conference s&p capital iq : gestion des risques et impacts de solvabilité 2
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Contexte réglementaire pour la réduction des risques systémiques :
enjeux
25 septembre 2014
Alban JARRY
Directeur du Programme Solvency 2 de La Mutuelle GénéraleVice Président de XBRL France
La Mutuelle Générale,une entreprise de l’économie socialequi conjugue valeurs et performance
Engagée depuis plusieurs années dans une dynamique de transformation opérationnelle
et technologique, La Mutuelle Générale est aujourd’hui l’un des acteurs leaders de son secteur
CHIFFRES CLES au 31/12/2012 3e mutuelle française
13e organisme complémentaire santé français Plus de 1,3 de personnes protégées
Chiffre d’affaires : 1 051 millions d’euros HT Fonds propres : 647 millions d’euros
2 MARCHES Particuliers
Entreprises - Professionnels
2 METIERS Gestion par délégation du régime obligatoire de Sécurité sociale
Assurance de personnes (santé & prévoyance)
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 2
LE CONTEXTE
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 3
Sauver la planète économique et financière
Des réglementations faites pour éviter les précédentes crises :
Surveillance des risques passif et actifs sous Solvency 2
Liquidité des banques sous CRD4
Transparence sur les produits complexes sous AIFM
Déclaration des produits dérivés sous EMIR
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 4
«Les hommes ne voient la nécessité que dans la crise. »
Jean Monnet
Un calendrier réglementaires intense pour les banques et assurances
UCITS V
T.T. Financières
AIFMEMIR
MIF II MIFIR
BALE III CRD IV
UCITS IV
FACTA
PRIPs et IMD II
SOLVABILITE II
Dodd-Franck
AML IV
SLD
LEI
Portabilité Prévoyance
Portabilité Mutuelles
Directive AGIRC ARRCO
2011 2012 2013 2014 2015
SEPA CSD
2016
SEPA Télérèglement
SOLVABILITE II
ANI
Source Alfi
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 5
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 6
Solva2 : Calendrier de productions prévisionnel
Vers un mur réglementaire en 2016 ?
Adapter les équipes au changement de rythme de production
Qui privilégier ? Ses Clients ? Ses régulateurs ? Les régulateurs de ses clients ?
Une organisation au rythme des salles de marchés ?
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 7
SOLVABILITE 2
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 8
L’adaptation doit être rapide entre 2014 et 2016
Solvency 2 est complexe sur les 3 piliers
Ne pas se tromper de cible
Etre PRAGMATIQUE
Des délais très courts
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 9
Solvabilité 2 : Du Krach à la reprise
Une course contre la montre
Des budgets à mettre en place
Des solutions à trouver en urgence
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 10
« La Directive Solvabilité II, déjà adoptée, crée un régime prudentiel moderne et basé sur les risques réels pour les entreprises d'assurance et de réassurance. Les régimes
nationaux de réglementation des assurances, très divers, ne sont plus à même d'assurer un marché unique efficace et de prévenir
des crises éventuelles futures. »
Michel Barnier, Commissaire Européen, octobre 2013
LE SUIVI DES RISQUES
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 11
Quelques dates à retenir
Une directive assurantielle votée en avril 2009 dans un contexte de crise
Une directive cadre Omnibus 2 pour assurer la transition entre Solvabilité 1 et 2
Des études d’impacts QIS (le premier en 2006) et des tests de Place réguliers depuis
• En France, remise à l’ACPR d’un test ORSA et QRT le 24 septembre 2014
Une mise en application au 1er janvier 2016
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 12
« C'est l'une des contraintes : la réglementation laisse à chacun le soin de trouver la solution pour piloter ses risques. »
Citation dans l’Argus de l’Assurance du 13 juin 2014, « Un corset qui devra laisser respirer les assureurs »
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 13
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 14
La gouvernance des risques
Gouvernance
à 4 yeux
1 ensemble de politiques
écrites
2 processus de maîtrise des risques
3 critères à respecter en matière de
gestion
4 fonctions clés
Gestion des risques
Conformité
Audit Interne
Actuariat
Compétence et honorabilité
Contrôle de la sous-traitance
Principe de la personne prudente
Documentation des processus et procédures
ORSA
Contrôle interne
Le pilier 2 fixe les règles du futur en termes de suivi des risques
A l’aube d’une révolution pour les organismes d’assurance et de mutuelles
- Nouvelles interactions avec la gouvernance : le choix des indicateurs
- Vision du risque interne profondément modifiée
-Un besoin de remonter de plus en plus vite l’information
Un impact fort sur la gouvernance et ses responsabilités :
- Le conseil d’administration et les administrateurs doivent respecter la notion de « fit and proper »
- Le pilotage du reporting est à repenser
- Le principe des 4 yeux Une contrainte pour les prestataires
De nouvelles contraintes pour la gouvernance :
4 yeux
Fit and proper
La connaissance des risques
Une organisation à repenser
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 15
La gouvernance
Solvabilité 2 est un élément essentiel du pilotage
• Mettre en œuvre le principe des 4 yeux
• Tenir compte de la règle de « fit and proper »
• Former les administrateurs
• Aider la prise de décision
• Maîtriser les risques
• Gérer les groupes
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 16
Le suivi des risques : les grands principes des 4 fonctions clés
4 fonctions clés pour remonter l’information
- Audit
- Conformité / contrôle interne
- Contrôle des Risques
- Actuariat
Comment les positionner dans l’organigramme ?
Mettre en œuvre des politiques des risques et ORSA pour assurer le pilotage
Tenir compte du principe de PROPORTIONNALITE
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 17
La gestion des risques
« Ce système de gestion des risques est efficace, parfaitement intégré à la structure organisationnelle et aux procédures de prise de décision de l’entreprise d’assurance ou de réassurance et dûment pris en compte par les personnes qui dirigent effectivement l’entreprise ou qui occupent d’autres fonctions clés. » Article 44 de la directive
Contrôler les risques stratégiques, financiers et assurantiels
Contrôler la solvabilité
Mesurer l’adéquation actif-passif
Utiliser la réassurance et les autres techniques d’atténuation des risques
Contrôler les politiques des risques et les appétences aux risques
Evaluer les risques
Gérer la tolérance aux risques
Respecter en permanence les exigences de capital
Se doter des outils et compétences nécessaires à ces contrôles
Evaluer les risques externes (prestataires essentiels)
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 18
Le contrôle Interne
« Ce système comprend au minimum des procédures administratives et comptables, un cadre de contrôle interne, des dispositions appropriées en matière d’information à tous les niveaux de l’entreprise et une fonction de vérification de la conformité. » Article 46 de la directive
Décrire l’organisation par des procédures et des processus
Cartographier les risques opérationnels
Déterminer un plan de contrôle annuel
Contrôler régulièrement l’application par les opérationnels des procédures et processus
Rendre compte des contrôle et établir des recommandations
Contrôle la résolution des incidents relevés
Respect des obligations législatives
Impact du changement de l’environnement juridique
Vérifie la prise en compte des recommandations
Contrôle les risques opérationnels des délégataires externes
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 19
L’audit
« La fonction d’audit interne évalue notamment l’adéquation et l’efficacité du système de contrôle interne et les autres éléments du système de gouvernance. » (Article 47 directive)
Le label de qualité et de performance « IFACI Certification» recense 30 exigences du Référentiel Professionnel de l’Audit Interne, à 3 niveaux :
• les moyens dont dispose l’audit interne (indépendance, charte, déontologie, etc.)
• les prestations fournies (plan d’audit fondé sur les risques, communication avec la Gouvernance de l’entreprise, travaux d’audit, etc.)
• et le pilotage de l’audit interne (supervision, programme qualité, etc.)
La Mutuelle Générale a été la première mutuelle à obtenir la certification IFACI en avril 2013
Indépendance de l’Audit interne
Plan d’audit
Les recommandations entraînent des actions
Veille sur l’exécution des actions
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 20
La fonction actuarielle
Article 48 de la directive
Coordination des calculs des provisions techniques
Garante des méthodologies et modèles
Apprécie la qualité des données pour le calcul des provisions techniques
Emet un avis sur la politique de souscription
Emet un avis sur la réassurance
Contribue à la mise en œuvre du système de gestion des risques
Indépendance des fonctions opérationnelles
Expérience professionnelle
Informe la gouvernance
Garante des calculs de provisions
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 21
La mise en place d’un profil de risque
Rédaction et mise en place des politiques des risques :
Profil de risque de l’entité
La gouvernance acteur du système de gestion des risques
Cartographie des risques
Risques stratégiques : Solvabilité, Performance financière, Qualité de Service, Prestataires essentiels, Politique commerciale, Réputation, …
Risques d’assurance : souscription (individuelle et collective), courtage, produits, concentration, provisionnement, sinistres vie et non vie, …
Risques de réassurance
Risques financiers
Risques opérationnels : processus, conformité, ressources humaines, systèmes d’information, sécurité, prestataires
S’appuyer sur l’architecture et les processus
Accentuer les contrôles
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 22
« L’ouvrier qui veut bien faire son travail doit commencer par aiguiser ses instruments »
Confucius
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 23
LES 3 PILIERS
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 24
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 25
1er Pilier
Exigences Quantitatives
Calcul du besoin de capital
(SCR, MCR)et d’évaluationdes provisions
2ème Pilier
ExigencesQualitatives
Gouvernance,ORSA,
Mise en placedes 4 fonctions clés,
Politiques des risques
3ème Pilier
Communication financière,
Étatsréglementaires
Rapport QRT,rapport public
3 piliers
Les 3 piliers de solvency 2
Zoom sur le pilier 1 : quantitatif
Les fonds propres représentent les ressources à la disposition d’un organisme. Sous Solvabilité 2, il s’agit de fonds propres économiques, composés à la fois des fonds propres de base et des fonds propres auxiliaires.
Sous le régime Solvabilité 2, le SCR (capital de solvabilité requis) représente l’exigence de capital. Il correspond au montant de fonds propres à détenir pour limiter la probabilité de ruine à un an à 0,5%. Le SCR est basé sur le profil de risque de l’organisme. Le SCR formule standard est calculé selon une approche modulaire :
- Marché
- Santé
- Vie
- Non Vie Le MCR est la deuxième exigence de capital définie dans
l’univers Solvabilité 2. Il s’agit du niveau minimal de fonds propres que l’organisme doit détenir en permanence
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 26
Zoom sur le pilier 2 : qualitatif
Le pilier 2 définit les normes qualitatives de suivi des risques en interne et les règles de contrôle :
• Déterminer le système de gouvernance
• Définir le profil de risque de l’entité
• Déterminer les politiques des risques (stratégiques, assurance, réassurances, financiers, opérationnels)
• Définir le niveau d’appétence au risque
• Dresser une cartographie des risques
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 27
Zoom sur le pilier 2 : l’ORSA
L’ORSA (Own Risk and Solvency Assessment) est le système d’évaluation interne des risques et de la solvabilité faisant partie intégrante des décisions stratégiques de l’entreprise.
• Défini à l’article 45 de la directive Solvabilité 2
• Projection du business plan et stress test
• Oblige la définition d’une politique ORSA
Il permet d’identifier et contrôler les risques à moyen et long terme
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 28
Zoom sur le pilier 3 : états à produire
Le pilier 2 définit les normes de remise des états réglementaires et d’information du public :
• Une remise standardisée au régulateur des états d’information et de risques, QRT (Quantitative Reporting Templates)
Les délais de remise sont fixés par l’EIOPA (Autorité des assurances au niveau européen) :
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 29
Les grand principes de l’actif, du passif et des délégations
La directive met en avant :
• Qualité et traçabilité de la donnée
• Responsabilité sur les prestataires externes (article 49)
• L’accès à toutes les données
• La révision des contrats
• La mesure de l’actif passif (ALM)
Elle nécessite la mise en place d’un process de surveillance
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 30
UN ZOOM SUR L’ACTIF
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 31
Construire une solution pérenne
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 32
Bâtir l’avenir
La plus complexe des réglementations
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 33
La plus complexe des réglementations
Comment traiter tous les QRT de 2016 ? (Collatéraux, Dérivés, …)
Comment traiter la transparisation (« look trought ») ?
Quelle gestion de la « clause du grand père » ?
Problèmes juridiques pour récupérer les données
Le coût des donnés de marché
INNOVER
Données Solvency 2
Un schéma de flux à éviter
Comptabilité
Délégations de gestion
Provisions techniques
Actifs
Fournisseurs de flux et
rating
Risques opérationnel
s
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 34
Centraliser les référentiels
Etude EFAMA – KPMG « Solvency II – Data Impacts on Asset Management »
(Juin 2012) :
http://ow.ly/p5eQY
Structure pérenne à mettre en place
Qualité et traçabilité des données
Description des processus
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 35
A qui s’adresser ?
De multiples solutions
Des offres de qualités différentes
A qui s’adresser ?
Des schémas plus ou moins simples
S’ADAPTER
Conférence Revue Banque sur Solvabilité 2 36
Ce que dit la Directive
• Sur les prestataires externes (article 49 ):
« Les entreprises d’assurance et de réassurance conservent l’entière responsabilité du respect de l’ensemble des obligations qui leur incombent en vertu de la présente directive lorsqu’elles sous-traitent des fonctions ou des activités d’assurance ou de réassurance. »
• Et (point 37 de l’introduction):
« Pour assurer un contrôle efficace des fonctions ou des activités sous-traitées, il est essentiel que les autorités de contrôle de l’entreprise d’assurance ou de réassurance sous-traitante aient accès à toutes les données pertinentes détenues par le prestataire du service externalisé, qu’il s’agisse d’une entité réglementée ou non, et puissent effectuer des inspections sur place »
Une directive commune
Des points à respecter
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 37
La Mutuelle Générale : un choix sur les actifs
• Effectuer un « Choc de simplification »
• Avant :
• 600 millions gérés en interne : essentiellement des obligations
• 1,2 mds répartis chez 60 sociétés de gestion avec des mandats, des fonds dédiés, + de 80 fonds ouverts (tous types de fonds)
• 6 dépositaires
• Environ 17 000 lignes à transpariser (look through) : coût astronomique
• Constat :
• Impossibilité de répondre dans les délais imposés à partir de 2016
• Impossibilité de s’assurer de la qualité des données et de leur traçabilité
• Après
• 1ere grande mutuelle à externaliser l’intégralité de sa gestion titres (hors immobilier)
• 6 mandats pour 1,8 mds chez 3 sociétés de gestion (La Banque Postale AM, Rothschild & Cie, Schelcher Prince Gestion)
• 1 unique dépositaire
• 500 à 700 lignes directes
• 0 OPCVM ouverts d’ici 2016
• Des économies :
• Frais de gestion, données Solvency 2, contrôles, …
Une démarche moderne et d’anticipation
Le seul moyen pour respecter la qualité des données, la traçabilité et les délais
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 38
Une source unique de données
La qualité de service d’un dépositaire
La Mutuelle Générale : un choix sur la centralisation
• Fichiers Solvency 2 viendront d’une unique source : BNP Paribas Securities Services
• Les reportings de performance seront faits par BNP Paribas Securities Services
• Les 3 sociétés de gestion fourniront :
• Document d’analyse des investissements
• Alertes sur les contraintes fixées
• Transparence sur tous les investissements
• Les 3 sociétés de gestion devront :
• Respecter le principe de la personne prudente
• Mise en place de Due Diligence
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 39
La transparisation
• Les transferts de fichiers n’ont jamais été mis en place entre Asset Managers (fonds de fonds)
• Problématiques juridiques et réglementaires :
• Égalité des porteurs
• Market Timing
• Interdiction de re distibution des données des Market Data Vendors (généralistes et agences de rating)
• Des discussions sur la Place et au niveau européen qui n’en finissent pas sur ce sujet : AFG, Club AMPERE, AF2i, AFTI, Cossium, …
• La problématique de la transparisation :
• Que faire des valeurs non isinées ? Fonds monétaires, produits dérivés, …
• Comment traiter les fonds ouverts ? Les fonds de fonds ?
• Quel niveau de transparisation ?
• Les agrégats sont ils possibles ?
• Mettre en perspective le coût de la transparisation et le niveau de risque
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 40
3 Piliers sur l’actif
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 41
Pilier 1 : calculs des SCR
Pilier 2 : le suivi des risques internes
Pilier 3 : Asset D1 à D8
DICTIONNAIRE
Besoin de beaucoup de caractéristiques
PAS DE NORME
Indicateurs de Risques
FORMAT XBRL OFFICIEL
Données comptables
Les données financières
Qui est propriétaire de la donnée ?
Comment gérer le CQS et les champs du pilier 3
Un lobbying auprès de la Commission européenne et des autorités de tutelles ?
PROPORTIONNALITE
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 42
Des optimisations réglementaires
Une meilleure protection des investisseurs
Plus d’obligations pour les sociétés de gestion et les dépositaires
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 43
Conclusion
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 44
Conclusion
Des réglementations de plus en plus complexes
Si les régulateurs s'occupaient de sécurité routière (par le Professeur Hervé Alexandre Directeur du Master 224 "Banque et Finance« de l’Université Paris Dauphine)
Une règle simple 130 km/h sur autoroute
Une sanction connue à l’avance
Trop simple ?
Imaginons une vitesse limite fonction non linéaire du poids de la voiture, de sa cylindrée, de l’âge du chauffeur, du kilométrage de la voiture. Avec une loi leptokurtique de mesure de la probabilité du temps de réaction du chauffeur
http://ow.ly/p5gxk
Et
http://ow.ly/p5gzv
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 45
Trouvons des solutions ensemble pour mettre en place les réglementations
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 46
TROUVER DES SOLUTIONS
« La vie est simple, mais nous insistons pour la compliquer »
Confucius
Conclusion
Conférence SP Capital IQ Risques et Solvabilité 2 47
Alban Jarry est Directeur du programme Solvency 2 de La Mutuelle Générale et Vice Président de XBRL France.
Il a rejoint, en octobre 2013, La Mutuelle Générale, 3eme Mutuelle Française en Santé et Prévoyance (1,3 millions d’adhérents), pour diriger une fonction transverse sur les 3 piliers de Solvency 2, les risques stratégiques et l’ORSA. Auparavant, il était en asset management chez Edmond de Rothschild Investment Managers, en tant que Directeur Adjoint des Opérations en charge des Directions des Systèmes d’Information, de la MOA et du Reporting et de la Mesure de Performance des fonds, après avoir commencé sa carrière en banque privée, en 1995, dans le Département des Produits Nouveaux de La Compagnie Financière Edmond de Rothschild Banque. Il est intervenant d’HEC Paris Executive Education.
Dans le cadre de travaux de Place, il est Vice Président de XBRL France, préside les Groupes de Travail « Reporting AIFM-ESMA » et « LEI » de l’AFG (Association Française de Gestion), est Membre du Bureau du Club AMPERE (Asset Management Performance et Reporting), participe au comité de direction du livre blanc « les nouveaux visages du risque en assurance » de Finance Innovation et aux travaux de la FNMF sur l’ORSA. Depuis 2012, il a développé des groupes de travail entre Asset Managers et Assureurs pour normaliser les échanges dans le cadre notamment de Solvency II (matrice commune au Club AMPERE, l’AFG, le BVI et l’IMA).
Spécialiste de la mise en œuvre des réglementations financières (AIFM, UCIT, Solvency 2, LEI, EMIR, BALE, …) et des réseaux sociaux professionnels, il est l’auteur d’articles pour La Nouvelle Revue de Géopolitique (Coéditeur de la rubrique Le Monde Selon Twitter), L’argus de l’Assurance, La Revue Banque, La Revue Internationale de Compliance et d’Ethique des affaires, Le Cercle Les Echos, L'Agefi Communautés, Culture Banque, et anime un blog (albanjarry.wordpress.com).
Il est l’auteur de « Twitter conté par 50 personnalités de la banque finance assurance »
Il est titulaire d’une MIAGE et du MGA d’HEC, dont il préside l’association des anciens élèves « MGA – H Exed - Community ».
Twitter : @alban_jarry
Annexe : présentation
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