cavac de la montÉrÉgie sommaire a n n É e … · vers ce jargon juridique spécifique à la...
TRANSCRIPT
S O M M A I R E
Univers
CAVAC
2
Capsules
juridiques
3
Intervention 4
Mélissa à la SQ 5
Babillard 6
SNSVAC 7
C A V A C D E L A
M O N T É R É G I E N O 4 A V R I L 2 0 1 4 A N N É E 2
Emmanuelle, Longueuil
C e t t e
t o u t e nouvel le
édition du CAVAC-Express est dé-
diée à la jeunesse ! En effet, dans
la dernière édition, vous appreniez
qu’une intervenante, Eliza Rodri-
gue, développe un nouveau poste
directement dans les bureaux des
procureurs aux poursuites criminel-
les et pénales qui s’occupent spé-
cifiquement des dossiers du tribu-
nal de la jeunesse au palais de jus-
tice de Longueuil. Dans cette édi-
tion, vous allez en apprendre da-
vantage sur son nouveau rôle ainsi
que sur les particularités de la
Chambre de la jeunesse (p.2).
Au CA-
VAC,
nous sommes
évidemment très préoccupés par
les différentes problématiques qui
peuvent toucher les jeunes victi-
mes d’actes criminels. L’une d’el-
les est l’intimidation en milieu sco-
laire. Nous avons choisi de consa-
crer un article à ce sujet afin de
démystifier quels sont les différents
gestes criminels qui peuvent être
commis par les « intimidateurs » et
surtout ce qu’on peut faire pour
aider une personne qui a été victi-
me d’intimidation (p.4).
Vous trouverez aussi des informations concernant les sanctions extrajudi-
ciaires qui peuvent être appliquées dans certains dossiers d’adolescents
accusés (P.3) . En page 5 vous pourrez enfin lire la deuxième partie de
l’article de M. Bernard Caron de la SQ.
Enfin, pour souligner la semaine nationa-
le de sensibilisation aux victimes d’actes
criminels, du 6 au 12 avril 2014, le journal
y consacre deux pages entières ! Ren-
dez-vous en page 7 !
Vous trouverez sur le site du réseau des CAVAC
le dépliant « En parler c’est pas un crime » desti-
né aux adolescents victimes d’actes criminels
http://www.cavac.qc.ca/documentation/pdf/
crime.pdf
P A G E 2
Eliza Rodrigue, BAJ
Univers CAVAC Bureau des Affaires de la Jeunesse
Sanctions extrajudiciaires, OJA, rapport pré-décisionnel… il y a de quoi se perdre à tra-
vers ce jargon juridique spécifique à la Chambre de la jeunesse. Foncièrement différent
de la cour criminelle adulte, le Tribunal de la jeunesse apporte un regard distinct relative-
ment à l’issue des procédures judiciaires.
Régi par la loi sur le système de justice pénale pour adolescent (LSJPA), le système judi-
ciaire auprès des contrevenants mineurs (12-18 ans) vise à protéger la société, à réinsérer
et à responsabiliser le jeune face à son délit. Pour ce faire, trois avenues différentes peu-
vent être entreprises lors de la commission d’un délit par un mineur.
D’abord, lors de son intervention pour une infraction mineure admissible, le policier dé-
tient un pouvoir discrétionnaire lui permettant d’appliquer certaines mesures dites
« mesures extrajudiciaires ». Guidé par son jugement, il peut n’appliquer aucune mesure
outre un avis aux parents du jeune contrevenant. Le policier peut également compléter
un rapport d’événement et donner un avertissement qui sera inscrit au Centre de rensei-
gnements policiers du Québec (C.R.P.Q.), ou encore, il peut effectuer un renvoi à l’Orga-
nisme de Justice Alternative (OJA). Cette dernière mesure consiste en une rencontre au
cours de laquelle l’adolescent est sensibilisé et informé sur l’impact de son geste.
D’autre part, des procédures judiciaires peuvent également être intentées par le procu-
reur aux poursuites criminelles et pénales. En fonction de certains critères (ex: reconnais-
sance de sa responsabilité dans le délit), il y aura évaluation de l’admissibilité du jeune
contrevenant aux « sanctions extrajudiciaires ». Ce type de mesure cible la réparation du
tort causé à la victime et à la société. Les actions pouvant être entreprises sont variées
tels que la médiation, la lettre d’excuse, le dédommagement financier, la participation à
un programme d’intégration sociale, etc.
Dans d’autres cas, le jeune contrevenant devra comparaître devant la Chambre de la
Jeunesse et, à l’issue de son procès, un juge énoncera un verdict ainsi qu’une sentence
associée. Le jeune contrevenant pourra alors être condamné à effectuer des travaux
communautaires, à être gardé en détention, etc.
Et le CAVAC dans tout ça?
Afin de développer ses services auprès de la clientèle jeunesse, le CAVAC de la Montéré-
gie s’est doté d’une nouvelle ressource travaillant spécifiquement au Bureau des Affaires
de la Jeunesse. L’optique étant de développer un service adapté et de permettre l’ac-
cès à l’information et au soutien chez les victimes d’un contrevenant mineur.
À l’heure actuelle, un travail de collaboration et de consolidation est mis en branle au-
près des différents acteurs œuvrant auprès de la clientèle jeunesse. Élaboration d’outils
spécifiques, de partenariats et autres. Nos développements sont donc à suivre + d’infos:
Site Internet Ressource Alternative Rive-Sud (http://www.rars.qc.ca/index.php?pg=1);
Site Internet Gouvernement du Canada (http://laws-lois.justice.gc.ca/fra/lois/Y-1.5/TexteComplet.html)
Site Internet Justice Québec :
(http://www.justice.gouv.qc.ca/francais/publications/generale/projud.htm)
P A G E 3
Emmanuelle, Longueuil
Capsules juridiques
Les sanctions extrajudiciaires chez les adolescents
Infraction
Arrestation
Procureur aux poursuites
criminelles et pénales
Sanctions extrajudiciaires
avec délégué à la jeunesse
Fermeture du dossier
Victime contactée par OJA
Mesures à l’OJA
Mesures envers la victime
Mesures envers la communauté
Développement des habiletés
sociales
Certains adolescents ayant été arrêtés
pour une infraction criminelle peuvent bé-
néficier du programme de sanctions extra-
judiciaires. Généralement, un adolescent
sans antécédent judiciaire, qui reconnaît
les gestes posés, dont la gravité du crime et
les facteurs aggravants sont peu élevés se-
ra admissible.
L’adolescent sera rencontré par un délégué à la jeu-
nesse des Centres Jeunesse afin de déterminer quelle
serait la mesure la plus adaptée à la situation. Au mê-
me moment, la victime est contactée par un interve-
nant de l’organisme de justice alternative afin d’obte-
nir son point de vue sur ce qu’elle a vécu, de lui trans-
mettre de l’information sur le processus judiciaire et
aussi de connaître ses souhaits quant au déroulement
de la procédure envers l’adolescent.
Différentes mesures sont possibles : média-
tion avec la victime, lettre d’excuse à la
victime, travaux communautaires, partici-
pation à un atelier d’information et de sen-
sibilisation, etc. Ce sont les organismes de
justice alternative qui ont la responsabilité
de gérer les mesures avec les jeunes.
Qu’est-ce que la clinique juridique JURIPOP?
Juripop a vu le jour en 2009. Alors étudiants en première année au programme de bacca-
lauréat en droit, les deux cofondateurs désiraient faciliter l’accès des citoyens au système
judiciaire. Avec l’aide d’étudiants bénévoles et d’une avocate, Juripop ouvrit son premier
bureau à Saint-Constant. Depuis, l’organisme n’a cessé de croître en initiant de nouveaux
projets chaque année. Elle emploie aujourd’hui plus de 30 personnes à travers le Québec,
et compte plus de 200 bénévoles!
Les services de Juripop se déclinent en trois volets: 1- Un service aux particuliers: Juripop milite pour l’amélioration de l’accès à la Justice en
offrant des consultations juridiques gratuites ou à prix modique pour les personnes non ad-
missibles à l’aide juridique gouvernementale, mais dans l’impossibilité de se payer les servi-
ces d’un avocat.
2- Juripop Affaires: Juripop offre des services spéciaux pour les travailleurs autonomes (TA),
les très petites entreprises (TPE), les entreprises en démarrage et les organismes à but non
lucratif (OBNL).
3- Des projets de sensibilisation, d’information et d’éducation. Extrait tiré de :Juripop.[En Ligne]. http://www.juripop.org/a-propos-2/. (page consultée le 15 avril 2014).Avec la
permission de juripop.
P A G E 4
Intervention L’intimidation chez les jeunes
Mélissa, DERM
C’est dans le cadre de mes fonctions à la DERM que j’ai été particulièrement touchée par plusieurs situa-
tions où des enfants et des adolescents vivaient de l’intimidation dans un contexte scolaire. Ces jeunes su-
bissent, de façon répétée, des gestes (bousculade, coup de poing, coup de pied) ou des paroles
(menaces, insultes, rumeurs)1 qui engendrent de la détresse, des blessures, les oppriment ou visent à les met-
tre à l’écart 2. Suite à la lecture des rapports d’événements, j’entre en communication avec la famille de
ces jeunes. Souvent, je peux ressentir l’impuissance à laquelle est confronté la famille et surtout, le désir de
venir en aide à tout prix à son enfant. Et, ce, puisque l’intimidation peut entraîner plusieurs conséquences :
isolement, diminution de l’estime de soi, tristesse, malaises physiques, peur, craintes, difficulté de concentra-
tion, idées noires 3.
Je m’interrogeais donc à savoir quelles actions pouvions-nous entreprendre en tant que jeunes, témoins,
parents, adultes et intervenantes au CAVAC. Voici donc quelques pistes.
Actions à prendre pour l’enfant vivant de l’intimidation
Dénoncer la situation à un adulte responsable afin de faire cesser la situation.
Vérifier les politiques de l’école à propos de l’intimidation.
Demander de l’aide et du soutien.
Prendre soin de soi.
Conserver les traces concernant les gestes d’intimidation.
Élaborer un plan de sécurité 4 .
L’importance des témoins : actions à prendre pour aider
«Si d'autres enfants interviennent dans une situation d'intimidation, celle-ci prend fin en dix secondes ou
moins dans plus de la moitié des cas». 5
Demander à l’intimidateur d’arrêter.
Demander de l’aide à des amis afin de demander à l’intimidateur d’arrêter.
Apporter du soutien et du réconfort à la personne vivant de l’intimidation.
Demander à un adulte d’intervenir.
Inviter les jeunes vivant de l’intimidation à participer aux activités scolaires 1 .
Créer une diversion. Signifier qu’un professeur arrive.
Exprimer son désaccord.
Signifier à l’intimidateur qu’il ne respecte pas les règles et qu’il aura une conséquence.
Sensibilisation et l’importance du lien parent-enfant
Informer, parler ouvertement de l’intimidation auprès de nos enfants.
Communiquer avec les adultes qui étaient présents au moment de l’événement afin de trouver des
façons pour remédier à la situation et d’empêcher que la situation survienne de nouveau 1.
QUE PEUT FAIRE LE CAVAC : SOUTENIR les parents et les enfants (Intervention psychosociojudiciaire
et post-traumatique), AIDER à compléter le formulaire IVAC, INFORMER par rapport à la cause
criminelle, OUTILLER les parents et les enfants (exemple plan de sécurité) RÉFÉRER à des ressources
spécialisées ( Jeunesse j’écoute, Tel-jeune, etc.)
1 L’intimidation chez les 4 à 11 ans. Dans Gouvernement du Canada. [En Ligne].
http://canadiensensante.gc.ca/kids-enfants/bullying- intimidation/age4-11-fra.php (page consultée le 19 février 2014).
2 Intimidation à l’école. Dans éducaloi.qc.ca ; La loi expliqué en un seul endroit. [En Ligne].
http://www.educaloi.qc.ca/jeunesse/capsules/ ntimidation-lecole (page consultée le 19 février 2014).
3 Informe- toi : Intimidation. Dans Tel-jeunes. [En Ligne]. http://teljeunes.com/informe-toi/intimidation/tu-es-victime (page consultée le 19 février
2014).
4 Si tu es victime d’intimidation. Dans Jeunesse J’écoute. [En Ligne]. http://jeunessejecoute.ca/Teens/InfoBooth/Bullying/Are-You-A-Target.aspx
(page consultée le 24 février 2014).
5 Qu’est-ce que l’intimidation ? Dans Gouvernement du Canada. [En Ligne].
http://canadiensensante.gc.ca/kids-enfants/bullying-intimidationwhat-quoi-fra.php page consultée le 19 février 2014).
P A G E 5
Au fil de ses activités de partenariat, le MAV a également développé un important réseautage avec des orga-
nismes de soutien aux victimes tels, entre autres, le Centre d’aide aux victimes d’actes criminels, l’Association
des familles de personnes assassinées ou disparues, Enfant-Retour Québec, Jeunesse au Soleil, l’Association
Québécoise Plaidoyer-Victimes, le service aux victimes du Service correctionnel du Canada, le Bureau de
l’ombudsman fédéral des victimes d’actes criminels, le Bureau d’aide aux victimes d’actes criminels ou l’École
nationale de police du Québec. De plus, ce module a effectué entre 2010 et 2013, de nombreuses tournées
d’information dans tous les districts afin de promouvoir la mise en place de différents modèles de service avec
le CAVAC et faire connaître la philosophie de la Sûreté du Québec en matière de soutien aux victimes. Le mo-
dule conseille aussi à l’occasion, certains services policiers désireux d’améliorer la qualité de leurs services of-
ferts aux victimes d’actes criminels.
Depuis 2009, ce module a également participé à de nombreuses interventions ou opérations d’envergure qui
ont permis à des victimes ou à leurs proches d’obtenir rapidement les services d’organismes appropriés à leur
situation. Particulièrement, le MAV a participé aux projets BALADEUR et CARBURANT dans le cadre de l’opéra-
tion SharQc, pour le soutien des proches de victimes, dont certaines innocentes (erreur sur la personne). LE
MAV a assuré le soutien aux familles de victimes lors d’un affaissement dans une carrière à l’Épiphanie. Il est
intervenu à plus d’une dizaine de reprises auprès de familles de personnes disparues avec Enfant-Retour Qué-
bec et l’Association des familles de personnes assassinées ou disparues (AFPAD). Plus récemment il a assuré, en
collaboration avec l’Agence de la santé et des services sociaux de l’Estrie, la coordination des services so-
ciaux dispensés aux familles des 47 victimes des événements de Lac Mégantic, au poste de commandement
familles (PC familles).
Le coordonnateur du MAV collabore également étroitement avec le Service des enquêtes sur les crimes
contre la personne (SECP) afin de s’assurer que les proches de victimes d’homicide reçoivent le soutien et les
informations nécessaires à la suite d’un tel événement. Le lien avec les proches d’une victime en pareil cas est
souvent initié par la remise en personne, par les enquêteurs du SECP, de la trousse d’information créée par le
MAV. De 2008 à 2013, le Module d’assistance aux victimes a ouvert 254 dossiers et rencontré ou contacté 488
victimes ou proches de victimes majoritairement dans le cadre d’enquêtes reliées aux activités du SECP. Le
MAV a aussi prêté assistance à l’interne et l’externe dans 181 cas.
Pour les policiers de la Sûreté du Québec, l’expertise développée au sein de ce module constitue une ressour-
ce additionnelle d’information au chapitre de l’intervention auprès des victimes d’actes criminels. Les policiers
peuvent lui faire appel afin d’entrer en contact avec une ressource d’aide adaptée à une victime. Le but
étant d’obtenir le soutien nécessaire pour la mise en place d’une initiative destinée à l’amélioration des servi-
ces aux victimes au sein de l’organisation policière ou de faciliter une intervention policière auprès d’une victi-
me, ses proches ou sa famille à la suite d’un crime majeur. Ce module collabore aussi souvent avec nous, CA-
VAC de la Montérégie, afin que nous puissions améliorer avec vous la qualité des services dispensés aux victi-
mes au sein du district.
Au terme de l’expérience de partenariat vécu avec le CAVAC au cours des dernières années, notamment
avec celui de la Montérégie, le sergent Bernard Caron conclu que « Selon moi, c’est grâce à l’implication sou-
tenue de l’ensemble des districts et particulièrement des policiers qui les composent, que nos programmes de
partenariat avec le CAVAC fonctionnent aussi bien. Les policiers semblent croire à de telles initiatives et à la
valeur ajoutée qui y est rattachée au profit des victimes d’actes criminels ». Il ajoute: «J’ai été agréablement
surpris de l’ouverture d’esprit et de la réponse favorable des policiers de la Montérégie, mais aussi ailleurs en
districts face à l’intégration de ressources externes dans nos locaux tel que les intervenants sociaux du CAVAC.
C’est une belle complicité et une belle complémentarité des services qui se sont installées!».
Pour toute information additionnelle,
le personnel du Module d’assistance aux victimes peut être joint au 450-641-1723
poste 229.
Mélissa à la SQ
Bernard Caron
Le Module d’assistance aux victimes à la Sûreté du Québec – Vers une innovation
pour les services aux victimes! Partie 2
Pour référer rapidement au CAVAC
450-641-3639 ou melis-
Pour policier seulement
P A G E 6 Babillard
BON ÉTÉ !
Le journal revient en
septembre !
Marie-Ève Samson s’est ré-cemment jointe à l’équipe du point de service de St-Hyacinthe. Elle sera aussi ap-pelée à aller aider les collè-g u e s d e St - J e a n -s u r -Richelieu ! Bienvenue dans l’équipe du CAVAC de la Montérégie !
L’Assemblée générale
annuelle du CAVAC de
la Montérégie aura
lieu jeudi 12 juin 2014.
Contactez-nous si vous
souhaitez devenir
membre de l’organism
e
et participer à l’AGA !
1 888 670-3401
Nous souhaitons à Karine Martel,
notre intervenante de Saint-
Hyacinthe, de beaux moments avec
sa famille qui s’est récemment
agrandit !
L’Association québécoise Plaidoyer-Victimes a profité de la semaine natio-nale de sensibilisation aux victimes d’actes criminels pour lancer un outil de sensibilisation destiné aux jeunes victimes de cyber intimidation, vous en saurez davantage en consultant leur site web ! 24 heures textos www.aqpv.ca
Si vous désirez en savoir davantage sur la Charte canadienne des droits des victimes, lancée récemment par le Gouvernement fédéral, consultez : http://pm.gc.ca/fra/nouvelles/2014/04/03/
apercu-de-la-charte-canadienne-des-droits-des-victimes
Vous Souhaitez connaître davantage les services offerts
au CAVAC ?
Vous aimeriez qu’on aille vous rencontrer dans votre
organisme ?
Faites-nous signe ! Nous sommes toujours heureux d’al-
ler rencontrer les partenaires
1 888 670-3401
Un nouveau site internet du Gouvernement du
Canada au sujet de la cyber intimidation et la
cyber sécurité
À consulter !
http://www.pensezcybersecurite.gc.ca/index-
fra.aspx
Un protocole a été signé le 7 avril dernier en-tre l’Autorité des Marchés Financiers et le CA-VAC afin d’enrichir les services offerts aux victimes de crime économique qui se présen-tent à l’AMF h t tp: / /www. le lezard.com/communique -3402152.html
P A G E 8 SNSVAC
Cette année, le CAVAC de la Monté-
régie a tenu a souligner l’engagement
de nos partenaires auprès des victimes
d’actes criminels !
Sylvie et Emmanuelle ont profité de la SNSVAC pour aller
dire un petit merci sucré aux agents de liaison, procureurs,
greffiers, constables spéciaux, juges, agents de probation et
employés de soutien du palais de Justice de Longueuil !
L’équipe du Bureau des Affaires de la jeunesse de Longueuil
ont reçu un certificat d’appréciation du CAVAC et bien des
bonbons !..Il paraît qu’ils ont la dent sucrée !
Les procureurs du palais de justice de Valleyfield : Pierre-Olivier
Gagnon, Marie-Anne Tremblay, Mylène Grégoire, Natalie Bois-
vert, Élise Maldemay, Marie-Ève Côté, Catherine Sheitoyan,
Patrick Cardinal, Véronique Paquette (CAVAC), Nancy Lecomp-
te, Marjolaine Brodeur, Joey Dubois et Kim Émond étaient en-
chantés d’être gâtés lors de leur réunion du mercredi matin !
Véronique et Caroline n’ont pas
manqué de saluer les agents de
liaison de la SQ !
La dernière édition du journal vous
annonçait la tenue d’une course/
marche dans le cadre de la SNSVAC.
Force est d’admettre que nous n’a-
vons pas eu les moyens de nos ambi-
tions ! Ce projet est donc en veille,
peut être pour une autre année !
Cette année, une affiche a été produite et distribuée dans nos
différents points de service afin de souligner la SNSVAC !
Superbe, n’est ce pas !
Marie-Claude et Jacinthe étaient bien concen-
trées à répondre aux questions des partici-
pants à leur quizz ! Elles ont profité de la
SNSVAC pour installer un kiosque au palais
de justice de St-Jean-sur-Richelieu
Hélène en compagnie d’Annie Beaulieu , réceptionnis-
te pour le bureau des procureurs aux poursuites crimi-
nelles et pénales de Longueuil. Nous tenions à souli-
gner son excellente collaboration avec le CAVAC .