directeurs financiers des pouvoirs locaux - congrès 2015
DESCRIPTION
Le programme du congrès 2015 de la Fédération wallonne des Directeurs financiers des pouvoirs locaux. (Ce congrès, ayant comme thème la stratégie dans le secteur public, se déroula le 17 et 18 septembre 2015 à Waterloo.)TRANSCRIPT
W A T E R L O O17 et 18 septembre 2015
CON G RÈS
2015
LA STRATÉG I E DAN S LE S E CTE U R PU B LI C
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Mesdames, Messieurs,Cher(e)s collègues, Cher(e)s ami(e)s,
C’est un grand plaisir pour moi de vous souhaiter la bienvenue à ce deuxième congrès organisé par la Fédération wallonne des Directeurs financiers des pouvoirs locaux.
Cela fait maintenant près de douze ans que notre association s’attelle à des tâches importantes, tant en termes de représentation de la profession que de réflexion liée à l’avenir de la fonction ou de formation continuée des collègues.
Je profite dès lors de la tenue de ce congrès pour remercier tout particulièrement les membres du Conseil d’administration, les animateurs des sections provinciales ainsi que tous les collègues impliqués dans les nombreux projets et activités de la Fédération: citons notamment le forum des Receveurs, le comité de défense, les groupes de travail au sein ou à l’extérieur de notre association.
Mais à côté des matières «techniques», il est également important de pouvoir s’intéresser à des théma-tiques qui n’ont souvent – par manque de temps – l’occasion d’être abordées lors de nos divers travaux. C’est la finalité du congrès auquel nous participons aujourd’hui en Province du Brabant wallon. Et pour cette édition, ne pouvait-on trouver meilleure idée que de s’intéresser à la «stratégie dans le secteur public» ? Ce thème est d’autant plus pertinent que la réforme de notre statut il y a deux ans a mis en évidence le rôle central du Directeur financier tant dans la gestion quotidienne de l’administration que dans l’analyse prospective au sein du comité de direction ou dans le cadre de ses missions de conseil et d’avis.
Au travers des différents exposés menés par deux orateurs de talent, l’objectif sera de proposer aux participants des outils permettant d’analyser les différents objectifs et contraintes en présence en vue d’élaborer des feuilles de route (voire des stratégies) permettant de prendre les bonnes décisions. Par ailleurs, le comité organisateur de ce congrès n’a fort heureusement pas négligé les moments de ren-contre et de convivialité tout au long de ces deux journées.
Une telle organisation n’a pu se concevoir sans l’aide de nos nombreux partenaires: qu’ils en soient très sincèrement remerciés. Qu’il me soit enfin permis de féliciter le Comité organisateur pour son enga-gement, son travail et son dévouement dans la préparation de ce congrès: un tout grand merci à nos collègues brabançons !
Bon congrès à toutes et à tous !
Jean-François HUART
Président de la Fédération wallonne des Directeurs financiers des pouvoirs locaux
LE MOT DU PRÉSIDENT
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Mesdames, Messieurs,Cher(e)s collègues,Cher(e)s ami(e)s,
« Les idées audacieuses sont comme les pièces qu’on déplace sur un échiquier : on risque de les perdre, mais elles peuvent
aussi être l’amorce d’une stratégie gagnante »
Johann Wolfgang von Goethe
En tant que hauts fonctionnaires de nos administrations, nous avons le devoir de mettre en œuvre le pro-jet politique de nos élus. Que ce soit en participant activement au Comité de direction, en remettant des avis d’initiative ou simplement en échangeant nos idées, nous leur proposons des solutions concrètes pour réaliser les projets annoncés dans les déclarations de politique communale. Ainsi, nous sommes des acteurs-clés de la stratégie : nous proposons à nos « généraux » les tactiques pour activer les res-sources humaines, techniques et financières de l’administration.
La stratégie est l’art de mettre en œuvre les moyens car, une fois la décision prise, c’est à nous aussi, en équipe avec le Directeur général et nos chefs de service, que revient la responsabilité du succès ou de l’échec. Mauvaise transmission et ambiguïté des ordres, manque de coordination, mauvais choix du lieu des attaques, abandon des canons intacts… Si Napoléon avait mieux collaboré avec ses officiers, aurait-il perdu la bataille ? Alors, osons être audacieux ! Prenons le risque de nous exposer en tant qu’acteurs d’une stratégie gagnante, afin de réaliser des projets concrets favorisant le bien-être de nos citoyens.
Je tiens à remercier tous les Collègues qui ont participés à la conception et à la mise en œuvre de ce Congrès 2015, et particulièrement les membres du Comité organisateur qui se sont dépensés sans compter : Didier Passelecq, Christian Janssen, Jean-Bernard Rouge, Frédéric Haumont, Geoffroy Bodart et Étienne Claude. Un merci tout spécial également à Madame la Bourgmestre de Waterloo, Florence Reuter, ainsi qu’aux responsables des sites qui nous ont accueillis. Merci enfin à nos partenaires pour leur soutien financier.
Michel CORNÉLIS
Président de la section du Brabant wallon
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Mesdames, Messieurs,
Comme vous le savez probablement, un gouverneur de province est une fonction non élective, politique-ment neutre : le gouverneur est un haut fonctionnaire, au service de tous les citoyens demeurant sur son territoire. Pour la petite histoire, le constituant avait même prévu que les gouverneurs n’avaient pas le droit de se rencontrer entre eux, pour ne pas saper l’autorité du ministre de l’Intérieur, mais cette disposition a été rapidement abolie, en 1840. Le passage du temps a aussi joué sur la tenue d’apparat, et c’est avec un réel plaisir que j’ai appris lors de ma prise de fonction, le 1er novembre 2014, que le port de l’uniforme de gouverneur, composé d’un pantalon ligné, d’une jaquette à brocards dorés et d’un tricorne, était tombé, après la Seconde Guerre mondiale en désuétude… Seule l’écharpe tricolore (les couleurs nationales) a subsisté et est portée lors d’événements offi ciels et protocolaires.
Le gouverneur de ce début de 21ème siècle est tout à la fois : le représentant du Roi sur le territoire de la province ; le commissaire des gouvernements fédéral, régional et communautaire; le trait d’union entre ces niveaux de pouvoir et les bourgmestres ; l’« ambassadeur » de sa province ; le coordinateur de la sécurité civile (dont la planifi cation d’urgence) et policière, ou pour le dire autrement, le garant de la sécurité et de l’ordre public.
Outre ces missions essentielles, le gouverneur est aussi en charge d’une série de matières administratives telles que, notamment, l’application de la législation sur les armes, le règlement des dossiers de calamités, l’accueil des visites protocolaires, les passeports des expatriés, etc.
Parallèlement à ces missions formelles, subsiste un rôle important et non écrit : celui du facilitateur, chargé de mettre de l’« huile » dans les rouages des dossiers délicats. A titre d’exemple, le gouverneur a été omni-présent pendant plusieurs mois en tant qu’observateur des préparatifs des commémorations liées au bicen-tenaire de la Bataille de Waterloo en 2015. Ainsi, à plusieurs reprises, et sans porter atteinte au principe de l’autonomie communale, mes services ont pu attirer l’attention des bourgmestres commanditaires et des organisateurs sur différents points relatifs à la sécurité publique de cet événement, qui a rassemblé plus de 300.000 personnes et fut un beau succès. Ce rôle d’observateur s’est déroulé en parfaite harmonie avec les bourgmestres concernés, et a permis d’augmenter de manière signifi cative la qualité du dispositif de mobilité et de sécurité mis en place à cette occasion.
Bref, le gouverneur moderne est aujourd’hui l’autorité partenaire, au service de la population de son terri-toire et dont les compétences les plus essentielles relèvent de la sécurité et de l’ordre public.
Christophe BAESGouverneur a.i. du Brabant wallon
LE MOT DU G OUVE R N E U R
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scénographie
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LE MOT DUDÉPUTÉ P R O V I N C I A L
Mesdames,Messieurs,
2015 est véritablement une année exceptionnelle pour le Brabant wallon et le tourisme de mémoire.
Notre territoire a été sous le feu des projecteurs et a connu un énorme succès lors des commémorations du Bicentenaire de la Bataille de Waterloo, un événement au retentissement mondial.
En dehors des reconstitutions, c’est bien l’ensemble du Champ de Bataille, « formidable machine à remon-ter le temps » comme le qualifiait récemment un journaliste de la BBC, qui a fait peau neuve. Près de 50 millions d’euros publics et privés ont été investis pour construire, restaurer et revaloriser les différents sites : Mémorial 1815, Ferme d’Hougoumont, Dernier Quartier Général de Napoléon, Ferme de Mont-Saint-Jean, sans oublier les très nombreux monuments tels que l’Aigle blessé ou la Colonne Victor Hugo.
Les cérémonies du Bicentenaire étant désormais derrière nous, nous allons exploiter l’émulation créée par l’événement pour consolider une stratégie touristique cohérente et dynamique. Le Brabant wallon est au centre d’un dialogue entre les différents partenaires publics et privés du Champ de Bataille.
Demain, nous travaillerons à la mobilité et à la complémentarité entre les sites en termes de navettes, de synergies et d’économie d’échelle, pour que chaque euro dépensé pour promouvoir le moindre produit tou-ristique soit une promotion de l’ensemble du site et donc du territoire et de ses potentialités. Le Brabant wallon va surfer sur cette image positive véhiculée ces dernières semaines et continuera à investir les médias belges et étrangers, les foires et salons, les réseaux sociaux et les sites web spécialisés.
Le défi consiste à profiter pleinement de cet événement mondial pour augmenter le rayonnement cultu-rel, touristique et économique de notre belle région.
Je vous souhaite d’excellentes visites et d’enrichissants débats au cours de votre congrès.
Tanguy STUCKENS
Député provincial en charge du Dernier Quartier Général de Napoléon
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Françoise Van Vaerenbergh [email protected]
Cycle de 5 journées de formation, en inter ou intra
entreprise pour travailler la communication et les relations intrapersonnelles en tant que responsable
1. Rose de Leary : Comment est-ce que je me positionne par rapport aux autres et comment suis-je perçu par les autres ? Caractéristiques des huit octants de la Rose de Leary et de leur utilisation au sein de votre groupe
2. Communiquer, comprendre les clés des comportements relationnels : découvrez et utilisez l’assertivité pour savoir communiquer en toutes circonstances; gérez les critiques en réagissant positivement, comment dire non en gardant le contact; osez demander pour muscler votre confiance en vous .
3. Mener vos entretiens de manière professionnelle : comment vous préparer, comment réaliser l’entretien, comme gérer les entretiens difficiles grâce à l’écoute active, comment amener votre interlocuteur à exprimer ses attentes et à découvrir ses réelles motivations
4. Utiliser les outils de la vente orientée client vis-à-vis de ses collaborateurs : quelles sont les différentes résistances rencontrées ? Comment amener le collaborateur à transformer une crainte du changement en opportunité ? Quelle méthodologie utiliser en fonction du type de résistance de votre collègue? Autant de questions qui demandent une structure dans votre approche. 5. Comment gérer le développement des compétences de votre équipe : découvrez comment établir des matrices de compétences au départ de vos descriptions de fonction. Comment utiliser ces matrices et comment conscientiser chacun de vos collaborateurs à la mise en place de son propre plan de développement.
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STRATÉGO AU SEIN DE L’ADMINISTRATION
Depuis une vingtaine d’années, je travaille tant au sein du secteur privé que du secteur public. Ma passion : aider les personnes à développer leurs talents, leurs compétences.
Au fur et à mesure des expériences rencontrées, le concept de « stratégie » s’est souvent avéré être, pour mes interlocuteurs, un point faible, flou, derrière lequel se cachait pas mal de confusion. Quelle différence, en effet, entre la stratégie et l’objectif ? Quelle différence entre le management et le leader-ship ?
Le but de mes interventions est de clarifier des notions souvent confuses et de clarifier les rôles de cha-cun, les positions à prendre. Comme le disait Sun Tzu : « si le Général est généreux, mais incapable de diriger, bienveillant mais incapable de rétablir l’ordre, ses soldats, tels des enfants gâtés, seront inutiles ».
L’aspect « management » est donc indispensable. Mais si une stratégie ne se met pas en place faute de motivation, de compréhension, on risque fort de courir à la catastrophe.
Pour citer Michael Kami, ancien responsable stratégie chez IBM « une vision sans action n’est qu’une hallucination ». On parle d’art de la Stratégie, c’est effectivement un équilibre complexe à atteindre.
Françoise VAN VAERENBERGH
Françoise VAN VAERENBERGH
Formatrice depuis une vingtaine d’années, coach depuis dix ans en management, Françoise Van Vaerenbergh accompagne les managers au quotidien dans la définition et la mise en place de leurs stratégies de développement.
La communication de ces stratégies et des objectifs qui en dé-coulent est une étape fondamentale dans la réussite des chal-lenges de l’organisation.
Pour citer le Général Patton :« I prefer a loyal staff officer to a brilliant one »
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LEADERSHIP ET MANAGEMENT, LES DEUX PILIERS DU « COMMANDEMENT »
Il y a de cela quarante ans, je revêtais l’uniforme. Jeune candidat officier, j’étais loin d’imaginer qu’un jour je commanderais un régiment (le 1er régiment de Lanciers), une brigade (la 7ème Bri-gade – Brigade gauloise) et, cerise sur le gâteau, le Corps de réaction rapide européen (Eurocorps). Au terme de six périodes de commandement, à cinq échelons différents, j’ai eu l’occasion de réflé-chir en profondeur sur les questions de leadership et de management. Réflexion enrichie par deux années passées à enseigner le leadership aux jeunes candidats officiers de l’Ecole royale mili-taire.
Aux Etats-Unis et en Grande Bretagne, les notions de leadership et de management sont clairement différenciées. Ce n’est le cas, ni en France, ni en Belgique, où la confusion persiste et signe. Lors de mon séjour à Strasbourg, j’étais un client assidu de la très célèbre librairie Kléber. J’y ai trouvé très peu d’ouvrages traitant du leadership, tandis que les ouvrages sur le « management » foisonnaient. Le paradoxe est que là où les auteurs parlaient de management, ils voulaient en fait aborder la ques-tion du leadership. Finalement, quelle différence ? Disons simplement que ces deux notions sont dis-tinctes, complémentaires plutôt que concurrentes.
Le leadership s’attaque à la vision stratégique, au « quoi », au « pourquoi ». Le management s’inté-resse au « comment » et au « quand ». Un mariage harmonieux de ces deux compétences forme l’épine dorsale du « Commandement ».
Exemple historique :
Bataille de Midway, Océan Pacifique, juin 1942. Lorsque le porte-avions américain York-town rentre à Pearl Harbor, base navale des îles Hawaï, dans la foulée de la bataille de la mer de corail, il déroule un long sillage d’eau de mer mazoutée. Les coups portés par les japonais se soldent par des dégâts très importants. Il est à ce point endommagé que son équipage caresse la perspective d’un long séjour au port, agrémenté
de virées historiques et de jolies vahinés. Il va rapidement déchanter.
Une fois le navire entré en cale sèche, l’Amiral Chester Nimitz, assisté du personnel clé de son état-major et de techniciens, procède à l’évalua-tion des dégâts. L’ingénieur spécialisé dans la réparation des coques est formel : il faudra des semaines, sinon des mois, pour que le navire reprenne la mer. La réponse de Nimitz est sans équivoque : « je veux ce bateau dans trois jours » lance-t-il à ses collaborateurs médusés.
Il en sera ainsi et trois jours plus tard, réparé vaille que vaille mais à nouveau opérationnel, le navire voguera vers son destin.
Cette anecdote est remarquable à tous les égards. Elle met en scène deux intervenants, chacun parfaitement dans leur rôle, mais dont la profondeur de champ ne peut être compa-rée. D’une part, le spécialiste de la réparation des coques. C’est un technicien, qui raisonne en spécialiste. Son métier consiste à remettre des bateaux en état, de sorte qu’ils puissent prendre la mer, dotés de toutes leurs potentialités. Son modèle mental est conditionné par des facteurs pratiques : complexité et volume des travaux à entreprendre, main d’œuvre nécessaire, tant en qualité qu’en quantité, contraintes liées aux rythmes de travail, etc. On peut vraisemblable-ment lui reprocher d’appliquer des normes du temps de paix, et de ne pas saisir l’urgence de l’instant.
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A l’inverse, Nimitz est un stratège, un leader. Il a compris que la pénétra-tion du code secret de la Marine japonaise lui offre une opportunité unique, qui ne se représentera peut-être pas avant des mois. Il sait qu’au stade actuel, il ne peut aligner à coup sûr que deux porte-
avions, alors que les Japonais disposent d’un corps de bataille impressionnant, dont au minimum quatre porte-avions lourds forment le fer de lance. Pour conforter l’avantage du renseignement, il lui faut, im-pérativement, disposer d’un troisième porte-avions. Et peu importe dans quel état. L’essentiel est
que sa vitesse de croisière lui permette de lancer ses avions, et de participer à la bataille imminente avec le plus gros de ses capacités opérationnelles.
On connait la suite : la bataille de Midway se soldera par une écrasante victoire américaine, consacrant le mariage parfait d’un leadership lucide et solide, ser-vi par une gestion (« management ») remarquable des évènements.
Un exemple historique qui devrait conduire les chefs d’entreprise à différencier clairement deux notions : « to do the right things » (leadership) et « to do things right » (management). Matière à dis-cussion…
Guy BUCHSENSCHMIDT
Guy BUCHSENSCHMIDT
Le lieutenant général BUCHSENSCHMIDT est issu de l’Arme blindée. L’ensemble de sa carrière a pour toile de fond les opé-rations et la formation. A six reprises, il a été investi de respon-sabilités de commandement d’unités ou d’états-majors opéra-tionnels, à cinq échelons différents.
Il vient de quitter le commandement du Corps de réaction ra-pide européen (Eurocorps), pour reprendre la fonction de sous-chef d’état-major Stratégie auprès de l’Etat-major Général de la Défense. Son domaine de prédilection est l’Afrique centrale et plus particulièrement la République démocratique du Congo.
En cumul de ses diverses fonctions, il a enseigné le « lea-dership » à l’Ecole royale militaire. Le lieutenant général BUCHSENSCHMIDT est titulaire de distinctions honorifiques prestigieuses, tant nationales (Grand Officier de l’Ordre de la Couronne) qu’étrangères (Chevalier de la Légion d’Honneur – France).
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Descriptif de la visite
Venez découvrir ce haut lieu du souvenir de la bataille de Waterloo qui attire chaque année plusieurs centaines de milliers de visiteurs des quatre coins du monde.
La Butte du Lion vous offre une vue unique sur le champ de bataille après une ascension mémorable.
Le Panorama est une immense fresque de 110m de circonférence et de 12m de haut, réalisée en 1912, qui vous immerge au cœur de la bataille avec une sonorisation impressionnante.
Enterré au pied de la Butte du Lion, le Mémorial 1815 vous permet de vivre une des époques les plus tourmentées de notre Histoire … comme si vous y étiez. Guidé par un soldat de votre ar-mée favorite, vous découvrez la mécanique qui conduit inexorablement à la bataille. Plongez au cœur des combats, dans une expérience multi-sensorielle, truffée d’effets spéciaux, unique en Europe ! 1815 m² de parcours immersif dans une scénographie narrative, articulée autour de l’expérience de la bataille.
Dernier témoin authentique de la bataille du 18 juin 1815, la Ferme d’Hougoumont accueille une scénographie inédite: 4 salles d’exposition et un spectacle multimédia surprenant.
Informations pratiques
Horaires d’ouvertureD’avril à septembre : 9h30-18h30 D’octobre à mars : 10h-17h
AdresseRoute du Lion, 18151420 Braine-l’AlleudTél. : +32 2 385 19 12Fax : +32 2 385 00 [email protected]
Accessibilité des personnes à mobilité réduiteLe Mémorial et la Ferme d’Hougoumont sont accessibles aux personnes à mobilité réduite.
MEMORIAL 1815
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LA STRATÉGIE DANS LE SECTEUR PUBLIC
Le monde qui nous entoure évolue à une vitesse qui ne cesse de s’accélérer, de s’emballer. Dans cet envi-ronnement qui se complexifie, une vérité du jour n’est plus forcément celle du lendemain. Gérer l’espace publique d’aujourd’hui doit donc nécessairement s’envisager différemment qu’hier.
Ce contexte, en perpétuelle ébullition dans lequel l’action publique doit se poser, est très différent de celui de nos prédécesseurs et implique la nécessité d’une vision politique et administrative mieux structurée, plus professionnelle et donc davantage adaptée au monde globalisé dans lequel nous vivons.
Si le monde évolue, le rôle de l’action publique reste immuable : apporter des réponses efficaces pour assurer le bien-être de l’ensemble des citoyens. Les défis modernes quant à eux se multiplient plus rapi-dement : augmentation du coût de la vie, de l’accès au logement, problèmes de mobilité…, autant de diffi-cultés pour lesquelles le citoyen attend une réponse immédiate alors que celles-ci ne peuvent s’entendre à plus long terme. Il faut l’admettre, aujourd’hui, l’action politique se situe trop souvent dans la réactivité.
Il est fondamental que l’action politique puisse reprendre sa juste place et être accompagnatrice attentive du changement en temps réel. Cela suppose une lecture éclairée de l’évolution du contexte dans lequel s’inscrit l’action publique mais aussi le développement de politiques adaptées à son accompagnement. A titre d’exemple, en Brabant wallon, on observe une augmentation démographique qui s’accentuera dans l’Ouest de la Province ces prochaines années c’est dès à présent que doivent s’envisager les projets qui apporteront les services de bases aux citoyens qui s’y installeront (commerces, crèches, écoles, mobilité).
Pour ce faire, il est dès lors essentiel que l’action publique s’inscrive dans la durée et ne se cantonne pas à des échéances de législature, souvent soumises à la pression populaire de l’élection.
A l’éclairage de ces éléments, les pouvoirs publics s’inscrivent de plus en plus dans des méthodes de tra-vail inspirées de l’organisation entrepreneuriale qui induisent la mise en œuvre de processus destinés à se projeter de manière structurée dans sa vision, ses objectifs et ses actions.
Depuis plusieurs années maintenant, le Brabant wallon, soucieux d’être le plus efficace possible pour sa population mais surtout d’apporter aujourd’hui les réponses aux questions de demain, s’est inscrit dans cette voie.
Aujourd’hui, le Collège provincial traduit sa déclaration de politique général en lettre de mission qui com-porte l’ensemble des objectifs à réaliser à court moyen et long terme. La traduction de ses objectifs en actions concrètes est largement concertée notamment avec l’administration provinciale afin d’en améliorer l’efficacité et leur degré de réalisation. Cela débouche sur un plan d’actions qui constitue le plan straté-gique de notre institution, véritable feuille de route destiné à améliorer la prise en charge des grands défis de notre territoire.
Ainsi, chaque action aussi insignifiante soit elle, construit l’achèvement d’un ob-jectif dont la finalité est le bien être de toute notre population.
Emile de Girardin affirmait que « Gouverner, c’est prévoir ». Ce précepte est plus que jamais d’actualité. Anticiper, penser plus loin est une des manières d’assumer ses responsabilités car c’est bien dans les actions que nous posons aujourd’hui que se trouvent une partie des réponses aux problèmes que nous rencontrerons demain.
Mathieu MICHELPrésident du Collège provincial du Brabant wallon
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Au cœur de Waterloo, le musée Wellington est ins-tallé dans une ancienne auberge-relais datant du 18ème siècle. Le duc de Wellington, commandant les armées alliées opposées aux forces françaises de Napoléon, y installa, les 17 et 18 juin 1815, son Quartier Général. Cette auberge bien située, était assez vaste pour accueillir les multiples services de son état-major. Au soir de la bataille, le duc y rédigea le communiqué de victoire adressé au gouvernement britannique.
A PROPOS DU MUSEE WELLINGTONLes nombreux documents, gravures, armes et sou-venirs authentiques vous rendent l’exposition claire et instructive. De salle en salle, vous découvrirez le rôle des nations ayant pris part au combat. La bonne conservation de la demeure et l’agence-ment des collections contribuent à sensibiliser le visiteur à ce grand moment de l’Histoire.Vous découvrirez une collection d’armes, spécimens rares, dont «La Suffi sante», canon de 6 livres, fabri-qué à Douai en 1813 et pris sur le champ de bataille ainsi qu’une copie de la fusée à la «Congreeve».Nous vous recommandons vivement de visiter le musée avant de vous rendre sur le champ de ba-taille. Votre découverte n’en sera que plus agréable.
LE MUSEE VOUS ACCUEILLEToute l’année, de 10h00 à 17h. Sur demande, le musée peut ouvrir ses portes pour les groupes, à partir de 9h.Elargissement des horaires de 9h30 à 18h00 à par-tir du 1er avril jusqu’au 30 septembre. Le musée est fermé les 25 décembre et 1er janvier.
SUIVEZ LE GUIDEMoyennant un supplément de prix, des guides multilingues sont à votre disposition pour la visite du musée, ainsi que du champ de bataille. Il est souhaitable de réserver le guide une dizaine de jours avant la visite. Des audio guides sont égale-ment proposés aux visiteurs individuels, et ceci en plusieurs langues (français, anglais, néerlandais, allemand, italien, espagnol, japonais et chinois).
CONTACTMusée WellingtonChaussée de Bruxelles 1471410 WaterlooTél. : **32(0)2/357 28 60Fax : **32(0)2/354 28 31e-mail : [email protected] : www.museewellington.be
M U S E E WELLINGTON
REVIVEZ UN GRAND MOMENT D’HISTOIRE
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8 h 00 Accueil - Café et viennoiseries Sous la tente « bivouac » de la maison communale de Waterloo.
9 h 00 Pour les congressistes Stratégo au sein de l’administration Conférence interactive par Madame Françoise Van Vaerenbergh et le lieutenant général Guy Buchsenschmidt.
Pour les pensionnés et les accompagnants Musée Wellington (visite, café, film sur la bataille) Visite guidée par Monsieur Etienne Claude ou activité libre.
13 h 00 Départ en bus de la maison communale vers le Hameau du Lion
13 h 15 Walking lunch (Hameau du Lion) Dans la salle d’exposition du Mémorial 1815.
15 h 00 Mémorial 1815, Butte et Panorama (Hameau du Lion) Visite sous la conduite de guides 1815 ou activité libre.
17 h 00 Apéritif des Alliés (Hameau du Lion) A la Brasserie RN Wellington (en face du Lion).
18 h 00 Départ en bus du Hameau du Lion vers la maison communale
18 h 30 Open bar et zakouskis Au « Martin’s Grand Hotel **** La Sucrerie ».
20 h 00 Banquet des Officiers et soirée dansante Tenue de ville souhaitée.
PROGRAMMEJeudi 17 septembre 2015
1918
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8 h 00 Déjeuner A l’hôtel
10 h 00 Dernier QG de Napoléon Visite sous la conduite de guides 1815 ou activité libre.
Cours de cuisine : les secrets d’un barbecue réussi Par le chef Rohan Hennebert ou activité libre.
12 h 30 Barbecue des Grognards Par le chef Rohan Hennebert.
15 h 00 Fin du congrès
PROGRAMMEVendredi 18 septembre 2015
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ASPECTS PRATIQUESJeudi matin | 17 septembre 2015
Rendez-vous du jeudi matin (tente à l’arrière de la maison communale)
Parking voitures réservé à l’arrière de la maison communale de Waterloo, 25 rue François Libert à 1410 Waterloo.
Des autocars sont à votre disposition le jeudi après-midi
départ 13 h 00de la maison communale de Waterloo > le Hameau du Lion
départ 18 h 00 du Hameau du Lion > la maison communale de Waterloo
Maison communale de Waterloo
Musée Wellington
Martin’s Grand Hotel La Sucrerie
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• Mobilité : un trafic plus fluide, vers, dans et autour de votre commune• Sécurité : une commune qui veille au bien-être et à la quiétude de ses habitants• Durabilité : un lieu agréable où il fait bon vivre, aussi demain
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ASPECTS PRATIQUESJeudi soir | 17 septembre 2015
Rendez-vous du jeudi soir (déplacement en voitures personnelles vers le Martin’s Grand Hotel La Sucrerie)
Parking voitures disponible au Martin’s Grand Hotel La Sucrerie, 198 chaussée de Tervueren à 1410 Waterloo.
Maison communale de Waterloo
Musée Wellington
Martin’s Grand Hotel La Sucrerie
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ASPECTS PRATIQUESVendredi matin | 18 septembre 2015
Rendez-vous du vendredi matin (déplacement en voitures personnelles vers le Dernier QG de Napoléon)
Parking voitures disponible au Dernier QG de Napoléon, 66 chaussée de Bruxelles à 1472 Genappe.
Mémorial 1815 et Butte du Lion
Ferme de Mont Saint-Jean
Dernier QG de Napoléon
Martin’s Grand Hotel La Sucrerie
ATTENTION :
Favorisez le covoiturage pour vous rendre au Dernier QG de Napoléon. Le parking est limité.
Soyez prudent, car la sortie du parking du Dernier QG de Napoléon sur la Chaussée de Bruxelles est relativement dangereuse !
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Conseil et gestion
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LISTE DES PARTICIPANTS
ALLAER Isabelle DF Visé
ALOMENE Isabelle DF CPAS Aubange
ARS André Retraité
BAES Christophe Gouverneur a.i.
BAEYENS Frédéric DF CPAS Ottignies-Louvain-la-Neuve
BALLESTRIN Corinne DF CPAS Fléron
BAMS Françoise Accompagnant
BARTH Thierry DF Kelmis
BAUDELET Michelle Accompagnant
BAUDUIN Claudine Accompagnant
BENOIT Jean-Pierre DF CPAS Theux
BERNRATH Wilfried DF CPAS Eupen
BIEUVLET Jérôme DF Pepinster
BODART Geoffroy DF Chaumont-Gistoux
BODARWE Raymond DF Province du Luxembourg
BOUDRY Jean-Marc DF Montigny-le-Tilleul
BOULANGER Philippe Accompagnant
BOVERIE Michèle UVCW - Secrétaire générale adjointe
BOXHO Claudine DF Esneux
BRANDT Frédéric Accompagnant
BRUWIER Christiane DF CPAS Oupeye
BUCHSENSCHMIDT Guy Lieutenant général - orateur
CALICICS Isabetlle DF CPAS Chimay
CAMBIER Claudine Accompagnant
CANEVE Pirino Accompagnant
CARPENT Michael Accompagnant
CHALSECHE Valérie DF Seraing
CHARLES Anne-Sophie DF Sambreville
CLERFAYS Terry Accompagnant
COCHARD Bénédicte DF CPAS Sambreville
COLLART Jean-Pol DF Thuin
COLLIN Cyrille Accompagnant
CORNELIS Michel DF La Hulpe
CROES Jean-Bernard Accompagnant
DALLONS Bernard DF CPAS Manage
DE LONGUEVILLE Catherine DF Ittre
DELHAES Claire DF Amay
DEMEULDER Bernard Accompagnant
DENONCIN Denis DF CPAS Walcourt
DERYCKE Brigitte DF CPAS Enghien
DESSALLES Valérie DF La Louvière
DETROZ Céline Accompagnant
DEWAELE Bernadette Accompagnant
DEWEL Bernard DF Genappe
DISPA Géraldine DF CPAS Couvin
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DOCQEGNIES Muriel Accompagnant
DODEMONT Ginette Accompagnant
DODION Donatienne DF Mont-Saint-Guibert
DUCHESNE Valérie DF Andenne
DU PARC Nathalie Présidente du Mémorial 1815
DURY Guy DF Dour
FALLY Dominique Accompagnant
FARNIR Nathalie Présidente - Fédération des receveurs - Bruxelles
FLABAT Fernand DG Waterloo
FLAMME Freddy Retraité
FLORIN Luc Accompagnant
FLORKIN Aurélie DF Fléron
FOCQUET Jean-Pierre DF CPAS Braine l'Alleud
GOBLET André Accompagnant
GODART Monique DF CPAS Beaumont
GOELFF Corinne Accompagnant
GOFFIN Guy Retraité
GOFFIN Yves DF Enghien
GRAVA Laurent Président - Fédération des DG CPAS - Wallonie
GUILLAUME Brigitte DF Chaudfontaine
GUILLAUME Guy Retraité
HAUMONT Fréderic DF Grez-Doiceau
HAUTEKEET Laurent DF CPAS Walhain
HEMBERG Christine Accompagnant
HENDERIX Patrick Accompagnant
HERPOEL Elisabeth DF Mouscron
HOLEMANS Virginie DF CPAS Grez-Doiceau
HUART Jean-François DF CPAS Liège
HUSTACHE Johan DF Ellezelles
JACQUES Brigitte DF Waremme
JACQUES Christelle DF Bertrix
JANSSEN Christian DF Waterloo
KHOVRENKOVA Anna DF Estinnes
LAMBOT Martine Accompagnant
LAMBOT MC Accompagnant
LANGER Reiner DF Butgenbach
LEFEBVRE Laurence DF CPAS Mouscron
LEJEUNE Marc DF Libramont-Chevigny
LEKIM Fabrice Responsable du Mémorial 1815
LELEUX Olivier DF Braine-le-Château
LEMAIRE Vivien DF Dison
LEPIECE Jean-Luc Retraité
LIPS André Retraité
LIVIN Albert Retraité
LUXIMON Nitin Accompagnant
MAGERUS Michel DF Wavre
MARENNE Christelle DF CPAS Esneux
MERCIER Annie DF Frasnes-lez-Anvaing
MESSELIS Luc DF Silly
MESSINA Catena DF CPAS Braine-le-Comte
MICHEL Léopold Retraité
MICHEL Sophie DF Hélécine
MOREL Catherine Accompagnant
MORTIER Stéphane DF Walhain
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MOULIN Eddy DF Tournai
MOUREAU Philippe Accompagnant
NAVETTE Benoit DF CPAS Huy
NEBROJ Valérie DF Dour
NEYCKEN Herman-Joseph DF Raeren
NICOLAS Régis Accompagnant
NIEUNEZ Irène Accompagnant
PAILLOT Patricia DF Ham-sur-Heure/Nalinnes
PAQUAY Eric Accompagnant
PARMENTIER Claude Directeur de Cabinet Adjoint
PASSELECQ Didier DF Ottignies-Louvain-la-Neuve
PASSELECQ Philippe DF Tubize
PEC Emmanuelle Accompagnant
PETRE Josiane Accompagnant
PIERART Fabrice Accompagnant
PIETTE Françoise Accompagnant
PIQUIN Jean-Pol DF Philippeville
PIRLET François Accompagnant
RACANELLI Luigi Accompagnant
RADEMAKER Martine DF Oupeye
REUTER Florence Bourgmestre de Waterloo
RION Laurence Accompagnant
ROBAYE Stéphanie DF Morlanwelz
ROCHEZ Monique Accompagnant
ROSSKAMP Elisabeth Accompagnant
ROUGE Jean-bernard DF Province du Brabant wallon
SCHOBBEN Monique DF CPAS Dison
SCOURNEAU Vincent Bourgmestre de Braine-l’Alleud
SERET Nathalie DF CPAS Beyne-Heusay
SIMONS Jean-Pierre Accompagnant
SMETS Serge Accompagnant
STALMANS Virginie Accompagnant
STASSE Paulette Retraitée
STEENHOUDT Pascale DF CPAS Lobbes
STEENHOUT Carine Accompagnant
STERCQ Dominique DF CPAS Tubize
STOQUART Philippe DF Frameries
STUCKENS Tanguy Député provincial
STYLE Marianne Accompagnant
SUBROVA Daniela Accompagnant
TERRASI Giovanni Accompagnant
THILL Frederic DF Arlon
THIRY Chantal DF CPAS Arlon
VAN BRITSOM Luc DF CPAS Thuin
VANDERBECK Séverine Accompagnant
VANDERSTEEN Martine DF Nivelles
VANTYGHEM Jean-Luc DF Fontaine-l'Evêque
VAN VAERENBERGH Françoise Orateur
VERMEERSCH Anne-Cécile Accompagnant
VIROUX Nathalie DF Herve
WRIGHT Danielle DF CPAS Waterloo
WYLLOCK Emmanuel DF Villers-la-Ville
3232Belfius Banque SA, Boulevard Pachéco, 44 à 1000 Bruxelles – IBAN BE23 0529 0064 6991 – BIC GKCC BE BB – RPM Bruxelles TVA BE 0403.201.185 – no FSMA 19649 A
& Sustainable Development, construisons ensemble la ville de demain !
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Les villes et les communes de Belgique font face à nombreux défis liés au contexte économique, à la mobilité, ou encore à l’environnement. Malgré une situation économique peu favorable, elles les relèvent avec ambition, volonté et créativité. C’est ainsi que nous voyons se développer de multiples projets que nous pouvons qualifier de durables et intelligents.
Forte de son engagement auprès des pouvoirs publics, Belfius Banque a développé plusieurs initiatives afin de stimuler l’émergence de villes intelligentes :
• Une ligne de crédit exclusive de Belfius et de la Banque européenne d’investisse-ment de 400 millions d’euros pour développer des villes et communes « smart » et durables en Belgique au travers de projets dans les domaines de la mobilité, du développement urbain et de l’efficacité énergétique ;
• Le lancement du « Belfius Smart City Award », un concours à destination des pouvoirs locaux dont le but est de récompenser le projet le plus « smart » mis en œuvre par une ville ou commune du pays ;
• Le soutien du « Smart City Institute », nouvel institut universitaire créé à Liege par HEC-ULg qui a pour but de stimuler la recherche, la formation, l’innovation et l’entrepreneuriat dans le domaine de la ville intelligente.
Pour mieux vivre demain devenez une « Smart City » !
Interessé(e)?
Votre chargé de relations vous fournira de plus amples informations.Vous pouvez aussi consulter notre page web www.belfius.be/smartcities.
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