cnrs - criteres et test solution eai

Centre national de la recherche scientifiqueDirection des systèmes d'information

PRESENTATION GENERALE EAI

Référence : NOT02L086DSI

Date : 13/11/2002

Version : 1.1

Auteurs : V. Longueville

Diffusion : DSI – Bureau BBFC

Objet du document : Présentation générale des concepts et des outils EAI

Présentation générale EAI

Table des mises à jour du document

Version Date Objet de la mise à jour

1.0 13/11/2002 Création du document

1.1 05/12/2002 Finalisation des chapitres 1,2 et 3

Compléments apportés aux chapitres 4 et 5

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Sommaire

1 DÉFINITION.............................................................................................................................. 4

2 PRINCIPES ET OBJECTIFS.....................................................................................................4

2.1 Intégration des interfaces entre applications.................................................................4

2.2 Intégration des processus métier..................................................................................5

2.3 Intérêt des EAI.............................................................................................................6

3 CRITÈRES DE CHOIX D’UN OUTIL EAI...................................................................................7

4 PRINCIPAUX OUTILS D’EAI....................................................................................................9

5 AUTRES OUTILS D’EAI..........................................................................................................15

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1 DÉFINITION

L’EAI (« Enterprise Application Integration », en français « Intégration des Applications d’Entreprise ») permet de synchroniser et de faire communiquer des applications hétérogènes (développementsspécifiques ou progiciels) par échange d’informations en temps réel, indépendamment des plates-formes et du format des données.

2 PRINCIPES ET OBJECTIFS

Le rôle d’un EAI s’arrête à la gestion des interfaces et des échanges inter-applicatifs. Il n’intervient pas dans le fonctionnement interne des applications de l’entreprise, qui restent indépendantes entre elles et conservent leurs fonctions et processus métier. Le choix d’un outil d’EAI n’est donc pas structurant pour le système d’information d’une entreprise.

Les outils d’EAI répondent à différents niveaux de besoins, de complexité croissante :

- Migration de données (transfert de données d’une application existante vers une nouvelle application destinée à la remplacer).

- Evolution de l’architecture des interfaces entre applications existantes du mode « point à point » (ou « spaghetti », ou A2A pour « application to application ») vers une architecture intégrée connectant toutes les applications vers un même point de communication.

- Automatisation et synchronisation des processus métier (organisation et enchaînement des tâches entre applications) sans ou avec intervention humaine (workflows).

- Mise en œuvre de l’entreprise étendue (ou B2B « business to business » : échanges sécurisés entre l’entreprise et l’extérieur, portails d’entreprise).

2.1 Intégration des interfaces entre applications

Pour répondre aux deux premiers besoins, le principe de l’EAI est de mettre en place un bus d’échange d’information entre applications, selon le mode « Publish & Subscribe » : dès qu’une information présente dans une application doit être transmise à d’autres applications, l’application source « publie » l’information dans le bus d’échange. Les applications destinataires peuvent alors « s’abonner » pour recevoir cette information via le bus.Ce mode de fonctionnement permet de remplacer le développement d’autant d’interfaces spécifiques que de couples d’applications source et destinataire par un seul canal de communication auquel toute application peut se connecter pour transmettre et/ou recevoir des données.

Les informations sont donc transmises sous forme de messages, qui peuvent contenir :

- uniquement des données (par exemple la description d’une unité de recherche),

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Appli 1

Appli 2

Appli 3

Appli 5

Appli 4

Appli 1 Appli 2 Appli 3

Appli 5 Appli 4

BUS D’ECHANGE


- des données et une action à effectuer sur ces données (par exemple un message « créer une unité de recherche » contenant la description d’une unité de recherche à créer et la méthode de création).

Afin que l’information puisse être publiée et interprétable par n’importe quelle application, un outil d’EAI doit assurer les services suivants :

- Mettre à disposition un ensemble de connecteurs (ou « adapters ») permettant à toute application, quel que soit son environnement (progiciel ou application spécifique, langage, format de données, …) de dialoguer avec le bus d’échange. Un connecteur est un ensemble de règles de formatage permettant de normaliser le format des messages transmis par les applications au bus d’échange. Tous les messages qui circulent sur le bus d’échange ont donc le même format (XML par exemple). Chaque connecteur est destiné à un type d’application particulier. Il existe trois types de connecteurs : - connecteurs de données : interfaçage avec les fichiers plats, les bases de données

relationnelles (Oracle, DB2, SQL Server, …), …- connecteurs applicatifs : interfaçage avec les applications spécifiques écrites dans les

langages les plus courants (JAVA, C, C++, …)- connecteurs de progiciels : interfaçage avec les progiciels type PGI (SAP, PeopleSoft, …),

CRM, …La plupart des outils d’EAI proposent un éventail de connecteurs standards plus ou moins étendu. Certains EAI comportent également un module de développement de nouveaux connecteurs pour des applications spécifiques.

- Transporter et router les messages vers les applications destinataires suivant les règles « d’abonnement » préalablement définies.

- Après transmission, transformer les messages pour les mettre au format interprétable par l’application destinataire (« mapping »).

La structure des messages est normalisée via la définition de « formats pivots » (exprimés sous forme de schéma XML ou de DTD). Par exemple, chaque message contenant la description d’un client aura toujours la même structure prédéfinie. La définition d’un format pivot est issue de la réflexion commune des responsables fonctionnels des applications communiquant via l’EAI : la structure adoptée pour chaque objet à échanger (par exemple : client, facture, …) doit contenir toutes les informations nécessaires aux différentes applications.

2.2 Intégration des processus métier

Pour répondre aux besoins d’automatisation et de synchronisation des processus métier, les solutions EAI proposent des outils de BPM (« Business Process Management ») qui permettent :

- de modéliser les échanges entre processus métier (par exemple en UML),

- d’implémenter la description des flux de données entre applications issue de cette modélisation au niveau du bus d’échange.

Pour la plupart des outils EAI, le niveau de modélisation ne va pas jusqu’à la description de l’ensemble des flux d’un processus métier (par exemple, l’intégralité de la facturation), il s’arrête au niveau de la description d’un échange entre deux applications. D’autre part, peu d’outils de BPM permettent d’intégrer les interventions humaines (workflow) dans la description des flux.

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* €

€ € € € € €

AC

TE

UR

SH

UM

AIN

S

MODELISATION / AUTOMATISATIONWORKFLOW

Finance Achats Comptabilité RH Qualité ...

TRANSFORMATION / ROUTAGE / TRANSPORT

CONNECTEURS

EA

I

PGI Applicationspécifique

…

MODELISATION / AUTOMATISATIONPROCESSUS METIER

AP

PL

IC

AT

ION

S


2.3 Intérêt des EAI

Un outil d’EAI permet de suivre et de maîtriser l’évolution et/ou la refonte du système d’information :

- dans un premier temps sans remplacer les applications existantes, en fédérant progressivement les interfaces entre applications (flux par flux),

- en connectant les nouvelles applications au bus d’échange unique au fur et à mesure de leur apparition pour leur transmettre l’information dont elles ont besoin.

En utilisant les connecteurs fournis et maintenus par l’éditeur de l’outil EAI, on minimise le coût de développement et de maintenance lié aux interfaces spécifiques entre applications.

L’EAI permet également de mettre en œuvre l’une des trois solutions possibles pour résoudre les problèmes de redondance d’information dans les différentes applications de l’entreprise (mises à jour multiples de la même donnée présente dans plusieurs applications, incohérence des données, …) :

- suppression totale de la redondance : on ne conserve qu’un seul référentiel pour chaque donnée et on met en œuvre dans l’EAI les interfaces nécessaires pour transmettre la donnée aux applications qui en ont besoin,

- identification d’une application maître : on détermine pour chaque donnée quelle est la structure de référence (c’est à dire celle qui contient la donnée « officielle » et à jour) et on met en œuvre

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dans l’EAI les interfaces nécessaires pour transmettre la donnée (éventuellement transformée) aux autres applications qui la contiennent et l’utilisent,

- mises à jour croisées : on met en œuvre dans l’EAI toutes les interfaces nécessaires pour que la donnée soit automatiquement mise à jour dans les applications où elle est présente dès qu’elle a été modifiée dans l’une de ces applications.

3 CRITÈRES DE CHOIX D’UN OUTIL EAI

Il existe deux principaux types d’outils EAI :

- orientés processus métier (la modélisation des processus métier et des workflows est un point de départ obligatoire, le point d’entrée de l’outil EAI étant un outil de BPM). Ce type est adapté dans le cadre d’une démarche « Top-down » : refonte totale du système d’information à partir de la définition des processus métier (expression des règles d’interaction entre les différentes fonctions de l’entreprise en terme d’enchaînement de tâches), débouchant sur le développement de nouvelles applications mettant en œuvre des interfaces complexes.

- modulaires , constitués de plusieurs briques : - ensemble de connecteurs,- outil de transport, routage et transformation,- éventuellement outil de BPM.Chaque brique peut être acquise et mise en œuvre séparément. Ce type est adapté dans le cadre d’une démarche « Bottom-up » : dans un premier temps, intégration au sein de l’EAI des interfaces entre les applications existantes (expression des règles d’interaction entre les différentes fonctions de l’entreprise en terme d’échange d’information), puis enrichissement progressif du périmètre de l’EAI au fur et à mesure de l’évolution du système d’information.

Un autre critère de choix est l’architecture technique de l’outil EAI :

- le type et les capacités du MOM (« Message Oriented Middleware ») et du message broker utilisés par l’outil de routage et de transport de l’information (mise en attente de messages, traitement des erreurs et des retours arrière, …)

- le mode utilisé pour mettre en œuvre le mécanisme de « Publish & Subscribe » :- mode décentralisé (« Network centric ») : l’initiative de la publication et de l’abonnement

revient aux applications, l’information circule sur le bus d’échange directement de l’application émettrice à l’application réceptrice, et les règles de gestion sont supportées par les connecteurs.

- mode centralisé (« Hub & spoke ») : l’initiative de la publication et de l’abonnement revient à un « hub » centralisé par lequel passent tous les messages et au niveau duquel sont déclarées les règles de routage de l’information d’une application à une autre.

Le mode « Hub & spoke » optimise les fonctions d’administration (qui est centralisée), il peut par contre poser des problèmes de gestion de charges. C’est l’inverse pour le mode « Network centric » (gestion des charges plus facile, mais administration plus difficile).

D’autres paramètres techniques sont également importants dans le choix d’un EAI :

- le volume moyen de données à transférer dans chaque message,

- les types de transfert à privilégier (batch ou temps réel, mode synchrone ou asynchrone),

- l’éventail de connecteurs proposés par l’outil :- disponibilité des connecteurs correspondants aux applications à intégrer,- connecteurs compris dans l’offre de base ou à acquérir en plus,- existence d’un outil de développement de nouveaux connecteurs si l’on souhaite intégrer des

applications spécifiques.

- les possibilités offertes par l’outil de BPM (niveau de modélisation, prise en compte des interventions humaines (workflows), …),

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- l’ergonomie de l’outil,

- les standards supportés par l’outil (XML, SOAP, JAVA, JCA, …), ainsi que le degré d’indépendance de l’outil par rapport à la gamme de produits d’un éditeur particulier,

- la possibilité de pouvoir utiliser des formats pivots pour la transmission des données,

- les performances de l’outil (nombre de message traités par seconde, temps moyen de transfert des messages, capacité de montée en charge, …),

- les facilités d’installation, de test, de déploiement, d’administration et d’exploitation offertes par l’outil (on note par exemple que les outils d’EAI proposent très rarement des outils de supervision autres que le simple « fichier de log »),

- les plates-formes serveur et clientes nécessaires pour pouvoir mettre en œuvre l’outil (systèmes d’exploitation supportés, espaces mémoire et disque nécessaires, …).

L’estimation de la montée en puissance à venir du système d’information est également importante : l’effort nécessaire pour acquérir et mettre en œuvre un outil d’EAI étant assez lourd, le retour sur investissement est fortement lié au nombre d’applications amenées à être intégrées à l’EAI dans le futur.

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4 PRINCIPAUX OUTILS D’EAI

EDITEURPRODUIT /

CARACTERISTIQUES INTEGRATEURS REFERENCESPRIX

INDICATIFLICENCE)

Sybase – Neonsoftware

Business Process Integrator Suite :- e-biz (plate-forme

d’intégration et connecteurs)

- Process server (BPM)- E-ADK (outil de

développement de nouveaux connecteurs)

Architecture Hub & spoke

- Outil de développement de nouveaux connecteurs.

- Outil de reporting d’activité inter-applicative sous forme de tableau de bord.

- Pas de génération de code Process server vers e-biz (outils distincts).

- BPM sans gestion de workflows.

- Pas de code JAVA.- Couche transport : pas de

MOM intégré, interfaçable avec MOM du marché.

- Ne permet pas mode synchrone request/reply.

- Pas d’interface graphique pour mapping.

- Non interfaçable avec outil de supervision.

- Transfert fichiers en mode batch impossible.

- Peu de connecteurs.- Pas de connecteur LDAP.- Regroupement de messages

impossible.- Connecteurs non conformes

au standard JCA (interface d’accès aux applications JAVA).

- Pas de notion de profils d’utilisateurs.

- BPM : Pas de gestion de priorité sur les tâches.

- Fort partenariat (et donc dépendance) avec les produits IBM.

AccentureCap Gemini E&YCSC

DexiaCrédit LocalBNPAuchanAXA RECegetelCasino

Entre 76 500 et 153 000 €

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE)

- Peu présent en France (10 références).

BEA Weblogic Integration


- Offre complète (jusqu’au B2B).

- BPM avec gestion de workflows.


- Full JAVA.

- Obligation de passer par l’outil de BPM.

- Peu de connecteurs.- Souvent cité comme serveur

d’applications plutôt que comme outil EAI.

AccentureCap Gemini E&YATOSCSCGFIUnilogThales ISSteriaSQLISopraSema

ANPEBanque De FranceAlcatelAuchanBNP ParibasCofidisCrédit AgricoleCrédit LyonnaisGroupe Caisse d'EpargneFrance TelecomLa PosteSociété Générale

WebMethods - Enterprise Server (plate-forme d’intégration et une cinquantaine de connecteurs)

- B2B server (plate-forme d’intégration et connecteurs pour échanges externes)

- Business Integrator (BPM)



- Génération de code Business Integrator vers plates-formes d’intégration.

- Full JAVA.- Permet mode synchrone

request/reply.- Permet l’utilisation de

formats pivots.- Connecteurs conformes au

standard JCA (interface d’accès aux applications JAVA).


- Déploiement délicat.

AccentureCap Gemini E&YCSCSteriaUnisysUnilogIBMValtech

France TelecomUsinorBouygues TelecomAlcatelSirisLafarge

125 000 €

Seebeyond Business Integration Suite :- e*Gate Integrator (plate-


- Connecteurs non compris dans l’offre de base.

AccentureCap Gemini E&Y

AxaBNP Paribas

150 000 €Connecteurs

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE)

forme d’intégration et connecteurs).

- e*Insight (BPM).- e*Xchange (plate-forme

d’intégration et connecteurs pour échanges externes B2B).

- e*Index (gestionnaire de références croisées).

Architecture Network centric


- C, JAVA et code propriétaire (Monk).

- Couche transport : MOM propriétaire remplaçable par un MOM du marché.

- Implémentation modulaire.

- Pas d’outil graphique de développement de nouveaux connecteurs.

- Connecteurs non conformes au standard JCA (interface d’accès aux applications JAVA).

- Peu présent en France (16 références).

CSCSemaUnilogATOS

Crédit Agricole IndosuezDuPontFnacLeroy MerlinSchlumbergerSupermarchés MatchUBSWinterthurKiabiAir Liquide

de 20 000 à 80 000 €

Vitria BusinessWare :- bus de messages- connecteurs (une

centaine)- outil graphique de

modélisation BPM (UML)

- outil de transformation des données

- outil d'analyse temps réel (supervision activités, tableaux de bord)

- serveur B2B




- Gère les transactions longues avec persistance des états.

- Permet l’utilisation de formats pivots.


- Reporting graphique en temps réel de l’activité inter-applications.

- Messages peuvent contenir leur auto-description (permet d’éviter stockage des descriptions dans BD).

- Modèles de processus métier prédéfinis.

- Approche « top-down », fortement orientée BPM.

- Bus de messages propriétaire, basé sur Corba.

- Format de base de données propriétaire.


- Connecteurs non compris dans l’offre de base.

- Ne permet pas le mode batch.

- Ne prend pas en charge les schémas XML (seulement DTD).

- Mise en œuvre complexe.- Peu présent en France (3

références).

AccentureCap Gemini E&YValtechUnilogATOSCSC

Compagnie Générale des EauxGroupama – GanUPC

Développe-ment : 110 000 €Production : 275 000 €Connecteurs de 20 000 à 60 000 €

Mercator Mercator Integration Broker



- BPM avec gestion de

- Couche transport : pas de MOM intégré, interfaçable avec MOM du marché.

AccentureCap Gemini E&YIBM

Caisse des DépôtsEuroclearLa Poste

De 110 000 à plusieurs millions €

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE)

workflows.- C, JAVA et code propriétaire.


BNP ParibasSGAMAlcatelDexiaABN amroHSBC

Tibco Active Enterprise

Architecture Network centric



- BPM en option.- Permet l’utilisation de

formats pivots.

AccentureATOS

NASA

IBM Websphere Business Integration (ex CrossWorlds)


Présentation BBFC le 29/11/02



- Connecteurs conformes au standard JCA.

- Composants prêts à l'emploi et méthode d'implantation.

- Réutilisation des process collaboratifs possibles.

- Expérience significative de mises en oeuvre.

- Utilisation de standards (XMI, IDE Eclipse, code JAVA, XML, J2EE, JMS, ...).

- Version française disponible.- Possibilité d'exposer un

process métier en tant que Web Service.

- Possibilité de choisir la techno supportant la couche transport.

- Possibilité de choisir la BD


- Pas de connecteur HTTP / HTTPS.

- Connecteurs Oracle, People Soft, … non disponibles en standard.

- Pas d’outil de supervision.- Pas de notion de profils

d’utilisateurs.- Feuilles de transformations

XSLT non supportées.- Prix.- Relative complexité de l'outil.- Seules les règles périodiques

de déclenchement des événements sont supportées dans l'outil (pas de détection automatique de mises à jour)

- Administration lourde (formation nécessaire).

- Mise en place et paramétrage complexe (5

SteriaATOSSemaCSCUnisysUnilogThales ISValtechAccentureCap Gemini E&YSQLI

Airbus 500 000 €

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE)

pour le repository (SQL Server, DB2 ou Oracle).

- Possibilité de s'assurer de l'intégrité des données (rollback, connecteurs "intelligents", ...).

- Utilisation de formats pivots / modèles de données génériques (schémas XML).

- Possibilité d'importer / exporter les schémas XML et les modèles UML (via XMI).

- Génération automatique de doc HTML.


- Supporte tous les types d'interface : temps réel synchrone et asynchrone, batch.

- Gestion avancée des performances (load balancing, ...).

- Paramétrage passage de firewalls possible dans l'outil lors de la définition des connecteurs.

jours de formation + support IBM nécessaires).

Axway (Sopra group)

Enterprise Integrator (extension X-Talk de Sopra)



- Permet transfert de fichiers en mode batch (via outil XFB : eXtensible File Broker).


- Bien implanté en France


- Langage propriétaire.- Peu de connecteurs

applicatifs.- Pas de connecteur LDAP.- Connecteurs non conformes

au standard JCA (interface d’accès aux applications

SopraATOSCap Gemini E&Y

ANPEMinistère de la DéfenseCegetelGDFPMUAuchanFNACLVMH

De 50 000 à 300 000 €

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE)

(3500 références). JAVA).- Pas d’outil d’équilibrage des

charges dynamique.- BPM : pas de durée

maximale de traitement des tâches.

- Web Services non supportés par outils B2B.

PSABNP ParibasGroupama

Kabira KIS (ex ObjectSwitch) - Spécialisé Télécoms / SI réseaux.

AccentureCap Gemini E&YSteriaValtech

ACA ISIE

Présentation équipe BFC le 18/12/02

- Spécialisé intégration PGI.

Oracle Oracle9iAS InterConnect


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5 AUTRES OUTILS D’EAI

EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE

Cross DataBase Technology

DataEXchanger - Outil adapté pour PME / PMI.

EMI / Virgin France

10 670 €

Microsoft BizTalk - Offre complète (jusqu’au B2B).


- Fonctionne exclusivement sous Windows

EurosportAccor Services / RestauproClick & Trust de la BredBanque Populaire

39 000 €

Seagull LegaSuiteInformation Builders

iWay Software Enterprise Integration Broker

- Connecteurs (120) permettant de s’interfacer avec toute base de données, plate-forme ou PGI.

- Outil ETL.

- Pas d’outil de BPM.- Couche transport : pas de

MOM intégré, interfaçable avec MOM du marché (MQSeries d’IBM ou MOM Microsoft).

- Pas un « vrai » outil d’EAI, plutôt un fournisseur de connecteurs.

PSAEADSBNP ParibasProduits RocheCCF-HSBCCICVivendi

Entre 15 250 et 30 500 €

DotVision Navigation Suite - Full JAVA & XML IBMSema

Clear Channel Malls (Dauphin Affichage)NanteicIvryGrandCielPalexpo

9 600 €

Software AG EntireX Platform - Offre complète (jusqu’au B2B).

- BPM- Connecteurs conformes aux

standards JCA et XML

Sema La posteClub MedBarclaysSandvikSollacUsinor

Entre 20 000 et 400 000 € (en fonction de l’OS)

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE

INSEEScort e-Business Integrator - Adapté pour intégration

mainframes.AccentureATOSIBMSema

AGFVertbaudet

Entre 30 000 et 150 000 €

Seeburger Business Integration Server (BIS)


- BPM- JAVA- Modulaire (peut s’adapter à

différents niveaux de besoins)

BSN Entre 50 000 et 2 000 000 € (en fonction des modules nécessaires au projet)

StreamServe Business Communication Platform

Société GénéraleNestléBonduelleSomfyLogic AchatSiemensSodexhoABBDassault AviationBayerDaimlerChrysler Services

Entre 20 000 et 100 000 €

Sunopsis Sunopsis V3 - Full JAVA.- Support de différents MOM.- Couvre les domaines ETL et

EAI.- Support ISO SQL.- Orienté données donc facilité

d'implantation des référentiels partagés dans le Repository de l'outil.

- Possibilité de disposer d'une version d'évaluation à condition de suivre 2 jours de

- Pas d’outil de modélisation de workflow.

- Gestion des transactions pour différentes "interfaces" à implanter manuellement.

- Connecteurs PGI, MOM et EDI à acheter en plus de l’offre de base.

- Une seule licence de développement dans l'offre de base.

- Grande rigueur nécessaire

APRI PrévoyanceARRCOAventis PasteurBouygues TelecomDamartEurope 1Groupe RosetJulesLa MondialeLyonnaise de Banque – CIC

.Workgroup : 30 000 €.Enterprise : 50 000 € (contient connecteur MOM).Connecteurs:ERP:14 000 €MOM:14000 €EDI : 7 000 €. Licence de

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EDITEURPRODUIT /


INDICATIFLICENCE

formation développement.- Prix.- Connecteurs pour tous PGI.

pour phase de conception, règles de développement et documentation.

- Pas de connecteur LDAP.

MérialPerrier Vittel MTPeugeot MotocyclesRémy-CointreauSaupiquet

dév: 7 000 €. Formation (4j) : 1830 €

Ascential Enterprise Integration SuiteSun One Integration Server



- Outils B2B en option.- BPM avec gestion de

workflows.- Permet l’utilisation de

formats pivots.- Full XML (et XSLT pour

transformations).- Supporte les Web Services.- Permet mode synchrone

request/reply.- Outil de développement de

nouveaux connecteurs.- Messages peuvent contenir

leur auto-description (permet d’éviter stockage des descriptions dans BD).

- Outil de BPM difficile à utiliser.

- Nécessité de maîtriser langage XSLT (par d’outil graphique pour mapping).

- Peu de connecteurs.- Format base de données

propriétaire.- Peu présent en France (4

références).- BPM : Pas de gestion de

priorité sur les tâches.- Pas d’interfaçage avec

LDAP.- Pas de notion de profils

d’utilisateurs.

32 000 € par CPU

Openadaptor Openadaptor - Open source

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