l’adolescence : pÉriode À risque · • volume1,2 : consommation de ≥5 verres standards lors...
Post on 12-Aug-2020
2 Views
Preview:
TRANSCRIPT
L’ADOLESCENCE : PÉRIODE À RISQUE
• Période propice à l’expérimentation• Comportement normal et nécessaire à l’adolescence• Recherche de sensations limitée et sécurisée chez des adolescents « qui vont
bien »• Période à susceptibilité dépressive• Période de bouleversements, sources de tensions
• Physiologiques• Puberté, importantes répercussions psychologiques
• Cognitifs• Apprentissage sociaux et culturels• Découverte et élaboration de son propre système de valeur
• Psycho-sociaux• Rejet des imagos parentaux • Rôle essentiels des pairs
LES CONDUITES À RISQUE
• Deux besoins contradictoires appartenant au même processus– Prise de risque et régulation émotionnelle : Moyen de défense face au processus
de deuil et à la dépression– Prise de risque comme insertion dans le groupe de pairs : Valeur d’initiation et
d’intégration• Explorer les limites en les transgressant
– Ses propres limites– Celles de ses parents et la société
• Période transitionnelle propice à l’expérimentation d’une variété de comportements– Conduites automobiles– Pratiques sexuelles– Prise de risque financière– ET prise de toxiques…
EXPÉRIMENTATIONS TABAC, ALCOOL, CANNABIS PARMI LES COLLÉGIENS
Expérimentation = Au moins un usage au cours de la vie
USAGES RÉCENTS TABAC, ALCOOL, CANNABIS
Usage récent = Au moins un usage au cours du dernier mois
AUTRES PRODUITS ILLICITES
ÉVOLUTION DE L’ÂGE MOYEN DE LA 1ÈRE EXPÉRIMENTATION DE TABAC, ALCOOL ET CANNABIS (EN ANNÉE)
ÉVOLUTIONS DES PRINCIPALES SUBSTANCES ILLICITESENTRE 2000 ET 2011 À 17 ANS, EN MÉTROPOLE (%)
ÉVOLUTIONS 2008-2011 DU NIVEAU D’USAGE DE SUBSTANCES PSYCHOACTIVES PAR SEXE À 17 ANS EN MÉTROPOLE (% EN LIGNE)
LES CONDUITES ADDICTIVES À L’ADOLESCENCE• Problème majeur de santé public• Tendances des consommations chez les jeunes
– Pratiques addictives en augmentation– Consommations précoces– Cumul des consommations
• Consommations non rectilignes à l’adolescence• Distinguer les produits licites (tabac, alcool) des produits illicites
(les stupéfiants : cannabis, ecstasy...) ou détournés de leur usage (médicaments psychotropes) est ARTIFICIEL et ne correspond pas à la réalité clinique
• Toute consommation ne signe pas pour autant un phénomène pathologique
• Importance du repérage précoce
DES PROFILS TYPES ?
• La plupart des adolescents sont des consommateurs « expérimentateurs »
• Beaucoup ne deviendront pas dépendants
• L’interaction de consommations de substances psychoactives et de facteurs de vulnérabilité peuvent être à l’origine d’une consommation problématique
• PAS DE PROFIL TYPE MAIS DES SUJETS À RISQUE
CONSÉQUENCES
• Période de développement, d’apprentissage, de construction « interrompue » par les conduites addictives
• Complications liées à la consommation d’une SPA– Abus / Dépendance– Conséquences sur le plan social, scolaire, professionnel,
judiciaire, familial…
• Complications propres à la substance
DES SIGNES D’APPEL…
• Souvent non spécifiques• Violences, bagarres, accidents de voiture, scooter,
fugues…• Scolarité : baisse des résultats, absentéisme, troubles de
la mémoire, démotivation• Tentatives de suicide, “angoisses”, “dépression”• Isolement• Vie sexuelle : absence de contraception, de protection
INTERVENTION À « CONTRE-COURANT »
• Peu de demande de changement
• Déni ou faible perception des risques
• Perception des côtés positifs de ces consommation– Socialisation parmi ses pairs– Soulagement des tensions– Potentiel hédonique (stimulant/tabac ; euphorisant/alcool ;
“planant”/cannabis…)
• Entourage dans la plupart des cas à l’origine de la demande
ANALYSEDES MODALITÉS DE CONSOMMATION
CARACTÉRISER LA CONSOMMATION
CONSOMMATION
Conviviale Autothérapeutique Toxicomaniaque
Effet recherché
Mode social de consommation
Scolarité
Activités sociales
FDR familiaux
FDR individuels
Euphorisant
En groupe
Cursus scolaire habituelConservées
Absents
Absents
Anxiolytique
Solitaire ++
Décrochage scolaire, ruptureLimitées
Absents
Présents
Anesthésiant
Solitaire et/ou en groupe
Exclusion scolaire
Marginalisation
Présents
Présents
IDENTIFIER LES FACTEURS DE RISQUE
Interactions : Produit (P)x Individu (I) x Environnement (E)
P = Facteurs de risque liés au Produit• Dépendance• Complications sanitaires psychologiques et sociales • Statut social du produit
E = Facteurs d ’Environnement• familiaux :
• fonctionnement familial,• consommation familiale
•sociaux•exposition :consommation nationale, par âge, sexe, groupe social
• marginalité• copains
I = Facteurs Individuels (de vulnérabilité et de résistance)
• génétiques • biologiques• psychologiques• psychiatriques
IDENTIFIER LES FACTEURS DE RISQUE
Interactions : Produit (P)x Individu (I) x Environnement (E)
P = Modalités de consommation du Produit• Précocité• Consommation autothérapeutique• Cumul des consommations• Conduites d ’excès (dont l ’ivresse)• Répétition des consommations à risque
E = Facteurs d ’Environnement• familiaux :
• fonctionnement familial,• consommation familiale
•sociaux•exposition :consommation nationale, par âge, sexe, groupe social
• marginalité• copains
I = Facteurs Individuels (de vulnérabilité et de résistance)
• génétiques • biologiques• psychologiques• psychiatriques
LES MODALITÉS DE CONSOMMATION À RISQUE
• La précocité– MASSE LC. Arch Gen Psychiatry, 1997 ; DEWIT DJ. Am J Psychiatry,
2000 ; BURKE KL. Arc gen Psy, 1990
• La consommation à visée auto-thérapeutique– LEDOUX S. Alcoologie et Addictologie, 2000 ; KANDEL DB. J Am Acad
Child Adoles Psychiatry, 1999
• Cumul des consommations– HÖFLER M. Addiction, 1999 ; WU LT. Substance Use and Misuse, 1999;
JOHNSON PB. Journal of Addictive Diseases, 2000
• Conduites d’excès– MARCELLI D. Masson, 1999 ; LEDOUX S. Alcoologie et Addictologie,
2000 ; LEWINSOHN P. Addiction, 1999
• Répétition des consommations à risque
DYNAMIC MAPPING OF HUMAN CORTICAL DEVELOPMENT DURING CHILDHOOD THROUGH EARLY ADULTHOOD
Gogtay et al., PNAS May 25, 2004 vol. 101 no. 21: 8174-8179
IDENTIFIER LES FACTEURS DE RISQUE
Interactions : Produit (P)x Individu (I) x Environnement (E)
P = Facteurs de risque liés au Produit• Dépendance• Complications sanitaires psychologiques et sociales • Statut social du produit
E = Facteurs d ’Environnement• familiaux :
• fonctionnement familial,• consommation familiale
•sociaux•exposition :consommation nationale, par âge, sexe, groupe social
• marginalité• copains
I = Facteurs Individuels (de vulnérabilité et de résistance)
• génétiques • biologiques• psychologiques• psychiatriques
FACTEURS DE RISQUE INDIVIDUELS
La présence de traits de personnalité Recherche de sensations
Faible évitement du danger
Recherche de nouveautés
Faible estime de soi
Réactions émotionnelles excessives
Difficultés relationnelles
ZUCKERMAN M. Cambridge University Press, 1994 ; ADES J., LEJOYEUX M. Masson, 1997 ; MASSE LC. Arch Gen Psychiatry, 1997.
Sensibilité aux effets « plaisirs »
Sensibilité aux effets « apaisants »
FACTEURS DE RISQUE INDIVIDUELS
La présence d’une comorbidité psychiatrique
• Troubles des conduites/hyperactivité avec déficit de l’attention
• Troubles de l’humeur
• Troubles anxieux
• Troubles des conduites alimentaires
BARROW S. GDR Psychotropes, 1999FERGUSSON DM. Journal of abnormal child psychology, 1994WHITEMORE EA. Drug and alcohol dependence, 1997
IDENTIFIER LES FACTEURS DE RISQUE
Interactions : Produit (P)x Individu (I) x Environnement (E)
P = Facteurs de risque liés au Produit• Dépendance• Complications sanitaires psychologiques et sociales • Statut social du produit
E = Facteurs d ’Environnement• familiaux :
• fonctionnement familial,• consommation familiale
•sociaux•exposition :consommation nationale, par âge, sexe, groupe social
• marginalité• copains
I = Facteurs Individuels (de vulnérabilité et de résistance)
• génétiques • biologiques• psychologiques• psychiatriques
BINGE DRINKING
• En 2006, 80 millions d’européens âgés de plus de 15 ans ont signalé au moins un épisode de « binge drinking ».1
• Comportement particulièrement prévalent chez les jeunes entre 15 et 24 ans
• Associé avec des conduits à risque
• Nombreuses interrogations sur le plan de la prévention, de l’évolution et l’impact au niveau socio-professionnel, relationnel et santé publique
1-Eurobarometer, « Attitudes Towards Alcohol » 2007
BINGE DRINKING : DÉFINITION
• Volume1,2 : Consommation de ≥5 verres standards lors d’une seule occasion
• Adapté au sexe3 :
– ≥4 verres standards chez les femmes
– ≥5 verres standards chez les hommes
1. Cahalan et al. Rutgers Center of Alcohol Studies, 1969
2. O’Malley et al. Am J Public Health, 1984
3. Wechsler et al. J Stud Alcohol, 1994
Débit (volume/temps) et de mesure biologique :
Mode de consommation qui provoque une alcoolémie de ≥0,8 g/l
En moyenne, consommation de ≥5 verres standards (hommes) ou ≥4 verres standards (femmes) en environ 2 heures
BINGE DRINKING
Le binge drinking semble être en augmentation en France
Chez une majorité des adolescents, les conduites d’alcoolisation vont s’estomper pour arrêter à l’âge adulte ; elles s’inscrivent dans un processus de maturation, d’apprentissage social et des limites
Pour une minorité des adolescents, ces conduites s’inscrivent dans un contexte socio-pathologique plus complexe associé aux troubles des conduites, échec scolaire, conduites à risque, troubles de la personnalité
Différentes évolutions du binge drinking
Précoce-importante = 21,9% Peu fréquente = 9,5%
Tardive-modérée = 29,6% Non-bingers = 38,9%
EVOLUTION
Chassin et al. J Consul and Clin Psychol. 2002
RÉPARTITION DES ALCOOLISATIONS PONCTUELLES IMPORTANTES SELON LA FRÉQUENCE DE CONSOMMATION
AU COURS DES 30 DERNIERS JOURS ENTRE 2005 ET 2011 (%)
Enquête LMDE auprès de 2 000 étudiants français :
6 étudiants sur 10 consomment de l’alcool
62% consomment de l’alcool fort, dont 13% au moins une fois/mois
58% garçons vs 52% filles déclarent avoir trop consommé à une occasion
43% garçons versus 37% filles : consommations jusqu’à se sentir malade
National Youth Risk Behavior Survey (2003) (n = 15214 lycéens)
Association entre le nombre de binges et :
Fléchissement des résultats scolaires
Être passager dans une voiture dont le conducteur est ivre
Consommation de tabac
Tentative de suicide
Violence
Usage de cannabis, cocaïne, substances volatiles
Sondage chez 5379 élèves suisses (5e – 3e ; âge moyen 15,1 ans)
Objectif : déterminer s’il existe une association ente l’alcool consommé et le motif de la consommation
Motifs : Majoration, Socialisation, Ressemblance, Gestion
La consommation de bière ou d’alcools forts était associée à :
Une plus grande fréquence de binges et des consommations à risque et par les adolescents qui aiment les effets de l’alcool et l’ivresse.
Association négative entre le vin et les alcopops et les binges, consommation par les adolescents qui cherchent à ressembler aux autres
Facteurs de risque des consommations importantes :1- Caractéristiques personnelles :
Homme
Traits de personnalité antisociale
Troubles du comportement
Recherche de sensations
Peu conformiste
Image négative de soi
Manque de confiance en soi
Facteurs de risque des consommations importantes :2- Environnement alcool :
Parents abuseurs ou dépendants
Attitude permissive par rapport aux binges
Attentes positives des alcoolisations
Utilisation de l’alcool pour gérer les affects négatifs ou du stress
Antécédents de consommation d’alcool ou de substances psychotropes
Facteurs de risque des consommations importantes :3- Facteurs environnementaux :
Échec scolaire
Absentéisme
Pairs consommateurs d’alcool, attitudes permissives par rapport aux substances psychotropes
Moins impliqué dans les activités associatives
Revue de la littérature européenne (358 articles)
Consommations maximales entre 15 et 20 ans, puis diminution
Association faible entre le binge précoce et la dépendance à l’alcool en âge adulte
Plus fréquent chez les adolescents « aisés » ou l’alcool à bas prix
Facteur génétique
Forte variabilité culturelle :
• Binge drinking moins probable dans les pays où l’alcool est intégré dans la vie quotidienne
• Plus probable lorsque le binge fait parti de la culture
Sondage parmi 10 271 Anglais (15-16 ans)
Forte fréquence des binges et des consommations en public :
• Adolescents ayant leur propre argent
• Alcool obtenu en dehors du contexte parental (pairs, frères ou sœurs plus âgés, adultes non-apparentés)
Moins de binges et de consommation public :
• Parents qui « cadrent » les consommations
• Rôle mitigé des activités en groupe et des associations
PRINCIPAUX OUTILS DE REPÉRAGE Nom Items Auteurs
CAGE-cannabis (Cut, Annoyed, Guilty, Eye-opener) [Tr.fr. : DETC] 4 Midanik et al., 1998SDS (Severity of Dependence Scale) → adaptation (2012) : C-SDS 5 Gossop et al., 1992, 1995Ontario Alcohol and Other Drug Opinion Survey 5 Ferris et al., 1994ASSIST (Alcohol, Smoking, Substance Involvement Screening Test) [Tr.fr. ] 6-8 WHO ASSIST working group, 2002CAST (Cannabis Abuse Screening Test) [Tr.fr. ] 6 Beck, Legleye, 2003CRAFFT (Car Relax Alone Forget Family or friends Trouble) [Tr.fr. : ADOSPA] 6 Knight et al., 1999DEP-ADO (DEPistage de conso. problématique d'alcool et de drogue chez les ADOlescents) [VF] 7 Landry et al., 2004CUDIT-R (Cannabis Use Disorders Identification Test - Revised) 8 Adamson et al., 2010PUM (Problematic Use of Marijuana) 8 Okulicz-Kozaryn, 2007CUDIT (Cannabis Use Disorders Identification Test) [Tr.fr. : AUDIT-C] 10 Adamson & Sellman, 2003MINI-cannabis (Mini-International Neuropsychiatric Interview) 11 Sheehan et al., 1997ALAC (Alcohol, Advisory Council) [Tr.fr. ] 11 ALAC, 1996POSIT version courte (Problem oriented screening instrument for teenagers) 11 Latimer et al., 1997CPQ-A-S (Cannabis Problems Questionnaire for Adolescents, Short form) 12 Proudfoot et al., 2010DSM-IV dependence adapted in National Household Survey on Drug Abuse 15 Kandel et al., 1997CUPIT (Cannabis Use Problems Identification Test) 16 Bashford, Flett et al., 2010Know cannabis test 16 Kerssemakers, 2000POSIT Facteur A (Problem oriented screening instrument for teenagers) [Tr.fr. ] 17 NIDA Radhert, 1991B- MACQ (Marijuana Consequences Questionnaire) 21 Simons et al., 2012CAPQ-SF (Cannabis-Associated Problem Questionnaire) 22 Lavender et al., 2008CPQ-A (Cannabis Problems Questionnaire for Adolescents) 27 Copeland et al., 2001, 2005MSI-X (Marijuana Screening Inventory) 39 Dale, 2003CPQ (Cannabis Problems Questionnaire) 46 Copeland et al., 2005MCQ (Marijuana Craving Questionnaire) 47 Heishman et al., 2001MACQ (Marijuana Consequences Questionnaire) 50 Simons et al., 2012MEEQ (Marijuana Effect expectancies) – réduite à 6 items (Torrealday, 2008) 70 Schafer & Brown, 1991
OUTILS DE REPÉRAGE : DEP-ADO
• Échelle validée au Québec et en Suisse• Repérage des usages à risque en quantité• Repérage des conséquences morbides des consommations• Passation 15 min, cotation 5 min
• Auto-évaluation, hétéro-évaluation qui cible spécifiquement les adolescents
• Évaluation des consommations d’alcool et des substances psychoactives
• Qu’une question sur le tabac
Landrey et al. (2004) Drogues, Santé et Société
LE MODELE TRANS-THEORIQUEDU CHANGEMENT
deProchaskaetDiClemente
deProchaskaetDiClemente
Envisage de changerson comportement deconsommation
Décide de
changer
Essaie de changer
Recommence
Préparation
Ne recommence pas
MaintienConsommateursatisfait
Intention
Résolution
Change soncomportement deconsommation
Actions de changement
OUTILS DE PRISE EN CHARGELe schéma de Prochaska
Modèle transthéorique du changement
Type de consommation
Problèmes
Usage Usage à risque
- situations
- modalités
- quantités
Usage nocif Dépendance
aucuns
faibles
modérés
Problèmes et dommages
dus à la consommation
de psychotropes
Cannabis
importants
Très importants
PRISE EN CHARGE DES CONSOMMATIONS PATHOLOGIQUES
Type d ’intervention
Objectifs
•Modification du comportement
de consommation: Consommation contrôlée Abstinence
•Réduction des risques
•Réduction des problèmes médico-psycho-sociaux
Amélioration de la qualité de vie
Information
Conseil
Interventions brèves
Traitement spécialisé
PLACE DE L’ENTOURAGE
• Souvent à l’origine de la demande• Souvent à l’origine d’une demande URGENTE
– suite à la dégradation d’une situation : résultats scolaires, relations familiales ou événement qui rend visible la situation
• Alliance thérapeutique importante• Encourager attitudes d’aide et de soutien de l’entourage• Approche familiale efficace par rapport aux techniques individuelles
(Williams et Chang, 2000)
CONCLUSION
• Consommations de substances psychoactives préoccupantes à l’adolescence
• Pas de gold standard dans l’évaluation et la prise en charge• Importance de l’information• Notion d’aide à l’auto-évaluation• Importance du repérage précoce• Interventions brèves ++ (favoriser la réflexion, l’auto-observation, le
changement)• Implication de l’entourage
top related