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CHARGÉ DE COM. Thomas Encarnação - MMI 2 Avril 2017 - Juin 2017 TUTEUR ENTREPRISE : VALÉRIE MAGNIADAS Assitante à la Direction Service Communication T : 01.60.95.85.19 • F : 01.60.95.85.55 [email protected] DIGITALE ET AUDIOVISUELLE AU SEIN D’UN IUT.

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  • CHARGÉ DE COM.

    Thomas Encarnação - MMI 2Avril 2017 - Juin 2017

    TUTEUR ENTREPRISE :

    VALÉRIE MAGNIADASAssitante à la DirectionService CommunicationT : 01.60.95.85.19 • F : [email protected]

    DIGITALE ET AUDIOVISUELLEAU SEIN D’UN IUT.

  • SOMMAIRE

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    Préambule

    Introduction

    L’UPEM et l’IUT : 25 années de formation

    Les vidéos de formations - Le scénario et la mise en scène - Le matériel utilisé - La postproduction

    Le Festival MMI : - Communication site web - Live facebook -Opportunitée festival MMI

  • PRÉAMBULE : L’OBTENTION DE MON STAGE

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    C’est lors d’un cours de Mme NIEL que l’on nous a parlé des salons de l’Étudiant. Les élèves qui le souhaitaient pouvaient accompagner la personne en charge de la communication de l’IUT, Valérie MAGNIADAS, sur les différents salons étudiants pour parler de la formation MMI, et plus généralement du campus de la Cité Descartes.

    Cette proposition m’a tout de suite plu : J’aime beaucoup échanger avec les gens de manière général, et je me suis tout de suite vu renseigner les futurs étudiants en MMI. C’est donc suite à cette proposition que j’ai rencontré Mme MAGNIADAS, avec qui je me suis tout de suite senti à l’aise.

    J’ai donc participer pendant mes 2 années ici à une bonne dizaine de salon sur Paris mais aussi en Seine et Marne. Lors d’un de ces salons, j’ai appris que Mme MAGNIADAS cherchait à réaliser des vidéos sur les formations proposées à l’IUT. Je lui ai alors proposer de demander au département MMI si c’était possible de le faire en tant que projet vidéo : cela rentrait parfaitement dans notre domaine de

    compétence, et il y aurait tout une démarche à respecter : écriture, tournage, post-production etc... et de manière très professionnalisante : je trouvais ce projet donc très intéressant pour notre promotion, ou celles qui suivraient. Ce n’est que quelques semaines plus tard, fin octobre 2016 que l’on m’a proposé de faire ce travail sous la forme de stage conventionné et rémunéré pour ma deuxième année. Je n’ai pas vraiment hésité, car cela m’enlevait la recherche de stage des choses à faire cette année, et qui en général était assez conséquente pour les MMI en parcours communication. De plus j’allais pouvoir travailler dans un lieu et avec une personne que je connaissais : c’est donc comme cela que j’ai obtenu mon stage, dans le même organisme que ma formation.

    C’est suite à cela que je n’étais pas daccord quand on a pu me dire que mon stage était ‘‘tombé du ciel’’ : j’ai passé beaucoup de samedi sur les salons en Île-de-France, et je vois cela plus comme une récompense de mon investissement sur ces salons pendant ces 2 années à l’IUT de Marne La Vallée.

    Lorsque l’on sait comment j’ai obtenu mon stage à l’IUT de Marne La Vallée, j’ai pu observer un type de comportement très récurrent. ‘‘Thomas ? Son stage on lui a servi sur un plateau, il n’a pas eu besoin de le chercher ’’.Je refuse complètement ce raccourci. Je ne peux pas nier le fait que je n’ai pas eu besoin de chercher un stage, mais j’ai eu du mal à accepter le fait qu’on puisse me dire qu’il m’a été servi sur un plateau, et c’est le premier point que je souhaiterais aborder ici. L’obtention de ce stage a commencé bien plus tôt, dés le début de 1ère année.

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    Immergé pendant 3 mois au sein du service communication de l’IUT de Marne-La-Vallée, j’ai appris comment fonctionnait cette organisme de formation. On peut se faire une idée en tant qu’étudiant, mais après avoir échanger avec mes camarades sur cela, cette idée reste très loin de la réalité. Recruté pour réalisé des vidéos, mon rôle ne s’est pas arrêter à cela : j’ai pu proposer des visuels pour la page Facebook de l’IUT, répondre aux messages des visiteurs, réaliser des encarts publicitaires pour certains journaux, donner mon avis sur des moyens de communications utilisés par ARIUT, l’Association Régionale des IUT d’Île-de-France ou encore travailler sur le Festival

    MMI en communication, un projet qui me tenait beaucoup à coeur en tant qu’étudiant directement concerné.

    Le début n’a pas été simple : je devais me mettre d’accord avec le Campus Numérique pour trouver des dates de tournages, et monter ensuite moi-même les rushs. Ce n’est qu’après 1 mois et de nombreux mail échangés que j’ai appris qu’ils ne seraient pas avec moi pour ce projet. J’ai compris leurs obligations et les (trop?) nombreuses formalitées administratives qu’ils devaient remplir, et qui n’était pas possible que cela se fasse dans la durée de mon stage. Je regrette fortement ce délai de réaction car ils étaient au courant depuis

    décembre 2016 de mon arrivée, et malgré toute la bonne volonté du monde, j’ai eu l’impression de tomber sur un refus systématique sans forcément chercher plus loin.

    J’ai donc accumulé un retard conséquent dés le début qui m’a obligé à enchainer sur un rythme beaucoup plus élevé que prévu le reste des tournages et de la post-production. Ce fut pour moi un exercice qui m’a permis d’apprendre à avoir une organisation sans-faillle, pour pouvoir réaliser toutes les vidéos dans le temps donné.

  • L’UPEM ET L’IUT : 25 ANNÉES DE FORMATION

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    Gilles Roussel, président de l’Université Paris-Est Marne-la-Vallée depuis 2011

    Eric Incerti, directeur de l’Institut Universitaire de Technologie de Marne-La-Vallée

    Dans les années 1990 et 2000, les gouvernements français de François Mitterrand et de Jacques Chirac ont lançés des plans de modernisation des universités françaises. Le 23 mai 1990 est arrêté en conseil des ministres le plan «Université 2000» : un financement d’environ 40 milliards de francs, et qui voit naître huit «Universités nouvelles». Parmis elle, l’Université de Marne-La-Vallée avec un logo déjà orange et deux oiseaux qui s’envolent dans le ciel. C’est en 2007 qu’elle devient membre du pôle de recherche et d’enseignement supérieur «Université Paris-Est» : L’Université de Marne-La-Vallée intègre la mention «Paris-Est» dans son nom. Le 1er Octobre 2013, suite à un changement d’identité graphique, l’UPEMLV devient l’UPEM. En juin 2014 est voté dans son principe la fusion de l’UPEM et de l’UPEC, (Université Paris-Est Créteil), par Gilles Roussel et Luc Hittinger, pour créer une université de 40 000 étudiants et 3500 enseignants chercheurs, opérationnelle au 1er janvier 2017.Début mars 2016 est élu à la tête de l’UPEC Olivier Montagne, candidat d’une alliance de deux listes réticentes à la fusion, et qui avorte donc le plan de fusion des deux universités... pour le moment ! Olivier Montagne

    dans un article de l’Étudiant déclarait qu’il étudiait avec l’UPEM « Toutes les possibilités de rapprochement, ce qui n’exclut pas la fusion, mais pas dans l’immédiat ».L’UPEM aujourd’hui, c’est 11 000 étudiants, 900 personnels administratifs, 285 enseignants et enseignants chercheurs, ainsi que 73 millions d’euros de budget en 2016.

    L’ancien logo de l’UPEMLV

    L’IUT de Marne la Vallée a lui ouvert ses portes en septembre 1992, avec 150 étudiants inscrit en DUT GEA (Gestion des Entreprises et des Administrations), et dès la rentrée 1993, 5 DUT sont au programme sur 2 pôles à Champs sur Marne et Meaux : MMI : Métiers du Multimédia et de l’Internet (ex-SRC), GTE : Génie Thermique et des Énergies, GC : Génie Civil, GEA et TC : Technique de Commercialisation. Dirigé par Eric Incerti, l’IUT accueil aujourd’hui 1087 étudiants en formation initiale, 207 en formation continue, et 785 en apprentissage, pour un taux de réussite annuel d’environ 90%.

  • UNE PRÉSENTATION DES FORMATIONS PAR LA VIDÉO

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    J’ai tout d’abord commencé par écrire un «scénario» qui s’adapterais à toutes les formations. C’est Valérie MAGNIADAS qui m’a donné le point de départ et la seule contrainte qui me sois imposé : avoir 3 temps incarné par 3 intervenants : le chef de département, qui représente la formation, un(e) étudiant(e) de 1ère année, pour que la personne qui regarde la vidéo puisse s’identifier facilement à cette dernière,

    et enfin un(e) ancien(ne) étudiant(e), pour que l’on puisse se projeter, voir où le DUT peut amener.

    Pour m’inspirer, j’ai été voir si les autres IUT avaient réalisés des vidéos de ce genre. A partir de ce que j’ai trouvé, j’ai pu établir une liste de bons et mauvais points, le but était d’éviter ce que je trouvais de mal adapté, et de récupérer les bonnes idées des autres IUT. Voici donc les principaux points que j’ai retenu et qui étaient parfois récurrents :

    Cela a été ma mission principale durant ce stage. Parmi les 6 DUT présent à l’IUT et répartie sur les 2 sites (Champs-sur-Marne et Meaux), j’ai du réaliser une vidéo dites «institutionnelle» pour chaque formation. C’est dans cette partie que je vais vous présenter la méthode que j’ai utilisée pour toutes les vidéos.

    Bon points retenus sur les autres IUT et organisme de formation :

    --> La répartition des temps de parole

    --> Intro et outro en motion design (IUT Sénart Fontainebleau)

    --> Miniatures travaillés (Hétic)

    --> Descriptions YouTube complète

    Mauvais points retenus sur les autres IUT et organisme de

    formation :

    --> Pas d’avis d’étudiants (Hétic)

    --> Pas ou peu d’information (IUT Cergy Pontoise)

    --> Texte rédigés et récités (IUT St Étienne)

    Grâce aux précédentes réalisation, j’ai pu déterminer les grandes lignes de chaque vidéos : j’allais devoir créer une animation en introduction, avec le logo de l’IUT, et l’intitulé de la formation présenté. Il me faudrait également des plans des bâtiments pour avoir en fond. Sur les 3 personnes interviewées, j’alternerais les informations donnés par le chef de département et l’étudiant(e) en 1ère année. Je mettrais à la fin l’ancien(ne) étudiant(e) : j’ai choisi cette configuration car pour moi, les 2 premiers protagonnistes représentent l’IUT dans le présent, ce qui fait qu’on peut les mélanger, alors que pour le dernier, l’IUT représente le passé. On éviterait également de perdre le spectateur.J’ai également choisi de ne pas faire rédiger un texte afin d’obtenir une réponse plus spontanée. J’ai pu remarquer tout de suite sur les autres vidéos les parties rédigées et cela me gênait en tant que spectateur. J’ai donc choisi de préparer mes questions pour orienter les réponses vers les informations que je voulais, mais de ne pas les montrer avant l’interview.

  • Le matériel mis à ma disposition :

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    Je ne voulais pas avoir à afficher les questions à l’écran, je trouvais que cela cassait un peu le rythme. Mon but était de me servir des réponses apportées pour faire un montage entre les infos : j’ai réaliser une série de question à l’encontre de chaque personne. Celles-ci étaient assez précises, pour amener implicitement la réponse que je souhaitait obtenir.

    La 2ème étape de la production de ces vidéos passe par la case «tournage». Pour cela, j’ai eu accès au matériel suivant, prêté par le département MMI de Champs-sur-Marne. C’était un avantage pour moi car j’avais déjà travaillé avec pendant ma formation : je connaissais déjà bien les réglages d’usages, et ce fut un gain de temps considérable.

    Caméra SONY XDCAM PXW-X70Micro-canon RODE

    Une caméra que j’ai pu utiliser lors des différents projets audiovisuels en 2ème année : le micro était une sécurité, je ne m’en suis jamais servi dans les montages éditées, mais avais capturé le son au cas où un beug aurait eu lieu sur l’enregistreur ZOOM.

    Micro-cravate SONY

    Équipé d’une prise XLR, ce micro était branché au ZOOM H4N. C’est de ce micro que proviennent les enregistrements montés sur les vidéos édités.

    Enregistreur ZOOM H4N

    Branché au micro cravate en stéréo pour les interviews, les micros interne ont également servi pour enregistrer les voix des Fast and Curious, du fait du nombres de personnes présentes.

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    La 3ème étape fut sans aucun doute la plus longue. Bien préparé en amont, j’ai pu constater que le travail était beaucoup plus simple en post-production : je savais exactement ce que j’avais filmé et le résultat que je voulais obtenir. Certains choix ce sont également fait en phase de montage : mettre l’ancien étudiant à la fin n’étais pas prévu au début mais le premier rendu étant légèrement confus, nous avons pris la décision de le placer à la fin.

    On peut distinguer 4 étapes dans la post-production : tout d’abord, j’ai remarqué précédemment que les introductions en motion design faites par l’IUT de Sénart Fontainebleau était une bonne idée pour introduire le sujet et l’IUT concerné. J’ai donc récupéré sur le site de l’UPEM le logo de l’IUT (cf annexe 1) au format eps (Illustrator). Depuis ce logiciel, j’ai découpé les lettres «U», «P», «E» et «M», ainsi que le logo de la composante concerné (l’IUT), et le trait de séparation. J’ai placé chaque item sur un calque différent pour pouvoir m’en servir sur After Effect, et animer chaque partie découpée indépendamment. A partir de ce découpage, j’ai pu faire apparaître à l’écran chaque lettre de l’UPEM, la mention «Université Paris-Est Marne-la-Vallée» grâce à 1 masque pour chaque ligne, puis le trait de séparation de haut en bas grâce à un nouveau masque et enfin le logo de la composante en fondu. En background, on peut trouver des plans de l’IUT de Champs sur Marne, ainsi qu’un rectangle blanc en opacité 75%, qui fait ressortir le logo sur les vidéos.

    Le logo découpé est composé du logo de l’UPEM (à gauche), d’un trait de séparation et du logo de la composante, à savoir celui de l’IUT (à droite). Cet ensemble forme le logo de l’IUT, ce dernier étant une composante de l’Université.

    1 : Apparition des lettres U, P, E et M.

    3 : Apparition du logo de la composante en fondu

    2 : Apparition du trait de séparation de haut en bas

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    Pour la deuxième partie de l’animation, on peut retrouver le même rectangle blanc avec un autre plan de l’IUT en fond. Un contour jaune (le même que celui utilisé dans le logo) va faire le tour, puis la mention «IUT de Marne-la-Vallée, DUT MMI : Métiers du Multimédia et de l’Internet» apparît grâce à une animation de texte prédéfini. Enfin, pour la sortie, le texte disparaît de la même manière qu’il est apparu, et le contour jaune fait le chemin inverse en même temps. Le tout se termine sur un fondu au noir, pour faire place à l’interview.

    Le cadrage des intervenants est effectué sur la table ronde du 2ème étage de l’IUT. On y trouve une lumière naturelle : avantage à l’image mais inconvénient pour les personnes interviewer le matin qui se retrouve avec le soleil de face. On peut trouver le logo de l’IUT en haut à gauche ainsi qu’un encart en bas à droite avec le nom, le prénom et le poste de la personne à l’écran. La couleur orange de l’encart est celle présente dans la charte graphique de l’UPEM.

    La toute fin de la vidéo présente les remerciements : sont cités les personnes qui apparaissent à l’écran mais également ceux qui ont organisés les rencontres avec les anciens étudiants. La musique utilisée est libre de droit et gratuite : j’ai contacté le propriétaire de la musique qui m’a dit que je pouvais l’exploiter gratuitement mais sous réserve de mentionner le titre et le site où on peut la télécharger. Sur Youtube, cela devra avoir un lien cliquable, mais ce lien n’étant pas disponible pour le site, je l’ai également mentionné dans l’outro (cf ci dessous).

    On ne doit également pas oublier le coté administratif et juridique des tournages : j’ai donc du faire signer une autorisation de droit à l’image donné par le campus numérique. De même, j’ai rempli un contrat de cession de droit d’auteur par rapport à la capture d’images, de vidéos et des montages que j’ai réalisé à l’IUT (cf annexe 2 et 3). C’est ce qui explique que la mention réalisation porte le nom de «IUT de Marne-la-Vallée» et non «Thomas Encarnação».

  • 10

    Après avoir vu donc la première (animation de début) et la deuxième étape (animation de fin), il est temps de venir aux deux dernières étapes, indépendantes bien que complémentaires. J’ai très souvent montés mes vidéos grâce au logiciel Sony Vegas Pro 13, pour sa simplicité et ma connaissance accru de ces raccourcis. Dés les premières semaines, j’ai pu échanger avec Jayson SANSOL, technicien audiovisuel au campus numérique qui m’a parlé des logiciels utilisés chez eux pour le montage, à savoir Adobe Premiere Pro et After Effect. Un autre problème s’est ensuite

    posé : la fonction «rassembler» présente sur beaucoup de logiciel de chez Adobe et qui permet à n’importe qui de récupérer les fichiers de montage n’existait pas sur Sony Vegas. Si un jour pour une raison inconnu quelqu’un était amener à vouloir modifier les vidéos, il ne pourrait tout simplement pas car les ressources ne seraient pas liés. Je me suis donc décider à me mettre sérieusement a l’apprentissage d’Adobe Premiere que j’avais déjà utilisé auparavant sans grandes compétences techniques. J’ai trouvé un logiciel beaucoup plus performant que ce que

    je pensais : j’ai appris un grand nombre de raccourci et de réglages. Aujourd’hui, je pense que mes futurs projets audiovisuels seront montés sur Premiere. Enfin, après avoir monté la vidéo, j’ai importer la composition Premiere Pro dans After Effect afin d’y ajouter l’intro, l’outro et les encarts pour les noms. Le rendu a effectué avec Media Encoder en H.264 avec une extension MP4. Une fois le rendu terminé et les vidéos validées, j’ai rassembler les fichiers Premiere et After Effect dans un dossier que j’ai laissé à Valérie MAGNIADAS, au cas où il y aurait des modifications à apporter.

    Capture d’écran du logiciel After Effect pout la vidéo sur MMI

  • UN MMI AU FESTIVAL MMI 2017 À MEAUX

    11

    Le festival national MMI est un évènement qui chaque année permet de mettre en valeur des œuvres de formats divers, telles que des jeux vidéos, des créations audiovisuelles, ou des sites webs, tous réalisés au cours de leur formation par des étudiants de l’ensemble des départements MMI des IUT de France.

    Tous d’abord en tant que participant, j’ai trouvé intéressant de participer à la communication du rassemblement. J’ai tous d’abord fabriqué les 50

    pochettes distribués aux chefs de départements et partenaires financiers avec les formations de l’IUT. De même, j’ai participé à l’interview du journal Le Parisien, pour un article paru dans l’édition du 31 mai 2017, sur les pages d’information locales, ainsi que sur leur site internet. Le plus gros de ma mission se passait le jour même du Festival. Ma tutrice de stage étant en colloque à Laval ce jour là, je devenais le seul représentant du service communication de l’IUT. Dès 14h, je devais faire vivre sur Facebook les préparatifs de la cérémonie à l’aide de photos,

    mais ce programme prévu depuis quelques semaines à complètement changer moins de 48h avant la cérémonie. Sylvie Francescon, directrice des études des MMI 2ème année à Meaux m’a alors demandé de m’occuper des comptes officiels Facebook et Twitter du Festival pendant la cérémonie. Cela changeait absolument toute mon organisation, car je devais publié les résultats pour 3 comptes différents sur 2 plateformes différentes en même temps, en prenant en même temps des photos. J’ai donc dû tout revoir :

    N’ayant pas la liste des vainqueurs en avance, et après avoir pris conscience du temps très restreint que j’aurais sur place, j’ai décider de préparer des encarts comme celui juste à droite pour tous les nommés. Ainsi, lors de l’annonce des nommés, je n’aurais plus qu’à choisir le bon et le poster. Pour le prix du public, j’ai réaliser le même pour les 5 réalisations ayant obtenues le plus de voix.

    Lors de la cérémonie, je devais poster une photo de chaque vainqueur avec le trophée. N’ayant pas le temps de charger les photos sur mon ordinateur, je me servais à la fois de mon portable pour poster les images capturées sur Facebook, ainsi que mon PC pour annoncer les vainqueurs grâce aux encarts sur Facebook et Twitter. C’est à ce moment que j’ai compris l’utilité des logiciels comme Hootsuite, qui permettent de gérer plusieurs comptes de plusieurs réseaux depuis une seule interface.

    Nous avons également été confronté à un problème majeur dans la salle : l’accès Internet. Pour faire suivre en direct les résultats, avoir internet était plus que nécessaire, mais le musée

  • 12

    Un étudiant en 2ème année MMI à Blois est venu assister au Festival, son stage étant à Paris, et nous as laissé un petit message sur Twitter...

    Toujours sur Twitter, le compte MMI Saint-Dié a posté de son coté quelques photos et a donc participer à la promotion du Festival !

    ne disposait pas de connexion internet sans fil. Seul le PC du musée pouvait se connecter au réseau filaire, et j’ai pu me servir à ce moment des TP réseaux : en récupérant l’adresse IP du PC du musée et en l’appliquant à ma propre machine pour pouvoir me connecter.

  • 13

    !

    Pouvons-nous donc faire un bilan de cette soirée en matière d’audience sur les réseaux sociaux? Ci-dessous les chiffres de la page Facebook du Festival le 1er juin 2017, jour de la cérémonie : grâce aux divers promotions de l’événement (Article dans LeParisien, Post Facebook et Twitter de l’UPEM, site web de l’IUT, et la communication des autres IUT avec des représentants), et au fait qu’il n’y ai pas de lien de streaming vidéo, les spectateurs se sont rabattus sur la page Facebook ou le fil Twitter pour connaître les résultats : nous avons donc recensé à cette date 477 visiteurs uniques sur la page, mais avec une portée de 3 834 personnes : Cela correspond donc au nombre d’utilisateurs qui ont vu passer la publication dans leurs fil d’actualité. Autre chiffre important, on dénombre 2 790 interaction ce jour la uniquement : une interaction signifie chez Facebook des actions comme réagir (like), commenter, partager, regarder une photo ou une vidéo ou encore cliquer sur un lien.

  • L’IUT introduit aux médias sociaux

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    C’était je pense ce qu’il manquait à l’IUT. Pour des raisons de centralisation et d’uniformité dans la communication de l’université, l’UPEM s’est toujours montré défavorable au fait qu’une de ces composantes ai une présence active sur les médias sociaux. Depuis 2 ans donc, l’IUT a possédé 2 pages Facebook, à l’usage très limitée, réunissant une centaine d’abonnée chacune, dont une page qui n’est plus active et l’autre dont les posts sont assez rare. Le fait que l’IUT ne sois pas présent sur ces plateformes est en effet problématique : de plus en plus de personnes cherchant des informations se tournent désormais vers Facebook ou Twitter. Si ce dernier est assez limité, il me paraissait important de régler ce problème sous 2 axes, quitte a passer outre des recommandations de l’université :

    - Objectif n°1 : trouver un contenu a publié uniquement sur facebook, qui développerais une audience ciblé (les étudiants et futurs étudiants de l’IUT), pour que cette cible suive plus régulièrement les publications postés. En effet, Facebook peut devenir un élément de communication sans véritable égal à l’IUT : les étudiants se rendent beaucoup plus souvent sur cette plateforme que sur le site web. De plus, certains IUT ont déjà fait le pas et obtiennent des résultats plus que concluant (IUT Paris Descartes notamment)

    - Objectif n°2 : Centraliser les deux pages existantes, et rendre «officielle» l’une d’entre elle pour augmenter son référencement et sa visibilités.

    Objectif n°1 : Ayant des étudiants à filmer, je suis partie de cette base là. Je voulais proposer un contenu sous format audiovisuel, assez court, et qui serait susceptible d’être partager par les étudiants de l’IUT. J’ai alors penser à une vidéo particulière qui circulait beaucoup de chez Konbini.

    C’est un site web français de divertissement fondé à Paris en 2008 par David Creuzot et Lucie Beudet. Il dispose de bureaux à Paris, Londres, New York et Mexico et le nom du site est une référence au konbini japonais, magasins de proximité ouvert 24h/24. Pilier du développement par les médias sociaux, Konbini revendique en 2015 plus de 60 millions de visiteurs unique annuel, ce qui représente ni-plus, ni-moins que la totalité de la population française ! Parmis ces réussites, on reviens souvent au «Fast and Curious», une interview

    généralement de personnalité du cinéma et de la musique, où les artistes doivent faire un choix entre deux propositions concernant leurs carrières ou leurs domaines (deux réalisateurs pour un acteur, deux autres chanteurs pour une personalitée de la musique etc...). Les choix sont fait de manière très rapide, avec une justification très courte ou inexistante. Pourquoi donc ne pas adapter cette idée à l’IUT? Les choix serait en rapport avec les formations, et les étudiants y participeraient. Intriguer par l’idée, les étudiants seront donc amener à visiter la page facebook de l’IUT (et en découvrir son existence pour la plus part). Ils seront diffusés dés septembre et la totalité devra être mis en ligne avant les salons de l’Étudiant.

  • Et Twitter dans tous ça ?

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    Objectif n°2 : Au lieu de supprimer une des pages pour rendre l’autre officiel, nous avons effectué une demande de fusion à Facebook. Les deux pages ayant comme administrateurs la même personne et portant le même nom, la demande ne pouvait qu’être acceptée, ce qui fut le cas : nous avons donc rien qu’avec cette opération presque doublé le nombre de «like» sur cette page, passant de 119 à 226. De même, je ne trouvais pas professionnel de marqué «officiel» dans le nom. J’ai donc soumis une deuxième demande à Facebook : grâce à un numéro de téléphone de l’IUT nous avons pu prouver que cette page était bien la page géré par le service communication, et Facebook a rajouté la mention «Page vérifiée»

    à IUT de Marne-la-Valée grâce à un petit logo situé juste après le nom. La page est ainsi mieux référencée dans les résultats, et dispose d’une visibilitée bien supérieur à ce qu’elle avait avant. De plus, nous avons obtenu le badge messenger, qui permet aux utilisateurs de Facebook de savoir que les réponses aux messages privés sont rapides avec un temps de réponse moyen de 3 minutes et un taux de réponse à 100%. À l’heure actuelle, la page est référencée en premier sur la recherche «IUT de Marne-la-Vallée» sur facebook. Pour poursuivre

    son développement, il faudra annoncer sur les écrans de l’IUT l’existence de la page pour les prochains étudiants et les mettre au courant des vidéos qui seront publiées.

    Pourquoi ne pas créer un compte Twitter pour l’IUT? Nous avons obtenu les chiffres des réseaux sociaux de l’UPEM, qui possède un compte Twitter. Ce dernier ayant franchi la barre des 8 000 abonnés, on peut observer que le taux d’engagement de ces abonnés est très faible : 1.40% pour le mois de mai, un pic étant atteint cette année au mois de février avec un taux de... 1.9%. les tweets y sont pourtant réguliers, mais le problème vient d’autre part de ce que j’ai pu y voir : Twitter est en réalité utilisé pour relayer les mêmes infos que sur Facebook et les autres réseaux sans vraiment prendre en compte les spécificités du réseau. Pour exemple, après avoir demandé au service communication de l’UPEM de faire une publication sur le festival MMI, j’ai pu observer qu’ils utilisaient le hashtag #Festival plutôt que le #FestivalMMI : une erreur qui aurait été dérisoire si le festival de Cannes n’avait pas lieu 4 jours avant : le tweet se trouva donc noyé dans tous les autres festivals du monde. Une utilité donc très limité de ce réseau nous as encourager a ne pas en créer un... pour l’instant !

  • Conclusion

    Bilan professionnel

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    Si j’ai accumulé du retard en début de stage avec les échanges très limités que j’ai pu avoir avec le campus numérique, cette expérience qui partait plutôt mal c’est transformer en une véritable force. Je me senti comme un débutant, un amateur, ou même incompétent, vis à vis de leur façon de me répondre. De même, ils m’ont poser des questions sur le projet dont les réponses se trouvaient dans un document que j’ai transmis à beaucoup de personne de leur service... J’avais l’impression de me trouver face à un mur où peu importe la proposition, la réponse serait «non» sans justification. Ces nombreux refus et non-respect (le mot est peut-être fort mais mûrement réfléchi) de leur part ont fait ressortir en moi plus qu’une envie de bien-faire, mais une envie de mieux faire. J’ai voulu prouver que je n’étais pas ici par hasard, et que je pouvais rendre un travail de qualité sans leur aide. Cela m’a aidé à me donner à 200%, et les personnes qui ont participer se sont majoritairement senti impliqué dans le projet, ce qui m’a énormément aidé.Les missions qui m’ont été confiée en community management étaient pour moi d’excellentes expériences, car elles m’ont permis d’exercer une fonction qui sera plus tard mon métier. Le Festival MMI fut également une motivation grâce à la présence de mon agence de projet tutoré dans ce festival avec 2 prix remportés sur 3 possibles. C’est également par les réseaux sociaux que j’ai soutenu pendant toute la durée des votes la réalisation de Circé GRAND à grand coups de communication via Facebook et Twitter, et j’ai été très heureux de sa victoire, ainsi que d’avoir a l’annoncer lors de la cérémonie.Je regrette seulement le fait de ne pas pouvoir voir dans l’instantanée les résultat du travail que j’ai effectué sur la page de l’IUT, mais il est certain que je suivrais l’année prochaine les évolution de la page.

    Un seul mot : réussite. Ce fut pour moi un stage dans lequel j’ai appris énormément. En vidéo, j’ai appris en autodidacte le logiciel Premiere Pro, et je l’ai trouvé beaucoup plus puissant que celui que j’utilisais d’habitude. J’ai également appris de nouvelles fonctions sur Facebook (Notamment la fusion des pages, et les étapes de validation pour avoir une page certifié. J’ai pu également animer en direct un évènement sur plusieurs réseaux, une mission que je serais amener à faire plus tard pour d’autres évènements, et malgré l’organisation que j’avais prévu, j’ai pu trouver de nombreux points d’amélioration pour la suite. Cela restera ma première véritable expérience en animation d’évènement sur les réseaux sociaux, et je pense pouvoir dire que ce fut une réussite.

  • Bilan personnel

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    Ce stage n’a fait que confirmer mon orientation professionnelle. Je suis venu au départ pour faire un stage en rapport avec le secteur audiovisuel, qui s’est tourné vers de la communication externe à travers les médias sociaux dans ma plus grande satisfaction. J’ai énormément appris sur la communication entre les services, mais également les relations presse, et l’organisation d’événement comme le festival MMI. Enfin, pour clore ce rapport, ayant été accepté dans la LP que je convoitais depuis janvier en community management, j’entame un nouveau chapitre dans ma scolarité. Grâce à ce stage, je dispose d’une expérience professionnelle supplémentaire à valoriser pour trouver une alternance, mais je peut dire également que le DUT m’a énormément appris sur tous les domaines du web. J’ai eu des moments difficiles, des matières compliquées, mais j’ai tenté de m’accrocher dans la plus part des matières, vécu de supers expériences et rencontré des étudiants qui partageaient les mêmes passions que moi. Avant l’IUT, les études ne m’ont jamais passionnée, mais vous avez su me donner l’envie d’apprendre, la curiosité d’explorer tous les domaines du web, et d’aller chercher plus loin que les cours donné : je me suis épanoui complètement dedans. Si en rentrant ici mon projet professionnel étais assez flou, il est parfaitement précis aujourd’hui. Ce diplôme m’a apporté la polyvalence qu’on nous avait promis il y a 2 ans, et si on ne s’en rend pas forcément compte, je serais à jamais reconnaissant de ce que toute l’équipe enseignante de Champs-sur-Marne m’a apporté, mais également tous l’IUT pour l’opportunité que l’on m’a donné d’effectuer mon stage ici.

    Merci.

  • Webographie

    Glossaire

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    - Wikipédia - Université Paris Est Marne-la-Valléehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Université_Paris-Est-Marne-la-Vallée

    - l’Étudiant - UPEC UPEM : La fusion n’aura pas lieu... pour le moment !http://www.letudiant.fr/educpros/actualite/upec-upem-la-fusion-n-aura-pas-lieu.html

    - Wikipédia - Konbini (Site web)https://fr.wikipedia.org/wiki/Konbini_(site_web)

    Terme Annotation

    Colloque Réunion visant à l’étude d’une question scientifique ou à la discussion de problèmes diplomatiques, économiques, politiques, etc. ; congrès.

    EPS Le format Encapsulated PostScript (EPS) est un format ouvert créé par Adobe Systems en langage PostScript qui permet de décrire des images qui peuvent être constituées d’objets vectoriels ou bitmap

    Médias-sociaux

    Terme visant à remplacer «Web 2.0» et concernent une grande variété de sites différents : les blogs, les wikis, et les réseaux sociaux numériques de tout type.

    XDCAMLe XDCAM est un support de données pour caméra numérique et professionnelle. La caméra utilise comme support un disque ou des cartes mémoires plutôt qu’une cassette.

    XLRUn connecteur XLR est un type de fiche utilisé pour relier différents appareils professionnels appartenant au domaine du spectacle (audio et lumière). Ces connecteurs sont de section circulaire et possèdent entre trois et sept broches.

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