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Programmation détaillée à destination des enseignants
CONTACT : Valentine ROFMAN 05 59 23 23 24
jeunepublic@festivaldebiarritz.com
Villa Natacha 110, rue d’Espagne 64200 BIARRITZ
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Règles sanitaires
En cas de symptômes évocateurs du coronavirus (toux, fièvre, ...) merci de ne pas vous
rendre au festival.
• Port du masque obligatoire dans le centre-ville de Biarritz, pour tout
déplacement dans le Village, les salles et pendant les projections et rencontres
littéraires.
• Un mètre de distanciation physique est a respecter dans les halls et aux
abords des salles.
• Sur la terrasse du Casino Municipal, la limite de convives par table est de 10
personnes, formant un groupe de personnes homogène et préconstitué.
Merci de privilégier le paiement sans contact.
• En salle, un fauteuil d’écart entre chaque personne ou groupe de personnes
constitué (dans la limite de 10 personnes).
Une organisation adaptée
Les lieux d’accueil sont nettoyés et désinfectés régulièrement.
La ventilation des lieux de projection est contrôlée, l’air est renouvelé. Du
gel hydroalcoolique sera a disposition dans les espaces du festival.
Réduction des jauges, limitation du nombre de festivaliers.
Afin d’éviter les files d’attentes au cinéma Le Royal, il sera demandé aux abonnés de
réserver leurs places pour les séances auxquelles ils souhaitent assister.
A la Gare du Midi et au Théâtre du Casino Municipal, chaque spectateur se verra
attribuer une place numérotée a l’entrée de la salle.
Différentiation des entrées et des sorties à la Gare du midi et au théâtre du Casino
Municipal.
Dans toutes les salles, les délais entre deux séances ont été étendus.
Nous ne sommes pas en mesure cette année de proposer ni cours de danse ni concerts
en jauge debout.
A la buvette et aux deux points de restauration, seules pourront être servies les
personnes bénéficiant d’une place assise sur la terrasse
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Sommaire……………………………………………………………………………………………2
Informations générales……………………………………………………………………..3
Les rencontres littéraires...........................................................................4
Eduardo Fernando Varela……………………………………………………...4
Ariana Harwicz………………………………………………………………...........5
Jorge González…………………………………………………………………………6
Hommage à Luis Sepúlveda………………………………………………….………….7
Les rencontres de l’IHEAL…………………………………………………………….…9
Les tables rondes « Un impérialisme séducteur ? » ……….……9
Documentaire « Ceux d’en face » …………………………………………10
Animations musicales………………………………………………………………..…...11
Joël Salgado Quartet……………………………………………………………..11
Santa Machete……………………………………………………………………….12
Sopa Loca…………………………………………………..…………………………..13
DJ’s et fanfares……………………………………………………………………..…………14
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Le festival
Créé en 1991, le festival est un important point de rencontre et d’échanges entre
l’Europe et l’Amérique latine. Sa 29e édition se tiendra du 28 septembre au 4 octobre
2020.
Avec trois compétitions de films, fiction, court-métrage et documentaire, le meilleur
de la production cinématographique de l’Amérique Latine sera présentée a Biarritz.
Le Festival invite les élèves et leurs professeurs à venir découvrir les cultures de
l’Amérique Latine au travers de séances de cinéma, d’expositions, de rencontres
littéraires, de concerts et de rencontres avec l’Institut des hautes Etudes de l’Amériques
Latine.
Le focus “Latinos in the USA”
La relation qu’entretiennent les Etats-Unis d’Amérique -l’Amérique, comme ils sont
parfois appelés fallacieusement- avec l’Amérique latine est complexe, ambivalente,
profonde.
Bien qu’ancienne, l’immigration latino-américaine aux Etats-Unis s’est accélérée dans
les années 60, si bien que le groupe des latino-américains en constitue aujourd’hui la
première minorité démographique (18% de la population totale). Quelles sont leurs
réalités aujourd’hui ? Quelle empreinte culturelle les latino-américains ont-ils laissé
aux Etats-Unis au fil des générations, comment en ont-ils pollinisé la culture, comment
leur propre culture a-t-elle muté pour donner naissance a des formes d’expressions
neuves et formidablement vivantes ?
Le Festival Biarritz Amérique latine examinera cette année l’apport des diasporas
latino-américaines à la culture états-unienne au fil d’une programmation
pluridisciplinaire qui explorera aussi bien le cinéma que la musique ou la littérature.
Les lieux du festival
GARE DU MIDI – 23 avenue du Maréchal Foch, 64200 Biarritz
CASINO DE BIARRITZ (Village du festival) – Grande Plage, 64200 Biarritz
CINEMA LE ROYAL – 8 avenue du Maréchal Foch, 64200 Biarritz
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Eduardo Fernando Varela
Mercredi 30 septembre à 15h – Casino Municipal, Salon des Ambassadeurs
Rencontre animée par Jacques Aubergy
Originaire de Córdoba, Eduardo Fernando Varela a 60 ans et vit entre Buenos Aires et
Venise. Il a étudié le journalisme, la photographie et l’écriture audiovisuelle.
Aujourd’hui, il écrit des romans, des récits de voyage ainsi que des scénarios pour le
cinéma et la télévision. Son premier roman,
Patagonie route 203, a reçu le Prix Casa de las
Américas 2019.
Patagonie route 203, Eduardo Fernando Varela,
éditions métaillé, 2020.
« Au volant de son camion, un énigmatique
saxophoniste parcourt la géographie folle des routes
secondaires de la Patagonie et subit les caprices des
vents omniprésents.
Un formidable road-trip à travers les routes les plus
inhospitalières et sidérantes du sud du monde où
rien ni personne n’est ce qu’il semble être. »
Prix Casa de las Américas 2019.
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Ariana Harwicz
Vendredi 2 octobre à 10h – Casino Municipal, Salon des Ambassadeurs
Rencontre animée par Jacques Aubergy
Ariana Harwicz est née à Buenos Aires en 1977. Après des études de cinéma et de
dramaturgie en Argentine puis de littérature comparée à la Sorbonne, elle choisit
définitivement la France comme pays d’adoption, et réside aujourd’hui près de
Sancerre. Elle est l’auteure de pièces de théâtre et de quatre romans qui l’ont révélée
dans le monde entier comme le nouveau prodige de la jeune littérature argentine.
Traduit dans une quinzaine de langues, adapté avec succès au théâtre dans de
nombreux pays et sélectionné pour l’International
Booker Prize en 2018, Crève, mon amour est son
premier roman publié en France
Bibliographie sélective
Degenerado, 2019
La débil mental, 2014
Precoz, 2015
Crève, mon amour, 2020
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Jorge González
Jeudi 1er octobre à 10h – Casino Municipal, Salon des Ambassadeurs
Rencontre animée par Thomas Dassance
Originaire de Buenos Aires, Jorge González réside depuis près de 25 ans en Espagne. Il entame sa carrière d’auteur de bande dessinée en 2001 avec Hard Story, sur un scénario de Horacio Altuna. Mais c’est grâce a Chère Patagonie (2011) qu'il se fait définitivement un nom dans le monde
de la bande dessinée franco-belge. Presque muette, portée par une impressionnante couleur
directe à base de lavis, cette grande saga familiale amérindienne explore un pan méconnu de
l’histoire de l’Argentine.
Jorge González est l’un des plus illustres représentants du roman graphique. Avec sa narration
inventive, ses dialogues au cordeau (lorsqu’il ne pratique pas la BD muette) et son art unique
de la couleur directe, il a su imposer un ton autant qu’une identité visuelle.
Bibliographie sélective
Hard Story, scénario de Horacio Altuna, Heavy Metal, 2001 Le vagabond, avec Carlos Jorge Hernández, Glénat 2004 Hate Jazz, scénario de Horacio Altuna, Caravelle Urbaine, 2006 Bandonéon, Dupuis, 2010 Chère Patagonie, Dupuis, 2011
Retour au Kosovo, Dupuis, 2014
Maudit Allende avec Olivier Bras,
Futuropolis, 2015
Mécaniques du fouet avec Christophe
Dabitch, Futuropolis, 2019
La flamme, Dupuis, 2020
Première de couverture et
planches de Chère Patagonie.
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Jeudi 1er octobre à 16h – Théâtre du Casino Municipal
Avec les interventions de Anne-Marie Métailié et Daniel Mordzinski et en la présence exceptionnelle de Carmen Yañez, animé par Serge Fohr
Biographie :
Luis Sepúlveda est né le 4 octobre 1949 à Ovalle, Chili. Militant des Jeunesses
communistes, il est emprisonné en 1973 sous le régime de Pinochet pendant 27
mois. Libéré puis exilé, il voyage à travers toute l'Amérique latine. En 1979, il
participe à la révolution sandiniste au Nicaragua. Plus tard, il travaille comme
journaliste et milite avec Greenpeace à Hambourg. Après avoir également vécu à
Paris, il s’installe en 1997 à Gijón, dans le nord de l’Espagne, où il fonde le Salon
du livre ibéro-américain pour faire connaître le travail des écrivains et des éditeurs
indépendants d’Amérique latine. Grand lecteur et homme généreux, il aide les
jeunes auteurs. Il écrit des chroniques pour des journaux espagnols et italiens.
Auteur de nombreux romans, chroniques, récits, nouvelles et fables pour enfants, il
a reçu de nombreux prix prestigieux pour son œuvre. En 1992, son premier roman
Le Vieux qui lisait des romans d’amour, inspiré de son expérience au côté des
indiens Shuar en Équateur, connaît un immense succès mondial et change sa vie.
Quatre ans plus tard, la parution de Histoire d’une mouette et du chat qui lui apprit
à voler vient asseoir sa renommée. Ses livres sont désormais publiés dans 52 pays
et plusieurs ont été adaptés au cinéma. Il succombe au coronavirus en avril 2020.
BIBLIOGRAPHIE
1992 Le Vieux qui lisait des romans d'amour
1993 Le Monde du bout du monde
1996 Le Neveu d’Amérique
1996 Histoire d'une mouette et du chat qui lui
apprit à voler
1997 Rendez-vous d'amour dans un pays en guerre
1998 Journal d’un tueur sentimental
1999 Hot Line
2001 Les Roses d’Atacama
2003 La Folie de Pinochet
2004 Le Pouvoir des rêves
2005 Une sale Histoire
2005 Les pires Contes des frères Grim avec Mario
Delgado Aparain
2010 L'Ombre de ce que nous avons été
2011 Histoires d'ici et d'ailleurs
2012 El Tano avec Daniel Mordzinski
2012 Dernières nouvelles du Sud
2013 Histoire du chat et de la souris qui devinrent amis
avec Joëlle Jolivet
2014 Ingrédients pour une vie de passions formidables
2014 Histoire d'un escargot qui découvrit l'importance de
la lenteur avec Joëlle Jolivet
2015 L’Ouzbek muet
2016 Deux idées de bonheur avec Carlo Petrini
2016 Histoire d’un chien mapuche avec Joëlle Jolivet
2017 La Fin de l’histoire
2017 Un Nom de torero
2019 Histoire d’une baleine blanche avec Joëlle Jolivet
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Anne-Marie METAILIE
Louise Carrasco
Après être passée par l’enseignement, la sociologie et le journalisme, Anne-Marie
Métailié fonde les Éditions Métailié en 1979. Une maison d'édition qui possède
aujourd’hui un catalogue prestigieux au rayonnement international mais surtout une
valeur essentielle : le militantisme. En effet, dans les années 1970, c’est un intérêt
particulier pour l’extrême gauche brésilienne qui pousse l’éditrice a publier de la
littérature étrangère. Leonardo Padura, Christoph Hein, James Kelman, Arnaldur
Indridason, Giancarlo de Cataldo, Olivier Truc, Hanelore Cayre sont, entre autres, les
auteurs-phares de la maison. Avec un regard visionnaire sur la littérature latino-
américaine de l’époque, elle est la première en France a publier Le Vieux qui lisait des
romans d’amour de Luis Sepúlveda en 1992, début d’une grande amitié avec l’auteur.
Daniel MORDZINSKI
HOMMAGE A LUIS SEPULVEDA
Depuis plus de 35 ans Daniel MORDZINSKI, connu
comme “le photographe des écrivains”, se consacre a un
ambitieux “atlas humain” de la littérature ibéro-
américaine. Le photographe argentin a ait le portrait des
plus importantes figures de la littérature espagnole Ses
livres sont souvent exposés dans les musées les plus
importants d’Amérique latine. Œuvres qui sont par
ailleurs présentes dans les meilleures collections de
photographie contemporaine.
Il est photographe d’importants Festivals littéraires tels
que les Hay Festival de langue espagnole et Centroamérica
Cuenta au Nicaragua.
© photomobile
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Un impérialisme séducteur ?
L’Amérique Latine et les États-Unis
Mardi 29 septembre 2020, Casino Municipal de Biarritz
Matin : 10h-12h / Après-midi : 14h45-16h30
13h30 : projection du documentaire
Depuis le début du XIXe siècle, l’histoire de l’Amérique latine et des Caraïbes est
indissociablement liée à celle des États-Unis. Dès 1823, la « doctrine Monroe » scelle les
bases d’une destinée commune de part et d’autre du Rio Grande en proclamant «
l’Amérique aux Américains ». Réinterprété au tournant des XIXe et XXe siècles, ce
texte originel constitue le socle de l’interventionnisme récurrent de Washington au sud
du Rio Bravo jusqu’a la fin de la Guerre froide, depuis la guerre hispano-américaine de
1898 qui conduit à la mise sous tutelle de Cuba pour plus de 60 ans jusqu’a l’enlèvement
du général Noriega au Panama en 1989, en passant par l’occupation de nombreux pays
centraméricains et caribéens dans les années 1910-1920 ou le soutien aux coups d’État
de sécurité nationale des années 1960-1970. À cette hégémonie des États-Unis en
Amérique latine, tant politique qu’économique, fait pendant une américanisation
culturelle qui semble parfois aller jusqu’a remettre en question les identités nationales et
stimule un fort sentiment de « yankeephobie ».
Les relations interaméricaines ne se réduisent cependant pas à l’impérialisme
étatsunien et au portrait d’une Amérique latine en arrière-cour de Washington. Né en
1889-1890 et bien qu’instrumentalisé pendant la Guerre froide, le projet panaméricain a
donné lieu à d’intenses coopérations qui ont connu leur âge d’or dans les années 1930-1940
et qui, dans une certaine mesure, s’incarnent aujourd’hui dans le processus d’intégration de
l’ALENA. Incarnant une forme de modernité et l’espoir d’une vie meilleure, les États-
Unis ont également constitué et constituent plus que jamais la première destination
des migrations latino-américaines au point que les Latinos représentent désormais la
première minorité du pays et pèsent de manière croissante dans sa vie politique et
économique.
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Cette nouvelle édition des Rencontres de l’IHEAL vise donc à proposer un bilan
historique des relations entre les États-Unis et l’Amérique, mais aussi a en évaluer l’état
présent quelques semaines avant les élections présidentielles américaines où les
Latinos, cibles privilégiées de Donald Trump depuis son accession à la Maison
Blanche, pourront jouer un rôle majeur par leur vote. Car, si la tentation
interventionniste de Washington n’a pas disparu avec la fin de la Guerre froide comme
en témoignent de nombreux événements récents, la diversification des partenariats
stratégiques des États latino-américains, avec la Chine notamment, a profondément
reconfiguré les relations interaméricaines et distendu les liens de dépendance qui
avaient été tissés au long du XXe siècle.
Organisation et animation : Olivier Compagnon (Université Sorbonne Nouvelle /IHEAL). Avec Virginie Baby-Collin (Aix-Marseille Université)
Juliette Dumont (Université Sorbonne Nouvelle /IHEAL)
Frédéric Louault (Université Libre de Bruxelles)
Jean Mendelson (Ministère des Affaires étrangères)
Stéphane Witkowski (Université Sorbonne Nouvelle /IHEAL)
CEUX D’EN FACE
Franck Beyer
France, Mexique, 53’
Un mur de fer et de béton symbolisant la
distinction Nord/Sud marque la séparation
entre Tijuana et San Diego. Ces deux villes
jumelles sont le lieu de passage le plus
fréquenté au monde. De chaque côté, les
frontaliers vivent avec ce mur qui s’impose à
eux et avec les paradoxes qui s’en dégagent.
Ceux d’en face nous plonge dans l’univers de
familles avec cette frontière qui alimente
toutes sortes de pensées. Un film sur des gens
ordinaires dans un lieu extraordinaire.
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JOEL SALGADO QUARTET
Mercredi 30 septembre – 21h
Bossa nova, samba, pagode, MPB, jazz – BRESIL, FRANCE
Ce quartet brésilien porté par le piano et la voix du talentueux Joel Salgado
revisite des moments choisis de la musique brésilienne. Sur des airs de bossa,
de samba, de pagode, et de musique populaire cette formation aux accents jazz
s'amuse, se livre et se surpasse pour exprimer les plus belles couleurs de cette
musique. Avec l'époustouflant Robson Barros à la basse 6 cordes, le prodigieux
André da Silva à la guitare et le fabuleux Alvaro Garcia à la batterie, le groupe
ravive les coeurs et envoûte les oreilles ! Vamos lá !
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SANTA MACHETE
Vendredi 2 octobre – 20h30
Afro-Soul, Dance-Floor, Roots-Pimiento, Cumbia-Libre – Bordeaux
Ne vous laissez pas intimider par leurs allures de guerriers ! SANTA MACHETE
est un collectif de musiciens qui combattent sur les Terres d’Afrique et
d’Amérique Latine. Issus de la rue et porteurs de masques étincelants, ces
mercenaires du soleil voyagent avec leurs instruments et autres machettes pour
trancher la morosité par l’énergie, la danse et la transe, tout en insufflant un vent
de liberté.
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SOPALOCA
Lundi 28 septembre – 18h30, Mardi 29 septembre - après-midi et 20h30
Cumbia, Rumba, Dansons, Salsa – Lyon
Sopa : n.f. en français « soupe » : métissage de musique traditionnelles chaloupées,
épicées d’influences cosmiques.
Loca : adj. Qual. En français « fou » : euphorisant, antidépresseur.
Inspirés de musiques sud-américaines et tropicales, les 7 illuminés de SopaLoca
épicent leur répertoire d’influences de tous horizons. L’ensemble réorchestre cumbias,
rumbas, dansons, salsa... et les agrémente de courants musicaux insolites. La folie
anime les corps et ponctue la musique de chorégraphies distinguées ou décalées.
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TOUS LES SOIRS AU VILLAGE !
Tous les soirs avant et après les concerts, les nuits du Festival seront animées par les
performances de six DJ’s.
Dans le respect des normes sanitaires en vigueur, aucune piste de danse ne peut
être ouverte. Les festivaliers devront assister aux concerts et performances
musicales attablés.
Lundi 28 septembre
Originaire de Cuba, Armando est pionnier dans l’enseignement des différentes danses
cubaines et la diffusion de la culture latine au Pays Basque. Dj et animateur, il vous
entrainera sur tous les rythmes latinos (salsa, reggaeton, rumba, son, cha cha cha,
merengue…). Sa joie de vivre et son enthousiasme vous feront danser y gozar.
Ambiance décontractée et festive garantie !
Mardi 29 septembre
Dj R-Jay a grandi aux rythmes de la samba dans sa ville natale, Belem au Brésil. Lors
d'un passage par les Antilles, il enrichi sa culture musicale et crée son style
"TROPICALIENTE" mélange de musiques latines et caribéennes. Ambassadeur de la
musique latino- caribéenne, il porte son rythme à travers les bars, discothèques et
festivals culturels depuis plus de dix ans.
Mercredi 30 septembre
Edwin Zeebra, musicien multi-instrumentiste et collectionneur de vinyles, fait
chalouper le dance-floor sur les rythmes de l'Afrique, l'Amérique Latine et les Antilles
dans ces "Tropicool Sessions" ; pour le festival il ramène ses bacs de vinyles remplis de
pépites pour un set latino.
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Jeudi 1er octobre
De la chicha péruvienne au son cubano, El Vecino navigue entre les rythmiques,
des cimes andines aux barrios new-yorkais, en passant par l’exubérance
amazonienne & les côtes caribéennes. Originaire du Chili, il a parcouru l’Amérique
Latine à la recherche de ses plus belles pépites, enrichissant à chaque périple une
collection de vinyles dans laquelle il piochera pour le plaisir de vos oreilles.
Vendredi 2 octobre
La Niña Gina, fondatrice du premier picó installé a Paris “El Elegante la maquina del ritmo”.
Originaire de Cartagena, elle a été bercée par les rythmes chaleureux de la côte caraïbe
colombienne. Ses sets appellent a la nostalgia des temps où il suffisait d’un picó (ou sound
system) au coin de la rue pour créer une fête de quartier ou verbena. Son inspiration vient de
la, de la rue, d’une fête décomplexée et sans chichis. De l’amour qu’elle porte pour la musique
populaire d’hier et d’aujourd’hui, de danser les pieds nus au rythme d’une bonne salsa,
champeta, cumbia, porro, bullerengue, boogaloo, dancehall et d’autres afro-flavored genres.
Samedi 3 octobre
Collectionneur de vinyles obscurs, Guillermo Martinez, fondateur du collectif toulousain
"Kalakuta Selectors", creuse le sillon de l'afrobeat de Fela Kuti et des musiques afro-
tropicales depuis plus de 15 ans. Rassemblant sous la bannière du groove les musiques issues
des deux rives de l'Atlantique Noire, il met ainsi en évidence les racines communes, les
évolutions parallèles et les croisements historiques entre les musiques africaines, latino-
américaines et antillaises. Dj résident des soirées "Africa Shock" à Toulouse, il a également
officié en after de Seun Kuti, The SoulJazz Orchestra, El Hijo de la Cumbia, Calle 13, Ebo
Taylor, Mulatu Astatké, Anthony Joseph, Amadou & Mariam; aux festivals Rio Loco,
Convivencia, Cinélatino Toulouse, Emmaüs Pau et bien d'autres. Un mix à ne pas manquer
pour tout amateur de microsillons poussiéreux et groovy à souhait, dénichés aux quatre coins
du globe. Pour lui, un seul mot d'ordre : Music is The Weapon !
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