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• Bonjour!

Le 15 et 17 octobre. . .

Libérons nos corps , notre Terre et nos terr i toires !

Merci au Centre des Femmes pour leurs beaux travailles et à tous les individus et organismes communautaire qui ont participé à la quatrième édition de la Marche mondiale des femmes à Lac-Mégantic et au Trois Rivières. On se revoit dans cinq ans !

Les nouvelles . . .

«Les femmes sont toujours victimes de violence parce qu’elles sont des femmes. Elles sont

victime de;

L’agression sexuelle, l’inceste, le trafic humain, la violence conjugale et familiale. Elles sont victimes de la violence phycologique, physique, économique, spirituel et verbal. Elles sont victimes d’harcèlement, du viol, de l’exploitation sexuelle, de la violence systémique et du cyber intimidation.

Il faut agir pour que ça change. Faites parties du changement! »

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Du 25 novembre au 6 décembre, la Centre

des Femmes de la M.R.C. du Granit et La Bouée Régionale, serrons sur place à travers différents lieux de la ville pour stimuler la discussion aux enjeux en contexte de la violence faites aux femmes.

On vous invite à consulter le site Les 12 jours d ’act ion pour voir en détail, la Campagne 2015 et leurs capsules vidéo.

http://12joursactioncontrelaviolence.ca

Ensemble porté le ruban blanc pour dénoncer la violence fait aux femmes à cause qu’el les sont s implement des

femmes!

Vous avez une proche qui vie de

la violence conjugale? Vous ne savez pas comment réagir?

Plan de sécurité pour une proche

1. Ne la juge pas tu n’es pas dans sa situation.

2. N’essaye pas de la convaincre qu’elle doit partir. Plutôt, discute avec elle, son plan de sécurité.

3. Ne lui nomme pas que tu n’aimes pas son conjoint. Ça peut la faire éloigner de toi et la mettre dans une position de le défendre. Centrer ton amie sur elle même.

4. Deviens une confidente. Tu peux lui dire que le tout sera confidentiel ainsi que l’importance de garder ce

qu’elle te dit! Gagner sa confiance va permettre qu’elle soit plus

5. susceptible de t’appeler dans une situation de danger.

6. Tu peux lui nommée que c’est n’est pas de sa faute, que personne ne devrait subir de la violence. Tu peux lui dire que même si son agresseur s'excuse, ça ne veut pas dire qu’il ne va pas recommencer.

7. Tu peux lui nommer que l’alcool ne cause pas de la violence. Beaucoup des achooliques n’abusent pas et les abuseurs acholiques qui arrête de boire, continue à abuser.

8. Tu peux lui nommer la possibilité qu’il soit probable que la violence qu’elle vit peut augmentée, particulièrement s’ils ont ou vont avoir des enfants dans la future.

9. Choisis un code avec elle pour utiliser dans des situation d’urgences pour appeler la police, ou pour chercher les enfants à l’école.

10. Tu peux lui dire que souvent, les abuseurs espionnent leurs victimes. Ils peuvent vérifier leurs courriels, leurs textos et l’historique sur l’ordinateur. Ils peuvent vérifier les kilométrages de la voiture.

11. Tu peux lui dire que souvent, les abuseurs vont essayer de l’isoler de sa famille et de ses amies.

12. Si tu es en sécurité, tu peux lui proposer de garder des items d’urgence pour elle et les enfants.

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13. Tu peux encourager la femme à noter tous les évènements de violence avec les dates et les faits. Tu peux aussi noter chaque fois que tu vois un bleu, chaque fois que tu es témoin d’une situation de violence verbal, psychologique, ou physique.

14. Si la femme est décidée de quitter son conjoint, tu peux lui dire pour sa sécurité et celle de ses enfants, de ne le dire à personne.

15. Tu peux lui dire que si elle n’est pas sûre de quoi elle vie, de quoi faire, elle peut nous appeler en tout temps, 7 jours/24hr.

16. Tu peux lui dire qu’elle n’est pas seule et que tu es prêt à l’aider et à trouver de l’aide.

17. En cas de beso in tu peux venir nous rencontrer pour par ler de ce que tu v i s comme proche .

Les voix des femmes

L’impuissance face à ma sœur qui

était victime de violence conjugale

Pour moi, ma sœur est l’une des personnes

que j’aime le plus au monde. Nous discutons ensemble, nous rions ensemble, nous sommes là l’une pour l’autre. Mais que faire

quand nous voyons qu’une personne que nous aimons plus que tout souffre et vit une situation de violence conjugale ? Lors de son adolescence, ma sœur a vécu de la violence psychologique et physique de la part de son ex-conjoint. Ma sœur avant cette relation, était une personne de caractère, énergique, sociable. Pendant cette relation, elle était réservée, se questionnait sur les gestes qu’elle posait, bref elle n’avait pas confiance en elle. Un jour, l’ex l’a agrippé par la gorge et là elle s’est dit que c’est assez. Elle l’a quitté et c’est à partir de ce moment que nous avons véritablement su ce qu’elle vivait dans cette relation : de la peur, des insultes, de l’isolement, bref de la violence conjugale. Elle commençait à reprendre du pouvoir sur sa vie. Mais un beau jour, son ex conjoint est allé la voir pour lui demander pardon, qu’il allait changer et il lui a demandé de lui laisser une seconde chance. Sachant que ses amies le et la jugerait, elle a décidé de venir voir sa grande sœur pour lui parler de cette situation. Elle m’a nommé qu’elle voulait reprendre avec lui et lui laisser une chance. Je me suis mise en colère contre elle, je lui ai dit qu’il était violent. Elle l’a défendu en me nommant qu’elle aussi elle était violente envers lui. Je lui ai dit arrête de le défendre et que je ne voulais pas qu’elle reprenne avec lui. Par la suite, ma sœur a arrêté de me parler de lui et elle s’éloignait de moi. Je me sentais tellement impuissante, je ne savais pas comment je pouvais aider ma sœur à ne plus vivre de la violence conjugale. Donc, je suis allée chercher de l’aide pour parler de ce que je vivais ainsi que comment je pouvais mieux l’aider. Avec les années, j’ai pris conscience qu’il aurait fallu que je l’écoute, que je ne la juge pas dans sa décision. J’aurais pu lui nommer que malgré la décision qu’elle allait prendre, je serais toujours là pour elle et qu’en cas de besoin elle peut téléphoner la Bouée.

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Ma sœur est retournée avec son ex conjoint pour aller vérifier ce qu’elle ressentait pour lui. Elle s’est rendu compte par elle-même qu’elle ne l’aimait plus. Elle l’a quitté. Elle s’est rendue compte aussi qu’il était important qu’elle pense à elle et ce qu’elle veut dans la vie. Aujourd’hui, elle vit toujours des conséquences de cette relation mais elle est maintenant avec un homme qui la respecte, qui l’aime pour ce qu’elle est, qui ne l’insulte pas, qui ne la juge pas. S’est rendue compte aussi qu’il était important qu’elle pense à elle et ce qu’elle veut dans la vie.

Didie

« Couper le maillon »

Violence, verbale ou physique.

De père en fils ou de mère en fille.

Cette roue sans fin peut-être terminée.

Tant de méchanceté ou tout sorte de

violence, quelle que soit la forme de violence,

doit être arrêtée par soit même.

Parce que mon père ou ma mère fessaient

ceci ou cela, on le sait vraiment bien que cela

était mal. Donnez-vous la force d’arrêter cette

roue de père en fils etc.

Car personne n’a le droit de blesser ou

d’abaisser une autre personne. Soit plus fort

et dis NON, moi je ne ferai pas cela, car ça

fait trop mal. Je veux arrêter ce cercle pour le

bien être de moi même.

La violence verbale ou physique

Il y a des personnes autour de nous ou même dans notre famille qui on vue la violence faite a une femme et ils diront « elle doit aimer cela car elle reste la » Détromper vous cette femme qui reste la n’a pas encore la force et je dit bien, la force ou le courage de partir de cette relation. Ces personne qui parle d’eux n’ont surement rien connu ou vécu cette violence et elle sont surement des femmes fortes de caractère. Sa prend une force énorme et même très énorme pour quittée cette enfer que très souvent le monde voit le quart de se que se passe.

Sa me fâche quand quelqu’un dit « elle reste la, car elle aime ça » aujourd’hui je peux dire sa vos la peine de recommencer sa vie et je peux me donner le droit d’être heureuse et la force c’est vous qui l’avez faite vos confiance a vous même sa va vraiment la peine.

Ayez confiance et la force viendra en vous qu’el qu’un a quelque part a une oreille pour vous. Vous nous avons tous une force énorme en nous a n’importe qu’elle âge de 0 à 100 ans. Il n y a pas d’âge pour être heureux et d’être bien autant physique que morale.

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Verbaliser

Nous utilisons souvent les verbes: faire, dire, avoir, être, aller etc. Je te propose d'écrire des verbes qui te parlent, qui te font du bien, que tu peut-être n’utilises pas souvent: Apprendre, jouir, expérimenter, offrir, rire, créer, vaincre, profiter, etc. Et de compléter avec d'autres mots qui vous réconforte Exemple Profiter du positif dans ma vie Jouir de la vie à chaque instant Offrir mon aide en bénévolat Partager un bon moment avec une amie Expérimenter de nouveaux défis Oublier le passé, penser à l'avenir Décider pour moi même Choisir pour moi même, me choisir en priorité Si tu as le goût de relire tes belles paroles a l'occasion cela te donneras de l'énergie