colonel dominique grandjean vétérinaire en chef service de santé et de secours médical brigade...
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Colonel Dominique GRANDJEANVétérinaire en Chef
Service de Santé et de Secours MédicalBrigade de Sapeurs Pompiers de Paris
RCH2 G.1.1.
B
N.R.«B».C.
Risque «B»iologique Naturel
RCH2 G.1.1.
Risques biologiques : de quoi parlons nous ?
Risque Biologique
Probabilité que chacun a d’être exposé à un danger d’origine biologique
Lié à l’action d’un être organisé
Indirecte[toxine, venin]
Directe [agent déclenchant la maladie]
RCH2 G.1.1.
Risque Biologique
Naturel Provoqué
Constant
GrippeMéningitePaludismeMycoses
Envenimations Fièvre aphteuse
Carie du blé
Ré-émergentÉmergent
TuberculoseDiphtérie
Trypanosomoses
SidaEbolaNipam
Accidentel
ESBListérioseHépatite C
TIAC
Intentionnel
Chantage
Guerre
Terrorisme
RCH2 G.1.1.
Mortalité humaine liée au risque biologique
Constant
Émergent
Accidentel
Intentionnel
Menace
Terrorisme « psychologique »
RCH2 G.1.1.
Risque biologique : éléments de typologie
DANGER Source ou situation pouvant nuire par blessure ou atteinte à la santé, dommage à la propriété, ou l’environnement du lieu de travail…
Biologique
Dangereux Saphrophyte Indispensable
Flore pathogèneMycotoxines
…
Flore ambianteRoquefort/bleu
…
Flore intestinalePénicilline
…
RCH2 G.1.1.
RISQUE Probabilité de survenue d’un problème défini, au sein d’une population déterminée, située dans un environnement dangereux, pendant une période déterminée.
Combinaison : Probabilité x Conséquences
Grippe aviaire : Très faible x Très lourdes
=
?
Risque biologique : éléments de typologie
RCH2 G.1.1.
MENACE Survenue d’un problème défini par l’intermédiaire d’un évènement pouvant se réaliser.Permet l’obtention d’un résultat sans déclenchement du problème défini.
Bioterrorisme = emploi ou menace d’emploi du « B »
Terreur incontrôlable
Risque biologique : éléments de typologie
RCH2 G.1.1.
Typologie des agents pathogènes
Bactéries Virus Parasites Champignons Toxines
RCH2 G.1.1.
Les bactéries
« Êtres unicellulaires n’apportant ni au règne animal, ni au règne végétal.Doués d’une reproduction autonome (scissiparité).Peuvent vivre ou survivre dans le milieu environnant. »
Commensales Pathogènes Saprophytes
Vivent sur l’hôtesans lui causer
de troubles
Opportunistes : x si déficit
immunitaire
Provoquentla maladie
Virulence : x dans organismeToxinogénèse : possibleCytotoxicité ; possible
Vivent dans la nature et transforment les déchets
végétaux
Contamination :plaies
RCH2 G.1.1.
Les bactéries
Immunité spécifique
Bactériostatiques
Immunité non spécifique
Bactéricides
Antibiotiques
RCH2 G.1.1.
Typologie des agents pathogènes
Bactéries Virus Parasites Champignons Toxines
RCH2 G.1.1.
Les virus« Micro-organismes infectieux à structure simple mais définie,
parasites absolus des cellules vivantes possédant un seul type d’acide nucléique -ADN/ARN-, et se reproduisant à partir de son seul matériel
génétique»
Immunité spécifique
???????Antiviraux ?
?????
Immunité non spécifique
Virucides
Antibiotiques
RCH2 G.1.1.
Typologie des agents pathogènes
Bactéries Virus Parasites Champignons Toxines
RCH2 G.1.1.
Les Parasites
Ectoparasites
EndoparasitesRCH2 G.1.1.
Typologie des agents pathogènes
Bactéries Virus Parasites Champignons Toxines
RCH2 G.1.1.
Les Champignons
Pouvoir pathogènedirect
Pouvoir pathogèneindirect
RCH2 G.1.1.
Typologie des agents pathogènes
Bactéries Virus Parasites Champignons Toxines
RCH2 G.1.1.
Les Toxines
Toxine botulinique
RCH2 G.1.1.
BIOTERRORISME
« Utilisation intentionnelle, ou menace d’emploi, a des
fins terroristes, de micro-organismes [bactéries, virus,
champignons] ou de toxines, dans le but d’induire une
maladie chez l’Homme, l’animal ou le végétal »
Pourquoi « micro-organismes » ?Notion d’arme biologique
RCH2 G.1.1.
Risque biologique intentionnel
Risque = probabilité x virulence préjudice aléatoire
Menace = renseignement effectif danger documenté
Évaluer le risqueIdentifier la menace
RCH2 G.1.1.
Le risque biologique intentionnel
« Arme nucléaire du pauvre »
1 km2 2000 US $
800 US $
1 US $
Armes Conventionnelles
Armes Nucléaires
Armes Biologiques
RCH2 G.1.1.
Le risque biologique intentionnel
« Arme à conséquences plus étendues »
Arme Chimique Arme Nucléaire Arme biologique
RCH2 G.1.1.
Dans le passé….
RCH2 G.1.1.
… les nations connaissaient leurs ennemis…
RCH2 G.1.1.
… il leur était « facile » de se savoir attaquées…
RCH2 G.1.1.
… puis vint le terrorisme…palpable…
RCH2 G.1.1.
… et impalpable !
RCH2 G.1.1.
Attaque terroriste biologiqueAttaque terroriste biologique
Ouverte Couverte
- Effet d’annonce- Crédit réclamé- Motivation expliquée- Agent identifié
- Attaque vicieuse- Agent largement disséminé- Crédit réclamé à posteriori- Agent diagnosé
Terreur, psychose Morbidité, mortalité
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Présence d’agents biologiquesde guerre / terrorisme
1/ Déclenchement de systèmes de détection biologique automatique, s’ils existent
2/ Apparition de fumées, aérosols, pulvérisations émanant d’aéronefs, de véhicules, d’obus, de gaines d’aération-chauffage…
3/ Odeurs, liquides, pellicules, particules suspects
4/ Apparition de symptômes ou de victimes « inexpliqués » (humains et animaux)
RCH2 G.1.1.
BIOTERRORISME
Utilisation d’armes biologiques telles que classiquement
évoquées
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Armées romaines
Contamination des puits d’alimentation en eau avec des cadavres d’animaux
Armées Scythes
Utilisation de flèches infectées après «trempage » dans des corps en putréfaction
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Siège de Caffa (Crimée) en 1346
Catapultage de cadavres pesteux par l’armée tartare
Grande Peste Noire
Sir Jeffrey Amhrest (Amériques) en 1763
Don de couverture porteuses de la variole aux Indiens
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Unité 731 de Ping Fang (Mandchourie) en 1936
Unité de « purification d’eau » de l’armée japonaise travaillant sur le armes biologiques
1940 : attaque de la Chine avec du bacille de la peste (puces)
1945 : Autodestruction de l’unité
1946 : immunité des responsables (accords secrets avec armée américaine)
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Base X de l’Ile de Gruinard (Ecosse) en 1942
Essais de dispersion de Bacillus Anthracis par l’armée britannique sur les moutons de île.
En 1944, Churchill lance la production de bombes à anthrax
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Camp Derrick (Etats-Unis) en 1942
Militarisation de Bacillus Anthracis, Francisella Tularensis, Coxiella Burnetii, entérites hémorragiques
avec essais terrain en 1943.Programme stoppé par Nixon en 1966.
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Biopreparat en 1973
Un an après la convention d’interdiction du développement, de la production et du stockage des
armes biologiques, l’armée russe met en place un complexe militaro-industriel.
Militarisation de : variole, peste, charbon, tularélie-morve, fièvre Q, entérites hémorragiques, Marburg.
Défections de Pasechnik (1989) puis Alibekov (1992)
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Les «parapluies bulgares» en 1978
Assassinat de Markov à LondresTentative d’assassinat de Kostov à Paris
Ricine
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Salman Park et al Muthanna (Irak) en 1985
Programme de l’armée irakienne conduit par Rihab Taha (Dr Germes ; le 5 de cœur).
6 tonnes de toxine botulinique et 9 tonnes de charbon produits en 1988)
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Kameido, Tokyo (Japon) le 1er juillet 1993
Après une « mission » au Zaire (Ebola), la secte Aum Shinrikyo aérosolise du bacille du
charbon à partir d’un bâtiment. 9 attaques biologiques (charbon, toxine
botulinique) auraient ainsi été conduites.
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
Washington (Etat-Unis) le 4 octobre 2001
Attaque terroriste à l’anthrax, vectorisé par des enveloppes de courrier, émanant d’un individu
en désir de vengeance…
RCH2 G.1.1.
… le bioterrorisme a une histoire
… dont découle la crise Biotox d’octobre 2001 :
-10 octobre : premières lettres suspectes en France-15 octobre : activation des laboratoires militaires
-22 octobre : activation des laboratoires civils
5000 interventions « Bio » BSPP 4500 analyses
3000 personnes sous traitement aucun cas de charbon (…)
-USA : 22 cas de charbon avec 5 dcd
RCH2 G.1.1.
AGENTS BIOLOGIQUES UTILISABLES
Classification CDCCenter for Diseases Control
Atlanta (USA)
Repertoire OMSWorld Health Organization
A
B
C
Bactéries
Virus
Protozoaires
Champignons
RCH2 G.1.1.
AGENTS BIOLOGIQUES UTILISABLES
Classification CDC
• catégorie A- dissémination facile, transmission inter-humaine- mortalité élevée- panique et perturbations sociales ++
Bacillus anthracisYersinia pestisFrancisella tularensis
Poxvirus (variole)Filovirus (Ebola, Marburg)Arenavirus (Lassa, Machupo)
toxines de Clostridium botulinumRCH2 G.1.1.
AGENTS BIOLOGIQUES UTILISABLES
Classification CDC• catégorie B
- dissémination moins facile- morbidité et mortalité modérées
Coxiella burnetiiBrucella spBurkholderia mallei
Alphavirus encéphalite du Vénézuela encéphalites équines
RicineEntérotoxine B de StaphylococcusToxine epsilon de C. perfringens
pathogènes à transmission alimentaire RCH2 G.1.1.
AGENTS BIOLOGIQUES UTILISABLES
Classification CDC
• catégorie C- pathogènes émergents à potentialité d'utilisation future- disponibilité- production et dissémination faciles- morbidité et mortalité élevées
virus NipahHantavirusFièvres hémorragiques à tiquesEncéphalites à tiques
RCH2 G.1.1.
AGENTS BIOLOGIQUES UTILISABLES
Classification CDCCenter for Diseases Control
Atlanta (USA)
Repertoire OMSWorld Health Organization
A
B
C
Bactéries
Virus
Protozoaires
Champignons
RCH2 G.1.1.
Agents biologiques répertoriés par l’OMS comme susceptibles d’être utilisés à des fins terroristes
• Bactéries, rickettsioses et chlamydia
Bacillus anthracis (anthrax ou charbon)
Bartonella quintana (fièvre des tranchées)
Brucella species (brucellose)
Burkholderia mallei (morve)
Burkholderia pseudomallei (mélioïdose)
Francisella tularensis (tularémie)
Salmonella typhi (thyphïde)
Shigella species (shigellose)
Vibrio cholerae (choléra)
Yersinia pestis (peste)
Coxiella burnetti (fièvre Q)
Orienta tsutsugamushi (fièvre fluviale du Japon)
Rickettsia prowazeki (typhus exanthématique)
Rickettsia rickettsii (f. des montagnes rocheuses)
RCH2 G.1.1.
Agents biologiques répertoriés par l’OMS
comme susceptibles d’être utilisés
à des fins terroristes• Protozoaires
Naegleria fowleri (méningite à amibes)
Toxoplasma gondii (toxoplasmose)
Schistosoma species (bilharziose)
• Champignons
Coccidioides immitis (coccidiomycose)
Histoplasma capsulata (histoplasmose)
RCH2 G.1.1.
Agents biologiques répertoriés par
l’OMS comme susceptibles
d’être utilisés à des fins terroristes
Junin (f. hémorragique d’Argentine)
Machupo (f. hémorragique de Bolivie)
Fièvre de Lassa
Encéphalite à tique (verno-estivale russe)
Dengue
Fièvre jaune
Fièvre hémorragique d’Omsk
Encéphalite équine de l’est des E-U
Chikungunya
O’nyong-nyong
Encéphalite équine du Vénézuela
Variole
Autre poxviroses (monkeypox/whitepox)
Grippe
VirusHantavirus (f.épidémique hémorragique/syndrome de détresse respiratoire chez l’adulte)Fièvre de Crimée-CongoFièvre de la vallée du RiftFièvre d’EbolaFièvre de MarburgChorioméningite lymphocytaire
RCH2 G.1.1.
Scénarios bioterroristes envisageables
Aérosolisation
Epandage
Peu vraisemblable
Dispersion
BâtimentsRéserves d’aliments
Nébulisation
AéroportGare, Métro
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Scénarios bioterroristes envisageables
Autres possibilités
Sabotage Toxination Vectorisation Portage
Faussealerte
Enginimprovisé
RCH2 G.1.1.
Dispersion de l’agent pathogène
[50 kg d'agent pathogène largués par un avion sur 2 km au-dessus d'une ville de 500 000 habitants]
Cas d’une aérosolisation [Debord, HIA Bégin]
RCH2 G.1.1.
Dispersion de l’agent pathogène
Manœuvre américaine « Dark Winter »
Cas d’une vectorisation humaine
RCH2 G.1.1.
Bioterrorisme « Variole » sur les USA
Exercice simulant l’attaque bioterroriste de 3 états des USA par dissémination délibérée de virus de la variole à l’hiver 2002.
RCH2 G.1.1.
Objectifs de l’exercice
Étudier l’impact d’une attaque bioterroriste sur la sécurité
nationale du pays Étudier les réponses fédérale et d’états à une situation de
crise imprévue dans le domaine biologique Évaluer les décisions de « vie et mort » prises face à une telle
situation Recenser les besoins en gestion de l’information et préciser
les rôles des médias Apprécier les réactions des décideurs face aux implications
éthiques, politiques, culturelles, opérationnelles et légales
RCH2 G.1.1.
Jour 1 : Emergence de la crise
Le 9 décembre 2002, plusieurs dizaines de patients se
présentent dans les hôpitaux d’Oklahoma City, souffrant
d’une maladie étrange La rumeur circule rapidement de leur atteinte par le virus
de la variole Le CDC confirme le diagnostic de variole
RCH2 G.1.1.
A propos de la variole
Dernier cas sur terre en 1978, aux USA en 1949 Maladie hautement contagieuse
. 30 p100 de mortalité
. Diffusion par inhalation
. Chaque malade contamine en moyenne 10 personnes Virus militarisé par l’URSS et l’Iraq Vaccin efficace uniquement avant symptomatologie
. Vaccination arrêtée en 1972 aux USA
. Intégralité de la population US sensible
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Victimes de la variole
RCH2 G.1.1.
Situation variolique cumulée nationale
RCH2 G.1.1.
Situation variolique cumulée nationale
Décembre
Cumul
Cas par jour
RCH2 G.1.1.
Estimation des cas de variole à venir
Cas variole
Morts variole
17/12 03/01 20/01 03/02
RCH2 G.1.1.
Dispersion de l’agent pathogène
Dissémination du SRAS à partir de l’Hôtel Métropole (Hong Kong - 28 mars 2003)
Cas d’une vectorisation humaine
Hôtel MHong Kong
Guangdong, Chine
A
A
H,J
A
H,J
Hong Kong SAR
95 professionnels de santé (prS)
>100 contacts
Etats- Unis
1 prS
I, L,M
I,L,M
KIrlande
0 prSK
Singapour
34 prS
37 contacts
C,D,E
C,D,E
B
B
Vietnam
37 prS
21 contacts
F,G
Canada
18 prSF,G
11 contacts
RCH2 G.1.1.
BIOTERRORISME
Utilisation d’armes biologiques telles que classiquement
évoquées
Risque biologique intentionnel à
composante animale
RCH2 G.1.1.
MICROBIOLOGIQUE MACROBIOLOGIQUE
ZOONOTIQUE
SOCIOLOGIQUE
ALIMENTAIRE ANIMALIER
RCH2 G.1.1.
RCH2 G.1.1.
CONTAMINATION DELIBEREE
ALIMENTS EAU POTABLE
PRODUCTIONS ANIMALES
PRODUCTIONS VEGETALES
RESEAU PUBLIC
SOURCES PRIVEES
BOISSONS DIVERSES
Sur pieds Via le sol
Sur pieds Via l’alimentation
animale
STOCKS D’ALIMENTS
RCH2 G.1.1.
CATASTROPHE
SANITAIRE
CATASTROPHE ECONOMIQUE ET SOCIOLOGIQUE
Toxi Infection Alimentaire Collective
Zoonose majeure Contaminants N et C
toxiques
Atteinte grave du secteur agricole
Destruction du potentiel génétique
Conséquences sociétales
RCH2 G.1.1.
A CE JOUR, PEU D’EXEMPLES DE CONTAMINATION
VOLONTAIRE DES ALIMENTS
1984 / USA / OREGON
751 personnes atteintes de salmonellose suite à la contamination volontaire d’un bar à salades par les membres d’une secte religieuse.
RCH2 G.1.1.
N’IMPORTE OU, DE LA FOURCHE A LA
FOURCHETTERCH2 G.1.1.
1/ En contaminant le produit final par des agents chimiques, radiologiques ou biologiques avec l’intention de tuer ou de rendre malades les consommateurs.
2/ En désintégrant les systèmes de distribution des aliments.
3/ En s’attaquant à l’économie agricole par l’introduction d’organismes pathogènes pour les cultures ou de maladies épizootiques comme la fièvre aphteuse.
4/ En faisant circuler des rumeurs dans les médias ou sur internet avec l’intention de générer anxiété, peur, panique.
RCH2 G.1.1.
MICROBIOLOGIQUE MACROBIOLOGIQUE
ZOONOTIQUE
SOCIOLOGIQUE
ALIMENTAIRE ANIMALIER
RCH2 G.1.1.
RCH2 G.1.1.
Anémie infectieuse des équidés
Arboviroses
Brucellose
Campylobactériose
Chlamydioses
Chorio-méningite lymphocytaire
Cox-pox et vaccine
Ecthyma contagieux
Escherichia coli O157:H7
Encephalomyocardite
Encéphalites à tiquesHépatite virale A
Grippes
Fièvre Q
Fièvre hémorragique avec syndrome rénal
Fièvre charbonneuse
Leptospirose
Maladie de Newcastle
Maladie de Lyme
Maladie de Creutzfeldt-Jacob
Maladie d’Aujeszky
Listériose
Grippes
Ornithose-psittacose
Infections transmises par morsure
Maladie des griffes du chat
PasteurellosePoxviroses
Pseudotuberculose
Rage
RickettsiosesRouget
Salmonelloses
Shigelloses
Staphylococcies
Stomatite papuleuse des bovins
Streptobacillose
Streptococcies
Tahyna
TétanosTuberculose
Tularémie
West-Nile
Yersina enterocolitica
Borréliose Ebola
Fièvre aphteuse
Fièvre de Lassa
Fièvre de la Vallée du Rift
Fièvre jaune
Hanta
Herpès B
Maladie de Marburg
Maladie de Yaba
Maladie vésiculeuse contagieuse
Mélioïdose
Méningo-encéphalomyélites américaines
Morve
Nipah
Peste
Sodoku
Variose du singe
Stomatite vésiculeuse contagieuse
Syndrome pulmonaise à Hantavirus
RCH2 G.1.1.
MICROBIOLOGIQUE MACROBIOLOGIQUE
ZOONOTIQUE
SOCIOLOGIQUE
ALIMENTAIRE
ANIMALIER
RCH2 G.1.1.
5% Chien Force / Combat
90% Chien Nike
Préoccupation
Expérience vécue
Méconnaissance
Représentation de la Société
Association à la délinquance
Phénomène
« Pitt-Bulls »
Peur… du chien5% Chien Criminalité
RCH2 G.1.1.
PhénomènePhénomène
« Reptiles »« Reptiles »
Surfaces de vente
Vente Circuits parallèles
Frayeur phobique justifiée
Lacunes des textes
Envois postaux
Venimosités extrêmes
Vente par Internet
Convention de Washington / CITES
Détention libre [capacités ?]
Identification ?
RCH2 G.1.1.
PhénomènePhénomène
« faune sauvage« faune sauvage
métropolitaine »métropolitaine »
Prophylaxie antirabique
Recolonisation du tissu urbain
Frayeur phobique injustifiée
Carences de moyens
Lacunes éducatives
Nuisibilité
ONC
Abattage
Vaccinations
RCH2 G.1.1.
Si l’arme biologique est l’arme du pauvre
Si l’objectif du terrorisme est de répandre la terreur
Quid d’une possible terreur « macrobiologique » ?
RCH2 G.1.1.
1/ Utilisation terroriste de l’animal1/ Utilisation terroriste de l’animal
2/ Terrorisme touchant l’animal
RCH2 G.1.1.
RCH2 G.1.1.
RCH2 G.1.1.
Introduction de virus aphteux24/48h avant la fermeture
RCH2 G.1.1.
1/ Utilisation terroriste de l’animal
2/ Terrorisme touchant l’animal2/ Terrorisme touchant l’animal
RCH2 G.1.1.
Maladie de carréMaladie de carré
ParvoviroseParvovirose
RCH2 G.1.1.
Importance d’une communication vétérinaire pédagogique
« Sida » du chat « Grippe » aviaire Peste ? Parvovirose
RCH2 G.1.1.
Recherche technologiqueciblée sur le risque biologique
Système de soutien
du triage rapide
Anticorps thérapeutiques
Détection rapidedes agents pathogènes
RCH2 G.1.1.
Mieux vaut prévenir que ne pas guérir…
Plan BIOTOX
Plan Variole
Plan Grippe
RCH2 G.1.1.