theatre 3 (ohtempomim n la. dan)* - centre pompidou
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THEATRE (OHTEMPOMIM
n LA.
D A N ) * le Centre Georges Pompidou
et le Théâtre contemporain de la danse
présentent
Lundi 20H45 Chorégraphie Bernard Menaut
le 18 mars 1992 à 20h30, le 19 mars à 1 8h30
Chansons, hommage sentimental à Mac Orlan Chorégraphie Geneviève Sorin
le 21 mars 1992 à 20h30, le 22 mars à lôh
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Orphée, mettez-y du vôtre ... Chorégraphie Stéphanie Aubin
Avec le Théâtre de l'Agora d'Evry-Scène nationale les 26, 27, 28 et 30 mars 1992 à 20h3Ô, les 28 et 29 mars à lôh
Lola Montes Chorégraphie Marceline Lartigue
les 3 et 4 avril 1992 à 20h30, le 5 avril à lôh
au Centre Georges Pompidou (grande salle)
Presse
Isabelle Galloni d'Istria Théâtre contemporain de la danse 9, rue Geoffroy l'Asnier 75004 Paris Tél. 42.74.44.22
Anne-Marie Pereira Centre Georges Pompidou
75191 Paris cedex 04 Tél. 42.77.12.33 poste 40.69
Réservations 42.74.42.19
tarifs
Plein tarif 85 francs Moins de 25 ans, plus de 60 ans, collectivités 70 francs
Adhérents du Centre Georges Pompidou 65 francs
Théâtre contemporain de la danse
Lundi 20h45
Chorégraphie Bernard Menaut
Le 18 mars 1992 à 20h30, le 19 mars à 18h30. Au Centre Georges Pompidou (grande salle). Huitième saison du Théâtre contemporain de la danse.
Chorégraphie
Interprètes
Musique, lumière, décor
Bernard Menaut
Sylvie Cola
Sylvie Kuniecow
Bernard Menaut
Stéphane Boyenval
non communiqués
Coproduction : Groupe Bernard Menaut. Théâtre contemporain de la danse. Avec le soutien du conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur et le conseil général des Bouches-du-Rhône.
Le groupe Bernard Menaut est subventionné par le ministère de la Culture et de la Communication (Délégation à la danse).
En coréalisation avec le Centre Georges Pompidou.
Bernard Menaut
Né le 25 mars 1958
D.U.T. Carrières Sociales (Bordeaux 198
Formation en danse classique
Formation en danse contemporaine
José-Pedro Bisch, Aline Gendre, Daniel Franck...
Sylvie Tarraube, Robert Kovitch, Maïté Fossen, Michel Hallet, Josette Baïz, Susan Buirge, Hideyuki Yano, François Verret, Didier Deschamps, Christian Trouillas...
D'autres approches : Mark Tompkins, Didier Silhol (Contacts-Improvisation), Jean-François Lefort (Voix et Mouvement), Annick Nozati (Voix), Tanaka Min (Météorologie du corps), Michal Daups (Chant).
Pratique et étude du yoga, des massages, du Taï-chi..
Travaille avec : Robert Kovitch (Paris 1982), Compagnie Cris-Gestes Dora Feïlane (Aix 1983), Michel Hallet (juin 1983), Jean-Pascal Gilly, Anita Dagorn (Aix juillet 1983), Josette Baïz (de 1983 à 1985), Compagnie Bor Santiago Sempere Uuin, Juillet 1985, Aix)...
• Nombreuses improvisations en solo (de 1981 à 1985), puis Chorégraphe de "Icare?" opéra-ballet (Manca 1986, Nice) et de "Solo" (Manca 1986, Nice).
• Création de "Bio-dégradable à + ou - 98%" (Aix, Mai 1986 et Février 1987, Martigues Décembre 1986) durée 10 mn; puis durée 30 mn, pour les Hivernales. Assistante : Maxime Pascal.
• Co-chorégraphe de "Rendez-vous au parc" (Festival Danse à Aix 1986) et du spectacle Inter-établissements 1987, (Danse à Aix l'Hiver).
• Création de "Blanc limé" (Festival International Danse à Aix Juillet 88, Festival International de Cannes Novembre 88) durée 21 mn, extrait de "Un si long silence". Collaboration artistique : Maxime Pascal.
• Création de "Un si long silence" (Danse à Aix Décembre 88, Marseille Objectif Danse Mai 1989) Durée 57 mn. Collaboration artistique : Maxime Pascal.
• Création de "Je reviens de suite" (Théâtre national de la danse et de l ' image/ Châteauvallon, avril 1990).
Chansons,
hommage sentimental à Mac Orlan
Chorégraphie Geneviève Sorin
Le 21 mars 1992 à 20h30, le 22 mars à 16h. Au Centre Georges Pompidou (grande salle). Huitième saison du Théâtre contemporain de la danse.
Chorégraphie
Musique
Scénographie
Conception/réalisation des costumes
Réalisation des costumes
Peinture
Lumières
Régie
Interprètes danse
danse et voix
danse et accordéon
saxophone
Administration
Secrétariat Général
Geneviève Sorin
Raymond Boni
Jacques Hémery
Dominique Fabrègue
Anne Adras Agnès Bousquet Judith Chaperon Manuelle Fauvel
Denis Charpin Cécile Paud
Marie-Christine Soma
Pierre Auzas
Jean-Paul Bourel Isabelle Cavoit Didier Silhol
Pascale Degli-Esposti
Geneviève Sorin
André Jaume
Bernadette Pupulin
Edith Garcia
Coproduction : Association Meaari/Compagnie Geneviève Sorin. Centre de développement culturel d'Alès, en collaboration avec la ville d'Alès, le conseil général du Gard, le conseil régional Languedoc-Roussillon. Théâtre contemporain de Ta danse. SPEDI-DAM. Ce spectacle a été sélectionné par le conseil supérieur régional pour la danse contemporaine/Conseil régional Provence-Alpes-Côte d'Azur.
L'association Meaari est subventionnée par le ministère de la Culture et de la Communication (Délégation à la danse), le Conseil régional de Provence Alpes Côte dAzur et la ville de Marseille.
En coréalisation avec le Centre Georges Pompidou.
Chansons, hommage sentimental à Mac Orlan
C'est à Mac Orlan, le voyageur immobile, que s'adresse "Chansons, hommage sentimen
tal à Mac Orlan". Ce spectacle n'est pas une illustration de ses chansons ou de son
univers, mais plutôt une sorte de fiction chorégraphique, qui, en hommage à son esprit
de création, privilégie l'imaginaire comme lieu d'aventure. Le spectacle "Chansons" est
conçu comme une partition, selon un mode chorégraphique similaire au langage musical
propre au jazz, dans une recherche d'équivalence. Les ensembles ont la fonction de
"grille", harmonique ou non. Ils sont traités comme un soutien, comme le fondement des
diverses "aventures" personnelles que représentent les formes plus petites, telles que
duos, solos, qui eux peuvent s'apparenter aux "chorus".
Geneviève Sorin
Il est souvent plus difficile d'écrire une chanson que de composer un roman ou une
toile. Il faut beaucoup de loyauté pour écrire une chanson... et beaucoup de confiance
dans la sensibilité de l'auditeur. Une chanson est un vêtement fait sur mesure ; en géné
ral il n'est seyant que pour celui qui le fit coudre....Grâce aux exemples, transmis
presque sans coupures par les postes de radio, dans quelques années chaque habitant de
ce monde possédera sa chanson personnelle et pourra demander aux autres de participer
à ses émotions singulières sans se refuser à subir les leurs. La peinture, comme la chan
son aidera à la confession sans vergogne. Une confidence plastique ou musicale ne
déshonore personne et, mieux, n'humilie personne.
Pierre Mac Orlan in "Chansons pour accordéon"
Ed Glancier Guenaud Paris 1988
Geneviève Sorin
Après une double formation classique et contemporaine, elle travaille de 1971 à 1980 avec Félix Blasca, le Ballet Théâtre contemporain, Joseph Russillo, Susan Buirge, Dominique Bagouet...En 1981, elle s'installe à Marseille et crée l'Atelier chorégraphique Geneviève Sorin.
Chorégraphe et danseuse.
1982, "Un à deux irish stew", "Solo en compagnie" - 1983, "La femme sans ailes", "Le casse-route" - 1984, "T'as la sap" - 1985, "Le pari des mouettes" - 1986, "Rochers" - 1987, "L'intimité du poisson" - 1988, "Rendez-vous de chasse et musique de chambre" - 1989, "Allô! Monsieur Baril ?"
Musicienne (claviers, accordéon).
De 1985 à 1989, elle joue en duo, trio ou quartet avec Raymond Boni, Jo Mac Phee, André Jaume, G. A. Lagesse, N.Bordetti dans de nombreux festivals en France, en Allemagne, aux Etats-Unis. En 1989/1990, elle interprète en direct la musique de Raymond Boni pour le spectacle de Dominique Bagouet "Meublé sommairement".
Raymond Boni Composition musicale
C'est en 1969, à l'âge de 21 ans, que Raymond Boni, musicien compositeur guitariste, débute sur la scène de Jazz. Personnalité marquante de la musique improvisée, il se produira du solo au Big Band dans toute l'Europe, aux Etats-Unis, au Canada, à Madagascar, et au Japon. Ses partenaires (parmi lesquels André Jaume) sont de nationalité et de tendances très diverses. Auteur de musiques de films, théâtre et ballets, Raymond Boni participe à de nombreuses créations artistiques. Témoins de ce parcours, 25 disques ont été enregistrés. De 1989 à 1990, il crée le groupe S'BO ; il écrit et joue la musique du spectacle de D.Bagouet"Meublé sommairement" en duo avec Geneviève Sorin.
Jean-Paul Bourel Danse
Formation contemporaine à Aix avec Odile Duboc. Il travaille avec elle et rencontre également B.Misraki du groupe Dunes. Parallèlement, il mène une démarche plastique avec le peintre Marie Ducaté. En 1990, avec Guy André Lagesse, il crée l'association et le spectacle "Les pas perdus" au Théâtre des Bernardines à Marseille.
Isabelle Cavoit Danse
Formation classique et contemporaine. De 82 à 86, elle travaille notamment avec J.Honor au centre américain de Paris. De 87 à 90, avec D. Bagouet et F. Verret. Elle participe aux spectacles "L'étroit désir" (P.Carrelet), et "le Roi des Bons" (chorégraphie B. Glandier). Elle chorégraphie "Les voisins" (trio danse-musique) spectacle qui lui vaut d'être lauréate de la Biennale des Jeunes Créateurs d'Europe (Marseille - sept.90).
Pascale Degli-Esposti Danse/Voix
Formation classique et contemporaine. Elle étudie le chant avec Tamia, pratique le théâtre chanté avec C.Dente et le tour de chant (Théâtre de Paris). Elle est chanteuse soliste dans "Babel Babel" de Maguy Marin et danse avec les compagnies M.Harmel, J.Rivoire, Red-Star-Mourad Beleksir. Elle collabore avec le studio "La muse en circuit"(Luc Ferrari et David Jisse). En 8 9 / 9 0 , elle est comédienne chanteuse soliste et danseuse dans la comédie musicale "Cats" au Théâtre de Paris.
André Jaume Saxophone
Clarinettiste, saxophoniste, flûtiste et compositeur. Il a été membre du grande orchestre Europamerica que conduisait Jef Gilson et ses rencontres musicales l'ont amené à collaborer avec de nombreux musiciens de premier plan : Barre Philips, Daniel Humair, Pierre Favre, Léon Francioli, Jimmy Juiffre. Avec Daniel Humair, Joe Me Phee ou Raymond Boni, il a choisi de privilégier le travail en duo. A partir de 1980, il s'oriente vers une pratique originale de la composition avec le création de deux octettes dont un faisant largement appel aux instruments à cordes. Inspiré à l'origine par la musique de Charlie Parker, formé à l'école de jazz classique et du Be-bop, il demeure une des voix les plus singulières de la musique européenne.
Didier Silhol Danse
Formation classique et contemporaine. Il danse avec Joseph Russillo et à Free Dance Song avec Christiane de Rougemont, Hideyuki Yano, Eisa Wolliaston, Harry Sheppard, Annick Nozati. Il se forme à la technique Cunningham et à la Danse Contact Improvisation. Depuis 1976, il travaille à de nombreux spectacles et performances avec notamment Pierre Droulers, S.Scotto, Lulla Card, Stéphanie Aubin.
Lola Montes
Chorégraphie Marceline Lartigue
Les 3 et 4 avril 1992 à 20h30/ le 5 avril à 16h. Au Centre Georges Pompidou (grande salle). Huitième saison du Théâtre contemporain de la danse.
Chorégraphie
Musique
Arrangements
Costumes
Décor
Lumière
Interprètes danseurs
musiciens
Marceline Lartigue
Hughes de Courson
Thomas Gubitch
Sylvie Skinazi
Jean-Pierre Capeyron
François Gaunand
Alfred Alerte
Llorenç Balash i Angel
Michel Barthome
Emmanuelle Huynh-Montassier
Marceline Lartigue
Marjolaine Zurfluh
Emmanuelle Vo-Dinh
Oswaldo Calo
Glenn Ferris
Sylvain Frydman
Jean-Christophe Aatz
Chanteuse-comédienne dans le rôle
de Monsieur Loyal Valérie Joly
Coproduction : Szerelem / Compagnie Marceline Lartigue. Biennale nationale de danse
du Val-de-Marne. Ville de Villejuif. Arsenal/Metz. Eurodanse/ Mulhouse. Avec le
concours de l'ADAMI (société civile pour l'administration des droits des interprètes), de
la Fondation Beaumarchais et avec l'aide à la création musique du Conseil général du
Val de Marne.
Szerelem/Compagnie Marceline Lartigue est subventionnée par le ministère de la
Culture et de la Communication (Délégation à la dansej.
En coréalisation avec le Centre Georges Pompidou.
Lola Montes
Le cas de Lola Montes est l'aboutissement extrême du paradoxe de la représentation de
la monstruosité, où l'on en vient à exhiber une femme séduisante comme objet, rendue
monstrueuse justement par tous les désirs qu'elle a pu susciter auprès des hommes.
A partir de ce paradoxe, on peut se poser la question suivante : qu'est-ce qui est consi
déré comme monstrueux et à quel moment glisse-t-on du normal à l'anormal ?
De tous temps, la société a rejeté les sujets qui la dérangeaient en les exposant, en im
posant leur mise en représentation, afin de stigmatiser ses parias.
Comme les arènes, le cirque est l'espace rituel privilégié de cette désignation par l'en
cerclement, il est l'espace réservé à ce qui ne peut être mêlé à l'espace quotidien du
spectateur, au normal. Il est le lieu d'un rituel de rejet morbide, de théâtralité de la
mort.
Le cirque a évolué de la morbidité simple de ses monstres vers la représentation du
risque de la mort.
C'est ce rituel de mise à l'écart de la vie qui relie les artistes du cirque d'aujourd'hui
aux monstres d'hier.
Lola Montes présentée comme un phénomène morbide est l'objet de ce rituel. Elle a pro
voqué le malheur de tous les hommes qui l'ont approchée. Pour parfaire cette image de
mort, chaque soir, le récit de sa vie s'achève par son saut, comme fantôme d'elle-même.
Les monstruosités physiques et le défi de la mort qui sont des phénomènes de cirque se
retrouvent en elle. Sa vie quotidienne amoureuse s'est muée en légende monstrueuse par
son exhibition.
Mais qu'est-ce qui est monstrueux ? Tout ne serait-il pas monstrueux du moment qu'on
l'expose et qu'on le donne en représentation ?
Marceline Lartigue
La Comtesse de Landsfeld
Lola Montes nourrissant sa propre légende a écrit plusieurs biographies, toutes diffé
rentes et contradictoires.
Cependant il demeure certain que, née à Londres, elle voyagea ensuite toute sa vie
d'Inde en Europe jusqu'en Amérique et en Australie ! Poursuivant le rêve de produire ses
danses espagnoles : "danses d'inspirations, danses improvisées, danses naturelles et
antijésuitiques". Ses chorégraphies allant de fiasco en fiasco, elie fut plus connue pour
sa beauté et sa réputation d'aventurière. La foule de ses admirateurs fut innombrable et
diverse, allant du Tsar Nicolas 1er...à Richard Wagner.
De ses maris et amants, beaucoup moururent prématurément ou furent touchés par le
scandale qui entourait sa vie, tel Louis 1er de Bavière qui, après l'avoir anoblie en lui
donnant le titre de Comtesse de Landsfeld, dut l'exiler suite aux émeutes qui soule
vaient Munich. Ainsi Barnum, profitant de cette réputation qui précédait Lola Montes,
lui proposa d'interpréter son propre rôle dans un spectacle regroupant toutes les curiosi
tés du moment : "La vie et les aventures de Lola Montes avec Lola Montes", tel en
était le titre.
Relaté par Max Ophuls : Lola à la fin de la représentation exécute le saut de la mort
s'élançant du haut du chapiteau.
Monsieur Loyal harangue la foule :
"Approchez, venez tous voir et même toucher du doigt, si vous le désirez, celle pour
l'amour de qui, un roi perdit son royaume. "
Marceline Lartigue Chorégraphe
Née à Bordeaux en 1961, Marceline Lartigue commence ses études de danse avec Suzon Hoizer. Puis elle suit les enseignements de Susan Buirge, de Hideyuki Yano et des danseurs de Carolyn Carlson à l'Opéra de Paris.
Au centre Américain, elle découvre la techniaue Cunningham au cours des stages réguliers qu'y donnent danseurs et professeurs de la compagnie. Elle obtiendra en 1983 une bourse d'étude du ministère de la Culture pour étudier à New York avec Merce Cunningham.
Elle participe également aux stages de Lucinda Childs à Arles, et au spectacle qui suit. Entre temps, elle danse pour Suzanna Hayman-Schaffey, Karole Armitage, Micheline Lelièvre et, en 1982, elle crée "Dum Dum Duo" au Festival de Châteauvallon.
A son retour des Etats-Unis, elle entre dans la compagnie Karine Saporta, où elle restera de 1984 à 1987. Cette collaboration, véritable échange dans la construction chorégraphique à partir de l'improvisation, aboutit notamment à un duo, "Une Passion", créé pour elle et Hideyuki Yano.
En 1987, elle participe à la création de "Guingamore", de Nadine Hernu.
En 1988, elle danse à New York "Gogo Ballerina", de Karole Armitage ; puis elle fonde avec Hughes de Courson sa propre compagnie, Szerelem et crée "Erzsebet" au festival Eurodanse de Mulhouse, en 1989. Elle crée en 1990, toujours à Eurodanse, "Ryoan-Ji", sur une musique de John Cage.
Elle se réclame de deux maîtres : Merce Cunningham et Hideyuki Yano, grâce auxquels elle a pu dégager sa conception chorégraphique et son style.
Hughes de Courson Compositeur
Commence la musique dans les années 70, au sein de quelques groupes de rock où il est batteur, guitariste, bassiste.
Ecrit avec Patrick Modiano de nombreuses chansons notamment pour Françoise Hardy et Régine.
En 1972, fonde, avec Gabriel Yacoub, le groupe Malicorne dont il est un des musiciens et le producteur.
Fait de nombreuses recherches sur les musiques médiévales et traditionnelles.
En dix ans, il fait éditer neuf albums et quatre disques d'or, reçoit un grand prix de l'Académie Charles Cros et effectue de nombreuses tournées en Europe et Amérique du Nord.
Est producteur d'une quarantaine d'albums, en dehors de Malicorne, dont Kolinda (Hongrie), Pierre Akendengue (Afrique), Françoise Hardy, La Bamboche, Nomad (Quatuor vocal du Théâtre du Lierre).
Sort un album solo en 1982 : "Fonds de Tiroir", regroupant les chansons écrites avec Patrick Modiano.
Compose de nombreuses musiques de films, courts et longs métrages.
Compose pour la danse :
"Caramba","Codex" pour Philippe Découflé
"Une passion" pour Karine Saporta
"Guingamore","Après-Midi-Thé" pour Nadine Hernu
"Erzsebet" avec Marceline Lartigue
Fonde en 1990, avec les musiciens Yvan Lantos (ex Kolinda) et Valérie Joly (Nomad), le groupe Spondo, qui enregistre un disque du même nom, à paraître.
Titulaire du prix Léonard de Vinci 1991.
ORPHEE, METTEZ-Y DU VOTRE ...
Chorégraphie de Stéphanie Aubin Cie LARSEN
® photo Jean Gros-Abadie
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Le Théâtre de l'Agora / Scène Nationale d'Evry
Le Théâtre contemporain de la danse en coréalisation avec
le Centre Georges Pompidou
352CE la Compagnie Larsen
présentent
ORPHEE, METTEZ-Y DU VOTRE... création
Chorégraphie Stéphanie Aubin
20 et 21 mars à 20h30 Théâtre de l'Agora / Scène Nationale d'Evry
26,27,28 et 30 mars à 20h30 les 28 et 29 mars à 16h
Centre Georges Pompidou Grande Salle
Service de presse : CB/C Nathalie Sergent : 48.06.15.40
Contacts
Théâtre de l'Agora d'Evry François Claude
64.97.30.31
Théâtre Contemporain de la Danse Isabelle Galloni d'Istria
42.74.44.22
Centre Georges Pompidou Anne-Marie Pereira
42.77.12.33 poste 40.69
ORPHEE, METTEZ-Y DU VOTRE... création
Chorégraphie Stéphanie Aubin Création musicale Nicolas Frize
Danseurs Stéphanie Aubin, Dominique Brunet, Anne Collod,
Mouss Iklil, Stéphanie Rapin et Stefan Singer
Assistante à la chorégraphie Corinne Perrin Assistante à la musique Agnès Huynh
Lumières Michel Marie Machine à lumières et images Jean-Yves Bouchicot
Scénographie Goury Régie générale Eric Proust
Costumes Goury et Sandrine Pelletier Chargé de production Alain Tabakian
"Orphée, mettez-y du vôtre ..." est créé à l'issue d'une résidence chorégraphique au Théâtre de l'Agora/Scène Nationale d'Evry.
Coproduction Cie Larsen, Théâtre de l'Agora/ Scène Nationale d'Evry, Théâtre Contemporain de la Danse, les Plateaux/Scène Nationale d'Angoulême. en coréalisation avec le Centre Georges Pompidou, avec l'aide de l'ADAMI et le soutien de la 3ème biennale de Danse en Yvelines.
La Cie Larsen est subventionnée par le Ministère de la Culture et de la Communication, direction de la Musique et de la Danse, délégation à la Danse et par le Conseil Général de l'Essonne.
Ce spectacle et son univers ont pour projet de mettre en doute le monde des apparences, de pousser la danse au-delà de son propre reflet, de dépolir le miroir jusqu'à songer à le traverser ... Il s'agit pour nous tous d'aller vers cette zone de trouble où le réel s'imagine plus qu'il ne se vérifie et, - n'en déplaise à Platon -, où nos perceptions, nos sensations, nos émotions, nos intuitions sont appréciées comme source d'éclairement ...
Nous y sommes - c'est à dire dans la Caverne, entourés d'ombres - et donc de lumières (CQFD). nous sommes pris dans les faisceaux d'un imaginaire où une humanité, parfois joyeuse, parfois possédée, parfois renonçante se débat entre ce qu'elle pressent du monde et ce que l'on veut bien lui en montrer ; cette humanité fait le lien entre sa chair et son âme et sa raison lui souffle de préférer voir des lanternes à la place des vessies. Cette humanité, ce sont les danseurs ; les ombres, ce sont les leurs ou bien celles d'autres corps croisés sur les décombres d'un site archéologique ; ces ombres, ce pourrait être aussi le dédoublement de la danse au moment où elle tente de rejoindre le mystère, l'indicible. Pour cela tout est possible, y compris de reposer ses pas dans les traces de ceux qui ont tenté de le faire avant nous : nous songeons à Cocteau pour commencer, à Thésée le Possédé, à Ariane la Force de vie, ou à Gradiva, à Orphée le Renonçant, à Dédale ... Nous y pensons par bribe, par bouffée, comme un voile qui se déchire par instant, et nous pensons également que le héros, s'il doit y en avoir un, ce n'est pas Orphée.
Orphée représente exactement l'écart qui sépare le corps de l'esprit, cet espace que le danseur comble tout en douceur. Il est une figure emblématique, une tête coupée de son reste, qui vit le monde en contradiction : homme/femme, chair/âme, vie/salut éternel. Il symbolise l'état de passage, ce qui aurait tout pour nous séduire ... A moins qu'il n'incarne également la mise en échec de l'homme face à ces frontières, celles justement que nous cherchons à traverser.
Cette aventure donc est dédié à ceux qui doutent des images et se méfient des apparences. Des miroirs, des projecteurs cinéma, des cartons comme au temps du muet, du noir et blanc, la lumière matérialise la frontière que nous rêvons tous de franchir, et chacun met en oeuvre sa propre tactique pour passer de l'autre côté du miroir.
Et c'est sans aide des Dieux que nous nous y attelons ; nous espérons tout au plus qu'Orphée y mettra du sien, lui qui le premier a osé regarder l'invisible.
Stéphanie Aubin
Repères biographiques,
Stéphanie AUBIN
Stéphanie Aubin est née en 1958, elle suit d'abord une solide formation chez Janine Solane puis, très jeune, fait le voyage à New York sans quitter la France : c'est aux fêtes musicales de la Sainte Baume qu'elle rencontre John Cage et toute la post modem dance qui gravite autour de lui. Entre 1978 et 1980, elle profite des enseignements décisifs de Steve Paxton, Trisha Brown, David Gordon, et la voici parmi la dizaine de danseurs français à étudier le "Trio A" d'Yvonne Rainer. A Paris où elle vit, elle travaille ensuite avec Odile Duboc et Lila Greene (pour lesquelles elle dansera et vice versa). En 1984, elle crée la Compagnie Larsen et signe dans la foulée. "Fanchon F." (84-85), solo évolutif sur bande son de Frédérique Leroux (Théâtre Dejazet, Jeunes Loups de la Danse, Théâtre de l'Escalier d'Or, Montréal Danséchange) "Dédoublé" (86), duo avec machine à sons et univers sonore de Frédérique Leroux et Eric Chevalier (Théâtre 14). "Dévoilé" (87), musique Xavier Garcia (Théâtre de la Bastille) "Les Feuilletons" (88), reprise des deux précédentes créations (Centre G. Pompidou). "Passage de l'Heure Bleue" (89) pour le Groupe de Recherche Chorégraphiques de l'opéra de Paris en collaboration avec Aki Kuroda (scénographie) et Denis Levaillant (musique) / Centre Georges Pompidou "Post Scriptum(s)" (89), pièce pour trois danseurs, six figurants et un univers sonore radiophonique de Frédérique Leroux (Le Moulin du Roc, Niort) "Nos images et les Leu(re)s" (90), premier volet de la création 1992. Duo avec Christian Bourigault sur une musique de Nicolas Frize (Palais de Tokyo). "L'Art de se taire" (91), spectacle avec Denise Luccioni, musique Michel Musseau (Théâtre de l'Agora d'Evry, Théâtre National de Chaillot).
Repères biographiques,
Les danseurs
Dominique BRUNET, De 1983 à 1989, interprète pour Andy Degroat et Richard O'Rourke, Daniel Larrieu, Angelin Preljocaj et Brigitte Farges. Un long arrêt pour reprendre son souffle, coréaliser un film vidéo, entreprendre des recherches sur la danse et l'image, tendre vers d'autres voies et puis laisser le temps s'écouler. De retour à la danse en 1991 avec Brigitte Farges et Stéphanie Aubin.
A n n e C O L L O D , née en 1962 à Lyon. En 84, après des études de sociologie et d'environnement, elle se forme chez Michel Hallet Eghayan à Lyon. De 85 à 88, elle danse dans la Cie Pierre Deloche Danse (toujours à Lyon) et fait un séjour à New York. Elle "monte " à Paris en 89. Après la Cie Bike à Avignon, elle danse avec Philippe Découflé à Paris (Le Défilé de Jean Paul Goude) et assiste Josette Baïz pour "Impressions d'Europe". Parallèlement elle découvre la technique Alexander, l'analyse du mouvement, le taî-chi, l'aïkido ... Quelques stages, un emménagement sur la péniche "Nina" et rencontre Stéphanie Aubin... à Lyon et participe en 91 à son spectacle "L'art de se taire".
Mouss IKLIL, Il passe toute son enfance et son adolescence à Casablanca. Il obtient une bourse et vient en France étudier la danse contemporaine. Il a travaillé avec les compagnies Jean Pomarès, Josiane Rivoire, Nadine hernu, Hervé Jourdet et Sidonie Rochon. En 91, il travaille avec Stéphanie Aubin à son spectacle "L'art de se taire".
Stéphanie RAPIN, née en 68 à Rioz. Elle commence la danse avec Catherine Lenouvel, poursuit avec Rosella Hightower à Cannes pendant 3 ans. Elle revient à Paris pour étudier le chant et le théâtre à la Schola Cantorum puis travaille pour l'association "Sur scène, diffusion et communication" et en 91 avec Stéphanie Aubin à son spectacle "L'art de se taire".
Stefan SINGER, Ses parents sont allemands et il a passé sa jeunesse au bord de la mer du Nord, où il a commencé la danse sans jamais y avoir songé auparavant. C'est devenu plus sérieux pendant sa formation à l'Académie de Danse de Rotterdam, et après un bref passage au Lido à Paris, il rejoint la danse contemporaine. L'apprentissage se poursuit alors avec entre autres les compagnies d'Angelin Prejlocaj, de Régine Chopinot et Ecce Voce.
ORPHEE, METTEZ-Y DU VOTRE ...
Représentations - renseignements pratiques
20 et 21 mars 92 à 20 h 30 Théâtre de l'Agora / Scène Nationale d'Evry
Tél. location : 64.97.22.99 Prix des places : 50,61 et 82 Frs
26,27,28 et 30 mars à 20h30 28 et 29 mars 92 à 16h
Centre Georges Pompidou (Grande salle) avec le Théâtre contemporain de la danse
Location : 42.74.42.19 Prix des places : 65, 70 et 85 Frs
Le spectacle sera présenté le 16 avril 92 à 21h au Théâtre de Sartrou ville dans le cadre de la 3ème Biennale de Danse en Yvelines
et au Théâtre Les Plateaux / Scène Nationale d'Angoulême dans la saison 92-93.
« Des gens ont parié, ils avaient
peur, ils ont dit : c'est le bruit des
convois, c'est celui de la guerre.
Ils voyaient dans les plaintes du vent
des signes de l'Est, ces signes de
mort, vous savez comme ils sont,
dans quel trouble de nos esprits,
dans quel oubli, toujours de toute
raison, comment nous sommes
toujours prêts à rejoindre la caverne
noire de notre peur des loups.
Mais, non, ce n'était rien, rien que
bruits de la mer et du vent. »
Marguerite Duras, « l'été 80 »
••chorégraphie coproduction programme
Bernard Menaut
interprètes
Sylvie Cola
Sylvie Kuniecow
Bernard Menaut
Stéphane Boyenval
Groupe Bernard Menaut
Théâtre contemporain de la danse
doréalisation
Centre Georges Pompidou
mercredi 18 mars 1992 à20h30
jeudi 19 mars à18h30
réservation
42 74 42 19
musique
Gérard Fabbiani
lumière
Jean-Hughes Molcard
45'
avec le soutien
du Conseil Général des Bouches-du-Rhône
avec le concours
de la Région Provence-Alpes-Côte d'Azur
création sélectionnée par le Conseil Supérieur Régional de la Danse Contemporaine
Le Groupe Bernard Menaut est subventionné par le Ministère de la Culture et de la Communication (Délégation à la danse)
65F : Adhérents du Centre Georges Pompidou
Abonnés du Théâtre contemporain de la danse
70F : - 25 ans, +60 ans et collectivités
85F : plein tarif
Abonnement 3 spectacles Théâtre contemporain de la danse : 200F
O R P H E E ,
M E T T E Z - Y
création
D U V O T R E . . .
En 1990, la Cie Larsen est allée àla rencontre des images* et cela n'a faitque renforcer en moi la tentation demettre en doute le monde desapparences, de pousser la danse au-delàde son propre reflet, de dépolir le miroirjusqu'à songer à le traverser...Il s'agit pour nous tous d'aller vers cettezone de trouble où le réel s'imagineplus qu'il ne se vérifie et, n'en déplaiseà Platon, où nos perceptions, nossensations sont appréciées comme sourced'éclairement... Nous y sommes, c'est-à-dire dans la caverne, entourés d'ombreset donc de lumières (cqfd). Nous sommespris dans les faisceaux d'un imaginaireoù une humanité parfois joyeuse, parfoispossédée, parfois renonçante se débatentre ce qu'elle pressent du monde et ceque l'on veut bien lui en montrer. Cettehumanité, ce sont les danseurs ;les ombres, ce sont les leurs ou bien cellesd'autres corps croisés sur les décombresd'un site archéologique ; ces ombres,ce pourrait être aussi le dédoublementde la danse au moment où elle tentede rejoindre le mystère, l'indicible.La lumière matérialise cette frontièreque nous rêvons tous de franchir etchacun met en œuvre sa propre tactiquepour passer de l'autre côté du miroir.J'attends d'Orphée qu'il y mette du sien,lui qui le premier a osé regarderl'invisible et je dédie ce spectacle à ceuxqui doutent des images et se méfient desapparences.
Stéphanie Aubin•spectacle Nos images et les leur(re)s,
créé au Palais de Tokyo.
chorégraphie
Stéphanie Aubin
assistante à
la chorégraphie
Corinne Perrin
danseurs
Stéphanie Aubin,Dominique Brunet,Anne Collod,Mouss Iklil,Stéphanie Rapin,Stefan Singer
création
musicale
Nicolas Frize
décors
Goury,Brigitte Lauber,Philippe Richard
lumières
Michel Marie
costumes
Goury,Sandrine Pelletier
images
Jean-Yves Bouchicot
montage
Florence Poil
régie générale
Eric Proust,Pascal Bravo
presse et
communication
CB/CNathalie Sergent
administrateur
de production
Alain Tabakian
assistants
à la musique
Agnès Huynh,Olivier Doursat
chanteurs
Alain Aubin,Nathalie Barbey,Elise Caron,Lucie Jolivet,Marie-Claude Vallin
musiciens
Denis Barbier,Philippe Legris,Dominique Lemonier,Jean Rochat,Vincent Segal,Virginie Vuong,Agnès Boury,Nathalie Duong,Paula Klein,Félix Malonda,Brigitte Mazères,Dizzy Pearce
production
déléguée
Les Musiquesde la Boulangère
prises de son
Daniel Deshays
résidence
Ce spectacle a été créé àl'issue d'une résidencechorégraphique auThéâtre de l'Agora, ScèneNationale d'Evry avec leconcours du Ministère dela Culture, Direction de laMusique et de la Danse(Délégation à la Danse)
coproduction
Cie Larsen/Théâtre de l'Agora,Scène Nationaled'Evry/Théâtre contemporainde la danse/Les Plateaux, ScèneN a t i o n a l e
d'Angoulême.
en coréalisation
avec le CentreGeorges Pompidou
avec l'aide de
et le soutien de
la 3 e Biennalede Danse en Yvelines/
ADIAM 78 Adiam 78
La Cie Larsenest subventionnée parle Ministère de la Cultureet de la Communication,Direction de la Musiqueet de la Danse,Délégation à la Danseet le Conseil Général del'Essonne
André Holleaux Président du Théâtre de l'Agora Scène Nationale d'Evry
André Larquié Président du Théâtre contemporain de la danse
Dominique Bozo Président du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou
et la Compagnie Larsen
sont heureux de vous inviter à la création de
« Orphée, mettez-y du vôtre... » chorégraphie : Stéphanie Aubin
les 20 et 21 mars à 20h30 au Théâtre de l'Agora d'Evry
ou les 26, 27, 28 et 30 mars à 20h30 les 28 et 29 mars à 16h au Centre Georges Pompidou
Invitation valable pour deux personnes le jour de votre choix. Prière de confirmer votre venue avant le 12 mars en téléphonant :
au Théâtre de l'Agora d'Evry 64 97 22 99
au Centre Georges Pompidou 42 77 12 33, poste 40 69
Coproduction Cie Larsen, Théâtre de l'Agora-Scène Nationale d'Evry, Théâtre contemporain de la danse, les Plateaux-Scène Nationale d'Angoulême, en coréalisation avec le Centre Georges Pompidou
Service de presse : CB/C Nathalie Sergent 48 06 15 40
Q Spectacles
THEATREJ
Dominique Bozo Président du Centre national d'art et de culture Georges Pompidou
André Larquié Président '* "v ^résident
MN)^| du Théâtre contemporain de la danse
Compagnie Geneviève Sorin
vous prient de leur faire le plaisir d'assister à l'une des représentations de
Chansons Hommage sentimental à Mac Orlan
chorégraphie : Geneviève Sorin
samedi 21 mars 1992 à 20h30 dimanche 22 mars à 16h
Grande salle /1er sous-sol
Invitation valable pour deux personnes, à présenter au contrôle le jour de votre choix. Les places ne sont pas numérotées, prière de confirmer au 42 77 12 33 poste 40 69 avant le 20 mars 1992
0)
Q Spectacles
TH jrgH André Larquié « u. Président
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Dominique Bozo g Président du Centre national o d'art et de culture m Georges Pompidou 11
'* -7 ^resiaent t> A N J l du Théâtre contemporain
de la danse
Groupe Bernard Menaut
vous prient de leur faire le plaisir d'assister à l'une des représentations de
Lundi 20h45
chorégraphie : Bernard Menaut
mercredi 18 mars 1992 à 20h30 jeudi 19 mars à 18h30
Grande salle / 1er sous-sol
Invitation valable pour deux personnes, à présenter au contrôle le jour de votre choix. Les places ne sont pas numérotées, prière de confirmer au 42 77 12 33 poste 40 69 avant le 17 mars 1992
Q Spectacles
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Dominique Bozo g Président du Centre national cj d'art et de culture Georges Pompidou
jjMP André Larquié » "•/ Président &AN)*| du Théâtre contemporain
de la danse
Szerelem / Compagnie Marceline Lartigue
vous prient de leur faire le plaisir d'assister à l'une des représentations de
Lola Montes
chorégraphie : Marceline Lartigue
du 3 au 5 avril 1992
Grande salle /1er sous-sol
Invitation valable pour deux personnes, à présenter au contrôle le jour de votre choix. Les places ne sont pas numérotées, prière de confirmer au 42 77 12 33 poste 40 69 avant le 2 avril 1992
voir calendrier au verso
Lola Montes
vendredi 3 avril 1992 à 20h30
samedi 4 avril à 20h30
dimanche 5 avril à 16h
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