fle et structuralisme
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Le fle et les linguistiques
du système de la langue
Michel Billières
1
0. En guise d’intro
1. Qu'est-ce que le structuralisme ?
2. Aperçu de la méthode de travail en linguistique structurale
3. Quelques apports du structuralisme au fle
2
Plan général
En guise d’intro
1916: publication du Cours de linguistique générale du linguiste genevois
Ferdinand de Saussure marque les débuts du structuralisme.
Il règne sans partage en linguistique jusque aux années 60
Il existe différentes écoles
Les concepteurs du fle s’inspirent de ses principes
3
En guise d’intro
L’évolution du fle donne la primauté à la culture sur la langue.
4
1. Qu’est-ce que le
structuralisme?
« La langue est un système de systèmes »
Saussure
5
structuralisme
morphologie
lexicologie
syntaxesémantique
phonologie
.
Établit l’inventaire des
phonèmes d’une langue. Les
phonèmes sont des formes
acoustiques pertinentes
s’organisant en système,
composé d’un nombre limité
d’unités, pour une langue
donnée.
Étudie la forme des mots dans leurs différents
emplois et constructions,
ainsi que l’interprétation liée à cette forme.
Étudie le lexique
-nombre total de mots dont dispose un locuteur...-
ou le vocabulaire
–liste des vocables différents d’un texte, d’un
corpus…-
Étudie, pour une langue donnée, les règles de combinaisons des mots
qui forment des unités plus grandes, les syntagmes qui à leur tour
donnent des phrases grammaticalement recevables.
Étudie le sens dans le langage.
Il se rapporte à des unités comme le mot ou la phrase
Il peut aussi dépendre du contexte d’énonciation. 6
Les principes généraux du
structuralisme
Le linguiste travaille sur un corpus
Le corpus est la manifestation matérielle de la compétence linguistique
d’un ou de plusieurs individus.
Le linguiste doit
• observer attentivement des manifestations linguistiques concrètes ;
• les décrire avec un maximum de détails ;
• construire, à partir des faits observés, des hypothèses, des règles et des lois ;
• élaborer un modèle linguistique cohérent expliquant le fonctionnement de la langue
en s’appuyant sur l’ensemble des hypothèses, règles et lois.
7
Les principes généraux du
structuralisme
Donc,
Le linguiste étudie la langue.
Son objectif est de
• faire l’inventaire de ses unités constitutives
• d’en dégager les règles de fonctionnement
• à différents niveaux de structures (phonologiques, morphologiques, syntaxiques).
La linguistique structurale est toujours taxinomique.
8
Les principes généraux du
structuralisme
Pour cela, il faut travailler sur ce qui est commun aux usagers d’une langue donnée.
La langue est sociale et indépendante de l’individu.
La parole est la partie individuelle de la langue.
• elle est soumise à diverses variations (régionales, idiosyncrasiques, etc).
• son étude reste secondaire tant que les règles générales du fonctionnement
de la langue ne sont pas établies et inventoriées.
9
Les principes généraux du
structuralisme
langage
langue
parole
• Aptitude observée chez tout individu de communiquer au moyen des langues
• Ensemble de toutes les langues humaines considérées avec leurs caractère communs
• Manifestation concrète de la faculté de langage
• Concerne les membres d’une même communauté linguistique
• Façon individuelle d’utiliser la langue
• L’idiosyncrasie est la marque singulière de chaque individu
10
Le signe linguistique
La langue permet aux individus de transmettre des messages
grâce à une unité psychique,
inscrite dans l’inconscient des sujets,
que Saussure appelle signe.
11
Le signe linguistique
12
Le signe linguistique
13
caractéristique définition commentaire
arbitraire
Il caractérise les rapports entre Sa
et Sé. La langue est arbitraire, c’est
une convention implicite entre
membres de la communauté
l’utilisant. Arbitraire = acte
conventionnel consistant à
associer un son et un sens
Pour tout individu, la
mémorisation associant le son au
sens s’est effectuée dans l’enfance.
Les membres d’une communauté
linguistique ont ainsi l’aptitude de
transmettre presque
instantanément un concept d’un
esprit à un autre.
linéaire
Le signe linguistique se déroule
dans le temps. Ses éléments
peuvent apparaître
successivement, jamais
simultanément : [baRk] : [b] et [a]
ne peuvent pas être prononcés en
même temps : on a [ba] ou [ab].
La linéarité est une caractéristique
fondamentale des langues
naturelles. Tout le mécanisme de
la langue en dépend.
discret
Une unité linguistique est définie
par sa place et sa position dans le
système : c’est en cela qu’elle est
discrète. Chaque unité s’oppose à
toutes les autres sans gradation.
Le caractère discret des unités
linguistiques est la condition
fondamentale de la segmentabilité
des énoncés, càd de découper la
chaîne sonore en unités de
différents rangs.
Signe et référent
14
Les signes constituent un système autonome indépendant de ce qu’ils nomment.
Qu’il soit prononcé ou écrit, le « mot » ne peut évidemment pas être la chose désignée
puisqu’il ne s’agit que d’un symbole pour cette chose.
Un signe symbolique est une forme donnée qui symbolise et remplace un concept.
Ce concept est relié à un ensemble d’entités appartenant au monde des expériences
vécues et des idées.
Le référent
- est l’entité à laquelle nous faisons référence au moyen d’un mot ;
- c’est l’objet ou l’être réel qui existe dans la réalité objective, extralinguistique.
Signe et référent
15
Signe et référent
16
Le référent
- est l’entité à laquelle nous faisons référence au moyen d’un mot ;
- est l’objet ou l’être réel qui existe dans la réalité objective, extralinguistique.
Il ne faut pas confondre Sé et référent.
Le référent est un fragment de réalité.
Le Sé
- tire une partie de sa valeur de la réalité à laquelle il renvoie MAIS il n’est
jamais identique à cette réalité puisqu’il est arbitraire ;
- est une RE-présentation de la réalité qui
en retient certaines propriétés,
en élimine d’autres.
Signe et référent
17
Le Sé est une abstraction
- il simplifie la complexité du réel ;
- il est mieux organisé que la réalité car il met l’essentiel en évidence et donne un 1er
classement des éléments du monde.
Les Sé varient d’un individu à l’autre alors que la réalité est la même en fonction
- des expériences individuelles : « neige » dans certaines cultures ;
- du nombre de signes utilisés par chacun.
Le Sé comprend simultanément des traits
- que l’on peut mettre en relation avec le référent ;
- qui expriment la position respective des signes les uns par rapport aux autres dans les
systèmes individuels.
C’est ce qu’on appelle la valeur du signe.
Les caractéristiques de la
langue
La langue est un système
Elle présente un caracère immanent
Elle est envisagée comme un code linguistique
On prvilégie l’étude synchronique à l’étude diachronique
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2. Aperçu de la méthode de travail
19
Analyse en constituants immédiats
Constituant désigne une unité entrant dans la composition d’une unité plus grande
désigne le rôle de cette unité dans la construction d’unités de rang supérieur
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phrase • Unité ultime
syntagme• Combinaison
organisée d’éléments allant ensemble = 1 unité
morphème
• Unité minimale de signification: dotée d’un Sa + Sé
phonème
• Unité acoustique
minimale:
1 Sa, pas de Sé
L’analyse en constituants immédiats
L’analyse en constituants immédiats
Les différentes unités linguistiques (UL) d’une langue
- s’ordonnent successivement sur l’axe syntagmatique
- entrent dans des systèmes d’oppositions sur l’axe paradigmatique
21
L’identification des UL se fait grâce au test de commutation qui repose sur les
deux opérations de
- segmentation
- substitution
Le principe de l’analyse
distributionnelle
22
Le principe de l’analyse
distributionnelleLes enfants mangent les bonbons
Les mots de cette phrase peuvent être remplacés par d’autres.
Les enfants mangent des bonbons
Ces parents aiment mes chocolats
Des amis avalent tes glaces
Mes voisins adorent ces crudités
Tes copains croquent un bonbon
Tous les mots d’une même colonne peuvent se substituer les uns aux autres
dans le même cadre de phrase: ils appartiennent à la même classe.
Chacune de ces classes est toujours précédée ou suivie des mêmes types de mots.
Une classe est définie par ces caractéristiques d’environnement ou de contexte
23
Le principe de l’analyse
distributionnelle
L’analyse distributionnelle met en évidence que les phrases
ne sont pas constituées d’une simple succession de mots
constituent des structures composées d’arrangements de classes de mots –
ou de parties du discours.
Chaque élément de la langue ne trouve
- sa signification
- son rôle
- sa définition
que parce qu’il fait partie de ce système de classes et d’organisation des classes
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Il convient donc d’établir l’inventaire des UL, d’en décrire les propriétés et de les
répartir selon leurs niveaux (rangs) respectifs.
Niveau des phonèmes
25
Les phonèmes sont des unités sonores distinctives (pertinentes) ayant un signifiant
mais pas de signifié.
Le test de commutation sur l’axe paradigmatique permet de dégager des unités discrètes :
par exemple, dans « mot », /m/ s’oppose à /t/ « tôt », /s/ « sot », /b/ « beau », etc.
De même, /o/ s’oppose à /a/, « ma », /s/ « sa », etc
La succession des phonèmes sur l’axe syntagmatique, selon les règles propres de telle
ou telle langue, permet de former les unités de rang supérieur, les morphèmes.
Niveau des morphèmes
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morphèmes
lexicaux grammaticaux
Sé très riche
font partie du lexique
de la langue
Sé très pauvre
font partie de la grammaire
On distingue les
Les morphèmes sont des unités linguistiques minimales ayant un Sa et un Sé
Le morphème peut être un mot simple ou un affixe.
Un mot simple peut apparaître seul et fonctionne comme un morphème « libre ».
L’affixe, par définition, n’apparaît jamais seul et a un statut de morphème dépendant ou
« lié ».
Niveau des morphèmes
27
Le test de commutation permet d’identifier les différent morphèmes.
Soit l’exemple du corpus : Je mange un bonbon; Il mangera un bonbon;
Mangez un bonbon; Ils mangèrent un bonbon
Les formes de « mange mangera, mangez, mangèrent », sont composées de deux
unités significatives:
- on a mang qui est commun à tous ces mots,
- e, era, ez, èrent qui diffèrent dans chacun.
Si devant e on remplace le segment mang par aval + e, croqu + e, recrach + e, ou
encore si dans mange on substitue e par un autre segment, une partie du sens
demeure, une partie change.
Tous ces segments se retrouvent dans d’autres mots, chacun avec leur sens.
Toutes ces unités composant les mots ont une valeur significative.
L’analyse distributionnelle permet d’isoler et de classer tous les morphèmes constituant
un syntagme ou une phrase.
Niveau des syntagmes
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La méthode de l’analyse distributionnelle peut aussi s’appliquer aux unités
significatives non minimales,
ce qui permet de voir les substitutions s’opérant entre un morphème et un
syntagme.
Un syntagme est une suite de mots organisés ensemble relations de dépendance
et d’ordre autour d’un élément essentiel
Syntagme nominal - SN Syntagme verbal - SV Syntagme adjonctif - SA
Les enfants mangent des bonbons dans la cour
Le facteur distribue le courrier le matin
Niveau des syntagmes
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Syntagme nominal - SN Syntagme verbal - SV Syntagme adjonctif - SA
Les enfants de ma soeur mangent des bonbons à la menthe dans la cour intériejre
Le sympathique facteur barbu distribue l’abondant courrier tôt le matin
Des éléments peuvent être ajoutés à l’intérieur d’un syntagme, ainsi
Tout syntagme est analysable en ses éléments constitutifs
Syntagme nominal - SN Syntagme verbal - SV Syntagme adjonctif - SA
Dét. Nom Verbe S N Prép. SN
Les enfants mangent des bonbons dans la cour
Niveau de la phrase
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L’analyse en constituants immédiats met en évidence qu’elle
- n’est pas simplement constituée d’une simple succession de morphèmes
- mais qu’elle est structurée en différents niveaux.
La représentation arborescente
en fait la démonstration:
P = phrase,
SN = syntagme nominal,
SV = syntagme verbal,
Dét. = déterminant,
N = nom
Niveau de la phrase
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Arbre lu de haut en bas:
la hiérarchie des constituants de la phrase va de
l’unité supérieure P aux unités plus petites.
Arbre lu de bas en haut:
dégage progressivement
les relations syntagmatiques entre
les éléments, formant
des unités syntaxiques.
Une phrase
- n’est pas une suite linéaire de mots
- - mais est constituée d’une hiérarchie de groupes syntaxiques s’emboîtant les uns
dans les autres pour former des groupes de plus en plus étendus convergeant vers
l’unité maximale P
3. Quelques apports du
structuralisme en fle
32
Les MAV des années 60 se tournent résolument vers la linguistique appliquée à
l’enseignement des langues.
Les concepteurs de méthodes se heurtent d’emblée à plusieurs problèmes :
- quelle théorie linguistique choisir parmi toutes celles qui sont élaborées et,
parfois, se contredisent?
- Quelles unités de l’analyse linguistique adopter parmi les multiples théories qui
font apparaître des divergences par moments insolubles?
Le méthodologue privilégie la notion de structure qui, en tant qu’agencement interne
des unités linguistique, lui fournit un matériau fiable pour la conception et l’exploitation
du cours.
Il n’est plus question, comme par le passé, de rédiger une méthode en se fondant sur la
seule intuition de son auteur.
De même, on s’intéresse désormais à des ensembles (les structures) et non plus à des
éléments isolés (sons, syllabes, mots).
Analyses
contrastive et des erreurs
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Analyse contrastive - Lado, années 50 aux USA
Importance de la L1 dans l’appropriation de la L2 .
Le postulat est que cette appropriation est avant tout un transfert des habitudes
prises en L1 comparaison des structures de L1 et L2, permet de
prédire et donc d’expliquer l’apparition des erreurs de l’apprenant en fonction de sa L1
Analyse des erreurs- Milieu années 60, Corder
Relativise le rôle du transfert
Relative autonomie des processus de construction des connaissances d’une L2
Certaines erreurs sont des traces d’un système linguistique en développement, différent
de L1 et L2.
L’apprenant explore le système linguistique auquel il est confronté en faisant et testant
des hypothèses.
Les erreurs sont les
- reflets de ces hypothèses
- indices des stratégies d’apprentissage.
Priorité à l’oral
34
La langue est un système de signes vocaux dont la fonction principale est d’être un outil
de communication entre les membres d’une communauté donnée.
les dialogues constituent l’unité de base des MAV.
L’élève construit peu à peu sa compétence linguistique de manière déductive
par un jeu d’essais erreurs qui va se raréfiant.
Le professeur lui soumet des structures linguistiques que l’élève s’approprie
graduellement.
La traduction est bannie: l’élève est directement plongé dans le bain de la L2
Priorité à l’oral
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Code écrit vs code oral
L’oral est plus économique que l’écrit
exemple 1: nombre de formes parlées d’un verbe est toujours inférieur à son nombre de
formes écrites : au présent de l’indicatif, “fumer” a 6 formes distinctes à l’écrit contre 3
[fym] à l’oral.
les cahiers étaient fermés
écrit + + + + 4 mots
marqués
oral + 0 0 0 1 mot
marqué
exemple 2:
Les niveaux de langue
36 D’après C. Stroudzé in Reboullet (1972)
Les exercices structuraux
37
Principe: présenter tel phénomène grammatical
- non de façon isolée
- mais à l’intérieur d’une phrase complète
à l’intérieur de laquelle il se réalise naturellement
L’importance du contexte est ainsi soulignée
Ces exercices peuvent être pratiqués à l’oral et à l’écrit
Grande variété d’exercices à disposition de l’enseignant
Les exercices structuraux
38
Les exercices structuraux ont subi de sévères critiques au début des années 70. Les
reproches les plus communément adressés sont :
ils sont basés sur une procédure ternaire stimulus – réponse – renforcement. Il y a
là un risque de conditionnement ne tenant pas compte que des stimuli autres que
verbaux (l’approbation de l’enseignant) peuvent intervenir pendant l’application
de ces exercices ;
Ils favorisent le contexte linguistique mais paraissent artificiels et peu
vraisemblables, d’ou un risque de démotivation et de rejet ;
Les comportements verbaux des apprenants sont très différents de leurs
comportements verbaux naturels ; est-il possible dans ce cas de transférer la
compétence manifestée pendant ces exercices dans des activités d’oral spontané ?
Ces exercices appliquent-ils les principes de la linguistique structurale ou servent-
ils d’alibi pour réactiver des procédures pédagogiques plus anciennes ?
Nous reprenons cette argumentation de G. Vignier L’exercice dans la classe de français Paris, Hachette, 1984, (coll. F), pp. 76-77.
39
Dès la fin des années 60, des didacticiens s’élèvent contre l’omniprésence de la
linguistique dans le champ de la pédagogie du FLE.
Ils se tournent vers d’autres courants linguistiques: la communication devient le
nouveau mot clé en linguistique comme dans la DFLE.
Le structuralisme est décrié mais
- son influence est toujours présente de nos jours en DFLE;
- ses principes d’analyse peuvent aujourd’hui encote être appliqués à
condition de ne pas être galvaudés ou détournés
Éléments de bibliographie
40
Boy, M. (1969) Formes structurales du français Paris, Hachette
Boyer, H.; Butzbach, M.; Pendanx, M. (1990) Nouvelle introduction à la didactique du
français langue étrangère Paris, Clé international
Chiss, J.-L.; Filliolet, J.; Maingueneau, D. (1993) Linguistique française Paris,
Hachette supérieur, tome 1
Dubois, J. (1976) Grammaire de base Paris, Larousse
Dubois-Charlier, F. (1975) Comment s’initier à la linguistique Paris, Larousse
Gardes-Tamine, J. (1990) La Grammaire Paris, Armand Colin, tome 1
Girard, D. (1972) Linguistique appliquée et didactique des langues Paris, Armand Colin
- Longman
Marchand, F. dir. (1975) Linguistique appliquée. Les analyses de la langue Paris,
Delagrave, tome 3
Reboullet, A. (1971) Guide pédagogique pour le professeur de français langue étrangère
Paris, Hachette, Coll. F
Réquedat, F. (1966) Les exercices structuraux Paris, Hachette et Larousse
Rigault, A. dir. (1971) La grammaire du français parlé Paris, Hachette, Coll. F
Vigner, G. (1984) L’exercice dans la classe de français Paris, Hachette, Coll. F
41
crédits
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