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PROJETS PERSONNELS

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CONCOURS EUROPAN 11- DENSIFICATION AUTOUR D’UN FUTUR POLE MULTIMODAL - STAINS, FRANCE

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TRAVERSEES CROSSINGS

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TOURS D’HABITATIONS MODULABLES AU PORT EN FRICHE DE CHALON-SUR-SAÔNE

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Tout est mobile dans le site (les portiques, les grues...) par conséquent, il a fallu penser un projet dynamique. Certains hangars de fabriques ont été conservés dans le but de sauvegarder une activité industrielle mais aussi de pouvoir fournir des composants nécessaires à la fabrica-tion et la maintenance des modules intégrés dans la tour.Les hangars ne servant pas le projet ou situés sur les la-nières traversant la tour, ont été évidés; seule la structure est conservée afin de sauvegarder l’identité du lieu: ils sont réutilisés comme serre ou jardin ouvert et permettent de créer une porosité côté parc et un inter-échange entre le végétal et l’industriel.

HABITER UNE DYNAMIQUE PORTUAIRE.Chalon-sur-saône, 2010

Vue depuis la rive d’en face (La Saone)

Coupe perspective transversale sur tous le site:

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La tour vient donner une échelle aux ouvrages d’art du port en friche de Chalon sur saône. Sa structure en vierendeel et modules habitables offre une malléabilité spatiale dans le temps. L’évolution des logements se fait de 3 manières:- Horizontalement par une extension sur la parcelle par un ajout de module sur la parcelle,- et/ou une intégration d’un module sur rail à l’intérieur de la cellule habité, servant

d’espace provisoire ou solarium,- et/ou une extension verticale grâce à des modules en duplexe.

Ces modules sur rail sont acheminés vers la tour par le portique mobile (h=28/l=100m) qui les récupère du laboratoire de fabrication situé au cœur du port. Ils sont ensuite déposés sur les rails vers le monte charge de la tour. Les îlots de la tour sont également équipés de rails.

Vue sur la façade NordVue sur la façade Sud

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Intégration de réseaux en ca-niveau placé en tête de plancher

Intégration des canalisations dans les ailes de profilés

Modules internes extensi-bles à l’extérieur:

Modules habitables évolutifs:

Espace de stockage:Vo

lum

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bita

ble

Volu

me

publ

ic

Volume de circulations

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VIERENDEELS: Système de tiroirs. Rentabilité des doubles hauteurs.

Façade OuestFaçade Est

Vue sur la façade Sud

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Vue portique roulant transportant le modue d’habitaion vers la tour:

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Le lac

Le parc

Le port La saône

Relier leparc et port par un parcours végétalisé:

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Vue arrière sur l’espace public sous la tour

Vue depuis le portique sur la tour

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CONCOURS «CONSTRUIRE EN ACIER 2010»: UNE ECOLE D’ARCHITECTURE

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Intégration urbaineC’est à Chalon sur Saône, entre le centre-ville historique et l’an-cien port fluviale que vient s’intégrés l’école d’architecture.Ce projet vient dialoguer avec les ouvrages d’art en présence que consti-tue le pont à hauban et les infrastructures métalliques du port fluviale Le projet accompagne un réaménagement des berges, espace ur-bain continu entre le centre ville et sa périphérie. Situé en entrée de ville cet édifice tente de dialogué avec les deux visages de ce lieux les orientations du projet prennent le parti de conserver l’im-plantation du Portique de déchargement afin qu’ils puisse conserver sa mobilité. comme symbole de l’héritage industriel.

Projet architecturalDeux noyaux intègrent les espaces majeurs du programme ; le premier, à l’Est, crée un lien avec les usages propre aux quais et les espaces partagé de la cafétéria et des expositions ; L’am-phithéâtre articule les espaces de travail et de connaissance. Ces deux polarités dialogue avec le contexte urbain et fédè-

L’espace participe de la ventila-tion naturel de l’édifice en faisant office d’espace tampon et permet ainsi un confort d’hiver et d’été optimum. L’été, l’effet de serre est amoindri par les volets mobi-les alors qu’en l’hiver ce dispositif permet de bénéficier d’apport de chaleur répartie de façon homo-gène sur l’ensemble du bâtiment.

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Choix techniquesDeux noyaux / trois poutres; l’un des noyaux est suspendu à un portique, l’autre est en liaison avec le sol. Ils soutiennent trois poutres continues sur toute la longueur du bâtiment lesquels permettent de libérer l’espace central pour les espaces majeur de travail. Les épaisseurs constituées par ces pou-tres reçoivent des espaces en mezzanine au nord et la serre au sud. La liaison entre ces poutres et les noyaux ce fait par l’intermédiaire des plancher du R+1 et du toit terrasse.

Ces planchers font office de contreventement.

Une école d’architecture, un portique roulant «espace d’extension»...

Axonométrie:Détails sur 2 travées:

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VUE INTERIEURE SUR NOYAU

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CONCOURS «CHICAGO SPIRE»

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Le chicago Spire est un projet de l’architecture Santiago Calatrava. Le gratte ciel de forme hélicoïdale devait être avec ses 610mètres la plus haute tour des Etats-Unis. Mais avec la crise financière, les travaux ont étaient suspendus, puis finalement annulés. A la place de la tour, il n’y a donc que les fondations, soit un trou circu-laire d’une trentaine de mètres de profondeur. Le club d’architecture de Chicago organise un concours pour trouver une fonction à ce non-lieu et une utilité à cette «cicatrice béante» dans la ville.

La «tour spirale» de calatrava Projet arrêté: Etat actuel du site

Le projet du Millénaire "en attente" d'État et de son avenir incertain sont le point de départ de la réflexion.Un nouveau projet doit être en mesure, soit pour accompagner la future tour, ou à être développer comme une entité auto-nome et cohérente. Le projet initial était un objet point de repère important, un monument dans un paysage à grande échel-le: le lac Michigan, la ligne d’horizon de Chicago. Son retrait temporaire produit un vide et une déconnection avec la ville autour.

CONCOURS «CHICAGO SPIRE» par Tetsuya Kawano, Julien Boulley et Sanaa Khadir :

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PRINCIPES DE DENSIFICATION EVOLUTIVE DU SITE

PHASE 1 PHASE 2 PHASE 3

La proposition est un projet basé sur une densifica-tion progressive du site, qui permettrait une restitu-tion rapide de cet espace perdu, sous la forme d’un parc public, un paysage ouvert articulée autour d’un équipement culturel. Cette première étape prend en mesure l’éventualité de construction du gratte-ciel « Chicago SPIRE » de Calatrava.

L’évolution graduelle du projet offre une liberté dans les développements futurs. Dans un second temps, le projet prend la forme d’une séquence de petites tours, autour d’un espace public continu sur le ter-rain libre.

Densifier et d’habiter le site - 4 - 6 ansles édifices sont installés sur les limites du site, l’espace central du parc est clair. Deux tours d’ha-bitation, la base des tours contient des services de proximité, des commerces et salles d’expositions. Le parc prolonge la balade de l’autre coté du pont suspendu.

Franchissement de la promenade au bord du lac : La séquence de petites tours se répand progres-sivement à partir de la place centrale abritant les bureaux au nord-est jusqu’à la rive du lac Michigan au sud ouest.Le «trou circulaire» est ensuite réinvesti : La grande rampe en spirale conduit au centre com-mercial. Un ruban végétal vient accompagner cette descente.

Le projet évolue au fil des ans tout en préservant l’espace public central. Petit à petit on investit toute la presqu’île.

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Vue vers l’amphitéâtre au centre de la place:

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SCHEMAS DE CIRCULATIONS EVOLUTIVES

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Vue depuis le pont sur les tours:

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Vue depuis le lac Chicago sur les tours:

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PLAN R+1

PLAN RDC

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Coupe sur projet:

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C’est en cœur d’îlot dans le quartier des Chartrons, ancien quartier de négoce de vin à proximité du fleuve et de chais, que vient s’insérer la maison. Ce projet vient dialoguer avec le bâti existant en présence que constitue la barre de logements Domofrance, l’arrière d’un bâti 18ème avec vue directe sur la parcelle et des vestiges d’anciens murs de chai en pierres...

CONCOURS AGORE 2012, APPEL A IDEES «HABITER LES CHAIX»: Concours, 2012

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INTEGRATION URBAINE : C’est en cœur d’îlot dans le quartier des Chartrons, ancien quartier de négoce de vin à proximité du fleuve et de chais, que vient s’insérer la mai-son. Ce projet vient dialoguer avec le bâti existant en présence que consti-tue la barre de logements Domofrance, l’arrière d’un bâti 18ème avec vue directe sur la parcelle et des vestiges d’anciens murs de chai en pierres.Le projet s’insère en cohésion avec son voisinage tout en tenant compte des contraintes de lumière, de vue dégagée, d’intimité malgré la promis-cuité et la densité du voisinage et aussi en se projetant dans le futur en tenant compte du futur voisin qui constituera le 4ème mur au Nord. Située en cœur d’îlot, la maison tente de dialoguer avec les deux visages de ce lieu en incluant le passé dans sa conception Le conception du projet tient compte de la conservation du mur en pierre sur la parcelle et de sauvegarder ainsi le peu de vestige d’un héritage viticole florissant.

PROJET ARCHITECTURAL : Notre démarche… « Au-delà des murs» La typologie parcellaire en « lanière enclavée » et les fonctionnalités et usages viticoles antérieur (chais) ne nécessitant pas de lumière, rendent difficile une réaffectation d’un parcellaire commercial en espace privatif habité. Tous l’enjeu du projet a été de chercher à passer outre les murs, laisser passer la lumière, chercher à avoir des vues : arriver à faire un « Passe-Murailles ». La maison se compose de deux parties : -le premier, volume compacte, mur habité, adossé aux logements Domofrance et en retrait du mur vestige en pierre existant, permet un apport de lumière. Tout en haut, un séjour en porte-à-faux offre une vue dégagée sur le site au-dessus du mur en pierre. -Le second volume, annexe, séparé du volume habité par un jardin et composé du vestige du mur en pierre est un espace coupé du monde exté-rieur, invitant à la méditation et à la concentration. -Au fond de la parcelle, un jardin potager orienté plein Sud, crée un retrait urbain avec l’arrière du bâti 18ème et permet ainsi un meilleur apport solaire au volume annexe.Ces deux volumes dialoguent en concomitance avec le contexte urbain et réaffirment l’identité du lieu.

FICHE TECHNIQUE:Programme : maison individuelleSHON : 120 m² approximatif + 30-50 m² d’annexe (possibilité d’ajout d’un étage)Structure: Ossature métallique et verre

L’HABITAT ET LA GESTION ECOLOGIQUE:Ce projet vise aussi à s’inscrire dans un contexte d’éco-quartier futur : les jardins participent à la ventilation naturelle de l’édifice et la toiture végétale apporte une inertie thermique permettant de réaliser d’importantes économies d’énergie été comme hiver. Ce dispositif permet de bénéficier d’apport de chaleur répartie de façon homogène sur l’ensemble du volume. Des panneaux photovoltaïques ont été disposés sur le volume bibliothèque en porte-à-faux, en retrait des ombres portés du mur Domofrance afin de capter un maximum d’apport solaire (Est/Ouest). Sur la toiture de l’annexe on récupère les eaux de pluies. En fond de parcelle, entre annexe et voisins avec vue principale sur notre terrain, nous proposons un jardin potager.

PROGRAMME:La maison basée sur une configuration unifamiliale, se compose de trois pièces ; elle comporte:1-un séjour avec une terrasse, une salle à manger, cuisine et une bibliothèque en partie haute avec vue panoramique sur le site.2-En partie basse : 2 chambres dont une adaptée à une personne à mobilité réduite et un petit coin de travail sur le palier du premier étage. La maison est distribuée par un escalier et un ascenseur hydraulique dans volume vitré communiquant ainsi visuellement avec le mur en pierre vestige du chai. En plus de ce programme, de l’autre coté de la parcelle, nous proposons une an-nexe qui permet d’avoir un programme souple (bureau, atelier, chambres d’amis, chambre troisième enfant...). Cette structure sera aménagée selon les besoins des habitants et s’adaptera aux modes de vie de chacun au gré des besoins.

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AU-DELA DES MURS

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PROJETS EN AGENCES

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Afin d’assurer un réel partage de la voirie entre les voitures, les transports en commun, les circulations douces et les piétons, la Nati onale 7 sera élargie à quarante mètres, soit sept mètres de chaque côté en plus de son emprise actuelle. Son profil sera de larges trot-toir, une double rangée d’arbres, une pistes cyclable dans chaque sens, 2 fois 2 voies de circulations et le tramway en axial. L’État, maître d’ouvrage du projet sur la voirie nationale, a confié au cabinet Fortier la maîtrise d’œuvre de la requalification de la nationale. Le Cabinet Fortier a pour mission de concevoir l’aménagement de la voirie en termes de mobilier urbain, de plantations ou encore de fonc-tionnement de la circulation afin de mieux intégrer le tramway dans son espace urbain. Suite à l'acte II de la décentralisation, le Département du Val-de-Marne s'est vu rétrocédé la route nationale, appelé route national d'intérêt local (RNIL). C'est à lui aujourd'hui de mettre en oeuvre la requalification en boulevard urbain.

ETUDE ET SUIVI DE CHANTIER DU PROJET DE REQUALIFICATION URBAINE RD7:PHASES ABORDEES: DCE, EXE (VISA, DET, AOR)

AGENCE: BRUNO FORTIER

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Requalification RD7La Route Nationale 7, RNIL 7, est l’un des trois axes structurants du sud francilien. Axe de trafic important, il n’a pas su, jusqu’à aujourd’hui, généré une ambiance urbaine conviviale. Pour répondre à la mobilisation des élus du territoire pour le prolongement de la ligne 7 du métro 7 jusqu’à Orly, le choix a été fait de réaliser un tramway permettant ainsi la requalification des franges de la RNIL 7, marquées par la présence de casses automo-biles. Une démarche pour la requalification ur-baine et économique, sous l’égide du Conseil général et en partenariat avec les différents acteurs locaux, a abouti à la signature d’un protocole foncier permettant une maîtrise fon-cière en accompagnement du tramway pour la réalisation d’opérations d’aménagement.

DE KREMLIN-BICÊTRE A THIAIS

Maître d’ouvrage: Conseil Général du Val de Marne (94)Maître d’oeuvre: Bruno Fortier, architecte; Jean-Thierry Bloch, ingénieurPaysagistes: Christine & Michel PenaEclairagiste: Light-CiblesB.E.T: EGISCalendrier: Etudes: 2002- en coursSurface: 255 000 m²Coût (hors taxes): 60 000 000 €Cahier des charges: Concours, projet lauréat; Mission de base; Etude d’exécutionAdresse: Villes de Vileejuif, Vitry-sur-Seine, Chevilly-la-Rue, Thiais et Kremlin-Bicêtre

Bâti remarquable Points clés à développer

Espace à aménager

Zone multiple d’échange

ZAC

Mail projeté

Espaces verts, cimetière

Mail existant à remettre en valeur

Vue à mettre en valeur

RN7

Stations de métro

Liaison en projet vers RN7

Accebilité à mettre en place

Bâti existant en projet

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LE BOULEVARD MAXIME GORKIPaysage urbain vaste en raison des retraits et minéral, la chaussée fait 20 m de large et les immeubles peuvent atteindre 11 niveaux, le bâti est discontinu et composé de pavillons à l’alignement en premier plan, d’immeubles collec-tifs en retrait et de hangars commerciaux.lA rn7 sert de rocade de contournement du centre de Villejuif, la vitesse, le bruit, les terres-pleins centraux, les barrières et la rareté dees passages piétons renforcent la rupture entre les quartiers et le centre.

LE POLE LOUIS ARAGONSecteur d’urbanisation dense mais hétéroclite, constitué de tissus urbains contrastés allant du front bâti continu et homogène à un bâti diffus et verna-culaire. Le quartier offre des ambiances contrastées.

ENTRE LE POLE ARAGON ET LE CARREFOUR DES COMMUNESGabarit de 25 m à 30 m dont 15 à 20 m de chaussée en moyenne le linéaire.Territoire à l’urbanisation hétérogène mais relativement continue.Constructions peu denses. De grands ensembles dominent l’aarière plan.Les platanes d’alignement jalonnent de façon irrégulière la route. Les activi-tés uniquement tournées vers une clientèle transit. L’usage des lieux pour une vie locale paraît écartée ou subie. L’ambiance générale est très dégradée et dévalorisante pour les riverains.

ENTRE LE CARREFOUR DES COMMUNES ET CHEVILLYUne urbanisation éclectique: des abords constitués de propriétés institution-nelles (l’OREAL, Lycée Cgérioux) de grandes ampleurs offrants des am-biances soignées à une zone construite de façon médiocre et désordonnée: des espaces qui se dilatent, un traitement des limites parcellaires qui s’appauvrit, des aménagements rudimentaires et dégradés et casses voitures; au deuxième plan, apparaissent les lignes à hautes tension EDF et leurs pylônes.

ENTRE CHEVILLY ET LE CIMETIERE DE THIAISLe cimetière et ses abords: cette séquence se caractérise par une bscence de casses automobiles. La présence de petits commerces de bord de routes s’accentue à l’approche de l’esplanade du cimetière ( commerces,, restau-rants). Le tissu urbain reste cependant diffus et décousu (du pavillon au grand ensemble). L’esplanade du cimetière de Thiais utilisée comme parking et comme rond-point. Sa sévère et majestueuse façade n’est pas perceptible dans le cahot ambiant.

CONSTAT PROJET

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Inventer un axe fédérant un territoire actuelle-ment décousu (et à terme varié) est l'objectif fondemental de l'aménagement de cette séquence de la route nationale.La géographie et l'histoire du site nous y invitent : le tracé s'inscrit sur le site dans une logique territoriale ample et symbolique-ment forte ; il a généré le contexte urbain environnant et même dans son traitement et sa logique actuelle, reste l'élément générateur de paysage. La force du tracé et les alignements de platanesmêmeirréguliers, ne restent-ils pas les èlèments seuls prégnants du paysage actuel?l'idée d'identifier le site par une structure végé-tale originale et une typologie immédiatement identifiable sur toute la longueur nous a donc conduit à élaborer deux hypothèses attrayantes qui :. toutes deux présentent une plateformevaste, plantée et génératrice de paysage,marquant à la fois la géographie et l'usagedes lieux;. toutes deux répondent aux exigences de confort et de souplesse d'utilisation;. toutes deux mettent en scène la grande ligne droite et ses ponctuations remarquables par un travail de variation de l'image force.Dans le contexte de mutation urbaine intense et future, il nous a en effet semblé préférable de prendre en compte l'échelle et la force du territoire comme premierélément constitutif du projet.Ce choix de la grande echelle nous permettra de décliner dans un cadre cohérent la deuxième echelle du partid'aménagement, celle des perceptions , des typologies et des adaptations locales.Les particularités et l'identité de chaque com-mune ou quartier pourra en effet être exprimé en variation ou à contre-point d'une logique territoriale valorisante et immédiatement mise en place.

LE PAYSAGE DU TRAMWAY

INTENTIONS DE PROJETLe pojet territorial et local

Espace public à aménager

espace vert

Mail existant à mettre en valeur

Coulée verte projetée

Vue à mettre en valeur

plateforme tramway

Mail projeté sur tout le linéaire

Le signal urbainle seuil

La ville doucetissus continumais bas

Le carrefouret La placeplurielle

L'allée dansle Parc.immersionpaysagère

La place desdeux rives

Le carrefourde la butte

La ville-jardinaérée, profondeet discontinue

L'espanademise en scène

Les alléesplantées

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Station, plateforme tramway

Atelier RATPBâti remarquable, équipement, commperceà prendre en compteBâtiment ou extension projetés

Points clé à développer en seconde phaseEspace public à aménager

Mail projeté

espace vert, cimetière

Mail existant à mettre en valeur

Coulée verte projetée

Vue à mettre en valeur

Liaison en projet ou à créer

Accessibilité à mettre en valeur ou a créer

Elargissement en projeté

Zone de mutation et de suturage

Zone de projet urbain

STATIONS DE TRAMWAY :0- VILLEJUIF - LOUIS ARAGON (Terminus)1- BONS ENFANTS2- CARREFOUR DES QUATRE COMMUNES3- PLACE DE LATTRE DE TASSIGNY4- STALINGRAD ROOSEVELT5- CIMETIERE PARISIEN DE THIAIS

INTENTIONS DE PROJETEléments de programme

POINTS CLE :- CARREFOUR STALINGRAD ROOSEVELT- L'ESPLANANDE AUGUSTE PERRET- PLACE DE LATTRE DE TASSIGNY- CARREFOUR DES QUATRE COMMUNES- LA PROUE SUD

Le contexte urbain projeté

L'ensemble de la traversée urbaine au Nord du car-refour des 4 communes devrait, à notre sens, offrir un front bâti homogène par ses alignements et la continuité construite. (l'extension de l'hypermarché allant dans ce sens...) afin de marquer l'approche du centre ville de Villejuif (ainsi que celle de Paris au-delà) et marquer un contraste mutuellemnet valorisant avec la traversée du "parc"Chérioux.

L'ensemble de la séquence urbaine au Sud de Ché-rioux pourrait à notre sens présenter un front bâti ordonnancé mais discontinu, offrant de la profon-deur et des porosités vertes, irriguant le territoire et ouvrant les quartiers arrières sur un espace nouvelle-ment valorisé. La prolongation de la structure verte de la Route Nationale 7 en profondeur marquerait ainsi l'accroche territoriale et locale de la voie. Il s'agirait là d'une structure urbaine ouverte et mixte, jalonnant la route d'une altérnance bâti et verte évo-catrice d'une transition entre univers routier (A86, Belle épine, traversée de l'aéroport...) et urbanité.

1- Le BoulevardSECTION TRAMWAY - PRINCIPE.

2a- LE MAILSECTION TRAMWAY - PRINCIPE..

2b - La route d’ItalieSECTION TRAMWAY - PRINCIPE..

Projet.Programme actuel

Projet phasable à moyen terme

espace piétons5,50m

1- Le Boulevard GorkiConçu comme une voie de contournement du centre-villede Villejuif, le Boulevard Maxime Gorki constitue unetransition entre, au Nord et en perspective sur Paris, uneavenue aux fronts bâtis plus ou moins constitués maisclairement définis, et l’urbanisation actuellement disparateet diffuse rencontrée plus au sud. Le contexte bâti y est eneffet incertain mais en mutation. Nous l’avons doncconsidéré comme le prolongement naturel de la partienord... Considérant toutefois que l’organisation future dubâti n’est pas garantie, nous proposons une configurationpermettant, à terme et si le trafic l’autorisait, de réduire àdeux voies la chaussée. Pour marquer l’effet structurant duBoulevard, deux alignements supplémentaires pourraientalors prendre place, agrandissant les trottoirs et étoffant levolume végétal. Nous gardons cependant à l’esprit que defortes contraintes techniques et fonctionnelles induirontune variation du thème décliné plus au Nord

2- Le paysage du TramwayInventer un axe fédérant un territoire actuellementdécousu (et à terme varié) est l’objectif fondementalde l’aménagement de cette séquence de la routenationale. La géographie et l’histoire du site nous yinvitent : le tracé s’inscrit sur le site dans une logiqueterritoriale ample et symboliquement forte ; il agénéré le contexte urbain environnant et même dansson traitement et sa logique actuelle, reste l’élémentgénérateur de paysage. La force du tracé et lesalignements de platanes- même irréguliers, nerestent-ils pas les èlèments seuls prégnants dupaysage actuel? l’idée d’identifier le site par une structure végétale originale et une typologie immédiatementidentifiable sur toute la longueur nous a doncconduit à élaborer deux hypothèses attrayantes quiont:. toutes deux présentent une plateforme vaste,plantée et génératrice de paysage, marquant à lafois la géographie et l’usage des lieux;. toutes deux répondent aux exigences de confort etde souplesse d’utilisation;. toutes deux mettent en scène la grande ligne droiteet ses ponctuations remarquables par un travail devariation de l’image force.

a - L’une se présenterait sous la forme d’un grand «mail»généreusementplanté de quatre aligement d’arbres,régulièrement répartis sur la largeur de l’emprise. Sous lafrondaison de chênes verts (essence à feuilles persis-tantes), se déroule un vaste tapis vert de 12 m de large sur lequel cheminent au centre le tramway et latéralement les vélos et les rollers. Les trottoirs, plus particulièrement dévolus aux piétons (et aux liaisons douces locales à petite vitesse) sont donc vastes et calmes, propres à accueillir les usages urbains valorisants (terrasses,lieux d’animation, marchés...). La plateforme-pelouse centrale ainsi que les rives ne se déforment pas au droit des station ( de par son ampleur qui permet d’accueillir les quais), il s’en dégage une impression de quiètude et d’évidence de l’aménagement.

b - L’autre joue d’une ambiance et d’une image évoca-trice . celle d’une double strate végétale bordant la voie sur toute la longue ligne droite. Un double alignement de chênes verts, au développement généreux, lui même bordé, sur la rive Ouest d’un alignement de pins parasols en quinconce, arbre au dévelopement et au parfum si caractèristique qu’il qualifie l’ensemble.La plateforme tramway, génère également un espace derespiration au sol en déroulant son large «green» de 8 mètres. Si la chaussée s’écarte légèrement au droit des stations (pour accueillir les quais) ou au niveau des carre-fours (afin de permettre les «tourne à gauche»), les rives de l’aménagement et les alignements d’arbres restent, rectilignes et calmes grace aux «surlageurs» prévues à cet effet et également conçues pour un meilleurs confort de manoeuvre en section courante. Entre pins et chênes verts, circulent dans les deux sens cyclistes et patineurs. Deux vastes trottoirs de même dimension encadrent cette composition volontairement asymétrique qui oriente natu-rellement la vue vers les singularités valorisantes du site : Le domaine de Cherioux, et l’esplanade du cimetière.

LES PRINCIPES D'AMENAGMENTCoupes transversales et plans

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Ce théâtre répond aux exigences «scène nationale» qui font de lui un outil haut de gamme. Il est conçu «au nu de la fonction».La salle de diffusion et sa cage de scène forment l’édifice principal en béton. Le reste des fonctions annexes (le hall, la salle de création, les loges et ses locaux techniques) est comme entreposé sur leurs flancs. Leurs volumes se distinguent nettement par un bardage en châtaignier dont l’appareillage est directement inspiré des amas de palettes propres aux sites industrieux.Le théâtre est accessible par les arcades de l’ancienne gare.Les pavillons ont été restaurés en sauvegardant l’essentiel de leur histoire, y compris les stigmates des bombardements et de leur longue période d’abandon durant laquelle leurs ouvertures sont demeurées murées. Ainsi, leurs baies n’ont été que partiellement rouvertes.

LE THEATRE DE SAINT-NAZAIRE: PHASE ABORDEE: DCE AGENCE: K ARCHITECTURES

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CONTEXTELe site du théâtre a connu une époque flamboyante. C’était une gare ferroviaire des plus mondaines qui accueillait les riches passagers des navires transatlantiques. Inaugurée en 1867, dix ans après la mise en service de la ligne Paris-Saint-Nazaire, la gare conjugue le style néo-classique haussmannien à l’instar des gares parisiennes.Pendant la Deuxième Guerre mondiale, les Allemands bâtissent une base sous-marine à proximité. Ce bunker géant sera pris pour cible par les alliés et leur bombardement sera tellement massif qu’il ruina les deux tiers de la ville.La gare est très endommagée et sera abandonnée. Cette zone de Saint-Nazaire devien-dra des confins industrieux et ce n’est que très récemment que la ville s’est lancée à sa re-conquête urbaine avec le vaste projet Ville-Port dont le théâtre est l’une des étapes clés.L’entrée du site est aujourd’hui cadrée par les vestiges de l’ancienne gare, deux pa-villons liés d’une arcade. Ces deux sentinelles immuables cadrent un vide occupé autrefois par les quais et leur halle de verre et de fer. Ce vide ne figurait pas dans le terrain d’implantation, il demeure le vecteur principal de l’histoire du lieu et s’ap-pelle aujourd’hui la nef. Quant aux deux pavillons, ils marquent le frontispice de ce nouvel espace de culture, tout en conservant leur indépendance et leur intégrité.

Type: culturel_ spectaclesÉtat: achevé en 2012Ville: Saint NazaireClient: SONADEV pour la Ville de Saint NazaireSuperficie: 4 500 m2Budget: 10 800 000 € (H.T. travaux)Acoustique: ALTIA, Scénographie: Changement à Vue. Etudes techniques: Génie Civil/ Khephren, Equipements Techniques / Alto, Economie / Bougon, Signalétique / Autobus ImpérialPrestation: mission de base + signalétique

LE THEATRE DE SAINT-NAZAIRE

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ECOLE NATIONALE SUPERIEURE D’INGENIEUR DE BRETAGNE-SUD, ENSIBS Concours AGENCE: K ARCHITECTURES

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Maître d’ouvrage: Cap l’Orient agglomérationmontant global: 14,3 millions (hors équipement)Surface: 6000 m²Concours perdu

Implantée boulevard Flandres-Dunkerque, à proximité du centre de recherches et du futur bâtiment des sciences, l’école d’ingénieurs vient renforcer le site universitaire de Saint-Maudé.Cette opportunité de regroupement a permis la réalisation d’un schéma à l’échelle du sec-teur, mettant en évidence les cheminements pié-tons et cycles et la présence d’espaces publics.

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Coupes:

Façades:

Vue sur hall d’entrée:Vue d’ensemble

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Le site archéologique de la Bourse est la preuve matérielle de l’origine grecque de Marseille. Il est ainsi le principal objet du musée d’His-toire de la ville au coeur du dispositif muséal et muséographique. Les salles d’exposition permanente sont implantées en contact direct avec le premier et le plus grand site archéologique urbain fouillé en France. Les vestiges archéologiques ont été décourts en 1967 lors de la construction du centre Bourse (gallerie commerciale).

MUSEE D’HISTOIRE DE MARSEILLE, SITE ARCHEOLOGIQUE DE LA BOURSE: MISSION CONCOURS 2011: CONCOURS GAGNE CONCEPTION REALISATION

AGENCE: STUDIO ADELINE RISPALE ARCHITECTES ET SCENOGRAPHES ASSOCIES

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Au coeur de la ville, sur les lieux même de ses ori-gines, le musée d’Histoire de Marseille, entière-ment rénové, entraînera le visiteur à travers ses 26 siècles d’histoire, de façon aussi moderne que lu-dique et pédagogique. Un atout majeur pour Mar-seille, Capitale européenne de la Culture en 2013

Le parti pris d'Adeline Rispal est double: placer le site archéologie de la Bourse, principal objet du mu-sée, au cœur du dispositif muséal et muséographique et révéler la dimension portuaire du bâtiment. Ainsi, les salles d'exposition permanente sont implantées en contact direct avec le site et la muséographie met sous vitrine les structures existantes entre lesquelles se glissent les épaves à la manière des arsenaux. Les mobiliers muséographiques sont assemblés et modu-lables tels des ballots sur un quai au pied des navires.

MUSEE D’HISTOIRE DE MARSEILLECONCOURSLieu: MarseilleLivraison: Mars 2013Maître d’ouvrage: Ville de MarseilleMaître d’oeuvre: STUDIO ADELINE RISPALE ARCHITECTE ET ASSOCIES & AGENCE ROLAND CARTA ARCHITECTE ET ASSOCIES Entreprise: Léon Grosse Surface: 6500 m² (SHON) Coût (hors taxes): 3 500 000 € HT

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BASE LOI M.O.P. Le centre de formation pour le Crédit Mutuel comprend 22 salles de formation, un amphithéâtre de 300 places, un restaurant, des espaces de détente et une hôtellerie permettant d’héberger 120 personnes. Il s’insère au coeur de la forêt de Verrières-le-Buisson : En préférant la compacité plutôt que l’étalement au sol, l’implantation tire parti des spécificités géographiques, morphologiques et historiques du terrain et permet de restaurer le caractère forestier du site. Nous avons choisi en priorité des techniques favorisant l’économie d’énergie et une maintenance aisée.

CENTRE DE SEMINAIRES, Verrière-le buisson: PHASES ABORDEES: DCE extension, AOR (OPR/ Livraison) et dessins de finitions.

AGENCE: ATELIERS ADRIEN FAINSILBERG & ASSOCIES

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CENTRE DE SEMINAIRES:Suivi de chantier (AOR)Lieu: Verrières-Le-BuissonLivraison: Octobre 2011Maître d’ouvrage: Crédit Mutuel-CICMaître d’oeuvre: ATELIERS AFA & X. DUFAY & M. SERDAROGLUB.E.T: INGEROP Surface: 10.800 m² (SHON) Coût (hors taxes): 30 500 000 € HT

Amphithéâtre

Restaurant/ Bar

PLAN MASSE

FOYER D’ACCUEIL- COIN FEU ET BAR

FACADE HEBERGEMENTS

TRAITEMENT PAYSAGER DES TERRASSES SUD

SALLE A MANGER

TERRASSES DU RESTAURANT

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CENTRE DE SEMINAIRES:Suivi de chantier (AOR)Lieu: Verrières-Le-BuissonLivraison: Octobre 2011Maître d’ouvrage: Crédit Mutuel-CICMaître d’oeuvre: ATELIERS AFA & X. DUFAY & M. SERDAROGLUB.E.T: INGEROP Surface: 10.800 m² (SHON) Coût (hors taxes): 30 500 000 € HT

EXTENSION HEBERGEMENTS:DCELieu: Verrières-Le-BuissonLivraison: 2012Maître d’ouvrage: Crédit Mutuel-CICMaître d’oeuvre: ATELIERS AFA & X. DUFAY & M. SERDAROGLUB.E.T: INGEROP Surface: 2 400 m² (SHON) Coût (hors taxes): 5 240 000 € HT

Le projet consiste à rajouter 80 chambres au centre de séminaires des Gâtines, ce qui amène-ra à un total de 200 chambres. L’orientation du nouveau bâtiment permettra de créer un contre-point au bâtiment nord existant. Il vient border l’espace des patios intérieurs en créant une qua-trième façade. Cette dernière vient s’inscrire entre le bâtiment nord et le bâtiment sud.L’aménagement paysager, constitué de petits patios privatifs, se reflète dans les panneaux miroirs placés sur le socle du bâtiment. Cette composition permet de dédoubler la pers-pective paysagère depuis le foyer central du bâtiment.L’effet de décollement des deux étages supé-rieurs est accentué par un encorbellement est un joint creux filant le long des façades.

FACADE EST

FACADE OUEST

FACADE NORDNIVEAU 2 COUPE

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