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ommaire dito S Avril 2014 Pourquoi l’art d’écrire est-il si méconnu ? L’aimant littéraire & L’esprit Livre - Organisme de formation déclaré. Publication des ateliers d’écriture en ligne. E Un art difficile à définir Tout le monde écrit et tout le monde a des avis sur la question. La pluralité des points de vue ne contribue pas à définir facilement l’art d’écrire. Les amateurs d’écriture aimeront y retrouver leurs rêves, leurs désirs et plai- sirs d’écrire tant ils se sont approprié l’écriture et qu’elle fait désormais partie d’eux et de leur existence. Les écrivains chevronnés useront de leur autorité pour faire entendre leur voix, ce sont eux les professionnels, ceux qui sont rémunérés par les lecteurs, comme les journalistes. - L’art d’écrire au coeur de vieilles polémiques p. 3 - Quand les juges font un pied de nez aux polèmiques p. 5 - Les Zéditions Zélectroniques p. 6 - L’art d’écrire en bref p. 8 - Le plein de nouveautés p. 9 - Une formation complète d’écrivains en 3 ans p. 10 - Le coaching littéraire en plein dévelop- pement p. 11 - Stage d’été : Devenez créatif sur commande p.12 Cliquez sur les liens de ce document afin d’accéder aux pages Les nouvelles L’aimant littéraire www.cours-ecriture.org [email protected] Ateliers d’écriture en ligne Les universitaires useront de leurs savoirs reconnus en haut lieu. Quant aux enseignants, ils ont raison de faire valoir que le savoir écrire relève des missions de l’école… Celui qui écrit se réfère à ses propres expériences pour qualifier ce qu’il connaît. Comme l’expérience est par définition personnelle et unique, il existe potentiellement autant de définitions de l’art d’écrire que d’expériences, autant vouloir faire l’inventaire des grains de sable d’un désert ! Par ailleurs, l’écriture est une discipline vaste. Le dictionnaire des sciences du langage paru aux éditions Points dis- tingue 11 domaines dont la rhétorique, la stylistique, la poétique, la sémiologie, la narratologie et la philosophie du langage sans parler de notions tels que les genres littéraires, le style et ses figures… Nicolas Boileau « Soyez-vous à vous-même un sévère critique L’ignorance toujours est prête à s’admirer. Faites-vous des amis prompts à vous censurer ; Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères, Et de tous vos défauts les zélés adversaires. Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ; Mais sachez de l’ami reconnaître le flatteur ; Tel vous semble applaudir, qui vous raille ou vous joue, Aimez que l’on vous conseille et non pas qu’on vous loue. » Art poétique Selon Nicolas Boileau, le manque d’humilité conduirait à nier l’utilité de l’apprentissage...

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ommaire

ditoS

Avril 2014

Pourquoi l’art d’écrire

est-il si méconnu ?

L’aimant littéraire & L’esprit Livre - Organisme de formation déclaré. Publication des ateliers d’écriture en ligne.

EUn art difficile à définirTout le monde écrit et tout le monde ades avis sur la question. La pluralité despoints de vue ne contribue pas à définirfacilement l’art d’écrire.

Les amateurs d’écriture aimeront yretrouver leurs rêves, leurs désirs et plai-sirs d’écrire tant ils se sont appropriél’écriture et qu’elle fait désormais partied’eux et de leur existence. Les écrivainschevronnés useront de leur autorité pourfaire entendre leur voix, ce sont eux lesprofessionnels, ceux qui sont rémunéréspar les lecteurs, comme les journalistes.

- L’art d’écrire au coeur de vieilles polémiques p. 3- Quand les juges font un pied de nezaux polèmiques p. 5- Les Zéditions Zélectroniques p. 6- L’art d’écrire en bref p. 8- Le plein de nouveautés p. 9- Une formation complète d’écrivains en3 ans p. 10- Le coaching littéraire en plein dévelop-pement p. 11- Stage d’été : Devenez créatif sur commande p.12

Cliquez sur les liens de ce document afin d’accéder aux pages

Les nouvellesL’aimant littéraire

www.cours-ecriture.org

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Ateliers d’écriture en ligne

Les universitaires useront de leurssavoirs reconnus en haut lieu. Quant auxenseignants, ils ont raison de faire valoirque le savoir écrire relève des missionsde l’école… Celui qui écrit se réfère à ses propresexpériences pour qualifier ce qu’ilconnaît. Comme l’expérience est pardéfinition personnelle et unique, il existepotentiellement autant de définitions del’art d’écrire que d’expériences, autantvouloir faire l’inventaire des grains desable d’un désert ! Par ailleurs, l’écriture est une disciplinevaste. Le dictionnaire des sciences dulangage paru aux éditions Points dis-tingue 11 domaines dont la rhétorique, lastylistique, la poétique, la sémiologie, lanarratologie et la philosophie du langagesans parler de notions tels que lesgenres littéraires, le style et ses figures…

Nicolas Boileau

« Soyez-vous à vous-même un sévère critiqueL’ignorance toujours est prête à s’admirer.Faites-vous des amis prompts à vous censurer ;Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères,Et de tous vos défauts les zélés adversaires.Dépouillez devant eux l’arrogance d’auteur ; Mais sachez de l’ami reconnaître le flatteur ;Tel vous semble applaudir, qui vous raille ou vous joue,Aimez que l’on vous conseille et non pas qu’on vous loue. »Art poétique

Selon Nicolas Boileau, le manque d’humilité

conduirait à nier l’utilité de l’apprentissage...

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Les nouvellesL’aimant littéraire - ateliers d’écriture

comptez-vous vous y prendre ? - J’ai le talent !- Vous me rassurez. C’est une chance,car si vous aviez dû prendre des cours…

Cela fait sourire évidemment, car tout lemonde sait qu’il existe des écoles dejournalistes. Il n’en va pas de même pourles écrivains, même si, récemment,quelques universités se sont lancées à laconquête d’un nouveau marché… sansdoute encouragées par l’existence d’ini-tiatives privées.

Les ateliers d’écriture auraient pu faireévoluer les mentalités en France s’ils nes’étaient limités, pour la majorité, aux loi-sirs culturels, au développement person-nel, aux balbutiements d’une pratiqued’une discipline artistique s’affirmant enmarge des cursus d’apprentissages ; lesateliers d’écriture qui avaient pignon surrue ont presque réussi à faire oublierqu’un atelier n’est qu’un dispositif de for-mation et que son fonctionnementrepose sur une organisation pédago-gique élaborée depuis l’antiquité.

(suite Edito)On sent bien que la classification resteflottante. L’encyclopédie Universalis seréfère à la tradition et parle d’art poé-tique, qui se veut un discours et unescience de la littérature, ce qui nous ren-voie aux ouvrages d’ Aristote :« Poétique ».

Dans l’inconscient collectif, l’art d’écrireest associé au métier d’écrivain, profes-sion subordonnée à l’exposition média-tique et à la célébrité. A tel point que lanotoriété est devenue la reconnaissancepublique du talent.Si l’on écrit, c’est pour être écrivain etêtre édité par le plus grand éditeur, leplus réputé. Gallimard, sinon rien ! Danscette logique, on ne parle plus d’ensei-gner l’art d’écrire mais de l’art de susciterl’admiration de ses contemporains… Onn’enseigne pas à devenir un grandhomme, un écrivain !

A la décharge des néophytes, il faut déjàavoir pratiqué une discipline afin de s’enfaire une idée plus précise. Lorsqu’unlivre arrive sur la table du libraire, tout letravail entrepris par l’auteur reste invisi-ble. Le lecteur ne contemple qu’un résul-tat. Toutes ces années d’apprentissagequi ont permis à l’auteur d’acquérir l’ai-sance à écrire sont estompées au profitd’une impression de facilité. Combien delecteurs peuvent reconnaître les procé-dés employés par un auteur ? «Unegrande partie du talent d'un orateurconsiste à dissimuler son art et à montrerun naturel qui crée, entre celui qui écouteet lui-même, un courant de sympathie etde confiance.»Maurice Garçon, Essai sur l'éloquencejudiciaire.

L’écriture est source de toutes les confu-sions. Son enseignement est resté enFrance polémique, ce qui a contribué cul-turellement au déni des formations à l’artd’écrire.Les journalistes ont globalement relayéces opinions en semant le discrédit surceux qui se sont évertués à élaborer desformations. Si l’on devait appliquer leurlogique à leur métier, le résultat seraitplutôt comique. Imaginons un entretiend’embauche : - Vous voulez écrire pour un grand titrede presse, n’est-ce pas ? Et comment

Apprendre à écrirene signifie pas quel'on deviendra unécrivain admirable.Antoine Albalat

«

»

C’est dans ce contexte que L’esprit livrea élaboré des formations à l’art d’écrire àdistance. Loin de vouloir relancer unevieille polémique, il s’agit dans ce dossierde vous présenter l’art d’écrire, l’un deses pédagogues, Antoine Albalat, et ladémarche de formation de L’esprit livre. Jocelyne Barbas

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L’art d’écrire au cœur de vieilles polémiques

L’apprentissage de l’art d’écrire atoujours suscité en France desbatailles culturelles. AntoineAlbalat, éminent pédagogue del’art d’écrire du tout début du XXesiècle, ferraillait avec ses détrac-teurs. Il avait commis l’outrage d’écrireun art d’écrire en 20 leçons.Excellent titre s’il en est. L’éditeurne s’y est pas trompé et les droitsne sont toujours pas passés dansle domaine public en France, 114ans après la première édition. Ilest disponible aujourd’hui au for-mat Kindle et c’est l’un des raresouvrages sérieux disponible enfrançais. (voir notre article sur LesZéditions Zélectroniques)

Aux ennemis de l’art d’écrire

«Dans son Art d’écrire enseigné en vingtleçons, on trouve un important chapitresur le « procédé des refontes ». C’estl’enseignement qu’il met en œuvre demanière systématique dans son ouvrageLe travail du style enseigné par les cor-rections manuscrites des grands écri-vains.»Extrait d’un article du professeur GuyLaflèche, de l’Université de Montréal

«Antoine Albalat est né le 13 février 1856à Brignoles (Var, France) et est mort le22 septembre 1935 à Paris. Il était unécrivain, journaliste, critique littéraire etspécialiste de la littérature française.»

Lire la suiteh t t p : / / d o n a l d l a c o s t e -editeur.hautetfort.com/

Antoine Albalat affronta frontalement la critique en consacrant un

ouvrage « Les ennemis de l’art d’écrire, réponse aux objections ». Il

dressa la liste des arguments de ses opposants afin d’y répondre point

par point.

« Je ne puis assez m’étonner de l’émoique mes livres ont paru causer dans uncertain monde. Quelques-uns de mesconfrères n’en reviennent pas. On croi-rait, à les entendre, que nous sommesles premiers à avoir enseigné l’artd’écrire. Il existe pourtant une trentaine demanuels qui n’ont pas d’autre but. On lesdonne aux élèves, les professeurs s’enservent. Personne n’en parle. Nos livresparaissent : aussitôt grand scandale ! Etles gens de s’écrier : Voyez la har-diesse ! On n’enseigne pas à écrire !Mais, bonnes gens, si l’on ne l’avait pasenseigné très mal avant nous, nous n’au-rions pas songé à l’enseigner un peumieux à notre tour. C’est l’indignation devoir cet enseignement piétiner dans saroutine qui nous a mis la plume à la main

; ce sont les mauvaises méthodes quinous ont donné l’idée d’en proposer unequi fut meilleure, ou du moins qui fut pro-fitable. (…) Notre doctrine n’est que le développe-ment des théories professées par lesgrands écrivains dans leurs préfaces etcorrespondances, et scrupuleusementmises en pratique dans leurs œuvres.(…) Comment, d’ailleurs peut-on suspecterdes théories qui ont permis d’écrire depurs chefs-d’œuvre ? C’est un pointqu’on n’a pas encore éclairci.»

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thèses louables, une force et unecohésion, une structure, qui consti-tuent toute une science du travail. »

Sans vouloir procéder à un inventairesavant des convictions erronées desfabricants de manuels, voici un autreexemple, plus proche de nous.

Dans le très sérieux manuel « Savoirrédiger » de Lucien Léonard paru auxéditions Bordas en 1978, l’auteur déve-loppe dans sa première partie ce qu’estle style et refuse à la fin de son ouvraged’en accepter son enseignement. Ilévoque alors des « illusions de la rhéto-rique » au motif que les vertus stylis-tiques : « le naturel », « la simplicité »,« la variété », « la précision », « le pitto-resque », etc. sont peu définissables. Cequi ne peut se définir de manière incon-testable ne peut donc s’enseigner. Voiciune vision très réductrice de l’enseigne-ment… Seule la démonstration scienti-fique trouverait grâce à ses yeux.

De quoi mettre au panier en quelquesmots les grands penseurs antiques :Aristote, Quintilien… Les manuels d’écri-ture rédigés par les écrivains : Boileau,Virginia Woolf, Jack London, DavidLodge, Élisabeth George, Stephen King.

Il suffit juste de définir les critères d’éva-luation (à quoi reconnaît-on le naturel ?Quelles sont les manifestations de lasimplicité ? Etc.) et de les appliquer. Il semblerait que la dimension « créa-tive », imprévisible, indomptable par l’en-seignant perturbe une vision classiquede l’apprentissage.

Vous devinez fort bien que dès son intro-duction, Antoine Albalat s’est attiré defidèles ennemis.Mais parlaient-ils de la même écriture ?Certes non. Agencer correctement desmots dans une phrase, ce n’est pas pro-duire de la littérature. L’écriture, en tantqu’exercice scolaire, n’a rien à voir avecla nouvelle, ou le roman et pour tout diredes écritures d’invention… Même sil’étude des textes littéraires occupe uneplace considérable dans l’éducation. L’écriture enseignée à l’école n’est pas

celle des écrivains… Les querellesétaient si vives qu’Antoine Abalat ne s’estpas privé de lancer de l’huile sur le feu,attisant dès les premières pages lacolère de ses détracteurs : « Soyezlogique, dites qu’on n’enseigne pas l’art,quel qu’il soit, peinture, sculpture, archi-tecture ou musique. Qu’on ferme l’écoledes beaux-arts et qu’on licencie les pro-fesseurs. »Antoine Albalat fut vivement attaqué parles écrivains eux-mêmes. Voici saréponse.

« Écrivant beaucoup, convaincusqu’ils écrivent bien, ils proclamentque le style ne s’apprend pas, et avecraison, car, s’il s’apprenait, s’il étaitvrai qu’on a besoin de travail pouravoir du talent, ils seraient forcés d’enrabattre et de s’estimer moins. Onconçoit qu’ils ne se résignent point àreconnaître une vérité qui déprécieraitleurs œuvres et qu’ils ne puissentdonner raison à une théorie qui leurdonne tort. Comment condamne-raient-ils les mots banals : ils en sontpleins ; et rejetteraient-ils les clichés :leur prose en est faite. Ils croientécrire sans reproche parce qu’ils écri-vent sans peine, et prenant l’absenced’effort pour un signe d’inspiration, ilsrefusent d’en avoir le démenti ; il n’y avraiment pas moyen de leur en vou-loir.(…) Ils ne peuvent sortir d’eux-mêmes et ne conçoivent d’autre styleque leur propre style. Ne leur ditespas surtout que la couleur existe ;que la forte description s’obtient rare-ment du premier coup ; qu’on réalisepar le travail des surprises et descréations de mots ; qu’il y a enfin unart réfléchi de la perfection, un reliefvoulu des images, des chocs d’anti-

« C’est pour l’avoir négligéqu’on a fini par croire quel’art d’écrire ne s’ensei-

gnait pas. »Antoine Albalat

«

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Quand les juges font un pied de nez à la polémique...

S’il existe un endroit où il est officielle-ment possible d’évaluer le savoir-faired’un auteur, c’est bien dans un tribunal,lorsque le juge doit se prononcer sur lapaternité d’une œuvre dans une affairede plagiat. Au diable cette notion si flouedu talent. Les juristes analysent dans ledétail l’écriture et notamment le style. Cedernier, si indéfinissable du côté desauteurs et de ceux qui œuvrent dans lesmétiers de l’éducation et de la culture,devient subitement le nœud de l’affaire.Puisons dans la jurisprudence.

« Le style d’un écrivain résulte d’un véri-table travail d’écriture portant l’empreintecréatrice personnelle de l’auteur et com-prend la conception intellectuelle (l’éla-boration de synopsis, séquenciers ettous documents préparatoires à l’élabo-ration d’une structure et forme littéraire,l’exploitation d’une documentationvariée), le travail propre à l’expressionécrite : ouvrager ses phrases, le choixdes mots, la structure, le sens, la lon-gueur, la musicalité, leur rythme, le ton,leurs qualités évocatrices qui sensibili-sent les lecteurs à des idéaux,empreintes s’inscrivant dans les idéesporteuses donnant sens et vie, valorisantun récit, une histoire, un parcours, inter-pellant émotionnellement le lecteur.Toutes ces empreintes génèrent le styled’écriture particulier de l’auteur qui lui est

propre et qui lui appartient. »Etonnant, nous retrouvons dans ces cri-tères d’appréciation la marque de com-pétences rédactionnelles développéespar Antoine Albalat…

Suivant cette piste, L’esprit livre s’estpenché sur un ouvrage de MauriceGarçon, membre de l’Académie fran-çaise et brillant avocat au barreau deParis. Il a écrit dans son traité d’élo-quence judiciaire : « La vraie simplicitéexige une grande justesse d’expression.C’est particulièrement quand il veut êtresimple qu’on apprécie la richesse ou lapauvreté de la langue d’un orateur.L’abondance du vocabulaire empêcheles répétitions, facilite l’extériorisation dela pensée et procure l’aisance élégantequi est la base de la pensée. » Cet exem-ple montre qu’il vient de définir des cri-tères d’appréciation de cette simplicité.Jack London apprenait chaque jour uneliste de mots nouveaux pour cultivercette simplicité et nourrir son style…

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Les Zéditions Zélectroniques sur la sellette

Donald Lacoste

et son chat Victor

Donal Lacoste, éditeur numérique, Réédite l’intégralité d’Antoine Albalat.19 ouvrages sont déjà disponibles surAmazon. Son œuvre comprend 29livres.

- Qu'est-ce qui vous a décidé à vouslancer dans l'aventure de l'éditionélectronique ? L’envie d’écrire m’est venue tout jeune.J’ai participé à des ateliers d’écriture àMontréal et ai aussi écrit quelques nou-velles. Mon parcours professionnel m’atenu éloigné du monde de la littérature.J’étais « col blanc » à la Cour (Tribunal)municipale de Montréal, puis gardien duparc Jeanne-Mance situé au pied duMont Royal. À l’âge de la retraite, j’aienfin pu réaliser ce qui me tenait à cœur.

- Pourquoi vous êtes-vous intéressé àAntoine Albalat ? C’était en 1964. Un ami m’a parlé d’un deses livres : l’Art d’écrire enseigné en vingtleçons. C’était un ouvrage rare, usagé,que l’on ne pouvait acquérir que d’occa-sion. J’ai dû attendre les années 1990,lors d’une réédition chez Armand Colinpour m’acheter une copie. Mon ami etmoi avons été éblouis par les explica-tions de l’auteur et sa manière d’ensei-gner le style. Il est particulièrementconcret et abondant dans ses explica-tions.

- Quelle est selon vous aujourd'huil'importance de l'œuvre d'AntoineAlbalat ?C’est un auteur pédagogique injustementméconnu. C’est d’ailleurs pour susciterun certain réveil que j’édite ses livres carje considère que l’on aurait grandementintérêt de relire attentivement l’œuvre dece précurseur moderne de l’enseigne-ment de l’art d’écrire.

- Quelle est son audience aujourd'hui? Est-ce que ses livres se vendent bien ? « L’art d’écrire enseigné en 20 leçons »est l’ouvrage qui se vend le mieux à monniveau. De 20 à 25 copies par mois.Vient ensuite « La formation du style parl’assimilation des auteurs. » de l’ordre de5 à 6 dans le mois. Malheureusement,ses romans sont presque ignorés deslecteurs ; pourtant on y trouve des «

petits chefs-d’œuvre » comme disaitd’eux le critique André Billy.

- En tant qu'éditeur, avez-vous enviede défendre l'accès à l'art d'écrire ? Oui bien, sûr ! Sinon, je ne rééditeraispar les œuvres d’Antoine Albalat !

- Quels conseils donneriez-vous à desnouvellistes en formation ? De lire en priorité cet ouvrage : « L’artd’écrire enseigné en 20 leçons ».

- Quels sont vos projets d'édition ? Je pense terminer toutes les œuvresd’Antoine Albalat cette année. De plus,j’ai quelques livres de la collection « Lesgrands événements littéraires »,quelques autres de la collection « Leursamours » dont le prochain, « La vieamoureuse de Richard Wagner »d’Ernest Raynaud, paraîtra dansquelques jours.Un livre me tient à cœur : « La Stylistiquefrançaise » du regretté professeur ÉloiLegrand (1856-1934) et que je compteéditer cette année aussi.

- Quelle question auriez-vous aiméque je vous pose ?J’aurais aimé que vous m’interrogiez surle processus de production. J’ai acquisprogressivement tous les logiciels quim’ont permis de confectionner des livresnumériques. Au début, je dactylographiais l’intégralitéde l’ouvrage, mais depuis j’ai achetéAbby FineReader 11, un excellent logi-ciel de reconnaissance des caractèresoptiques qui convertit excellemment letexte obtenu au format Word.Ensuite, après avoir corrigé ce texte avecAntidote, excellent celui-là pour la typo-graphie, je l’envoie dans mon logicielJutoh, un éditeur d’ebooks, qui emballele tout au format Epub. En plus de l’édition proprement dite, j’aidû également apprendre à mettre enligne les ouvrages sur les plates-formesde diffusion Kindle et Kobo.

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Liens afin d’acquérirles ouvrages d’Antoine Albalat

Comment on devient écrivain :Kindle: https://www.amazon.fr/dp/B00BNZ359OKobo : http://store.kobobooks.com/en-CA/ebook/comment-on-devient-ecrivain

L’art d’écrire enseigné en vingt leçons :Kindle : https://www.amazon.fr/dp/B00CRMH05MKobo : http://store.kobobooks.com/en-CA/ebook/l-art-d-ecrire-enseigne-en-vingt-lecons

Le travail du style enseigné par les correctionsmanuscrites des grands écrivains :Kindle : https://www.amazon.fr/dp/B00GPUCU6QKobo : http://store.kobobooks.com/en-CA/ebook/le-travail-du-style-enseigne-par-les-corrections-manuscrites-des-grands-ecrivains

La formation du style par l’assimilation des auteurs :Kindle: https://www.amazon.fr/dp/B00C4CVGPAKobo : http://store.kobobooks.com/en-CA/ebook/la-formation-du-style-par-l-assimi-lation-des-auteurs

Comment il ne faut pas écrire :Kindle: https://www.amazon.fr/dp/B00HYO0DCUKobo : http://store.kobobooks.com/en-CA/ebook/comment-il-ne-faut-pas-ecrire

Quelques citations

L’art d’écrire enseigné en 20 leçons

Antoine Albalat« J’ai voulu être un guide pourceux qui ne peuvent en avoir d’au-tres. Voilà quinze ans que je mebats avec les mots et que j’écrisdu roman, des nouvelles et desarticles critiques, faits et refaitsavec acharnement. »

« On peut écrire, d’ailleurs, nonpas seulement pour son public,

mais pour soi, pour sa satisfac-tion personnelle. Apprendre àbien écrire, c’est aussi appren-dre à juger les bons écrivains. Ily aura donc du profit dans la lec-ture. La littérature est un agré-ment, comme la peinture, l’aqua-relle et la musique, une distrac-tion noble et permise, un moyend’embellir les heures de vie etles ennuis de la solitude. »« Chacun peut écrire, dans lamesure de ses facultés person-nelles. »

« Qui peut écrire une page peuten écrire dix ; et qui sait faire unenouvelle doit savoir faire un livre,car une suite de chapitres n’estqu’une suite de nouvelles. »« La vérité, c’est qu’il faut désarti-culer le style et les procédés, allerau fond, sortir le muscle, décom-poser la sensation et l’image,enseigner comment on construitune période ; montrer surtout lesrésultats que l’on peut obtenir parl’effort, le travail et la volonté. Car tout est là. On ne sait pasassez le parti qu’on peut tirer d’unmorceau de prose ordinaire, enpoussant l’exécution, en refaisant,en le perfectionnant. C’est làqu’est toute la science d’écrire etqu’intervient le rôle d’un guideéclairé. »

« Le travail aide l’inspiration : c’estlui qui la fait fructifier ; c’est par luiqu’on arrive à doubler ses forces.S’il est vrai que le génie n’estqu’une longue patience, disons-lehautement que l’art d’écrire peuts’apprendre longuement, patiem-ment, victorieusement. Il ne s’agitpas, bien entendu, de donner desformules sûres, des règles mathé-matiques, des recettes infailliblespour escamoter les difficultés ettrouver des beautés factices. Ils’agit de décomposer la forme,d’analyser les tournures et lesexpressions, de fournir aux lec-teurs la mise au point vraie dustyle, l’angle où il faut le voir. »

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Une pratique artistiqueLa notion d’art renvoie à une pratique età une maîtrise remarquable d’une tech-nique ou d’une discipline. C’est ce quel’on appelle le talent. Ainsi, toute activitéhumaine peut s’élever au rang d’un art.Et puisqu’il s’agit de pratiques, le talentn’est que le fruit d’un entraînement et lamise en œuvre d’apprentissages.L’écriture créative est une écriture d’in-vention ayant pour objet la créationd’idées et de formes nouvelles, origi-nales. Elle se décline en plusieursgenres : le théâtre, la littérature, la poé-sie.L’art d’écrire est une pratique de l’écritured’invention. C’est-à-dire, en d’autresmots, que l’art d’écrire se partage mêmesi écrire est un acte personnel. Il estmême déconseillé de le pratiquer seul :« Beaucoup ignorent leurs forces, parcequ’ils ne les ont pas employées, et ne sedoutent même pas qu’ils pourraientécrire. D’autres, mal secondés ou dis-suadés dans leur vocation, se découra-gent de rester médiocres, faute d’unguide qui les perfectionne. » S’investir dans cette discipline supposeque l’on dispose des moyens de s’entraî-ner de manière efficace sous la conduited’un expert afin « d’étendre ses propresdispositions, c'est-à-dire de doubler et detripler son propre talent. »

L’art d’écrire, en bref...

La démarche de formationde L’esprit livreIl s’agit d’acquérir des compétences dans les domaines suivants :

- La connaissance des différentes formes d’expression et leurs fondamentaux- La maîtrise des règles qui régissent le récit- Une ouverture personnelle afin de « bien penser, bien sentir, bien rendre »- La formulation : les mécanismes du style, la lisibilité et l’attractivité- Des techniques pour produire des textes, manier les idées et les mots avec dexté-rité- Des procédés pour corriger ses textes- Les méthodes créatives pour développer sa capacité à être original- Une meilleure compréhension et maîtrise de ses propres processus d’apprentis-sage

Pragmatiques avant tout, nos formations visent à faire découvrir l’écriture créativeaux particuliers comme aux professionnels et faciliter la pratique de celle-ci :- Mettre à disposition des contenus de formation inédits, des techniques d’écrivains- Elaborer des parcours de formation afin de les rendre accessibles- Pratiquer des tarifs particulièrement bas- Utiliser les ressources de l’Internet afin de s’adapter à tous les emplois du tempset d’échapper aux contraintes de déplacement

Les formations sont accessibles aux professionnels et peuvent être financées, sousréserve de satisfaire aux conditions requises, dans le cadre de la formation profes-sionnelle continue.

Ces formations ne sont pas normatives. Notre accompagnement vise à vous appor-ter des techniques et différentes manières de les utiliser afin de rédiger des textespersonnels et de « bien écrire dans son propre style » aurait dit Antoine Albalat.Ces formations sont conçues sous forme de parcours progressifs respectant lesrythmes, la sensibilité et le besoin d’expression de chacun.

Bon nombre de personnes remettent à plus tard leur pro-jet car l’investissement dans une formation à l’art d’écrirene leur semble pas prioritaire. C’est sans doute parméconnaissance de ce que pourrait leur apporter cettediscipline : la joie incomparable de se réaliser en deve-nant auteur, en étant guidé, c’est-à-dire, en économisantun temps précieux et en sachant comment procéder.

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Les nouvellesL’aimant littéraire - ateliers d’écriture

Le Nouvel Observateurparle de L’esprit livreLes sites de L’esprit livre s’affichant entête de liste des pages de recherche, LeNouvel Observateur nous a contactéspour réaliser une enquête. Extrait « Le programme n’est pas le seul sur lemarché. Le site Cours Ecriture proposeaussi un atelier d’écriture en ligne. Créépar Jocelyne Barbas, qui se présentecomme « écrivain & formatrice profes-sionnelle spécialisée dans l’écrit », il peuts’inscrire dans le cadre d’une formationprofessionnelle. Jocelyne Barbas vanteles mérites de la formation à distance :pour elle, le processus d’acquisition sedéroule mieux dans ces conditions, car leformateur ne s’occupe que d’un texte à lafois. Et on n’entend ni le groupe ni levoisin faire des remarques désobli-geantes. »Lire la suite http://bibliobs.nouvelobs.com/actua-lites/20140204.OBS5019/ecrire-un-roman-ca-s-apprend-sur-le-web.html

Le plein de nouveautés en 2014

Refonte de l’atelier d’initiationUn premier niveau de formation pour découvrir l’écriture créativeAu programme, les principales formes de la nouvelle et quelques formes inatten-dues du récit bref, des propositions pour jouer avec les mots, développer votreexpression personnelle et votre créativité, les bases de l’écriture narrative (le lieu,le personnage, le dialogue, l’histoire, la chute).Conçu en 24 chantiers d’écriture, cet atelier se déroule en ligne sur un site d’e-lear-ning. Vous pourrez échanger des avis sur les textes, vous entraîner au contact d’unpremier cercle de lecteurs, tout en recevant les avis d’un professionnel de l’éditionet de la formation.Cet atelier permettra notamment aux débutants de :- Délier sa plume et ses idées - Oser écrire et se réconcilier avec l’écrit - Trouver la confiance en soi pour s’exprimer et s’épanouir - Bénéficier d’un espace d’entraînement accessible à tout moment - Expérimenter des consignes d’écriture librement choisies tout en bénéficiant d’unencadrement- Améliorer ses pratiques d’écriture et ses textes- Enrichir sa culture générale

Téléchargez le programme détailléhttp://www.esprit-livre.com/initiation_aimant_litteraire.html

Un marque-page à téléchargerRetrouvez rapidement toutes nos formations avec des liens directs.Ce marque-page au format pdf avec des liens actifs peut également s’imprimer. Un moyen simple de garder nos coordonnées en cas de besoin.Lien de téléchargement. http://www.esprit-livre.com/wa_files/Plaquette_esprit_livre_site.pdf

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Les nouvellesL’aimant littéraire - ateliers d’écriture

Le plein de nouveautés en 2014 (Suite)

Une formation complète d’écrivain en trois ans

En 2007, L’esprit Livre testait un atelier d’écriture de nouvelles en ligne (L’aimant littéraire). Désireux derépondre aux demandes de formation de nos stagiaires, il s’est transformé au fil du temps en formation àl’art d’écrire, puis en une formation professionnelle d’écrivain en 3 ans. Elle conviendra tant à l’amateuréclairé de littérature désirant écrire pour son plaisir qu’à l’aspirant écrivain souhaitant être édité ou auto-édité soucieux de mettre toutes les chances de son côté pour séduire ses lecteurs. Ces formations sont dis-pensées sur le site de L’aimant littéraire (www.cours-ecriture.org).Ce cursus de formation répond aux caractéristiques de la fiche métier E1120 établie par le pôle emploi etse déroule en trois ans. Chaque année de formation est indépendante et donne lieu à des inscriptions spé-cifiques.

Première année Vous vous essayerez aux principauxgenres littéraires (vécu, sentimental,polar, science-fiction, jeunesse…) etpourrez acquérir les bases de l'artd'écrire : concision, brièveté, clarté, flui-dité, cohérence de l'histoire, suspense,stratégies narratives, travail du style.Cette diversité permet à chacun de cer-ner quelles sont ses aptitudes et ses atti-rances, d'affiner ses orientations litté-raires et de s’approprier une réelle pra-tique de l’écriture avec la régularité etl'implication nécessaires à la réalisationd’un premier recueil de nouvelles.

Deuxième annéeVous approfondirez des techniques vuesen premières année. Vous serez initiéaux méthodes professionnelles de ges-tion de votre temps d'écriture, derecherches documentaires. Vous peaufi-nerez votre style et écrirez des nouvellesen utilisant des formes inattendues etdes méthodes efficaces de narration etde développement de votre créativité.

Troisième annéeVous serez accompagné dans la réalisa-tion d'un recueil de nouvelles person-nelles. Vous apprendrez à structurer vostextes en utilisant un séquencier, à déve-lopper la psychologie de vos person-nages, décrire des ambiances, faireentendre "votre petite musique" person-nelle, organiser votre écriture et entrete-nir votre motivation de la conceptionjusqu'à la production d'un manuscritabouti. Les séances de formation sedéroulent en visioconférence avec despetits groupes de 3 à 4 stagiaires. Cettetroisième année nécessite d’avoir suiviles précédentes années de formation.

NOUVEAUNouveauté en 2014, cette formation estaccessible à des stagiaires déjà for-més par d’autres ateliers d’écriture,organismes de formation ou déjà pro-fessionnels de l’écrit : écrivainconseil, écrivain public, journaliste,rédacteur... sous réserve de passer untest et de l’acceptation par L’esprit livre.Elle permet aussi de satisfaire les sta-giaires qui en veulent plus que dans unatelier d’écriture ordinaire...

Quelles différences entre latroisième année et le coachinglittéraire ? Il s’agit d’une démarche collectived’apprentissage en visioconfé-rence réservée à nos stagiaires àun prix préférentiel. Les supportssont communs à ceux du coa-ching littéraire.

En savoir plus sur notre démarche

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Le coaching littéraire en plein développement

Comment apprendre à écrire lorsque l’on a qu’une seule envie : écrire son livre ouaméliorer son manuscrit ? Il manquait à notre catalogue une formule de formationintensive, suffisamment riche et souple pour répondre à des besoins spécifiqueset des niveaux très différents. Fort de notre expérience, nous avons conçu unaccompagnement et des méthodes de formation qui puissent répondre à ce typede demande. Il comprend : - La clarification du projet éditorial et des intentions de l’auteur- L’analyse du sujet, l’exploration de ses potentialités et son traitement- La préparation de l’écriture et l’utilisation d’outils structurants- L’établissement de la structure de l’ouvrage- La rédaction d’un premier jet- La réécriture de l’ouvrage

Même si les apports en formation sont limités par le projet, le coaching permetd’accompagner la personne jusqu’à la bonne réalisation de son projet, lui évitantainsi de s’égarer, de perdre un temps précieux ou pire de renoncer. Le programme du coaching est lui aussi personnalisé et les apports théoriques etméthodologiques s’effectuent en fonction des besoins du stagiaire afin de lui per-mettre de mener à bien son projet.

Les séances de formation individuelles se déroulent en face-à-face à distanceavec le formateur.En savoir plus.

La prise en charge finan-cière de nos formations dans le cadre de la formation profession-nelle continue.Toutes nos formations sont éligibles à cetype de financement, sous réserve desatisfaire aux critères d’éligibilité. A cesujet, nous vous rappelons que les for-mations à distance peuvent être finan-cées dans le cadre d’un DIF.Le DIF peut être mobilisé pour uneFOAD. Rappelons qu’en l’absenced’accord collectif définissant les prioritésau niveau de la branche ou de l’entre-prise, les actions de formation permet-tant l’exercice du DIF sont : - les actions de promotion- les actions d’acquisition, d’entretien oude perfectionnement des connaissances- les actions de qualification prévues àl’article L. 900-3 du Code du Travail

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sTAgE D’ETE

stage écriture

seulement 12 places

EN sAVOIR PLUsPrésentation détaillée du stagehttp://www.esprit-livre.com/stages_ecri-ture_creative.html

VOIR LE CARNET DE VOyAgE RÉALIsÉ

PAR JOCELyNE BARBAs EN 2012AU QUÉBEC

http://www.esprit-livre.com/carnet_de_voyage_que-bec_2012.html

Montréal

Devenez créatif sur commande ! Terminé le mythe de la page blanche !

A la fin du stage, vous ne tomberez jamais plus en panne

d’inspiration.

21 au 25 juillet 2014

Animé par - Lise Bonneville Auteure et éditrice, Ed. Les franco-phines (Québec)- Jocelyne Barbas écrivain, formatrice professionnelled'Adultes (France)

Découvrez lessources de votre inspiration7 pistes à suivre pour devenir créatif• La perception • L’émotion, le sentiment ou leurabsence• La mémoire• L’imaginaire• La lecture créative• L’usage de techniques qui stimulent lacréativité• Les formes brèves de l’expression

INFORMATION DE DERNIERE MINUTELise Bonneville, co-organisatriceet animatrice du stage, nous faitsavoir qu’elle vous a réservé votrechambre d’hôtel à quelques pasdu stage à un prix qui défie touteconcurrence à Montréal : 75 $ lanuit en chambre double, soit 37,5 $ par personne. Cependant pour bénéficierd’un tel tarif, il nous fautconfirmer dans les 10 jours.Vous êtes intéressé, ne per-dez pas une minute pourvous inscrire.

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du lundi au samedi14h - 19 h

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libre expression, ouverte à tous, sans

engagement, qui permet d'explorer dif-

férents thèmes :

- L'écriture

- La littérature

- La création littéraire

- L'apprentissage de l'écriture créative

- L'actualité des parutions

- Le statut des écrivains

- Les évolutions du livre

Régulièrement, des dossiers théma-

tiques sont réalisés à partir de ces

échanges. Ils sont enrichis par des arti-

cles de fond et des citations d'auteur.

Ils sont adressés ensuite aux abonnés

de la liste " Les discussions de L'aimant

littéraire. " Ces dossiers ne clôturent

pas la discussion pour autant. Il est tou-

jours possible de commenter, de ques-

tionner, de prendre des contre-exem-

ples ou d'apporter des informations et

Protégez vos textesProtégez vos textes mais aussi vos manuscrits, photos, dessins, contrats,sites, cd-rom fichiers, identifiants, mots de passe... en les déposant dansun e-coffre-fort

Jocelyne Barbas

Gérante

SARL L'esprit livre

j’utilise quotidiennement les services

d’un e-coffre-fort.D’un simple cliquer-glisser, je dépose

dans mon coffre-fort numérique mes

textes, autant de fois que je le veux

sans avoir à payer à chaque dépôt : il

s’agit d’une location par abonnement.

Ce qui me protège du vol, duplagiat ou encore de la perte.Personne n’est à l’abri d’une pannetechnique, d’une erreur humainequi conduit à l’effacement desfichiers.En cas de problème, je retrouve mes

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Contact : Jocelyne BarbasOrganisme de formation déclaré

749 907 432 R.C.S. Poitiers

37, rue des Quintus

86190 QUINCAY - France

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Téléphone : 05 49 44 27 69Depuis l’étranger :

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