aptitude à discerner les beautés et les défauts dune œuvre dart, dune production de lesprit...
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Objet d’Étude 1
Goûts et couleurs, discutons-en
GoûtsAptitude à discerner les beautés et les défauts d’une
œuvre d’art, d’une production de l’esprit
Þ avis, jugement, opinion : « tous les goûts sont dans la nature »
Þ élégance, ton : « avoir bon goût »Þ penchant accentué ou non pour une action : « prendre
goût à »
Subjectivité
CouleursPropriété que l’on attribue à la lumière, aux objets de
produire une telle impression
Subjectivité
Diversité
Goûts
Couleurs
Diversité discutons-en
Confronter les avis, les jugements, les opinions
Þ énoncer son point de vueÞ écouter celui des autresÞ débattre en justifiant ses propos pour
être le plus convaincant possible
INTERROGATION 1
COMMENT FAIRE PARTAGER SES
GOÛTS DANS UNE DÉMARCHE DE
DIALOGUE ET DE RESPECT ?
Séance 1 : Les canons de la Beauté de la Renaissance à nos
jours
ensemble de règles fixes servant à
déterminer un idéal de Beauté
Renaissance = Fin XVè – fin XVIèClassicisme = seconde moitié du
XVIIèModernité = fin XIXè – XXè / XXIè
Coiffure « la « Belle Poule »Gravure anonyme fin XVIIè (BN, Paris)
Molière, L’École des maris (I, 1)
SGANARELLEMon frère, s’il vous plaît, ne discourons point tant,Et que chacun de nous vive comme il l’entend.Bien que sur moi des ans vous ayez l’avantageEt soyez assez vieux pour devoir être sage,Je vous dirai pourtant que mes intentionsSont de ne prendre point de vos corrections,Que j’ai pour tout conseil ma fantaisie à suivre,Et me trouve fort bien de ma façon de vivre. ARISTEMais chacun la condamne!. SGANARELLE Oui, des fous comme vous,Mon frère.
ARISTEGrand merci : le compliment est doux.
refus
adhésion
ironie
SGANARELLEJe voudrais bien savoir, puisqu’il faut tout entendre,Ce que ces beaux censeurs en moi peuvent reprendre
ARISTECette farouche humeur, dont la sévéritéFuit toutes les douceurs de la société,À tous vos procédés inspire un air bizarre,Et jusqu’à l’habit vous rend chez vous barbare
SGANARELLEIl est vrai qu’à la mode il faut m’assujettir,Et ce n’est pas pour moi que je dois me vêtir !Ne voudriez-vous point, par vos belles sornettes,Monsieur mon frère aîné (car, Dieu merci, vous l’êtes D’une vingtaine d’ans, à ne vous rien celer,Et cela ne vaut point la peine d’en parler),Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières,De vos jeunes muguets m’inspirer les manières ?M’obliger à porter de ces petits chapeauxQui laissent éventer leurs débiles cerveaux,Et de ces blonds cheveux, de qui la vaste enflureDes visages humains offusque la figure ?
De ces petits pourpoints sous les bras se perdant,Et de ces grands collets jusqu’au nombril pendant ?De ces manches qu’ à table on voit tâter les sauces,Et de ces cotillons appelés hauts-de-chausses ?De ces souliers mignons, de rubans revêtus,Qui vous font ressembler à des pigeons pattus ?Et de ces grands canons où, comme en des entraves,On met tous les matins ses deux jambes esclaves,Et par qui nous voyons ces messieurs les galantsMarcher écarquillés ainsi que des volants ?Je vous plairais, sans doute, équipé de la sorte ;Et je vous vois porter les sottises qu’on porte
ARISTEToujours au plus grand nombre on doit s’accommoder,Et jamais il ne faut se faire regarder.L’un et l’autre excès choque, et tout homme bien sageDoit faire des habits ainsi que du langage,N’y rien trop affecter, et sans empressementSuivre ce que l’usage y fait de changement.Mon sentiment n’est pas qu’on prenne la méthodeDe ceux qu’on voit toujours renchérir sur la mode,Et qui, dans ces excès, dont ils sont amoureux, Seraient fâchés qu’un autre eût été plus loin qu’eux.
Mais je tiens qu’il est mal, sur quoi que l’on se fonde,De fuir obstinément ce que suit tout le monde,Et qu’il vaut mieux souffrir d’être au nombre des fous,Que du sage parti se voir seul contre tous.
SGANARELLECela sent son vieillard, qui, pour en faire accroire,Cache ses cheveux blancs d’une perruque noire.
ARISTE C’est un étrange fait du soin que vous prenezA me venir toujours jeter mon âge au nez,Et qu’il faille qu’en moi sans cesse je vous voieBlâmer l’ajustement aussi bien que la joie,Comme si, condamnée à ne plus rien chérir, La vieillesse devait ne songer qu’à mourir,Et d’assez de laideur n’est pas accompagnée,Sans se tenir encore malpropre et rechignée.
SGANARELLEQuoi qu’il en soit, je suis attaché fortementA ne démordre point de mon habillement.Je veux une coiffure, en dépit de la mode,Sous qui toute ma tête ait un abri bien commodeUn beau pourpoint bien long et fermé comme il faut,Qui, pour bien digérer, tienne l’estomac chaud ;Un haut-de-chausses fait justement pour ma cuisse ;Des souliers où mes pieds ne soient point au supplice,Ainsi qu’en ont usé sagement nos aïeux :Et qui me trouve mal, n’à qu’à fermer les yeux.
École française,Molière dans le rôle de Mascarille,XVIIe sHuile sur pierre, Bibliothèque nationale de France
SGANARELLEJe voudrais bien savoir, puisqu’il faut tout entendre,Ce que ces beaux censeurs en moi peuvent reprendre
ARISTECette farouche humeur, dont la sévéritéFuit toutes les douceurs de la société,À tous vos procédés inspire un air bizarre,Et jusqu’à l’habit vous rend chez vous barbare
SGANARELLEIl est vrai qu’à la mode il faut m’assujettir,Et ce n’est pas pour moi que je dois me vêtir !Ne voudriez-vous point, par vos belles sornettes,Monsieur mon frère aîné (car, Dieu merci, vous l’êtes D’une vingtaine d’ans, à ne vous rien celer,Et cela ne vaut point la peine d’en parler),Ne voudriez-vous point, dis-je, sur ces matières,De vos jeunes muguets m’inspirer les manières ?M’obliger à porter de ces petits chapeauxQui laissent éventer leurs débiles cerveaux,Et de ces blonds cheveux, de qui la vaste enflureDes visages humains offusque la figure ?
De ces petits pourpoints sous les bras se perdant,Et de ces grands collets jusqu’au nombril pendant ?De ces manches qu’ à table on voit tâter les sauces,Et de ces cotillons appelés hauts-de-chausses ?De ces souliers mignons, de rubans revêtus,Qui vous font ressembler à des pigeons pattus ?Et de ces grands canons où, comme en des entraves,On met tous les matins ses deux jambes esclaves,Et par qui nous voyons ces messieurs les galantsMarcher écarquillés ainsi que des volants ?Je vous plairais, sans doute, équipé de la sorte ;Et je vous vois porter les sottises qu’on porte
ARISTEToujours au plus grand nombre on doit s’accommoder,Et jamais il ne faut se faire regarder.L’un et l’autre excès choque, et tout homme bien sageDoit faire des habits ainsi que du langage,N’y rien trop affecter, et sans empressementSuivre ce que l’usage y fait de changement.Mon sentiment n’est pas qu’on prenne la méthodeDe ceux qu’on voit toujours renchérir sur la mode,Et qui, dans ces excès, dont ils sont amoureux, Seraient fâchés qu’un autre eût été plus loin qu’eux.
Ronsard, Second Livre des Amours (1578)
I/ Ce qui fait le Beau
Colomb, Journal de bord (1592)
Frères Grimm, Blanche Neige (1812)
Impression de sérénité ou d’inquiétude
Blanc : couleur de pureté, de beauté innocente, de
chasteté
Rouge : sang, force, colère,
guerre, danger / passion, amours,
sensualité, virilité, courage
Noir : deuil, nuit, mystère, tristesse, détresse / élégance, distinction
Lexique mélioratif
II/ La coquetterie du maquillage
La Bruyère, Les Caractères, « Des femmes » (1688-1692)
péjoratif
réception négative
ironie
Maquillage = artifice qui dénature les femmes et leur
beauté
Baudelaire, Le peintre de la vie moderne, « L’éloge du maquillage » (1863)
Champs lexical du Beau
Maquillage = nécessité de plaire, recherche de la
Beauté idéale. Mais nécessité de se maquiller
avec goût et élégance
Martin von Meytens,Marie Antoinette Habsburg Lotharingen (1767- 1768),Musée de Schönbrunn, Vienne
Blanc de la peau (corps et visage) :
utilisation de la céruse
Blanc du manteau
Rouge du coussin
Rouge du fard à joue
Rouge des lèvres
Rouge du fauteuil
Bleu du manteau
Bleu de la robe
Jeu de la séduction par le biais du maquillage et d’une mise en scène charmeuse.
Maquillage = un art à part entière
III/ Les caprices de la mode
Maquillage et mode Þ volonté d’approcher la Beauté naturelleÞ intention louable et donc « charmante »
Chapeau soutenu et discret, harmonie avec la tenue
Croisillons, plissés : difficultés qui donne de la valeur au vêtement
Chute : mouvement souple et raffinement
Buste cintré
(corset) : mise en
valeur des courbes
féminines
Doc.2 : Elle, Clémentine Goldszal (14 avril 2008)Vous l’avez compris, on vous l’a dit, la robe de l’été 2008 sera fleurie, les imprimés seront champêtres, les motifs pop… Plus que jamais, les créateurs se révèlent aussi imaginatifs que les plus grands peintres. Cette saison, tous semblent avoir fait un petit tour au musée pour puiser l’inspiration graphique. Bien sûr, les relations intimes qui unissent la mode ne datent pas d’hier. De la collaboration entre Paul Poiret et Raoul Dufy, dans les années 20, aux tissus colorés de Sonia Delaunay, en passant par les emprunts de Jean-Claude Castelbajac à l’imagerie pop des eighties, les couturiers ont souvent flirté avec l’inépuisable réservoir virtuel de la peinture. Mais que nous vaut ce retour en force de citations artistiques sur les podiums ? Selon Olivier Saillard, chargé de la programmation du musée de la Mode et du textile à Paris, « la mode est une machine infernale qui cannibalise tout et passe à la moulinette ce qui est produit ou créé par toutes les disciplines. Aujourd’hui, dans une époque où la mode se diffuse à grande échelle, les imprimés de peinture donnent à penser d’une robe qu’elle est unique, comme un tableau. Les vêtements apparaissent dès lors moins comme des produits que des motifs à porter ». Singulariser une pièce, « chic-iser » un imprimé à l’ère du tout- monogramme, ou simplement rendre hommage à un artiste inspirant…vocabulair
e mélioratif
mode = œuvre d’art
Le Monde, Florence Évin (3 juin 2008)« Les femmes qui suivent de trop près la mode, prévenait Yves
Saint Laurent, courent un grand danger. Celui de perdre leur nature profonde, leur style, leur élégance naturelle. », affirmait-il sans détour. Les modes passent, le style est éternel, la mode est futile, le style pas. Ajoutant : « Quant on se sent bien dans un vêtement, c’est un passeport pour le bonheur. » Celui qui se disait non pas couturier mais « artisan, fabricant de bonheur », a inventé le style Saint Laurent, intemporel, une l’élégance Rive gauche très parisienne reconnaissable entre toutes. […]Sa passion pour la peinture – dont il dit, dans l’introduction du catalogue avec l’art (2004), « mon propos n’a pas été de me mesurer aux maîtres, tout au plus de les approcher et de tirer des leçons de leur génie » - le conduit à rendre hommage à Mondrian (1965), au pop art (1966) et à son ami Andy Warhol, à Braque (1970,1988), Picasso (1979,1988), Matisse (1980), ou encore à Bonnard, Van Gogh (1988). Quarante-deux modèles qui témoignent de sa virtuosité et de son respect pour la beauté.vocabulair
e mélioratif
mode utile et
pratique
mode = œuvre d’art
Défilés de haute couture :Þ mise en valeur des tenues
Þ recherche esthétique, sens du BeauÞ réalisation d’une véritable œuvre d’art
La Bruyère, Les Caractères, « De la Mode » (1688-1692)
Montesquieu, Les Lettres persanes, (1721) ironie
Þ Mode changeante = ridicule d’une situation superficielle et inutile car vaine
Þ Refus de se prêter à cet esclavagisme
Risques énormes face à ces opérations
Perte d’identité culturelle et risque de l’uniformisation physique
Orchestration marketing : énormes profits pour les sponsors, établissements privés…
Dictat de la mode développement de
maladies comportementales
graves
Conséquences éthiques et réflexions plus philosophiques sur les « canons de la Beauté »:
la perception de la Beauté doit-elle être guidée par des concepts ?
Voltaire, Dictionnaire philosophique, (1764) Demandez à un crapaud ce que c’est que la beauté, le grand
beau, le to kalon. Il vous répondra que c’est sa crapaude avec deux gros yeux ronds sortant de sa petite tête, une gueule large et plate, un ventre jaune, un dos brun. […] Consultez enfin les philosophes, ils vous répondront par galimatias ; il leur en faut quelque chose de conforme à l’archétype du beau en essence, au to kalon.J’assisterais un jour à une tragédie auprès d’un philosophe. « Que cela est beau ! disait-il. – Que trouvez-vous là de beau ? lui dis-je. – C’est dit-il, que l’auteur a atteint son but. » Le lendemain il prit une médecine qui lui fit du bien. « Elle a atteint son but, lui dis-je ; voilà une belle médecine ! »Il comprit qu’on ne peut pas dire qu’une médecine est belle, et que pour donner à quelque chose le nom de beauté, il faut qu’elle vous cause de l’admiration et du plaisir. Il convint que cette tragédie lui avait inspiré ces deux sentiments, et que c’était là le to kalon, le beau.Nous fîmes un voyage en Angleterre : on y joua la même pièce, parfaitement traduite ; elle fit bâiller tous les spectateurs. « Oh, oh ! dit-il, le to kalon n’est pas le même pour les Anglais et pour les Français. » Il conclut après bien des réflexions, que le beau est souvent très relatif comment ce qui est décent au Japon est indécent à Rome, et ce qui est de mode à Paris ne l’est pas à Pékin ; et il s’épargna la peine de composer un long traité sur le beau.
Importance de la notion de Relativité dans l’expression de nos jugements
Différence de conception en fonction : des personnes, des époques et des contextes, des sociétés et civilisations.
Les concepts de Beau et de Laid peuvent dès lors
être remis en question.
Séance 2 :Le goût
amoureuxCouple enlacé étreinte et
expression du sentiment amoureux.
Parterre de fleurs, prairie
atmosphère de bien-être , apaisement et
fraîcheur
Femme qui s’abandonne
totalement dans cette étreinte
Homme qui l’enlace avec tendresse
Formes géométriques différentes
Þ Homme /FemmeÞ Harmonie de la
rencontre de ces formes
Couleurs chaudes Sentiment d’harmonie
et de sérénité
Puissance amoureuse et monde idéalisé dans un
temps suspendu.
Klimt, Le Baiser
(1906) Art Nouveau /
Expresionnisme
I/ Le poète des amours multiples
Ronsard
Cassandre (1550)Marie (1555)
Hélène (1578)
Ronsard a aimé plusieurs femmes pour lesquelles il a écrit des poèmes. J’aime (ou non) ces poèmes parce que … / cependant …
Poèmes à forme fixe : sonnet , ode
Carpe Diem :
Il est absolument nécessaire de vivre pleinement chaque instant de la vie, de la croquer la vie à pleine dent afin de ne rien regretter à l’aube de sa mort.
Renaissance et Humanisme
II/ Poète et Modernité
Calligramme
Apollinaire
Sous le pont Mirabeau coule la SeineEt nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienneLa joie venait toujours après la peine
Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à faceTandis que sous
Le pont de nos bras passeDes éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en vaComme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passéNi les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Vienne la nuit sonne l'heureLes jours s'en vont je demeure
Thème éternel de la fuite du temps (point commun avec Ronsard)
Comparaison entre cette fuite du temps et les amours perdues du poète
Opposition entre la permanence du ponts, des souvenirs, du poète nostalgique
et le mouvement incessant et circulaire de l’eau, des amours, de la vie.
Modernité : musicalité (refrain = monotonie, lassitude ressentie par le poète,
répétitions, sonorités ) suppression de la ponctuation (ambiguïté de construction et donc du
sens) simplicité du vocabulaire technique maîtrisée mettant en scène un lyrisme poignant et
tragique
Réécrire le poème de Cassandre écrit par Ronsard à la manière d’Apollinaire
III/ Peindre l’Amour et la Beauté
Botticelli, La Naissance de Vénus (1485) Vénus = déesse la plus connue de
l’Antiquité = figure de la Beauté parfaite et des plaisirs de l’Amour : figure féminine idéalisée.
Tête inclinée, chevelure dorée en mouvement, lignes sinueuses sensation de vie, sensualité,
harmonie.
Zéphire, Dieu du vent, et sa femme,
poussent Vénus vers le rivage.
Coquillage symbole de la
fécondité mystère de cette
naissance.
L’Heure du Printemps (saison qui annonce le
retour de la Beauté et de l’Amour) recouvre Vénus d’un manteau pourpre Image de la pudeur :
vecteur de sensualité et de principe spirituel.
Végétation et pluie de roses Symbole de la Vie et de
l’Amour.
XVème siècle : Renaissance en plein essor. Les arts italiens redécouvrent les œuvres et les figures
mythiques de l’Antiquité.Au-delà des canons de Beauté et de la symbolique
amoureuse, la naissance de Vénus serait l’allégorie de la naissance de l’Humanité.
Dufy, La Naissance de Vénus (1940)
Reprise du tableau de Botticelli :
- mêmes personnages,
- même structure,- même sentiment
d’harmonie. Persistance des thèmes antiques.
Changement, évolution moderne : - travail accentué au niveau des
couleurs,- traits simplifiés,
- disparition du paysage d’arrière-plan,- accentuation de l’idée de
mouvement.Þ Fraîcheur donné au tableau,
Þ Interprétation personnelle d’une scène,
Þ Exploration de techniques picturales plus modernes et plus vivantes.
Picasso, Vénus et Amour (1967)
Bouleversement des proportionsÞ Complexité géométriqueÞ Multiplication des angles de vueÞ Mise en scène de la volupté, sensualité,
sexualité
Þ Interprétation très personnelle du mytheÞ Cubisme
Quel tableau préférez-vous et pourquoi ?
Que pensez-vous de l’Art Moderne ?
Goûts multiples et différents car chaque être humain a des perceptions différentes de celles de son voisin.
Mais chaque perception, avis, goûts doit être pris en compte comme faisant partie intégrante de la construction du monde
dans lequel nous vivons.
Importance du respect et de la discussion autour de ces différences pour s’enrichir et se construire.