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D.Machefert Cadre hygiénisteFévrier 2011
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Définition du DANGER
Source ou situation pouvant nuire par blessure ou atteindre la santé, ou être cause de dommage de
l’environnementou engendrer une combinaison de
ces éléments
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En établissement de Santé
Le danger pour le patient, c’est l’infection nosocomiale
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Définition du RISQUE
C’est la probabilité de survenue d’un danger dommageable au patient
Le risque est crée lorsque dans une situation déterminée, avec une possibilité de rencontre entre un élément dangereux et une cible.
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En établissement de Santé c’est quoi le risque infectieux
pour le patient ?
Le risque, c’est
d’attraper une infection nosocomiale
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Risque réel ou risque potentiel ?
le risque « réel » est celui qui existe Il est statistiquement mesurable, En fait, ce sont les conséquences de ce
risque qui sont évaluées et permettent la mise en place de mesures préventives.
le risque « potentiel » exprime la possibilité, la probabilité de l’apparition d’un événement difficilement évaluable.
Etant mal connu, il est difficile à appréhender et à prévenir.
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Le risque infectieux
A l’hôpital, le risque infectieux est omniprésent, cependant il ne survient pas de façon
mathématique. Ce risque est variable car lié à plusieurs éléments:
L’agent infectieux La personne soignée (hôte) L’acte de soinsL’environnement
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Comment ce concrétise le risque Inf. ?
3 temps:La contamination par la présence d’agents
infectieux La colonisation avec envahissement c.à.d
multiplication des agents infectieux présents sans signes cliniques
L’infection avec signes cliniques et/ou biologiques. (il arrive que l’infection soit asymptomatique)
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Définition d’une IN Une infection est dite nosocomiale si elle apparaît au
cours ou à la suite d’une hospitalisation et si elle était absente à l’admission à l’hôpital
Lorsque à l’admission, la situation précise n’est pas connue, un délai d’au moins 48 heures après l’admission (ou un délai supérieur à la période d’incubation lorsque celle-ci est connue) est communément accepté pour distinguer une infection d’acquisition nosocomiale d’une infection communautaire.
Pour les infections du site opératoire, on considère comme nosocomiales les infections survenues dans les 30 jours suivant l'intervention, ou, s'il y a mise en place d'une prothèse ou d'un implant, dans l'année qui suit l'intervention
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La qualité des soins
L’Art. 2 du décret n°2002-194 du 11 février 2002, relatif aux actes professionnels et à l’exercice de la profession d’infirmier, précise ce que les soins infirmiers intègrent qualité technique et qualité des relations avec le malade.
La qualité des soins est mesurée selon des référentiels professionnels et permet d’optimiser de manière constante le service rendu à la personne soignée.
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Dans le contexte de qualité des soins
comment prendre en compte le risque infectieux?
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Identification du risque
Prend en compte: la vulnérabilité de la personne soignée face
à l’infection, la nature de l’acte de soin, les conditions environnementales.
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PERSONNE SOIGNEE•sans facteur de risque infectieux identifié
•à risque infectieux intermédiaire•à risque infectieux élevé
MOI, L’IDE
J’identifie et j’évalue le risque
L’ACTE DE SOIN
• à risque infectieux faible
•à risque infectieux intermédiaire
•à risque infectieux élevé
L’ENVIRONNEMENT
•Classique, non maitrisé
•Maitrisé, système de traitement
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Les facteurs de risque liés à la personne soignée
Toute personne soignée est, plus ou moins, susceptible de développer une infection.
Sont particulièrement sensibles ou réceptives les personnes soignées présentant :
un déficit immunitaire : traitement immunodépresseur, chimiothérapie au long cours, hématologie neutropénie inférieure à 500/mm3, médecine aplasie, leucémie, lymphome, infectieuse cancer métastatique, SIDA avéré...
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Les facteurs de risque liés à la personne soignée
une pathologie aiguë et grave : polytraumatisme, défaillance
viscérale aiguë brûlures étendues, perturbations physiologiques et
nutritionnelles un foyer infectieux :
infection plus ou moins généralisée, multi-infection
colonisation à bactéries multi-résistantes
RéanimationSoins intensifs
MédecineChirurgie
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Les facteurs de risque liés à la personne soignée
une pathologie chronique : diabète, insuffisance rénale, insuffisance hépatique, insuffisance
respiratoire, insuffisance cardiaque
une perte d’autonomie : handicap, démence
MédecineChirurgie
GériatrieRéeducationNeurologiepsychiâtrie
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Les facteurs de risque liés à la personne soignée
un âge extrême : Avant 1 an :
les nouveaux-nés, surtout prématurés,dont le système immunitaire est
immature Après 65 ans :
multi-pathologie associée, défense amoindrie
Néonatalogie
Gériatrie
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Identifier le risque « personnes soignée »
La personne soignée sans facteur de risque Sans colonisation connue Sans infection connue
La personne soignée à facteur de risque intermédiaire Infectée par des agents infectieux habituels et / ou colonisée à bactéries multi résistantes (BMR) et / ou fragile et vulnérable à l’infection
Personne soignée à risque infectieux élevé : Infectée avec un agent infectieux « spécifique » (Bacille de Koch, Clostridium…) et / ou infectée à BMR, et / ou en immunodépression sévère
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Facteurs de risque liés aux actes de soins les actes de soins à risque infectieux faible :
lorsqu’il y a contact direct avec une peau saine les actes de soins à risque infectieux intermédiaire :
lorsqu’il y a contact avec des muqueuses ou des peaux lésées superficiellement
les actes de soins à risque infectieux élevé : lorsqu’il y a pénétration dans les tissus ou cavités
stériles ou introduction dans le système vasculaire, quelle que soit la voie d’abord
le risque infectieux sera d’autant plus élevé, que la durée d’exposition à ce risque sera longue.
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Classement des dispositifs médicaux et niveau de traitement requis
Le degré de risque identifié détermine le niveau de traitement du dispositif utilisé
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Facteurs de risque liés à l’environnement Difficile d'établir un lien épidémiologique entre
l’agent infectieux de l’environnement et la survenue de l’infection.
Cependant, la présence et la survie de micro-organismes plus ou moins pathogènes dans le contexte hospitalier sont connues, de même que la possibilité de transmission directe ou indirecte de ces agents infectieux Exemple de transmission directe: légionelle,
aspergillus Exemple de transmission indirecte: La
transmission de germes pathogènes présents dans l’eau par l’intermédiaire d’un endoscope qui a été rincé avec une eau de qualité non appropriée
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Que faut-il faire pour lutter contre le risque infectieux ?
plus l’acte de soins et/ou l’environnement sont « maîtrisés » plus le risque infectieux diminue, ceci signifie la mise en place de comportements adaptés.
Mettre en place des moyens de prévention:Ensemble de mesures prises pour sécuriser un
objet, un lieu ou une personne.
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Les mesures préventives minimales sont le préalable à toute situation de soin : les notions d’hygiène de base et les précautions standards appliquées à toute personne
soignée, quel que soit son statut infectieux et son environnement, afin d’assurer une protection systématique des patients
et du personnel vis à vis du risque infectieux, et notamment du risque de transmission par le sang ou les liquides biologiques.
Les précautions standard peuvent être complétées par des précautions particulières
Quels sont les moyens de prévention contre le risque infectieux ?
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Prévention des risques liés à l’état de la personne soignée
Personne soignée sans facteur de risque infectieux identifié :
Notions d'hygiène de base
+Précautions standards
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Prévention des risques liés à l’état de la personne soignée
Personne soignée à risque infectieux intermédiaire infectée par des agents infectieux habituels et/ou colonisée à BMR ou fragile et vulnérable à l’infection
Notions d'hygiène de base +
Précautions standards +précautions particulières adaptées
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Prévention des risques liés à l’état de la personne soignée
Personne soignée à risque infectieux élevé infectée par un agent infectieux « spécifique » et/ou infectée à BMR et/ou immunodépression sévère
Notions d'hygiène de base +
Précautions standards +précautions particulières adaptées et renforcées
si besoin
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Prévention des risques liés à l’acte de soin
Des exigences générales d’asepsie sont définies en fonction du degré de risque infectieux lié à l’acte de soin.
Elles concernent notamment l’hygiène des mains des soignants, l’antisepsie cutanée, le matériel médico-chirurgical, la tenue de l’opérateur, l’environnement directement lié à l’acte de soin
(guéridon de soin…) :
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Prévention des risques liés à l’acte de soin
Pour les actes de soins à risque infectieux faibleun environnement propre,une désinfection de bas niveau concernant le
matériel médico-chirurgical,une hygiène des mains (désinfection par
friction ou lavage simple).
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Prévention des risques liés à l’acte de soin
Pour les actes de soins à risque infectieux intermédiaire : un environnement propre et désinfecté avant le soin, Du matériel à usage unique stérile en priorité
ou du matériel réutilisable stérilisé, ou à défaut du matériel réutilisable qui aura subi
une désinfection de niveau intermédiaire, une tenue adaptée de l’opérateur, une hygiène des mains (désinfection par friction ) une technique de soin aseptique.
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Prévention des risques liés à l’acte de soin
Pour les actes de soins à risque infectieux élevé: un environnement propre et désinfecté et/ou stérile, avant le soin, prioritairement du matériel à usage unique stérile, ou
du matériel réutilisable stérilisé, ou à défaut du matériel réutilisable qui aura subi une désinfection de haut niveau ,
une tenue adaptée stérile de l’opérateur (surblouse, gants stériles, éventuellement charlotte et masque),
une hygiène des mains (désinfection chirurgicale par friction )
une technique de soin aseptique, de type chirurgical.
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Prévention des risques liés à l’environnement
Le degré de maîtrise de la qualité de l’environnement est défini par : l’état immunitaire de la personne soignée et par le degré d’asepsie de l’acte qui est
réalisé dans cet environnement.
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Prévention des risques liés à l’environnement
La qualité et la sécurité de l’environnement supposent plusieurs méthodes qui n’assurent pas toutes le même degré de maîtrise.
Pour un environnement classique, habituel, le bionettoyage est suffisant pour réduire de façon
temporaire la contamination des surfaces. Pour un environnement dit « maîtrisé »,
un système de maîtrise (traitement de l’air et/ou de l’eau) est installé pour limiter l’apport de contaminants exogènes,
le bionettoyage est répété, plusieurs fois par jour.
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En résumé
Pour un soin donné, il existe des recommandations dites « incontournables»,
leur efficacité a été soit prouvée par des études(diminution des
infections nosocomiales), soit approuvée par un consensus d'experts.
De ce fait, elles doivent obligatoirement s'intégrer à tout protocole de soin.
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Les bases de la prévention
Prévenir les Infections Nosocomiales
2 critères permettent d’évaluer le risque infectieux: la fréquence de survenue de l’IN la gravité de l’infection
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L’Organisation du travailparticipe à la prévention des risques
Afin de maîtriser la gestion du risque infectieux, l’organisation du travail doit prendre en compte le soin individualisé dans un contexte plus général de prise en charge d’un groupe de personnes soignées.
Certains principes doivent être respectés pour assurer la gestion du risque infectieux : Assurer un soin individualisé. Regrouper des soins pour un même patient. Réaliser un soin aseptique dans un environnement propre. Regrouper les tâches contaminantes. Travailler avec rigueur et calme. Assurer la traçabilité des actes accomplis.
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Notions d’hygiène de base
Les règles d ’hygiène s’appliquent aux
patients et à tout le personnel
hygiène corporelle tenue professionnelle hygiène des mains précautions standards
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Hygiène corporelle
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Hygiène corporelle
Douche quotidienne avant prise de fonction
Linge de corps propre cheveux propres et attachés pas de bijoux, ni bague, ni alliance, ni bracelet,
ni montre ongles propres, courts, sans vernis, ni faux
ongles hygiène des mains avant de revêtir la tenue
professionnelle (et après l’avoir retirée)
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Tenue professionnelle
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Tenue professionnelle Blouse ou tunique + pantalon Chaussures réservées au travail, silencieuses
et faciles d’entretien, fermées sur le dessus pour la sécurité et derrière pour l’ergonomie,
Portée par tous exclusivement dans l’ hôpital, Foulard, gilet, effets personnels…sur la tenue
manches longues dépassant sous la tenue: interdits Changement quotidien voire + si nécessaire, Mettre les tenues sales dans les sacs de linge spécifiques et
en aucun cas, les emporter au domicile, Retrait de la tenue au réfectoire et aux réunions hors
service
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HYGIENE DES
MAINS
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Qui est concerné ? Tout le personnel hospitalier
y compris le personnel non soignant les visiteurs
Le personnel soignant doit inciter tout visiteur à respecter l’hygiène des mains
Objectifs Réduire le manu-portage. réduire voire éliminer la flore
microbienne présente à la surface de la peau
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Préalables à une bonne hygiène des mains
Ni bracelet Ni montre
Ni alliance Ni bague
Ni vernis Ni faux ongles
Manches courtes
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Hygiène et désinfection des mains
Gel hydroalcoolique
2 techniques:
la friction hydroalcoolique à prioriser
le lavage avec de l ’eau et du savon doux quand les mains sont souillées
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Quand ?
La désinfection des mains À appliquer dans toutes situations de soins.Elle doit être adaptée à la situation
soin, personne soignée, acte, environnement…
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Quand ? Avant et après tout acte associé aux soins
de confort, d’hygiène et d’hôtellerie :
Nursing
Distribution du repas
Bionettoyage
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Quand ?Avant et après le retrait des gantsAvant tout acte de soins infirmiersEn entrant et avant de sortir de la chambre
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Précautions standard
ce sont des mesures de préventions contre le risque de transmission d ’agents infectieux transmissibles par l’intermédiaire du sang et des liquides biologiques. Ces mesures sont appelées précautions
« Standard ».
c ’est quoi?
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Précautions standards
Elles sont présentées dans la circulaire DGS/ DH-n°98/249 du 20 Avril 1998
elles doivent être appliquées:
lors de tous soins, à tous patients,quelque soit son statut
infectieux par tous soignants
Cadre législatif
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Surblouse ou Tablier
Lors de soins particulièrement contaminant
si risque de projection de liquide biologique ou chimique
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Masque et Lunette de protection
Lors de soins particulièrement contaminant
si risque de projection de liquide biologique ou chimique
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Gants
Si risque de piqûre
Si risque de contact avec des liquides biologiques ou chimiques
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Notions d’hygiène de baserègles aux matériels
Les règles d ’hygiène passent par: Le traitement des dispositifs médicaux le bionettoyage des locaux et mobiliers le respect des circuits
RestaurationDéchetsLinge
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LE BIONETTOYAGELE BIONETTOYAGE
le bionettoyage réduit le niveau de contamination de l ’environnement
C’est un des maillons de la chaîne pour la prévention des infections nosocomiales
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on nettoie d ’abord avec un détergent, pour supprimer les salissures
ensuite on désinfecte avec un désinfectant, pour inactiver ou tuer les micro-organismes
On ne désinfecte que ce qui est propre
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Qu’est-ce que nettoyer ?
C ’est rendre propre en éliminant les salissures sans détériorer le matériau que l ’on nettoie.
C ’est rendre sain l ’environnement en éliminant les salissures porteuses de germes. Une surface peut être visuellement propre mais être
porteuses de germes.: traces de doigts, poussières 1 gr de poussières = 1.5 millions de germes
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Où se trouvent les germes? Partout, mais surtout:
dans les endroits chauds et humides:les surfaces (sol et mobilier)les liquides biologiques (sang, selles, urines,
crachats, vomissement…) les sanitaires
autour des robinetteries mousseurs et joints de robinetteriecuvettes des WC et balayette
dans les particules de l ’air sur le matériel touché et manipulé par les personnes
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Essuyage humide du mobilier: Lavettes à UU + produit
Balayage humide Balai trapèze + gazes
Lavage à plat : Balai rasant + franges
Technique du bionettoyage
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Paramètres d’entretienParamètres d’entretien
Diversité des locaux : Une classification des locaux en zone à risque permet de déterminer des niveaux d’exigence selon le risque infectieux (fréquence d ’entretien)
Méthodes d ’entretien,Activités pratiquées,Variétés des actes médicaux,Diversité des patients.
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Traitement des dispositifs médicaux
Désinfection et stérilisation des DM, selon les procédures mises en place dans l’établissement avec prise en compte des différents niveaux de risque.
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Niveau de risque infectieuxLe matériel médico–chirurgical contaminé par
les germes du patient doit subir différents traitements avant sa remise en circuit,
Ce traitement sera effectué après avoir évalué le niveau de risque infectieux.
DM en contact avec la peau saine ou sans contact avec le patient
Classement du matériel: non-critiqueNiveau de risque infectieux: risque basTraitement requis: désinfection de bas niveau
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Ex: gastroscope, colonoscopeClassement du matériel: semi-critiqueNiveau de risque infectieux: risque médianTraitement requis: désinfection de niveau
intermédiaire
DM en contact avec les muqueuses ou la peau lésée superficiellement
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Ex: instruments chirurgicaux, implants, pinces à biopsie, arthroscopes, cystoscope, hystéroscope….
Classement du matériel: critiqueNiveau de risque infectieux: haut risqueTraitement requis: stérilisation ou usage unique
stérile ou à défaut désinfection de haut niveau
DM introduit dans le système vasculaire ou dans une cavité ou tissus stérile
quelle que soit la voie d’abord
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selon le niveau de selon le niveau de traitement requistraitement requis
Spore bactérienne
désinfection de niveau intermédiaire
Mycobactéries Petit virus et
virus non lipidique Fungi
Spectre l’activité Spectre l’activité à atteindreà atteindre
désinfection de bas niveau
Bactéries végétatives virus de taille moyenne
et virus lipidique
stérilisation/ désinfection
de haut niveau
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L’évaluation du niveau de risque permet de:
définir le niveau de désinfection à appliquer
déterminer la méthode de désinfection adaptée pour atteindre le niveau de traitement défini : technique, matériels, produits.
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Objectifs des différentes étapes
Les DM souillés doivent subir différentes étapes indispensables.
chaque étape prend en compte la sécurité du personnel, de l ’environnement et du matériel
la qualité de réalisation de chacune de ces étape conditionne la qualité du résultat final
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Le pré-traitementFacilite le nettoyageabaisse le niveau de contaminationprotège le personnel et l ’environnementmodalités : pour le matériel thermosensible
essuyage de la gaine externe avec une compresse dès la fin de l ’acte
rinçage par aspiration d ’eau moins 500ml d ’eau
mise en bac étanche pour le transport vers le lieu de nettoyage
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Pré-traitement pour le matériel thermosensible
essuyage de la gaine externe avec une compresse dès la fin de l ’acte
rinçage par aspiration d ’eau moins 500ml d ’eau
mise en bac étanche pour le transport vers le lieu de nettoyage
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Pré-traitement pour le matériel thermorésistant
immersion dans un bain impérativement détergent, éventuellement bactéricide, ne contenant pas d ’adéhyde
rinçage à l ’eau de réseaumise en bac du matériel humide (pas
d’essuyage)mise d ’un plomb pour sceller le bac traçabilité
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Nettoyage éliminer les salissures par les matières
organique (pus, sang, sécrétions…) et donc réduire le nombre de micro-organismes
combinaison de 4 facteurs:action chimique (détergent) temps de contact températureaction mécanique
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Nettoyage pour le matériel thermosensible test d ’étanchéitédouble nettoyage avec:
écouvillonage pendant 10 minute au 1er nettoyage,
irrigation des canaux rinçage à l ’eau de réseau par irrigation
après chaque nettoyage.Changement de bain à chaque opération
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Nettoyage pour le matériel thermorésistant
en lave-instrument à la stérilisation centraleaprès avoir trié et vérifié chaque instrument
traçabilité des opérations quelque soit le dispositifs médical traité
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Désinfection
Détruire ou inactiver les micro-organismespar action chimique:
solution désinfectantepar action chimico-thermique
laveur désinfecteurou par action thermique
stérilisation par autoclave
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Désinfection
matériel thermosensible action chimique par immersion en solution
désinfectanterinçage avec une eau dont la qualité est
choisie en fonction de l ’utilisation du DMaction chimico-thermique par laveur
désinfecteurmatériel thermorésistant
action thermique par stérilisation
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Séchage
Protection du matériel désinfecté de toute trace d ’humidité, pour éviter la contamination
modalités : soufflage à l ’air médicalpour le matériel thermosensible : avant le
stockagepour le matériel thermorésistant : avant
conditionnement et autoclavage
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StockageProtéger le matériel de la contaminationdans un lieu spécifique réservé aux DMpropre, sec et fermé
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Les notions d’hygiène de base Circuit restauration- linge - déchets
Chaque établissement doit identifier les différents circuits .
Des procédures écrites intègrent l’organisation et les grands principes de prévention du risque infectieux afin de limiter la dissémination des agents infectieux.
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Circuit Circuit restaurationrestauration
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Respecte la mise en place de la méthode HACCP (Hazard Analysis Critical Control Point )
Suit les procédures pour la préparation et le service des repas : liaison froide - liaison chaude, circuit et entretien de la vaisselle, entretien de l’office alimentaire
Les notions d’hygiène de base Restauration dans les services de soins
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Distribution des repas dans les services de soins
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Plusieurs étapes au niveau des services:
Réception et stockage des repas provenant de l ’UCR
La préparation des repas Distribution des repas aux patients Ramassage des plateaux repas en fin de
repas Entretien des locaux et des équipements
alimentaires
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Principaux dangers identifiés:
La multiplication des micro-organismes éventuellement présents dans les préparations culinaires. Cette multiplication est liée aux facteurs temps/températures
La recontamination microbienne qui peut provenir de l’environnement : atmosphère, personnel, matériel en contact.
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A TOUS LES STADES
POINTS À MAÎTRISER:
Maintien de la T° des aliments distribués par l’UCR
Conditions d’hygiène et de propreté des locaux et équipement
Formation du personnel de soins à l ’hygiène en secteur alimentaire
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Réception /stockage dans les services
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Les conditions de réception / stockage des repas dans les services sont
déterminées par la composition :
ou en vrac Les composants du
plateau sont séparés, nécessitant une préparation complémentaire dans le service de soins
sous forme individualiséeLe plateau repas
complet du patient « prêt à consommé » Aucune manipulation n’est nécessaire dans le service de soins
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A l’étape Réception / Stockage Le contrôle des températures
Pour le maintien de la T° inférieure à +3°C avec:la remise en T° des préparations à servir
chaudes pour que la T° ne reste pas plus d’une heure entre +10°C et la T° de consommation.
ou le stockage à froid immédiat sans rupture du froid
La T° (entre 0 et +3°C) du réfrigérateur de l’office est contrôlée quotidiennement
Le contrôle quotidien de la T° des repas avant distribution est noté
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La préparation du repas
Le personnel est dédié à cette activité
Il est formé et respecte des mesures d’hygiène spécifiques
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Mesures d’hygiène lors de la Préparation des repas
une tenue de protection, changée à chaque repas. (chasuble, coiffe)
procédure d’hygiène des mains connue et appliquée Hygiène et propreté lors de la manipulation des plats Contrôles quantitatifs des repas livrés (adéquation
avec la commande) plan de nettoyage de l’office et ses équipements
respecté selon procédure d’entretien des locaux alimentaire
Absence de personnes étrangères dans l ’office (y compris les collègues)
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Préparation des repas se faitdans l ’office propre
espace réservé à l ’officière: pas de sacs à main, pas de portes et fenêtres ouvertes, pas de personnes étrangères, pas d ’affichage…
La propreté de la vaisselle est vérifiéeau plus près de la distribution aux patients, sur des
paillasses propres (pas de plats en attente sur paillasse)
avec des couverts de service, seul le pain et les fruits sont touchés à mains nues
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La distribution des repas
Points à maîtriser :Hygiène et propreté lors de
la manipulation des plats:Au moment de la
distributionPendant l’aide au repas
Organisation des soins en adéquation avec le temps des repas
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Distribution du repas au patient Les personnes dédiées à la distribution et à l ’aide aux
repas sont formées aux règles d’hygiène et propreté lors de la manipulation des plats : Au moment de la distribution Pendant l’aide au repas
Les personnes qui aident aux repas sont différentes de celles qui distribuent revêtent une tenue de protection, changée à chaque
repas. (chasuble) Installent le patient confortablement et lui font laver
les mains Laissent la sonnette à portée de main
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Distribution du repas au patient
Le personnel vérifie la propreté du matériel :
table ou adaptable débarrassé et propre, pour déposer le plateau repas
linge hôtelier changé à chaque repas ( serviettes de table)
carafes et ustensiles de service propresLes patients nécessitant une aide sont servis en
dernier
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Fin du repas
Points à maîtriser:alimentation
adaptée aux patients
non contamination des matériels et des surfaces
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Fin du repas
Le suivi de la prise de repas est organisé :quantité consommée traçabilité dans le dossier de soins lien avec le service diététique et
L ’UCR
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Fin du repasle débarassage est organisé au minimum 1/2 heure
après le service du repas il est réaliser avec les chariots de distribution
vide le dérochage se fait dans la zone sale de
l ’office, jamais dans les locaux de conservation ou manipulation des denrées, ni dans les couloirs.
l ’évacuation des déchets (pas de reste) se fait après chaque utilisation de l’office.
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Entretien des surfacesEntretien des surfaces
Points à maitriser: la contamination croisée et la re contamination des denréesL’entretien des surfaces et matériels respecte:
un plan de nettoyageL’utilisation de produit agrées
alimentaire pour l’office, les chambres et les salles à manger (un chiffonnette par patient ou table)
La procédure d’entretien de la vaisselle en lave vaisselle
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Entretien des surfacesA retenir :
ne jamais désinfecter sans lavage préalableà chaque fin de service
tous les déchets son évacués le matériel d ’entretien des locaux
est nettoyé et rangéles chiffonnettes et serviettes
de table sont évacuées vers la blanchisserie
le verre à eau du patient est remplacé
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Circuit du Circuit du lingelinge
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lingeDifférencier le circuit du linge propre et celui
du linge sale.Considérer le linge hospitalier comme
contaminé après usage.Eliminer immédiatement le linge contaminé
après usage avec respect du tri organisé.
Les notions d’hygiène de base
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Circulation du linge
Linge saleLinge propre
utilisation
Pré-tri
Stockage central
Transport vers blanchisserie
Tri lavage
Finitions
Mise en armoire
Transport vers hôpital
réception dans service
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Circuit du linge souillé
Tout linge utilisé est potentiellement contaminé, les germes dont il est porteur sont détruits par les techniques habituelles de blanchissage.
La diffusion des germes peut se faire au cours des manipulations:Par les mains du personnel,Par contact direct du linge souillé avec une
surface.
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Collecte du linge
Dans les services, le linge est : trié dès sa production pour limiter le
risque infectieux lors des manipulations, collecté à l ’aide de chariots porte sacs,placé directement dans les sacs en
respectant le code couleur.
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Tri du linge par couleur
DRAPS ALESES PETIT LINGEVETEMENTS
PROFESSIONNELSVETEMENTS
PENSIONNAIRESLinge à hauts
risques infectieux« CONTAGIEUX »
FRANGES
Chemises opérés Blouses ChemisesCouches / Langes Chasubles Chemisiers
Couvertures Pantalons Joggings Dans sacs tissus DansDessus de lit Tuniques Jupes ROUGEDraps de bain Vestes Pantalons
Mouchoirs Shorts SACSOreillers Polos plastiquesPeignoirs Tee shirts couleur PARASITES blancs
Pyjamas Pulls et Gilets SACS SOLUBLES +Serviettes de table Robes + FiletsServiettes éponge Sweat - shirt A-PAR
Serviettes nid d’abeillesous vêt blcs coton
Tabliers Dans sacs tissusTaies ROUGE
TorchonsFilets de lavettes gaufrées
FRANGES
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Stockage du linge
Le linge souillé ne doit jamais être stocké dans le même lieu que le linge propre,
il est évacué quotidiennement dans un local central où le temps de stockage n ’excède pas 48H,
L ’entretien du matériel (chariots, véhicules) et des locaux de stockage est quotidien.
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Utilisation du lingeDans l’armoire de linge ne pas entamer
plusieurs paquets à la foisLe linge installé sur le chariot de nursing ne
doit pas être défilmé à l’avanceLe personnel utilise un guéridon pour les soins
de nursing et n’entre que le linge dont il a besoin
Le plateau inférieur sert à entreposer le linge souillé avant de l’évacuer dans un sac
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DéchetsTri sélectif et conditionnement à l’issue de la
production avec distinction des déchets d’activité de soins à risque infectieux (DASRI) et des déchets assimilables aux ordures ménagères (DAOM).
Le stockage et la collecte doivent être organisés selon la réglementation
Les notions d’hygiène de base
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Elimination des déchets
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Que nous dit la réglementation?Que nous dit la réglementation?
Définition d ’un déchet:“ Est un déchet tout résidu d’un processus
de production, de transformation ou d’utilisation, toute substance, matériau, produit ou plus généralement tout bien meuble abandonné ou que son détenteur destine à l’abandon. ”.
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La réglementation « DASRI »La réglementation « DASRI »
Définition d’un DASDéfinition d’un DAS (déchet d ’activité de soins) :
« déchets issus des activités de diagnostic, de suivi, et de traitement préventif, curatif ou palliatif, dans les domaines de la médecine humaine et vétérinaire ».
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La réglementation « DASRI »La réglementation « DASRI »
Définition d’un DASRI :
« DAS présentant un risque infectieux du fait qu’ils contiennent des micro-organismes viables ou leurs toxines, dont on sait ou dont on a de bonnes raisons de croire qu’en raison de leur nature, de leur quantité ou de leur métabolisme, ils causent la maladie chez l’homme ou chez d’autres organismes vivants »….
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La réglementation « DASRI »La réglementation « DASRI »“ soit, même en l'absence
de risque infectieux, relèvent de l'unedes catégories suivantes :
a. Matériels et matériaux piquants ou coupants destinés à l'abandon, qu'ils aient été ou non en contact avec un produit biologique,
b. Produits sanguins à usage thérapeutique incomplètement utilisés ou arrivés à péremption,
c. Déchets anatomiques humains, correspondant à des fragments humains non aisément identifiables. ”
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Plusieurs opérations Plusieurs opérations
entre la production du déchet et le traitement final: de tri à la source, stockage intermédiaire, collecte interne, stockage central, transport, et traitement
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Le tri à la source Le tri à la source
se fait selon le type de déchets :
les déchets « industriels banaux » qui ne présentent pas de risque particulier pour l ’homme et l ’environnement.
les déchets « industriels spéciaux » qui présentent un risque particulier pour l ’homme et l ’environnement
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déchets banauxdéchets banaux
Déchets assimilés aux OM (Ordures Ménagères) :Hôtellerie, restaurationService administratifDéchets vertsEncombrants DAS ne présentant pas de risque
(infectieux ou autres…)
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déchets spéciauxdéchets spéciaux
Déchets à risques infectieuxAutres déchets à risques
chimique/toxiquePièces anatomiquesDéchet radioactif
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets banaux?déchets banaux? Hôtellerie, restauration :
déchets d ’emballage repas non servis, essuies mains fleurs sac plastique bleu ou gris
verres ménagers : bouteille, verres, carafes
poubelle plastiqueautres verres ménagers : vitres, miroir, faïence, vaisselle
poubelle plastique
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets banaux?déchets banaux? Activités administratives :
papiers, journauxpetit emballage divers, cartons
documents confidentiel appel services techniques
catalogue,
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Déchets banaux : Déchets Déchets banaux : Déchets d ’activité de soins sans risqued ’activité de soins sans risque
essuie-mains, emballage propre de dispositifs médicaux et de médicaments, plâtre...
sac plastiques bleus ou gris
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Déchets banaux : Déchets Déchets banaux : Déchets d ’activité de soins sans risque d ’activité de soins sans risque
surblouses, gants, masques non tachés de liquide biologique et non utilisés pour un patient infecté nécessitant un isolement
sac plastiques bleus ou gris
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Déchets banaux : Déchets Déchets banaux : Déchets d ’activité de soins sans risqued ’activité de soins sans risque
protection pour incontinence si patient non infecté nécessitant un isolement
sac plastiques bleus ou gris
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets spéciaux?déchets spéciaux?déchet toxique en quantité dispersée
aérosolcartouche d ’encre toner
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets spéciaux?déchets spéciaux?essences, solvants,
huile de vidange, fûts lessiviels…
Appel des services techniques pour enlèvement
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets spéciaux?déchets spéciaux?équipements
électroniques et électriques (tubes néons, scopes, réfrigérateurs et cafetière…)
Appel des services techniques pour enlèvement
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les déchets spéciaux?déchets spéciaux?
Piles, accus
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les DASRI?DASRI?
déchets mous, pansements,compresses
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les DASRI?DASRI?
piquants, coupants, tranchants (aiguille, tubes de labo., rasoirs, verre médicaux…)
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les déchets à risque d ’écoulement, les
verres médicaux, les médicaments périmés, les cytostatiques...
Que trouve-t-on dans les DASRI?Que trouve-t-on dans les DASRI?
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Que trouve-t-on dans les Que trouve-t-on dans les autres déchets à risques?
pièces anatomiques identifiables
chimiques / toxiquesamalgame dentairerésine médicaledéchets de radiologiestimulateur cardiaque
radioactifs