le meschacébé (lucy, la.) 1871-05-20 [p ] · 2017. 12. 13. · cette arme dont il est dsormalii...

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11BUREAUX ET ATELIERSSAMEDI 20 MAI 1871 -ST-JEAN-BAPTISTE, rive droite, n aille et demi adesses de la Maiss de fCour. I ANNE. -20

PatZ DNU ANNNGexs t.. ~ j- \~J 1f colivz.=:TPOUR LaC cnst DR 011 Ioas:

% O'Iph q pAE..arcs par <il',Premr Insertion ............ si 0

Insrtions svates........... 75 E PAYABLES D'AVANCE.

JOURNAL DE LA PAROISSE ST-JEANuBAPTISTE - LOUISIANE

AGoBInT A DONALDUONVIl. g I <<E.NDU E A& I. N,,O W y.-o'r!l ANE. DUMEZ & T. BELLORW REDACTEURS WHARTION & TARDREW,1!rse des Mannrli,u'M. F'LIX R YNAUD | rue

Commune. FntreI1- rut St Chariles t Onnip.

LES PRINCIPES DE 1871-"e**..--

Nonsi nvont paseds on revue l'arme de la Socit internationalecette arme dont il est dsormaliiimpouaible de nier l'existence et dicontester la puissance, et dont lmain est visible dans la rvonlutiorparisienne, tape do grand mouvement conomique moderne. Leecrivains ractionnaires et routi.niers qui n'ont Jamais en de princi.

pes, qui se yantaient de leur ind-pendance intellectuelle et moraleen matibre de principes, qui enfinapplandissaient l'escamotage desprincipes de 1189 par.les diversgouvernements monarchiques quiont suivi cette noble poque et

dont lee tronons pars cherchent1 se rapprocher 1 la favepr de laguerre civile, ces consciencieuxcriva'ns abandonnent la thoriecommode des faits accomplis, ou-blient la lessive plbiscitaire deacoups d'Ctat, et sont ou paraissentcurieux de connatre les principesde la rvolution inaugure es Eu.rope. LoIa de vouloir les droberas Jour, la Socit internationales'est ebforce de les faire connatreet de les propager, en un temps oles vnements actuels n'taientnullement dans les prvisions buhmaines, de moine quant leur por-

te destructive et sanglante. Etl'Internationale *songeait ai peu attiser la flamme de la guerre civilemo sels s aim preplues direpe,qu'ellE invitait ses membres de

tons pays refuer le service dansla guerre trangbre. Or. le p incipe4conomique n>sw de l'Intma.ertionale est tout simplement lanubordiluation ds capital au travail,

et ce principe donule naturelle-ment de celui de 189. qui tait lai

suppression des castes oisives et jprivilgides Proudhou, qu'une criti-j

que superficielle a faitprendre pourun artiste rdvoltiondlire, as disait

le continasteur de Targut et cher-

obait de la meilleure foi du mondeoprer entre les elsaes moyennes

et les classes laborieuees une con.cillatmi qui enrtlaementet sauvla Vrsoo et IBurope de la guerrecivile et de la guerr trangre,puieque o'est por dviter la pre.n.Ire qute momad impire s'estjet deasa s osdeo, et que l'in.qutlude de ce gouversement de

haeada eltd* per leT agite.tionq populaires qui trabiesaient le

ma"ise ociat reoagt 4e abusde pito. Le buo &1itersatio.salesI deo A t dapital,

non par le supplice et la torture oupar la spoliation des parasites quile dtiennent, mais par la paisibleascension du travail vers le som-met escarp do capital. Aux lignesfinancires, aux socits industriel-les, vaste rseau de plomb sonslequel gmissent les producteurs,opposer l'entente et la solidarit deces derniers, est-ce donc un sigrand crime ? Proclamer le travailcomme source unique de la propri-t, cela n'est-Il pas uin principe quivaut qu'on s'y dvtone et qui a t ;reconnu par tous les esprits gn-reux? Pourtant, les gouvernetmentstimors ont oppos les dignes ordi-naires au torrent dont leur instinctsignalait l'existence, dont leurs senspercevaient le grondement lointain.Vains obstacles comme toujours, etqui devaient treemportd ai grand idommage des gouvernants et descapitalistes. Qu'en advient-il ? Depacifique et conomique, la rvolu-tion se fait politique et guerrire.Des moyens d'action lui sont of-ferts, elle s'en empare. Son principeconomique a t la subordinationdo capital au travail, son principepolitique sera la subordination del'Etat la Commune. Nonus ne fai-sons point ici de paradoxe, nous netraons pas un tableau d'imagina-tioa, et nous prenons soin de nousabstenir des violences de langagequi trahissent l'indigence de la lo- igique. Nons prions senlement lelecteur d'examiner et de rflchir.Hier, le capital tait tout et le tra- 'vail rien, absolument comme leschosees se passaient il y a un sicleentre it tierp-4tat et len classesprivilgies. Hier, l'Elat tait tout,et l'Etat tait I miasiiirque, commen

a|i temps di Lonia XIV. EnI France,la Commune, c'ret-i dire le groupe iinitial et essenitiel de la ntien,tait rgente par l'Ettit Fous laforme tilaitaire di maire, nomm!par le goevernement cential ; du!,cur, paysan opprim, i son tour,instrument d'oppression ; enin du 'pauvre magister de village, dpen-dant du maire comme secrtaire dela mairie, do cur comme chantre aulotria, eassignant l'obissance pas-sire dont Il tait le type parfait, etabratissant Ilnfortan paysan qui Ia succdd au glorieux volontaire de Ela Rvolution. Le principe politi-que de l'Intersnationale ou de laCommue, sa lile lgitime, est larapture de cette ingnieuse hirar- 4chie, le renversement de cette per- 1fide superposition, la confirmation j

des droits de l'hommeet du citoyeniCes travailleurs, qui vont l'aveiiiiguids par la lumire de l'instinctont invitablement uine rudesse diprocds, un diapason de langagide nature heurter nos adversairesles tburifraires napoloniens, lemscrupuleux et len dlicats qui cuimnlent l'lgance de la forme et laIsolidit du fond. Mais tout celan'empche pas de voir les principesqui se posent ani l'ant di rocher etdominent le dfil dans lequel l'Eu-rope est condamnnui passer, ettous ces principes se rsnimient, po-litiquement et socialement, dans lergime fdratif. Ce rgimoe del'avenir clate en lienurs fulgmran.tes, et aveugles peuvent tre ditsceux qui le nient.

Les impitoyables adversaires desa Commune dsignent avec duidainet mpris les hommes do Paris. Ont-ils le droit d'tre svres apis lachute ignominieuse, l'impuissanceavre des hommes dont ils procla-maient l'infaillibilit? Comme of lesindividus taient autre chose quedes atomes que roule la vague etdvore le gouffre I Il s'agit biend'hommes I Sallmste, mieux que cescritiques irrits de leur propreaveuglement, a peint Catilina, lechampignon de l'orage, l'idole de laplbe et le jonet du destin. A un telportrait, ils n'ajouteront rien. Ilsmontrent encore, croyant achutverdans l'opinion la Commune, nassailliedj de tant de propos calomnieux,les trangers dont l'pe tincelledlatis cette lutite, Garibaldi, Don'-brovwki et autres, et nie voionmt pasjqu'ils reconnainment par l le carac-gre d'mniversalit et de cosmopoli.tin1me affect par la littu. Omi, larvolution n'est pin sporadimquernnie pidmique, n'est plus locale

imais continentale, et voil ce quipxplique mieux sa force que l'orallemand ou le fanatisme rpubli.cain. Le' principes sont ce quimanque le moins l'Internationale,et si les ombres du pass, qui volti.jent comme des oiseaux de unitJans le vieux palais de Versailles,entrent Paris, elle le trouverontsaccag par les bombes, inhabi-table pour une cour monarchique';la capitale aura elle-mme dtraitet brl ses atoors de servante.maltreae, et.as livrera que desruiies au vainqueur. La scne dumecond acte sera la cit de Londres,et la "vieille et joyeuses Angleterre,aura ce qm'il en cote d'avoir failli1 la solidarit des nations.

LES MILLE ET UNE

CONNAISSANCES UTILES.

C. XVIIISLe Teixas "aeul posede 3,800,000

ttes de btail, comprenant 950,000Sboufs, 550,000 vaches, et 1,900,000jeunes bestiaux. Les plaines o errentces bestianiix contiennent environ152,000,000 acres. Les principauxpturages sont arross par les riviresNueces, Rio Grande, Guadalupe, SanAntonio, Colorado. Leon, Brazos,Trinity, Sabine et lRed. Les bestiauxappartiennent de nombreux ranehmen(fermiers), dont chacun cn 1ossde de1.000 75,000 ttes.

Sur la rivire Santa Gatrutos setrouve un ranch (ferme) de 84,132Lacres, appartenant en totaliti M.Richard King. qui posln, on outre,65.000 bftes cornes, 20,000 chevaux,7,000 moutons et 8,000 chvres. Cetimmense troupeau exige 1,000chevauxde selle et 300 Mexicains, pour le sur.veiller et le faire patre. Il se vendchaque anne, sur cette ferme, 10,000beSuf, et l'on y marque au fer rouge12.000 veaux.

On trouve, sur la rivire Smn An-tonio, un autre ranch qui contient40,000 bestiaux, et marque annuelle-ment case mille veauxn. Le propritairede ce ranch. M. O'Connor, vend chaqueanne poor $75,000 d'animaux, et sontroupeau augmente sans cewse. Il acommenc son industrie en 1852, avec1,500 ttes de btail, et sa richesseactuelle est le produit de l'augmenta-tion naturelle de son troipeau.

Sur le Golfe, entre le Rio Grande etle Nueces, se trouve un ranch de142,840 acres, appartenant M. Ro-bideaux. Il est situ dans une pres-qu'le. Pour fermer le quatrime ctde la preqqu'lo, il a fallu construireune clture de planchee qui a trente-et un millesdelongieur. De tis millesten trois milles, le long de cette clture,!se trouveunt des maisous jour les bou.viers, des parcs et des grangea normespour les animaux. Le stock se composede 30,000 btes cornes, sans compterune quantit imnmense du menu btail.

|M. Juhn Hilson poesde, iur la ri-viire Brazos, un ranch. o il elveW,000 btes cornes, et 300 chevaux.II a 5fpatres. et vend 10,000 animauxpar an. En 1860, John litson t.titpetit fermier dans le Tennewssee. La ginele fora vendre s ferme, aprs quoiil migra dans le Texas et se rendit Brasas. A force de travail et d'oooomie, il put acheter 60 vaches et 9 ju.ment&. O'est avec cela qu'il commenason mttier d'leveur. Aujourd'hui, soutroupeau vaut aus moins $150,000, etlui-m*me as * peine tg de 40 ans.Cet homme enteprenant est en traind'tablir une nouavelle ferme pour l'le-vage sur le bords de la rivire Platte,dans le Nebraska, o Bila dj cinqmille ttes de btail. Il y en amneradix mille de plus, dorant le printemps.

Sur la rivire Cooeho (Texas), unfermier, diton, possde 70,000 beufset vaches laitires.

Les oomts de Texas les pil favo-rables l'levage soot eeax de Throokumorton, Steves., Jaek, Younag, Calla.han, Coleman, Brown, TarraBtllarth,Comaobhe, Palo Pinto, BiHl et John"

1 on. Ces comts >ont *its .ur les:ords in 1io Granup, du Nue>ns, du

cni, du San Antoi.io, du C00olo-rado, il Leon, du lirusw, dlu Trinhy,

i de la Subine et de la rivire Rougo.SLes Lb'tinux d. cut comints sont vo)-

doits cD grand noulcre sur le Gorlf. Ilssont cii.suite nbnttuis *t expdis parsteamers, ou transports vivants New.York, IBoston et sur les untres marchsdu Nord.

(Phare des Lacs.)

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MmS'adre.ser, pour renseignementa, soit& M. J.-B. Caire, soit au signataire dupresent avis.

F. ROMAIN.i

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il g~ I pr~umU.. ehi,. pu*'70lhermdior

-N'etende4a pasu? .-Non, rien. Bomoir I-On dkait vme ode degr lMe &'abstuat sur lo oitde

la ferme.-Allous doue! o'et le v,@ artieala le fermier qui a

blotsta tee entre le draps.Mais le jee homme ne tut pas poUr bett.

~-Pl do a rtt l, loista4. -il-Qieki 1 tBas doutle jour qui nv poiadre?

ets dr6le, je a'o pruque ps dorami.-Ncrw D n'id po;et le jour; l premire loeur

de Jour ae bluob, et sla tde qu j'featrevoes sembler eomume de mg.

S-Te r'venesmr; wvol os que *t qu de Hire esirdeas le woeIvr

.Je M resmse peint; je uie bis weli"... Mon Die&!

dead. dom tititi -Ud mai0e ^ is t fleirWw qd, fas beod fet

teorn, tW Hine sesWdr la pot de la dheabre.Jl tonswUp tal. e

u h.sbe beeres g

ls ai- -.lles ,iJS ahwebem ant.er usd ii.

I l.allea -u b tse epu a gader l

le matin d'une bataille, regarda durant quelques minutesMe geas rdu"e autour de To im# bt ents de a fermedomt le pieds belguaient , et 'incedieg qilluminait l'houiou.

Paa, aortant de son mutisme :-A ohaeoo sM rle, meenfints, s'deoria-t.il:"Vou, le femmes, deaeures ici; je vas eoule Moso bien;

eil ouvert et main prompte, voil la eouige. Qu'o0 me-iHJm la s x, -l baquets, les auges; qu'o coouvre pail.

lssom et femier. La ferme est neuve, Dieu merci I btiee mellons, oouerte en $oile. elle ristera, il 'y a

''dre que lea tieelles dam la eoor. Veille-y." Nous auatree, mes gars, droit au feu! Allou,; de jam*

bes et de eur -d tre!Le pre CaillUai, a fils Julien, le bouvier, le vacher,

le berger, les dea darreliers et les qinq os az aides atta.ehe M Meries de la forme, partiret ecamme un tourbillon.

Le sileae le plu absolu rogasit emoore das le bourg.no n'eatendait que le orpitement de lrinoendie et

le elemears da ftermiuer et de sees geae, qui, touts eoaraaves le lieu d simistre, heartai"at tax portes. elaOes et

"eu phleof :

* nLa feme de pis Caila6d ou m CaitadarmW, comme

M l'apNait ommeaU at das e p- y,, oeempitr'xtramfst rs de Tillay, du ebe d'Orgne.IssL semi al brtais esasteito I'gsftenesmMil&di"I l. *Iu t < llComme la lBpart de. eaastraotiou.hsueirie, eIl

avait de mors en terre battue mile do paille hache, eta toitore, on obsaume akid pourri par le tempe, repo.ait sur des soliveaux vermolmed qai offraient un fhaile al.ment 4 l'ieoodlie.

Elle . composait de trois sorpe do bAtimaots d'aun seualteaant, formant querre.

A droite, la grane.A gaebe, l'oune.Au fond, l'habitation propremet dite.Un mur ea terre, hateuid'Sppui, fermait le eour de

etfl de la re.Sgrane tait remplie de g oai.

Le tot d deuriw taoit pIle de fomrage.Le greNter de 'hablteles nrefertwe la ptbvibion de bols

mort et de hame por l'hiver.Un li pe de fumier pesq mee couvrait le &e de la*

eour, toucha00 le mur de eldtilr, jooriet l Jmaison et la -g

Tot ela lambait.Le as r4uOUaIt da ne dm n bber les troi eorp*

doebUatlem -Une 6M. &are, paisse, OaMWitb, blonde comai

ure nau d'oraq moulait en eoteine - le ni) soir.>

isloMbrliuWpori,S 4B tse M *.

.M lea s.* cideralrM epBeo. ro

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