dossier de candidature pour ticket for change
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Dossier de candidature Ticket for Change 2014
26 août au 6 septembre 2014
de Chris Delepierre
Avec le soutien de notre partenaire-‐fondateur, le fonds de dotation Entreprendre & +,
et sous le Haut Patronage
du Ministère des Sports, de la Jeunesse, de l’Éducation Populaire et de la Vie Associative,
Date limite de dépôt de dossier : 30 avril 2014 ! www.ticketforchange.org
A. Informations administratives et générales Nom : Delepierre Prénom : Chris Adresse mail : chris.delepierre@gmail.com Numéro de téléphone : 06 26 33 09 67 Sexe : Masculin Âge : 24 ans Ville de résidence actuelle : Villeneuve d’Ascq (59) Quelle est ta situation actuelle ? (Coche et remplis la ligne qui te correspond)
Jeune diplômé de l’Iteem – promotion 2012 : Formation dispensée conjointement par l'Ecole Centrale de Lille et Skema Business School -‐ Ingénieur, diplômé de l’Ecole Centrale de Lille, spécialité Génie Industriel et Entrepreneurial & diplômé de Skema en management de projet (MSc. PPMBD) Statut de demandeur d’emploi – en création d’entreprise
Comment as-‐tu entendu parler de Ticket for Change ? Les réseaux sociaux. Lequel : Groupe Facebook de MakeSense Lille Hotspot Un ami ou un parent : Lily Gros (Enactus), Nicolas Cordier (Adeo), Samuel Chabré (Ticket for change)
B. Toi et ta motivation Pour rappel, voici les 4 critères sur lesquels tu seras sélectionné : ta capacité à rêver une société plus juste, ta détermination à faire bouger les lignes autour de toi, ton potentiel de leadership et ta capacité à communiquer ton enthousiasme. Toutes les questions de cette partie sont obligatoires. Nous recherchons des personnalités, pas des CVs... donc sois toi ! 1. Qui es-‐tu : raconte-‐nous ton histoire. (300 mots max) Nous avons envie d’en savoir plus sur le parcours, les étapes de ta vie et les expériences importantes qui t’ont mené jusqu’ici. Je suis Entrepreneur de projets porteurs de sens : c’est en tous cas la manière dont je me définis et que je développe sur mon blog : http://blog.chrisdelepierre.fr/p/a-‐propos.html. Né à Lille, je suis un pur « Ch’ti » de naissance et de cœur, à ce titre, je suis ambassadeur de la Créativallée, agence de promotion du Nord-‐Pas de Calais. Ma formation d’Ingénieur-‐Manager-‐Entrepreneur à l’Iteem m’a vraiment transmis l’esprit d’entreprendre que j’ai essayé au maximum d’incarner par de multiples projets et prises de responsabilité qui m’ont fait grandir : projet de solidarité internationale au Burkina Faso avec l’association Human’Iteem dont j’ai été le trésorier en 2009, stage de chef de projet en Chine durant 8 mois chez Oxylane Logistics en 2010, expérience professionnelle en 2012-‐2013 au sein de l’association Réseau Alliances, spécialisée dans la RSE et organisatrice du World Forum Lille, forum mondial de l’économie responsable à Lille, organisation des JMJ de Rio au Brésil en tant que délégué diocésain en 2013. Des événements où j’ai pu prendre part à l’organisation m’ont également
profondément marqué : 1er Barcamp lillois sur le web 2.0 en 2008, plusieurs Startup Weekend Lille, World Forum Lille, TEDxLille ; ainsi que de grands témoins : Hervé Knecht, Jean Duforest, Philippe Vasseur, Olivier Bérut, Emmanuel Faber, ... Je suis membre de plusieurs communautés qui me nourrissent et dont je suis acteur : MakeSense Lille, Lille Makers, Ligue des Optimistes de France, Club des Entrepreneurs de la Troisième Révolution Industrielle en Nord-‐Pas de Calais. Depuis novembre 2013, je réfléchis à un projet de création d’entreprise dans le domaine de l’impression 3D afin que cette technologie soit créatrice de valeur et porteuse de sens en Nord-‐Pas de Calais. J’ai érigé l’entrepreneuriat comme philosophie de vie et je cherche à faire de ma vie une œuvre d’art qui fait sens. J’aime aussi courir (semi-‐marathon), danser le rock’n’ roll et jouer de la guitare !
2. Quelles sont les 3 qualités qui te caractérisent le plus ? Illustre chacune d’elle par un exemple concret. (200 mots max)
Altruisme : le plus souvent, je regarde les autres avec bienveillance, avec un regard plein d’amour et de bonté en me donnant souvent gratuitement pour eux. Exemples : Aide à la Tente des glaneurs sur Lille ; Distribution de sucettes (dont j’ai un stock dans ma voiture) avec le sourire aux mendiants des feux rouges.
Relationnel : je noue facilement des liens avec les autres grâce à une proximité et une communication aisée ; je les mets très souvent en réseau. Exemples : j’aide des jeunes et adultes à trouver un stage ou un emploi grâce à mes contacts, je suis actif dans de nombreuses communautés qu’il m’arrive d’animer avec une forte présence sur les réseaux sociaux.
Fidélité dans la durée : quand je m’engage dans quelque chose (un projet, une relation, une communauté), c’est généralement jusqu’au bout et comme j’ai tendance à être perfectionniste donc je m’y implique à fond. Exemples : je suis villeneuvois et dans la même paroisse depuis ma naissance, j’ai conservé de forts liens avec les personnes dans tous les lieux que j’ai pu côtoyer (lieux de stage, voyages), je participe encore activement à la vie de mon école (jury de recrutement, définition de sa stratégie future), je suis toujours bénévole au Réseau Alliances, l’association dans laquelle j’ai travaillé à la fin de mes études.
3. Quel problème de société te révolte le plus (discrimination, handicap, exclusion, maladie, sans abris, environnement, etc.) ? Pourquoi ? (200 mots max) Ce qui me révolte le plus souvent est l’inégalité concernant la répartition des richesses dans notre société et au niveau mondial ; il est en effet intolérable de penser que seulement quelques personnes possèdent la plus grande majorité des ressources alors qu’une grande partie de la population souffre d’un manque de moyens. « Notre superflu, c'est leur nécessaire. » dit l’Abbé Pierre au sujet des plus pauvres et je pense bien que ‘ce qui n’est pas donné est perdu’ -‐ la valeur d’une société ne se mesure pas à la quantité de richesse accumulée mais à celle accessible par les plus pauvres. L'intérêt général et le Bien Commun doivent primer sur l'intérêt particulier ; le juste partage des richesses créées par le monde du travail primer sur le pouvoir de l'argent. Je rêve d’un monde où la richesse produite, par exemple en entreprise, ne revient pas majoritairement aux actionnaires mais est partagée à l’ensemble des parties prenantes grâce à des projets rentables pour être durables. Cela nous invite aussi à reconsidérer notre façon de consommer. A ce titre, je suis un adepte de la sobriété heureuse de Pierre Rabhi qui nous interroge sur la juste valeur des choses et la surconsommation dans un contexte urgent de raréfaction des ressources naturelles. 4. Imagine un monde où tout est possible. Propose-‐nous une idée – même la plus folle – pour résoudre ce problème. (200 mots max) J’imagine un monde où chacun est entrepreneur de sa vie, n’ait pas peur d’expérimenter de nouvelles solutions, puisse découvrir sa vocation c’est-‐à-‐dire ce pour quoi il est fait, met à profit ses compétences et cultive ses talents au service du bien commun. En somme, c’est une société basée sur le partage, la sobriété, la collaboration et la confiance où chacun ne cherche pas à être meilleur que les autres mais plutôt à être le meilleur de soi-‐même au quotidien dans les petites choses et dans l’entraide réciproque ; où "chacun est seul responsable de tous." Saint Exupéry Mon idée est que chacun se réapproprie (empowerment) les moyens de production pour fabriquer soi-‐même ou avec d’autres (DIY -‐ DIWO) les produits dont il a besoin en partageant ses créations en open-‐source : cela est rendu possible grâce à la démocratisation des machines-‐outils commandées par ordinateur comme les imprimantes 3D qu’on pourra utiliser dans les fablabs près de chez soi et au partage des fichiers sur Internet. Ce modèle facilite une "démocratie technologique" et la "fabrication coopérative" où des gens ordinaires peuvent transformer leurs idées en produits bien réels en retissant du lien social : « Moins de biens, plus de liens ! » 5. Dans 20 ans, à quoi ressemblera le monde grâce au développement de cette idée ? Décris-‐nous dans quelle mesure cette idée a permis de changer les choses. (200 mots max) Je pense que nous sommes dans la même configuration avec les imprimantes 3D qu'au début de l'Internet il y a 20 ans. Ce n’est pas un problème à résoudre, mais un marché à construire à partir de rien ou presque. L’imprimante 3D « a le potentiel de révolutionner notre façon de fabriquer presque tout » pour Barack Obama. C’est une technologie créatrice de possibles où la seule limite est notre imagination à trouver de nouveaux produits dans une économie créative et de nouveaux usages dans le cadre d’une économie de la fonctionnalité. Nous devrons changer notre paradigme sur la façon de produire les objets mais aussi de les concevoir, transporter et distribuer : réindustrialisation des territoires, modèle distribué et collaboratif de fabrication et de commercialisation en région,
flexibilité d’une production sur-‐mesure, co-‐créée avec l’utilisateur et sur-‐demande, sans stock et en circuit court, matérialisation des idées et téléportation des objets open-‐source grâce à l’échange des fichiers 3D sur des plateformes web. Une idée complémentaire est de développer les matériaux adéquats à partir de matières recyclées afin de créer des boucles d’économie circulaire locales. « Le futur est déjà, il est juste inégalement réparti. » William Gibson ; Ce nouveau modèle existe déjà et ne demande qu’à être développé par des entrepreneurs ; l’impression 3D est un fabuleux outil à démocratiser et à orienter vers une logique créatrice de valeur ajoutée pour les territoires et au service de projets porteurs de sens. 6. Pense à la dernière fois que tu as fait quelque chose de « fou » : sortir de ta routine, explorer l’inconnu, sortir du rang, oser nager à contre-‐courant, etc. Décris-‐nous cette expérience. (200 mots max) Depuis novembre 2013, j'ai fait le choix d’agir et d'entreprendre dans le domaine de l’impression 3D. Ce choix m’a amené à refuser des offres d'emploi ‘confortables’ qui m’étaient proposées dans l’incompréhension totale de mes parents qui connaissent peu le monde entrepreneurial, à me mettre dans une situation d’insécurité matérielle sans revenu régulier alors que la majorité de mes camarades de promotion travaillent en entreprise et gagent bien leur vie, à découvrir le monde de l’impression 3D que je ne connaissais pas avant et à me former par moi-‐même dans ce domaine, à accepter que mes idées ne soient pas les meilleures et à remettre constamment en question le projet qui évolue à chaque nouvelle rencontre, à convaincre des associés et parties prenantes à rejoindre le projet. Il y a d’abord un changement à opérer en soi-‐même pour pouvoir ensuite changer le monde autour de soi. Il y a une exigence à prendre le temps de penser son projet en cohérence avec ses valeurs et son rêve pour que le monde progresse. De plus, je souhaite devenir entrepreneur social en réconciliant l’économique et le social ; j’essaie que mon projet ait une triple responsabilité économique, sociale et environnementale dans un esprit de co-‐construction avec les parties prenantes. 7. Raconte-‐nous un moment dans ta vie où tu as fait preuve de ténacité et de persévérance. (200 mots max) Être arrivé à cette question est en soi un bel exploit, mais n’est pas suffisant. Ne lâche rien ;) L’organisation des JMJ de Rio au Brésil a été un moment intense de ma vie : une préparation de plus d’un an pour mener un groupe de 50 jeunes majeurs dont j’avais la responsabilité pour 3 semaines au Brésil en juillet 2013. Je peux comparer l’organisation du voyage à une course de fond où il a fallu assurer les derniers préparatifs jusqu’au bout avant le départ tout en gérant les inévitables imprévus (désinscription de dernière minute, décision de refuser un jeune non prêt, réservation en sursis pour cause de paiement non réceptionné, ...) et la sollicitation des médias. Durant les 3 semaines, il fallait toujours anticiper le programme, réagir et s’adapter rapidement dans un environnement totalement inconnu malgré la fatigue tout en restant bienveillant et dans la joie de l’expérience. Dans ces moments là, le plus important est, je pense, de garder la confiance en soi et dans le groupe ; dans les moments de doute, rester optimiste pour toujours rebondir et aller de l’avant.
8. Raconte-‐nous une réalisation, un projet ou une initiative que tu as mené. Quel rôle as-‐tu joué ? As-‐tu mobilisé d’autres personnes autour du projet ? (300 mots max) J’ai créé en 2009 au sein de mon école à Centrale Lille et Iteem un événement original appelé « La Journée des Roses » qui offre la possibilité à toute personne (étudiants, professeurs, personnel administratif) d'offrir une ou plusieurs roses aux personnes de leur choix dans l'établissement, accompagnées d'un message personnel, dans un but humanitaire et solidaire. L’événement était organisé par l’association Human’Iteem dont j’étais le trésorier et qui œuvre en faveur de projets de solidarité internationale au Burkina Faso et depuis peu au Maroc. C’est une action menée en équipe qui a demandé de convaincre plusieurs parties prenantes à prendre part au projet : partenariat avec un fleuriste pour obtenir des roses à prix coûtants, des équipes d’étudiants à mobiliser pour créer les affiches, organiser des permanences de promotion de l’événement et pour livrer les roses dans l’établissement le jour J, l’école à convaincre pour autoriser l’événement et le relayer auprès du personnel et du corps professoral. Cette action d'autofinancement mais aussi de communication pour l'association a pris de plus en plus d’ampleur à chaque nouvelle édition : 200 roses en 2009, 300 en 2010, 480 en 2011 et finalement 630 roses commandées en 2012 ! Au delà des résultats chiffrés, je pense que cet événement a permis de créer une certaine émulation au sein de cette école d’ingénieur et lui a donné un ‘supplément d’âme et de romantisme’. Une autre satisfaction est la transmission réussie de l’organisation de l’événement qui continue d’être organisé chaque année avec toujours plus d’innovations, par exemple dans la couleur des roses offertes, la vente par Internet, les thèmes inventés pour la communication, etc. "Venez Fleurter avec des Roses pour une belle cause !".
9. En quoi Ticket for Change est une aventure pour toi ? Pourquoi veux-‐tu absolument monter dans le train ? Qu’attends-‐tu de cette expérience ? (300 mots max) Je considère Ticket for Change comme un appel, une invitation au changement, à prendre conscience de mon rôle d’acteur pour me mettre en chemin et ainsi avoir une plus grande marge de manœuvre, qui dépendra non pas du monde qui m’entoure mais de ma propre conversion.
C’est une aventure pour moi car elle m’ouvrira à la France toute entière et me confrontera à ses réalités sociales, moi qui suis bien ancré dans mon Nord natal. Mais je n’ai pas peur car « nous nous lancerons dans l’aventure ensemble ! » C'est dans un apport mutuel que j'imagine ma participation à Ticket for Change : de la rencontre entre le programme et ma motivation, j'espère enrichir le monde à venir en y apportant une vraie nouveauté dans un esprit de co-‐construction des projets.
C’est une belle occasion de sortir de sa zone de confort et d’expérimenter des choses nouvelles mais aussi de prendre le temps de respirer et de s’inspirer pour trouver sa propre voie d’acteur de changement. Je suis impatient de rencontrer les pionniers qui m'ont déjà marqués et qui me transformeront encore avec la grande chance de pouvoir échanger directement avec eux.
Je considère Ticket for Change comme un vrai tremplin dans mon parcours d’entrepreneur social et dans le lancement de mon projet que j’ai besoin de confronter avec d’autres ; une plate-‐forme de lancement en quelque sorte pour atteindre mes rêves ! De plus, ce serait un honneur de participer à cette première édition historique en France et en Europe, porteuse de sens et d’optimisme.
J’aimerais vivre pleinement ce voyage-‐éveil ‘expérientiel’ et je pense que c’est une véritable chance à saisir pour les jeunes. C'est pour m'épanouir et m'accomplir pleinement que j’ai choisis de candidater à Ticket for Change ; pour devenir un entrepreneur du 21ème siècle qui provoque le changement en innovant.
10. En trois mots, qu’est-‐ce que Ticket for Change représente pour toi ? (3 mots, un peu de répit)
TOUS ENTREPRENEURS du CHANGEMENT 11. Dans quelle mesure est-‐ce important pour toi de partager avec d’autres ce que tu auras appris et vécu pendant le Tour ? (200 mots max) C’est une vraie chance de pouvoir participer à ce programme et je pense que c’est aussi une vraie responsabilité d’être des ‘ambassadeurs du changement’, c’est un devoir de réciprocité. J'ai bien conscience que l'aventure Ticket for Change n'est pas qu'un "pendant les 10 jours de voyage", mais c'est surtout un "après", un programme d’une année, un vrai parcours d'entrepreneur et d’ambassadeur du changement : c'est dans cette démarche que je souhaite m'inscrire. « On ne peut donner que ce qu'on a reçu. » En effet, il faut avoir vécu ce voyage pour pouvoir en témoigner, partager avec d’autres ce qu’on aura vécu et appris. J’essaie déjà actuellement de diffuser des messages d’optimisme et d’engagement ; le fait de participer à l’aventure Ticket for Change me donnera une raison et une légitimité supplémentaire de m’exprimer auprès du plus grand nombre pour susciter les déclics. Notre génération a le potentiel de changer les choses, encore faut-‐il qu’elle en ait conscience ! La transmission m’obligera à relire nos aventures et à les vulgariser. Avoir vécu quelque chose d'exceptionnel permettra de susciter l'enthousiasme et l'émulation afin de trouver une écoute curieuse et attentive.
12. Quelles compétences, connaissances, passions vas-‐tu pouvoir apporter aux 49 autres participants et à toute l’équipe Ticket for Change ? (100 mots max) Je suis expert en mind mapping ou carte heuristique qui permet d’organiser ses idées et ses projets de manière plus efficace : je fais régulièrement des formations à cet outil et je pourrai le faire découvrir à toute l’équipe. J’ai une bonne connaissance de la RSE ou développement durable en entreprise que je pourrai expliquer aux autres participants en vis-‐à-‐vis de leur projet. Aussi, je pourrai partager mes connaissances sur l’effectuation (dont je viens de terminer le MOOC), l’impression 3D (un monde à découvrir) et transmettre quelques passes de rock ainsi que mon optimsime ! 13. Qu’aimerais-‐tu que l’on retienne de toi dans 100 ans ? (200 mots max) Je me dis souvent : « C’est maintenant désormais à notre tour (les jeunes) de rentrer dans l’histoire ! » En effet, nous bâtissons et écrivons l’histoire. "Nous faisons partie du [monde], ou plutôt nous devenons les constructeurs du [monde] et les protagonistes de l’histoire. S’il vous plaît, chers jeunes : ne vous mettez pas à la ‘queue’ de l’histoire. Soyez-‐en les protagonistes." Pape François. Il faut dès maintenant, faire le rêve d'écrire les 100 prochaines années du monde et de notre pays. Dans 100 ans, j'aimerais qu'on me retienne comme un exemple ; que mes petits enfants soient fiers de moi d’avoir contribué à changer le monde -‐ même de manière infime -‐ de l’avoir laissé en meilleur état que je ne l’ai trouvé en y entrant, de leur avoir laissé un monde désirable, réenchanté et d’y avoir vécu une vie d'amour, cohérente et unifiée sans y avoir sacrifié mes idéaux et cédé à la procrastination ou à la morosité ; y avoir repoussé les frontières des possibles et des impossibles !
J’espère que dans 100 ans lorsque l'on se souviendra de 2014, de cette 1ere édition de Ticket for Change et de l'ensemble des défis proposés par les 50 jeunes; que l'on soit fier du chemin parcouru et des projets menés depuis lors !
14. Si tu veux ajouter tout autre renseignement qu’il te semble utile de nous communiquer, c’est ici et maintenant ! (100 mots max) J'aurais aimé développer encore plus d'idées et j'espère en avoir l'occasion d'en discuter avec toute la Team de Ticket for Change et les 49 autres jeunes. Merci à Samuel d’avoir pris le temps de nous rencontrer et nous expliquer plus en détail le projet. Un grand merci à toute l’équipe pour l’organisation de cette initiative originale et plein de sens ! Bon courage pour les derniers préparatifs et à très bientôt ! J C. Question bonus : réalisation créative Communique-‐nous ton enthousiasme à l’idée de participer à l’aventure Ticket for Change ! Cf fichier ‘Chris Delepierre Réalisation créative.doc’
PARTIE 4 : VALIDATION DE TA CANDIDATURE A. Tes disponibilités Quels sont tes projets à court terme (de maintenant jusqu’à septembre 2014) et à long terme (d’octobre 2014 et au-‐delà) ? A court terme, je vais continuer de m’impliquer dans les différents projets dont je suis partie prenante : Trophées de l’Economie Responsable 2014 du Réseau Alliances, Design the Planet dont l’objectif est de créer des écosystèmes apprenants intégrant différents acteurs : écoles, entreprises, instances régionales au service de l'intelligence sociétale de la région Nord-‐Pas de Calais pour réussir « la Troisième Révolution Industrielle", et surtout mon projet dans l’impression 3D avec deux autres associés et le développement d’un cas d’utilisation pour des personnes déficientes visuelles qui pourraient visiter les statues d’un musée en touchant les réplications des œuvres d’art à l’identique et en miniature imprimées en 3D. A long terme, je souhaite être à l’initiative avec d’autres de projets porteurs de sens ; j’ai vraiment à cœur de créer une entreprise (voire même plusieurs ! J) dans le cadre de l’Economie Sociale et Solidaire (peut-‐être une SCIC..), qui soit rentable pour être durable, financée dans un premier temps par une campagne de crowdfunding et qui apporte une vraie valeur ajoutée en utilisant les nouvelles technologies de scan et d’impression 3D. Qu’est-‐ce qui pourrait t’empêcher de participer à Ticket for Change si tu étais sélectionné ? Un événement exceptionnel, imprévisible et non souhaitable : un ennui de santé, le décès d’un proche, une pluie de météorites, ...
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