PROGRAMME

Architecture matérielleObjectif   :

-Donner le rôle du processeur et spécifier ses caractéristiques -Identifier les types de mémoire-catégoriser les types de périphériques

Logiciels et système d’exploitationCompétences   :

-Définir les notions de logiciels, pilote, programme - Citer les types de logiciels-Donner quelques exemples et les rôles de système d’exploitation

Programmation webCompétences   :

-Définir les notions de programme, ordinateur, instruction, logiciel d’éditeur, navigateur compatible, page web, site internet…-Donner la structure d’une page HTML-Utiliser les formulaires, tableaux, images, liens, listes, cadres, frames-Donner la structure d’un code JavaScript-Utiliser les variables, les opérateurs et les instructions JavaScripts

Introduction aux BD : Etude d’Access-définir les concepts de fichier et base de données, information et données,-Développer les concepts de base de données, table, enregistrement, relation, tuples, clés, SGBD -Citer les exemples de serveur de données

Travaux pratiques Compétences   :

-Créer une BD simple-Créer une table-Ecrire des requêtes simples-Enumérer et utiliser les commandes SQL de base : CREATE, SELECT, ALTER, UPDATE, DROP, INSERTRéseau Informatique et Internet

Compétences   : -Définir les notions de réseau-citer les familles et les types de réseaux-Enoncer les rôles équipements réseaux-Définir la notion de bande passante, débit de transfert de données et spécifier les unités de mesure respective-Définir Internet et citer les services et FAI

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Travaux pratiques :Compétences   :

-Connecter 02 à 03 machines-Présenter les différents équipements réseaux-Identifier le protocole et les adresse IP de configuration- Partager des ressources (dossier, fichier ou imprimante)- Création des blogs, connexion au site, des emails, recherche,

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TRAITEMENT DE L’INFORMATION : SYSTEME DE NUMERATION

Compétences : Définir la notion d’information : rôle, qualité et structure Représentation de l’information (codification, codage, ASCII,

EBCDIC…) Identifier et développer les opérations dans les bases 2, 10, 8, 16

I-NOTION DE L’INFORMATION

1-Rôle et qualité d’une bonne information

L’information est la base ou la matière d’œuvre de tout travail administratif. Dans cet ordre d’idées, l’information peut constituer un élément de persuasion, d’épanouissement ou de décision.

L’information comme outil de décision :Elle permet aux responsables à tous les niveaux hiérarchiques de prendre la décision juste au bon moment.

L’information comme outil de persuasion :Elle joue le rôle de persuasion lorsque l’émetteur cherche à convaincre le récepteur.

L’information comme facteur d’épanouissement :Lorsque les décisions sont prises sur l’initiative des employés subalternes, ceux-ci se sentent intégré à la vie de l’entreprise.

Une bonne information doit être : Précise : Lorsqu’elle détermine nettement la personne ou la chose Fiable : Elle doit être sans erreurs Pertinente : Lorsqu’elle permet la prise rapide d’une décision ou

d’une position Vérifiable : Elle doit être basée sur un raisonnement logique et

rationnel permettant de démontrer le pourquoi.

2-Structure de l’information

Les éléments d’une information peuvent être : numériques ou alphanumériques. Une information peut se structurer en 05 niveaux du caractère au fichier : Le Caractère : Il est la composante élémentaire de l’information. Les

caractères peuvent être des lettres, des chiffres, des signes ou symboles.

Le Mot : C’est un ensemble de caractères indissociables contenu dans une information.

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La Rubrique : C’est un ensemble de mots indissociables. Si on supprime un mot de la rubrique, l’information n’a plus de sens.

L’Article ou l’Enregistrement : C’est un ensemble de rubriques ayant un certain rapport entre elles car décrivant généralement le même objet. Les différentes rubriques se rattachent alors au même individu.

Le Fichier : C’est un ensemble d’articles de même nature.Les opérations qu’on peut effectuer sur les fichiers sont : La mise à

jour, La fusion, l’éclatement ou la séparation, Le tri ou classement, La consultation.

II-REPRESENTATION DE L’INFORMATION

1-Définitions

L’ordinateur manipule des informations de types divers (nombre, caractère, instruction, images, sons), mais toutes représentées à la base par les bits (Informations élémentaires). Avant qu’une information externe soit traitée, elle subit le codage et une fois traitée elle subit l’opération de décodage afin d’être exploitée par un utilisateur.Le Décodage : Transcription des informations codées pour leur redonner leurs formes initialesLe Codage d’une information consiste à établir une correspondance entre la représentation externe de l’information et sa représentation interne constitué d’une suite de bits en machine. La Codification : Est l’opération qui consiste à élaborer, à créer et à appliquer un code. Un Code : C’est une représentation conventionnelle généralement abrégé d’une entité ou d’un ensemble d’entité. Pratiquement un objet revient à le désigner par un nouveau symbole.

L’unité fondamentale de l’information est le bit. Les bits sont représentés en mots de 4, 8, 16, 32, 64 bits. On utilise couramment l’octet (byte) ou mot de 8 bits)

2-Les codes alphanumériques

Les codes permettant de représenter les nombres, les lettres, les signes de ponctuation et les caractères spéciaux sont dits codes alphanumériques. (26 lettres minuscules, 26 lettres majuscules,10 chiffres, 7 signes de ponctuation, 20-40 caractères spéciaux)

a)Le code ASCII (American Standard Code for Information Interchange)

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C’est un code de 7 éléments qui permet de produire 27=128 codes distincts. Quelques caractères du code ASCII étendu (8bits) version française :

Avec n bits on peut représenter 2n informations

b-Autres codesLe code EBCDIC (Extended Binary Coded Decimal Interchange Code) : C’est un code utilisé principalement par IBM. Il est à 9 bits s’il faitLe code UNICODE (Universal code)

III- SYSTEME DE NUMERATION

On appelle système de numération un ensemble de règles et de symboles destinés à la représentation des nombres.

III-1 Les bases de numérations

La base d’un système de numération est le nombre de symbole ou chiffres utilisés pour représenter les nombres. Les valeurs des chiffres d’un système de numération de base b vont de 0 à b-1.

Exemple : Base 2 : 0,1Base 8 : 0,1 ..7Base 10 : 0 ..9Base 16 : 0..9, A, B,C,D,E,F

III-2 Conversion dans les bases

III-2-1 conversion d’une base quelconque à la base 10C o u r s d ’ i n f o r m a ti q u e T e r m i n a l e 5 |

Pour déterminer la valeur d’un nombre dans une base quelconque(X= 2, 8, 16), on multiplie la valeur de chaque bit par son poids et on fait la somme des résultats. Le poids du bit de rang n est Xn n étant compté à partir du bit zéro de la droite vers la gauche.

1a-base 2-10

4 3 2 1 0

24 23 22 21 20

16 8 4 2 11 0 1 1 0

b-base 8-10 Rang

4 3 2 1 0

Poids

84 83 82 81 80

4096 512 64 8 1 bits

1 0 1 1 0

b-base 16-10 Rang

4 3 2 1 0

Poids

164 163 162 161 160

65536 4096 256 16 1 bits

1 0 1 1 0

III-2-2 conversion de la base 10 à une base quelconque

On procède généralement par division successive du nombre écrit en base 10 par la nouvelle base puis lorsque le quotient es égal à zero on regroupe les restes successifs de la division du poids le plus faible vers le poids le plus forts

a- De la base 10 à 2

b- De la base 10 à 8

c- De la base 10 à 16

III-2-3 conversion de la base 2 à une base 8 et 16

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RANG

POIDS

BITS

Pour déterminer la représentation d’un nombre binaire en octal, on procède par le regroupement des bits en lot de 3bits de la droite vers la gauche et on convertit en base 10 chaque lot pour retrouver son équivalent octal

Pour déterminer la représentation d’un nombre binaire en hexadécimal, on procède par le regroupement des bits en lot de 4bits de la droite vers la gauche et on convertit en base 10 chaque lot pour retrouver son équivalent hexadécimal

III-2-4 conversion de la base 8 et 16 à la base 2

Pour convertir un nombre de la base 8 à la base 2, chaque chiffre est transcodé en 3bits et puis regrouper.

Pour convertir un nombre de la base 16 à la base 2, chaque chiffre est transcodé en 4bits et puis regrouper.

III-2-5 conversion de la base 8 à la base 16Il faut passer par la base 2 ou la base 10

IV- OPERATION ARITHMETIQUES DANS LES BASES

IV-1- additionPour effectuer une opération d’addition dans une base, le principe est le suivant :

Si le résultat est strictement inferieur à base alors on l’écrit S’il est supérieur ou égal à la base alors on procède par le

mécanisme de la retenue

IV-2- soustractionPour effectuer une opération de soustraction dans une base le principe est

le suivant : Si le chiffre qui est au dessus est supérieur ou égal à celui qui doit

soustraire on écrit simplement le résultat. Si le chiffre qui est au dessus est strictement inferieur à celui qui doit

soustraire alors on empreinte la dizaine à ce chiffre.Dans la base 10 la dizaine est 10Dans la base 2 la dizaine est 2Dans la base 8 la dizaine est 8Dans la base 16 la dizaine est 16

IV-3-multiplication

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La multiplication se passe comme si nous étions en base 10 mais il faudrait savoir calculer les retenues en fonction de chaque base.

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-Processeur (UAL, Unité de commande)-Mémoire (RAM, ROM)

Périphérique de SortiePériphérique d’Entrée

Organe de stockage

ARCHITECTURE MATERIELLEObjectif   :

-Donner le rôle du processeur et spécifier ses caractéristiques -Identifier les types de mémoire-catégoriser les types de périphériques

I- PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT D’UN ORDINATEUR

a)Schéma de John Von Neumann

Unité centrale

Le principe utilisé est le suivant. Les informations entrent dans l’UC par l’intermédiaire d’un périphérique d’entrée. Ces informations sont traitées par l’unité de traitement. Une fois le traitement effectué, celles-ci sont soit stockées dans les organes de stockage soit diffusées par l’intermédiaire d’un périphérique de sortie.

b) Rôle du BIOS

Le BIOS (Basic Input/Output System) qui est une couche logicielle de bas niveau permet au programme plus évolué de s’exécuter. Lors de la mise sous tension de l’ordinateur, c’est le BIOS qui définit les actions à effectuer :

-Test initial du matériel : C’est le POST Power on selt test-Mise en place des interruptions système pour accéder aux divers éléments matériels installés sur l’ordinateur-Lancement du système d’exploitation sur disquette ou sur disque dur

Le BIOS réside dans une mémoire ROM placé sur un support. NB : Toutes les cartes mères actuelles sont fournies avec un BIOS de type Flash(le contenu du BIOS modifiable)

II- LES COMPOSANTS DE L’UC

1-Le processeur

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Logiciel d’application

Système d’exploitation

BIOS

Architecture matérielle

Un processeur est un circuit intégré dont le rôle est l’interprétation et l’exécution des programmes en mémoire. L’horloge processeur prend en charge le contrôle de la synchronisation des opérations effectuées par l’ordinateur.

La fréquence d’un processeur encore appelée vitesse d’horloge du système est le nombre d’instructions qu’il est capable de traiter par seconde. elle est exprimée en Hertz(HZ)

On distingue : l’unité de commande dont le rôle est le décodage et l’interprétation des instructions l’unité centrale de traitement, dont le rôle est l’exécution des instructions, elle est caractérisée par :

-l’ALU (Arithmetic And Logical Unit) qui réalise les calculs sur les nombres entiers et est particulièrement utilisé par les logiciels comme WORD et Windows.

-La FPU (Floating point Unit) qui prend en charge les calculs, les fonctions mathématiques complexes et les nombres réels. Elle est très sollicitée par les jeux ou les applications à calculs volumineux.

On rencontre principalement sur le marché : Les processeurs Intel : Intel pentium, Intel Celeron, Intel Xeon, IntelLes processeurs AMD (Advanced Micro Divices) dont les principaux types sont : AMD duron, AMD sempron, AMD Athlon

2-Les mémoires

Les mémoires vives (RAM : Random Acces Memory)Une mémoire vive sert au stockage temporaire de données. Il existe

deux grandes familles de mémoires RAM (Random Acces Memory : mémoire à accès aléatoire) :

Les RAM statiques SRAM Les RAM dynamiques DRAM

Les mémoires mortes et les mémoires flash : Elles contiennent des programmes et données inaltérables. On les utilise pour stocker le BIOS de la carte mère, de la carte graphique, et de certaines autres cartes d’extension. On distingue :

ROM PROM (Programmable ROM), EPROM, EEPROM

Les mémoires caches: Extrêmement rapides, elle améliore grandement les échanges en lecture/écriture avec la mémoire vive.

La mémoire CMOS (Complementary Metal Oxyde Semi-conductor) est utilisée pour stocker les paramètres d’initialisation du BIOS. Alimenté par

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une pile ou un accumulateur, le contenu de cette mémoire est conservé en permanence même lorsque l’ordinateur se trouve hors tension.

3-Les cartes d’extensionLes cartes dites d’extension ou auxiliaires permettent

l’amélioration des performances de l’ordinateur. On distingue :

La carte vidéo : convertir les données numériques à afficher en un signal compréhensible par un écran.Carte réseau : créer une connexion entre les accessoires afin de partager des données et le matériel. Autres : la carte son, la carte TV…

III- ETUDE DE QUELQUES PERIPHERIQUES

1-Périphériques d’entrée/sortie

Périphériques Rôles

Modem (Modulateur et démodulateur)

Faire passer les informations du micro-ordinateur à travers la ligne téléphonique.

Le microphone Enregistre le son et le restitue à l’ordinateur sous forme de fichier son

Baffles (Haut-parleurs, speakers)

Restituer le son de l’unité centrale

Scanner Capture les image et les restitue à l’unité centrale sous forme de fichier image.

Appareil photo numérique Filme une image et la restitue à l’unité centrale sous forme de fichier image

Crayon optique Sorte de scanner en forme de crayon

Vidéoprojecteur Permet de réaliser des vidéoconférence en projetant l’image de l’ordinateur

Casque Joue le rôle de microphone et de haut parleur

Webcam Capte les images ou les vidéos et les envoie dans l’ordinateur

Lecteurs CD-DVD Permet de lire les informations contenues dans un disque optique : CD ou DVD

Lecteur de disquette Permet de lire les informations contenues dans une disquette

Lecteur de carte mémoire Permet de lire les informations contenues dans une carte

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mémoire

Manettes de jeux Permet d’envoyer les commandes de jeux à un ordinateur

2-Périphérique de stockage a-Disque Dur

Le disque dur constitue la principale zone de stockage de l’ordinateur.- Il est formé de plusieurs plateaux magnétiques entre lesquelles flottent des tètes de lecture et d’écriture - La face représente le recto ou le verso d’un plateau- Les plateaux sont partagés en pistes qui sont des chemins circulaires tracés sur le disque.- Les pistes sont ensuite découpées en secteurs qui sont l’unité élémentaire de stockage et dont la taille est de 512 octet.- Un cylindre est composé de toutes les pistes superposées de même ordre qui se présente simultanément sous les tetes de lecture/écriture.

Les caractéristiques : Capacité en Go ; Vitesse de rotation en tours minutes ; Temps d'accès exprimé en millisecondes ; Interface (IDE, SCSI, SATA) ; Taux de transfert moyen exprimé en Mo

par seconde ;NB   : Pour calculer la capacité d’un disque dur on fait l’opération suivante :Nombre de tête(ou de face) x nombre de cylindre x nombre de secteur x 512octets

b- Les périphériques de stockage amovibleMémoires optiques : CD, DVDMémoires flash : Cle usb, carte mémoireMémoire magnétique : Bande magnétique, disquette, disque dur portable

Notions de capacitéLa capacité d’un équipement est la quantité maximale d’information

que peut contenir. Elle s’exprime en octet ou byte. L’octet est la plus petite unité de mesure de l’information et représente un caractère. Ses multiples sont les suivants :

Notation traditionnelle Notation normaliséeLe kilo-octet (ko): 1 ko = 1024 octet (210) 1 ko = 1000 octet (23)

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Le Méga-octet (Mo): 1 Mo = 1024 ko 1 Mo = 1000 koLe Giga-octet (Go): 1 Go = 1024 Mo 1 Go = 1000 MoLe Terra-octet (To): 1 To = 1024 Go 1 To = 1000 Go

LOGICIELS ET SYSTEME D’EXPLOITATIONCompétences   :

-Définir les notions de logiciels, pilote, programme - Citer les types de logiciels-Donner quelques exemples et les rôles de système d’exploitation

Travaux pratiquesCompétences   : -Identifier et catégoriser les logiciels de la salle machine-Configurer (installer et désinstaller) les programmes-Utiliser les commandes DOS et LINUX-Identifier les techniques élémentaires de maintenance logicielle (installation et mise à jour d’un antivirus)

I-GENERALITES SUR LES LOGICIELS

1-DéfinitionsInstruction : c’est une commande élémentaire interprété et exécuté par le processeurProgramme : c’est une suite d’instruction chargé en mémoire dont l’exécution permet de réaliser une ou plusieurs taches de résoudre un problème et de manipuler les donnéesUn Logiciel : c’est un ensemble de programmeOn distingueLogiciel libre : logiciel qui rassemble les applications livrées avec leurs codes sources ouverts et modifiables libre d’utilisation.Logiciel propriétaire : qui nécessite généralement l’achat d’une licence d’utilisationPrologiciel : logiciel spécialisé dans un domaine précis tel que la comptabilité, médecinePilote : En anglais driver, c’est un programme permettant de gérer un périphérique.

2-Les types de logiciels

a) Les logiciels de base   : Encore appelé système d’exploitation, ou logiciel système est un

logiciel chargé d’assurer le bon fonctionnement de l’ordinateur et de

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présenter à l’utilisateur une machine virtuelle qui masque la complexité de la machine physique.

On distingue les logiciels mono tâche (qui effectue une seule tache en une unité de temps), multitâche (qui effectue simultanément plusieurs taches), mono utilisateur et multi utilisateur.Un système d’exploitation est composé d’un ensemble de programmes permettant de gérer les interactions avec le matériel. On distingue généralement :

Le noyau (Kernel en Anglais), représentant les fonctions fondamentales du système d’exploitation telles que la gestion de la mémoire, des processus, des fichiers, des entrées sorties principales, et des fonctionnalités de communication.

L’interpréteur de commande (en anglais Shell coquille par opposition au noyau) permettant la communication avec le système d’exploitation par l’intermédiaire d’un langage de commande, afin de permettre à l’utilisateur de piloter les périphériques en ignorant toutes les caractéristiques du matériel qu’il utilise, de la gestion des adresses physiques, etc.

Le système de fichiers : permettant d’enregistrer les fichiers dans une arborescence.

Exemples

Il a pour rôle de : Gestion du processeur Gestion de la mémoire vive Gestion des entrées/sorties Gestion de l'exécution des applications Gestion des droits Gestion des fichiers Gestion des informations

b) Les logiciels d’application  

Ce sont les logiciels qui permettent de gérer les applications dans les domaines spécifiques tels que la bureautique, le graphisme, le développement..Exemples

C o u r s d ’ i n f o r m a ti q u e T e r m i n a l e 14 |

Les logiciels de traitements de texte : Microsoft Office Word, WordPerfect, textor, openwriter…) ;

Les tableurs : Microsoft Office Excel, Lotus 1-2-3, OpenCalc …) ; Les Systèmes de Gestion de Bases de Données (SGBD) : pour

créer et gérer des bases de données (Microsoft Office Access, Oracle, SQLServer, MySQL, Paradox,…) ;

Les logiciels de présentation (Microsoft Office PowerPoint) Les navigateurs (Internet Explorer, Netscape Navigator, Mozilla

Firefox, …) ; Les logiciels de publication (Microsoft Office Publisher, Xpress,

PageMaker, Corel Draw, Adobe Illustrator, …) Les logiciels de retouche photo (Adobe Photoshop, PhotoFiltre,

…) Les logiciels de développement : ils permettent de concevoir des

logiciels (Visual Basic, Delphi, Windev, …) Les logiciels Web : ils permettent de concevoir des sites web

(Microsoft Office FrontPage, Macromedia Dreamweaver, Mambo, Joomla !, …) ;

Les suites logicielles : ce sont des ensembles de logiciels réunis en package et qui permettent de remplir une fonction précises (bureautique, graphisme, développement, etc) ;

o la suite bureautique Microsoft Office (avec les logiciels Word, Excel, Access, Outlook, Frontpage, …),

o la suite graphique Macromedia MX Studio (Macromedia Flash, Macromedia Dreamweaver, …)

o la suite de développement Visual Studio (Visual Basic, Visual C#, Visual C++, …)

c) Les logiciels utilitaires  : C’est une variante de logiciel d’application qui peut être intégrée dans le système d’exploitation. On distingue plusieurs logiciels utilitaires :

i. Les antivirus (Mc Affee, Avira, Norton, Panda, …) ;ii. Les logiciels de compression (Winzip, Winrar, …) ;

iii. Les logiciels de gravure (Easy CD Creator, Nero Burning Rom, … ;

iv. Les outils d’accessibilité (Loupe, clavier visuel, explorer, …)

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Chapitre 3 : Réseau Informatique et InternetCompétences   :

-Définir les notions de réseau-citer les familles et les types de réseaux-Enoncer les rôles équipements réseaux-Définir la notion de bande passante, débit de transfert de données et spécifier les unités de mesure respective-Définir Internet et citer les services et FAITravaux pratiques :

Compétences   : -Connecter 02 à 03 machines-Présenter les différents équipements réseaux-Identifier le protocole et les adresse IP de configuration- Partager des ressources (dossier, fichier ou imprimante)- Création des blogs, connexion au site, des emails, recherche

Introduction

Un réseau est un ensemble d’objets interconnectés les uns aux autres Il existe plusieurs types de réseaux, routiers, ferroviaires, aériens, électriques et informatiques. Dans ce chapitre il s’agira d’étudier le réseau informatique plus précisément la typologie la topologie et quelques équipements réseaux..

I. DEFINITIONS ET INTERETS

I.1. Définitions

Un réseau informatique est un ensemble d’ordinateurs et périphérique reliés entre eux en vue d’échanger des informations et de partager les ressources.Un protocole est un ensemble de règles qui doivent être respectées pour réaliser un échange d’informations. La téléinformatique (informatique à distance) est une science qui associe les problèmes liés au traitement de données et aux problèmes liés au transport de l’information.Bande passante (en anglais bandwidth) d'une voie de transmission est l'intervalle de fréquence sur lequel le signal ne subit pas un affaiblissement supérieur à une certaine valeur. La bande passante c'est une valeur théorique, maximale et optimale, en pratique très rarement atteinte : c'est pourquoi elle est notée en gros, gras et rouge sur la boîte. Le débit binaire : c'est la quantité réelle, à un moment bien précis, qui passe effectivement dans la bande passante, et qui peut varier d'une seconde à l'autre. I.2.Transfert de données et bande passante

La formule est Temps estimé = Taille du fichier x Bande passante. Cette formule donne le temps de transmission des données le plus court.

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T = F / BP estimation théorique T = F/ D estimation réelle Où T : est la durée de transfert du fichier en seconde ; F : la taille du fichier à télécharger en bits; BP : la bande passante théorique de la liaison en bits/s ; D : débit réel au moment du transfert de l’information en bits/s. I.2.InteretsUn réseau permet :- le partage de fichiers, d’applications- la communication entre personnes (courrier électronique, discussion en

direct,…)- la communication entre processus (entre les machines industrielles)- la garantie de l’unicité de l’information (bases de données)- le jeu vidéo multijoueurs

II.2 FAMILLES DE RESEAUX INFORMATIQUES

II.1 TYPES DE RESEAUXOn distingue principalement trois types de réseaux :- LAN (Local Area Network)- MAN (Metropolitan Area Network)- WAN (Wide Area Network) 1. LANLAN signifie en français réseau local. C’est un ensemble d’ordinateurs appartenant à une même organisation et reliés entre eux dans une petite aire géographique par un réseau.Il couvre une zone comprise entre 10m et 10km. Exemple : Ethernet, Token Ring, FDDI (Fiber Data Distribution Interface) 2. MANMAN signifie en français réseau métropolitain. C’est un réseau qui s’étend à une zone urbaine telle qu’une ville ou une zone de banlieue.Il couvre une zone comprise entre 10km et 100km. Les MAN interconnectent plusieurs LAN géographiquement proches à des débits plus importants.

3. WANSignifie en français réseau distant. Un WAN interconnecte plusieurs LAN

à travers de grandes distances géographiques. Les WAN permettent le partage d’ordinateurs, d’imprimantes et autres équipements raccordés à un LAN situé sur un lien distant. Ils fonctionnent grâce à des routeurs qui permettent de "choisir" le trajet le plus approprié pour atteindre un nœud du réseau. Le plus connu des WAN est Internet. Il existe d’autres types de réseaux :

Le PAN (Personal Area Network), c’est un réseau personnel. Le TAN (Tiny Area Network) identiques aux LAN mais moins

étendus (2 à 3 machines). Le CAN (Campus Area network) identique aux MAN avec une

bande passante très Maximale entre tout les LAN du réseau. RLE Réseau Local d’Entreprise identique aux LAN

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Le VPN (Virtual Private Network) qui signifie en français Réseau Privé Virtuel. Ce sont des réseaux internes à une même organisation. IL permet de connecter généralement les RLE entre eux via Internet et un protocole de communication qui permettra de transmettre de façon chiffrée les données :

II.2 TOPOLOGIES RESEAUX

La topologie réseau définit la structure du réseau. On distingue

1- la topologie logique (représente la façon avec laquelle les données transitent dans les câbles. Les topologies logiques les plus courantes sont :

L’architecture Ethernet: Si plusieurs ordinateurs cherchent à émettre simultanément, il se produit une collision. Ce type d’architecture est utilisé dans les topologies de réseau en bus et en étoile.

L’architecture FDDI : FDDI signifie Fiber Distributed Data Interface ou interface de données à distribution par fibre. Cette architecture utilise un câble en fibre optique et repose sur une topologie de en anneau. Dans cette architecture, un jeton gère l’accès au support de réseau.

L’architecture Token Ring: l’architecture Token Ring utilise également un système à jeton pour gérer l’accès au support de réseau. Cette architecture est câblée suivant une topologie en étoile. Le jeton est appelé MAU (Multistation Access Unit) est utilisé comme point de connexion central pour tous les ordinateurs du réseau.

L’architecture AppleTalk : utilisé par les ordinateurs Macintosh, ou Mac d’Apple. Elle emploie un système d’adressage dynamique pour similaire à l’architecture Ethernet, car lorsqu’un ordinateur veut envoyer des informations, celui se rassure d’abord que la voie est libre.

2 La topologie physique

C’est la configuration proprement dite du câblage. On distingue plusieurs topologies physiques dont les plus utilisées sont :

a) Topologie en bus

Une topologie en bus est l'organisation la plus simple d'un réseau. En effet, dans une topologie en bus tous les ordinateurs sont reliés à une même ligne de transmission par l'intermédiaire de câble, généralement coaxial. Le mot « bus » désigne la ligne physique qui relie les machines du réseau.

Cette topologie a pour avantage d'être facile à mettre en oeuvre et de posséder un fonctionnement simple. En revanche, elle est extrêmement vulnérable étant donné que si l'une des connexions est défectueuse, l'ensemble du réseau en est affecté.

b) Topologie en étoile

Dans une topologie en étoile, les ordinateurs du réseau sont reliés à un système matériel central appelé concentrateur (en anglais hub, littéralement moyen de

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roue). Il s'agit d'une boîte comprenant un certain nombre de jonctions auxquelles il est possible de raccorder les câbles réseau en provenance des ordinateurs. Celui-ci a pour rôle d'assurer la communication entre les différentes jonctions.

Contrairement aux réseaux construits sur une topologie en bus, les réseaux suivant une topologie en étoile sont beaucoup moins vulnérables car une des connexions peut être débranchée sans paralyser le reste du réseau. Le point névralgique de ce réseau est le concentrateur, car sans lui plus aucune communication entre les ordinateurs du réseau n'est possible.

En revanche, un réseau à topologie en étoile est plus onéreux qu'un réseau à topologie en bus car un matériel supplémentaire est nécessaire (le hub).

c) Topologie en anneau

Dans un réseau possédant une topologie en anneau, les ordinateurs sont situés sur une boucle et communiquent chacun à leur tour.

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II.3 Les réseaux sans fil

Le réseau sans fil regroupe généralement la technologie Bluetooth et le Réseau WI-FI Selon le périmètre géographique offrant une connectivité (zone de couverture) on distingue plusieurs réseaux sans fils :

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A- Caractéristiques du réseau BluetoothIl remplace les câbles, les fils et autres adaptateurs entre périphériques. Les liaisons visées sont plus de types USB, série et parallèle plutôt que Ethernet. La connexion par Bluetooth est limitée à une dizaine de mètre et transmet moins d’un mégabit par seconde. Il est utilisé pour les téléphones, imprimante, organisateur de poche… B-Caractéristique des réseaux WI-FIEn abrégée Wireless-Fidelity , Il permet de couvrir une surface d’environ 3000 mètres carrée on parle Wireless LAN. La vitesse de communication atteint souvent 54 mégabits par seconde dont la moitié d’un réseau local classique. Ce type de réseau permet aussi le partage d’accès à Internet.

III –LES EQUIPEMENTS RESEAUX III-1 les équipements de base La carte réseau : Parfois appelé coupleur, il s'agit d'une carte connectée sur la carte-mère de l'ordinateur et permettant de l'interfacer au support physique, Le transceiver : Appelé aussi adaptateur il permet d'assurer la transformation des signaux circulant sur le support physique, en signaux logiques manipulables par la carte réseau, aussi bien à l'émission qu'à la réception La prise: Il s'agit de l'élément permettant de réaliser la jonction mécanique entre la carte réseau et le support physique Le support physique d'interconnexion: généralement filaire, Les principaux supports physiques utilisés :

o Le câble coaxialo La paire torsadéeo La fibre optique

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III-2 équipements de l’interconnexionLes principaux équipements matériels mis en place dans les réseaux locaux sont :

Les répéteurs, permettant de régénérer un signal Les concentrateurs (hubs), permettant de connecter entre eux plusieurs

hôtes Les ponts (bridges), permettant de relier des réseaux locaux de même

type Les commutateurs (switches) permettant de relier divers éléments tout en

segmentant le réseau Les passerelles (gateways), permettant de relier des réseaux locaux de

types différents Les routeurs, permettant de relier de nombreux réseaux locaux de telle

façon à permettre la circulation de données d'un réseau à un autre de la façon optimale

Les B-routeurs, associant les fonctionnalités d'un routeur et d'un pont

VI-Internet

1-Définitions

Une page web est un document électronique écrit dans un langage informatique appelé HTML (HyperText Markup Language). Une page peut contenir du texte, des graphiques, de la vidéo, des animations, du son et des éléments interactifs tels que des formulaires à remplir directement sur l'ordinateur. Chaque page possède une adresse unique, appelée URL (Uniform Ressources Locator) pour identifier son emplacement sur le serveur. Les pages web contiennent souvent des liens hypertextes (textes ou images) qui renvoient sur d'autres pages web. Pour naviguer sur l’Interne, on peut

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Cliquer sur les liens hypertexte (souligné et de couleur) ou sur une image ou un dessin à zone sensible (le curseur prend la forme d'une main). Saisir l'URL d'une page ou d'un site web dans la zone saisie adresse du logiciel de navigation. Serveur Web Url : Uniform Resource Locator est la méthode d’accès à un document distant, créant ainsi par exemple un lien hypertexte, avec la syntaxe « type connexion »:// « serveur »/ « ressources » /…

2-Les services d’internetAchat en ligneTéléchargementCourrier électroniqueDiscussion en ligne (furum)Jeux en ligneRecherche

3-Quelques fournisseurs d’accès au CamerounBeaucoup d’entreprises de télécommunications sont également des FAI

Ringo Camtel Orange MTN

Les fournisseurs d’accès internet utilisent des matériels appelés modems pour connecter les ordinateurs aux réseaux internet.

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Programmation webCompétences   :

-Définir les notions de programme, instruction, logiciel d’éditeur, navigateur compatible, page web, site internet…-Donner la structure d’une page HTML-Utiliser les formulaires, tableaux, images, liens, listes, cadres, frames-Donner la structure d’un code JavaScript-Utiliser les variables, les opérateurs et les instructions JavaScripts

Travaux pratiquesCompétences   :

-Produire une page HTML simple (donner les différentes procédures d’édition et de publication)- Utiliser les balises d’insertion de : formulaires, tableaux, images, liens, listes, cadres, frames -Implémenter des programmes de calcul-Donner les exemples

IntroductionI-Définition de quelques notions

a) Editeur : utilitaire permettant de créer ou de mettre à jour un fichier texte. Exemple d’éditeur standard : Bloc-notes, Notepad, simpletextExemple d’éditeur WYSIWSG capable de générer le code javascript automatiquement : Web expert, JavaScript Editor

b) navigateur : utilitaire permettant d’interpréter le code HTML et le code JavaScript. Quelques exemples de navigateurs dans la plate forme Windows : Internet explorer, firefox, Netscape, Chrome, Opéra, safari

c) HTML : HyperText Markup Language, c’est un ensemble de documents web formé de « tag » ou balises que le navigateur sait reconnaitre. Une balise est definie comme etant un caractere particulier, ou serir de caracteres, utilisé pour la mise en forme d’un document et qui sera invible pour l’utilisateur final

d) page web : Document au format HTML servi à travers le protocole http (Hypertext transfert Protocol) et étant la brique de base du web.

e) Web : Méthode d’exploitation de l’internet par l’usage de l’hypertexte. Il s’agit du World Wide Web ou « W3 »

f) site internet : Ou site web est un ensemble cohérent de documents web.

II-Utilisation de quelques balises du langage HTML

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1-Structure d’une page HTML<HTML>

<HEAD> <TITLE> titre du document </TITLE>

</HEAD> <BODY> Contenu du document à présenter</ BODY>

</HTML> 2-Utilisation de quelques balisesa-balise de mise formeGras [Bold] <B>...</B>

<STRONG>...</STRONG> Italique [Italic] <I>...</I>

<EM>...</EM> Taille de caractère [Font size] <FONT SIZE=?>...</FONT> Couleur de caractère [Font color] <FONT COLOR="#$$$$$$"> </FONT> A la ligne [Line break] <BR> Aller à la ligneCommentaires [Comments] <!-- *** --> Ne pas afficherCentrage [Center] <CENTER></CENTER> Centrer

b-Les titres et les listesEn-têtes [Heading] <Hn> </Hn> avec n=1 à 6 Afficher une en-tête de niveau n et sauter une ligneListe non-ordonnée [Bullet list] <UL> </UL> Liste ordonnée [Numbered list] <OL> </OL> Elément de liste [List items] <LI> Paragraphe [Paragraph] <P> </P> c-Insertion d’image Le code Html est : <IMG SRC="Adresse de l'image"> La balise image possède de nombreux attributs.Texte alternatif alt="****" Pour les browser n'ayant pas l'option "image" activéeDimensions width=? height=? Hauteur et largeur (en pixels)border=? (en pixels) Bordurealign=top Alignementalign=middlealign=bottonalign=leftalign=rightd-les liens hypertextes

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On distingue le lien externe : faisant reference à Tout ordinateur situé sur le réseau Internet et possèdant une adresse ou une URLle lien local : Faisant reference à une page dans le même répertoirele lien mixte :<A HREF="URL ou adresse">...</A>Liens sur les imagesLes balises sont :<A HREF="fichier.htm"><IMG SRC="image.gif"></A>Remarquons que les images cliquables sont entourées d'une bordure.e-Les tableauxDéfinition du tableau [Table] <TABLE></TABLE> Début et fin de tableauDéfinition d'une ligne [Table Row] <TR></TR> Début et fin de ligneDéfinition d'une cellule [Table Data] <TD></TD> Début et fin de cellule

autres balisesCouleur d'arrière-plan <BODY BGCOLOR="#$$$$$$">3-Etapes d’édition d’une page HTML-Ouvrir l'éditeur de texte.- Ecrire les codes Html-Enregistrer le document avec l'extension .html ou .htm.- Ouvrir le navigateur.- Afficher le document via le menu File/Open file...NB : Pour vos éventuelles modifications, il n'est pas nécessaire de rouvrir à chaque fois le navigateur.• Retourner dans l'éditeur de texte (sans fermer le navigateur).• Modifier les codes Html.• Enregistrer le fichier.• Utiliser la commande actualiser browser ou effectuer un clic droit sur le navigateur et choisir actualiser

III-Utilisation du langage JavaScript1-Généralités sur le JavaScript  DéfinitionLe JavaScript, développé par Netscape est un langage de script incorporé dans un document HTML.

Un script est une suite d’instruction écrit dans un langage non compilé. Avantage : Le langage JavaScript permet de rendre les pages HTML dynamiques prenant

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en compte les données de l’utilisateur, comme exemple :-Gestion des dates et des heures -calcul simple suite à des saisies de formulaires-Animations graphiquesInconvénients : Le principal inconvénient du JavaScript est l’interactivité limitée, en effet ce langage ne permet pas de lire ou d’écrire sur le disque dur du serveur. En plus le code est difficile à cacher.

Structure d’un code JavaScript

2-Les variables et les opérateursDéfinitionUne variable est une zone mémoire dont le contenu peut etre modifiable. Elle est caracterisée par son nom( identificateur), sa valeur, et son type.Exemple : L : integer ; L=5 ; C’est une variable dont l’identificateur est L, le type est entier et la valeur est 5.La déclaration des variables

Types de variableLe type d’une variable détermine l’ensemble des valeurs possibles de la variable.

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Les opérateurs pour les variables numériques

Les autres opérateurs Opérateur d’affectation : = Opérateurs logiques : II(ou logique) &&(ou) !(non) Opérateurs de comparaison : ==,=, <, >, <=, >= Opérateur permettant de créer un objet : New 

Les instructionsLecture : l’instruction permettant de lire au clavier est : Prompt

Ecriture : L’instruction permettant d’afficher à l’ecran est alert

Exemple<html> <head> <title>Premier script</title> <script language="JavaScript">

<!-- Hidevar reponse = prompt("Quel est votre nom ?", "")alert ("Bonjour, " + reponse);// --> </script>

</head><body></body> </html>Les structures de contrôle

Les tests

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Travaux pratiques

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INTRODUCTION AUX BD : ETUDE D’ACCESS-définir les concepts de fichier et base de données, information et données,-Développer les concepts de base de données, table, enregistrement, relation, tuples, clés, SGBD -Citer les exemples de serveur de données

I- Généralité sur les BD1-Définitions de quelques notions a-Notions de SGBDUne base de données est un ensemble structuré d’information, conçu pour permettre une consultation et une modification aisée de son contenu. ( si possible par plusieurs utilisateurs en même temps).Definition 2.1 Une Base de données est un gros ensemble d’informations structurées mémorisées sur un support permanent.On peut remarquer qu’une organisation consistant en un (ou plusieurs) fichier(s) stockés sur mémoire secondaire est conforme à cette définition. Un ensemble de fichiers ne résentant qu’une complexité assez faible, il n’y aurait pas là matière à longue dissertation. Malheureusement l’utilisation directe de fichiers soulève de très gros problèmes :1. Lourdeur d’accès aux données. En pratique, pour chaque accès, même le plus simples, il faudrait écrire un programme.2. Manque de sécurité. Si tout programmeur peut accéder directement aux fichiers, il est impossible de garantir la sécurité et l’intégrité des données.3. Pas de contrôle de concurrence. Dans un environnement où plusieurs utilisateurs accèdent aux même fichiers, des problèmes de concurrence d’accès se posent.D’où le recours à un logiciel chargé de gérer les fichiers constituant une base de données, de prendre en charge les fonctionnalités de protection et de sécurité et de fournir les différents types d’interface né-cessaires à l’accès aux données. Ce logiciel (le SGBD) est très complexe et fournit le sujet principal de

Définition Un Système de Gestion de Bases de Données (SGBD) est un logiciel de haut niveau qui permet de manipuler les informations stockées dans une base de données.Un SGBD (Système de Gestion des BD) est un ensemble de services permettant de gérer les BD.Son rôle est de :

- Permettre l’accès aux données de façon simple- Autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs- Manipuler les données présentes dans la BD (insertion,

suppression, modification)

Comme exemple de SGBD :MS Access, SQL server, MySQL, Oracle

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b-Notion de table : est une collection de listes d’enregistrement correspondant à des champs. Une table est en faite un tableau à deux dimensionsUn enregistrement est un ensemble d’information concernant un même sujet. Exemple les noms et adresse d’un client, les caractéristiques d’un produit.En pratique on se le représente en générale sous la forme d’une ligne dans une table.Une relation est une association entre champs commun à plusieurs tables. On distingue la relation de 1 à1, de 1 à plusieurs, plusieurs à plusieurs. Appelées « 1 à1 », « 1à n » et « n à n ».Tuples : ligne de table dans une base de données.Une clé est un champ dans une table utilisé pour trier et retrouver rapidement les informations.une clé peut être utilisé pour identifier les informations. On distingue la clé primaire, la clé secondaire.

II-Introduction aux requêtes SQL

1-requetesLe langage SQL (Structured Query Language) permet de manipuler les données de la BD.

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Les requêtes servent à répondre aux questions sur le contenu d’une ou de plusieurs tables. On distingue plusieurs types de requêtes:

b-Exemple de requête

III-Application : Etude de AccessTravaux pratiques 

Compétences   : -Créer une BD simple-Créer une table-Ecrire des requêtes simples-Enumérer et utiliser les commandes SQL de base : CREATE, SELECT, ALTER, UPDATE, DROP, INSERT

Voir le Acces2003.pdf

Conclusion

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