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CHANGEMENTS CLIMATIQUES

ET DEGRADATION DES TERRES

EN AFRIQUE DE L’OUEST

Alpha Oumar BAH Chef de Division Réhabilitation des Sites

Dégradés

D.N.Environnement – GUINEE

Email: bahalphaoumar2@gmail.com

Tel: 622 473 014

PLAN

• QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS

– Changements climatiques

– Désertification

– Dégradation des terres

• CC et Dégradation des terres• Impacts des changements climatiques sur la

dégradation des terres

• Impacts de la dégradation des terres sur les changements climatiques

• Processus d’atténuation et d’adaptation

• MESSAGES CLES

CHANGEMENTS CLIMATIQUES

DEFINITION:

UNFCCC: des changements de climat qui sont attribués directement ou indirectement à une activité humaine altérant la composition de l’atmosphère mondiale et qui viennent s’ajouter à la variabilité naturelle du climat observée au cours de périodes comparables».

CHANGEMENTS CLIMATIQUES

VULNERABILITEDegré de capacité d’un système de faire face ou non aux effets néfastes du changement climatique. Elle dépend du caractère, de l’ampleur et du rythme de l’évolution climatique, des variations auxquelles le système est exposé, de sa sensibilité et de sa capacité d’adaptationADAPTATIONDegré d’ajustement d’un système à des changements climatiques afin d’atténuer les dommages potentiels, et de tirer parti des opportunités ou de faire face aux conséquencesATTENUATION

Se réfère à l'intervention humaine destinée à réduire les sources de gaz à effet de serre (GES) ou à améliorer les puits de GES. Au titre du Protocole de Kyoto, le principal mécanisme de soutien à l'atténuation des changements climatiques est le Mécanisme pour le développement propre (MDP), mécanisme de conformité sur le marché qui autorise la vente de crédits générés par des projets d'atténuation dans les pays en développement.

La capacité d’adaptation et d’atténuation dépend des conditions socio-économiques et environnementales ainsi que de l’accès aux informations et à la technologie.

• Faire face aux changements climatiques suppose un processus itératif de gestion des risques qui prenne en considération les mesures d’adaptation comme les mesures d’atténuation et qui tienne compte des dommages et des avantages connexes, de la durabilité, de l’équité et de l’attitude à l’égard des risques

MESSAGE CLE

Les Changements climatiques sont une évidence scientifique, et leurs impacts sur l’Afrique sont réels et considérables– Nécessité d’actions urgentes à court terme, et

intégrées au processus de développement à long terme

– Nécessité d’investissements accrus dans la prévision, la surveillance et l’étude scientifique du climat

– Développer des systèmes d’observation viables et doter les pays de dispositifs pour l’accès aux données, leur partage et leur valorisation.

MESSAGE CLE

• Faire de l’adaptation au changement climatique et de la gestion du risque climatique une composante essentielle du développement;

• Exploiter les créneaux de développement bénéfiques en termes d’atténuation, Synergies adaptation –atténuation;

• Développement des connaissances et des capacités: Données, connaissances et capacités pour mieux gérer le risque climatique

DEGRADATION DES TERRES

DEFINITION

« la diminution ou la disparition de la productivité

biologique ou économique et de la complexité des

terres du fait de l'utilisation des terres ou d'un ou de

plusieurs phénomènes, notamment de phénomènes

dus à l'activité de l'homme et à ses modes de

peuplement ».

- Dégradation à long terme de la végétation naturelle,

- Erosion des sols causée par le vent et/ou l’eau

- Dégradation des propriétés physiques, chimiques et

biologiques des sols.

Exploitation artisanale de l’or à Siguiri

Ensablement du MILO A KANKAN

Dégradation des zones humides de cultures

Four à briques en rive gauche

du Milo à Bakonkokoura

Dégradation des berges

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

DEGRADATION DES TERRES

DT: réduit les capacités productives des terres

cultivées, des pâturages et des terres boisées

lorsque s’accroit la demande de produits

alimentaires, de fibres, de carburant, d’eau

douce, de fourrage, de sources d’énergie pour

les ménages et de revenus.

Afrique de l’Ouest: situation alarmante

(terres constituent le principal atout des

populations rurales pauvres (FAO 2009)).

DESERTIFICATION

• UNCCD: la désertification est «la dégradation des terres dans les zones arides, semi-arides et subhumides sèches par suite de divers facteurs, parmi lesquels les variations climatiques et les activités humaines.»

• La désertification est un concept utilisé pour rendre compte des formes aiguës de la dégradation des écosystèmes terrestres et des conséquences de la disparition des services qu’ils rendent

• Elle menace les moyens d’existence de populations parmi les plus pauvres et les plus vulnérables de la planète.

• La désertification est le processus final de la dégradation des terres

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

• La désertification est causée par une combinaison de facteurs qui évoluent dans le temps et varient selon le lieu. Ceux-ci comprennent des facteurs indirects, tels que les facteurs socio-économiques et politiques, la pression démographique et le commerce international, ainsi que des facteurs directs, comme les modèles et pratiques d’utilisation des sols et certains processus liés au climat.

MESSAGE CLE

• La désertification est potentiellement le plus menaçant des changements dans les écosystèmes affectant les moyens d’existence des populations pauvres.

• Désertification conduit à une diminution persistante des services des écosystèmes.

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

• Services de régulation: Bénéfices tirés de la régulation des processus des écosystèmes (■ purification et régulation de l’eau ■pollinisation et dispersion des graines ■ régulation climatique (à l’échelle locale par la couverture végétale et à l’échelle mondiale par la séquestration du carbone)

• Services d’approvisionnement: Biens produits ou fournis par les écosystèmes (■ fournitures dérivées de la production biologique: nourriture, bois, fibres, fourrage, bois de chauffage et produits biochimiques ■ eau douce )

• Services culturels: Bénéfices immatériels tirés des écosystèmes (■ détente et tourisme ■ identité et diversité culturelles ■ valeur culturelle des paysages et du patrimoine ■ systèmes de connaissances indigènes ■spiritualité, esthétique et inspiration )

• Services de soutien: Services qui maintiennent les conditions de vie sur Terre (■développement des sols (conservation, formation) ■ production primaire ■ cycle des éléments nutritifs)

Retenir

Causes et conséquences de la dégradation des terres/désertification

Retenir

La dégradation des terres est

indiscutablement un sujet de préoccupation

(Afrique de l’Ouest). Elle fait courir un risque

au potentiel productif et au bien-être général

des populations (diminution considérable des

avantages économiques, sociaux et

écologiques des terres destinées aux cultures,

à l’élevage et à la production d’arbres).

IMPACTS DES CC SUR LA

DEGRADATION DES TERRES

• Le processus de dégradation des terres existait avant les changements climatiques. Il est principalement causé par: la conversion des forêts, des régions boisées et des pâturages en zones de production agricole, la surcharge pastorale et les pratiques agricoles non durables sur les terres cultivées.

• Les changements climatiques sont un facteur aggravant car : plus suffisamment d’eau pour les cultures, sols de moins en moins fertiles, conversion accélérée des terres au profit d’activités non durables pour compenser la perte de productivité causée par l’appauvrissement des sols, populations rurales dépendantes des ressources naturelles et de l’agriculture pluviale de plus en plus vulnérables et pauvres, etc.

Le changement climatique se traduit par une réduction de la pluviométrie qui accélère la dégradation du couvert végétal et favorise l'érosion, accélérant ainsi les mécanismes de désertification.

En retour, les modifications de la végétation et la dégradation des terres auraient des effets sur le climat dans la mesure où un sol mis à nu accroît l'évapotranspiration et réduit la pluviométrie.

Retenir

Le changement climatique

accentuera la vulnérabilité à la

dégradation des terres, aux

inondations et à la sécheresse.

CHANGEMENTS CLIMATIQUES

L'ADAPTATION AU CHANGEMENT CLIMATIQUE ET L'ATTÉNUATION DE

SES EFFETS AU MOYEN DES PRATIQUES DE GESTION DURABLE

DES TERRES

GESTION DURABLE DES

TERRES

La gestion durable des terres correspond à

l’adoption de systèmes d’affectation des terres

qui, grâce à des pratiques de gestion

appropriées, permettent aux usagers des

terres de maximiser les avantages

économiques et sociaux dérivés de la terre

tout en maintenant, voire en améliorant, les

fonctions d’appui écologique des ressources

foncières (FAO 2009).

GESTION DURABLE DES

TERRES

En agriculture: GDT: comprend l’entretien durable de la productivité des sols (conjuguer le traitement de la fertilité des sols aux mesures de conservation des sols et de l’eau)

En GRN: GDT: consiste dans le maintien, à long terme, de la productivité et de l’intégrité écologique des paysages ruraux (dont les ressources forestières, hydriques et fauniques).

GESTION DURABLE DES TERRES

• La gestion durable des terres (GDT) offre aux populations des possibilités d’accroitre leurs capacités d’adaptation au changement climatique et d’atténuation de ses effets. Nombreuses sont les pratiques qui peuvent en même temps atteindre les objectifs d’adaptation et d’atténuation, notamment celles qui accroissent la teneur des sols en carbone organique.

• Ainsi, les principes de diversification (surtout pour l’adaptation) et de restauration du couvert végétal (surtout pour l'atténuation) sont essentiels dans l'application des pratiques de GDT dans un contexte de changement climatique.

POTENTIELS DE LA GDT

• Le potentiel de la GDT pour l’adaptation: augmentation de larésistance des communautés rurales aux CC car les pratiques de GDT : améliorent et rétablissent la structure des terres dégradées, accroissent l’infiltration des eaux de pluie, augmentent la capacité des sols à retenir l’eau et les nutriments. Conséquences: accroître la production alimentaire, conserver les sols et l'eau, renforcer la sécurité alimentaire et restaurer les ressources productives naturelles.

• Le potentiel de la GDT pour l’atténuation: Bon nombre de techniques de GDT renferment un fort potentiel pour l’atténuation du changement climatique au moyen de la séquestration du carbone ou de la réduction des émissions de GES qui peuvent à la fois améliorer la productivité des sols mais aussi rapporter des revenus complémentaires à travers les marchés carbone.

MESSAGE CLE

Les stratégies et pratiques de GDTpeuvent permettre aux agriculteurs et à leurs communautés de devenir plus résistants au changement climatique

en accroissant la production alimentaire, en conservant les sols et

l'eau, en renforçant la sécurité alimentaire et en restaurant leurs ressources productives naturelles.

MESSAGE CLE

Vue l’absence d’une seule « solution miracle » aux problèmes de dégradation des terres et de faible productivité, le choix des technologies et approches adéquates de GDT pour une zone particulière sera déterminé par :

• Les qualités et caractéristiques des ressources foncières locales ;

• Les exigences en GDT du mode d’affectation des terres à exploiter ; et

• Le contexte socioéconomique et les priorités des usagers des terres.

GDT ET SEQUESTRATION DU

CARBONE

• Les pratiques de GDT qui augmentent la part de carbone séquestré dans les sols contribuera à l’adaptation au changement climatique.

• En effet, l’augmentation du COS est bien connue pour ses bienfaits multiples sur les sols, dont :

– i) une fertilité accrue grâce à la rétention des nutriments ;

– des taux croissants d’infiltration des eaux de pluie ; iii) une capacité accrue de rétention de l’eau ;

– de meilleures conditions pour la faune terrestre et autres microorganismes .

• La séquestration est le processus par lequel des puits de carbone (naturels ou artificiels) prélèvent du CO2 atmosphérique pour le stocker dans les sols, principalement sous forme de matière organique végétale.

• C’est un moyen important et immédiat d’atténuer les effets du changement climatique et du réchauffement global.

• Les sols gérés de façon durable transforment le CO2 d'un gaz à effet de serre en une ressource pour la production alimentaire.

« L’activité la plus importante à réaliser au cours des prochaines décennies pour atténuer le changement climatique en Afrique est d'accroitre la quantité de carbone séquestré biologiquement

dans la biomasse et la matière organique du sol. » (Guo et Gifford 2002)

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

MESSAGE CLE

Pour réussir des pratiques d’adaptation et d’atténuation, il est impératif que les usagers

des terres maitrisent et comprennent convenablement le changement climatique

et les modalités selon lesquelles la GDT peut les aider à gérer ses incidences.

Remarques

• Question 1. Qui sont les différents utilisateurs de l’information sur la dégradation des terres et les changements climatiques et de quel types d’information ont-ils besoin pour l’aide à la prise de décision?

• Question 2. Quelles sont les informations majeures (monitoring of land degradation) nécessaires pour l’aide à la prise de décision (pour une meilleure compréhension de la dégradation des terres)?

Utilisateurs Besoin Type d’info Echelle Fréquence Format

Décideurs Justification des politiques/prioritisation des budgets

Globale Globale (pays) 5-10 ans Cartes, statistiques (désagrégées)

Monde rural (exploitations agricoles)

Identification des domaines d’intervention

Spécifique (lieux de dégradation)

Exploitation agricole

1-2 ans Manuel, guides

science Besoin d’information accrus sur tous les secteurs et selon la nature et les objectifs de recherche

Développeurs (ONG locales et internationales)

Pour fundraising(lobbying) et appui à la mise en œuvre de projets

Biophysique, socioéconomique

Varie (niveaux national,régional, décentralisé)

1-2 ans Données économiques, sociales,environnementales

média Raiseawarainess

variée variée Aussi régulièrement que possible

Depend des besoins

MESSAGE CLE

Multitude d’acteurs qui ont besoin de

l’information (sur la dégradation

des terres et les changements

climatiques) pour l’aide à la prise de

décision (à différents niveaux de

responsabilités)

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Remarques

IDENTIFIER 4 PRATIQUES DE GDT

QUI CONTRIBUENT A LA

REDUCTION DES EFFETS DU

CHANGEMENT CLIMATIQUE

(adaptation, atténuation, synergie)

EXEMPLES DE PRATIQUES DE GESTION

DURABLE DES TERRES

• GESTION DES CULTURES– PAILLIS ET RESIDUS DE CULTURE

– ROTATIONS CULTURALES

– JACHERES

– DIVERSIFICATION DES CULTURES

– AGRICULTURE DE CONSERVATION

– AGRICULTURE BIOLOGIQUE

– GESTION DE LA FERTILITE DES SOLS

• GESTION DES PATURAGES– GESTION DURABLE DES PATURAGES

– SYSTEMES SYLVOPASTORAUX

– SYSTEMES INTEGRES AGRICULTURE/ELEVAGE

• SYLVICULTURE– BOISEMENT/REBOISEMENT

• AGROFORESTERIE

Pratique GDT

Adaptation Atténuation Coûts Bénéfices Conditions écologiques nécessaires

Conditions écologiques indésirables

Paillis et résidus de culture

élevée élevée Résidus non disponibles

Rendements accrus

Pluviosité > ou >Climat chaud, sols dégradés

Terrainssabloneux, tem très élevées

Jachère élevée élevée Très variables

Rendements élevés, fixation azote

Pluviosité > ou >Climat chaud, sols dégradés

Absence de terre arable

Gestiondurable des pâturages

élevée élevée Élevé (fencing)

Productivité accrue élevage, fumier(CO2)

Pluviosité > ou >Climat chaud, pâturages dégradés

aucun

Pratique GDT

Adaptation Atténuation Coûts Bénéfices Conditions écologiques nécessaires

Conditions écologiques indésirables

Systèmes sylvo-pastoraux

élevée élevée élevé Productivité élevage, reboisement (CO2)

Pluviosité < ou >

aucun

Intégration agr/élev

élevée élevée Dépend conditions locales

Rendements accrus, produtivitéélevage,fumier (CO2)

Sols dégradés, pluviosité < ou >

Risque de brûlure des sols en zone aride

agroforesterie

élevée élevée Varie en fonction des conditions locales

Production ligneux,réduction dégradation sols, protection biodiversité

Sols dégradés, pluviosité < ou >

aucun

Gestion des bassins versants

élevée variable variable Faibles taux ruissellement, diminution

Tous agroecosystèmes

aucun

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Adopter des techniques culturales qui optimisent la production et la rentabilité des terres

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

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Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

GESTION DURABLE DES TERRES

ET CCNombreuses sont les pratiques de GDT aptes à contribuer à une plus grande résilience des systèmes agricoles exploités par les populations rurales pauvres des pays d’Afrique subsaharienne vis-à-vis des incidences néfastes du changement climatique. Pour réussir, les activités d’adaptation devront :

• Approfondir les connaissances des usagers des terres en matière environnementale (y compris en détruisant les nombreux mythes concernant les causes du changement climatique).

GESTION DURABLE DES TERRES ET

CC

• Aider les populations à comprendre les incidences à court, moyen et long termes du changement climatique et les moyens par lesquels elles peuvent altérer ou changer leurs pratiques agricoles ; et

• Le recours aux connaissances traditionnelles, mais aussi l’encouragement des usagers des terres à adopter les nouvelles technologies de GDT, lorsque ces connaissances ne peuvent suffire pour opérer les changements nécessaires.

GESTION DURABLE DES TERRES

• Synergie une situation par laquelle le résultat d’ensemble est plus grand que la conjonction de ses éléments individuels. En GDT, les synergies se produisent lorsque plusieurs pratiques de GDT sont employées de manière conjuguée, entrainant ainsi des avantages accrus pour l’environnement.

• La plupart des pratiques décrites ici peuvent et, si possible, devraient être soigneusement agencées au sein du système de production (cultures, pâturages et prairies, forêts) en Afrique subsaharienne pour créer des avantages collectifs.

Awareness - Capacity building - Knowledge sharing

Programme International de formation avancée « Changements climatiques, Atténuation et Adaptation », Bamako, Mali 1er Décembre 2011

CONCLUSIONS

• La variabilité et les changements climatiques

affectent et continueront d’affecter les pays

les plus pauvres en priorité.

• L’Afrique de l’Ouest sera touchée par des

événements extrêmes de plus en plus

fréquents qui vont aggraver le processus de

dégradation des terres.

• La GDT a un réel potentiel pour l’adaptation

aux changements climatiques et l’atténuation

de ses effets.

MERCI

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