Burkina Faso1er producteur mondial

La structure des recettes de la commune de Dibombari met en évidence une relation forte entre les revenus de la commune d’une part et les performances du secteur industriel communal et de l’activité économique nationale. Ce lien étroit pourrait devenir un point de vulnérabilité si nous ne sommes pas capables de diversifier nos sources de revenus. Conscient de cet état de choses, la commune a pris le virage stratégique vers la création des activités génératrices de revenus pour elle-même, mais aussi pour l’insertion économique de nombreux jeunes sans emploi de la commune.

Deux projets sont aujourd’hui arrivés à maturité à savoir la transformation des fruits (en fruits séchés et produits dérivés, et l’élevage et conditionnement de poissons de table. Ces projets en sont au stade de la mise en place des solutions institu-tionnelles et financières nécessaires à leur mise en œuvre.

- Réception (1)- Stockage (2)- Tri (3)- Epluchage (4)- Tranchage (5) - Elimination des parties - abimées de Pulpes (7)- Pulpes séchées dans les claies (6)- Elimination des parties abimées de pulpes (7) - Séparation de pulpes collées (8)

A. Projet Transformation des fruits (en fruits séchés et produits dérivés)1) Thème et Objectif général Le projet de transformation des fruits comporte deux volets : une unité polyvalente de transformation de fruits pour le marché local et

dernier volet vise des objectifs économiques beaucoup plus grands puisqu’il consiste à produire et entretenir un tissu de producteurs et entrepreneurs.

2) Objectifs spécifiques L’insertion économique des jeunes adultes.monde rural et la ville, le projet devra associer les jeunes ruraux avec ou sans formation et les jeunes diplômés des villes dans la maîtrise de la

-mercialisation) dans laquelle les compétences se complètent. La valorisation des cultures biologiques. L’ambition est de produire des fruits séchés à partir de la banane, la mangue, l’ananas, la papaye, la noix de coco, la tomate et les piments, cultivés biologiquement par des petits producteurs dans des plantations familiales. L’encadrement des petits producteurs. La formation des producteurs à l’entretien des vergers. Cette formation consistera à l’organisation des formations du type "champs – école" et au training sur la maîtrise des processus qualité tout au long de la chaîne des activités de production (récolte, cueillette, tri, transport, etc.).La promotion du développement communautaire. Malgré la très grande fertilité des terres, la plupart reste encore non cultivée. Notre ambition ici est d’encourager le passage d’une agriculture de subsis-tance à une agriculture professionnelle dont le niveau de revenus géné-rés devrait permettre d’améliorer les conditions de vie des petits produc-teurs.La formation pratique des jeunes à l’entreprenariat. Le dernier objectif du projet s’inscrit dans le prolongement du point précédent. Notre ambition est de compléter par la pratique, les connaissances théo-riques des jeunes adhérents diplômés, d’une part, et en général, de former tous les jeunes, membres de l’organisation, aux différents métiers de notre chaîne d’activités d’autre part: a) La transformation des produits alimentaires consommés


Production des produits dérivés de l’ananas- Le jus naturel d’ananas

- Les conserves de pulpes d’ananas- La poudre de pulpe d’ananas- Le compost à base de rejets d’ananas

Etat d’avancement La formation de cinquante jeunes hommes et femmes à la commune de Dibombari en agriculture biologique et transformation des fruits séchés a été effectuée sur fonds propres d’une part et dans le cadre de la coopération internationale Allemande (commune de Dibombari - com-

constituent le premier maillon de mise œuvre du projet en ce qu’ils sont prêts à l’emploi.

La recherche de financement La mairie de Oldenburg (Allemagne fédérale) est intéressée, compte de son implication dans la formation sur le séchage de fruits, à obtenir auprès du Gouvernement allemand, du financement pour ce projet. Une fiche de requête a été établie et adressée au maire d’Oldenburg par notre mairie. La mairie se propose de saisir le FEICOM pour le finance-ment sur guichet approprié aux projets générateurs de revenus.

B. Projet Transformation des fruits (en fruits séchés et produits dérivés)

Elevage de poissons alimentaires , en circuit recyclé, combiné à des cultures biologiques en hors sol, économe en eau, en énergie, sans engrais, et sans pesticides.

Production visé est 120 tonnes de poissons de table par mois sur 12 ha de superficie et environ 288 000 têtes de laitue/an équivalents en produits maraîchers de consommation locale. Le projet comprend le conditionnement et le séchage de poissons ainsi que la production d’intrants (pépinière, alevins et aliments).

- Partenariat avec les communautés locales - Modèle alliant l’HIMO et les technologies à haute productivité

- Fonds propres de la commune - FEICOM - Coopération internationale et bilatérale

- Etudes de faisabilité en cours d’achèvement.

"1ère source d’emploi dans le monde, l’agriculture familiale est aussi le premier fournisseur de produits alimentaires au niveau mondial." (CIRAD)

La Commune de Dibombari : résolument tournée vers la terre et l’eau pour créer des revenus et vaincre la famine et le chômage des femmes et des

jeunes

« Fishponic » Technologie d’élevage de poissons

alimentaires , en circuit recyclé, combiné à des cultures en hors sol, économe en

eau, en énergie, sans engrais, et sans pesticides

FICHE TECHNIQUE DE LA TECHNOLIGIE FISHPONICUne installation sur 500 m² peut produire :• 5 000 Kg de poissons par an, ou 560 Kg environ à pêcher toutes les 6 semaines • 31.000 têtes de laitues par an, ou 600 environ à cueillir par semaine

Consommations • 2 m3 d’eau à ajouter par jour

• Enlèvement manuel de résidus solides 3 fois par jour• 20 Kg de nourriture (granulés) de poissons par jour

Maintenance du système Consommations : L’énergie nécessaire pour une telle installation est de 2 Kw.La Technologie Appropriée ou TA (telle que Fishponic), est une technologie qui est conçue avec une attention particulière aux aspects environnementaux, éthiques, culturels, sociaux, économiques, et sont accessibles aux groupes familiaux ou communautaires.Les technologies appropriées sont des technologies qui requièrent peu de capital, utilisent les matériaux disponibles localement, et sont accessibles aux groupes familiaux ou communautairesElles peuvent être comprises, contrôlées et entretenues par des personnes

utilisées sans dommage pour l'environnement.

Produits maraîchers variés, frais et transformés en fonction des besoins


3.12 COOPERATION

3.12.1 Intercommunalité

La commune de Dibombari dont le maire a assumé la présidence du bureau régional pour le Littoral de l’association des

l’ortho-photographie aérienne par drone exposée par Geospace au cours de l’exposition.

vision du Gouverneur de la Région du Littoral au coût de 3 M F CFA/commune. Un projet pour la Commune de Dibom- bari (et 3 projets intercommunaux d’interêt intercommunal :

3.12.2 Coopération internationale

Les Mairies de Oldenburg et de Dibombari : jalons d´une longue coopération dans plusieurs domaines d´activités.

Le Maire de Dibombari Chief Frédéric Nguime Ekollo invité dans le cadre du Projet « Stopper l‘immigration illégale ! Saisir les opportunités ! » a visité le maire d’Oldenburg sur invitation de ce dernier du 22.04.19 au 26.04.19 par l’entremise de la

Module Formation de pairs éducateurs

d’enseignement secondaire au rôle de pairs éduca-teurs pour les problématiques de l’immigration.

jeunes de DIBOMBARI en général, sur les risques que représente l’immigration illégale.

les opportunités d’accueil en l’Allemagne

Module de production des fruits séchésObjectifs

une expérience professionnelle, et des savoir-faire pratiques dans la conduite des opérations de produc-tion de certains arbres fruitiers, de séchage et de conservation de fruits.

des études effectuées que les maires de l’association peuvent consulter, ce qui pourrait considérablement réduire le coût de la maturation de certains.

Des conventions ont été signées (a) sur la tenue de Journées Camerounaises d’Argentine comprenant des négociations sur le financement de projets avec des partenaires argentins et d’Amérique latine, (b) avec

opportunités de financement avec la Belgique et l’Union Européenne.

1. mise en place d’une unité de construction de routes en terre par pulvo-mixage terre pouzzolane et/ou ciment et stabilisation mécanique.2. Densification de l’électrification des villes et villages des communes de la région du littoral par énergie solaire et transformation des forages à motricité humaine à la motricité solaire. 3. Gestion des ordures ménagères dans les communes du Littoral dans une optique de mutualisation des moyens par groupes de communes.


Dibombari-Oldenburg

Trois projets ( 2 en production et 1 en assainissement générateurs de revenus et à haute intensité d’emplois pour les jeunes et les femmes)ont été soumis au maire de Oldenburg sur sa demande pour être

• Production of dried fruits and by products (Productions de fruits séchés et de produits dérivés) : 600 000 Euros / 393,6 Millions de F CFA)• through the production / packaging / marketing of 120 000 broiler chickens / year (jobs creation and poverty reduction) Améliora-

production/conditionnement/commercia-lisation de 120 000 poulets/an • Garbage collection and treatment in the municipality of Dibom-bari : (400 000 Euros / 262,4 Millions FCFA)

conduite d’unités de séchage de fruits.

Ce projet vise à décourage l’immigration clandestine en donnant des opportunités d’emplois aux jeunes dans leur pays à savoir la production et le séchage des fruits dans une perspective d’exportation dans le marché allemand.

Une visite guidée organisée dans le centre de réfugiés de Oldenburg (capacité d´accueil de 700 places) a permis de connaitre les réalités des réfugiés et de s’entretenir avec la direction et le personnel du centre.

Enfin une séance de travail a eu lieu avec le respon-

Cyrille sur l’état d’avancement du projet Fruits séchés à Dibombari.

Formation en fruits séchés


Record inégalé dans le pays : La Commune de Dibombari, Première au Concours du Guichet Performance PNDP/Banque Mondiale de la meilleure performance managériale dans la région du Littoral en 2017, 2018 et 2019.

C'est désormais une tradition pour la Commune de Dibombari qui se maintient à la tête du classement à chacune des éditions du Prix Guichet Performance organisé chaque année conjointement par le Programme National de Développe-ment Participatif (PNDP) et la Banque Mondiale.

L'objectif de ce Prix est d'encourager les Communes qui auront observé les meilleures performances de gestion, de mana-gement et d'efficacité. La cérémonie de remise du prix 2019 s'est déroulée le vendredi 08 Novembre 2019 à l'Hôtel Hilton à Yaoundé sous la présidence effective de M. le Ministre de l’Economie, de la Planification et de l’Aménagement du Terri-toire qu’assistaient plusieurs ministres invités.

Les primes de 50 Millions de F CFA gagnées en 2017 et 2018 ont servis à l’équipement d’une radio communautaire à la Maison de la Culture et à l’extension et au réseau d’assainissement du Centre de santé intégré de Békoko. La prime de 2019 est dédiée au lancement de l’AEAD (Agence de l’Eau, de l’Energie, de l’Assainissement et de Développement Durable) afin de contribuer à résoudre l’épineux problème de l’eau.

Lors de la remise du prix 2019 à Dibombari, le Président de la Commission nationale du Prix, M. David ABOUEM A THOYI, ancien ministre, avait déclaré que si Dibombari a été la seule commune à gagner le prix dans sa région pour une troisième fois, ce n’est pas parce qu’elle à sa tête un ingénieur polytechnicien, c’est tout simplement le résultat du travail qui a été effectué.

L’approche managériale mise en place à la commune de Dibombari procède de trois piliers :

Ce modèle très contraignant en leadership suppose que le maire et l’Exécutif se positionnent en champion dans la mise en œuvre des valeurs partagées en termes de discipline et rendement. Un recrutement progressif de cadres de niveau univer-sitaire a été effectué et une Task Force mise place comprenant un noyau dur : 2 ingénieurs, deux économistes, un juriste, une urbaniste, un architecte-urbaniste, des consultants conseillers du maire dans les domaines du droit, de l’architecture et urbanisme, des BTP, etc.

La compétence est entretenue par des formations ciblées de haut niveau (Project management, géomatique, techniques de BTC Hydraform, etc.) en fonction de la complexité des objectifs et missions assignées aux cadres et agents.

Dibombari a également obtenu plusieurs prix d’excellence sur le plan national et international.

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5. PERSPECTIVES : ENJEUX ET DEFIS POST 2019


Guichet Performance des Communautés (GPC) : une compétition inter-villages pour boos-ter la performance endogène.

La Commune de Dibombari après sa brillante expérience des Guichets Performance 2017 et 2018 et 2019 a pensé créer une saine émulation au sein des différents villages qui la constituent.

L’accélération de la décentralisation amorcée marque un point d’orgue dans la gestion communale. Les enjeux de l’émer-gence et les défis de gestion des ressources humaines, financières et matérielles placent la commune en pole position du développement du pays.

Les missions contenues dans les nombreux décrets et arrêtés de transfert de responsabilités d’une part, le saut quantitatif de la part du budget de l’Etat décidée à 15% par le Chef de l’Etat, les dispositions attendues en matière de renforcement corrélatif du personnel à travers une fonction publique communale, constituent autant d’ingrédients qui placent l’institution communale au rang de véritable entreprise naissante.

C’est dans ce contexte que, compte tenu de la position stratégique du territoire de Dibombari en banlieue Ouest de Douala et à la confluence de trois régions (Nord-Ouest, Ouest, Sud-Ouest et la ville de Douala), sa gestion mérite toutes les atten-tions aux plans des stratégies de création d’une grande cité de la zone métropolitaine de Douala (sans inféodation complexifiante et paralysante).

Il s’agit de créer une nouvelle grande ville qui tire les leçons des forces et faiblesses de Douala et la positionner en vaste territoire littoral moderne et futuriste.

Avec l’appui du Programme National de Développement Participatif (PNDP), le Guichet Performance des Communautés (GPC) s’est positionné en Mai 2019 comme un vecteur de stimulation des populations dans la recherche des solutions endogènes adaptées à leur mieux-être. Ce guichet vise à susciter dans les villages l’esprit de travail en groupe et à consolider les dynamiques d’inclusion.

A l’issue de cette première édition, 4 villages se sont démarqués et ont bénéfi-cié d’un important lot de matériels agricoles et d’assainissement. Il s’agit notamment et par ordre de mérite des villages : NKENDE, BWELELO, BEKOKO, BOSSEDI 1.

Priority objectives

1 Emerging Dibombari by 203511 Basic Infrastructures

* Roads construction according to the Land Occupation Plans and Sector Plans* Increase mobility through innovative and sustainable road maintenance* Modernize & clean up basic education infrastructure* Create parks, sports & leisure areas, modern cemeteries

12 Basic needs * Improve access to water for household use and drinking water * Improve access to energy (solar, domestic gas and public lighting * Consolidate health services * Build and promote social housing

13 Income and employment generating activities Promote the implementation of structural projects

* Agricultural market, Industrial zone, Blood Transfusion center Dry port, Shopping centers, Residential and Touristic complexes) * Promote peri-urban agriculture and agro-industry * Promote pastoral and fish farming activities * Supervise local entrepreneurship for young people and women * Create a platform for creativity and innovation in the digital domain (Moungo Valley) * Create a production complex on the SONGHAI model

2 Futuristic & sustainable Dibombari21 Land planning and structuring according to the Land Occupation

and Sectors surveys (LOS & SS)

* Execution of rights of way for radio-concentric highways planned in the Land Occupation Plan (LOP) (pedestrian and cycle lanes) * rigorous management of land allocation and use * sustainable development at municipal level * sustainable development at village and neighborhood levels (parks, multisports areas, chiefdom-museum-library)

22 Circular economy * Town sanitation planning (Sanitation Plan) * Organizing waste management and waste water treatment * Promote eco-districts

23 Safety

* Promoting Safety for people and goods* Ensuring fire protection

Our Strategy1. Rigorous management & Professionalism

2. Creation / Implementation of specialized Units 2.1 Urban Planning Unit 2.2 Consolidated Dibombari Major Works Unit (UGTD/DMWU) 2.3 Water, Energy, Sanitation & Sustainable Development Agency (AED/WESD) 2.4 Economic Interest Group (GIE/EIG) 2.5 Mutual Health Insurance / Community Ambulance Service/ Promotion of Hospitals and Health Homes 2.6 Integrated production unit (agriculture, livestock, fish farming, etc.) of the SONGHAI, FISHPONIC models)

3. Executing the Land Occupation Plan (POS/LOP) Studying & implementing Sector Plans (PS/SP)

4. Consolidating the Municipal Police safety and rescue skills 4.1Consolidate the municipal police 4.2 Create a fire brigade 4.3 Train first aiders

A Vision for Dibombari Horizon 2035* Sustainable development pole* Rationally and equitably planned territory* Emerging & futuristic economic, social and cultural hub

Our Values Facing challenges with :

Competency, Rigour, Honesty, Team Spirit,and Solidarity

VISION, OBJECTIVES AND STRATEGY FOR DIBOMBARI EMERGENCE BY 2035

WITHIN THE 2020 ANNUAL INVESTMENT PROGRAM Town planning 1. Implementation of the POS/LOP (securing road rights and strict application of town planning regulations) 2. Development of sector plans Access to water 3. Establishment of the Water, Energy, Sanitation & Sustainable Development Agency 4. Completion of the Yapaki-Békoko-Babenga-Bwadibo drinking water supply project Societal development 5. Realization of the Yabea community Hall Income & jobs generating Investments 6. Establishment of an Economic Interest Group (EIG) 7. Creation of cooperatives using the SONGHAI model (agro-pastoral entrepreneurship for young people and women) Education 8. Construction / equipment of YATO primary school classrooms 9. Construction / equipment of BWADIBO primary school classrooms 10. Construction / equipment of YAPAKI primary school classrooms 11. Equipment of Technical Professional school machines

Objectifs prioritaires

1 Dibombari Emergente à l'horizon 203511 Infrastructures de base

* Création de routes suivant le Plan d'Occupation des sols et les Plans de secteur * Accroitre la mobilité par un entretien routier innovant et durable* Moderniser & assainir les infrastructures d'éducation de base* Creér des parcs, espaces de sports & loisirs, cimetières

12 Besoins Essentiels

* Améliorer l'accès à l'eau à usage domestique et à l'eau potable * Améliorer l'accès à l'énergie (solaire, gaz domestique) et éclairage public * Consolider les services de santé * Construire et promouvoir les logements sociaux

13 Activiés Génératrices de Revenus et d'Emplois * Promouvoir la réalisation des projets structurants (Marché agricole, zone industrielle, Centre de transfusion sanguine, port sec, centres commerciaux, complexes résidentiels et touristiques) * Promouvoir l'agriculture péri-urbaine et l'agro-industrie * Promouvoir les activités pastorales et piscicoles * Encadrer l'entrepreunariat local des jeunes et des femmes * Créer une plateforme de créativité et d'innovation dans le domaine du numérique (Moungo Valley) * Créer un complexe de production sur le modèle SONGHAI

2 Dibombari futuriste & durable21 Aménager le territoire suivant le Plan d’Occupation Sols

et les Plans de Secteurs

* Exécution des emprises d'axes routiers radio-concentriques prévues dans le POS (voies piétonnes et cyclables) * gestion rigoureuse de l'affectation et de l'utilisation des sols * aménagement durable au niveau communal * aménagement durable aux niveaux des villages et quartiers (parcs, espaces multisports, chefferie-musée-bibliothèque)

22 Economie circulaire * Planifier l'assainissement de la commune (Plan d'Assainissement) * Organiser la gestion des ordures et le traitement d'effluents * Promouvoir les éco-quartiers

23 Sécurité

* Sécurité des personnes et des biens* Sécurité-incendie

Notre Stratégie1. Gestion rigoureuse & Professionnalisation

2. Création / Opérationnalisation de structures spécialisées

2.1 Cellule d’Urbanisme 2.2 Unité consolidée des Grands Travaux de Dibombari (UGTD) 2.3 Agence Eau, Energie, Assainissement & Développement Durable (AED) 2.4 Groupement d'Intérêt Economiques (GIE) 2.5 Mutuelle Santé / SAMU Communal /Promotion Hôpitaux et Maisons de santé 2.6 Unité de production intégrée (agriculture, élevage, pisciculture, etc.) du modèle SONGHAI, FISHPONIC)

3. Opérationnalisation du Plan d’Occupation des Sols (POS)Réalisation & mise en œuvre des Plans de Secteurs (PS)

4. Consolidation de la Police Municipale en matière de sécurité et de secours4.1 Consolidation de la police municipale4.2 Création brigade – incendie4.3 Formation de premiers secouristes

Notre Vision pour Dibombari Horizon 2035* Pôle de développement durable* Espace rationnellement et équitablement aménagé* Hub économique, social et culturel émergent & futuriste

Nos valeursCompétence, Rigueur, Honnêteté, Esprit d’équipe,Solidarité face aux défis

VISION, OBJECTIFS ET STRATEGIE POUR L’EMERGENCE DE DIBOMBARI A L’HORIZON 2035

AU PROGRAMME D’INVESTISSEMENT ANNUEL 2020 Urbanisme 1. Mise en œuvre du POS (sécurisation emrpises routières et stricte application règlements d’urbansime) 2. Elaboration des plans de secteur Accès à l’Eau 3. Mise en place de l’Agence de l’Eau, Energie, Assainissement & Développement durable 4. Réalisation de l’adduction d’eau potable de Yapaki-Békoko-Babenga-Bwadibo Développement sociétal 5. Réalisation de la Case communautaire de Yabéa Investissements générateurs de revenus & Emplois 6. Mise en place d’un Groupement d’Intérêt Economique (GIE) 7. Création de coopératives sur le modèle SONGHAI (entreprenariat agro-pastoral pour les jeunes et les femmes) Education 8. Construction/équipement de salles de classe d’école primaire de YATO 9. Construction/équipement de salles de classe d’école primaire de BWADIBO 10. Construction/équipement de salles de classe d’école primaire de YAPAKI 11. Equipement da la SAR-SM en machine à 7 tours


6.1. In MemoriamIls nous ont quitté au cours de la période 2013-2019. Paix à leur âme.

Prof. Gottlieb LOBE MONEKOSSO Citoyen d’honneur de Dibombari

6. SOCIETE

M. Mouelle FrançoisMaire de Dibombari 1982-1987

Sa Majesté MAKA NJOH Daniel

1996-2007

Mme NDJOMO EliseReceveur municipal

BATA OscarConducteur d’engins lourds

M. PASSAMIDanielGardien

MAKE Ebenezer (Kabila)

lourds

NGOLLE MINIKE MFON WANGA

recouvrement

Dibombari vers l’émergencewww.commune-dibombari.com

ambitions & atouts · futuristic and exemplary territory in cameroon, africa and the world!...

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