communauté de communes du pays de gex...l’article107 de la loi n°2015-991 du 7 août 2015...
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Communauté de Communes
du Pays de Gex
Rapport d’Orientations budgétaires
2017
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I – Le DOB
- Cadre juridique
- Les objectifs du DOB
- Les dispositions légales
- Le délai
- Le rapport
- La délibération
Sommaire
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II – Le contexte national
- Objectif de réduction du déficit sous le seuil de 3%
- Prévisions d’évolution des dépenses
- La participation des collectivités locales à la réduction du déficit
- Les dotations de l’Etat dans le PLF 2017
- La fiscalité locale
- La péréquation
III – Le contexte local
- Le projet de Territoire de la CCPG
Sommaire
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IV – La fiscalité locale des communes et de la CCPG
• La fiscalité professionnelle (CFE –TASCOM – CVAE)
• Taxe foncière
• Taxe d’habitation
V – La dette
VI – Les effectifs
VII – La situation financière de la CCPG
- A - Synthèse analyse rétrospective 2011 à 2015
- B - Résultats et exécution du CA 2016
Sommaire
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VIII – Premières esquisses budgétaires pour 2017
- A - Méthodologie
- B - Cadrage prévisionnel
- C - 2 hypothèses de travail
IX – Régime fiscal 2017
Maintien de la fiscalité additionnelle ou instauration de la Fiscalité
Professionnelle Unique ?
X – Conclusion
Sommaire
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I – Le DOB
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Le DOB
Le DOB représente une étape essentielle de la procédure budgétaire des
collectivités et doit permettre d’informer les Elus sur la situation économique et
financière de leur collectivité afin d’éclairer leurs choix lors du vote du Budget Primitif
Les objectifs du DOB
discuter des orientations budgétaires de la collectivité
Informer sur la situation financière
Les dispositions légales
le DOB est une étape obligatoire dans le cycle budgétaire des régions,
départements, communes de plus de 3 500 habitants, leurs EPA et leurs
groupements (Art. L.2312-1, L.3312-1, L.4312-1 et L.5211-36 du CGCT)
en cas d’absence de DOB : Toute délibération relative à l’adoption du Budget
Primitif est illégale
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Le DOB et le ROB
Délai
dans les 2 mois qui précèdent le vote du Budget Primitif
le BP est voté au cours d’une séance ultérieure et distincte, le DOB ne peut intervenir ni le
même jour, ni à la même séance que le vote du BP
Les nouveautés apportées par la loi NOTRe : le Rapport d’Orientations Budgétaires
L’article 107 de la loi n°2015-991 du 7 août 2015 portant nouvelle organisation territoriale de
la République, dite loi « NOTRe », publiée au journal officiel du 8 août 2015 a voulu
accentuer l'information des Elus
Aussi, dorénavant, le DOB s'effectue sur la base d'un rapport élaboré par le Président de
l’EPCI sur les orientations budgétaires, les engagements pluriannuels envisagés, l'évolution
des taux de fiscalité locale ainsi que sur la structure et la gestion de la dette
L'information est même renforcée dans les EPCI qui comprennent au moins une commune
de 3 500 hab et + et comptent + de 10 000 hab puisque le ROB doit, en outre, comporter
une présentation de la structure et de l'évolution des dépenses (analyse prospective) et des
effectifs ainsi que préciser notamment l'évolution prévisionnelle et l'exécution des dépenses
de personnel, des rémunérations, … Cette liste n’est pas limitative
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Le DOB et le ROB
Les nouveautés apportées par la loi NOTRe : le Rapport d’Orientations Budgétaires
Le contenu du rapport ainsi que les modalités de sa transmission et de sa publication sont
fixés par décret
Le ROB n'est pas qu'un document interne : il doit être transmis au représentant de l’Etat
dans le département et fait l’objet d’une publication
Ce rapport est obligatoirement transmis aux communes membres (1) de l'établissement
public de coopération intercommunale (les communes membres (2) doivent également le
transmettre au Président de l’EPCI
Les lieux de mise à la disposition du public sont le siège de l’EPCI et les mairies des
communes membres de l’EPCI
A noter que les dispositions en matière d’orientations budgétaires trouvent à s’appliquer aux
CCAS et CIAS dès lors que les communes et EPCI de rattachement sont concernés.
Il est à noter que désormais, le débat ne devra pas seulement avoir lieu, il devra en outre
être pris acte de ce débat par une délibération spécifique
1 EPCI de plus de 10 000 hab avec au moins une commune de + de 3 500 hab
2 communes de plus de 3 500 hab
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II – Le contexte national
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PLF 2017 et LF 2016, les principales dispositions
impactant les finances des collectivités locales
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En 2016, les collectivités territoriales ont absorbé une troisième réduction
consécutive des concours financiers de l’Etat, avec une nouvelle baisse de 3,67
milliards d’euros
Dans ce contexte, la Loi de finances a prévu une réforme de la dotation globale de
fonctionnement (reportée en 2017) et une enveloppe d’un milliard d’euros pour
soutenir les investissements du bloc communal
Ces mesures, couplées à la péréquation, seront-elles suffisantes pour permettre aux
collectivités locales les plus fragiles, mais aussi les autres, d’encaisser ce nouveau
choc ?
C’est tout l’enjeu de ce budget 2017...
Loi de Finances 2016 / PLF 2017
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A – Objectif de réduction du déficit sous le seuil de
3%
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Le 1er objectif du PLF 2017 reste, comme en 2016 :
la réduction du déficit public : 2,7% du PIB en 2017
l’équilibre structurel des finances publiques à atteindre d’ici la fin de la législature
Ainsi, la trajectoire des finances publiques présentée par le Gouvernement doit
permettre de ramener le déficit public sous la barre des 3% en 2017
Le Gouvernement avait retenu, dans son dernier programme de stabilité 2014-2017,
comme hypothèses de croissance :
+1 % pour 2014
+1,7% pour 2015
L’hypothèse 2014 n’a pas été atteint compte tenu d’une très faible croissance
économique (+0,4%)
la LF 2015 a revu ainsi à la baisse sa prévision de croissance, à + 1% du PIB
la LF 2016 retient un taux de croissance à + 1,5% du PIB
PLF 2017 : 1,7%, une évolution à nouveau jugée peu crédible…
Objectif de réduction du déficit sous le seuil des 3%
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L’inflation prévisionnelle retenue dans Le PLF 2017 est de + 1%
L’objectif de déficit public à moins de 3% du PIB serait atteint en 2017 puisque le
déficit représenterait alors 2,8% du PIB
Les prévisions de réduction du déficit est fondé sur une hypothèse de croissance de
1% en 2015, 1,5% en 2016 et 1,5% en 2017
Objectif de réduction du déficit sous le seuil des 3%
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B – Prévisions d’évolution des dépenses
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Prévisions d’évolution des dépenses
Pour atteindre l’objectif de 2017, la Loi de programmation des finances publiques
prévoit l’évolution des dépenses comme suit (en %) :
Pour atteindre cet objectif de limitation de la progression des dépenses, le
programme d’économies annoncé est réaffirmé et s’élève à 50 Md€ à l’horizon
2017 :
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C – La participation des collectivités locales à la
réduction du déficit
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La participation des collectivités locales à la réduction du déficit
L’Etat réduit ses dépenses grâce au seul effort des collectivités locales…
Le tableau ci-dessous récapitule l’évolution des dépenses de l’Etat à horizon 2017
Or en 2017, la baisse des dépenses de l’Etat s’élève à 11,52 Md€, soit quasiment
le montant de la contribution des collectivités locales au déficit de l’Etat (11 Md€)…
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D – Les dotations de l’Etat dans le PLF 2017
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Les dotations de l’Etat dans le PLF 2017
Le montant de la DGF 2017
L’article L1613-1 du CGCT prévoit que le montant de la DGF est fixé chaque
année en Loi de Finances
Selon la LF 2016, le montant de la DGF pour 2016 était fixée à 33,1 Md€
En 2015, la DGF s’est élevée à 36,62 Md€ (40,121 Md€ en 2014)
La DGF est donc en diminution de 3,5 Md€, soit – 9,59%
Cette forte diminution est la traduction de la contribution des collectivités au
redressement des comptes publics, imputée depuis 2014 sur la DGF
PLF 2017 : la nouvelle baisse des dotations est évaluée à – 2,63 milliards d’euros
(au lieu de – 3,67 milliards d’euros), conformément aux dernières déclarations du
Président de la République)
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Les dotations de l’Etat dans le PLF 2017
La contribution 2017 des communes et des EPCI au redressement des
comptes publics
Reconduction des règles de 2016
Comme en 2016, les contributions individuelles seront calculées en fonction des
recettes réelles de fonctionnement (RRF) de chaque commune et EPCI
Un % de prélèvement identique sera appliqué pour toutes les communes d’une
part et pour tous les EPCI d’autre part
Pour mémoire, le taux de prélèvement appliqué en 2016 s’est élevé à 1,85% pour
les communes et 2,45% pour les EPCI
En 2017, les % seraient de 0,92 % pour les communes et 1,25% pour les EPCI
(hypothèse à confirmer)
Année de référence :
Le montant de RRF qui sera pris en compte en n est celui constaté dans le
compte de gestion n-2
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Les dotations de l’Etat dans le PLF 2017
La contribution 2017 des communes et des EPCI au redressement des
comptes publics
Modalités de prélèvement : Reconduction des modalités appliquées en 2016
Les contributions 2017 seront prélevées sur la dotation forfaitaire pour les communes
et sur la dotation d’intercommunalité pour les EPCI
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E – La Fiscalité locale
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La fiscalité locale
Revalorisation en 2017 proche de 1% des valeurs locatives (à confirmer)
Afin de compenser l’érosion monétaire
Le taux serait proche de celui appliqué en 2016
Il concerne :
les propriétés non bâties
les immeubles industriels
l’ensemble des autres propriété bâties
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F – La Péréquation
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Péréquation
Le FPIC
L’Assemblée nationale a adopté la progression proposée par le Gouvernement dans le
PLF initial, ainsi que le report à 2017 de l’objectif de ressources du FPIC, fixé à 2 %
des recettes fiscales du bloc communal (1 milliard d’€, confirmé dans le PLF 2017)
En l’état du texte adopté par l’Assemblée en première lecture, le FPIC devrait donc
progresser de 220 M€ en 2016, pour atteindre 1 Md€
Les modifications apportées par la LF 2016 :
Les délais prévus (délibération avant le 30 juin) sont trop courts pour trouver un accord et, en
cas de répartition libre, le faire approuver par l’ensemble des conseils municipaux. Par ailleurs,
l’obligation de recueillir l’accord de tous les conseils municipaux est peu opérante
Le dispositif adopté à l’Assemblée nationale vise à répondre à ces difficultés en proposant :
- un délai qui court à compter de la notification de la répartition, et non plus enfermé par
une date butoir
- un dispositif d’avis implicite des commune
- l’accord d’une majorité qualifiée des conseils municipaux et non plus de l’unanimité des
communes
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Péréquation
Répartition dérogatoire encadrée : Le dispositif adopté maintient le principe de la
délibération de l’EPCI à la majorité des deux tiers, mais prise dans un délai de deux
mois à compter de sa notification par les services de l’Etat
Répartition dérogatoire libre :
Le dispositif adopté propose :
- une délibération de l’EPCI à la majorité des deux tiers, dans un délai de deux mois à compter
de sa notification par les services de l’Etat
- approuvée par une majorité qualifiée des conseils municipaux (deux tiers des communes
représentant au moins 50 % de la population de l’EPCI ou inversement)
- les conseils municipaux disposent, pour se prononcer, d’un délai d’un mois à compter de la
notification de la délibération de l’EPCI proposant la répartition libre du prélèvement ou du
versement. À défaut de délibération dans ce délai, l’avis est réputé favorable
Elargissement de l’exonération de contribution au FPIC pour toutes les
communes DSU, sous condition de potentiel financier : Sont exemptées de
prélèvement les communes dont le potentiel financier/hab est < à la moyenne
des communes de la même strate
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III – Le contexte local
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Le projet de territoire de la CCPG
Notre projet de territoire décline 5 grands enjeux :
1. Accroître l’accessibilité du territoire
Organiser la mobilité avec une priorité aux transports publics
2. Maîtriser le développement du territoire
En matière d’urbanisme, d’habitat, avec des loyers modérés
3. Préserver le cadre de vie des gessiens
Maintenir les espaces naturels, la biodiversité et soutenir l’agriculture
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Le projet de territoire de la CCPG
4. Développer et mettre en valeur les avantages économiques du territoire
Exploiter la présence du CERN et la proximité de l’aéroport international de
Genève pour favoriser l’implantation d’entreprises
5. Permettre au territoire de s’affirmer
Maîtrise de la dépense publique et volontarisme en investissement afin de
répondre aux attente de la population
Affirmer son appartenance à l’agglomération du Grand Genève
Inscrire son développement en exploitant les atouts mais aussi en dépassant
les contraintes liées au Grand Genève
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IV – La fiscalité locale des communes et de la CCPG
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La variation des taux fiscaux de la CCPG
Année Taxe
d'habitation Foncier Bâti
Foncier Non
Bâti
Fiscalité
Professionnelle TPZ
2002 0,577 0,774 3,810 0,794
2003 0,698 0,970 4,610 0,976
2004 0,873 1,213 5,760 1,220 10,78
2005 1,030 1,431 6,797 1,440 10,78
2006 1,030 1,430 6,800 1,440 10,78
2007 1,030 1,430 6,800 1,440 10,78
2008 1,030 1,430 6,800 1,440 10,78
2009 1,420 1,990 9,180 1,940 10,78
2010 1,67 2,35 10,82 2,29 10,78
2011 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
2012 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
2013 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
2014 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
2015 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
2016 3,24 2,35 11,34 3,68 20,20
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CFE - Bases nettes EPCI de CFE par commune
Communes 2010 2011 2012 2013 2014 2015
CESSY 943 047 915 355 946 699 929 615 884 231 882 224
CHALLEX 268 334 274 253 282 798 287 502 285 347 355 755
CHEVRY 116 170 118 296 88 269 99 138 72 019 34 316
CHEZERY-FORENS 47 803 49 864 49 302 49 838 51 935 54 233
COLLONGES 798 788 802 681 839 098 862 529 852 667 864 913
CROZET 339 797 341 069 354 338 320 641 343 551 358 125
DIVONNE LES BAINS 2 827 458 2 702 998 2 959 918 3 241 003 2 914 545 3 508 307
ECHENEVEX 144 168 165 276 156 067 171 617 328 492 175 518
FARGES 13 685 13 594 13 835 16 190 14 772 18 906
FERNEY-VOLTAIRE 3 977 939 3 999 452 4 038 993 4 312 936 4 143 854 4 431 082
GEX 1 578 321 1 727 376 1 830 184 1 929 785 1 767 558 1 802 877
GRILLY 84 949 122 891 141 717 151 444 118 109 117 631
LEAZ 1 056 587 1 076 226 1 093 867 1 114 245 1 124 636 1 134 040
LELEX 131 200 136 325 129 564 143 965 149 368 160 320
MIJOUX 176 522 174 818 178 323 185 573 185 858 179 699
ORNEX 461 891 486 283 487 361 540 759 502 264 509 977
PERON 201 310 212 706 223 615 226 965 202 488 199 212
POUGNY 217 389 222 784 227 660 234 145 234 391 235 175
PREVESSIN-MOENS 1 344 887 1 384 505 1 410 489 1 486 919 1 411 121 1 357 349
SAUVERNY 45 859 48 909 54 213 55 436 34 188 37 967
SEGNY 430 158 436 306 440 571 447 546 430 796 612 243
SERGY 51 183 45 894 51 104 54 085 45 846 42 319
ST JEAN DE GONVILLE 198 129 201 494 212 674 230 372 198 208 175 628
ST-GENIS-POUILLY 3 282 966 3 317 336 3 339 596 3 584 776 3 454 578 3 502 519
THOIRY 1 911 515 2 364 370 2 568 329 2 689 327 2 618 508 2 643 893
VERSONNEX 61 275 58 154 57 930 71 538 56 450 67 797
VESANCY 0 0 0 54 245 42 479 43 875
Total 20 711 330 21 399 215 22 176 514 23 492 134 22 468 259 23 505 900
A – La fiscalité professionnelle
CFE
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Description Cet indicateur présente les bases nettes EPCI de CFE regroupées
CFE
A – La fiscalité professionnelle
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Communes cotis. CCPG cotis.
Comm.
CESSY 1 398 € 177 138 €
CHALLEX 8 658 € 101 998 €
CHEVRY 1 268 € 6 578 €
CHEZERY-FORENS 13 194 € 10 074 €
COLLONGES 50 000 € 162 669 €
CROZET 6 622 € 72 807 €
DIVONNE LES BAINS 2 508 € 585 146 €
ECHENEVEX 304 023 € 32 255 €
FARGES 32 483 € 3 768 €
FERNEY-VOLTAIRE 1 620 € 658 901 €
GEX 6 479 € 361 975 €
GRILLY 6 462 € 26 148 €
LEAZ 1 559 € 244 502 €
LELEX 66 407 € 32 293 €
MIJOUX 41 736 € 44 034 €
ORNEX 18 768 € 91 354 €
PERON 4 331 € 37 340 €
POUGNY 5 910 € 50 956 €
PREVESSIN-MOENS 22 546 € 242 264 €
SAUVERNY 13 092 € 6 495 €
SEGNY 7 353 € 97 463 €
SERGY 1 997 € 7 353 €
ST JEAN DE GONVILLE 701 € 29 564 €
ST-GENIS-POUILLY 97 331 € 501 220 €
THOIRY 255 566 € 492 569 €
VERSONNEX 129 172 € 10 785 €
VESANCY 34 470 € 8 370 €
Total 1 135 654 € 4 096 019 €
Cotisations CFE 2015 par commune
A – La fiscalité professionnelle
CFE
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CFE - Cotisations communales de CFE par commune
Communes
2010
2011
2012
2013
2014
2015
CESSY 189 387 183 830 190 059 186 634 177 547 177 138
CHALLEX 76 926 78 619 81 075 82 422 81 809 101 998
CHEVRY 20 973 21 359 16 264 18 620 13 809 6 578
CHEZERY-FORENS 8 880 9 262 9 156 9 257 9 638 10 074
COLLONGES 151 601 152 338 157 824 162 236 160 360 162 669
CROZET 61 473 63 542 66 013 63 299 67 815 72 807
DIVONNE LES BAINS 449 984 430 491 493 659 540 643 486 109 585 146
ECHENEVEX 25 970 29 775 28 686 31 546 60 379 32 255
FARGES 2 676 2 660 2 703 3 224 2 946 3 768
FERNEY-VOLTAIRE 731 148 736 621 743 976 794 466 605 827 658 901
GEX 316 888 346 813 367 502 387 441 354 892 361 975
GRILLY 18 880 27 325 31 494 33 674 26 256 26 148
LEAZ 216 708 224 071 231 137 237 781 242 473 244 502
LELEX 26 428 27 448 26 091 28 994 30 082 32 293
MIJOUX 36 505 39 024 40 394 42 657 43 360 44 034
ORNEX 82 757 87 148 87 320 96 904 90 013 91 354
PERON 37 736 39 837 41 910 42 549 37 955 37 340
POUGNY 45 153 46 498 47 740 49 328 49 623 50 956
PREVESSIN-MOENS 240 103 247 148 251 794 265 357 251 872 242 264
SAUVERNY 7 354 7 852 9 045 9 340 5 764 6 495
SEGNY 68 467 69 473 70 123 71 261 68 579 97 463
SERGY 8 904 7 980 8 891 9 405 7 971 7 353
ST JEAN DE GONVILLE 29 780 30 291 35 810 38 782 33 355 29 564
ST-GENIS-POUILLY 391 821 384 677 390 912 433 909 425 434 501 220
THOIRY 356 068 440 447 478 489 501 020 487 786 492 569
VERSONNEX 9 755 9 261 9 218 11 400 8 992 10 785
VESANCY 0 0 0 8 869 8 107 8 370
Total 3 612 325 3 743 790 3 917 285 4 161 018 3 838 753 4 096 019
CFE
A – La fiscalité professionnelle
38
Années
Nb
établissements
Evol. Bases brutes Evol.
Bases
exonérées
Cotisations Evol. IFER perçus
2010 3 589 17 602 043 311 821 952 234 0
2011 3 805 6 % 18 240 323 4 % 807 373 989 809 4 % 0
2012 3 988 5 % 19 010 164 4 % 1 155 446 1 017 671 3 % 0
2013 4 276 7 % 19 937 300 5 % 1 131 823 1 068 090 5 % 0
2014 4 330 1 % 20 251 368 2 % 280 016 1 157 153 8 % 0
2015 4 038 -7 % 21 094 036 4 % 0 1 135 654 -2 % 0
A – La fiscalité professionnelle
CFE
39
A – La fiscalité professionnelle
TASCOM
40
Communes 2014 2015 2016
SERGY 192 166 102
VESANCY 301 196 170
FARGES 611 425 543
SAUVERNY 564 896 604
POUGNY 1 301 974 820
CHEVRY 524 648 864
CHEZERY-FORENS 1 151 1 250 1 141
VERSONNEX 3 941 -69 1 180
GRILLY 1 697 1 045 1 500
ECHENEVEX 1 419 2 498 1 566
LELEX 1 396 2 762 2 339
LEAZ 4 777 3 932 2 348
MIJOUX 2 538 2 326 2 403
COLLONGES 6 471 6 524 4 441
PERON 4 110 4 680 4 887
CROZET 5 805 5 765 5 907
ST JEAN DE GONVILLE 6 211 7 474 6 328
CHALLEX 1 803 4 258 7 184
ORNEX 9 937 9 013 8 227
SEGNY 14 535 12 146 17 391
CESSY 20 759 23 721 18 942
PREVESSIN-MOENS 21 040 16 541 19 155
THOIRY 53 599 47 548 44 594
GEX 41 418 44 234 45 381
DIVONNE LES BAINS 57 317 53 452 57 373
ST-GENIS-POUILLY 226 231 216 530 156 742
FERNEY-VOLTAIRE 183 017 185 016 178 055
Total 672 665 653 951 590 187
CVAE - Analyse pluriannuelle de la CVAE CCPG perçue par
commune
A – La fiscalité professionnelle
CVAE
41
A – La fiscalité professionnelle
CVAE
42
A – La fiscalité professionnelle
CVAE
43
A – La fiscalité professionnelle
Produits 2016 CFE CVAE IFER TASCOM TATFNBCompensation
part salaires
Compensation
réduction
fraction recettes
Cessy 193 471 € 86 993 € 44 684 € 28 773 € 7 111 € 63 636 € 380 €
Challex 99 858 € 33 000 € 45 058 € - € 1 335 € 27 398 € 139 €
Chevry 8 186 € 3 968 € 4 285 € - € 3 530 € 2 633 € - €
Chézery-Forens 10 436 € 5 232 € 4 682 € - € 551 € 6 291 € 179 €
Collonges 166 673 € 16 699 € 31 846 € - € 5 218 € 10 211 € nc
Crozet 78 672 € 27 141 € 3 214 € 1 272 € 2 979 € 18 062 € 475 €
Divonne-les-Bains 552 775 € 263 541 € 13 115 € 153 163 € 25 826 € 62 794 € 2 116 €
Echenevex 33 323 € 7 196 € 4 285 € - € 7 631 € 4 168 € 156 €
Farges 3 787 € 2 496 € - € - € 1 357 € 3 355 € - €
Ferney-Voltaire 650 748 € 423 321 € 14 310 € 402 196 € 3 887 € 129 159 € 14 291 €
Gex 363 850 € 208 464 € 9 106 € 99 880 € 9 312 € 100 094 € 6 624 €
Grilly 27 254 € 6 897 € 4 972 € - € 1 839 € 11 911 € 175 €
Léaz 254 082 € 10 786 € 48 876 € - € 608 € 652 € nc
Lélex 31 701 € 10 757 € 5 893 € - € 275 € 9 944 € 43 €
Mijoux 43 647 € 11 035 € 9 496 € - € 432 € 10 150 € 16 €
Ornex 90 406 € 37 786 € 3 214 € 18 841 € 3 055 € 20 317 € 311 €
Péron 39 823 € 22 453 € 7 499 € 29 499 € 2 541 € 3 626 € 80 €
Pougny 50 253 € 3 771 € 9 667 € - € 1 160 € 1 035 € nc
Prévessin-Moëns 243 831 € 87 977 € 303 640 € 18 525 € 11 121 € 23 419 € 600 €
Saint-Genis-Pouilly 531 463 € 383 204 € 41 122 € 183 526 € 14 406 € 395 470 € 4 189 €
Saint-Jean-de-Gonville 26 457 € 29 064 € 2 143 € - € 4 402 € 15 188 € 69 €
Sauverny 5 799 € 2 771 € 372 € - € 623 € 2 376 € 90 €
Ségny 108 081 € 79 883 € 1 535 € 193 343 € 691 € - € 47 €
Sergy 8 690 € 471 € - € - € 1 476 € 2 134 € 172 €
Thoiry 497 421 € 204 822 € 6 963 € 433 008 € 5 779 € - € 1 220 €
Versonnex 11 017 € 5 418 € 4 906 € - € 1 164 € 3 186 € 294 €
Vesancy 8 247 € 781 € 3 368 € - € - € 2 499 € - €
Total communes 4 139 948 € 1 975 927 € 628 251 € 1 562 026 € 118 309 € 929 710 € 31 664 €
44
Communes Bases comm. Cotis. comm. Bases EPCI Cotis. EPCI Taux
comm.
Bases Dept. Cotis. Dept.
CESSY 6 154 609 € 599 478 € 5 958 766 € 140 047 € 9,74% 5 903 210 € 824 589
CHALLEX 2 026 149 € 197 947 € 2 026 141 € 47 620 € 9,77% 2 016 045 € 281 610
CHEVRY 2 115 517 € 226 793 € 1 875 750 € 44 082 € 10,72% 1 875 750 € 262 011
CHEZERY-FORENS 482 565 € 79 385 € 482 565 € 11 341 € 16,45% 482 565 € 67 394
COLLONGES 2 597 696 € 221 334 € 2 560 283 € 60 161 € 8,52% 2 543 137 € 355 250
CROZET 2 993 187 € 235 851 € 2 929 854 € 68 859 € 7,88% 2 927 338 € 408 908
DIVONNE-LES-BAINS 21 910 590 € 2 182 302 € 20 870 433 € 490 459 € 9,96% 20 850 405 € 2 912 714
ECHENEVEX 3 060 953 € 290 186 € 3 011 090 € 70 768 € 9,48% 3 011 090 € 420 620
FARGES 1 132 511 € 76 209 € 1 096 350 € 25 766 € 6,73% 1 096 350 € 153 135
FERNEY-VOLTAIRE 17 966 498 € 2 145 060 € 17 392 051 € 408 837 € 11,94% 17 376 018 € 2 427 251
GEX 14 548 549 € 2 099 403 € 13 587 043 € 319 389 € 14,43% 13 582 261 € 1 897 323
GRILLY 1 817 673 € 157 220 € 1 784 160 € 41 931 € 8,65% 1 784 160 € 249 247
LEAZ 1 375 190 € 107 818 € 1 375 190 € 32 320 € 7,84% 1 375 190 € 192 100
LELEX 649 766 € 134 060 € 649 766 € 15 270 € 20,63% 648 307 € 90 542
MIJOUX 805 880 € 147 410 € 805 880 € 18 926 € 18,29% 805 880 € 112 591
ORNEX 5 791 318 € 527 018 € 5 588 571 € 131 328 € 9,10% 5 588 571 € 780 634
PERON 2 965 303 € 353 460 € 2 965 303 € 69 692 € 11,92% 2 963 197 € 413 905
POUGNY 1 201 997 € 101 209 € 1 188 483 € 27 925 € 8,42% 1 188 483 € 166 002
PREVESSIN-MOENS 12 638 850 € 1 501 533 € 12 126 545 € 285 037 € 11,88% 12 058 983 € 1 684 580
SAUVERNY 1 485 459 € 142 896 € 1 482 072 € 34 827 € 9,62% 1 482 072 € 207 019
SEGNY 2 963 618 € 227 307 € 2 904 292 € 68 246 € 7,67% 2 904 295 € 405 692
SERGY 2 543 159 € 262 974 € 2 495 926 € 58 647 € 10,34% 2 495 926 € 348 645
ST-GENIS-POUILLY 17 125 727 € 2 240 020 € 15 450 620 € 362 977 € 13,08% 15 350 641 € 2 144 216
ST-JEAN-DE-GONVILLE 2 244 407 € 198 407 € 2 038 576 € 47 906 € 8,84% 2 037 641 € 284 620
THOIRY 9 889 621 € 1 097 773 € 9 682 311 € 227 548 € 11,10% 9 681 763 € 1 352 455
VERSONNEX 2 068 770 € 313 841 € 2 041 735 € 47 995 € 15,17% 2 041 735 € 285 195
VESANCY 604 211 € 41 507 € 597 810 € 14 053 € 6,87% 600 459 € 83 874
Total 141 159 773 € 15 908 401 € 134 967 566 € 3 171 957 € - 134 671 472 € 18 812 122
Roles TF - Détail des bases et des cotisations du bâti par commune - données 2016
B – TAXE FONCIER BATI
45
B – TAXE FONCIER BATI
46
B – TAXE FONCIER BATI
47
B – TAXE FONCIER BATI
48
Communes Bases CCPG Cotis.
CCPG
Bases comm. Taux
communal
Cotis.
Comm.
CESSY 9 281 899 300 706 9 271 157 11,81% 1 094 923
CHALLEX 3 138 113 101 665 2 941 315 12,85% 377 944
CHEVRY 3 454 968 111 939 3 422 013 16,03% 548 546
CHEZERY-FORENS 615 050 19 936 609 556 14,77% 90 029
COLLONGES 3 392 269 109 916 3 102 325 12,82% 397 708
CROZET 4 528 879 146 721 4 504 653 10,95% 493 273
DIVONNE-LES-BAINS 32 973 807 1 068 397 29 768 283 12,28% 3 655 500
ECHENEVEX 5 042 841 163 374 4 941 499 14,31% 707 126
FARGES 1 906 259 61 765 1 905 029 10,89% 207 453
FERNEY-VOLTAIRE 22 898 516 741 968 21 511 323 13,12% 2 822 338
GEX 22 750 833 737 112 22 945 043 16,95% 3 889 120
GRILLY 2 859 539 92 642 2 571 295 11,79% 303 151
LEAZ 1 104 833 35 792 1 020 689 11,98% 122 285
LELEX 795 858 25 808 806 399 21,94% 176 931
MIJOUX 879 670 28 471 901 431 23,49% 211 750
ORNEX 9 399 401 304 556 9 355 166 10,86% 1 015 979
PERON 4 931 581 159 777 4 479 636 13,36% 598 482
POUGNY 1 702 688 55 175 1 706 384 11,41% 194 698
PREVESSIN-MOENS 20 340 000 658 991 18 139 477 12,42% 2 252 927
SAUVERNY 2 593 340 84 018 2 573 582 12,22% 314 501
SEGNY 3 898 891 126 323 3 893 098 12,29% 478 487
SERGY 4 453 459 144 290 4 427 871 12,04% 533 120
ST-GENIS-POUILLY 24 731 344 801 181 24 251 317 12,47% 3 024 134
ST-JEAN-DE-GONVILLE 3 487 047 112 961 3 209 147 10,81% 346 922
THOIRY 12 972 661 420 282 12 941 925 12,36% 1 599 654
VERSONNEX 3 438 577 111 397 3 081 916 14,72% 453 662
VESANCY 969 947 31 424 974 507 12,74% 124 151
Total 208 542 270 6 756 587 199 256 036 - 26 034 794
Roles TH - Analyse des bases nettes et des cotisations par commune données 2016
C – TAXE D’HABITATION
49
C – TAXE D’HABITATION
50
C – TAXE D’HABITATION
51
C – TAXE D’HABITATION
52
Quelques comparaisons… Source Minefi, données
consolidées
53
V – La dette
54
Budget Principal
L’endettement de la CCPG Budget Principal est en baisse
Le stock de dette a régulièrement baissé sur la période
5,2 M€ au 31/12/2011
4,3 M€ au 31/12/2013
3,7 M€ au 31/12/2015
Soit – 1,5 M€ sur la période
2011 2012 2013 2014 2015
Encours de dette au 1/1 5 210 4 877 4 532 4 255 3 968
Encours de dette au 31/12 4 877 4 532 4 255 3 968 3 686
Intérêts de la dette 212 194 176 165 141
Remboursement capital 333 345 277 287 283
Annuités 545 539 453 452 424
55
Budget Principal
La solvabilité est très bonne, grâce à la baisse du stock de dette
En K€ 2011 2012 2013 2014 2015
Encours au 31/12 4 877 4 532 4 255 3 968 3 686
CAF 4 456 4 016 6 291 -3 153 2 998
Ratio de capacité de désendettement 1,1 1,1 0,7 imp 1,2
La capacité de désendettement permet
d’analyser le nombre d’années nécessaires
à la collectivité pour rembourser la totalité de
la dette :
1 an en 2011
0,7 an en 2013
1,2 an en 20150
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
2011 2012 2013 2014 2015
Encours au 31/12
CAF
56
budget nb emprunts
Eau 13
Assainissement 5
Principal 4
Technoparc 3
25
budget 01/01/2016 01/01/2017 01/01/2018 01/01/2019 01/01/2020
Eau 1 095 1 091 1 081 1 078 1 076
Principal 382 356 354 353 351
Technoparc 259 258 258 125 79
Assainissement 156 156 156 126 83
1 891 1 861 1 850 1 682 1 589
budget 01/01/2016 01/01/2017 01/01/2018 01/01/2019 01/01/2020
Eau 12 327 11 694 11 039 10 368 9 674
Principal 3 687 3 436 3 202 2 961 2 713
Technoparc 1 306 1 100 886 666 571
Assainissement 1 232 1 116 997 875 778
18 552 17 345 16 124 14 870 13 736
Annuités
Encours de la dette
Budget Principal et budgets annexes
57
Budget Principal et budgets annexes
58
VI – Les effectifs
59
Filières 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017Administratives 51 51 50 53 55 58 64
Budget principal 39 43 41 39 40 43 49
Eau et assainissement 7 6 6 6 6 6 6
GVD 5 6 6 6
Réserve 1 1 1 1 1 1 1
Technoparc 2 2 2 2 2 2 2
Techniques 53 58 60 63 64 73 74
Budget principal 35 45 43 29 27 34 35
Eau et assainissement 10 9 14 12 12 13 13
GVD 17 20 21 21
Réserve 5 5 3 5 5 5 5
Médico-sociale 4 4 10 10 10 10 10
Budget principal 4 4 10 10 10 10 10
Sociale 10 10 4 3 3 4 8
Budget principal 10 10 4 3 3 4 8
Total 118 123 124 129 132 145 156
BUDGETS 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017Budget principal 88 102 98 81 80 91 102
Eau et assainissement 17 15 20 18 18 19 19
GVD 0 0 0 22 26 27 27
Réserve 6 6 4 6 6 6 6
Technoparc 2 2 2 2 2 2 2
TOTAL 113 125 124 129 132 145 156
Classes 2011 2012 2013 2014 2015 2016 2017
Catégorie A 32 30 28 33 33 40 42
Catégorie B 17 15 17 16 15 20 25
Catégorie C 69 78 79 80 84 85 89
total 118 123 124 129 132 145 156
60
Emplois créés en 2016 Nombre Budget catégorie
Adjoint au responsable GVD 1 GVD A
Auxiliaire de puériculture 1 principal C
Agent polyvalent patrimoine 1 principal C
Responsable transport 1 principal A
Adjoint administratif -1 principal C
Chargé de marchés publics 1 principal A
Responsable ADS 1 principal A
Techniciens ADS 3 principal B
technicien rivière 1 principal B
Technicien coordonnateur
aménagement 1 principal B
Directeur régie eau et assaissement 1 eau A
Chargé d'urbanisme 1 principal A
Responsable maîtrise d'ouvrage 1 principal A
Total 13
61
Créations de postes 2017 Nombre Budget catégorie
Responsables RAM 4 principal B
Assistant GMN/volant 1 principal C
Technicien SIG 1 principal B
Animateur environnement 1 principal C
Coordonnateur santé (mission 3 ans) 1 principal A
Assistant service transport 1 principal C
Chargé de mission foncier 1 principal A
Responsable moyens généraux 1 principal C
Total 11
62
Création de postes 2017
Pôle Service Poste à créer Grade Cadre d'emploi Coût Financement Argumentaire technique du responsable de pôle
Environnement
/
direction
générale
GMN
/
direction
assistant administratif
50% gestion des milieux
naturels
50% agent volant
poste permanent
Adjoint
administratif
2ème classe
Adjoint administratif 35 000 € 100% budget principal
Le principe d'un 0,5 ETP au service gestion des milieux
naturels a déjà été validé afin de soutenir le
développement du service. Parallèlement, afin de
pallier aux problèmes récurrents de remplacements
(coût en recrutement et en formation d'agents non
destinés à rester dans la collectivité) et pour aider
ponctuellement les services (charge de travail liée au
bouclage d'un projet par exemple), il est proposé de
combiner le poste avec 0,5 ETP comme agent volant.
L'agent volant sera géré par le service des ressources
humaines et mis à disposition des services en fonction
des besoins.
SIG SIGtechnicien SIG - poste
permanentTechnicien Technicien 42 000 €
Possibilité de prise en charge
partiel (10%) par le budget eau et
assainissement. A terme,
possibilité de mutualisation avec
les communes (selon le retour
des schémas de mutualisation)
mais également auprès de l’ARC
qui a récemment exprimé ses
besoins en SIG à hauteur de 0,4
ETP.
Le service SIG est en surcharge depuis plusieurs mois.
Ce poste sera également rendu nécessaire dans le
cadre de la prise de compétence eaux pluviales, prévue
au 1er Janvier 2018, mais également dans le cadre des
prises de compétences tourisme et économie qui vont
accentuer la sollicitation du service SIG.
Environnement animation
animateur
environnement
poste permanent
Adjoint d'animation
2ème classeAdjoint d'animation
entre 32 000 €
et 35 000€
il existe déjà un poste de
saisonnier, le coût
supplémentaire réel est donc de
50% d'un ETP + financement
partiel par les communes dans le
cadre de la mise à disposition de
l'agent pour des animations
périscolaires + éventuelle
participation du service eau et
assianissement à hauteur de 0,2
ETP
Volonté de développer la communication sur
l'environnement et suucès rencontré auprès des
communes : en seulement 4 mois de communication, 5
communes ont déjà conventionné avec la CCPG.
63
Pôle Service Poste à créer Grade Cadre d'emploi Coût Financement Argumentaire technique du responsable de pôle
Social et santé petite enfance
4 postes de
responsables relais
assistantes maternelles
Educateur de
jeunes enfants ou
assistant socio-
éducatif
Educateur de jeunes
enfants ou assistant
socio-éducatif
168 000 € 100% budget principalFin du marché public des relais assistantes maternelles =>
obligation de reprendre le personnel des anciens prestataires
Social et santé santé
Coordonnateur santé -
poste non permanent
de chargé de mission de
trois ans
Attaché territorial Attaché 50 000 €
50% par l'ARS, le reste par le
budget général. Possibilité
éventuelle d'un cofinancement
par le département
Création de poste prévue dans le cadre du contrat territorial de
santé. Voir note jointe au document
Aménagement transport
Gestionnaire du
transport scolaire -
poste permanent à
partir de l'été 2018
Rédacteur ou
technicien
Rédacteur ou
technicien 42 000 € 100% budget annexe transport
Poste créé en amont de la rentrée scolaire 2018 afin de gérer le
transport scolaire dans le cadre de la reprise par la CCPG de la
compétence transport. Au regard de l'activité actuelle du service
départemental en charge de cette compétence, le nombre de
poste est estimé à 1,7 postes dans le cadre du transfert de
compétence
Aménagement transport
Assistant service
transport
poste permanent
Adjoint
administratif 2ème
classe
Adjoint administratif 35 000 € 100% budget annexe transport
Ce poste permettra d'assister la responsable du service. La prise
de compétence transport implique que le service mobilités
devienne l'interface entre notre population et la CCPG. Ce poste
permettra la création d'un relais mobilité où la population pourra
trouver toutes les informations nécessaires sur la mobilité.
Aménagement Urbanisme
Chargé de mission
foncier
poste permanent
Attaché territorial Attaché 50 000 € 100% budget principal
La mise en place d'un service foncier décidé en comité de
direction et validé par les élus implique une reconcentration de
l'activité de tous les services vers le service foncier. Cette
dynamique est salué par tous les services et le Directeur du pôle
aménagement est en phase de concertation avec les directeurs
de pôle et les responsables de service pour définir les contours
du champs d'action du service foncier. Ainsi, au regard des
échanges, il apparaît que les missions du poste seront liées à
l'activité du service à savoir gestion immobilière des biens de la
CCPG, acquisition/vente des terrains au bénéfice des politiques
publiques communautaires, gestion des DIA, accompagnement
des communes dans leur politique foncière, gestion du droit de
préemption urbain, gestion des procédures d'expropriation et
des dossiers de DUP. Ce poste doit alléger le plan de charges des
autres services et pôles de la CCPG puisque toute la partie
foncière sera géré par le service foncier.
Direction
générale
moyens
généraux
responsable moyens
généraux
Adjoint
administratif
principal 1ère classe
Adjoint administratif 40 000 € 100% budget principal poste validé en 2016, effectivement créé en 2017
Politique salariale 2017
64
•Éléments sur la rémunération du personnel.
Prise en charge de l'assurance maintien de salaire.
Participation à la mutuelle santé : de 15 à 35€ selon l'indice de
rémunération de l'agent.
Participation aux chèques déjeuner : 60% de 8€ par jour travaillé
En 2017, refonte du régime indemnitaire avec l'instauration du
RIFSEEP contenant une part liée aux fonctions de l'agent et une part
liée aux résultats
Charges de personnel
65
2011 2012 2013 2014 2015 2016
Réalisé Réalisé Réalisé Réalisé Réalisé Prévisionnel
TOTAL 5 043 454 5 369 809 5 490 158 5 838 975 6 342 351 7 010 000
Principal 2 737 793 2 966 479 3 015 814 3 196 135 3 576 579 3 910 000
Eau et Assainissement 871 534 900 498 953 640 1 043 122 1 056 649 1 125 000
Technoparc 202 552 218 495 231 286 231 288 238 164 250 000
Réserve 238 732 229 134 240 961 275 609 248 377 280 000
SCOT 69 584 70 556
GVD 923 260 984 648 1 048 458 1 092 821 1 222 582 1 445 000
66
VII – La situation financière de la CCPG
67
Le budget principal
68
La situation financière porte sur les comptes de gestion 2011 à 2015
5 points sont développés :
Les produits et les charges réels de la section de fonctionnement
Les grands équilibres financiers
La politique des investissements
Le mode de financement des investissements
La dette et la solvabilité
A – La situation financière de la CCPG
69
A – La situation financière de la CCPG
Les grandes masses budgétaires 2011-2015 : le fonctionnement
Baisse de l’EBF régulière entre 2011 et
2015 avec une augmentation en 2013
Le résultat financier s’améliore sur la
période
Usure de la CAF malgré une
amélioration du résultat exceptionnel (le
déficit 2014 s’explique par le
reversement de l’excédent GVD sorti du
budget principal et affecté au budget
GVD
Les indicateurs d’épargne :
La CAF baisse en valeur absolue et en
valeur relative (passant de 18,5 % à 16,5
% des produits de gestion)
En K€ 2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Produits de gestion 24 041 25 924 27 482 18 084 18 194
Charges de gestion 19 640 22 080 21 897 14 622 15 517
EBF 4 401 3 844 5 585 3 461 2 677
Résultat financier -212 -194 -176 -165 -141
Transferts charges 0 0 0 0 0
Résultat except 266 366 881 -6 450 462
CAF 4 456 4 016 6 291 -3 153 2 998
EBF/Produits de gestion 18,3% 14,8% 20,3% 19,1% 14,7%
CAF/Produits de gestion 18,5% 15,5% 22,9% -17,4% 16,5%
70
A – La situation financière de la CCPG
La variation des recettes de fonctionnement
Les RRF ont augmenté jusqu’en 2013 pour
diminuer à partir de 2014 (-8 M€)
Cette diminution s’explique par l’abandon
de la TEOM avec le passage en RI et
création d’un budget GVD
Les produits de fiscalité directe sont
dynamiques (notamment les bases TH et
FB)
La forte baisse de la DGF s’explique par
les ponctions liées aux dernières lois de
finances (effort de redressement des
finances publiques)
En K€ 2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Fiscalité directe 9 880 10 314 10 845 11 640 11 971
Fiscalité reversée 0 0 0 0 0
TEOM 8 425 8 852 9 040 0 0
Produits des services 4 317 4 325 5 535 5 244 5 499
DGF 1 332 1 308 1 386 1 178 508
Autres dot et particip 2 678 3 598 3 084 2 984 3 203
Autres produits 331 221 456 382 394
Recettes réelles de fct 26 963 28 619 30 346 21 429 21 575
0
5 000
10 000
15 000
20 000
25 000
30 000
2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Fiscalité directe Fiscalité reversée TEOM
Produits des services DGF Autres dot et particip
Autres produits
71
A – La situation financière de la CCPG
La variation des charges de fonctionnement
Les charges de fonctionnement ont
augmenté jusqu’en 2013
Elles sont stables en 2014, mais cette
stabilité provient en réalité du transfert des
charges relatives aux déchets et au
versement de l’excédent sur le budget GVD
Le volume mandaté en 2015 retrouve un
niveau structurel
En K€ 2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Charges de personnel 5 043 5 370 5 490 5 839 6 342
Charges générales/courantes 14 596 16 710 16 406 8 783 9 175
AC 860 677 823 1 291 1 327
FNGIR 1 994 2 010 2 017 2 017 2 017
Charges financières 212 194 176 165 141
Charges exceptionnelles 11 4 2 6 870 9
Charges réelles de fct 22 716 24 965 24 915 24 966 19 011
72
A – La situation financière de la CCPG
Baisse significative de l’EBF
Sur la période, les produits de gestion ont
diminué de 5,8 M€
Les charges de gestion ont diminué quant
à elles de 4,1 M€
L’EBF a donc également baissé de 1,7 M€
Il convient également de souligner la
baisse de la DGF de la CCPG sur la
période : - 800 K€5 000
10 000
15 000
20 000
25 000
30 000
2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Mesure de l'effet ciseaux (en K€)
Produits de gestion Charges de gestion
73
A – La situation financière de la CCPG
Le niveau d’autofinancement baisse sensiblement
Le taux d’autofinancement 2011 se situait
à un niveau correct (18% des produits
courants)
En 2015, il atteint 16%
Le taux 2014 est négatif compte tenu du
résultat exceptionnel.
-20
-15
-10
-5
0
5
10
15
20
25
2 011 2012 2013 2014 2015
Taux d'autofinancement
74
A – La situation financière de la CCPG
Depuis 2011, la CAF nette baisse mais reste structurellement positive
La CAF nette représente le solde disponible pour le financement
des investissements
Une CAF nette positive signifie que la CCPG finance une partie de
ses dépenses d’équipement par des ressources propres, au
détriment de l’emprunt
Remarque : La chute constatée en 2014 provient du versement au
budget GVD
En K€ 2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
CAF nette 4 123 3 671 6 014 -3 440 2 715
75
A – La situation financière de la CCPG
Entre 2011 et 2014, l’effort d’équipement est soutenu
0
1 000
2 000
3 000
4 000
5 000
6 000
7 000
8 000
9 000
10 000
Année 2011 Année 2012 Année 2013 Année 2014 Année 2015
Entre 2011 et 2014, l’effort d’équipement a été
très soutenu (6,6 M€ en moyenne par an)
Les dépenses d’équipement ont été beaucoup
plus faibles en 2015 : 2,1 M€
76
A – La situation financière de la CCPG
Les dépenses d’équipement ont été financées par les ressources de la
collectivité
Sur la période d’analyse, les dépenses
d’investissement se sont élevées à 33 M€
3 sources de financement :
les ressources propres, pour 22 M€ (soit 62%)
les subventions, pour 13,6 M€ (38%)
la variation de l’excédent de clôture est donc
positive (+2,3 M€)
La CCPG n’a pas eu besoin de recourir à
l’emprunt, et les dépenses d’équipement ont été
majoritairement couvertes par des ressources
propres
En K€Cumul
2011/2015 Structure
Dépenses d'invest hors dette 33 428 100%
Dépenses d'équipement 28 624 86%
Dépenses financières / Autres 4 804 14%
Financement de l'investissement 35 702 100%
CAF nette 13 083 37%
Ressources propres d'investissement 9 061 25%
Subventions et autres 13 558 38%
Emprunts 0 0%
Variation de l'excédent global 2 274
77
A – La situation financière de la CCPG (budget principal seul)
2 011 2 012 2 013 2 014 2 015
Produits de gestion 24 041 25 924 27 482 18 084 18 194
Charges de gestion 19 640 22 080 21 897 14 622 15 517
EBF 4 401 3 844 5 585 3 461 2 677
Résultat financier -212 -194 -176 -165 -141
Résultat except 266 366 881 -6 450 462
CAF brute 4 456 4 016 6 291 -3 153 2 998
Remboursement de la dette 333 345 277 287 283
CAF nette disponible 4 123 3 671 6 014 -3 440 2 715
Recettes d'investissement 4 394 4 925 4 314 6 157 2 829
Marge d'autofinancement 8 517 8 596 10 328 2 717 5 544
Dépenses d'équipement 5 202 5 818 8 977 6 520 2 107
Autres dépenses d'investissement 249 1 028 1 103 1 739 685
Besoin de financement 3 065 1 750 247 -5 542 2 753
Emprunts souscrits 0 0 0 0 0
Fonds de roulement au 1/1 10 681,3 13 746,3 15 496,8 15 744,2 10 202,5
Fonds de roulement au 31/12 13 746,3 15 496,8 15 744,2 10 202,5 12 955,2
Stock de dette au 1/1 5 210 4 877 4 532 4 255 3 968
Stock de dette au 31/12 4 877 4 532 4 255 3 968 3 686
Capacité de désendettement 1,1 1,1 0,7 imp 1,2
78
79
80
A – Synthèse
Baisse des indicateurs d’autofinancement
La CAF nette reste cependant positive car la CC est peu endettée
La Communauté de Communes s’est désendettée sur la période : -1,5 M€
Le résultat global de clôture reste très élevé : près de 13 M€ au 31/12/2015
Sur la période, la trésorerie est pléthorique : 19 M€ en 2011, et 25 M€ en 2015
La solvabilité reste ainsi à un très bon niveau : 1 an environ
81
A – La situation financière de la CCPG (Ppal et GVD consolidés)
82
B – Résultats et exécution du CA 2016
83
Cette phase vise à présenter les équilibres du compte administratif 2016 prévisionnel
Ce travail a été réalisé à partir du CA transmis par la Directions des Finances de la
CC
Les données projetées intègrent le Budget 2016 (BP et DM) et les dernières
notifications connues (bases, DGF et FPIC)
La présentation est réalisée par sections (Fonctionnement et Investissement)
A ce stade les résultats sont prévisionnels, 1 trimestre restant à réaliser
B - Méthodologie
84
B - CA 2016 section de fonctionnement
85
B - CA 2016 section d’investissement
86
Le résultat du CA 2016 prévisionnel est estimé à + 9,87 M€ (donc pas de situation
déficitaire au sens du CGCT)
B - CA 2016 – Résultat
87
B - CA 2016 – Synthèse
88
L’EBF et les indicateurs d’autofinancement baissent sensiblement :
l’EBF diminue de 400 K€ entre 2015 et 2016
évolution des produits de gestion, à hauteur de 500 K€
car baisse de la DGF forfaitaire
mais évolution plus forte des charges de gestion courante : + 1 M€ :
charges à caractère général : +5% (+300 K€)
charges de personnel : +8,8% (+550 K€), dont service ADS 190 K€
Mise en place en 2016 du service ADS (avec participations des communes)
la CAF brute baisse de 400 K€
la CAF nette reste positive : +2,3 M€ en 2016
Baisse de l’endettement en 2016 : - 250 K€
La capacité de désendettement reste à un très bon niveau (1 an)
Le fonds de roulement au 31/12/2016 reste encore très élevé (9,9 M€)
B - CA 2016 – Synthèse
89
90
VIII – Premières esquisses budgétaires pour 2017
91
Repères légaux et définition de la stratégie financière de la
ComCom
Obligations minimales « déduites » des dispositions légales :
le résultat comptable de la section de fonctionnement doit être positif
la communauté de communes doit rembourser le capital de sa dette par des ressources
propres
Définition de la stratégie financière de la ComCom :
CAF nette positive
Ramener le fonds de roulement à environ 20 à 30 jours de dépenses de fonctionnement
(soit environ 1,5 M€) -> Cf hypothèses 1 (fiscalité additionnelle) et 2 (passage en FPU)
Plusieurs leviers peuvent être simulés :
maîtrise des charges de fonctionnement, notamment les charges de personnel
optimisation des bases (création d’un observatoire fiscal)
calibrage des projets d’investissement (amélioration du taux de réalisation annuel, mise en
place des AP/CP)
cumul des leviers
92
A - Méthodologie
B - Présentation du cadrage prévisionnel
C – Les 2 hypothèses de travail
Analyses financières prospectives
93
Identification des marges de
manœuvre de la CCPG
Analyse financière
rétrospective
Prospective Scénario de base
Analyse des comptes
de gestion
Analyse financière
prospective
Prospectives : variantes et tests de
sensibilité
Simulations et arbitrages :-Capacité d’autofinancement
- Capacité d’investissement
Scénarios comparés et modalités d’équilibre
financier sur les 4 prochains exercices
Choix d’une
stratégie :
Synthèse et
préconisations
A - Méthodologie
94
A - Méthodologie
Les enjeux de la prospective
quelles sont les marges de manœuvre de la CCPG pour maintenir ses équilibres financiers et
quels sont les leviers mobilisables ?
des leviers internes
activer le levier fiscal ? (optimisation des valeurs locatives, pacte financier et fiscal)
modifier le régime fiscal ? FPU ou FA, avec quels impacts ?
contraindre la progression des charges de fonctionnement ? Est-ce réalisable et à
quelle échéance la CCPG peut-elle en voir les effets ?
Il est en effet indispensable sur ce point de passer du discours à la pratique…
modifier le calibrage (-> arbitrage) du plan d’investissement en priorisant
différemment la réalisation des projets voire en abandonnant certains programmes ?
des leviers externes
mutualisation CCPG/communes membres
optimisation des bases
Remarque : Les dernières dispositions relatives au PLF 2017 sont intégrées
95
B - Présentation du cadrage prévisionnel
Des hypothèses bâties à partir du CA 2016 prévisionnel et reposant sur des données
exogènes et endogènes :
Hypothèses prospectives pour la commune dans sa configuration actuelle
(continuation des actions, pas de nouvelles compétences transférées, etc…)
Travaux sur les hypothèses avec intégration de certaines évolutions de charges
et de produits
Avertissement : ces hypothèses sont soumises à de nombreux aléas :
conjoncture nationale
Prochain Projet de Loi de Finances
politique de l’Etat des autres financeurs, etc…
96
B - Cadrage produits de fonctionnement
Evolution des produits
produits des services : +1% par an
produits des impôts et taxes, avec stabilité des taux additionnels ménages
bases TH :
Revalorisation des bases de 2 % (dont 1% lié à la revalorisation forfaitaire)
bases FB : +2 %/an (y compris revalorisation des bases de 1 %)
bases FNB : +1% par an
bases CFE et FPZ : Stabilité
CVAE et TASCOM : Stabilité
DGF : intégration de l’impact 2017 de la baisse de la DGF (effort de redressement
des finances publiques)
Autres dotations et subventions : Stabilité // au CA 2016
Autres produits de gestion courante : Stabilité // au CA 2016
97
B - Cadrage charges de fonctionnement
Evolution des charges
charges à caractère général : +1% par an
charges de personnel : + 3% par an au titre du GVT + 500 K€ BP 2017 (postes
nouvelles compétences et développement)
FPIC : +1,5% par an
autres charges de gestion courante : +2% par an
Remarque : les évolutions listées ci-dessus intègrent les coûts induits liés aux
dépenses d’équipement
Charges financières
Selon l’état d’extinction de la dette
Charges exceptionnelles : 5 K€ par an
Amortissements : + 5% par an
98
Remboursement du capital de la dette : selon l’état d’extinction de la dette
Dépenses d’équipement :
Variable d’ajustement
B - Cadrage dépenses d’investissement
99
Subventions :
Taux retenu de 33%
FCTVA : Projection selon taux en vigueur (16,404%)
L’emprunt équilibre chaque année les CA prévisionnels, avec contrainte d’un fonds
de roulement annuel minimum d’ 1,5 M€
B - Cadrage recettes d’investissement
100
C - Les 2 hypothèses de travail présentées
Hypothèse 1 :
Taux fiscaux constants (régime de la fiscalité additionnelle)
Réduire le fonds de roulement en programmant des dépenses d’équipement dynamiques
Maintenir une CAF nette positive
Pas d’emprunts nouveaux, la Communauté continue à se désendetter
Hypothèse 2 :
Mêmes projections que l’hypothèse 1
Mais avec intégration de la Fiscalité Propre Unique (FPU)
DGF bonifiée
101
C - Les 2 hypothèses de travail présentées
Remarques :
A partir de 2017, le coût des compétences transférées est intégré pour les 2 hypothèses,
soit +13,74 M€ en dépenses et en recettes
Le budget 2017 double quasiment par rapport à 2016 avec l’intégration de nouvelles
compétences :
Economie : + 740 K€
Tourisme : + 1,5 M€
Transport : + 11,5 M€
En l’état l’effet est neutralisé en dépenses et en recettes
Le transfert des charges des communes est compensé par une recette prise sur l’attribution
de compensation en cas de FPU et sur la Fiscalité Professionnelle en cas de TPZ
Pour les transports, la charge est financée par la CFG qui nécessite l’accord avec le
département
102
C - Résultats de l’hypothèse 1
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C - Résultats de l’hypothèse 1
L’EBF et les indicateurs d’autofinancement continueraient de baisser (hypothèse
prudente) :
l’EBF diminue de 600 K€ entre 2016 et 2020
très faible évolution des produits de gestion
car baisse de la DGF forfaitaire
et évolution plus forte des charges de gestion courante
charges à caractère général : +1%
charges de personnel : +3% / an
la CAF brute baisserait de 230 K€
la CAF nette reste cependant positive : +1,7 M€ en 2020
La capacité d’équipement brute est estimée à 25 M€ entre 2017 et 2020 (se posera
également la question de la capacité « humaine » à faire…)
Poursuite de la baisse de l’endettement en 2020 : - 0,4€ sur la période
La capacité de désendettement reste à un très bon niveau (1,5 an)
Forte baisse du fonds de roulement sur la période, pour atteindre 1,5 M€ en 2020
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C – Hypothèse 2 : Les impacts financiers et fiscaux liés au
passage en FPU
TMP 2017 de CFE : 22,32% (cf diapositive suivante)
ce taux se substitue à la somme de chaque taux communal et du taux de la
CCPG pour 2016 (3,68%)
période d’unification de 5 ans (droit commun), ou selon une durée librement
choisie entre 2 et 12 ans (par délibération du conseil communautaire)
Produit fiscal transféré des communes à la CCPG à la suite du passage en FPU :
Produit CFE : 4,1 M€
CVAE + IFER + TASCOM + TAFNB : 4,3 M€
Compensations fiscales : 1 M€
Soit un produit fiscal total de + 9,39 M€ (= AC fiscale)
105
Source Rapport Stratorial Finances
C – Hypothèse 2 : Les impacts financiers et fiscaux liés au
passage en FPU
106
Attribution de compensation (AC)
l’attribution de compensation a pour objectif d’assurer la neutralité budgétaire du
passage en FPU et des transferts de compétences, à la fois pour l’EPCI et pour
ses communes membres
elle est égale à l’AC fiscale – l’AC charges nettes
elle est figée dans le temps (sauf mécanismes de révision prévus par le CGI)
elle est recalculée à chaque transfert de compétence par la CLETC
Après passage en FPU, la CCPG bénéficiera donc de l’évolution du produit
économique transféré
En revanche, elle devra financer l’évolution des charges transférées…
C – Hypothèse 2 : Les impacts financiers et fiscaux liés au
passage en FPU
107
Source Rapport
Stratorial Finances
C – Hypothèse 2 : Les impacts financiers et fiscaux liés au
passage en FPU
108
Dotation d’intercommunalité (DI) perçue après passage en FPU
FPU avec bonification
DI 2017 estimée à 798 K€ (contre -381 K€ si maintien de la fiscalité add.)
car en 2017, le CIF pris en compte est le CIF moyen national
soit un bonis moyen de 1,1 M€ par an, sur la période 2017-2020
Compte tenu des incertitudes liées aux prochaines lois de finances, il est
proposé que 50% de ce bonis soit consacré à l’autofinancement de la
Communauté
Le solde (50%) pourrait permettre de financer les coûts induits des prochains
projets d’équipement (car non inclus dans l’hypothèse 2 présentée)
C – Hypothèse 2 : Les impacts financiers et fiscaux liés au
passage en FPU
109
C - Résultats de l’hypothèse 2
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IX – Régime fiscal pour la CCPG en 2017
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Le passage à la FPU répond à une triple logique:
Une spécialisation fiscale : la CC, qui est compétente en matière de développement
économique, se substitue à ses communes membres pour percevoir l’intégralité du produit
de l’impôt économique local, outil de financement et d’orientation de sa politique. Le
périmètre des ressources fiscales des communes membres se retrouve, en conséquence,
limité aux 3 impôts ménages (TH, TFPB, TFPNB), qui sont, quant à eux, plus adaptés au
financement des services à la population. En contrepartie de la perte du produit de l’impôt
économique local, les communes perçoivent de la CC une attribution de compensation.
Ce reversement contribue à assurer une certaine neutralité budgétaire tant pour les
communes que pour la CC
La suppression de la concurrence entre les communes : la perception de l’ensemble
des produits de fiscalité professionnelle par la CC et l’institution d’un taux unique de CFE sur
l’ensemble du territoire permet de supprimer la concurrence entre les communes d’une
même communauté pour l’attrait de nouvelles entreprises. Toutes les entreprises implantées
sur le territoire d’une communauté à FPU sont soumises au même taux d’imposition (après
une période de réduction des écarts de taux pouvant aller de 2 à 12 ans)… Elles n’auront
donc aucun intérêt fiscal à s’installer sur la commune où le taux d’imposition serait le plus
faible…
Synthèse passage en FPU
112
L’instauration d’un espace de solidarité entre communes : l’option pour la FPU implique
la création d’un espace de solidarité entre communes qui se traduit par :
une mutualisation des richesses : les ressources supplémentaires, dégagées
notamment par l’implantation de nouvelle entreprises ou par l’extension d’entreprises
déjà existantes au moment de l’implantation de la FPU, sont perçues par la CC qui…
les affecte à ses projets de développement et d’aménagement au bénéfice de
l’ensemble de son territoire et pas seulement pour des projets situés sur le
territoire des communes où s’implantent les entreprises
les reverse aux communes membres par le versement d’une dotation de solidarité
communautaire
une mutualisation des pertes : la CC peut faire supporter à l’ensemble des communes
membres la perte de produit d’impôt économique induite par la fermeture d’une
entreprise. Sans la FPU, seule la commune d’implantation supporterait la perte sèche
de recettes
Synthèse passage en FPU
113
X – Conclusions
114
Les moyens incitatifs de l’Etat, par le biais de la dotation d’intercommunalité du
régime fiscal de la FPU, sont importants
La dotation d’intercommunalité de la CC augmenterait en effet de 895 K€ en 2017 (si
DGF bonifiée)
La question centrale à se poser : la mise en commun de la Fiscalité
Professionnelle Unique au service du projet communautaire de la ComCom ?
Le choix du type de fiscalité doit avant tout s’apprécier :
- au vue du projet de la communauté, c’est-à-dire au vu de l’intégration voulue
en terme de compétences
- au vu de la situation actuelle et surtout future des bases de l’impôt
économique local de la CC
- au vu de la culture communautaire et de la solidarité développée entre les Elus
Le passage à FPU permettrait également, en cas de fusion, de travailler avec les
autres communautés de communes « à armes égales » (régime fiscal identique)
Et bien sûr la mise en œuvre d’un pacte financier et fiscal…, vers un pacte de
solidarité ?
Conclusion – l’opportunité d’opter pour la FPU