diciairËs. - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1860-1863/bms_js_1862_05_17_mrc.pdf ·...

4
h 2 0 . — année ttafvi • ; flü•*»'.'V ‘9w'.j^e, . i- 1)«M . . 10 : I & -«(V • s B*AM2VSK A mn Ii., an barcati du JourNalipUM d t TRd^ («I dcVillej — A rarit. cfws M. HâVAS. ^ n ^ â o f u M Kummu. 0 , «9t clieii liMMBar» LAVHTE'BULIdPAct Cowp., |d m du la llourae H| — et cbn ica librairei tU . DICIAIRËS. V .‘ m iiiétT iô us len •: '' V ktX ; *B « .'« M à m iiR i* f 'Oj^MCCS JlIDICI AIKEH. M'VéU U’I ^ ,»iiN>NCF8 DIVERSES, ,W Jd i.2!> • '• v.. tnU .• <■ . . ;tnÜ> j; JyBmpertnf, jlààrapagaè de S. H. lo Hui des Pasu-lkis, a.pa«é ipardià deox beilreii.‘àii ch'amp.de Mara, Ih revue la garde impériale» vlalioniiéea A Parte» Ver sdJlwa.et Saiul«<Ieriiiaii|» el cellea du 1*' coi^m< d’a rm é tien deux corps préscdlaient un erTecIir de M baluilloits; o6 eseadrous et 1g batteries allelées. .-L’inraiitérie était rôrmi^ sur-dcux'lignes par balaillon eu raassejft drbilo A recolefMillIalra. : . /;• U première.'1^ . comprenait lès troupes de la «.vrilc. el la deuxième les lrou|>es du premier corps. a*/? La cavalerie formait trois lignés rateaiit face afik'ligm» d mfaitlerio. L’artillerie occupait le fuud duchamp de Mars, faisant.raeeà l’Eèolé'Mililaire.' Le bataillon dcs-ëlëves do' 9ailit<Cyr était placé en ba- taino le-lôifg de rEeol»Mitllaire; rescadron de cavalerie de la même école occupait la droite de la première liane de oavélerie. i o LL MM-l'Empereur el le ftol des Pays-Bas, sortU A che val des Tuileries, sont arrivés A deux heures à ia têle du S uit d léua, et y ont été retpiA par LL. ÉExc. le maréchal agnau, .conimandaiil.le .1" -corps .d’armée^ qui avait le *î!'Tjfffi5SS2* réaniés,,el le maré- *^» .W ^tH t’Apfiélr, commaédaiil la garde ai»P»gW ««1!éM;ïxc. le marécii?I^BAndou, mioistre de la guerre, et suivies d ’mi Moibreux etAt:màjor, ou l'on roraarqupit beaucoup d'uffl- ciew géiiéi'eUk et plusieurs officiers étrangers. Waw N ^ é s , après avoir iMKsé devant le front des di- venw sont venues sé placer devant lé pavillon cen- Irai de I Ecole-Miiitaire. B. M. l'Jropératricü et te Reine des PaysrBas. qui avaient ^alenenl passé devant l« front des troupes en calèche dé- «ouverte, ont pris place au ba)cop du ni&ue pavillon. Par oçdre de I Empereur, le dcHIé a eu lieu dans Tordre suivant : U. bataillon de Sainl-Cyr, deux-divisions d'infanterie de la garde impériale, lAs trote divMions d’infanterie du 1" corps, - halaillon de sapéurs-pompien. -v LJufanlerie de la garde de Paris, î ' ’*îîl!!®*‘l® ^ Téijulpage de pont, L artillerie,de la ligne, l.'escadrnu de Saiiit-Cyr, La brigade de cuirassiers de la garde, I a division de cavalerie dn premier corps, U train des équipages de la garde.el de la ligne. ^ <*c toutes armes, en passant devant Uiirs Ha- jestes, ^ ont açclaroéés avec le plus vif enthousiasme. - ^ ire s aux Tuileries au milieu d'un-conconrs nombreux <ie population qui, malgré une pluie axses furie, s'était portée sur leur passage eUes a salués par les plus chaleu reuses acclamatioiis ........................................ l>rurR Majestés ont daigné témoigner A pluaieurs reprises aux maréchaux toute leur satisfaction pour la belle tenue vl ?*.*“ régularité avec laquelle elles ont déflié. et S. H. le Rwi des.PaysiBas les a p ri^ de leur fairu part en son nom.de tout le plaisir qu’il a éprouvé à les voir. Mercredi soir, A huit heures, le roi ol la reine de Hol- lande ont quitté Paris. Un train spécial a été mis A leur Î E seront acconipaghés jusqu’à la frontière par plusieurs officiers de la maison de l’Empereur. à l«i llpye; la reine se tend à Stiillgnrd auprès de sou pire, roi de Wurtemberg. Un pelolou de eenl-g.irdes les a conduits Tun et Taulre A la gare du chemiu de fer. u priiteo Napoléon est parti de Paris s.imedl si-ir par Srfïa de Marseille, accompagné de trois de ses •**; ^ Fracoiiifrc et MM. les lieu- rn?.rt * *' ferri-Pisanl, et de MM. deChan- îinniîi’' *.• Ecole Impériale des mines, et de Longpérier, membre de Tlnsliini. ,^'t! Nalioléoii K l arrivi i Kn'plc, |, 13 mal. S. A. I. SKlmoiiIréc aïoc leroisurlelialroudu palais, La faule a.rall éilUndri! I» cri» dé ;  Home! Ÿkc laM ^YCii Hai pQtùHÎ ha ville est en fôle. Uj roi d’IUlle, dont le voyage est un véritable Irioihphe, a été visiter Salcnie ; il s'ëst embarqué te 10 pour Messine: Il a dà aller à Reggiu pour rentrer a Naptes. I,e vice-roi d'Egypte est arrivé à Rumu te 0 mai. Le MoHiieur miverset de mardi contient un iMpitorI du contre-amiral Bonnard sur les derniers engagements qui ont eu lieu en Cocliinebine. Ce rapport signale les résultats qui suivent i I* Conquête, pncillealion et organis.ition de la province de Bien-lloa : ^ Deslrticlioii de Tarmi’Kt régulière onnnmilc du nord; o* Oispersion de Tarmée annamite du snd ; 4* Prise de deux citadelles et de plus de trente forts: 5* Prise de 120 pièces de canon sur Teimemi. On lit dans la Patrie : Uuc dépêche de Saigon, dO “SU mars, nous aiinunee que le corm expéditionnaire franç:iis, coniniandé p.ir te cimtro- amiral Bonard, venait de s'emparer de lu place forte de Vluh-Long, située sur te gruud brus du Méicoiipii fleuve Cambodge. -r«— -- Une dépêche de l..oudres annonce, d'après te journal de la marine de la Vei.-i-Criix. qu’à lu suite d’iinu confé rence tenue entre les pléiiipotentiaireH .illiés à Orizaba, les Francis ont résolu que leur division expéditionnaire a v a ^ ra il dans l'intérieur du Mexique; les Fi-.incais pren draient sous leur responsabilité cette initiative. i,ês troupes Irançaises sont parties pour Mexico. Le.s Angtals et le» Espagnols ont résolu de se retirer. I,curs trouiies se pré pareraient à retourner à te Vera-Cruz. Le parti réaction naire, ajoute te correspondance, a cuamiencé une cam pagne eu règle contre Juarez. Des dé|>èchcs officielles et iniportuiiles sont >irnvée.s, on date de Vera-Cruz te 15 avril : Anglais et tes Espagnols, considérant que te réso lution des Pranç.iis de marcher sur Mexicu éiaii une viola tion du traité, ont enlièréineul retiré leurs forces el laissé les Français seuls poursuivre l'expédition. ,. ". dW de que les vaisseaux du gnerre angteis par tiraient immédiatement. Le ministre anglais devait iiniiter le Mexique le SI. ■ 1-esFrançab devaient marcher sur Mexico te 21. • vient ^ frappor le royiuunc des Pays- :tes.TIn îiiceàdte terrible a réduit «n cèii.lrc»'la ŸÎIîe' d fe.nocbede. delà province d'Over.ys.sel. Pliisicnrs églises, quatre lilalurM A vapeur, onze ti&taiideries. des teinture ries et les sept huitièmes des maisons sont deveiiuus la iiroie dos flammes. Plus de cinq mille personnes sont sans abri, sans inpyen de travail, ayant perdu tout leur avoir. On es time les perles à plusieurs millions de florins. Le sinlKti» a été SI général, ses ravages si rapides, qu’on a «ru d’abord a un acte crmiiucl. Ucureuscmenl, ces bruits ne se conflr- iuent pas. Le rei de Portugal v.» se niariur avec te princesse Harie-1 le, cinquième enfant du roi Viclur-Eniniiinnol cl ^u r par conséquent de la princesse Clolildo. Elle est âgée do i l ans et demi. — M. le mniislre de te guerre a été consulté sur la question de savoir si les militaires liésauscrvicc avec prime libérables en ISfti, et auxquels des pioloiigalions du congé ont été accordées, en exécution du la circulairu iniuislé- rielle du 0 mai I8C2, doivent rejoindre leur corps à l’ex- piralion dédites prolongations.'En princiiiu, et conformé ment aux Instructions en vigueur, les honiines servant en vertu de la loi du 26 avril 1855, doivent accointdir inté gralement te temps de service pour lequel une réninnéra- hou pécuniaire leur est allouée. Toutefois, commu tes li- b- rables do 1802 n’auront plus que quelques mois à accom pur à 1 expiration des prolungutions du congé qu'ils ont obtenues, M. te mitiistru consent, par excupilon ut utin d’é viter des frais iniiiiles, à tes dispunser du l’obligation de n'jomdre leur corps. — M, Naussmann.'préfet de te Scinc, vient d’obtenir un nouveau succès auprès du conseil des mintetrrs. ITa réntsi a faire adopter, malgré une vivo résistance, un projel qui 1)0 mettra pas en inouvumcnt moins de 125 millions. j Ce projet so rattache, assure-i-oii. à loiitn iino série de iiouv^ux ut grands travaux d'embultisseinent. Parmi ce.s travaux, on cite iiolammeiit 1a consirnciion, sur Tancleu empteçement de te barrlôiedti Trône, d’un arc de triomphe de.»t né à peniétuer te souvenir des victoires runiportéus par lot armées françaises du second Empire un Crimée, en llîdiü, en Chine, en Coctiincliiiie, ainsi qu’au Mexique, fais dépendes nécussitéos par eu monuimni nu sont iias évaluées a moins de 50 millions. . — baron Ange Ily.'icliilhe-Maxence du Damas, an cien miuiMru de» uflaîres étraiigùrés, généraret pair de France, ne en 1785, gouvuriieiir du duo de Bordeaux en m u 1828, gruud • officier de te Légion d’honneur, vient de mourir à Pans .......................... Le Journal de SjînloPéWrsbaurff aiuinii'^e que. par siiilo du mauvais étal de sa santé, te général lumiberi, qui gardait toujour.-i le tilrede lieutenant-gouverneur de Pologne, résigne dériuitivument su» fumnious Son.succes seur n’est pas encore nommé. Le général Luders est re- jiartt puur Varwvie. - Las événements en Amérique contiimunl à marclier aveu lenteur. Les nouvelles do New Yorli, du 26 avril, aniiAiiCent ionjoiir.» qu'une bataillb e.st imminente à Cariillh que les fédéraux inutluiit des canons en batterie à im mil lier de métros des retranchements des confédérés à lorktown, et qu'on bombarde toujours lu fort Jackübu pras delà Nouvcllo-Orléaus. Auciln résultat décisif n'est apporté piir ce dernier arrivage. Pourexhail ef i-cdacliou : E. REGMEU. EDMÉE. I . ... ri le du cœur ne se ^'compense pus, . f * '“*• *“ rtrinnère. Monilêiir Plan, "ïï” . j‘ «UM pleinenienl salM iil de vous, de voire coopd- inlenllon e»T fihï? f »“ »PNnleiiien|». La perte que je vien. do aV»i «»»«>le: el, pin» d'nn négpcianl nit ./îr* '* * * ni*nque. SK? ««Iriiser P»(if SJnurner IndOBnlrnénl Pellfct inleplioiK A I égard de sre employé». J'ai tnès ■Slî "? PM In jujwrtenr i.eolnl qui von» mi alloné, de ce jiinr J'ai cnn- »S»i. <<««»•' Weu. une dette de ennseience, S ■"? ' 1“ «I eiio réaniinil d'nn enjade. eÏÏm . iJ .i Mri.'l«ro»e, vcniilei vnn» cnnaidérer ™«me Jouisaanl d'nn irailemeni de 2.000 franc». A partir I a« ce mois.:. tow mecomblex; fnaiA l'augniéiilalionquc te mit m» .* .***? *»i ce qui m’êraeul te rooiiu; Mre L « i c g r é , ce sont les bonne* Mdîlu ®ÿ* est rehaussée. Mais, surlogi. ce que je ne «elle ï!.lm P *»"* i«» «entimcnls de Justice éler- Ïûureîï, W obàh$oz, dans une circonstance si dott- ï’anttemiA f ^ "PM teiH les grandes vertus civiles de <»«iisM p ln ^ croire tenu A une chose arrêtée seiilement tel dîvte! ' ®* ' 8 fan<*. “-• Je le ei^is avec vous, mon ami; cl je ne fais que reiu dru hommage u te verlii, à prcinlrc ce mot dans sa larce cl féconde acception philosophique. — Grèce à Dieu, te fortune immobilière qui me reste me permet de faire re- conslrnire ma papêterie el je vais m’occuper de eu soin, aussitôt que je serai parvenu à placer provisuii cmenl mes ouvriers dans les papeteries de mes amis, pour lc.< ruju-en- dre des que je M urrai les occuper. — Nous esquisserou.» de* plans ensemble; el, pour commencer, je vous conduirai dans quelque* jounià la papeteried'Anet, où Ton fait usage de machines à vapeur dont on dit le plus grand bien. Nous pourrons en acheter de pareilles pour notre nouvelle panu- tene. __________________________ | __________________ * XXXI. XAICUIRITK. u Le surlendemain, M. Delapalme reçut une lettre ilo M, HIcbomnie pere, qui lui exprimait « toute la part qu’il prenait au malhçur qiii lui ôtait arrivé. » An reste, ajou- |all-il, si votre papeterie était assurée, comme je me plais à le croire, la perte ne vous regarde pas : te compagnie vous remboursera, el tout sera dît Sciileuieul, vous aurez I embarras de faire recoiisli uire votre usine, il est vrai que ce sera M ur vous une occasion favorable, pour inlrodiuro — sans bourse délier, — dan» votre fabriralion te» pcrfec- Itennemenls dont Texpéricnce vous aurait fait rccunnuitre te» Mns effets. Ces! là, entre nous, un avantage qui n’est pas à dédaigner. ^ Et le roaiire de forge* ajouiail, en terminant ; • Arthur. serait allé vous faire ses compliment de cou- dot^iice; mai» Il e»| soiiOyant. en ce moment, et sou mé decin lui a défendu de sortir. Il me charge du Tuxcuser aupre» de vous et de M"* Delapalme et vous prie Tun et I autre d agréer | expression de ses sentiments du respect... • 1.6 même courrier avait égatemmuiit apporté à Valciitiii une lettre, qui nous a paru mériter d'ètro reproduite. Cette lellre lui était adressée par s» siciir. « Mon bon Ihjre, nou» avbiis été tous hvui'cux d’apprcii- -- Le camp du Chàlons doit prochainement s’ouvrir; le* troupes qui ont reçu Tordre de s’y rendre y soututteuducs vers_ la Itii du mois courant. Ce camp sera composé celle uniiee de te manière siiivaiitc : C.VMP DE c iu io x s , 1802. ~ Commandant en chef, maré- cliiil Cuiirubert. — Chef d’état-major générât, général de brigade baron Anselme. — Comniandant de Tartilterie, général debrigade.Courlois-Iloussut (t'IIuibal. — Coniman- daiit du genie, rhef de bataillon Weyiiaiid. — Inlunduut mditaire, Tintemtent Fournier. Prévôt, capitaine de guu- dariucrie Maiubergcr. I "Divisiox 0 INFANTERIE.—Commàtidaul la division, général ^ division de TAdmiraull; chef d'élat-major. colonel 0»- pioiid: coinraandanl.Tartiiterte, chefd’uscadreii Maittoi. — 1" brig.ide, comrnuiidaitt la brigade, général de brigade comte d’Ëxéa; 12* bataillon de chasseur.» à pied, 16' régi ment d’inrauterie de ligne, 45* idem. — 2' brigade : coin- inaudaiit ta brigade, général de brigade Grenier; 46* régi ment d’irir.Milerie de ligne, 53' idem, 3* ballerle du 7* ré- giuiuut d artillerie runutée, 4* idutn, 4' cuiniiagnie de sa peur* du 2* régiment du génie. 2* DIVISION dinfanterie. — Commaiidnnl te division : gé- iirrot de division dcLinicr»; uhi f d’étal-major : colonel do IMace; commaiidaut Tnrliiloriu : chef d’escadron Lcgar- dcnr. — I" brigade : comniaridaiil la brigade : général de brigade Gruncliamp; 13' b.ituilloii do chasseurs à pied, 12* régiment d'iufautcriu de ligne, 31* id, id. — 2* brigade : »»mniandanl la brigade : général du brigade de Moiitaudon ; ü6* régiment d’infanterie de ligue, 63* id.. id., 3* batterie du 8' régim.'tit d'aiiillcrie niuntée, 4* id., id., G' compagnie du sapenre du 3* régiment du génie. ô' DIVISION d’infanterir. — t'ominandaiit la «livi.sion : gé néral de division Périgot ; éhef d’clal-major : iwdoneISrhmilz roiiminndant Tiirtillcriu : chef d'uscudroii Suuuiur. — 1** brigade : commandant t.i brigaile : général de brigade Lndreil du tu t^harrièrc: 16 bataillon de chn.s»eur* A pi*-U; 71.* cl 84* réginieiils d'infaniuric de ligne. — 2* brigade • commandant la brigade : général du brigade Oubus ; 92* et 9i*ivgimeul d’inranlcriu du ligne. — 3* el 4* batterie dn H* régiment d’arlitteric montée; 14' compagnie de sa- peui-s du 5' régiment dn génie. Uivisio.v DE «.WALERIR. — Commatuteul la division : géiié- iMl du division Feray; chef d’état-niajor. colonel de Toulon- geon. — 1" brigade : commandant la brigade t.géuéral do dre, par la dernière lettre, que tu es tonjoni*» satisfait de tu position et sut tout que tu contiiincs à tu liicn porter, car cusl 1.4 l'essentiel. Il y avait plu» de quinze jour» que lu no non» avais écrit cl lo temps nous a paru bien long... .Ma man craignait que tu ne fusses malade. El c’est mal .4 lui, mon «lier lalenlin. d’inquiéter ainsi, par ton situnce, cette bonne incre. qui l'nime tant, l'romefs-uioi de nu plus re tomber dans le môme péché d'Iiabitnde, cl je lo pardon nerai, nn nom de te famille. \ propo.», ruonsienr te cacho- tier, lu ne nous avais pas dit que M. Delapalme est père d une charmante demoiselle, âgée de.dix-srpt an», A peine. -Huis unu-persoune qiii-te-connait ine-Ta-appri»t-ainsi cela ne 1 aura servi du rien, de te taire. On assure que cetlu deinoisutle est sur te point do so marier. Le jeune homme «ni aspire à sa main est, dit-on, tiés-aimuble ut très-bien desn pereonne. Ou parte déjà du la corlN*illc.]l paraît qu'on ,i achulera A l’ari». Il y » ponriant ,4 Evrurtx et même à ^ ury, des élollb» et dus bijpiix dont bien des jeunes tilles so conlcntur.TiRiit. Je fais de» vioux pour que cette dcmoisello soit heureuse on ménage, car ou la dit aussi bonne que bulle. E-st-cu vroi, mon frère? loi, qui as la prétention de te connaîtra un bonté cl même en buaiité... Voyez vous! qui eslco qui aurait pensé ça de M. V.vlentin Flanlerose. te ilis au pero Planlei ose le sabotier, ut te frèro du ftdte M.irgue- r lu qui .1 pour miroir nu morceau du gtaco, dans lequel otlü O.SO a peine »c regarder, lant elle se trouve telde... dans culte vilaine choso. Mais il nu s’agit p.as de Marguerite, — iii do son miroir; mais bien de Vntenlin. Quand viendras- tu nous voir? Tu promets toujours cl antaiit en umiiorle te veut. I) abord, si tu ne viens p.is, je sais bien ce que je fe rai,.. Réponse du suite. Adieu, vilain frère. • Tu sœur rourroncéc. Maroubrite. • peux jouis après, vers dix heures du malin, M. Det.a- paline et sou jetinu commis partaient pour Aiiet, dans le bjil de visiter le.» nonvcllis machines de la papetcrio éta blie «lans ce village, renommé par son vin, • qui se brigade Euzeueu de Semlafla. S'régimeut de’draaAiis. ^ id. — 2* brigade : comfBMÎdàiit^la brigadei; gétféiM 4le - brigade Feufeiileurtkrde Gbeffimtainr. 10* réginieitt de dro- gou», {d' idem, 3* batterie du 20* ri^imeul d’arifùeriÿ à cheval. RésKRVB» ET PAics. — 3* hatleHè du 13* régiment d'artil- Icrie montée; 4* id. du 13*. régiment d'arliTleri» raoutée: 4* id. du 20* régimunl d’uriillerte à cheval; détachement de ta 1" cuiupagiiie d'ouvriur» d’ariiiterie; délaclienieiil delà compagnie de sapeur» conducteur» du S*r^inieiit du génie; G* compagnie du 4* escadron du train de» équipage» 1" compagnie du S* escadron du train des éiinipagu» ; dé- tacheineiit d'iiiU rœiers mililaiius ; déturhcmeal d'ouvrier» d'adiniiilslration. FORCE FCBLIQUE. Délachemcul de gendarmerie. llOimSLlÉS DËPlRTEpilTiLES. iB B tew iee |wfclâ«ixe. — Aei»*é*âe Me rw lB . Nous, Préfet du département de TOUe, Chevalier . de lu t^giou d’hohueür, . Vu le décret du 24 n»ars 1851, portant rèsieraent des ecoie» Horiiialesprimateewi. Vu la circulaire m!nl»t«rielte du 21 aw il, «rai l'accoitr. ■ p.ngne ; Vu te circulaire mioislérielle du 2 février 1853* Arrélen» eu qui soit : Article I**. Le* jeunes penionites qui désirent eoneoiirrr pour être adoitse* au Cours normal prim.Tire d'élèves-mui- tresses, établi à'Beauvais, devioulse faire inscrire du 5 mai a u ^ juillet 1862, dans tes bureaux du Tluspecliou aca* démique, rue de te Préfecture, 87, à Beauvais. où lia re gistre est ouvert à cet effet. Article 2. Toute aspiraute devra déposer, au momént de sou inscription : 1° Sun acte de naissance li^alisé au greffe du tribunal civil, constatant qu’au 1** septembre 1862, elle aura atteint 17 an» au moin», et 22 ans au plus: 2* Uircertiflcatdeinédeviii, cuust.)iânl qu’elle a été vac Cillée oti qu’elle a eu la petite-vérole, et qu'elle n'est al- luinic d’aucune iiiflrmité.ou d’aucun'vice de conslitutioti qui te rende impropre à Tenscignemeiil ; 5* L'eiigagemeiil, légalisé, du servir pendant dix ans dans Tliislruclioii primaire publique. Si elle est mineure, Taspirauto produira, én outre, une duclaralioii de son père, oU du soù tuteur, l’autorisant à contracter cet cngagenieut ; Ces deux dernières pièces devront êtretur papier timbré, et legali»ée».par le P- 4* Une note signée de ra»|»ii:a#iyv «M^^t'^leTWo mu"^ les lieux qu elle a babiié.s depuis TA» dq q!®ic.uii»T^ ; a* De» cerliflcals de moralité délivré* pir ie$\àùsulâtn écoles auxquelles elle aura appartenu suit commêT«êre. soit comme «ous raaitres.HC. et par cliaciinu des autorité» locale» p re p i^ à Ip si^eitteoce et à te direction morale. foule .nspirante A qui aura .été accordée une bourse ou portion de lH>ui>e, ou sa famille, si elio est mineure, devra contracter Tcugagemuut de rembourser tu prix du sa pen sion, pour lu cas ou ul!o ne resterait pas dix ans dan» I Eu- seigiiemenl, et |iour le cas où. par sou fait, elle surtir.iit de I école qvaui 1e temps proscrit. Fait à Beauvais. le 1” mai 1862. pour copie conforme .* Le Préfol de lOise. L'Inspecteur de l'Actidéinie, Léo? CiirvRE.vu. Collet, CMMBiirs résiMMl M’.trniB. AVIS ADX EXPOSA.NTS. MM. tes Exposants sont prévenus qu'ils seront diitpen^s du consigner fus droit» d'octroi aux portes de cetlu ville pour les bestiaux qu’il» iiiiroduironl. Il» devront justifier de leur carie d’admission cl il leur sera remis uii pussu-dcbout. lilule de* SlflwlwMi du Surr p^ur la deuxième «wmleu de ltlS9. MM. Cozellc {Atexandru-Chartes), rentier à Songeons. laisse boire,» — et célèbre par te ciiàtcaii qu'y |U rôits- truire llciiri 11, poursu inaitresse, Diane de Poitiers. « coni- tciisc de Brézé. • Le luôrac jour, vers midi, une jeune tille parais.sanl âgéo d environ seize ans, entrait dans lu cour du M. Delapalme. Arrctons-nous à la considérer, pendant qu’elle referme ta porte .avec précaution el promène autour d ette un re-- gard timidement investigateur. Elle porte un petit bounet de liuon, plut, dit à te rosette. uirt en usage dans ta Beauce, notainmenl aux environs de Aj«u>e* à cote un cas-iquiu de .siamoise, iiiie jnpp a mdienne1Tinlll8-raiwret"ilK~^Ri5”giralîersrCerie$rto*- costiimeest peu avantageux. Mais lorsque Tivil, impressionné tout d’abord désagréablement par les dissonance» de cette mise commune. vTeul à abstraire ces dohor* rustique» cl à' ne plu» considérer quo celle qui porto cepie misère, quel n est pas son étonnement de rencontrer, suascettu cuifnire iiisiguiflante, une douce figure de vier^, de beaux yeux bleu* et dr» cheveux admirable». L'examen coiitimie ut le cusuquin laisse deviner le» bultes ligne» pure* d'un corsage' digne du ciseau grec; la jupe d'iiidiumie est oubliée, poùf deux jambes de ducbess», cl le» souliers? Ah! qu’ot) le» ou blie aussi fltcilement pour ne songer qu'aux deux iielit*^ l>ieds btençs qu'il enserrent ! De» gants du coton voilent te» main», mais comme on en devine la 'délicatesse, à-traver»- le lis.su commun... ■Telle est cette jeune flile, considérée attentivement : unu perte fine, dans une eiivetoppu grossière. Ajoutons que te Jeune arrlvonie porte au bras gauche un' panier carru et tient à te inaii).druilu un-parapluie du co ton. avec I annotiii tvadiiruunut; Médor, qui-vient du s’uvelllér.. ajaiHirçu lii jeune fllIe, e t se met à aboyer avec uifu force qno Ton iiu lui uomiaissait' pas encore. Rèttreiisénienhqu’iiue uxcellentu chaîne de Âi* te retient à sa niche et l’èiunôehu du joindre les voies du» fait aux menace». (La suite aurprochain numéro.) Elucim JOURDAIN.,

Upload: lamkhue

Post on 13-Sep-2018

212 views

Category:

Documents


0 download

TRANSCRIPT

h

2 0 . — annéet t a f v i

• ; flü•*»'.'V ‘ 9w'.j^e,

. i - 1 )« M . . 10: I & -«(V • s B *A M 2V SK

A m n Ii. , an b a rca ti d u Jo u rN alip U M d t TRd^ («I dcVillej — A rarit. cfws M. HâVAS. ^n^âo fu M Kummu. 0 , «9t clieii liMMBar» LA VH TE'B ULIdPA ct C o w p ., | d m du la llourae H| — et cbn ica librairei tU .DICIAIRËS.

V . ‘

m i i i é t T iô us len

•: '' V k t X ; * B « . ' « M à m i i R i * f

'Oj^MCCS JlIDICI AIKEH. M 'VéU U’I ^ ,»iiN>NCF8 DIVERSES, ,W Jdi.2!> • '• v.. tn U .• <■ . .

;tnÜ> j;

Jy B m p e rtn f, jlà à ra p a g a è de S. H . lo Hui d es Pasu-lkis,■ a .p a « é ip a rd ià deox beilreii.‘àii ch'am p.de Mara, Ih revue■ la gard e impériale» vlalioniiéea A Parte» V er

sdJlwa.et Saiul«<Ieriiiaii|» e l cellea du 1*' coi^m< d ’a r m étien deux corps préscdlaient un erTecIir d e M baluilloits;

o6 eseadrous e t 1g batterie s allelées..-L’inraiitérie éta it rô rm i^ su r-d c u x 'l ig n e s p a r balaillon

eu ra a s se jf t drbilo A recolefM illIalra. • : . /;•U prem ière .'1 . com prenait lès troupes de la «.vrilc.

e l la deuxièm e les lrou|>es du prem ie r corps. a*/?La cavalerie form ait tro is lignés rateaiit face afik 'ligm »

d m faitlerio. L’artillerie occupait le fuud ducham p d e Mars, fa isan t.raeeà l’Eèolé'M ililaire.'

Le bataillon dcs-ëlëves d o ' 9ailit<Cyr é ta it placé en ba- taino le-lôifg d e rE eol»M itllaire; re scad ron d e cavalerie de la m êm e école occupait la dro ite d e la prem ière liane de oavélerie. i o

L L M M -l'Em pereur e l le ftol des Pays-Bas, sortU A che­val des Tuileries, sont arriv és A deux heures à ia têle du

Suit d léu a , e t y ont é té retpiA p a r LL. ÉExc. le m aréchal agnau, .conim andaiil.le .1" -corps .d ’armée^ qui avait le

* î! 'T jff f i5S S 2 * réan iés,,e l le m aré -■ * ^ » . W ^ t H t ’Apfiélr, com m aédaiil la gard e

a i» P » g W « « 1!é M ;ïx c . le marécii?I^BAndou, m io istre d e la g u e rre , e t suivies d ’mi M oibreux etAt:m àjor, ou l'on roraarqupit beaucoup d'uffl- ciew géiiéi'eUk e t plusieurs officiers é tran g ers.

W aw N ^ é s , ap rès avoir iMKsé devant le front des di- venw sont venues sé p lacer devant lé pavillon cen- Irai de I Ecole-Miiitaire.

B. M. l'Jropératricü e t te Reine des PaysrBas. qui avaient ^ a le n e n l passé devant l« front des troupes en calèche dé- «ouverte, ont p ris place au ba)cop d u ni& ue pavillon.

P ar oçd re d e I E m pereu r, le dcHIé a eu lieu dans Tordre suivant :

U . bataillon d e Sainl-Cyr,deux-divisions d 'in fan te rie de la g ard e im périale ,

lAs tro te divMions d ’in fan terie d u 1" corps, - halaillon d e sapéurs-pom pien . -v

L Jufanlerie d e la gard e d e P aris, î '’*îîl!!®*‘l® ^ Téijulpage de pont,L artillerie ,de la lig n e , l.'escadrnu d e Saiiit-Cyr,La brigade d e cu irassiers d e la garde,Ia division d e cavalerie dn prem ier corps,U train des équipages d e la garde.el d e la ligne.^ <*c toutes arm es, en passant devant U i i r s H a-

jestes, ^ ont açclaroéés avec le p lus vif enthousiasm e.

- ^ i r e s aux Tuileries au m ilieu d 'un-conconrs nom breux <ie population q u i, m alg ré une pluie axses furie , s 'é tait portée s u r leu r passage e U e s a salués p a r les p lus chaleu­reuses acclam atioiis........................................

l>rurR Majestés ont daigné tém oigner A pluaieurs reprises aux m aréchaux toute le u r satisfaction p o u r la belle tenue v l ?*.*“ régu la rité avec laquelle elles on t déflié .e t S. H. le Rwi des.PaysiBas les a p r i ^ d e leu r fairu part en son nom .de tou t le p la is ir qu ’il a éprouvé à les voir.

M ercredi so ir, A huit heu res, le roi ol la reine d e Hol- lande on t q u itté P aris. Un tra in spécial a été m is A leu r Î E seron t acconipaghés ju sq u ’à la frontière p a rplusieurs officiers d e la m aison de l ’Em pereur.

à l«i llpye; la reine se te n d à S tiillgnrd auprès de sou p i r e , roi de W urtem berg.

Un pelolou de eenl-g.irdes les a conduits Tun et T aulre A la gare du chem iu d e fer.

u priiteo Napoléon est parti d e P aris s.imedl si-ir p a r S r f ï a d e M arseille, accom pagné de tro is de ses

•**; ^ F raco iiifrc e t MM. les lieu-rn?.rt * * ' fe rri-P isa n l, e t de MM. deC han-î in n iî i ’' *.• Ecole Im périale des m ines, e t deLongpérier, m em bre d e T lnsliin i.

,^ 't! Nalioléoii K l a r r iv i i K n'plc, | , 13 m al. S. A. I . SK lm oiiIréc a ïo c le r o i s u r l e l i a l r o u d u palais, La faule

a .rall éilU ndri! I » cri» dé ; Â Home! Ÿ k c la M ^ Y C ii Hai pQtùHÎ ha ville e s t en fôle.

Uj ro i d ’IU lle, dont le voyage es t un véritab le Irioihphe, a été visiter Salcn ie ; il s 'ës t em barqué te 10 pour Messine: Il a d à aller à Reggiu p o u r re n tre r a Naptes.

I,e vice-roi d 'E gypte est a rriv é à Rumu te 0 mai.

Le MoHiieur m iverse t de m ard i contient un iMpitorI du contre-am iral B onnard su r les dern ie rs engagem ents qui on t eu lieu en Cocliinebine. Ce rapport signale les résultats q u i su ivent i

I* Conquête, pncillealion et organis.ition de la province d e Bien-lloa :

^ Deslrticlioii d e Tarmi’Kt régulière onnnm ilc du nord;o* Oispersion de Tarm ée annam ite du snd ;4* Prise de deux citadelles e t d e plus de tren te forts:5* P rise de 120 pièces de canon s u r Teimemi.

On lit dans la Patrie :Uuc dépêche d e Saigon, dO “SU m ars , nous aiinunee que

le co rm expéditionnaire franç:iis, coniniandé p.ir te cimtro- am ira l B onard, venait de s 'em p are r de lu place forte de Vluh-Long, située s u r te gruud b ru s du M éicoiipii fleuve C am bodge. -r«—

- - Une dépêche d e l..oudres annonce, d 'ap rès te jo u rn al de la m arine de la Vei.-i-Criix. qu ’à lu su ite d ’iinu confé­rence tenue en tre les pléiiipotentiaireH .illiés à Orizaba, les F r a n c is ont résolu que leu r division expéditionnaire a v a ^ r a i l dans l 'in té rieu r du Mexique; les Fi-.incais pren­d ra ie n t sous leu r responsabilité ce tte initiative. i,ês troupes Irançaises son t partie s pour Mexico. Le.s Angtals e t le» Espagnols ont résolu de se re tire r. I,curs trou iies se p ré­parera ien t à re to u rn er à te Vera-Cruz. Le p arti réaction­naire , ajoute te correspondance, a cuam iencé une cam ­pagne eu règle con tre Juarez.

Des dé|>èchcs officielles e t iniportuiiles son t >irnvée.s, on date d e Vera-Cruz te 15 avril :

■ Anglais e t tes Espagnols, considérant que te réso­lution des Pranç.iis d e m archer s u r Mexicu éiaii une viola­tion du tra ité , on t enlièréineul re tiré leurs forces e l laissé les Français seuls poursu iv re l'expédition.,. " . d W d e que les vaisseaux du gnerre angteis par­tira ien t im m édiatem ent. Le m inistre anglais devait iin iite r le Mexique le S I.

■ 1 -esF rançab devaient m archer s u r Mexico te 21. •

vient ^ frappor le royiuunc des Pays- : te s .T In îiiceàdte te rr ib le a ré d u it «n cè ii.lrc » 'la ŸÎIîe' d fe.nocbede. d e là province d'Over.ys.sel. Pliisicnrs églises, q u a tre lilalurM A vapeur, onze ti&taiideries. des te in ture­ries et les sept huitièm es des maisons sont deveiiuus la iiroie dos flammes. Plus de cinq mille personnes sont sans abri, sans inpyen d e trava il, ayant perdu tout leu r avoir. On es­tim e les perles à p lusieurs millions de florins. Le sinlKti» a été SI général, ses ravages si rap ides, qu’on a «ru d ’abord a un ac te crm iiucl. U cureuscm enl, ces b ru its ne se conflr- iuent pas.

Le re i de Portugal v.» se n iariu r avec te princesse H arie-1 le, cinquièm e enfant du ro i Viclur-Eniniiinnol cl ^ u r p a r conséquent de la princesse Clolildo. Elle est âgée do i l ans e t dem i.

— M. le m niislre d e te g u erre a été consulté s u r la question de savoir si les m ilitaires liésausc rv icc avec prim e libérables en IS fti, et auxquels des pioloiigalions du congé ont été accordées, en exécution du la circulairu iniuislé- rielle du 0 mai I8C2, doivent re jo indre leu r corps à l’ex- p iralion d é d i te s prolongations.'E n princiiiu, et conform é­m ent aux Instructions en vigueur, les honiines servant en vertu de la loi du 26 avril 1855, doivent accointdir inté­gralem ent te tem ps d e service pour lequel une rén innéra- hou pécuniaire leu r es t allouée. Toutefois, commu tes li- b- rables do 1802 n ’au ron t plus que quelques mois à accom p u r à 1 expiration des prolungutions du congé qu 'ils ont obtenues, M. te m itiistru consent, p a r excupilon ut utin d ’é­v iter des frais iniiiiles, à tes dispunser du l’obligation de n 'jom dre le u r corps.

— M, N aussm ann.'préfet de te Scinc, vient d ’ob ten ir un nouveau succès auprès du conseil des m inte trrs. ITa rén tsi a fa ire adopter, m algré une vivo résistance, un projel qui 1)0 m ettra pas en inouvumcnt moins de 125 millions.j Ce projet so ra ttache , assure-i-oii. à loiitn iino série de iio u v ^ u x u t grands travaux d'em bultisseinent. P arm i ce.s trav a u x , on cite iiolam meiit 1a consirnciion, su r Tancleu em pteçem ent de te b a rrlô ied ti T rône, d ’un a rc de triom phe de.»t né à pen ié tue r te souvenir des victoires runiportéus p a r lo t arm ées françaises du second Em pire un Crimée, en llîd iü , en Chine, en Coctiincliiiie, ainsi qu’au Mexique, fais dépendes nécussitéos p a r eu m onuim ni nu sont iias évaluées a m oins de 50 m illions.

. — baron Ange Ily.'icliilhe-Maxence du Damas, an ­cien miuiMru de» uflaîres étraiigùrés, g é n é ra r e t pa ir de F rance, ne en 1785, gouvuriieiir du duo de Bordeaux en m u 1828, gruud • officier de te Légion d ’honneur, vient de m o u rir à P a n s ..........................

Le Journal de SjînloPéWrsbaurff aiuinii'^e que. p a r siiilo du m auvais é ta l de sa santé, te général lum iberi, q u i gardait toujour.-i le t i lr e d e lieutenant-gouverneur de Pologne, résigne dériuitivument su» fumnious Son.succes­se u r n ’est pas encore nommé. Le général Luders est re- j i a r t t puur V arw vie.

- Las événem ents en A m érique contiim unl à m arclier aveu len teur. Les nouvelles do New Yorli, du 26 avril, aniiAiiCent ionjoiir.» qu 'une bataillb e.st im m inente à Cariillh que les fédéraux inutluiit des canons en batterie à im m il­lier de m étros des re tranchem ents des confédérés à lo rk tow n, e t qu 'on bom barde toujours lu fort Jackübu pras d e là Nouvcllo-Orléaus. Auciln résu lta t décisif n 'est apporté piir ce d ern ie r arrivage.

P o u rex h a il ef i-cdacliou : E . REGMEU.

EDMÉE.I. . . . r i le du cœ ur ne se ^'com pense pus,

• . f * ' “ *• *“ r t r in n è re . M onilêiir P lan ," ï ï ” . j ‘ «UM pleinenienl s a lM iil de vous, d e voire coopd-

inlenllon e»Tfih ï? f »“ » P N n leiiie n |» . La p erte que je v ien . do aV »i «»»«>le: e l , pin» d 'n n négpcianl

n i t . / î r * ' * “ * * ni*nque.S K ? « « Ir iise r P»(if SJnurner IndOBnlrnénl Pellfct

inleplioiK A I ég a rd de sre employé». J 'a i tnès■ S l î " ? PM In

jujwrtenr i.eo ln l qu i von» m i alloné, d e ce jiin r J 'ai cnn- »S »i. <<««»•' W eu. u n e dette de ennseience,S ■ "? '1“ «I eiio réaniinil d 'n n e n ja d e .e Ï Ï m . iJ .i Mri.'l«ro»e, vcniilei vnn» cnnaidérer™«me Jouisaanl d 'nn irailem eni de 2.000 franc». A p a r tir

I a« ce m ois.:. tow m ecom blex; fnaiA l'augniéiilalionqucte mit m» .* .***? *»i ce qui m ’êraeul te roo iiu ;Mre L « i c g r é , ce son t les bonne* M d îlu ®ÿ* est rehaussée. Mais, su rlo g i. ce que je ne «elle ï!.lm P “ *»"* i«» «entim cnls de Justice éler-Ïû u re îï, W obàh$oz, dans une circonstance si dott-ï’anttemiA f ^ " P M te iH les grandes vertus civiles d e <»«iisM p l n ^ cro ire tenu A une chose arrê tée seiilem ent

te l dîvte! ' ®* ' 8 fan<*.“-• Je le ei^ is avec vous, mon am i; cl je ne fais que re iu

dru hom m age u te verlii, à prcinlrc ce mot dans sa larce c l féconde acception philosophique. — Grèce à Dieu, te fortune im m obilière qu i m e reste m e perm et de faire re- conslrn ire m a papêterie el je vais m ’occuper de eu soin, aussitôt que je sera i parvenu à placer provisuii cm enl mes ouvriers dans les papeteries d e m es am is, pour lc.< ruju-en- d re des que je M u rra i les occuper. — Nous esquisserou.» de* plans ensem ble; e l, pour com m encer, je vous conduirai dans quelque* jo u n ià la papeteried 'A net, où Ton fait usage de m achines à vapeur dont on d it le plus grand bien. Nous pourrons en acheter d e pareilles p o u r notre nouvelle panu-ten e .__________________________ |__________________ *

XXXI.XAICUIRITK.

u Le surlendem ain , M. Delapalme reçut une lettre ilo M, HIcbomnie pere , qu i lu i exprim ait « toute la p a rt qu ’il p renait au m alhçur qiii lui ô tait a rrivé . » An reste, ajou- |a ll-il , s i votre papeterie é ta it assurée, comme je me plais à le c ro ire , la perte ne vous regarde pas : te compagnie vous rem boursera , e l tout sera d ît Sciileuieul, vous aurez I em b a rra s de faire recoiisli u ire votre usine, il est vrai que ce se ra M u r vous une occasion favorable, pour inlrodiuro — sans bourse d élier, — dan» votre fabriralion te» pcrfec- Itennem enls dont Texpéricnce vous au ra it fait rccunnuitre te» M n s effets. Ces! l à , en tre nous, un avantage qui n ’est pas à dédaigner. ^

Et le roa iire de forge* a jouiail, en term inant ;• A r th u r. sera it allé vous faire ses c o m p lim en t de cou-

d o t^ iic e ; mai» Il e»| soiiOyant. en ce m om ent, et sou mé­decin lu i a défendu d e so rtir . I l m e charge du Tuxcuser aupre» de vous e t de M"* Delapalme e t vous prie Tun et I au tre d ag réer | expression de ses sentim ents du respect... •

1.6 m êm e co u rrie r avait égatemmuiit apporté à Valciitiii une lettre , qui nous a p a ru m ériter d 'è tro reproduite.

Cette le llre lui é ta it adressée p a r s» siciir.« Mon bon Ih jre , nou» avbiis été tous hvui'cux d ’apprcii-

- - Le cam p du Chàlons doit prochainem ent s’o u v rir; le* troupes qui on t reçu Tordre de s’y rendre y sou tu tteuducs vers_ la Itii du m ois courant. Ce cam p sera composé celle uniiee de te m anière siiivaiitc :

C.VMP DE ciu io x s, 1802. ~ Commandant en chef, maré- cliiil Cuiirubert. — Chef d ’état-m ajor générât, général de b rigade baron Anselme. — Comniandant de Tartilterie, général debrigade.Courlois-Iloussut (t'IIu ibal. — Coniman- daiit du genie, rh e f de bataillon Weyiiaiid. — Inlunduut m dita ire , T intem tent Fourn ier. Prévôt, capitaine de guu- dariucrie M aiubergcr.

I "Divisiox 0 INFANTERIE.—Commàtidaul la division, général ^ division de TAdm iraull; chef d 'éla t-m ajo r. colonel 0»- p io iid : co inraandanl.T artiite rte , c h e fd ’uscadreii Maittoi. — 1" brig.ide, comrnuiidaitt la brigade, général de brigade com te d ’Ëxéa; 12* bataillon de chasseur.» à pied, 16' régi­m ent d ’inrauterie de ligne, 45* idem . — 2 ' brigade : coin- inaudaiit ta brigade, général de brigade G renier; 46* régi­m ent d ’irir.Milerie de ligne, 53' idem , 3* ballerle du 7* ré- giuiuut d artillerie runutée, 4* idutn, 4 ' cuiniiagnie d e sa ­peur* du 2* régim ent du génie.

2* DIVISION d’in f a n t e r ie . — Commaiidnnl te division : gé- iirro t de division dcL in icr» ; uhi f d ’étal-m ajor : colonel do IMace; com m aiidaut Tnrliiloriu : chef d’escadron Lcgar- d cn r. — I" brigade : comniaridaiil la brigade : général de b rigade Gruncliamp; 13' b.ituilloii do chasseurs à pied, 12* régim ent d 'iufautcriu de ligne, 31* id , id. — 2* brigade : »»m niandanl la brigade : général du brigade de Moiitaudon ; ü6* régim ent d ’infanterie de ligue, 63* id .. id ., 3* batterie du 8 ' régim.'tit d 'a iiillc rie niuntée, 4* id ., id ., G' compagnie du sapenre du 3* régim ent du génie.

ô ' DIVISION d’in fan te rir . — t'om inandaiit la «livi.sion : gé­néra l de division Périgot ; éhef d ’cla l-m ajor : iwdoneISrhmilz roiim inndant Tiirtillcriu : chef d'uscudroii Suuuiur. — 1** b rigade : com m andant t.i brigaile : général de brigade Lndreil du tu t^harrièrc: 16 bataillon de chn.s»eur* A pi*-U; 71.* c l 84* réginieiils d 'infaniuric de ligne. — 2* brigade • com m andant la brigade : général du brigade Oubus ; 92* et 9 i*ivgim eul d ’inranlcriu du ligne. — 3* e l 4* b atterie dn H* régim ent d ’arlitte ric m ontée; 14' compagnie de sa- peui-s du 5 ' régim ent dn génie.

Uivisio.v DE «.WALERIR. — Commatuteul la division : géiié- iMl du division Feray; chef d ’éta t-n ia jor. colonel de Toulon- geon. — 1" brigade : com m andant la brigade t.géuéral do

d re , p a r la dern ière lettre , que tu es tonjoni*» satisfait de tu position et su t tout que tu contiiincs à tu liicn porter, ca r cusl 1.4 l'essentiel. Il y avait plu» de quinze jour» que lu no non» avais éc rit c l lo tem ps nous a paru bien long... .Ma­m an craignait que tu ne fusses m alade. El c’est mal .4 lui, mon «lier la le n lin . d ’inquiéter ainsi, par ton situnce, ce tte bonne incre. qui l'nim e tan t, l'rom efs-uioi de nu plus re ­tom ber dans le môme péché d'Iiabitnde, cl j e lo p ardon­nerai, nn nom de te famille. \ propo.», ruonsienr te cacho- tier, lu ne nous avais pas d it que M. Delapalme est père d une charm ante demoiselle, âgée de.dix-srpt an», A peine.

-H uis unu-persoune qiii-te-connait ine-Ta-appri»t-ainsi cela ne 1 au ra servi du rien , de te ta ire . On assure que cetlu deinoisutle est s u r te point do so m arier. Le jeune homme «ni asp ire à sa main es t, dit-on, tiés-aim uble ut très-bien d e sn pereonne. Ou parte déjà du la corlN*illc.]l paraît qu'on ,i achulera A l’ari». Il y » ponrian t ,4 Evrurtx et même à

ury, des élollb» e t dus bijpiix dont bien des jeunes tilles so conlcntur.TiRiit. Je fais de» vioux pour que ce tte dcmoisello soit heureuse on ménage, car ou la d it aussi bonne que bulle. E-st-cu vroi, mon frère? lo i, qui as la prétention de te connaîtra un bonté c l mêm e en buaiité... Voyez vous! qui e s lc o qu i au ra it pensé ça de M. V.vlentin Flanlerose. te ilis au pero Planlei ose le sabotier, ut te frèro du ftd te M.irgue- r lu qu i .1 pour m iro ir nu morceau du gtaco, dans lequel otlü O.SO a peine »c regarder, lan t elle se trouve telde... dans cu lte vilaine choso. Mais il nu s’agit p.as de M arguerite, — iii do son m iro ir; m ais bien de Vntenlin. Quand viendras- tu nous voir? Tu prom ets toujours c l antaiit en um iiorle te veut. I) abord , si tu ne viens p.is, je sais bien ce que je fe­ra i,. . Réponse du su ite . Adieu, vilain frère.

• Tu sœ ur rourroncéc.■ M ar o u b r it e . •

peux jo u is après, vers dix heures du m alin , M. Det.a- paline et sou jetinu commis parta ien t pour Aiiet, dans le bjil de visiter le.» nonvcllis machines de la papetcrio éta­blie «lans ce village, renommé p ar son vin, • qui se

brigade Euzeueu de S em lafla . S 'régim eut de’draaAiis. ^ id. — 2* brigade : comfBMÎdàiit^la brigadei; gétféiM 4le - brigade Feufeiileurtkrde Gbeffimtainr. 10* réginieitt d e dro-gou», {d' idem, 3* batterie du 20* ri imeul d’arifùeriÿ àcheval.

RésKRVB» ET PAics. — 3* hatleH è du 13* rég im ent d 'a r til- Icrie m ontée; 4* id . du 13*. régim ent d 'arliT leri» raoutée:4* id . du 20* régimunl d ’u riille rte à cheval; détachem en t d e ta 1" cuiupagiiie d 'ouvriur» d ’a r iiite r ie ; délaclienieiil d e là compagnie de sapeur» conducteur» d u S * r^ in ie iit d u génie; G* com pagnie du 4* escadron d u tra in de» équipage» 1" com pagnie du S* escadron du tra in des éiinipagu» ; dé- tacheineiit d'iiiU rœ ie rs m ililaiius ; détu rhcm eal d 'ouvrier» d 'ad in iiilslra tion .

FORCE FCBLIQUE. Délachemcul de gendarm erie .

llOimSLlÉS DËPlRTEpilTiLES.iB B tew iee |wfclâ«ixe. — Aei»*é*âe Me rw lB .

Nous, Préfet du départem en t d e TOUe, C hevalier . d e lu t^g io u d ’hohueür, .

Vu le déc re t du 24 n»ars 1851, p o rtan t rèsie raen t des ecoie» Horiiialesprimateewi.

Vu la circu laire m!nl»t«rielte du 21 a w il , «rai l'accoitr. ■ p.ngne ;

Vu te c ircu laire m ioislérielle du 2 fév rier 1853*A rrélen» eu qu i so it :

Article I**. Le* jeunes penionites qu i d ésire n t eoneoiirrr pour ê tre adoitse* au Cours norm al prim.Tire d 'élèves-m ui- tresses, étab li à 'B eauvais , d e v io u lse fa ire in scrire d u 5 m ai a u ^ ju ille t 1862, dans tes bureaux du T luspecliou aca* dém ique, rue de te P réfecture, 87, à Beauvais. où lia r e ­g istre est ouvert à cet effet.

Article 2 . Toute asp irau te devra déposer, au m om ént d e sou inscription :

1° Sun acte de naissance li^alisé au greffe d u tr ib u n a l civil, constatant qu ’au 1** septem bre 1862, elle a u ra a tte in t 17 an» au moin», e t 22 ans au p lus:

2* U ircertiflca tdeinédev iii, cuust.)iânl qu ’elle a é té v a c C illé e oti qu ’elle a eu la petite-vérole, e t qu 'elle n 'e s t a l- luinic d ’aucune iiiflrm ité.ou d ’aucun'vice d e conslitutioti qui te rende im propre à Tenscignemeiil ;

5* L'eiigagemeiil, légalisé, du se rv ir p en d an t d ix an s dans Tliislruclioii p rim aire publique.

Si elle est m ineure , Taspirauto p ro d u ira , én o u tre , une duclaralioii de son p ère, oU du soù tu te u r , l’a u to risa n t à con tracter cet cngagenieut ;

Ces deux dernières pièces devront ê tr e tu r papier tim bré, et legali»ée».par le P-

4* Une note signée de ra»|»ii:a#iyv «M ^^t'^ leT W o m u " ^ les lieux qu elle a babiié.s depuis TA » dq q !® ic .u ii» T ^ ;

a* De» cerliflcals de m oralité délivré* p i r ie$ \à ù su lâ tn écoles auxquelles elle au ra ap p arten u su it com m êT «êre . soit comme «ous raaitres.HC. e t p a r cliaciinu des autorité» locale» p r e p i ^ à Ip s i^ e i t te o c e e t à te direc tion m o ra le .

fo u le .nspirante A qui au ra .été accordée une bourse ou portion de lH>ui>e, ou sa famille, si elio est m ineure , dev ra con trac ter Tcugagemuut de rem bourser tu p rix du sa pen­sion, pour lu cas ou ul!o ne reste rait pas dix ans dan» I Eu- seigiiemenl, et |iour le cas où . p a r sou fait, elle su rtir.iit de I école qvaui 1e tem ps proscrit.

F ait à Beauvais. le 1” m ai 1862. p o u r copie conforme .* L e Préfol de lO ise.

L'Inspecteur de l'Actidéinie, Léo? CiirvRE.vu.Collet,

CMMBiirs résiMMl M’.trniB.

AVIS ADX EXPOSA.NTS.MM. tes Exposants sont prévenus qu 'ils seron t diitpen^s

du consigner fus droit» d 'octro i aux portes de cetlu ville pour les bestiaux q u ’il» iiiiroduironl.

Il» devront justifie r de leu r ca rie d ’adm ission c l il leu r sera rem is uii pussu-dcbout.

lilule de* SlflwlwMi du S u r r p ^ u r la deuxième «wmleu de ltlS9.

MM.Cozellc {Atexandru-Chartes), ren tie r à Songeons.

laisse b o ire ,» — e t célèbre p a r te ciiàtcaii qu 'y |U rôits- tru ire llciiri 11, poursu inaitresse, Diane de Poitiers. « coni- tciisc de Brézé. •

Le luôrac jo u r , vers m idi, une jeu n e tille parais.sanl âgéo d environ seize ans, en tra it d an s lu cour du M. Delapalme.

A rrctons-nous à la considérer, pendant q u ’elle referme ta porte .avec précaution e l prom ène au to u r d ette un re-- gard tim idem ent investigateur.

Elle porte un petit bounet d e liuon, p lu t, d it à te rosette. u irt en usage dans ta Beauce, notainm enl aux environs de

Aj«u>e* à cote un cas-iquiu de .siamoise, iiiie jnppa m d ienne1T in lll8 -ra iw ret"ilK ~^R i5” g ira lîe rsrC erie$ rto * - costiim eest peu avantageux. Mais lorsque Tivil, im pressionné tou t d ’abord désagréablem ent p a r les dissonance» d e cette m ise com m une. vTeul à ab stra ire ces dohor* rustique» c l à ' ne plu» considérer quo celle q u i porto cepie m isère, quel n est pas son étonnem ent de rencon tre r, su asc ettu cuifnire iiisiguiflante, une douce figure de v i e r ^ , d e beaux yeux bleu* et d r» cheveux adm irable». L 'exam en coiitim ie ut le cusuquin laisse deviner le» bultes ligne» pure* d 'u n corsage' digne du ciseau g rec ; la ju p e d 'iiidium ie es t oubliée, poùf deux jam bes de ducbess», c l le» souliers? Ah! qu ’ot) le» ou­blie aussi fltcilement pour ne songer qu 'aux deux iielit*^ l>ieds btençs qu 'il enserren t ! De» gants du coton voilent te» main», m ais comme on en devine la 'délicatesse, à-traver»- le lis.su com m un...

■Telle est ce tte jeune flile, considérée attentivem ent : unu perte fine, dans une eiivetoppu grossière.

Ajoutons que te Jeune a rrlvon ie porte au b ra s gauche un ' panier ca rru e t tien t à te inaii).druilu un-paraplu ie du co­ton. avec I annotiii tvadiiruunut;

Médor, qui-vient du s’uvelllér.. ajaiHirçu lii jeune fllIe, e t se m et à aboyer avec uifu force qno Ton iiu lui uomiaissait' pas encore. R èttreiisénienhqu’iiue uxcellentu chaîne d e Âi* te re tien t à s a niche e t l’èiunôehu du jo ind re les voies du» fa it aux menace».(L a suite aurprochain numéro.) ■ Elucim JOURDAIN.,

i

|i

!(

Sv

Kninm eliii (Iliilicrl); n iilliva lcu r au ric^^^i^i-UeUcviMt'. , PiiHoüx (l^ u is-Jen ii'B ap listc^ p ro p riè la ire à ItoauvaiK.BiguI (l.oins>Aiig.>l‘V»ii^ois}, nutaii'c lio iio rn iic ù

en>Chaussée.Luciisi CLoui»}, eX 'phurm acien A Bcauvnis.Du Roucy (A drien), nropriétu irc e l n in lrc ù M orlincoiirl. I*r«quin (EUciiiie*Nii'olas). cuU ivolcui- A Graiiilvillcrs-nit-

B ois.P aycn (P ierre), proprii^tairc A E squeiinoy.L’E sp inello (Gainilicn*Rni'tliélcniy). vArincalcur d e l ’enre*

g islrcm eiit à Glerreont. r.hevatier (LoiiiH-Juscpli), propriéliiii-c c l m aire A Clairolx. B eauchahi (Ananiu-Aluxis). rubricaiit d e bniiiieleric à Feu*

quiôrcs.l.ero y (EugèiiÈ-Arllnir). p ro p r . c l utiU ivaleiii’ à llo la iigy . C olleaux (A iiguslc). cu lliv a le tir à r.ruuy>i'n-'i'tielle.D cbelliisy (Ilonorê-A lexandre). propr. A la Croix*Sl*Oueu. iilarchau l (C lovis-A iigiislc), iiùtiiire A Aeby.Bougon (A ristide A iigu sle), p rop iii'ia ire à Noyoïi.P e lil (Charles F rançois), r.u ltivalenr A P ierretim ds.Vatlols (Cyr*Jeaii C hrysoslùm c). propriAUdrc à llre icu il. D npnis (A niêdôeL c.n lliva len r à l\cm y .Denoyelle (3can*Bapllsle-Pa\il), p rù p n ô la ircA Mouy.Alélais (PieiTC-AnloinC'Consiiiiit), m aire A ('.ourrellcsdes*

.'GisurSi ; .VncheU e(C harlcinngno-D t'siré), nêgucian i A Crcil.B ouhiois (R éniond'A rsônc). cn ilivu tunr A S iiin t'T liiban lI.Hny (C laii(lc>LoiiiH)..propriAlalre A la V ilicneuve-I.eruy. Théron (P ierre-Jusi Mussid<n'}, prnpriéla ire A Clei'm oiil. j L avoisier (G iiU iilannit-R crnard), m U iv a tcn r A Ilunville . j D union licr (ils (Achllle>LAon). h u iss ier A Fsiréus SI-D enis. ! P alria (V irlor'C harlcm agne), eu ltivu lou r A Fontainedes* j

C ornu.De Com bunll (Archam b.anll). com te d 'A nieiiii. piM|iriiMuii e

' A Berncuil.Sallem bien (Jeun-A lcxis), rn lliv.al. c l adjoint A ('.anibronno. Piltoii (Adolphe^Xavier), p rop riéla ire A Beanvais. l.cd nu (F rançois-Joseph), cn lliv a len r à Fresneniix.Ilesoùges (I .ân rcn l-A u gn sle G ervais), propi'ièUiirc A M ôni. C hevallier (lAU iis-Slanislas), c iiilivn lon r A Orniny-Villers. A ncel (Thihuiore), r u iliv a le n r A Villeneuve.Thoma.s (C yrC onstnncicn). propriclaii'C A Hroloui!.

Jn rJ s sitiijilcntcnlaire.f.U enanll (F.liennc-Dé.sirê',, m archand boim elier A Beaiivais. Jos.sel (F ran ro is-Josep h -K d m otid ), lunîlre cliarj'cn iior A

BcunvaU.{.egrand-D esriolzeanx (A niédée-Françoi.s), propriéUiiiT à

Beanvnis.T avanx (F ranrois-E douard ,. niarcltam l de lcrs A Ite.iuvais.

C IlA N T ihlA ’. — La p rem ière jo u r iire d es cou rses fivt’e an d im anche 18 d e ce m ois verra rem |iorier le.s cin i| prix snlv.'ïtils ; déJa R cinc-B lanelus iln Gros C lièn e.d e.sE cu ries,

. d e Diane e l ü 'A prcn iou l.

— On lions ècr il à b d a te du 15 m ai :. Mardi d c in ic r , ver.s o n te b c n r c sd n m alin , un incendie

èc la ln il A Chantilly , d ans uu( i é c u r ie en p lanches apparie* hanl A Al. T om lin r s l flis, en lra în cu r . Ce s în is lre aurait inévilab icm ent |>ris d es proportions con.'iidérable.s, .si riio- norablu Al. C an vtt, e n c c m o m o n i au m ilieu de se s ouvriers, i i ’rùl élA averti p ar une l'oric o d eu r d e bois brû lé . Il n'en e û l pas p lus lût découvert la ca u se , qu'à l ’instan l m êm e il organ isa d es secou rs en ap p elan l s e s ou vriers A la, ma* n œ u v r c e l A ralimcuDiJiiQH de sa pom pe. L'eau de son ré­servo ir . heurensem èttl aiU ié A p roxim ité du feu , rondil le p lu s grand serv ice .

* P cndanl ce lte prem ière e l v igoureuse n llaqno, ta g é ­néra le se fa isail en len d rc d ans la v ille , et les s;i|>eurs-pom*

fners, avec cet é lan c l ce zè le In lelligcn l q u e tout le m oi.d c cor con n aît, .se rend irent nu pas d e cou rse .sur le ihéA ire

d e l'incendie. Jo ignant a lors leu rs courageux e lfor ls A re.iix d es ouvriers d e la n ia lu re , don t la con d u ilc a é té d igne d'éloges, ils ne lardèrent pas A se rendre m aiires du feu, qui déjA m enaçait sér icu sem cu l la m aison voi.âne.

» Ô: n'est p as la prem ière fois q u e nous avons occasion d e sign a ler A ra ifen iio n pub lique la b e lle e l g én éreu se rnn* d u ile 'd e n o ire com pagnie dans tes j o u is d e d.nigcr.s c l de sacr^flces.

•• Des tém oign ages p articu liers de reconnaissance lu i oui a u ssi é té adre.ssés p lusieurs fols déjà . Je n ’cn veux c ilcr qu'un. A la s iiife d e f in c c n d ie q u i. â ir m o is d e d écem bre d ern ier , avait d évoré une partie d e m aison app arle iian l au D om aine, Al. Alac ('.ail. ad in in istra lcn r . cu vora il A l'osii* m able lieulenniH -des pom|>iers u n e som m e de cen t francs

' pour être versée d an s Lv ca isse de la com pagnie, c l lui adressa it en m êm e tem ps les rem erc ic in en is les plus cha* leurcnx et les p lus nalteui-s pour lu zè le ronurquntilc dont e lle avait fait preuve ru ce lle r irron slau re.

• Cet h om m age é ta it b ien m é r ilê ; Il fait ru m êm e tem ps l'é loge d e rhonoruble ad m iu islra tcn r qui a si b ien su r e ­con n a ître 1rs serv ice s rendus, r l ce lu i d es hom m es n io . d e s le s p leins d e rcspeci pour l'ordre et la <lisciplino, et cou rageusem ent d évou és à la cunservalion des propriétés et A la sécu rité pub liq u e. - Vu (ibiiuiiv. -

CREIL. — La fê le d e Crrit. qui peut p asser pour une de.s p lus bclics c l d es plus fréquentér.s du dépai lem cnl, aura lieu les d im a n ch e , lundi c l m ard i de la l ’en lecù le .

LA CiiAPELLE*EN*SËRVAL. ~ Le K m a i. vers huit lio iires du malin.- lé s ie u r A lexandre Pasqu ier, m açon, éta it occu p é à travailler nu fond d ’un [u iils. Il allait s e m ettre à réparer la m u ra ille , qu an d tout*A*conp la m arne su r la ­q u elle ce lle m nraillu reposait se rapprocha du lu i et lui serra forlcm cnt le s jam b es. Deux p ierres a ssez lîirgrs lui couvrirent la tê te , sa n s cependant l 'a ile in d r u .- l’ii instant a p rès, la m u ra ille s'écrou la su r lu i. Do prom pts secours lu i R trcnt au ssilô l p rod igu és; to u te fo is ce nr fu i qu'au bon i d e deux heu res qu'on parvint ù le tir er de l'espèce de cage o ù ilé tà itren ferm é . 11 eu fui q u ille h eureusem ent pour quel* q u es contusions e t d e légères écorch u res.

iLlANCOFRT. — U ne sou scrip tion vient d 'être ouverte A Ifiiahcourl pour le renouvellem ent d e s in sirn m en is de la n iu s iq u c 'd e C e'bourg . Al. le b aron d e PInncy, député l'arion d issorn cn t, a b ien voulu y p articip er pour une som m e 4 e m J r .

l ü R J l I V D C O iV C O U R NDE

ft^OlES D'HtBIOillE ET SE FAHFABES•W /Ei|r*«01ITATAllE I AR L’AUtOStît MÜIIICIPALE

£ T D B fiA M S Ë .PAH LÀ .■FANFARE DES FORGES J to IHwMWir tK i f«* ! « • « .

pBze heures du' matin, réunion et réceplinn de tous les Corps de Musique au passage à niveau duéhemiD de fer de Creil à Dcaiivais,

l e Concours aura lieu dans le Parc du C/iàfeau d e J f . le baron de Condè.

PM&RAMMEn M N I liM il« E l us SOCIÉTÉS B£VBO\t COÜCêtRU'.

P À r i . r s . . Chef d e m usique d o la G arde du P a lis . RIEDEL. . . C hef d e m usique d e la G eûdarm cric

d e la (iard c .La r A i r r A M x m t o b o b s n e prend poin t part nu

C on cou rs, m a is e lle eu fait l'ou vcrin rc par la Fnnlaisip In tiln léo : L a liéncdicH ott d e s V o ù jn m ls des U u g im o U (AlEVERUEcn) .................... (;iicf : ( î.-J . !10FF.tt.ANN.

l'nnD*»*.**!». — -A* lllv ls io n .M édaille de Verm eil,

ni. id. iil.

Alédaillc d 'A rgeiil.iil. iil. id .

i " PRIX.‘i* —5' —J . _ rr PRIX, ü' —7* —8 ' —

I' LA NEUVILLE-EK'HEZ (M E xéeu l.). C h ef; P A L tjllE T .L a l 'Iv itr d e s HcIIcs, Slarelic. . C.mitazau.

*J' J0UV*S0US-THELLE(1-1 E xéen la iils) C h ef: LEltULN.La /V*<-.<ere<'ttH5rt, .Marche . . . E. Mauik.

5* OERNEUIL (I l E xécnta lils) . . . . (d \ef : I.FCGYER. . Lu Pr«CD5«(ou. Fantaisie pashi*

raie Arm'nv do Roi:i.li;v. G iief: M.VG.MER.E. Marie.C h ef. E. PAIIQUET.C.OUTCRIER.Clicl : .\.»KVII.LE.llLVaCtlETR.An. Chef:CllARPIv.NÏIER E. .M.arie.( lie f : RIZET.t-'OUTL-niER.C h ef: BARON.Baiio.n.C h ef; Cn. JÉRÔME. E. Marie.Chef : LAUn fE . Gui.uiiai..C hef : LEREL.

-P 0RANDVILLIEns(2'iE.\éciK.inlS).D ia n e d e V o i l i e r s , Fantaisie .

5' HAUOIVILIERS (18 Exécutants) .t'/n /iw et WoJCj, V alse. . . .

Il* berthecourt{IG Exéeulant.s) .V iv i la i s i c m i l i l i t i r e ...........................

7* BURY (18 E x é c u la n is ) ....................Dôm e de V o i l i e r s , F a n la is ie . .

8' verBERIE i23 E xécu lan is) . . . .F o i i l n is ie d u U iO e iu o u lu is . . .

0' AHCY (18 E xéciit.in is) .................M a r c h e ......................................................

10 L’ISLI-AOAII (2ti E xécu lan is). . .I l i i i n e d e V o i l i e r s , F a a l.i is ie . .

11' SENLIS (*i'i E xécu lan is)....................L 'À i i s v i la in e , M a r c h e .................

12* S'*WAAST*LES*ll£LLO ('21 E xécut.).Les E c h o s d u D o is d e S " -A u iw .

!-■>' RIOUY (20 E x é c u la n is ) ....................GeHère, F a n t a is ie .........................

l i ' ATTtCHY (10 E x é c u ta n t s ................A iid a a /e .............................................

LV LE MEUX (18 E x écu la n is )..................1<V v tu ic s u r te s i iw l i f s d e h t

M o r i n a ................................ Alir.mK.A l i t r a i t a i i i r . — B A ii îM io n H | i é c i n l e . '>

I" PRIX. M édaille d'Or.2* PRIX. .Médaille de Vermeil.

1' CJBES-LES-MELLO ('27 E xéeiita iils).. C hef: PO T R IO IE T ., J - M o sa ïq u e d e D on J u a n . . . . lhaiii.2 ” Z i i i r d e . \ c l l i i .................Itossi.xi— ■

2' NEUILLY-EH-THELLE (19 Exécutants) Chef : I.ANGLOIS.1“ L e s S ir è n e s , O iiverlurc . . . E. AIarik.2* I n lr o d i ic l io n e l V r iè r e d e J « -

se fili d e M ê h u I ........... lh.A'ciiKTi;Ai’.ô ' aEAÜBO«T-SUR*OISE (Ô3 Exécut ) . C hef: POlItE'l’.

1- D n r c a r o U e ............................GfiRT.XKR.2* C r a n d M r v a r i é .............. J . C lk .m lx t.

F a i t f H r e M . — 3 ' C l l t i i « j o i i . i" PRIX M édaille d'Or.2* — — de Verm eil.5 ' — — id. ~ — id.5' PRIX. M édaille d'ArgcnI.

C hef: BARON. GtiRT.xrn.C hef: D IFA II. WlLI.IAMXr.C hef: LEtd.ÈRE.

. C h ef: DOLILA.NGER. E. .Mahik.

. Mnxcra..

. BLAXtaiKTKAU.

. C lief : TJSSKRA.M). .Mktra.

. Ai-rkrv ut' Rdixlkv.

. ZléGLKR., C hef: FAUQEET.

Rlaxcuetsau.

MMMcaiW ca 4 a Sm rj.

C O l^ E R C h erd ’b rcl^ eslradu G ym nnsc. flAUVEANE. P rofesseur a u Conservâioirc im péria l

d o m usique.OUFRÈNE . C hef d ’orcb estrc d es bals d e la Cour.

8* — —-l^B A lA euv 'M E.xéeiil.Tiils) . .

L e s .S'û-eHei-, O uverture.2 ‘ t 'a n ln iiie su r la . \o n n a . . . BLAXCiiETEAii.

2* auneuil (18 E xéctitunis}................ L huf: LEM AlllE.h S ans V rc lc n lio n ,O u \e rW u u . E. Marie.2* A r l s e l V a lric , FanCiisie . . Bcrgmaîï.x.

5* $AiNTE*8ENEViÉVE(*il Exocuiatil.s) C hef; JE.MEL.1" F a n la is ie .....................................E . .Marir.2 ' T 'E n s o u r ie n s - lu , M r x n n é . CotTtWKii.

P LA BOiSSiERC (13 E xéculanis) . . C h ef: RURDIER.1“ rf«/.<e................................. ...2" F a n la is ie ............................

3' BORNEL (28 Exécutants) . . .I" I l T ru ia lo re , F a n la is ie .2- L a C o rm ie d e M onlerinos,

M arche .........................Vié.C* BÉTHISV*SAtNT*PiERRE(1 3 Exécut:} C hef: BRAILl.ON.

1' L u /'d ix . O üverlure . . . . E. .Marie.1 * L a F cle -lH eu . Marche . . . .Martin uk i.a MoutrE.

7' LUZARCHES (13 E xécu lan is) . . . Chef : G A llt ' l .1' M osaïque su r U a ijd é e ................ ItfiEK.2* L es D am es Caiiilaiucs, Fan-

l.-t is ic ............................. ItéeEii.8' VILIERS-S-*SÉPULCBE (13 Ex«-Clil., Chef : llACL'É.

L L e t ’hevalier-E rranI, i ) u \e vtu rc...................................... .

2 - Fliunicur a u x Trom bonesF iin ta is ie .............................

9' CREIL ('22 E x é c u la n is ) ....................l* O lhello , M arche.....................2" L e Ite lo iir d es Lagunes, Ra r*

c a r o i lu .....................................R tor.Ih' LA BOSSE (13 Exécutants) . . . . Chef : KE.NOD.

1" F an la is ie s u r les m o lifs d e •lUvhard C œ ur de L io n . . E. M arie.

2 ' O lhello, F a n la is ie .....................B lanciiéteau .i l ' VALOAMPIERRE ( U E xécutants . . C hef: PJGACliE>.

1* A'durcnn-fduCa'iii'.Fanlaisie Auukry nu IIuullev.2* iur/o'.V orm n . . . E. Marie.

12' BELLOY (17 E x é c u ta n ts ) .................C hef: SARAZIN.l ' 6'üii.î/V i7ch/ joii, (Ju \er lu rc . E. Marie.2* d r /r et Patrm. Fantaistu . . Buromanx.

15' S'-LEU*&’ESSERENT(l8Exécnlants) C h ef: BARBIER.P F a i\ la is tc .................................... C outurier.2 “ M a r c h e .........................................Couturier.

l i* HERMES (18 E x é c u la n is ) .................Chef : TR U PTIL.1* L e s E chos des D ires d e l'E u ro Auuéhy du B ou llky .2° F a n la is ie m i l i l a i r c .................J. B lanc.

15’ pERSAN*BEAUHûHT{21Exécutanls) C h er:G O R lN ,1 ’ L e s V isions' d u Clmleau mijs-

lé r ic u T , Syinphm iie. . .' . Aurérv uu B oullky .2" L a G racieuse E spagnole, Bo-

lé r u ................................ . . . . ZiÉcLER.16' MiRU ( ^ E x écu la n is )'.....................Chef rP IC IlE R IE .

1* L a B elle A rlcsiea n c , Cuver*turc. . . . . . . ' Coxstast.

2 ' L 'd jm ut m u itca i, Air varié . E. ^Iabib.D iv ii i is iB ■ • • p é r i f f t ir e ,

HUSIQUE DE LA 6AR0E NATMRALE DE CLERHONT(50 E x é c u ta n ts ) .................... Chcf:PEM ODY

1* F a n ta is ie su r la p a r t d u D iable-. . . Auber,2* A ir ta r ii ' su r le Carnaval d e V en ise .

F B i x S H O ir n s D B . M édaille d 'O r.( 1" PRIX. M édaille d'Or.

F B i x s s BDZ.I : < 2' — — d e Verm eil.( 3- — — id.

MORCEAU I>'ESSEMBI.E E xécu té par tou s les Corps d e M usique réu n is sou s la dircc*

lio n do M. HOFFMANN, ch e f d e la FAsrAiiE uk.s Funr.c.s L e Zouave vengeur. Pas redoublé. . M iciikl BiéGKR.

I l i s é r S I k u l i o u d e s P r i x .I.CS M édailles so n t oiforles par S . M. l'E m pereur, M. le

b aron d e C ondé. le Conseil m unicipal, rA dininibli a liun des Forges c l lo t H abitants d e la cunununu

PONTPOINT. — Le déparicm oiil d e FOise n é lé digno* m ent représenté à l'exPosilldn lu tcrn u llo iia lc d es voIollIrB français c l é lrangei-s qu i n eu liou récem m ent an jardin zoologique du Bois d e D ootogue. Un d e nos éleveurs, .M. Mnupas d e Mnrii (com m une d e Poutpuiut). a exposé p lus do tren te lo is d e sc s m agniRquca an im au x du basHo-caqr, cl a obtenu tro is m éd a illes d ’a rgen t, u n o ip éd u illo de bronze c l nue m cn lio ii houuralde-

N ous so m m es heureu x 'd 'çn rêg islrer le nouveau Buçcès obum u par M. M aupas, d 'au lros tr iom p h es, é llen ^ cn l en^ corc ce t hnbüo agricu lteur, qu i h rendu do graniffu Stu'vlccs d ans sa con trée , en a cc lim a lan l les ra ces i^ rfcc lion n éu s d 'an im aux d e basse-cour et en donnant u n e grande èxlen- siou à la cu ltu re fourragère. A . Ju tlia rd .

POiN'r-SAINTË-MAXENCË. — l.c 12 m a i, vers cinq h eu ­res du so ir , un accident qu i pouvait avo ir d es su ites fu ­n estes osl arrivé eu am niil du pont d e l'O ise, eu f.tre le port d 'em barquem ent, à Pont-Saiutc-M axuuce. Voici ce qui s'est passé :

Le s ieu r Louis (Charlrs A m b ro isc );a n b erg is le . dcm ou- ran l à S arrau , cau lon du L iaiicourt, su iv a it lu c liem iu de halago «ver. sa vo ilu re a tte lée d 'nii o h eva l.-e t ilA nslaquçlh• ii é l.iil m unlé avec sc s d eu x p e lils garçon s, àgé.s, l'uti de quatre an.s, l'autre d e sept.. II venait d e rh erch er à la ville plusieiii*s sa cs d 'avoine. A rr ivéà l 'e s lr é in ilé d u q u a i, il S’ar­rêta pour u llen d re sa fem m e, qu i éta it à lh m l e l qui dev.-rli le rejoim lre cn col en d ro ii. Au boni d e q u cim ics lu iu u lcs, il voulut rem elire son elieVal en m arche. Lnuim 'al, so it q u ’il cû l p eur ou qu'il fiit un peu ré lif , recu la brusqucim uif vers la b erge : vo ilure, chêv.il, hom m e, -en fants, tout fut précip ité dans l'Oise.

Par un hasard p rovid en lic l, Louis put so r lir de l ’eau c l appeler au secou rs; car, à dem i-évanou i, il lui^élait im p os­sib le de sauver se s en fan ls. Le sieu r M'assy (Jhles), âgé de. 5-i ans. né à Coudé (N ord), m arin ier â bord du tié M U 'a leu r , eu .ilation dan.s le port, eu len d il s e s cr is; il arriva en toute lià le dans sa barque, se précip ita réso lum ent tout h ab illé d a n s l'eau, c l parvint, ap rès bien d es é tro its, à ram ener su r le rivage tes deux enfanls.- dont l’a în é p araissa it déjà asphyxié. Les deux petits garçon s ftirenl portés im m éd ia - Icmc'ni d .m s une m aison voisine o ù . en l i s réchautTaiit, on les tappula à la vie. Ensuite on relira du l'unu le cheval cl la voilu i'e; ils n 'étaient end om m agés ni l'nu ni l'autre.

t.e sauvetage a i ail é té d 'au la iil plus d in ic ilc qu'il y a p ins d e quatre m èircs d'éau en cet en d ro it. Sans l'arrivéu du sieu r Massy, les deux enfan ls auraient assu rém en t p ér i; ils dcnvent leu r sa lu t nu courageux dévou em en t, à l'énergie et au sa n g lr o id du bravo m arin ier , dont la con d u ite m érilc d 'être sign a lée à l’au tor ité supériunru. On com prend qu'il iiil reçu les l'éiicitalionÿ d e la fou ie , accou ru e su r le lieu de l’a ccid cn i.

IJuanI au sieui' L ou is, il en fut q u ille pour la p eu r, el d eu x heures a p rès, il regagnait so n dom ic ile avec sa f.i- m ille , en core im pressionnée du m alh eu r don t e lle avait failli être v ictim e.

SENLIS. — M. r a r o n , v iid o n islc , 1" p rix du Conserva to ire . donnera m .ird i 20 m ai, à 8 h eu res d u s o ir , au th é à lic P alin ier , un grand concert vocal e l in slru iiien la l.

Le théâtre P olonais continue avec su ercs le coiii's d e se s riqiresenirtiions. Chaque so ir un nom breux pub lie applaudit ce i-h.irmanl sper.larie, qui doit rester ju sq u 'au diiiM iirhc 2 5 m ai. Avis aux am ateu rs.

— Le dépôt du 6 ' lanciers, a r r iv é -d e p n is peu cn notre v ille , avait reçu l'ordre de se rendre a Joigny (Yonne), où il é ta it a lteii.ln le 2 0 . Déjà la com p agn ie hor.s rang éta it partie , les iiagages préparés c i em b a ilcs. ip ia iid . le 12, d ans l'après-m id i, un nouvel ordre est arrivé, q u i m ainlunnit les d eu x esca iirons à Sen lis. Il va san s d ire q u e la jo ie fu t gé nérale , e l la gai-nison a m anife.sié la sien n e-en illum inant, d an s la so irée , les doux casern es q u ’e l l t urctipc.

VERNEt'ii>. — Un bonhom m e do ce v illage qui é ln il a llé s e p rom ener, m ardi t> du eu u ron l, à la fo ire do S en lis. s'a- p erçn l, (en m elia n i la m ain à la poche u ou r y prendre sa buiir.<e. alin d e payer son d în er , q u e. hcla.s! c lic avail d is- (laru. Il parait rpic ru bon p .iysan, qu i est un de.seondant du N u sirad aim is. pendant tout le tem ps q u ’a d u ré sa p ro ­m en ad e. a é té occupé à lire d ans le prem ier q tiarlier d e la lune, s i n o u s aurions p lu ie on beau Icnip.s.

— D em ain D im anche, fê le palronalc . G rand bal son s u n e len te élég.iinm ent d écorée c l é c la irée à giorno, ü f* c iic s lrc conduit pai- .M. L auren l.

deiHCiiranl à Vez, so itl p réven u s d 'avoir ch a ssé aux boU rses e t ntl fùret en tem ps proh ibé. l ,e s in cu lp és prê len d eiil q u ’ils son t pourvus d'atilorlsalionB d é liv rées par le s liroprié* luii'es, e l ce la peut ê tre e l e s t m êm e vra i. D’ab ord , ils avaient ces n u tor isa lion s v erb ales, m a is ayant é té in q u iétés par la g en d arm erie . Ils s e so n i full d é liv rer c e s m êm es a u ­torisations par éc r il. Le brigad ier d e gen d arm erie do tà’é |iy , in form é d u fait im p u ié «ux p réven u s, s 'é la iil rendu à Vez près d 'eu x , le s Ireuva occuj)« i d a n s le b o is A le iid re leurs bourses et .A in trod u ire le furet d a n s le s terriers. Ces h ç m m is nvairnl -avec e u x d çs ch ien s, i ls n e son t n i pro* priébaires, ni ferm iers, n i d é lcn ieu rg , Ils n ’o n t pgs d'auto* risation ém a n ée d e la p réloclu ro , c l to u lcs ces'c irconstances réun ies et m êm es,p r ises iso lÿm en t paralysent-la perm ission qu 'ils prélnndunt a v é lé reçu e. I.e tr ibunal condam ne Cia* baux père ut (U s-em ohacuii 5 0 fr . d ’am en d e e l to u s d eu x su lid iin c iiicn t.a u x frais-

- V irginie C horon, â g ée d e 2 5 a n s . fem m e d e E uchère C rétel, m anonvricru , d em eu ran t A C nlpv, est prévenue de su u slrac lio ii d'un m ou eb oir d it fo u la rd ; e lle a fa it l’aveu d e c e lle fau te an m om ent o ù on a rech erch é l'au leu r du .v o U l qn'uRe^'rst^vuaiti i d ftil aM e«eM t MaMMçiiMMée:et>accu* sé e ; aujourd'hui e lle J u g e 'd o n c in u tile d e s e p résen ter àl'anditMice pour renou veler e n pu b lie c e s av eu x , q u ’e lle ne peut pins uonvRi'lir e n d é n te a llo u s . Le Iribunat e s t d t^ e certain d e ne point fa ire u n e fau sse app lication d e la lo i e trontlm nno la fem m e O iérCt en un m o is d e p r isp n e t auxdépens. Il eû t q ieut«être 'é ( é p lu s a v a n l^ e u x p ou r cette fem m e de s e présenter à V aitd ience a u Heu d e s e fa lée c o n ­dam ner par d éfu n t; m ais e n ce la , c lia cu û a sa m a n iè r e d evoir tes c h o s e s . .

^ Fr<i|>çe>ArPh|lippe L egen , â gé d e 6 5 a n s , btUoheron, et son-flls, Jran -B ap ilisterl^ llip p e lo igcn , â g é d e 3 6 a n s , inar* çhuiid d e b o ls , tou s d e u x d em eu ran l â C oyc, son t prévenus d 'avo ir;u d ressé d e s itùures-à H . le m a ire d e la com m u n e, et pourtant eem a g jslrA l lu i-m êm o e s l é to n n é d ’u ne pareille sortie d e lu part d e d eu x ad m in istrés su r lesq u els ja m a is il ne lui e s t parvenu .iiicu n e p la in te et d o n t la Condüile a tou* juin s ju sq u 'a lors é lu Irréprocliab ie . La d ép osition biedvcil* la n le d c M. le m aire .a lle iiu c s in gu lièrem en t lés Ibrlb d es prévenus, inHis n c.'lcs.fn il' p as d isp ara îlre ;e iiiiè éem en l,-e l le tribunal cutiîiam ne l.eg en père eu 2 5 fr . d ’am en d e. Legen fils e n 5 0 fr . d e 1» m êm e p e in e , e l con d am n e les d eu x pré* vem i.4so lid u irem eiit-aux fra is .

. La Cour im p éria le d 'A m iens, çh iim bre do.-i ap p els d e pp- lice eorrec liu m ic llc , d a n s son à iid ibnce d u 8 m ai 186 2 , ,i in lirm é lu ju gem en t du Irib iinal correction n el d e Sentis.du 9 avril 1 8 6 2 , qu i avait ren v o y é d e s pou rsu ites d irigées contre eu x , p ou r ex c ita tio n A lu .débauche : 1? Niço|as*)idot* plie Sim onnut, em p lo y é 'd è .b u reâ u . d em puratil à C pm bles; 2 ’ e t Hippulyte K oyer, c h e f d 'u n e malltùii d e lo iérn iiçç , de- m éiiran l A S e n tis , e t e lle le s A cptidam nés ch a çd d pn 16 francs d 'am en d e.

Dans son a tid lèn ce d u 9. m a i f 8 |^ , la Cour a con firm é îc ju gcm en l du tribunal cor tèc llo n n é l d e S en lis . d u .2 6 inan; dern ier, qu i a renvoyé d e s p o u rsu ites dlri8<^ès co n tre hii pour ch asse en tem p s p roh ib é ,'Ju les B ou i^ eo is , preipriè- lo ire , d em eu ran t à V incuil.

S ia ln a u l:su r l’appel iu ler je lé par N ico las F rançq is, d'is- illa téu r , d em eu ra n t,â . P a r » , r u e -d u C ard inab i^raoine. * 7 , d 'u n jîig e m c iil 'd u jr ib u n a ic o r r e c lip n p e l d o S ç n lisd u

2 avril d ern ier , qui rà v a il con d am n é, pour.fatsificpUnii do su b sta iice .s-a lim en ta ires , â h u it Jours d'em m bM innèm enl. üO fr. d'«mund>>, av a it o rd on n é en o u tr e l'am che-du jugc- m cnt e l son insertion d a n s le s d eu x ju tirnaux d e 8 en lis , h cou r a Inlirm é led it ju g cm en l e t ren voyé le p rév en u 'd es tins d e la p la in te , sa n s d ép en s.

S ln tn an l su r l'appel in terje té p ar Josçph-A lfréd Faronx, d istilla teu r , d en ie iira u l.â S en tis, d ’u n jU gem opt d u tribu­nal correction n el d e S e n lis , d u -2 6 m a rs d ern ier , .qui Ça condam né p ou r falsiQ calioti d e liq u id es. A h u it jo u r s drem- prisonnem cntt 50 fr d ’am en d e , a ord on n é: l ’a llic lie d u ju - geincnt e t son Insertion d a n s k s d eu x ju iiruaux d e Senlis, la Cour a in flrm éiled it ju gem en t d a n s lu d isposition qui condam ne Faruux à l'em p rison n em en l c ico n ftrm é le j u ^ - in cn t.q iiu n l uu su rp lu s.

c o È ' t ' e c l i o t m e f f i f t f c S e i t f i a .

PiiKsinrxcK i)!: M. Vatin.

A ud ience du m ercred i l- i '.Vwi 18G2.

Prospcr B.iiun, d-' 4 ! an s, rharn-lio i', dctnuuranl à S entis, cs l on tiç peut p lu s dou x , d it-o n , <]iianil il est ré- cRut, m ais il d oviciil m auvais quatnl il e st ivre ot m ôm e qu.ind il e s l ce qu'on n |)|ictle en tre «leux vins; j | est rare q u'il ne fasse pas d es so liiso s e l qu'il n'ail pas à i-églçruvec la ju stice . i |iii finira p;ir é lru co iilra in lu d e prendre d çs ine- su res d étin ilives |>i>ur assu i’or 11 Iran q u illiié puldiqiie. Blpn d es fois ib'jà il a uron iis de ne p lus b n irè .,b le iî .iies fuis au ssi le ti'ibnnal s esl n ion irê iu tlu lgeiit; m ais nqssiJôl-qii’il est q u ille avec in poiie.e, il se cr'oil dd iis rob ligutlo ii, de contracivr d e nnuvolies d ettes , e i; p ou r ce là , il n'a .que quelqui‘.s b n iile illc s .d e vin bleu à absoi-hér. Le. 6 i k .Çc. m ois, après que|i]iie.s lib a tion s su p p lém en ta ires .'il faisait tapage, et la gendiirm ci'le s'esl p réscu léè po'iir {e cajinepè m ais B.ilon s'esl cou ch é par lc r ie , a rué «les p ieds ut de.s poings, vim iféré, n rraclié , u l il a fallu p lusieurs' p érsoim es requises pour le con len ir ; les Injures s'érliappcnl do sa bouche c o m m e ,l'e a u d 'une fim laine, à l'adrês.sc de loqs. reu x q n i.se préscn ien l. Le irilm nal éco u le encore lès jiru- m esses de rot iucom niodo p er lu rb a le iir et l ’indulgeiice, accourt c e lle fois encore à son a id e ; il est cô iid a iim é eu un m ois de prison c i aux d ép en s. Mais qu'il preniig garde,, co r nous {Kuisens q u'il a d é lin itivem cn l ép u isé su rç§suqrçc' o rd in a iie .

— Joseph D encve. âgé d e 41 ans, la illo u rd 'h a b ils ; Jules* Isidore lle iir le u r , âgé d e 2 3 an s. e t P ierre A uloy, du m êm e âgo, CM d eu x d ern iers ou vriers de fabriclue. lon s-lro is db- incuranl à M oola la ire . nssisUiienl le 2 9 avril A- In -noce d'un de leurs cam arades. On éta it venu à G ixil se divci tir . c l , selon la quast-cou liim e, ce d ivertissem en t nva il dégén éré e n quere lle , pu is en rixe. Q uelques Invités von*

-la ien i, si»us u n -p ré lu x to -fr iv o le , s e m esu rer ; ehaciio pre mut f.iit et ca u sé san s savo ir trop à quel litre n i pour quel m otif, lorsque to gar<lc-cham |)être se présenta ul invila ées liH dnilenls A s e retirer , pu isqu’ilB a v a le iil consom m é plus q u e là su ftlsa iice; m ais les têtes êchaufTécs tic d én iord cn l pas fucilem cnl. aus.si, d ans la m êlée , le gnrde'-fu i-il ,ai(sez gravom i’ul m ollrn ilé . I.e.s tro is prévenus ussurenl q u e leu r in len iio ii cL iit.seu lom cn l d ’cm p êiilicrq u ’on n o'se ciillmlAl;

.p cu l-êlrc ê ln il-rc le iii-v ér ita b le inolif, m ais leu r p o s it io n - 'm onia le h s c .\a llu it. c l , nu lien do ré ia b lir jccn lin o et la

Ca ix , ils cau sa ien t troub le e l scan d a le; furieux de çe q u e {'garde rlia tn p êln ', selon «mix. no concevait pas leur b u t,

ils riujui ièrcn l, tu in a llra ilèrrn l, san s penser A co qti'ils fa isa ien t, pnlsipi'aynnt arrach é , dès le (n'incipc, la canne,

-dudit gard e , ils im aginent o | assurent encore aujourd’h u i q u ’ils onl leçn d es coups d e l>âloii p eur ton te in lrrvcolio ii.' Le (riliunal. '.'iprè.s avoir p esé les lo r is «le rhar.nn d es p r é ­venus l'I 6 \ é leur pai l, condam ne A uloy en 10 jou rs do prison , D enève en 8 jours e l H curicur eu C jours, e t k-g condam ne loii.s trois so lid a irem en l aux d ép en s.

— L ouis-V ietor-François G labniix, âgé de 5 3 .ans, c \ sou (ils , Ctémcnt-l-'raiiçois c ia b a iix , âgé de 2 5 a ns, iiianouvijcrs,!

r A I T S D I V E R S .

— On «ait q u e l'E m pereur d es Franr.ais s'occu p e d'une h isto ire d o la v ie e l p ar licu lièçe iiiep l d e s cam pagnes de César, e l q il’il a eu bcsolD p o u r cela d ’u u c |>crsonno qu i f|B nai fa ilem en t a u coU ranl « e s an tiq u ité s rom aines d é s con* irées rh én an es su r lesq u e lle s c e s eam p agn ès.se so n t éten­d u es. M. d e O ïliau se ii. n in jor d u g é u ir p ru ssien , allachû jusqu'ici â la co iu m isslôn m ilita ire d e la D iète germ anique, vien i d 'être autorisé à s e ren d re i P ar is A c e t e ffe l.

— N ous Irouvons d a n s u n e R evue a g r ico le les sa g es con­se ils su iv a n ts su r la n p u rr ilu re d es.b rstia u x :

« B ie iilô l v n c e r o m e iic e r p o u r le a r J ie v a Ù x le rég im e <|d vert, xi 'n^parateur p o u r .la p lu p a rt, e t cep en d an t s i funeste â q u elq u es-u n s, p a r s a l le d e lu t t^ l ig e n c e d e beaucoup de cu ltivn leu rs.

• ijes p réca iilion s à p ren d re so n t poU rlân l b ien s im p le , elles consislepil ;- -•. l ” A m én ager u n e Iran sacllon en tr e l ’usage du . four­rage se c e t ce lu i d e l'h erb e n o u v elle , a m en an i a in si gra-

.d iie llem en t p ar le m élan ge d e l ’un e i d e l’a u tre , pcndaal q u elques jo u r s , les au ln ia u x A se n ou rr ir ei^cluslvemcQl et sa n s d a n g er d u v er t; on év ite d e la so r te ’ d rS in d ig è s lié iù . sn ile lm p fréq u en te d e l ’a v id ité q u e m anifea len l ton s les h erb ivores p o u r c e nou veau r ^ im e , e l l'on sa it combien sonI red ou tab les le s in d igestion s p o u r les ch evau x qai, com m e Ions les suljjtbdeü; aoht en ra ison d es dispositions anatom iq u es d e leu r e stq q ia c , p r ivés d e la facu llé de vom ir;

• 2* A ne conduire les bêles à la p â tu re qu’alors que cclle-vi n 'est plus im p r t^ é è d e roaée pu de pluie : c a r per­sonne n 'ignore aiijoUAxjBiibqtiedeâ féHrrages verts, e t sur­tou t te Irède, occasionnent tfans m s cènditions d 'hum idili des méléoriSAtion.s rap idem ent m ortelles. »

- -•G 'c s l jo u d i8 in a tq u 'a -Q o m n ien cé l’ai(B>irc des-com po­s iteu rs iypograithes,;d cvan l. la 6* ch am b re d e la police cor* rc ijio n n elle -'L ettce in te .d u trib u n a l é ta it rem pllede,boM O hcure-par li»! à n iis /e l . le a p a r c n ts .d e a p réven u s, d o n t.

. terrogato lre,- a in si auç; I’«uditioli. d e s iép lo in s . e- uccope touie.L'ai|dleD(»,=l,eAixinples*raiidaMtt<F v w ap p é fb if^ i

•les jourôpui^ tad iç ia iiY s.' v o u s fero iil e o ip p i^ d r o . 9 p o ^ le la le n u v è o l e q u e lp lw ie u n d espr,év9ftpiion l su: p r ^ ^ leurA H ènae, l,M avoentsiq«onl9selM A effi auiitionuent q u i l « st'in ço n tésla b le aujoiurdllm i que» .daos la profeseipjt d e .lip p g r jip h e , ô ii di»il,*ftmplec d œ hommesdu plus g ra n d ,m^H9*, . -

V endred i, o n n o a ie i id a i le m in islére. p u b lie dans ^ réq u is ilio n st m a in ie a a ù t la déli.t d e cooHUou La défense, a été p réw n léq p a r .H » A rm an d M ôvy.-T roipp révw ux-on | é té ren voyés ao ila p U in U ^ c« « on l R r . lU iit |i ie r . e l P a ro i; lee q u atre a u tres , D ebocn, O elaqretix ,. Gi-osley.

^ m i é . r o c o u p u a c o u p a b l e o d u - , d é l i t d ç ; ç o « l j | i o n > o i i i e ierond.Tmués';AdiKjottrsdîempHsonnèmenl,A 16 francs d a*

. niende et ap x frai» dp. procès.

— Ou iiL<dpp8 le /o u m o l à o S a in l‘Q»l»HM. .« V endredi 8 m a i,.e n vertu d 'nn.inBBdal i ,i

corn é , par. M, le-.juge d 'iim lrqcllon ■d^ tribunal d e - Q uentin , a eu f ie ii jdai}S-)P9 lr ç v ille l^ r w U l i o n do sa rp e ifcn n o dpns la .m atsp n d 'a rrêt. d ç .M . M ,- . , ®»!, iru n c m nisoii d e b an q u e d ’iin e v ille vè is in o . •.

* C elte arrestation , fa ite su r la p la in te d u n goram

S â . l s r ' ^ '* " ■" p'™"=-d-Uniô:

^igiialiircs;, . . ' K «*| M w lc 9 f l i ie ,n 9 t t s p o i iv o n s d ir e d c c ô n o arrcsla -

lion« m aiiile iih c e iieora A ( lie u r c où n ou s é c r iv e n t , en m eii- lion n a»! qu 'tm e aiiRpeiMfoii d e pAiement d ’un e m aison d e nolr^ .v ille dun l.4a;|p p^liiliié é la ll le com m erce d e s su cres, e la it ven u e , a ju iiler qùefqtios jo u rs h iip aravan i, aux préoc- eiip a lio n s.d e n p lié p lade cd fom éroiaie. >

l^ ^ te m p s , les prérets se pinigncnl auprès de H® fâcheux où se trouve

ré d u it 1 aH IhéAiral dans lès déparlem eiiis.je t ils réclà* m ent au nèin-des pfipulallons que le goiivernemeut vienne reniedior u lo la l-.d e choses aciitel. On a ssu re qu ’un projet nouveau, .destiné 4 réglem enter rexplollaiioii des ihèAlros

.dons les ;pi;uvi|icj^,.èti.t 4 i’éludo , et qu ’il y a l.oiile chance a amener.|i||Qaq|qlloii.Çàypraulc de la question engagée.

- ü n Journal do th éâ tre , le F/porO'/Vo{/ruHi»ic, assigne.U*H*I flA* M n a o ta r n a m s n lo m i l IikI .«..i .li.V ___i_

. ■ y " J««™ ai uo inca ire . le f tgaro'troffram m e, assigne,a aprÿs d,(i ngnw ilpenienls qui.lili oui Olé iran..rgis, l.i »a.

m i l*^00 rA • la aaCIrvia Ia ;J n».1

etc ., e tc .Le tném e'journalq ffnrm e :

garçon s è^lùV6::â,‘fMi0 . ,d i 64^lo lrc .d o n n é aux

garçon s a*élève.;â,‘fdU^.,dA6^wOt^^ ô e c o m p ta n td u e ,la çonsomrna.Ooù d e !'

j*v <•••». «M. v c q u i Ç.11 p lu s c to im a iinissé une lllle iégilime qui n ’a que 15 ans.

I l * B i E I V P A I I S A m C ï i : .n " t ? " P '" " ''» " ! <lM licllej. .Iliii. . ,H o g m .; « I K '" ' l " ' '» ' ! ' " sain lK n.iramc.,;

1 les e n v in s ,Jî ™ I n i ï g Vi l’ ™'""* Briiiiili'iira.iil va. Ju in des cités, s u r sa couclio Indjgeiiic (.onM ler qn secret rhu inaiiité souirranle. ’

A hl sans doute son cœ ut est de bronze pétri.Ou bien s u r le Caucase un m onstre l’a nourri Jjeiui qu i, repoussant loiilc peiiséc liuinalue.Volt le pauvre soulTi lr sans partager sa peine.^ Je le plains, celui-là qui ne vit que p o u r lui,OUI» de la so if do 1 o r lourm culé jo u r et luiil,A toujours m éconnu la douce jouissance t) exercer le bienfait, do donner en silence.

«len plus heureux celui qui reçut en naissant u n e am e généreuse, un cœ u r çompatissnni* w n sem blable tonjoui's le louche cl l’mU'i esse i l verse s u r son so rt des larrae.s de leiidr»;:;sc.

J e m e rappelle encore, ô triste wm vcnir 'De quelle ém otion je me sèniis saisir A l’aspect déchiran t d ’une sensible m ère Acconipagiiani son (Ilsque l’on p o rta il en te rre ; ç éta it son nis unique, il ciail son am our : iie ia s i â son printem ps il a qu ilié le jo u r '0 m alheur accablan t! ô désespoir! é l.irnies!

cnfarit SL clion , co nis si (iluin ,|c charm es,.Il II csl plusl pour jam ais il ,i furmé t e yeux i hlle reniplissall i 'n ir ilo sc.s cri» doiiloiiréiu ' Arr,ns,iil le deslin , ie ciel, la m ori criiollc;.haeim pliiigiiijil sou sorl cl plciir.iil .avec clic-

1.0 p rc iro , irop Pmii p.armi ces cieiirs iinvriS». n e poiivall prononcer les flornicrs mois sacrés r o le do sa douleur, Inconsolable m ère Helüsl elle voulait, dans sa douleur am è ir n loinbe, y suivre son enfanl.’..

'0 II • ^"’Porter p.^le, sans mouvement, te lle , dans scs petits qu 'une adresse cruelle

A laviü nus encore à l’amouj' maleriic'llc. i iiljiinr c, appelant l ’objet de .sa douleur.Attiisle le bosquet tém oin-de son m alheurAnn^îi'i î" ’“ i"« faible opulenceAppailicnt moins A moi qii’A la triste ind igenre '1^ I);!!'''-' ®’ soit, est l'objet de m es soins,

que je puis donner je l’offre A scs besoins.A ! quand on a connu rabaiido ii, lu m isère , nH i '•ans te bien qu ’on peut faire.On eilmo A secourir, A consoler au tru i Des peines du m alheur qu ’on sen tit com m e lui.

Je n'envierais tout l’o r de Crésu.s et d ’A tlalc.1.08 immenses trésors que le Slexiquc élale .

fc.ti offiaril aux vertus d ’augustc.s m onum ents.

MiVvli*y'‘‘ 'Vn ®' î"‘Wimc exemple.Ma ni.1111, en t honorant, t'érigcrait un tem nle;NS rit'* '- y®'-'""’ lernonarquo oppres-seiir,N | I Lgm.Nie ingrat, n i I avare sa n s cœ ur,fti ces lioAiiiics cruels qu i, n ’aim ant que la giiej-re.

Mettent toute leu r gloire A désoler la (e rre , • f aroiichoa conquérants A qui l'hum anllé llenroche leu r triom phe o l leu r célébrité.

L Amitié, la Tendresse e t la Kcconnaissancc Seules y brilleraient avec la Bieiiraisatice:Cœtirs bon.s, âm es de bien, hornincs]coDi & u le , votre statue y recevrait reiicens:Je ceindrais do lau rie rs vos télés vénérées, h t partou t dans ces m urs, kous ces voûtés sacrées.Vos noms, en lettres d 'o r ilJustranl votre a u l e l , .Bi jtleraient A vos pieds su r mi m arb re, im m ortel.

Victor OPFROŸ. de. D am m arlin.

P a r arfé :é d e M v Ic iP ré fiddurd ise . approuvé p a r S . Exe.- le M inistre d.o VlUiérieiir. le

. 'd l« u r a a l D çfilba a é té désigné pour in ­sé re r en I8 6 2 ,d a n s ra rron ilissem en tde Senjis, toutes annonces jud iciaires et l i â t e s .

U piiiiücftiion légale des ac tes de société e s t obligatoire pour l'année mit h u it ce n t ' soixante-deux, dans cliaciinc des deux fcnilies d e ra rrondissem ent, désignées pour l’in ser­tion des annonces j^u(|ic|aires

A r t . f .

Etude de M* J ulm TilEMliV, avoué à Senlis,r u c d u E h â lé i ,V 21 . -

y J E M ï ESUR PUBLICATIONS JU D IC IA IR E S.

l 'é t u d e e t p a r le m i i m l è r e d e SI» C a r t i e r S a i k t - U b n é . N o/(iiV e à S e ii lv t ,

c o m m is à c e t t f f e t .

JIE U NUE-PROP^IÉTÉ

DE 4,064 FR«'79 C.Reposant p o u r l’usufruit su r la tétc d ’une

personne âgée do C3 ans.

1 /a d jn d ic a Ü ttn a u r a l io u le M a rd i v in g t-s e p t M a i 1 8 6 2 , à q u a t r e h e u r e s d e re le v é e .

En exécution d 'iin j^ e m e i i t ..rendu co n tra - diciolFemcnt e n tre les p a r t ^ ei-^aprè.s nom ­mées par le T ribuna l civil d e prem ière instance séant U Scnlis (O isèf*'!» vm gt-trd is janv ier mil huit cen l soixante^dcux, c iiir^ is tré et s i­g n ifié , •< . .

Il se ra , aux re q u ê te , fo u rsu iie e t diligence do M. Jo an -B a p tu le . A ndraul, m archand de laines, dem eurant à S cn lis,

C réancier poursuivant ; . •Ayant pouravouüConstiriioM 'JiilcsT licm rv,

exerçant près le T ribunal c iv il.d e prem ière insianco .dç S cn lis. dçm euraiil en ladite ville rue-du Cliàtel, n® 21 ‘ ’

l’ ro c t^d -o o n lrc âl. Ju licn^M qriti. m àltrè ' cordonnier-.(bottier, dem euraiu oi^^dcvant à i:iiantilly,cl actuellem ent san s domicile m ré ­sidence coQ niis'èn Erâiicc ; . *

« U d i t ùicur .Moriq-iaiit eu çgn nom ijer- 8 sonncl. q u e p p û r Assister e t a t tU is é r la » danro soii épôûsjs-dTaprès dom m ée" e t la » valûHlé; »

Et m odatne’Elisc-A glae. G uyot, épouse du sieur Mofin stiS-nom m é, avcà' lequél elle d e ­meurait è i-deyanl A Chantilly et acliiellem cnt sans domicile ni résidencc-cçriniis en F ran c e ;

Parties sa is ies , n ’ayant pas d ’avoué é o o - slilné ; " ; •

En p n » en ce o u eu s d îiraeut appelés d e :• y madame Honoriné^Delphine Perpello ,'veuve

de M. C lém enl-Pascal M oriii, p rop rié fàire. demeurant â.C hâniillyV '

« Ladtic dam e d ^ itV icc de la créance c i- » après désignée ; »

Ayant pour avoué constitué M® Ju les Godin, d e ^ i i r a m h J^cnlis, rua>Mewv.(Mie*Pans<u®^;

2® El Çéon-fqîrmgiij Mélapd, t tfc n id ’a f^ faircs, dem eurant à S eü lis, . 7

« Au nom e t com m e Kvitdic d e la faillite du » 8icur lo u is-A rtto ih û liu llo l, lan p eu r, d e - » m eu ra iilâ Poni-Saiu te-M axcnce; »

Ayant p o u r ovoué ,M® Relbois, dem vurant b ^ n l is , ru e Rougcm ailfc, n* 1 0 ;I Alexandre t i^ u i iy - m a l l r è d 'h â te l, deroèuraolhC liaiitilly ; ' - .

' A ** Marie-Augiisiiiio T hierry, veuvede M ,..R aul-Josepl).llou lis« .f«opriétaire ,-de- m m a n t à Poot-Saiiitu-âlaxeucé ;

N ayant pas d ’avoiié Constitué ;«-1,06 iro iA dén iiers nom m és se prélenthinl

" cçM onnaires de la créance ci-ai»rè» tlés i- • ghéc. s ' •

A ^ vente p a r adiudication, au plus offrant jernicr enchérisseur et b rcx tin c tio n des feux;

la ^tie propriété de la créance dont la d é - ••goalW suit : "

' ' ï ( â S I 9 l T 4 . T I 0 1 T . .

an*?. (“ '"■ y l’usnfruitao d éc ^ .y e m adam e H ononué-R èlphine F e r -

M- a é m e n l r f a s ia l Morin, K ? n '? * iem euw H » î» Chantilly, néo audit vier ï ï im ® m vésc an v u (huit jan -

som m e de ^uq tre mille w 'xm i/c-quajra franct so ixa n te -d ix -n eu f cen­

times. faisant partie de plus forte som m e d u e «lu s ieu r Ju lien M orin, sus•lim m né, par rna- tlam e v^uve M orin, eu venu d ’iiu iie:e rer» par M C aron , notaire b Cliauliiiv, le.s dix-sept etjriD gt-sopt féviier mil huit cent cinqiiaiiie- i eux , enreg istré , conicnani partage des biens oependant d e la com m unauté avant existé en tre ledit s ieu r .Morin et la dam e sou énonse, née P erp e tte , c l de la succession dudit slcnr .Morin.

P a r cet acle,*il a été abandonné h M. Julien Morin, p o u r le rem plir dc .se.s dro its dans la succession de son père , ju squ’à duc concur­rence, une som m e de s ix mille soixante-quatre francs^so ixante-d ix-neiif centimes, en nue p ro­p riété seu lem ent, p o u r y réu n ir rusufriiii nu «te<^s de m adam e veuve M orin, à qui cet usu friiit a é té abandonné.

En déduction de ladite som m e de six mille sn ixaniü-qualrc franc» so ixante-d ix-ncul ccn-lim es, Cl . .......................... (j 0 64 f,- 79ledit s icu r Ju lien Morin a re ­connu avoir reçu une som m e de cinq cen ts francs, dont leditéta t liqu idatif p o rtequ ittancc ,c i oOO 00

Q u an ta u sn rp lu sd c laso m m e abandonnée en nue proprié té à â |. Ju lien â lorin , c ’es l-à -ih re à cinq mille cinq cent so ixan te- quatre francs soixanlc-dix-ncurcentim es, c i ................................................... fr. 79ij a e tc expressém ent convenu e n tre les par­ties que les hérilici^s de la dam e veuve Morin née l'o rpettc , seraien t tenus d ’en faire le rem ­boursem ent au sieu r Julien Moi in ou 'a scs rep résen tan ts, savoir :

Moitié ou deux mille se p t cent q u atre v in "!- deux fjrgnœ Iren le -n e u f cen tim es, six mois après le décès de ta dam e veuve .Morin •

E t l’au tre m oitié un .an après ledit décès.1 0 tou t avec intérêt b a ®„ par a n , sans

re tenue, payable auuuclleineni, ii coiiipier du jo u r dudit décè.s.

I.a créance de q i m t r * lu i i i n naW nnX e- q u « « r e f r a n m 8 0 luni«>-tliA-gi(>«»ft i m e s présentem ent m ise en vente fait partie des cinq nulle cinq cent so ixan te-quatre francs so ix an te -d ix -n eu f centim es dont s’agit.

P o u r sû re té cl garan tie de ladite créance de « l» a ( r e a n l l l e s o i s n u t è - ^ i i n t r » f r o H r» n o l s a n t e - ^ l s - n e u r ecnX iiiieM , une in ­scription de privilège .i é té requise contre m adam e veuve Morin au bureau dos livpo- ib m p cs de Saillis , le 3 0 novem bre 18o9 vQlDme 4 8 6 , n ® 2 H , su r iiiie m aison e t dé- nendaûces situées à Chantilly, Grande R ue, et les au tre s im m eubles abandonnés îi ladite dam e veuve Morin p a r l’ac te de liqiiidniinn et partage des dix-sepj e t vingl-sept février 18o2 siis-én-incé. *

AfDJUDICATIO.X M i s a A . P U I S .

S uivanl |iroc4s-vcrhal clrossiS par SI' C aiiirr b a m l-R e n é ,n o ta i re b S en tis, le qn in /o m.ii iréscnl n .o is , consialan l la lectnre et la p u - jlication du cahier des charges dressé pour

parven ir à la vente d e la créance ci-dessus désignée . I adjiidiM tion a é té fixée au 3Iardi vln a t^e p l M a iJ 8 6 i , à ifuatre heures de relevée, en I é lude dudil M® G iriie r Sâinl-R éiiô .

Elle au ra , en conséquence, lieu auxd itsio tir lieu c l heu re , aux charges, clauses et condi­tions énoncées on re n c b è re , c l, eu o u tre , su r la m ise b prix d e ................................... 1 ,2 0 0 fr

^ ^ H S f f e r p o u r les renseignements : - -J® A M® J u l e s THEM RY, o io u é , dem eu­

ran t a S en tis , rue d u Chàteî, «® S l .p o u r - sutuaul. la veiite;

^ pO RIN .auow é à Sen lis.rue N euve- d e - P a n t , n * ^ 9 , prisônt à la vente ;

4 M* PELBO IS. avoué aud it S en tit, rue nougiimfnUe, présent à là vente;

■■ 4^ ‘4.M®'G(jL*ÈÀS-NÉRY, huissier ô Sen lis ', 5® d M® C artie ii.^ A IN T -R E N É , notaire

a Seuil», dépositaire d u cahier des charges et des titres de p ropreté .

F ait c l rédigé par m oi, avoué poursuivant, soussigné.

A ^ i i l i s , le seize mai 1602., „ . , , • JuuES TIIFMHY.\ E n fi^ is lré à im nlis, le seize m il IS O ’ - reçu un franc dix cen tim es, dixièm e compris.’

_ S igné ; Gnf.isomK.' P our insertion :

S igué ; Ju les T iiusiry . I

ji Itlustralion contient dans sou num éro du 10 roar • Ueviio poliim ne de la sem aine. - O uvorlure de l’Expo-

silion inleinatum ale de Londres. — Oniirrlor dê-i*uris.'. — c . ? T *F‘*“ jo u t natlsie aux

Etats du Sud (suite). La clef des cham ps. — Gazelle du palais. - - Les industries du bas.sin de la Loire (suite). — La Pointe A-I'itre et son p o rl (ite de la Gundeloupe). —

la raiinicipalilé d e f t a t e . Ouverlaï c d e l'E jnosllieii^ ii- 1eM)a|ir)ii(ile de l.ondrca. — Le pritilenrpa. — Voyage du roi d llalie ; A n ivép de I tec ad ra de S. M. d a n s la t a ie de ta p ie s . — Usines de .MM. Félin e l Gandel ; Fabricalion des jilaqiira do lilnidage p eu r la m arine , k Sainl-Uliamond • — finge des grandes pièces pour la m arine . .V Hive-de-Gier— M. Jules |p ;er. — Vue de la ra d e de la l’ein ic à l’ü rc— LpecjilTerle an général D. IL MUre. — Rélius.

L e Ceronl retponialile, E b.s e s i R eC K IEIl”

A r t . 2 .Klinle de M-Jui.es Ï HEMnV. avené i Senlis.

V îîA iT K s i :r P U iJL ic .x iio .N s J U in c i .x n iK s ,

A N c u f c l ic i ic s (O ise ) , o n ta ii),müoii c i - a p r è s in t i iq u é o .

Pur le ministcrc de M' Cn.urx, m fa in ; à ic i commLui cet effet,

h 'm

FOU BE COMIIEBCEDE VINS ET D’Epicerie

Av e c i e s

ACIiAl.t.\'DAfiE, ClIESîÉLE 4 1I.1RCBA11SESlin dèpemlaiit,

AT m;D R O IT ATT B A IÛ

•5e II, .n n i e n n e , » é p e i i i l« i ie e « ,b isra il N r u f c i i e l i e s , canlon de lie u .

Dans laquelle est exploité ledit Fonds ^ de Commerce.

L ’A d jii il ic a lio n a u r a lieu le D im a n c h e v in g t-c in q M a i 1 8 6 2 , h e u r e d e m id i.

E n exécution d ’un Jugomeiil su r requête rendu par le T ribunal civil de prem ière in ­stance de Scnlis (Oise), lo six mai 1862. en ­re g is tre .

Il seiM, .aux requête, poursuite et diligence ne : i ’ M. A nloine-Je.iu Cli.iponet, bêr‘»cr dem eurant b Ctiampagny, ® ’

« Agi.ssiint à c.insc de la com m unauté de b iens qni a existé cuire lui c l la d.uiic

« Lmiise-Ai 61e (lio la t , son épouse , décédée w a N eulctifllcs. te d u q m ars 1 8 0 2 ; »

2° De ilam e Amieite C haponet, épouse <lo ftl. r ran ço is Lorciice, boiiclicx, avec lequel elle dem eure à Creteil (S rine), et dudit sieur L orence , p o u r l’assistanec île la dam e son epoiise et la validité;

5" El d«> M. iJonoré-Josi’pIi Chaponet, in:i- noiivrii-r, dcm euraui à la r e i ié-so iis-Jouarre;

« La dam e Lorence et lu sieu r H onoré- Joseph Chaponet. agiss.mt comme habiles à

» se d ire et po rter héritii-rs chacun pour inoi- • lie de la dam e Ch ipouet, née C h o h i, leur

i n e r e ; »Ayant, les sus-nommés, pour avoué M® Jutes

llion iry , exerçant près le 'frih iinat civil du h e n lis , d em n irau t en l.iditu v ille , rue du Clialel, 11" 21 ;

IVocédé il la vente .siii- publicaliûns Jiidi- cia ires, au |d u s offrant « lernior'enchérisseur cl a I cx liu tlion des feux, mais sans attribiilion d e qualités pour les poursiiivaniR, du Fonds de Lomiuorco -et du d iéil a I5.^ à tiô n ,- ( lf tn l la dcsignalioii su it ; • •

Dâsiq^iTAï’îoiT.Un Fonds de Gommerce du Vins e t d ’Epi-

c m e üxploité à Neufcirellos, canton de Butz (Oiscj et que fou m adame Cliaponei, née Clio- lai, laisait valoir. ,. .

Ce fond com preqàijos acliiilandage et c licn- tcto (pu s ’y iroiiveiil^'jaitacbés, e l le dro it à ta location, pour le teinps. qui en reste b courir, de la maison oi'i ledit fonds de com m erce est exploite.

L ’’|djudicataire sera tenu de p rendre pour lo chulrc de l’estim ation à dire d ’expert, tous k s objets e t m archandises dépendant dudit fonds d(î comniçrciCei détaillés au cahier des charges de I .adjudication dont s ’agit.

ADJUDICATIOIV M is a --

L adjudicàiion du fonds de comincrcfi sus- destgne aura lieu le Dimanche vingt-cinq M ai 4862. A eurar^ à Neufclicltes, en la m ai- son DÛ il s’ex 'T cc, e t p.ar le m inistère (le ,q® O raux , n o ia ire ji Acy, com m is b cet effet, su r la m ise b prix de cent fraiic.s, fixée jiàr lo jugem ent sus énoncé, ci , . . . .juj)

O iiira la charge p r l'ailjiiilicaialM île nrcn- d re , a d ire d ’uxpeii, tous les objets cl ù ia r- charulises dépondànt dudit fonds, ainsi qu’il est c i-dessus d i t , et d ’oxéculcr toutes les charges, cl.msoa el conditioiis du bail de la m aison où s ’exerçe ledit faods de com m erce, pour tout le tem ps qui en reste à courir.

S adresser pour avoir des renseignements;<• A .mAJri.es ITIK.MIIY, a v m f. d m m -

r.iiK (I h m h . , rue ilu C'lutlel, ii" 2 / . tioursui- vaut la vente;

h t d M' Gît \IJX , no/Anv à A ry . dêpo- silairc du cahier des cluinjcs.

l 'a it e t rédigé par l'avoué poursuivant soussigné.

A Senlis, lu 13 mai 1862.S igne : Jules TiiEHiiv.

Liircgistré II S e n lis . le quinze mai 1802 reçu un Iraric dix centim es, dixièm e compris,

S igné : Giiég o iu e . F o u r ius('rlion ;

S igné ; Ju les T iirmiiv.

A r t . 3 .A I»Jt;L E sT m :M U Y . . iv r>»C’ .i S ’,’,ii :s (0 :* j.)

VKNITESUR Pt^IlLIC.vnoXS VOl.Ü.XT.llUES,

En la maison d ’é(!ole de In com m une d ’O rrv- la-V ille.

Pur le m i’iiiière de M' Be:<oI8T, notaire a Senlis,

» ’ I I ! V E l l A l S O i \A l im a g e

b a tiiien ts , c o u r , .iardin. Cii*r3Ki(ftances et l8é|ieiiUniiccH,

Le tout s itué à MoxTCRftsiN, com m une (i’Orry-t.i-Ville,

s u XrBT 8ED& ZiOT.L ’A iljtH licalion a u r a l ie u le D im a n c h e

p r e m ie r J u i n 1862 . h e u re d e m id i.

..S 'adresser p our les renseignements :A â!" J u l e s TIIE.MRY, aeuinf à Senlis,

rnc du Chàtel, n” 2 t . poursuivant la vente;2 ‘ A M' FE I.R O IS , aconé audit Senlis,

rue Itougematllc, «" 40, présent à la vente;BEiVOÏST, notaire à Seid is,

dépositaire des litres de propriété et du cahier des charges.

A r t . 4 .Kiudu du M* MOREL, docteur on dro it, avoué

a Beaiivais. rue Saiui-F.inlaléon; n" H . successeur do M* Di:nniE.

X y 5 : a $ 3 - (Q kSUR SA ISIE IM M O DILIÊRE,

A u Palais de Justice de Beauvais (Oise).| j e « tn m e d i 9 J u i n t S « « , à m i d i ,

1® n ’uKK T R ÈS-BE LLE

U SIN ESituée a R o n io is , com m une de Laiinov-Cuil-

lèrc, canlon de Form crie (Oise), à proxim ité des m archés im portants d ’Aiirn.tle. F orm e- rie et G raudvilliers.

/I.s.si're sur la rivière de JJresles, an centre d ’un charm ant paysage, comprenant :

û l i r imonté (t’après le système anglais, élevé do

tro is étages,MOULIN A HUILE,

Maison d'Iiabitatloh, B âtim ents, Cour, Jard in , Herbage cl Dépendances,Le tout contenant 5 7 ares.

.Taise k P r i s . i o , » 0 0 f r .

^ <Ie 9 n ii ïC T A R E N environDE TERRE liBeDRABLE, PRURIE

<•1 H E M t B A U EParfaitem ent plantés, en huit pièces S ises au m êm e terro ir de Rotliols;

3 ” e t d e D 0 4 J Z E

A D Ë T i p y M ü B L ËSituées aux terro irs de ^onim êrcux , Beaudé-

duit cl dii M csuil-Contcville, canton do GrandvilÜéra (Oise).

S'adresser pour tous renseignements :. A Ml M o re l, avoué q Beauvais, pom suieaut

là vei\(e.

9 - d e l a F E R U I S d a d U l i e u .Louée O.OÜO frênes. ' '• ^

3 ' c i d e l a F E B U Ë d e jB u i s e X ixde IGsî IJi^ctares. loiiéu 12 .000 francs.

d e t a beetM ’eH d e lu e c n i - l if iu e s P i e r r e s d e roeSte.

erop loyé lsau Louvre, b I H ü tcl-dc-> illc , à SaiD t-C lolilde, au Palais de I Industrie , an T im bre, b la caserne du I r m ^ E u g è n e . aux gare» de l’Est e t de Lvon, e tc . On ne les trouve que dans la propViété b vendre.

H araraoul e t Fuisenx sont a ffois et à cinq fedometres de la s ta iio q de Villcrs-Cotterei.s ‘ (2 heures de P âris l. L igné de Paris à Soissons e t Reim s.

ADaCDICATIOIVl.e Mardi 20 Mai 1862,

/iii l'ilu tle (Il M- SaisT-llESÉ, nolaice à S m lis(O iscjf

B'DIIE BRIE U MDE VILLE ET C A nPA & H E

E ’T n ’FÀi B A ’TIAIFA’TA usage do

( D i l u é e k t S e u l i s ,La maison a 2Gj)l6ccs d’hab ita tion , vastes

conimilns,- aerrea, ja rd in d ’IiiïcV, p are boisé, potagers.

Le üiïtim ent de la Fabrique est propre à une Filalare ou toute au tre industrie.

COHràAlICE TOTAIE 6 HECTiBES 27 ABES M ise à p rix I 8 0 , 0 0 0 fr.'

S’ailrcsscr à M- SAiST-ltÈse, no laire â Scnlis.

lîi.A VF.X'ORE; a i /A M IA B A ,l

1 i ' £ i i m mSise a Luzarcbcs. dans une situation ma­

gnifique. dom inanl.la camp,ignu et la foret de (.haniilly; — Ecurie, rcnli^c, bas.'àe-cour, j a r ­din divisé cir plusieurs parties, foniianl te r-

2° DNE MAISON DE CAMPAGNESise b C linum onlel, prè-i |jiz ,a rchés; __

Salon , «illu b im itge r, petit salon , cuisine, salle de bains; {diisiuurs chambn>» au prem ier é i.ige; écurie, rem ise ; jaid in .anglais de 1 t a n s ; potager contenant 31 .ire s 0 5 centiares

3 ’ T R O I S M Â f é O N SSises b Gouvieux, canton de C reil, rue des

P rê tre s ; — B âtim ents, pressoirs, cou rs, ja r ­dins c l au tres dépeDdauccs.

S ’adresser : à Paris, à M. GKtRAS, rue de la Mtcfiodière, n’ 5 ;

A G ouvieux, à M . l.tv i^ iE , propriétaire;A B oran, à Al. J a r l k t , cultivateur:-i Luzarchies, à AI® L.VLl iiEn, notaire.

M 4 Z3 Q NFrw^krmriK ’d # r* é e i •»€« JARDÜV,

S itm k b SE N L IS , rue du Lion, n ‘ 6 ,

A LO'lJEdK |i r é « e n l^ |c i i i .

A n n o n c e s O i v e r s c s .

ClUIElD ET FEBHESP r è » V l l i c f - C o < t f n > i B

Fji l'élude et par le m iim tère de M® M iu^t, no taire d fa Ferté-M ilon,

Le Lundi 2 3 Ju in 1862,I ” «lu CIIAXKAMJ de» i^'ossé»

d’llai®àmonA,Beau Parc de 11 hi’ciares, Eaux vives. Cas­

cades, Canal navigable, A rbres séculaires.

A L O U E K imNiédîaAeiiieiatfÿ_______________ UNE

llîïISOJ!,fiQOfiG£OIS£Appartenant 4 la viile de Senlis,

S ituée èn cc tlè y illc ^ ic d e s T tibunàpx . 11* 1" en face la 'placc Sain t-F ram boùrg ,

S ’ad resser an Sccrétafidl de h Maine.

A C H D i ^ n d æ : i S M J i T e

Dans un chef-licii de cantén du déparicm cntde l’Oise

S ’adresser à M. COLLÀS-NKRV,ô S'<ii/is.

huissier

• M M M W 4 U W W O T I R J J V M MS liu é cb Sçnlls., dç'Ciÿil,* h‘4 2 . Filtrée ehfouissaiite lé '4*' octobre 4862.

S 'adresser uudil M' Bkxoist, iiot.iirc.

9 - t l l e c la r e ê » 9 0 I k r t s O O C 'e u t .

DE TERRE, PRÉ Et BOISA ux (P ito iia d e la C b a p cIle -en -S erv a t,

O rry>4a-Villc e t P on lar in é ,

UN m m CORPS de ferrev s m m i t A i s o x T

A la C h a p e lle -en -S o rv a l,

J k V E i V D R Er a r a d t |H d lM « lo a « a t o a t A l r r .

Le L u n d i t h la Penteeùle 9 J u in i 8 6 i , à m id i, Kn la M aison d ’éco lo d e la ,C hapone^i'ii-Serval Par le m in istire de Bl* Bekoist, uotaircà Seuils,

Kh présence de Bl* db Hat, mo/h<Vc à Pont. S ’adrt»8ser an xd tis M** Bk;<o ist c l d b Ma y .

H l l e « t a r e s 0 7 A r e s S O C^erat.

DE TERBEAux icrroii's do V ér in es e t d e Bélhisy->Saini>

- M ariln.

PAR AiMl’DU'JtTIOX VOinXTAIRB.Le- Dimanche 23 M ai 1862, à m idi,

A N éry, en la m aison d ’é c o le .Par le ininislerc de M* DcxoLsr. notaire à StuUs.

BIENS¥lu Bur«iin ate Bleefwiiwnre de Senli»,

A l u O U E R p a r a i y i i d i r a l i o u ,Le Mardi 15 Mai I8(>2. h m idi.

En t’éfiide et par le m m stc re de .M' Ükxoist, HuMiVe ù Seiilis,

Une pièce de te rre sise au lerro ir de SeuMs, con tenan t 3 lioclares -Vl ares 58 centiares.

Kt 1 h ec tare T ia r e s 5 0 centiares de terre, eu neu f p ièces an te rro ir ilc Baron.

^ 'ad rerrei' audit 51* Bcxuisi. Rotiiire.E t à 51. Lahourneur, trm -e u r dtulil èum iii

de bienfaisauce. à Sentis.

E tude deH * LKMOIM-^ nela ite à t ’.hanlilly.

MAISONS ise b Clianlilly, p lace du .Marché, n ’ 21 ,

.d tx reA V R A D H E

PAR AinunirATioa voLoaTAinE.En l’ép/de e f /uw le ministère de 51* Lkmoink,

notaire « ChanllHij, l .e Lundi d e là re n to c ô lc O Ju in 1802, ù midi

Jdiiissancc de suüe.Stise d p r ix 20 ,000 fr .

On tra ite ra uvunt Padjudicntion s 'il es t hiit des onVessiiftisuiiles.

■ S'iulretser andlt .M* I.kmoi>k , HO/airt*.

Mêm e é tu de.

GRANDE ET BEI-LE

MÂÎSOR DE GAMPÂfiRESise a S ain l-L en d ’K sserent,

A L O t l K H

S’adresser à 51* Iæ m o i:«k, no taire à Chan illy.

5ièine é tu de.

PETITE RAISON ROllRGEOISESise à Vineuil, p rès Chantilly, ru e des Sœ urs,

Avec Jnrdin.

A A R A D R E : a L M lir A B I Æ .S'adresser audit 51' Lkvoixe, notaire

51èntc élttde.

TERRAINAujeiira*hMl en Jnrdln,

j>A*es*rc m M if f r .d ’uiio conienance snperficicille de 1,527™ 79 '

Aitué d Clianlilly, rue de Paris,A v r a u r i î :

PA It ADJUDICATION V O LO N T A IltH .En deux lots qui pourront ê tre réunis,

En t'éludé M par le ministère de 5I'L buoinc, notaire d CbariliUij,

I.A: L undi de la Pentecôte 9 Ju in 1802, j midi Entrée en jouissance du su ite .

On tra ite ra a ra n t radjudfCatiou, s’il est fait des olTres sunisantcs.

S 'a d re a er audit M* LnMOtNe, notaire.

Etude d e SI* R IV IÈRE, no taire à Creil (Oise'.

UNE USINEf V p r i f r a M l ^ M e

D'une forte réalUie de 20 à 25 ckeoaux. S ituée *a V illers-Sain t-Paul. canton ilc Creîl,

a 4 kilom ètres de la (tare de C reil, e t à 5 00 m ètres de l’O ise,

A V E U D R B A L,*A1IIIABIÆ , C ette usine com prend cinq paires de mctiles.

Jtfeleur entiirem ent neuf. R àtim enis, Enclos, Ja rd in , le tou t contenant 5 h ec t. 2 ares 50 c.

S ’adresser tuidlt M* RnnàiiB, wotaire. M iu B -d T n P K .- - .............

10 PIÈCES DE TERBE ET ItOISS ituées te rro irs d e H onlata irc e t S ain l-

Vaast-les-M éllo..A V E A D R E

P a r ■ d i ja J I le a t I * * v ^ a a u i l r » .En la salle d e la m airie de M onlataire.

Par le mlHlstère de M’ Rivierb, notaire ù Creil, Le Dim anche 2 5 Mai 1802, deux heures,

Jouissance de suite.Facilités (tour )e paiem ent.

S'adresser aiuUt N ’ Rivière,\nofa(>e.

E tude d e M* TOURNEUR, nota ire à V erbcric .

A V E A D R R o « A L O V E RrAR ADIUIHCATIOS VGLONTAIRK,

B a Uaaam mm p a r 'tmtm.Le Dim anches 2 5 Jn in 1802, h une heure .

E n Fétude e t par le ministère do M* TouRxstiR, notaire è^^erberie,

UNE FEBSIESituée h V illenenve-sur-V erberio,

ET DIVKBS

S itués terro irs de Vcrbcric. S aint-V aast, Villeneuve cl R aray, \E n v ing t-hu it piicès,

d e 19 l lc e ln r e s A r cs 5 3 V ent.Kucilité.s pour le paiem ent.

Il sera procédé d ’abu id it ia ven te ,u l aiissilôt ap rès à la loc.'ition des im m eubles non vendus.

S ’üih-csrw am ht 51* Touft^NRCR, notaire

EtudeüeM BIGOT,m d aireau IMesslsTlelluville

MAISONA v e e J ^ r d lM

Sise à Erm enonville, h ta rrichc du Cim etière A V E A B R E

P ar adjudication volontaire,.4 /■.Vme«o»u’i7/i‘, on la .1/aiVon d'école.

Lu Üimancliu 1*' Ju in I8G2. à 2 heures. Par le ministère dudit 51* Bigot, notaire.

Jouissance lun l de .suite.S'adresser audit 31' Bigot, m taire.

3lèmc é tude.

SEPT PIECES DE TEBRESises aux terro irs du N aniuuil-ie-!laudouin,

Silly- lu-Loug e t Ogncs,A Y E A D R E a u x oni*hèr<*NyPur le miiiisterc de >1' B igot, notaire au

Plessis-Uvllvrille,A SiBy-lu-Lou}». en la salle d’école.

l.e Dimanche 13 J u in 1862. d une heure. S'adresser audit 51' Bigot, notaire.

Elude du M* T ASS.VRT, nota ire A Crépy.

A Y B A i m BP.in .VUJIIDIC.VTIO.N VOLONT.VIRK.

En l'vltide et jH ir le ministère de .'1* T .issart, notaire à C répu..

Le Diinanchu2.> 5lai 1802. à midi,

DR HARCHE de TEBRESitué terriloire .sdc Lévignen e t Rouville,

E n t i piVccs,C«nlen«nS • heclnres 49 nres tttf e.

Facilités pour le paiement.S'adresser audit >1* T.\ss.\nT, twtaiie.

D.)llGilÉ DE TEDIIE k PilÉ

tableaiiS, 2 0 0 volunie.'i, instrum ents de m usi­que, ustensiles do ch iriii^ io . ferraille, ton ­neaux e t boitleilles vides*, ou tils de jard iuage et une g ran d e quantité d ’a u tre s objets.

S ’adresser audit M* Maitbb<Bkvallos

MfiME énuDE.

A Y B Â i M t l * :l'AU ADJiniCATIUN VOl.ONTAtitK,

Pur le ppnHi.»/i'/ t' de 3T T.vss.\iit, uotuire à Crépy, et en son étude,

LeD iniancIiu 15 Juin 1802, à midi.

l 'IF IJ

Situé su r les territo ires du Crépy, Rouvillu vi Duvy,

C * « n le n fin t 4 h rc C n m * 4 1 n r e a WS r .Jouissance .'iprès la récolte.

(•randus raidlités pour lu (taluniunl du pi lx. S'adresser audit .M* T.vss.vbt, notaire,

Kliklu dc>l* GUISÜ.N nolaircàBOt!iisy-S‘*Piurru

.% Y B A 'D R B |K i r A d j u i l i e a t i t D n ,.1 (h r o n y , près Vfe.py, en l'usine.

Lu Dimanche 2,5 Mai lH 02, à on^u heures. Pur le ministère de 51* Grison, Hofaire à llélhisy^

Saittt'P ierre,

BELLE USINEu ^ o t m o v \ y

NouvuUemenl constru ite e t à usage du

FÉCULERIE ET HUILERIEP onçan t servir à tout établissement industriel.

S ituée b O rrouy. canton de Crépy (Oise), su r ta rivière d ’Aulornne,

Ensemble les tournants, virants et tracadlants, et tout le matériel se traucan t da tu rnsine. Im m édiaicm cnl ap rès l’ajudication, il sera

procédé ù la vente aux enchères, en détail, de « o u t I r M n tè r i e l d 'c s ^ t o l t a l i s n r t d e d e u x P ic c e * d e T e r r e e t P r é .

S'adresser audit 31* Grihon notaire.

Elude du 31* ROUSSEAU, notaire a .Mcllo.

hmsdrU rgeoiseBeau Jard in , C’«ur et Parte eachère,Sis il Pont-Sain te-5 taxencc. station du cliurnin

de r<;r du N ord, à 0 0 m inutes de Parie,A Y B A D R B

« d ja d le e tle a « • tM ln lre ,Le Dimanche 2 5 51ui 1862, à trois lu’.urus. E n l’étude et p<u- le m inistère de M* I’.vyev,

notaire à i'«Ht*A’oin/a*.Vaxe«ce,E n présence de M* Ruussk.vc . notaire à Mello.

. il y a toute sû re té pour ac i|uérlr. S'adresser auxdits M“ Roi;s.sbau et Paven.

Klude de M* MAITR&ÜEVAliLO.N, uoliiiro— à Ghanibly (Oise).

P a r suite d u drcés de M. IsAMBEnr, un " médecin \ A ChamMy,

Kn la m aison qu’il occupait, sise rue du Gisors, Par le mifiietcre de M* 5Iaitrc>D evallon,

notaire à Chamblij,Le D im anche 18 51ai 1862, à m idi, e t lu len -

dem ain, s’il y a lieu.

C.etie vente consistera en : garn itures de feu , p o terie , vaisselle, verrerie , ustensiles de m é­nage , belle batterie de cu isine, alam bic, m eu­b les. lite rie , rideaux , linge de lit, du table ci d e co rps, h ab its , g laces, pendules, Hambeaux,

F.ludu dc31'ilBXRiSALLÊ, com m issairo-priscur A SeuHs.

T O & O K T A I B S , VA Sniui-Nlcolttti, iirèii Üenliu,

Au Moulin du M. B i n a n t ,Par le m inistère de U* IL S.vllè, com missaire’

prisetirà Senlis,Le l.unui 10 Mai 1862 , h m idi.

Ladite vente conslstèra en : ustensiles de cuisine èt .le m énage, fouimeau |)onatir , m en- Idcs, lite rie , horloge, bouteilles vides, futailles, planches. 1' >» ’f î ' .

E t alftreé'pbjeis.A n Ç a m r t M i l . — l ' è n u « r« llM a lrc » .

Ltude du 5P IIÈ R 0ÜART, h u issier à Nantciiil.

VENTE DÉFINITIVE.1 raiiJC de rrsjatiou volontaire de culture,

«lé tou t le

MATÈBIELCom|)Osan't rcxp lo ilalion de M. G k a n g ë .

A Vrrsinny prèH .Nanleuil-lr-lliiudoulii. Le JC U Ü I2 0 Mai 1862, b onze hcm es, /*«»• le im’m jtfrfl de M* IIè ro u a rt, htilsiier-priseur

à Santeuil-lo-liaudouin.

C onsistant e n : lrü .s-honschevaux, vaches, volailles, voitures, chario t, m oulins, bascules, lléuux c l balances, m esures, sacs, pelles, four­ches, ustensiles de cuisine cl de fournil.

Bonne Maebine n bnlire.E t quantité d ’objets et iiiftrunitfnts aralaires

servant ù l'usage de la eid ture.F acilités p o u r .le paiem ent.

Ktudu du 51* BILLLT;^gl^ffiur-priseur ù Retz.

yfmm atoiitiLiàisP our cause du décès,

1(1 domicile où est décédée NI™* CiiATur.CT, aubergiste à Neufchellcs,

l.u Dimanche 18 .Mai 1862, ù m idi, c l jou rs su ivants, s’il y a lieu.

Par te ministère dudit 51* BiLte r , grcf'liur’priscur

Gonsislanl en : garn itures de foyer, In tter ic c l iisteusites de cu isine, vaisselle, verrerie, puierie . chaises, labourcls, m eubles, literie: linge, baignoire , poêle; ou tils do jardinage];el au tre s , p lanches, bois à brû ler, pom m es ée terre , paille; bascule; porc, poules, la|iins. couverts, cu illères à café et louche eu Itiiolz. m on ire on o r . et' une grande quantité d ’objets.

.%n € * M { i lu a ( . V ra l i i o r d ln a l r c M .

.4dniljnl»lralle§B Je rKniwg;iiilremeni et des iiomainrs.

VENTE

H o rs d^usagé.Le L undi 19 M ai 4862, h quatre heures de

relevée, le R eceveur des Uomainus, procédera à l’Ilôlel-de-V itle de S enlis, .à ta vente aux enchères de 20 ballots de papier.s cl registres hors d ’usage. Ibrm ant un poids de 8 7 0 kilog

4«E t ù la charijede 5 c.jiar fr.applicablesau.r frais.

IL\ÈTÉPËRDl' !

t o m i n t i n e «le I» C 'b n p c i le -c i t- S e rv a l .

wjuTïiBmifc ADJUDICATION AU RABAIS

^Par voie de soum issions cachetées

TRAVAUX ÜE PAVAGEP o u r le Diman'chè''25 Niai l8>'2. à midi,

E n la sa lle tU la ila iiiedelaC hapelle-en-Sercal.

I.c Nlairc de la co iém unc de la Chapelle-en* Serval fait savoir que le Dimanche 2.5 5lai 1862. à m idi. Il sera procédé à l’adjudicaliou p ar voie de soum issions cachelécs. des travaux de pavage à exécuter en 1 8 6 2 , dans les rues du .Mouton e l D auphine , lesquels son t estim és ù la som m e de 1,226 fr 12 c.

On t*ourra prendre connaissance du devis et cahier des charges, au Secrétariat de la .Vairie de la Chapelle-en’Serval,ou bureau de .51. P éron. vyeut’Voyer principal à Sentis.

un C'birn r«unin«tricolore, luarqité

d'un S à droite. ' «Lo rumeiicr choï M. S o b d a n , café An»

glais, à Clianlilly.Bmine Bécnmpettsr.

T O ^ X E V i E RPlnee Je le Huile > n* 4«, A bK.NAItf

Fait la Tonnellerie en tou t g e n re , ‘encavc le vin e l le m et en bouleitle. T ien t le Vinaigre d U rté au s .p u rv in ,.e ti.g ro s jR j:iijlé laU ._______

néc*Mvcr«e laè»M<fewü»le'y j m Scrtu,GAU .t o n iq u e :

PARAGPTÉ DES GHETEUXUe «llAlEMUrt Chlnalete.

O l t c ctMnpMUion « i( in ra illib te (w ur a r r ê te r i>roni|i- U m n t la c liu te «IcadM vcHt t e lle e n em|>ét:ii<* la dcco b n t i o n , neKoiepnr^tfileMMf b c K irc A e v e /u , ité lru il tes m itlièn:» gruU ttu t«$ » t p e llie m itt b t s u e h d lr t i ; se t proprié tés reK tnéraU icei n v o r ts tn t ta repro iluc lion •te nou v ea u x eheveiir . Ira fa it èpat>kir e t tec ren d »uui |>te« e l L rilla u t* . c l cmpècfce le L lauetiin ien l} c t i a a

a . — f r iv d u IhTacuii, 3 f r .Pttbriaue à Rouen, rue de t’HApilal, I«>. — Dép-U

daui luuie* le* ville» de Freaee» — a Bi-auvnie, chri M. f.,ingtel, rue Saint-Sauveur j — M a SralM.elie, U . r i » l l l b « H , co i/T eur-pur/uM eur, P t a e e d c ia I talie '

FEDDOITS rHAHiÇEDTIODEBipprMTbywl'iuJliiiiaririiltétlldeciN

POUORrSULFUREUSE• DE. M ;'." P O Ü ÎL E D T .Xoui ■•r<(«rrr toi-niÉme, iu,UsitaD.'imut

H avec U (ilut (rande Économie, ima m pe-.r DrlrMv.ünol le* |uo|iriÉtÉe

.,P A ST I.U 'E S ,A T ,P O U D R E R

DUD BELLOÙi l ' l i

S ...

u n i i l I t i r t î

l'uur |(iv)>aiTr M.i-iiisiiie la W'iilai’t.' lu i.i iia.le.le liciKÉ an ciltale il.' itiaïiir-i ', il ,uli1 de Faire un Rai'On Uc o lût l'on.l»i» I>i.ul,ill,r JVau.I •.tfi'jea.le a toi.Ma . ..

iiUF»r. le |'l«* aftiéA'

>n lie la rl-I.HiMe iptl.leur* , itf l'aiii'iiiii;. Je l.i leuclKiirre. | .... FDrliliri’ E t li'm|<ri'.iiiie»l> lail.les <'li{iiijiha- ■iq»e*.et,laiKliU'l-----

f i r s ' s s r ' ...

FfllRHU lEN S DÉror.lTiiiRESN ealfw , MM. C lia^ta log; ■ e a « T « li* , G rtn d ;

E e» ll-n« r-N i® ye, lA^rranu; Itoutlcrju -C r e i l . i ’(» ii:,i i> :C rd |i7 .F uu riiic r:f‘o r i t i e v l« Campx M è r i i , W aiiaras H alnC *J«N l.«a>C *b«liM iêe .C ulrav .

n * M A iT H B -B E V A IiM B r» i l c h M M b trv

D em ande UM SECOJVD CLERC.

AVIS.M. DEGUISE (Jean-U apliste), auberg iste

vieille n ie d e P aris , ii* 10* rep rend l’étab lis­sem ent d e M. P a r f a i t NoitMAitû, auberg iste , porte dri C reil, h l’e n s e ip c du P as Relevé, tenu aucicniiem enl p a r UM. L bbas.

Il offre h la clientèle attachée b ce t élab lis- sem eni scs so ins e t ses services* it fera tous scs efforts p o u r m ériler la conllanco d o n t'cc t établissom ont a tou jours été liouoré.

PILUbÉS VÉGÉTALESooimatAisfiss—mméÂTivAS

«lo C Y u V lN I, d e P « H s .C«» PILULES i>ar le u r efficacité e t p a r le u r emplAl fai-ile auquel ,clle» »e t a l e n t , «on t le m e illeu r p n r g a l i j 'p o u r (-om lu ltrc .ta con- I flipa tion , d c lru irc le» A uiM H n e t l 'd ere lé d u * M g , e t p o u r ra - 'm cuer l'Iiaru iuu io ilao» les fono (m as r ila lea . Com posées d e ^u&sIORces fc g c la tes , c -tcs o u i

la p ro p rié té d e d o n n e r d u lu n a u i in te stin s ,-d e p u rg e r sans ra tisu e r rc tlo n ia c n i a ffaib lir auuuii o rgane .

!.«•» PILULES CAUViN uV sigeu t n i régim o^ni bo is­son s p é c u le ; sous ce rap p o r t, c ites c o iis ii tu eu t te plu* com m ode e t I r p lus efficace de* p u r g a tî /s r - ~ n u » ; aussi so n K lte s o rdonnées avec succès d a n inniadies aiguë* e t c lim n lques, g a s lr ite s , engo lge- n tenis. asthm es, e a la n itr s , d o u te iu ^ , d a r t ie s , m i. g ia in e s , scro fu tes , élu.

U m érite d es P lI.U I .tS CVUVIN |>eut se résum er Cil CCS m ots < ré ta h tir ou en tre ten ir la M iilé. Id l/S Iwile d e 50 P ilu les, tt fr- , la liutte do SO Piliites .5 fr. 50 c.

pRKPAPécS UNIQCEMRNT P.VRJ . P . c.tuvifir

Ptiarm acien d e t'éco te su|iéri< a rc d e Paris, place d e l'A rc-de-T riom plie d e t'G toile; Cham ps-

P.lfsée*. P s s is .SOT». Une instruetion.csplicaliTeest rcnrcrroce dans

rîisque Iwiîle.D épûl, chea M. C h a n w lisK * pharm acien é S en tis

ETAT CIVIL IIB SENLIS.iVaifjaiicr.

R upoot (MarLi-Alphonsioe).Mariage.

3Iunjuc (Jeati'IdiuU}, e l Morizu (Vicluire-Vir« giuie)

BMbil«»il«iis Je Merlesee.Entre 31. Guurhind (l.ouis-Vicior). m açon à

SeiilU. e l Narcisse (Adète*Ëriiestiiie), do* inestique b Rpberval.

Ë utrc 'M . Lepetit (Auguste), com m is distilla* le u r h Senlis. e t .M“* Leroy (Iléluise-Adeliiir)* sans pruft-ssioii à SeiiHs.

AU NOUVEAU JU IF-ER R A N T.

lÆ A S ^ O aA lT D B D B X T O U V B A IT T d S B T O O IH ’B O T IO V , 'M ite e s t e J* .fp jM » r# -« c M -JF * M J M * m * J » «■

A riio im eu r de |ii'évcuir les dam es qu’elle » jo in t b son com m erce 1*A V A B R IC A T IO V iMv'ë l 'O R ié E i'ü i imnM co ia iw i'c a it l ’.orsuls algériens. Corsets brassières a riiii|)éra lrice d ’uuu solidité garan lie , » p a r tir do 12 fr. b 1 5 fr. ; C orsets deiiiHCOUSU, coupés au procédé m é c a n i q u e ù 6 ' e) 8 f r . ; Corsets cousus, depuis 5 fr, ju sq u ’il 15 fr. ; C orscis enfants, s a » cou tu res, depuis 2 f r . jusqu’à 6 f r . 5 0 c . .

M .e t e s e e t a e e p s te e a J e e a t ^ fM * lo r .

HTGIËRE.ÉLËGiNCE. - 61GN-ËTRS. - BON HARCHECÉLÉBR É J U P E - C A 6 E AIRÉRICAIN E ^ “

THOMSONLa seule Jupe qui réunisse la force à ré las lic ité

p arfa ite ; une to u rnure gracieuse à une légèreté inouïe, un bon m a rtb é fabuleux à une véritab le distinc tion .

IrA SEULEqui se porte aussi agrèableuieiit en hiver qu eu « lé

^ PLUS nE GÊXE POUR S O l! . . .l'I.US D'EMBABttAS l'UUU LES AUTUESp

Blnne , b ln a e c l ■ o tr. .VInB«a«t.OUXTU) ASSORTIMENT POUR EXFA.XS IfE TOUT AKE.

TII09IS01V fifKBâUEÜ.y e w - Y o r k , L o n d res , P a ris . S a x e , I tru x e lle s .

W N T S A V n i T A X I .d an s toutes lc.s bonnes iiiaisons de nouveautés,

inerccrie , lingerie, corsets, e tc ... —— ■■-------------- 1 i..iCoininc cl.!g:im;c, la TOURNURE Sl'lUALE csl imo noiivcaiilc charmante

r u p a r n o u t M a ir e d e ta v itta d e S e n ti t , p o u r léga li- ta lio n de la «iVuMlure d e M . R rg n itr , apposée « r a r t .

C e ir, mai IM9.

E n ra g iitra h S e n t i t , te 1862, P

POMILiDi: DES EHATEL.tllNESo n LHTGIËNE DO HOTEN-A6E.

C ette Pom m ade e*t com poice d e p lan te» logiétiique*. à lKi*e Im ^ w e . - - DéccMTCrt |m r CIIALMIN, dan* an mac..i*crit. « rem ède înTalUible é ta it eniplojrc p a r no» M i e . e liite b in c a d u p o u r c o n a r rre r , ju*q«»l 'à - c le ■•!■■* avancé leur» cheveu» d 'u n e beau té rcn )an |uab l« . — C a p r o d u tt a c tiv a avec v ig u e u r la c ru* de» cheveu» , le u r do n n e d u b r i l la n t , d e là »oui.1e»»c, e l le* em pêche d e id a u ck ir , « u a 'e n aerv au t journetterneB l.— (h>ii>pinée p a r CIIALMIN. c liim iste -pa rfun ieu r. a R ouen , rue d e l’H êp ital, 3 t e t «a .

P R I X D U P O 'i 's o f r . 5o *. e l i j r . &• c.

- Dépôt b ^ ’vnfw, r.licz M. P u iL iP B R T , coiffeur-parfum eur* place d e la H a lle* 5 5 ,à Iteauvais, chezM . L a n g l e t , rue S ain t-S a u v eu r.

VILLES.

Senlis. C onipii'gne. Bcauvais. tie rm o n l. Uriipy. iNunicuil. l'on i

15 .Mai." lU Mai. 10 Niai. 10 Mai. 10 Mai.

0 Mai.0 Mai.

MKHVtVnMAteltmi____rROMUIT.PROMBNTi é MÈTEIb

I** 1 2* NOIRON 1"qualilé .|qu iilité .| |qualité .

2 0 ilO lQon 17

27.0U

002 0

8RI6LK. ORGB.

1 4 4 0 0 0 0 01 5 0 0 1 0 8 01 5 2 5 1 1 2 2

1 0 5 0 1 0 5 61 5 3 0 1 0 8 »1 5 5 6 1 1 1 11 3 6 5 9 6 5

avoim

7 IK)7 258 557 OB8 171 INIÉ 8S

S E M IS , TYPOCIIAPIIIE ET EITIIOCBAPHIE DE M“ - V ' REGNIER