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Cycle 3

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Cycle 3

Alain DausseConseiller pédagogiqueMarine DézéProfesseur des écolesMarc GallandProfesseur des écoles

SOMMAIRE

Introduire un dialogue dans le récit 4 à 11

Imaginer une suite et une fin à un récit 12 à 19

L’affiche 20 à 27

La lettre 28 à 33

La structure du récit 34 à 41

La recette 42 à 49

Le récit d’imagination 50 à 55

La poésie 56 à 63

Le résumé 64 à 71

Le récit d’aventures 72 à 79

Les questionnaires 80 à 87

Le compte rendu de lecture 88 à 95

© Éditions SED, 20002, rue Chappe - ZAC Les Garennes - 78130 Les MureauxISBN 2-86893-666-0Tous droits de reproduction, de traduction et d’adaptation réservés pour tous pays.

SOMMAIRE

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AVANT-PROPOSCe manuel s’inscrit dans un ensemble de trois ouvrages destinés à chacune des classes du cycle 3.

Ainsi, la totalité des types de textes à étudier fait l’objet d’une programmation répartie sur les troisannées du cycle, le manuel CE2 couvrant 12 types de textes.

Chaque chapitre est divisé en séquences. À partir d’un objectif de production d’écrit spécifique, l’élèvenavigue entre la lecture et l’écriture, selon un parcours progressif :

- LIRE présente le type de texte étudié.- ANALYSER permet, par un questionnement approprié, de dégager les critères de fonctionne-

ment du texte.- MÉMO constitue la trace écrite des notions mises en évidence au cours des activités précé-

dentes. Cet outil de référence facilitera le travail de l’élève lors de la production d’écrit.- S’EXERCER propose des activités permettant de réinvestir ce qui vient d’être mis en évidence.- PRODUIRE demande à l’élève de rédiger tel ou tel type d’écrit.- AIDES et CONSEILS POUR ÉCRIRE rappellent les contraintes spécifiques liées au texte à

produire.- RÉÉCRITURE invite l’enfant à évaluer son texte afin de le corriger une première fois. Ce texte,

corrigé ou réécrit, sera ensuite co-évalué par un autre élève et/ou par l’enseignant. À la suite des constatsmis en lumière par cette co-évaluation, l’élève sera amené une nouvelle fois à corriger son travail, puisà le mettre au propre.

Il est à noter que dans chaque chapitre, le texte servant de support aux activités proposées sur lapremière double page, est extrait de romans pour la jeunesse inédits, adaptés aux enfants de CE2 etcouvrant trois genres romanesques différents :

- un récit de vie : Une Amitié en péril ;- une énigme policière : L’Énigme des statuettes ;- un récit de science-fiction : L’Invasion des Téliens.Bien que la lecture de ces romans soit recommandée, ce manuel peut fonctionner de manière indé-

pendante.

Un classeur d’Activités réflexives cycle 3, en : Grammaire - Conjugaison - Vocabulaire -Orthographe - Syntaxe, accompagne ce manuel.

Un Guide du maître donne tout l’éclairage nécessaire pour utiliser au mieux l’ensemble desoutils de la collection Français Pluriel. En plus des grilles de relecture, ce guide suggère des déroule-ments de séance pour toutes les activités du manuel, propose des liens avec les activités réflexives etfournit des pistes d’activités transversales.

Les auteurs

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Introduire un dialoguedans le récit

Lire Margot et Yann sont cousins. Le père de Margot est pêcheur et patron dubateau, la « Jolie Margot ». Le père de Yann, Yvon, est son second sur lemême bateau. Le père de Margot a fabriqué une maquette de la « JolieMargot ». Les deux cousins ont décidé de construire une cabane dans un petitbois qu’ils ont baptisé le « Pays-Paradis ».*

Lis ce texte.« Alors, notre cabane ? Tu y penses encore ? » demanda la fillette depuis le

seuil de la chambre. Perdu dans sa rêverie, Yann sursauta.« Euh… oui, balbutia-t-il. Dis donc, Margot, tu me la prêtes ta maquette ?– Ce n'est pas un jouet.– En tout cas, pas un jouet pour une fille, c'est sûr !– Qu'est-ce que tu veux dire ?– Rien, rien.– Oh ! Mais si ! Tu répètes toujours la même chose : “pas pour une fille, pas

pour une fille”!… Pour toi, peut-être ? Pas question ! Ce langoustier, c'est monpapa à moi qui me l'a fait, toc ! Et ce langoustier, il porte mon nom à moi, retoc !

– N'empêche…– N'empêche, rien du tout. Tu peux le regarder, tu peux… le dépoussiérer

avec un pinceau, tu peux rêver, mais… lui, il reste ici, chez MOI, sur MA com-mode, dans MA chambre !

– Égoïste ! trancha Yann avec une grimace dédaigneuse.– C'est la vie ! Allez, fais-moi un bisou et viens : on a une cabane à construire

au “Pays-Paradis”. C'est les vacances, profitons-en !– Ouais. Et en plus, Papa et Tonton Yvon reviennent bientôt.– Tu as raison, ils rentrent vendredi prochain. On va revoir la vraie !– La vraie quoi ?– La vraie “Jolie Margot”! »

Lis maintenant la réécriture de ce passage.

Yann était en train d’admirer la maquette de la « Jolie Margot » lorsque sa cou-sine lui demanda s’il pensait encore à la construction de leur cabane. Perdu dans sarêverie, le garçon sursauta. Une discussion s’engagea alors entre les deux enfantsau sujet de la maquette de la « Jolie Margot ».

Yann déclara que cette maquette n’était pas un jouet destiné à une fille. Ce

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QQuueellllee ddiifffféérreennccee ddee ffoorrmmee yy aa--tt--iill eennttrree cceess ddeeuuxx tteexxtteess??

LLeeqquueell pprrééffèèrreess--ttuu??

PPoouurrqquuooii?? CChhooiissiiss llaa rrééppoonnssee qquuii jjuussttiiffiiee ttoonn cchhooiixx..-- LLee ddiiaalloogguuee eesstt pplluuss vviivvaanntt qquuee llee tteexxttee rrééééccrriitt..-- LLee tteexxttee rrééééccrriitt eesstt pplluuss vviivvaanntt qquuee llee ddiiaalloogguuee..

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à quoi Margot répondit que ce n’était pas un jouet et que de toute façon, lebateau portait son nom et que, qui plus est, ce langoustier avait été fabriqué parson père. Finalement, les deux enfants arrêtèrent de se quereller en reparlant dela cabane qu’ils devaient construire au « Pays-Paradis » et en évoquant aussi le retourprochain de leur père respectif et de la vraie « Jolie Margot ».

* Voir le roman Une Amitié en péril, page 15

Transforme le texte suivant en un dialogue.

L’épicière demande à Karine ce qu’elle veut. La fillette lui répond qu’elle vou-drait un kilo de sucre. L’épicière souhaite savoir si Karine préfère du sucre enpoudre ou en morceaux. La fillette hésite car elle ne sait pas, mais elle préciseque c’est pour faire un gâteau. Alors l’épicière lui propose un kilo de sucre enpoudre. Karine paie, remercie l’épicière et lui dit au revoir.

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Mémo Introduire un dialogue

Introduire un dialogue apporte de la vie au récit. Le lecteur se sentplongé dans le coeur de l’histoire dont il devient témoin ouacteur.

u S’exercer

r Lire Les deux cousins, Margot et Yann Lansonneur, ont construit une cabanedans un bois. Mais un jour, lorsqu’ils arrivent à leur cabane, ils trouventtout le terrain en travaux. On est en train d’abattre les arbres. Les deuxenfants s’approchent.*

Lis ce texte.

Un homme en combinaison jaune et rouge, un écusson de la ville cousu surla manche, s'avança vers eux en gesticulant :

« N'approchez pas, les enfants, gronda-t-il. C'est dangereux ! – Pourquoi vous faites ça ? demanda Yann d'un ton hargneux.– À cause de la tempête, petit.– Quelle tempête ?! cria le petit Lansonneur furieux. Il n'y a pas de tempête !

C'est nos arbres ! C'est notre cabane !– Peut-être bien, répondit l'homme, mais moi je fais mon travail. Si la tem-

pête arrache les arbres et qu'ils tombent sur l'école pendant que vous y êtes, avectous vos copains… hein ?! Allez, ça suffit, reculez-vous ! »

* Voir le roman Une Amitié en péril, page 24

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Introduire un dialogue dans le récitIntroduire un dialogue dans le récit

PPaarr qquueell ssiiggnnee ddee ppoonnccttuuaattiioonn llee ddiiaalloogguuee ddéébbuuttee--tt--iill?? PPaarr qquueell ssiiggnnee ssee tteerrmmiinnee--tt--iill??

QQuueell ssiiggnnee ddee ppoonnccttuuaattiioonn pprrééccèèddee lleess ppaarroolleess pprroonnoonnccééeessppaarr YYaannnn?? QQuueell ssiiggnnee pprrééccèèddee llaa rrééppoonnssee ddee ll’’hhoommmmee??

LLoorrssqquuee ll’’hhoommmmee pprreenndd llaa ppaarroollee ppoouurr llaa pprreemmiièèrree ffooiiss,, cceessiiggnnee ddee ppoonnccttuuaattiioonn eesstt--iill uuttiilliisséé??

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Recopie le texte en plaçant où il convient les guillemets et les tirets.

Allo, Mélanie, ici Manon. Bonjour, que se passe-t-il ? Oh, rien de grave, j’ai oublié mon livre de grammaire à l’école. C’est drôlement ennuyeux parce que nous avons beaucoup de leçons à réviser !Justement, est-ce que tu pourrais me prêter le tien ? Je ne sais pas parce que je n’ai pas encore commencé à réviser. Aïe ! Aïe ! Comment faire, alors ? Je ne peux pas arriver demain à l’école sansavoir fait mon travail !Écoute, je vais réviser mes leçons. Dès que j’aurai terminé, je t’apporterai monlivre. D’accord ?Oh, merci ! Tu es vraiment gentille. À tout à l’heure. 7

Mémo

La ponctuation dans le dialogue

« « Paroles prononcées par le premier personnage du dialogue.- - Paroles prononcées par le deuxième personnage.- - Paroles prononcées par le premier (ou le troisième) personnage.- - ...........- - ...........» - Fin du dialogue.»

uS’exercer

r Lire Au bord de la mer, une petite fille a perdu sa bouée emportée par la marée.Deux garçons, Tom et Amédée, décident de partir avec leur bateau pouraller la récupérer. Le temps passe et les deux garçons ne reviennent pas. Surla plage, leurs amis Géraldine, Antoine, Aurore, Mohammed et Sylvain s’in-quiètent.

Lis ce texte.

« Qu’est-ce qu’ils font à ton avis, Antoine ?- Je ne sais pas, Géraldine. Ils ont récupéré la bouée, mais ils n’arrivent pas

à revenir...- C’est le courant, tu crois ?- Sans doute ! »

On les voyait dériver lentement mais sûrement vers les rochers. Ils avaient beaufaire tous leurs efforts : sans pagaie, il était presque impossible de remonter lecourant.« Ils n’auraient pas dû y aller, dit Mohammed. C’est dangereux, les rochers ! Moi,je me suis blessé, il y a une semaine. C’est plein d’huîtres qui coupent commedes rasoirs.

- Mon Dieu, et la marée qui descend ! ajouta Aurore. Il faut avertir lemaître-nageur !

- Ils vont se faire attraper, vaut peut-être mieux pas, dit Antoine. Et puis,ils arriveront peut-être à s’en sortir tout seuls.

- Le bateau fait du sur-place ! dit Aurore.- Et ma bouée ? se lamenta la petite fille.- Ah toi, fiche-nous la paix, avec ta bouée ! répliqua Sylvain. C’est pas le

moment ! »Ils se sentaient un peu mal à l’aise, ils commençaient à avoir peur pour Tom etAmédée.« Antoine ! Antoine ! cria soudain Aurore, je ne vois plus le bateau !

- C’est pas possible !- Mais si ! Regarde ! On ne voit plus rien !

Ils étaient consternés.- Moi, dit Aurore, cette fois, je vais avertir le maître-nageur. C’est trop

dangereux avec le courant et les rochers. Tant pis s’ils se font attraper.- Je viens avec toi, dit Antoine. Il faut qu’on les sorte de là.»

DIDIER HERLEM, Mystère au chocolat, Éditions Hatier

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Introduire un dialogue dans le récitIntroduire un dialogue dans le récit

««IIllss nn’’aauurraaiieenntt ppaass ddûû yy aalllleerr»» ddiitt MMoohhaammmmeedd..LLee vveerrbbee ddiirree iinnddiiqquuee qquuee cc’’eesstt MMoohhaammmmeedd qquuii pprroonnoonnccee cceessppaarroolleess..QQuueell eesstt llee vveerrbbee uuttiilliisséé lloorrssqquuee llaa ppeettiittee ffiillllee ddiitt:: ««EEtt mmaa bboouuééee??»»

RReellèèvvee ttoouuss lleess vveerrbbeess dduu tteexxttee,, eemmppllooyyééss ppaarr ll’’aauutteeuurr ppoouurrmmoonnttrreerr ccee qquuee ddiisseenntt lleess ddiifffféérreennttss ppeerrssoonnnnaaggeess ddee ccee ddiiaalloogguueeeett pprréécciisseerr ddee qquueellllee mmaanniièèrree iillss ss’’eexxpprriimmeenntt..

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Les verbes qui introduisent les paroles des personnages ont été remplacéspar ce signe : ***. Retrouve chacun de ces verbes.

Tom et Amédée ont été sauvés par le maître-nageur.

« On peut dire que vous nous avez fait peur ! *** le maître-nageur à Tomet Amédée, qui buvaient une boisson chaude, enveloppés dans des couvertures.

- Ben, moi aussi, j’ai eu drôlement peur, *** Tom, quand j’ai vu Amédéequi tournait de l’oeil ! Je savais bien qu’on viendrait nous chercher, mais...

- Eh oui ! il ne faut pas traîner, dans ces cas-là, *** le maître-nageur. Le plusgrand danger pour les naufragés, ce n’est pas de boire la tasse, c’est le froid !Voilà pourquoi j’ai préféré tout de suite alerter l’hélicoptère, plutôt que d’at-tendre la marée...

- Je m’en serais bien passé, de l’hélicoptère, *** Amédée en claquant desdents, et puis maintenant, j’ai plus de bateau...

- Ne t’en fais pas, *** son père, ce sont des choses qui se remplacent, tan-dis que toi...

- La prochaine fois, mes enfants, *** le maître-nageur, vous réfléchirez unpeu plus loin que le bout de votre nez ! On s’amuse, on rigole, et puis d’un seulcoup, ça devient sérieux. À l’avenir, soyez prudents, ou avertissez-moi si vousvoulez traverser l’Atlantique ! »

DIDIER HERLEM, Mystère au chocolat, Éditions Hatier 9

Qui parle, et de quelle manière s’exprime chaque personnage ?

Dans un dialogue, pour savoir qui parle et de quelle manière s’ex-prime chaque personnage, on utilise des verbes comme: dire,répondre, rétorquer, crier, sangloter, gémir, marmonner, chuchoter,

uS’exercer

Mémo

r Lire Lis ces deux textes.

Hier, j’avais beaucoup de fièvre ; maman a fait venir notre médecin, monsieurLajugie. À la fin de l’auscultation, maman a voulu savoir ce que j’avais. Il lui arépondu que j’allais très certainement avoir la rougeole. Ma mère, inquiète, luia alors demandé ce qu’il fallait faire. Le docteur lui a déclaré qu’il fallait surtoutque je ne prenne pas froid, et qu’il repasserait le lendemain pour voir l’évolu-tion de la maladie. Maman lui a alors expliqué qu’elle travaillait, et qu’elle neserait pas là le lendemain pour l’accueillir. Monsieur Lajugie lui a affirmé quesa présence n’était pas indispensable et qu’il confierait l’ordonnance à notre voi-sine pour qu’elle aille chercher les médicaments.

(Inédit)

L’autre jour, notre maître, monsieur Pierre, m’a interrogé en conjugaison. Ilm’a demandé de lui réciter un verbe au passé composé. Je n’ai pas su luirépondre. Il a pourtant essayé de me mettre sur la bonne voie en me rappelantque le temps était formé de l’auxiliaire au présent et d’un participe passé. Enhésitant, car je n’étais pas sûr, j’ai marmonné : « J’avais chanté ». Le maître m’aalors dit que l’auxiliaire était à l’imparfait. Voyant que je n’y arriverais pas, jelui ai dit que je n’avais pas pu apprendre ma leçon, car la veille au soir, nousavions eu de la visite. Compréhensif, le maître m’a renvoyé à ma place en medisant de réviser ma conjugaison pour le lendemain. Penaud, mais content, je l’airemercié et j’ai regagné ma place, la tête basse.

(Inédit)

En respectant bien la ponctuation, réécris l’une de ces deux histoiressous forme de dialogue.

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Introduire un dialogue dans le récitIntroduire un dialogue dans le récit

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Introduis un dialogue à la place du passage entre crochets.

MMeerrccrreeddii ddeerrnniieerr,, jj’’ééttaaiiss iinnvviittéé cchheezz AAlleexxaannddrree ppoouurr ssoonn aannnniivveerrssaaiirree..DD’’aabboorrdd,, nnoouuss aavvoonnss ggooûûttéé.. SSaa mmèèrree aavvaaiitt pprrééppaarréé uunn ssuuccccuulleennttggââtteeaauu aauu cchhooccoollaatt aaiinnssii qquu’’uunnee ppiièèccee mmoonnttééee.. AApprrèèss qquu’’AAlleexxaannddrreeeeuutt ssoouufffflléé sseess hhuuiitt bboouuggiieess,, nnoouuss lluuii aavvoonnss rreemmiiss cchhaaccuunn uunn ccaaddeeaauu..PPaass ddee cchhaannccee,, NNiiccoollaass aavvaaiitt cchhooiissii llee mmêêmmee ccaaddeeaauu qquuee mmooii :: uunn bbaall--lloonn ddee ffoooott.. [[AAlloorrss,, nnoouuss nnoouuss ssoommmmeess ddiissppuuttééss,, ccaarr jjee lluuii aavvaaiiss ddiitt qquueejj’’aavvaaiiss ll’’iinntteennttiioonn dd’’ooffffrriirr uunn bbaalllloonn àà AAlleexx eett iill nn’’eenn aa ppaass tteennuuccoommppttee]].. NNoottrree ddiissppuuttee mm’’aa uunn ppeeuu ggââcchhéé ll’’aapprrèèss--mmiiddii eett ffiinnaalleemmeennttjj’’ééttaaiiss ccoonntteenntt lloorrssqquuee mmoonn ppèèrree eesstt vveennuu mmee cchheerrcchheerr..

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A ide

1 - Pour t’aider à écrire le dialogue, réponds (mentalement) auxquestions suivantes :• Qui a eu en premier l’idée d’acheter le ballon de football ?• Avait-il prévenu Nicolas du cadeau qu’il allait offrir àAlexandre?• Que va-t-il lui reprocher?• Que peut répondre Nicolas pour sa défense?• Est-ce que Alexandre ou sa maman vont essayer d’arrangerles choses?• Comment se termine l’après-midi ?

2 - Établis une liste de verbes qui indiquent que l’on parle fort :hurler, vociférer...

3 - Éventuellement invente un prénom pour désigner le narrateur(celui qui raconte l’histoire).

Utilise des verbes comme : répondre, s’exclamer, affirmer, s’écrier...,qui permettent de savoir quelle est la personne qui s’exprime etde quelle manière. Mets la ponctuation qui convient:• guillemets, au début et à la fin du dialogue;• tiret, à chaque changement d’interlocuteur.

Conseils pour écrire un dialogue

RéécritureReporte-toi à la grille de relecture que t’a remise ton maître ou tamaîtresse. Évalue ton travail, corrige-le, puis réécris-le.Fais lire ensuite ton texte à un de tes camarades et demande-lui decompléter la partie « co-évaluation ».En fonction des remarques de ton camarade, corrige à nouveau tontexte, puis réécris-le une dernière fois.

Réécriture