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J O U R N A L É D I T É P A R L A V I L L E D E B O I S -C O L O M B E S NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JANV. 2018 bois-colombes.com DOSSIER Relié directement à Paris par la gare Saint-Lazare, Bois-Colombes s’inscrit dans le prolongement de l’urbanisation parisienne, à l’ouest, à la fin du XIX e siècle. Si l’urbanisation de la ville est inti- mement liée à la construction de grandes maisons bourgeoises, occupées par des « rentiers », une grande partie du tissu pavillonnai- re est constituée de maisons plus modestes destinées à la petite et moyenne bourgeoisies. Le déve- loppement résidentiel précède le développement industriel, les vil- légiatures, les logements inté- grant une activité artisanale ou les immeubles locatifs destinés aux employés, avant que l’habitat col- lectif ne permette de pallier le manque croissant de disponibili- tés foncières… Lire la suite en pages 11 à 15. PATRIMOINE ARCHITECTURAL A la veille des congés scolaires et des fêtes de fin d’année, qu’on vous souhaite excellentes, profitez des spectacles “Dis, à quoi tu danses” (p.08), et “C’est compliqué d’être l’origine du monde” (p.17) et des cadeaux à gagner pour le plus beau des Noëls avec vos commerçants (p.08). SORTIES D’HIVER © Alexe Poukine Place de la République, les 16 et 17 décembre Noël féérique Faire découvrir un nouvel art, celui des images animées, voilà le challenge culturel 2018 de Bois-Colombes. Avec AnimART, la ville s’engage dans la promotion du film d’animation en pro- posant un programme varié et éclectique pour tous les Bois- Colombiens. Mais avant que ne soit dévoilée la programmation, amateurs jeunes et moins jeunes, participez au concours organisé pour l’occasion. Vous avez jusqu’au samedi 20 janvier 2018 pour proposer vos œuvres originales, voir page 17. Renseignement et règlement : www.bois-colombes.com/animART/accueil.php Du 7 au 13 février salle Jean-Renoir Le 1 er festival d’animation & 6 min Max ! AnimART 7-13 février 2018 Un siècle d’architecture à Bois-Colombes ©Laurine Schiavon © Patrick Berger © Couleurs de web

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Page 1: DOSSIER PATRIMOINE ARCHITECTURAL Un siècle d’architecture ...€¦ · demeures cossues et de petits pavillons. Ce tissu urbain préservé fait la différence et contribue à l’attractivité

J O U R N A L É D I T É P A R L A V I L L E D E B O I S - C O L O M B E S

NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JANV. 2018 bois-colombes.com

DOSSIER

Relié directement à Paris par lagare Saint-Lazare, Bois-Colombess’inscrit dans le prolongement del’urbanisation parisienne, àl’ouest, à la fin du XIXe siècle. Si l’urbanisation de la ville est inti-mement liée à la construction degrandes maisons bourgeoises,occupées par des « rentiers », unegrande partie du tissu pavillonnai-re est constituée de maisons plusmodestes destinées à la petite etmoyenne bourgeoisies. Le déve-loppement résidentiel précède ledéveloppement industriel, les vil-légiatures, les logements inté-grant une activité artisanale ou lesimmeubles locatifs destinés auxemployés, avant que l’habitat col-lectif ne permette de pallier lemanque croissant de disponibili-tés foncières… Lire la suite en pages 11 à 15.

PATRIMOINE ARCHITECTURAL

A la veille des congés scolaires et des fêtes de fin d’année, qu’onvous souhaite excellentes, profitez des spectacles “Dis, à quoi tudanses” (p.08), et “C’est compliqué d’être l’origine du monde”(p.17) et des cadeaux à gagner pour le plus beau des Noëls avecvos commerçants (p.08).

SORTIES D’HIVER

© A

lexe

Pou

kine

Place de la République, les 16 et 17 décembre

Noël féérique Faire découvrir un nouvel art, celui des images animées, voilàle challenge culturel 2018 de Bois-Colombes. Avec AnimART,la ville s’engage dans la promotion du film d’animation en pro-posant un programme varié et éclectique pour tous les Bois-Colombiens. Mais avant que ne soit dévoilée la programmation, amateursjeunes et moins jeunes, participez au concours organisé pourl’occasion. Vous avez jusqu’au samedi 20 janvier 2018 pourproposer vos œuvres originales, voir page 17.Renseignement et règlement : www.bois-colombes.com/animART/accueil.php

Du 7 au 13 février salle Jean-Renoir

Le 1er festival d’animation & 6 min Max !

AnimART 7-13février2018

Un siècle d’architecture à Bois-Colombes

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SOMMAIRE N° 124 DÉC./JAN. 2018

HÔTEL DE VILLE www.bois-colombes.com15, rue Charles-Duflos01 41 19 83 00Ouvert du lundi au vendredi de 8h30 à 12h et de 13h30 à 17h30 et le samedi de 8h30 à 12hAdresse postale de la mairie :15, rue Charles-Duflos 92277 Bois-Colombes Cedex

MAIRIES DE QUARTIERMAIRIE DE QUARTIER MERMOZ 102, rue Adolphe-Guyot01 47 81 91 [email protected]

MAIRIE DE QUARTIER LES BRUYÈRES 2, allée Marc-Birkigt 01 56 83 75 [email protected] identiques à ceux de l’hôtel de ville

COMMISSARIAT DE BOIS-COLOMBES75, rue Adolphe-Guyot (24h/24) Tél. : 01 56 83 75 30

POLICE MUNICIPALE 8, villa des Aubépines Tél. : 01 56 83 87 [email protected] Accueil du public du lundi au vendredi de 6h à 20h, le samedi de 8h à 18h.Accueil téléphonique du lundi au samedi de 6h à 2h, le dimanche et les jours fériés de 9h à 19h.

ESPACE DUFLOS 79, rue Charles-DuflosRens. : 01 41 19 83 00

ESPACE SCHIFFERS 79, rue Charles-Chefson 01 55 66 02 02Fax : 01 55 66 02 [email protected]

SALLE JEAN-RENOIR7, villa des Aubépines 01 47 81 37 [email protected]

SCÈNE MERMOZ75, rue de l’Abbé-Glatz 01 47 81 37 97

Le journal de Bois-Colombes est édité par la mairie 15, rue Charles-Duflos 92277 Bois-Colombes cedex01 41 19 83 00DIRECTEUR DE LA PUBLICATION : Yves RévillonDIRECTEUR ARTISTIQUE : Patrick JaunetRÉDACTRICE EN CHEF : Valérie Baréaavec la collaboration de Julien ChauvelPHOTOS : Studio des Bourguignons-Richard LoretIMPRESSION : Imprimerie RAS - Villiers-le-BelRÉGIE PUBLICITAIRE : C.M.P Conseil Marketing Publicité Les espaces multiservices 56, boulevard de Courcerin à Croissy-Beaubourg 77435 Marne-la-Vallée cedex 2 Tél. : 01 64 62 26 00 - Fax : 01 64 62 28 [email protected] TIRAGE : 16 000 ex.DÉPÔT LÉGAL : 4e trimestre 2017

CONTACTS UTILES

la collecte des sapins reprend chaque lundià partir de lundi 1er janvier 2018.

intelligence et inventivité au service de la coexistenceet de la paix le 6 février salle Jean-Renoir /09

Apprendre à nager avec Camille Lacourt, en présence de la ministre des sports Laurel Flessel, c’est le cadeau fait à 25 enfants par le Secours populaire et Récréa, à Bois-Colombes. /07

Pour changer de regard sur les sans-abri avec J.-Ch. Quenon le 15 déc. salle J.-Renoir /08

Pour fêter Noël, un spectacle féérique FierS à Cheval sera proposé le dimanche 17 décembre, place de la République. Une invitation au rêve. /04

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NUMÉRO 123 — DÉC. 2017/JANV. 2018 03

ACTEURS LOCAUX

SERVICES PUBLICSLe partenariat, clé du bon choix pour les rythmes de lajournée des enfants à Bois-Colombes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 04Préfecture, les démarches se dématérialisent . . . . . . . . . . . . . . 04ÉCONOMIELa fête du commerce et les animations de Noël . . . . . . . . . . 05Une initiative originale pour le commerce local . . . . . . . . . . . . 05SOLIDARITÉRechercher l’accessibilité pour tous et partout va devenirun réflexe. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 06

SPORT 4 finales et une 4e place aux championnats d’Europe en gymnastique acrobatique. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07Comme un poisson dans l’eau… avec le Secourspopulaire. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 07LOISIRS/CULTURESCÈNE MERMOZ : THÉÂTRE On a fort mal dormi, . . . . . . . . . . . . . . 08Bric à broc, Jacques et son maître. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 08SALLE JEAN-RENOIR : THÉÂTRE Dis, à quoi tu danses ? . . . . . . . 08THÉÂTRE musical Nouchka et la grande question, . . . . . . . . . 08C’est compliqué d’être l’origine du monde . . . . . . . . . . . . . . . . . 08DANSE : Les chatouilles ou la danse de la colère . . . . . . . . . . 08DANSE/HUMOUR : We love Arabs. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09CINÉ-CONFÉRENCE : Monde, épopée en eaux vives . . . . . . . . . . . 09LES EXPOS : Le salon philatélique et cartophile . . . . . . . . . . . . . . 09Le festival chrétien du cinéma. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 09JEUNESSE Actions culturelles : ça danse dans les écoles. . . . . . . . . . . . 10Des vacances actives avec l’Action jeunesse . . . . . . . . . . . . . 10

UN SIÈCLE D’ARCHITECTURE À BOIS-COLOMBESVille de banlieue s’il en est, Bois-Colombes regorge depetits bijoux d’architecture, de curiosités ornementales, dedemeures cossues et de petits pavillons. Ce tissu urbainpréservé fait la différence et contribue à l’attractivité de laville, qui, harmonieusement, se développe pour accueillirles nouveaux ménages. Histoire d’architecture…

VIE DE QUARTIERNORD : les riverains ont choisi le nom des nouvelles rues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16SUD : Concours photo 2017 : Votez pour votre photo préférée de la promenade verte dans votre viseur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16CENTRE-VILLE : Guy L’Hostis expose à la Galerie en Ré. . . . 16Une soirée ciné spéciale Verneuil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16

Le 1er festival d’animation de Bois-Colombes. . . . . . . . . . . . . . 17

TRIBUNELes listes élues représentées au conseil municipal . . 19

AUTOUR DE CHEZ NOUSPHARMACIES DE GARDE . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20PETITES ANNONCES . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 21

ÉTAT CIVILNaissances, mariages, décès . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

ACTEURS LOCAUX 03

TEMPS LIBRE 07

CADRE DE VIE 15

ZOOM ANIMART 17

DOSSIER 11

LE JOURNAL : Qui fixe les objectifs en matière de logement social ? YVES RÉVILLON : “Depuis 2000, l’État, par le biais de la loi SRU, fixe des quotas enmatière de construction de logements sociaux. Jusqu’à une date récente, ces quotas exi-geaient de chaque commune qu’elle dispose d’au moins 20% de logements sociaux surson territoire à l’horizon 2025. En 2014, la loi Alur a revu ce pourcentage à la hausse. Lescommunes sont aujourd’hui tenues d’atteindre un objectif de 25%.”JBC : Comment l’État fait-il respecter cette obligation ? Y. R. : “En plus des pénalités financières, les communes peuvent également subir despénalités administratives. Par exemple, en cas de non respect des objectifs triennaux, lepréfet est en mesure de majorer le prélèvement annuel et de se substituer au Maire pourpréempter des terrains, des immeubles ou délivrer les permis de construire, et même,attribuer arbitrairement les logements sociaux. JBC : Quel regard portez-vous sur cette politique nationale ? Y. R. : “La réglementation actuelle ne tient compte ni des disponibilités foncières pourconstruire de nouveaux logements, ni des capacités financières des communes. Que l’onsanctionne les communes qui, de façon flagrante, ne souhaitent pas de logementssociaux chez elle ne me semble pas anormal. Mais juger de l’effort fourni par une villetous les trois ans, au regard de critères purement mathématiques, est absurde. C’estbeaucoup trop court. Les programmes immobiliers – qu’ils soient publics ou privés – nese décrètent pas d’un claquement de doigt. Pour preuve, la France comptait 736 com-munes « déficitaires en logements sociaux » en 2008, 931 en 2009, aujourd’hui ellessont 1022 et demain… ? Cette loi a pour effet d’augmenter la participation des villes etde grever lourdement leur budget déjà contraint par la baisse des dotations de l’État. Parailleurs, la stricte application de quotas et de barèmes, sans tenir compte des spécificitéslocales, ne résoudra pas le problème du logement.”JBC : Quel est le risque ? Y. R. : “Cela ne peut que pousser des villes à faire des erreurs urbanistiques majeures.Dans un contexte de stress foncier exacerbé, les municipalités soumises au SRU ne vontplus avoir d’autre choix que celui de construire en hauteur, et de recréer toutes les zonesurbaines stigmatisantes et vétustes que l’on essaye de faire disparaître aujourd’hui. Alorsmême que les efforts des municipalités depuis des années portent sur la construction delogements sociaux qui soient avant tout qualitatifs et agréables à vivre, aussi bien pourleurs habitants que pour l’ensemble des riverains, la politique de construction effrénéeimposée depuis les années 2000 est dangereuse. Est-ce vraiment ce que les Français veu-lent ? Je ne le pense pas. Je suis même certain du contraire.”JBC : Pourquoi faut-il construire autant ? Y. R. : “Ce n’est un mystère pour personne : la situation du logement en Île-de-France esttrès tendue. Cette pression est surtout justifiée par le phénomène de décohabitation quidate des années 70 et qui n’a pas cessé depuis : les jeunes partent de chez leurs parents,les couples se séparent, de plus en plus de personnes isolées cherchent un logement, leniveau d’exigence des ménages augmente en termes de surfaces et de pièces… Ajoutez àcela l’augmentation des loyers et il devient de plus en plus difficile de se loger.” JBC : Le nombre de logements sociaux est-il suffisant ? Y. R. : “La France compte 17% de logements sociaux. C’est deux fois plus que la moyenneeuropéenne. Entre 1985 et 2011, le parc de logements sociaux s’est accru de 53%. Pourles financer, le Gouvernement a considérablement augmenté la fiscalité sur les proprié-taires privés. Entre 2000 et 2013, le montant des taxes prélevées aux propriétaires privésest passé de 37 milliards à 63 milliards d’euros. Tout cela implique un financement collec-tif qui devient de plus en plus lourd à porter.” JBC : Quelle est la situation du logement social à Bois-Colombes ? Y. R. : “Nous voulons offrir une diversité de logements pour répondre aux besoins detoutes les catégories socio-professionnelles. Cette politique se veut respectueuse del’identité de la ville. C’est pourquoi nous privilégions les petites unités et leur bonne inté-gration dans le paysage urbain. Et pour autant, l’État n’est visiblement pas satisfait etenvisage de nous sanctionner. Ce que je trouve totalement injuste au regard de notrevolonté affichée et des efforts qui ont été accomplis.”JBC : Que faudrait-il faire alors ? Y. R. : “Si l’offre privée n’est pas réenclenchée dans les années qui viennent, la situationn’ira pas en s’améliorant. Il faut relancer les constructions de parcs locatifs privés pourfaire baisser les prix. C’est la meilleure façon de casser l’augmentation continue du coûtdu logement qui deviendra bientôt insupportable en Île-de-France.”

“Le logement social ne peut pas être la seule réponse à la crise du logement en Île-de-France”

L’actualité vue par Yves Révillon, maire, vice-président du Conseil départemental des Hauts-de-Seine

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DEVENEZ CONSOMMATEUR TÉMOIN

L’Agence Régionale de Santé d’Île-de-France (ARS) est res-ponsable du contrôle sanitaire de l’eau potable. Elle effectuedes contrôles mensuels disponibles dans les mairies. L’ARSlance un appel aux consommateurs volontaires du 92 poureffectuer des contrôles directement au robinet. Vous sou-haitez y participer ?, rendez-vous sur www.sepg.fr/devenez-consommateur-temoin. Ces prélèvements et analyses sontopérés gratuitement et ne donnent lieu à aucune rémunéra-tion. Attention, les installations ne doivent pas être équipéesd’un filtre ou d’un adoucisseur.A noter, le Syndicat des Eaux de la Presqu’île de Gennevilliers(SEPG) gère l’eau potable pour Asnières-sur-Seine, Bois-Colombes, Colombes, Courbevoie, Gennevilliers, La Garenne-Colombes, Nanterre, Rueil-Malmaison, Suresnes etVilleneuve-la-Garenne. Les 610 000 habitants et les indus-tries et entreprises de ce territoire bénéficieront d'une eauadoucie dès juillet 2018.

DES CAMÉRAS PIÉTONS POUR LA POLICELa police municipale est désormais dotée de «caméras pié-tons» qui pourront filmer durant les interventions des agents.Les traitements des données issues des enregistrementsont pour finalité la prévention des incidents au cours desinterventions, le constat des infractions et la poursuite deleurs auteurs par la collecte de preuves, dans le cadre d'uneprocédure judiciaire. Les données et informations recueilliesseront conservées pendant six mois avant destruction.

INSCRIPTION SUR LES LISTES ÉLECTORALESVous êtes nouvel arrivant sur la commune ou avez déménagérécemment ? Assurez-vous de vous inscrire sur les listesélectorales avant le 31 décembre. Rappelons qu’il est pos-sible de s’inscrire en ligne sur : www.service-public.fr

DIMANCHES OUVRÉS À BOIS-COLOMBES*En 2018, les magasins pourront ouvrir les dimanches 14 et21 janvier; 18 mars, 27 mai, 17 et 24 juin, 16 septembre,14 octobre, 9, 16, 23 et 30 décembre 2018.* sous réserve de modification de dernière minute

LE VÉLIB’ ARRIVE À BOIS-COLOMBES !Le 8 décembre dernier sur la place du marché a eu lieu laprésentation des nouveaux Vélib’ par la société Smovengo.Les Bois-Colombiens ont pu essayer différents types de vélosqu’ils retrouveront en 2018 sur tout le réseau du Vélib’Métropole. À Bois-Colombes, les travaux d’installation desfutures stations débuteront cet hiver pour une mise enservice prévue en avril 2018.

04 NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JAN. 2018

BRÈVES

ACTEURS LOCAUX

SERVICES PUBLICS

Au cœur des préoccupations quotidiennes d’un grandnombre de citoyens, l’éducation des enfants, l’écoleet l’organisation de leurs apprentissages font l’objetde réflexion, d’adaptation, de concertation depuis denombreuses années. Après la mise en place de la semaine de 4 jours et demien septembre 2014 par l’Éducation nationale, le nouveaudécret de juin 2017, en dérogation de la loi, ouvre aux com-munes la possibilité de demander dès la rentrée 2017 leretour à la semaine scolaire de 4 jours, le choix, sans éva-luation s’avère difficile ; sans compter les incertitudes quisubsistent quant à la pérennité des financements de l’État.C’est pourquoi, la ville a fait le choix de maintenir, à la rentrée2017, le rythme mis en place depuis 2014. Un tel change-ment ne pouvant s’envisager dans la précipitation étantdonné l’importance des enjeux de stabilité des rythmes devie des enfants et d’organisation pour les familles et les

personnels. La décision doit reposer sur le partenariat engagé de longue date à Bois-Colombes etrenforcé depuis 2012, avec l’Éducation nationale et les parents. Ce travail commun a soulevé la question globale de la réussite des enfants, tout en tenant comptedes contraintes et impératifs des parents et des personnels. Il a débouché sur la conclusion d’un« Projet Éducatif de Territoire » (PEdT) qui prévoit « de proposer à chaque enfant un parcours éducatifcohérent et de qualité avant, pendant et après l’école, et d’organiser ainsi dans le respect des com-pétences de chacun, la complémentarité des temps éducatifs». Ce premier PEdT a été signé endécembre 2015 entre la Ville, l’Éducation nationale et les services de l’État, pour une période detrois ans, et s’applique donc encore pour l’année scolaire en cours 2017/2018.

Un choix basé sur une évaluation concrèteLa ville poursuit ce travail partenarial et souhaite élaborer un nouveau PEdT qui s’élargira de lapetite enfance à la jeunesse et couvrira la période 2019-2022. Pour cela, la ville doit préalablement disposer d’une solide évaluation (pédagogique, organisationnelleet financière) et d’un diagnostic partagé avec les parents, l’Éducation nationale, les services del’État… Un calendrier de travail a été proposé aux différents partenaires : de novembre 2017 à mai2018, élaboration d’un diagnostic, recensement des besoins et définition des objectifs, puis, deseptembre à décembre 2018, détermination des actions à mettre en place. C’est sur cette base,étayée par une réelle analyse, qu’il pourra être jugé de l’opportunité de modifier ou de conserverl’aménagement actuel des rythmes éducatifs. Pour élargir la réflexion à l’ensemble des temps sco-laires, périscolaires voire extrascolaires, une consultation directe des parents, enseignants et per-sonnel sera organisée, en février, pour évaluer les attentes des différents groupes en la matière.En janvier 2019, les éventuelles évolutions d’organisation du temps scolaire seront ainsi soumisesà la Direction académique pour l’année scolaire 2019/2020. Dans l’attente des conclusions desdifférents groupes de travail, l’organisation du temps scolaire et périscolaire sera maintenue tellequ’elle existe à ce jour, pour la rentrée de septembre 2018 (année scolaire 2018-2019).

Projet éducatif de territoire

Le partenariat, clé du bon choixpour les rythmes de la journée des enfants à Bois-Colombes

Dans le cadre de la simplification des démarches administratives engagée depuis quelquesannées, les préfectures dématérialisent la gestion des demandes de dossiers pour offrir une plusgrande rapidité de traitement. Depuis novembre 2017, les guichets des préfectures et sous-pré-fectures des Hauts-de-Seine (Nanterre, Boulogne et Antony) pour les permis de conduire et lescertificats d'immatriculation (ex cartes grises) sont définitivement fermés. Effectuer une demande de permis de conduire, immatriculer un véhicule d'occasion, changerl'adresse de la carte grise, vendre ou donner un véhicule, demander un duplicata de la carte grise(dans le cas d’une perte, d’un vol ou d’une détérioration),… autant de démarches uniquementaccessibles via internet sur : demarches.interieur.gouv.fr

Du nouveau à la préfecture

La demande de permis de conduire et de carte grise se dématérialise

Temps extrascolaire : initiation au land art avec le servicedes espaces verts et la médiathèque

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J’ACHÈTE CHEZ MES COMMERÇANTS… LE CLIP !

Les commerçants de Bois-Colombes sont à vos petits soinspour vous proposer des produits et services de qualité… et enplus, ils ont le sourire ! Ils le prouvent dans la vidéo en coursde réalisation qui sera prochainement visible à la salle Jean-Renoir et sur le site de la ville. Premier essai qui devrait êtreconfirmé et reconduit pour poursuivre la balade parmi les com-merçants de tous les quartiers de Bois-Colombes. A suivre…

BIENVENUE…Sophie Benayada Le Marec infirmière libérale à domicile 7j/7Tél. : 06 62 44 15 58. [email protected]érôme Wagner, ostéopathe, 8, rue des Peupliers. Tél. : 06 5989 68 94. www.cabinet-osteopathie-bois-colombes.com.Des Third Party Funding, financement de contentieux appliquésaux risques professionnels, conseil, accompagnement et for-mation. Eugénie Barry 23, rue Gallieni.www.des-thirdpartyfunding.fr. Tél. : 01 42 52 16 28.Enfance et pleine conscience,des ateliers proposés par AïdanChaumont, pour les enfants et les adolescents. Au Centre 72,72, rue Victor-Hugo. Tél. : 06 16 34 03 34, [email protected], www.enfanceetpleineconscience.fr

MAÎTRE ARTISAN ET APPRENTI À L’HONNEUR

La Chambre de Métiers et de l'Artisanat récompense lesapprentis ayant obtenu de bons résultats toute l'année et lameilleure note au CAP. Le maître d'apprentissage, chef d'entre-prise, se voit décerner la médaille de la formation profession-nelle. Le titre de Maître artisan a également été mis à l'honneurpour l'année 2016/2017. Félicitations à M. Helder Dos SantosReis, de FN Auto, 90, rue Pierre-Joigneaux et à son apprentiMatthieu Marandel (maintenance des véhicules).

ENEDIS (EX-ERDF) DÉPANNAGEVous avez un problème avec votre installation électrique ?Contactez les services : dépannage au 09 72 67 50 92 (urgenceélectricité), démarches en ligne sur www.enedis.fr ou au 09 6932 18 35. Enedis - Accueil Raccordement Électrique (ARE) Île-de-France Ouest et [email protected], ARE, 1-3, rueStephenson 78180 Montigny-le-Bretonneux Cedex

LE POP UP DE STELLA VOUS INVITELa pop up de Stella vous invite à son marché de noël “SlowMade” qui se tiendra 4, rue Jean-Brunet les 3 premiers week-ends de décembre (le vendredi de 16h à 20h, le samedi de10h à 19h et le dimanche de 10h à 18h). Au programme : desateliers créatifs (payants et sur réservation), des rencontresavec des nouveaux créateurs, une buvette gourmande,… etsurtout beaucoup de bonne humeur. Plus d’infos sur le site :www.stella-popup-store.com ou au 06 61 43 94 81

NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JAN. 2018 05

ACTEURS LOCAUX

ECONOMIE

Du 2 au 17 décembre

La fête du commerce…Dans toute la ville et pendant les marchés…Sur le marché du centre et chez lescommerces participants de la ville, lemois de décembre rime avec convivia-lité. Ouverts les dimanches 10, 17, 24et 31 décembre, les commerçants deBois-Colombes vous proposeront desoffres spéciales “Fête du commerce”pour rendre les festivités de Noël inou-bliables. Vous gagnerez peut-être,grâce à vos commerçants, le vélo élec-trique ou les centaines d’autres lotsmis en jeu cette année.

Le samedi 16 décembre, le père Noël passera dans les boutiques avec un clown,un magicien et un sculpteur de ballons qui feront la joie des plus petits et desplus grands. Un animateur vous proposera un jeu quiz avec distribution denombreux lots. Sur le marché du Centre, des paniers gourmands seront proposéspar l’association des commerçants non-sédentaires. Enfin le 23 décembre, encentre ville, de 11h à 19h, vous pourrez gagner des bons d’achat offerts par leClub commerces et retrouver le père Noël pour une distribution de bonbons.Du 15 au 17 décembre, place de la Gare des Vallées, c’est l’association descommerçants du Quartier des Vallées qui installera un manège et des tours serontofferts par les commerçants. Ils vous proposeront également une chorale, unstand photo avec le père Noël, une dégustation d’huîtres, un stand maquillage,du vin chaud et du chocolat chaud.

…et les animations de NoëlSur la place de la République :Les samedi 16 et dimanche 17 décembre 2017, de nombreuses animations vousattendent sur la place de la République entre 10h et 19h. Venez vous amuser sur la place dans le parc d’hiver avec sa piste de luge, sapiste de curling ou encore son parcours aventure. Tout au long du week-end, vouspourrez vous balader en famille entre les stands, accompagner votre enfant auspectacle de marionnettes (à l’hôtel de ville) et rencontrer le père Noël et sonlutin pour une petite photographie souvenir. Vous pourrez aussi compléter votrebelle journée à Bois-Colombes autour d’une crêpe ou d’un verre de vin chaud etsavourer les plaisirs gustatifs des stands de foie gras et de champagne.Dimanche à 17h30, ne ratez sous aucun pretexte le spectacle féérique de la com-pagnie Quidams : FierRs à Cheval. Un spectacle fantastique de chevaux sculptésde grande dimension mis en lumière par d’audacieux marionnettistes en costumesde légendes. Une création originale qui viendra clôturer ce week-end magique.On vous attend nombreux !

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BRÈVES

De g. à dte : L. Kaïmakian, conseillère municipale, M. Helder Dos Santos Reis,M. Ch. Guichard, pdt Mutuelle Bleue, partenaire, Matthieu Marandel, Mme V. Mora, dir. rel. client. MAAF assurances, partenaire, Mme Fl. Pinon, groupeBanque Populaire, partenaire, M. D. Goupillat, pdt CMA.

De g. à dte : L. Kaïmakian, conseillère municipale, M. Helder Dos Santos Reis,M. Ch. Guichard, pdt Mutuelle Bleue, partenaire, Matthieu Marandel, Mme V. Mora, dir. rel. client. MAAF assurances, partenaire, Mme Fl. Pinon, groupeBanque Populaire, partenaire, M. D. Goupillat, pdt CMA.

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BRÈVES

ACTEURS LOCAUX

SOLIDARITÉRegistre d’accessibilité

Rechercher l’accessibilité pour tous et partout va devenir un réflexe

LES RENDEZ-VOUS DE BISTROT MÉMOIRE, DEMANDEZ LE PROGRAMME 2018Ces rendez-vous mensuels, entre 15h et 17h30, animés parune psychologue et des bénévoles proposent, bien plus quedes exercices de mémoire : un moment de partage et deconvivialité pour les personnes touchées de près ou de loinpar la maladie d’Alzheimer. RV au Bleu’T 12, pl. Gabriel-Péri.18 janvier : Et si on s’évadait ? ; 15 février : Le droit, lesdroits ; 15 mars : Amusons-nous ! ; 12 avril : Vivre ailleurs ;17 mai : Et l’esthétique dans tout ça ? ; 21 juin : Lesnouvelles technologies ; 20 septembre : Prendre soin de soi ;18 octobre : L’équilibre dans son assiette ; 15 novembre :Des questions ? ; 20 décembre : Se souvenir en chansons.Rens. : 01 41 19 83 05. [email protected]

RÉVEILLON DE LA SOLIDARITÉ 2017Chaque année, la Fondation de France soutient près de 200réveillons de la solidarité, conçus par et pour des personnesen difficulté et isolées. Vous pouvez soutenir cette initiativeen faisant un don sur www.fondationdefrance.org.

RÉSEAU BRONCHIOLITELe standard du réseau bronchiolite est ouvert depuis le 13octobre dernier. Il sera opérationnel en continu au 0820 820603* (kinésithérapeutes) et au 0820 800 880* (médecins)jusqu’au 18 février 2018. Plus d’information sur le sitewww.réseau-bronchio.org (*0,12€/min).

L’ONACVG DÉMÉNAGE L’Office National des Anciens Combattants et Victimes deGuerres déménage. Ce service départemental siège doré-navant au 167/177, avenue Joliot-Curie 92013 Nanterrecedex et est joignable au 01 40 97 21 40. www.onac-vg.fr.

LES BOUCHONS D’AMOURL’association Kiwanis collecte, à Bois-Colombes, à l’hôtel deville et dans les deux mairies de quartier, des bouchons enplastique qui seront revendus pour être recyclés. En France,le fruit de ces ventes permet l’acquisition de matériel pourhandicapés (fauteuils roulants, …) et la participation à desopérations humanitaires. Depuis février 2015, 161 sacs debouchons ont été collectés. www.bouchonsdamour.com

VERDUN AVEC LE SOUVENIR FRANÇAISL’association propose un week-end à Verdun les 9 et 10juin 2018, année du centenaire de la fin de la GrandeGuerre. Inscrivez-vous vite ! Tarif : 108€/pers. Rens. : Mme Drecq au 06 32 21 00 40.

DON DU SANG AVEC L’ESFPour confirmer la labélisation “Commune donneur” de Bois-Colombes depuis 2012, 113 Bois-Colombiens se sont dépla-cés samedi 21 octobre. L’EFS les remercie pour leur don etle temps consacré à ce geste solidaire. L’association donnerendez-vous le 31 décembre prochain de 9h à 13h centreCharlemagne pour un nouveau moment de partage et desolidarité. L’ESF compte sur vous. 7, rue Félix-Braquet.

La loi Handicap de 2005 oblige les établisse-ments recevant du public (ERP) à devenir acces-sibles à tous. La ville a donc déposé un agendad’accessibilité programmée (Ad’AP) pour tousses ERP comportant les états des lieux, les tra-vaux nécessaires, les réorganisations et lescalendriers qui en découlent.Dans l’impossibilité de traiter simultanémenttous les ERP, la ville a dû modifier son organisa-tion pour se mettre en conformité avec cetteréglementation. Avec l’ouverture de l’espaceDuflos qui regroupe un grand nombre de direc-tions municipales, la ville a amélioré l’accessi-bilité de ses services aux Bois-Colombiens. Maisle travail se poursuit dans les autres ERP.Faire c’est bien mais le faire savoir c’est mieux,comme l’exprime le décret de 2017 qui exigede porter à la connaisance du public, les travauxréalisés ou à exécuter dans chaque établisse-ment. Il s’agit du registre public d’accessibilitéde chacun des ERP. Ce document, consultable le plus souventnumériquement, donne des informations surl’établissement, les prestations fournies, sonniveau d’accessibilité avec les équipements misà disposition et le calendrier des éventuels tra-vaux à programmer. Mais ce registre va bien au-delà des travaux car

il prévoit d’y faire figurer les formations dispen-sées aux personnels pour appréhender les bonscomportements face à des publics en situationde handicap. La ville, par l’intermédiaire de lacommission communale d’accessibilité (CCA)créée en conseil municipal, s’attache à traitertoutes les questions relatives au handicap et àdévelopper l’accessibilité dans tous lesdomaines : ERP, voirie, transports, commerces,logements, accès aux services publics, accueil D’ores et déjà, pour améliorer le service, lesBois-Colombiens souhaitant retirer ou déposerun dossier de la Maison Départementale desPersonnes Handicapées (MDPH) sont invités àse rendre à l’accueil de la mairie ou àtéléphoner au 01 41 19 83 00 afin de prendreun rendez-vous pour rencontrer la chargée demission Handicap.Le journal présentera régulièrement lesavancées notables en ce domaine.

L’ACCESSIBILITÉ À LA GARE DE BÉCONLes ascenseurs dont celui de la place Coste-et-Bellonte (photo ci-dessus) fonctionnent. À la gare, l’ascenseur permettant l’accès à lapasserelle via le passage piéton se situederrière l’escalier mécanique et la SNCF devraitsignaler son emplacement prochainement.

Après leurs portesouvertes d’octobredernier qui ont rem-porté un vif intérêtnotamment auprèsdes plus jeunes, les pompiers deColombes/ Bois-Colombes poursui-vent leur action. Pourles soutenir, leurscalendriers sont tou-jours en vente.www.pompiers.fr

AVEC LES POMPIERS DU CENTRE DE COLOMBES/BOIS-COLOMBES

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NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JANV. 2018 07

TEMPS LIBRE

SPORTBRÈVES

LES RENDEZ-VOUS DU SPORTGymnase Jean-Jaurès BCS Tennis de table : samedi 16 déc. 2017Critérium fédéral - tour 2 - 13h30/20hsamedi 27 janv. 2018 Critérium fédéraltour 3 13h30/20hBCS Gymnastique rythmique : samedi 9 déc.2017 dans le cadre du Téléthon. 14h-16hBoiscoland : samedi 23 déc. concours de “battle had”. 12h-20h.Complexe sportif Smirlian Volley : mer. 13 déc. matches BC/Osny Pontoi-se et le 20/12 BC/Viarmes.Escrime : le 17 déc. challenge des maîtresMairie de quartier Les Bruyères salle Le Vigny Cercle d’échecs : sam. 16 déc. 2017 9h/18hchampionnat des Hauts-de-Seine

MÉTHODE FELDENKRAIS

Cette méthode, créée par le physicien et judokaMoshe Feldenkrais (1904-1984), s’adresse àtous et se pratique à tout âge. Danseuse cho-régraphe et enseignante, Céline Vieillard, pra-ticienne certifiée de la méthode Feldenkrais,propose des cours hebdomadaires à Bois-Colombes, à la MDJ et au studio Raspail.À découvrir. Rens. : 06 77 09 26 [email protected].

SPORT SOLIDAIRE

Comme un poisson dans l’eau…

GYMNASTIQUE ACROBATIQUE

Lors des derniers championnats d’Europe de gymnastique acrobatique qui se tenaient à Rzeszow (Pologne) du 13 au22 octobre 2017 dernier deux groupes bois-colombiens se sont illustrés. Tout d’abord le duo mixte, composé de JulienFillette et Victoire Séon, termine 8e de ces championnats sur 23 groupes en participant notamment à la finale du pro-gramme statique et du concours général. « Une belle place qui vient confirmer leur belle saison et le titre de championde France acquis en juin » affirme leur entraîneur Thomas Ferraguti.Puis le trio, Zoé Contargyris, Margot Deschamps et Valentine Morgant, termine également 8e de ces championnats d’Eu-rope en rentrant en finale du concours général et du programme dynamique. Pour finir, ce même trio prendra une superbequatrième place lors de la finale du programme dynamique. Des championnats plein de succès donc qui confirmentla place forte de Bois-Colombes en gymnastique acrobatique.Ces deux groupes sont désormais en préparation deschampionnats du Monde qui se tiendront à Anvers (Belgique) dans 6 mois. www.facebook.com/bct92/

4 finales et une 4e place aux championnats d’Europe

Retour en images sur l’action solidaire “Comme un poisson dans l’eau” organisée par le Secours populaire et Récréaqui gère le centre aquatique de Bois-Colombes, pendant les vacances de la Toussaint.25 enfants invités par le Secours populaire ont eu la chance d’avoir Camille Lacourt comme professeur particulier denatation. Avec la ministre des sports Laura Flessel, ces deux médaillés olympiques ont conjointement lancé la 4eéditionde cette opération. Bonne entrée en matière pour des enfants qui ne sont pas des familiers des sports aquatiques.

Pour ces 28e championnats en Pologne, les Bois-Colombiens ont rempli leur contrat.

LE 15E CHESS MASTERA Bois-Colombes, fin d’année rime avec chessmaster. Du 26 au 30 décembre 2017, la galerieCharlemagne accueillera cette compétitionéchiquéenne de réputation internationale avecla présence des grands maîtres Andreï Shche-kachev, multiple vainqueur de l'épreuve, SergeyFedorchuk, lauréat de l'an passé et Roger Ferry,multiple vainqueur du prix vétéran.Rens. : Stéphane Pinçon au 06 81 95 66 87ou [email protected] d’échecs : 01 45 63 21 65.bois-colombes-echecs.com

LE RENOUVEAU DU STUDIO RASPAIL

Le studio Raspail (installé depuis 1983) faitpeau neuve et s’installe au 27, rue des Bour-guignons dans 164 m² de locaux rénovés. Virginie Goeffroy vous accueille pour pratiquerla danse jazz, le renforcement musculaire, lestretching, le yoga, le Pilates, la barre au sol, lazumba et encore la méthode Feldenkrais.Rens. : 06 60 82 06 05 [email protected].

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Quatre danseurs incarnent La petite fille auxallumettes, Le petit Chaperon rouge et Le vilainpetit canard, entre danse hip-hop et dansecontemporaine. Loin de l’apparente légèretédes contes, la chorégraphe Séverine Bidaud met en lumière des thématiques comme lasolitude ou le difficile passage à l’âge adulte…Le film d’animation “Le vilain petit canard”a été présenté en amont du spectacle et les danseurs seront présents à la sortie duspectacle. (Intervention dans les écoles, voir aussi p. 10 Ça danse dans les écoles.)Tarifs : 11 €/8,50 €/7,50 €/carte Jean-Renoir : 6,50 €.

08 NUMÉRO 124 — DÉC. 2017/JANV. 2018

SCÈNE MERMOZ SALLE JEAN-RENOIRTHÉÂTRE

DIMANCHE 10 DÉCEMBRE À 15H À PARTIR DE 5 ANS

TEMPS LIBRE

LOISIRS CULTURE

DANSE

THÉÂTRE/DANSE

AVEC LA COMPAGNIE 6E DIMENSION

CHORÉGRAPHIE SÉVERINE BIDAUD

Porté par Serena Fisseau, ce conte musicalraconte l’histoire d’une enfant à qui l’on avolé le papa. Cette histoire, c’est la sienne. Accompagnée par un violoncelle et despercussions, Serena y dessine une méditation délicate sur l’éclosion d’un être dansle tumulte du monde. Rencontre à la sortie du spectacle.Tarifs : 11 €/8,50 €/7,50 €/carte Jean-Renoir : 6,50 €.

DIMANCHE 17 DÉCEMBRE À 15H À PARTIR DE 7ANS

Retrouvez la programmation de la ville sur www.bois-colombes.com Réservations : 01 47 81 37 97

Dans les dictionnaires, le terme bric-à-brac évoque des vieilleries dispa-rates, en mauvais état, sans valeur... Et si on se laissait la liberté de voirle monde à notre manière ? On se trouverait d'un coup dans le grenier dupapy de Camille… ! Dans ce lieu chaleureux où, en compagnie de sa tanteIsabelle, elle découvre ses trésors et bricole des mondes imaginaires. Sur scène, Camille et Isabelle sont d’étonnantes créatrices. Le specta-teur voit leurs mains manipuler, construire, donner naissance à un petitmonde qui grandit, se transforme et s’échafaude à force d’imagination.Les objets parlent, les ombres s'animent, une poésie émerge de la pous-sière… La compagnie est en résidence de création à la Scène Mermoz.Tarifs : 8€/6€/carte Jean-Renoir : 5€.

Bric à broc’THÉÂTRE

SAMEDI 3 FÉVRIER 2018 À 15H À PARTIR DE 5 ANSUN SPECTACLE DE LA COMPAGNIE BAKAKAÏ

CONCEPTION/MISE EN SCÈNE NATALIA ZALUCKA

AVEC ANASTASIA JOUX ET MAËLLE SALOMON

THÉÂTRE MUSICAL

Jacques et son maître Hommage à DiderotTHÉÂTRE AVEC LA RIEUSE

JEUDI 18, SAMEDI 20 JANVIER 2018 À 20H30SAMEDI 27 À 20H30, DIMANCHE 28 JANVIER 2018 À 15HDE MILAN KUNDERA

Jacques et son maître devisent sur la route ; qui sont-ils ? D’où viennent-ils ? Où vont-ils ? «Est-ce que l’on sait où l’on va ?» (Jacques Acte 1 scène1). Nos deux philosophes sont accompagnés sur le plateau parl’aubergiste ; mais est-elle vraiment aubergiste ? Ne serait-elle pas plutôtLa Marquise de la Pommeraye ? Ils nous racontent leur histoire d’amouret nous voyons défiler une galerie de personnages différents ; enfin sont-ils si différents ? «…nos aventures sont risiblement semblables…»(Jacques Acte 3 scène 5). Ces souvenirs, images virtuelles etholographiques, sont si présents que soudain il devient difficile de savoirce qui est réel et ce qui ne l’est pas… «L’histoire des hommes a étéréécrite si souvent que les gens ne savent plus qui ils sont» (JacquesActe 3 scène 1). Tarifs : 10 €/8 € www.larieuse.fr/www.billetreduc.comRens./réserv. : 06 24 05 55 76

«Les clochards… Ils sont souvent ivres,parfois violents. Ils puent la crasse. Ceshommes et femmes sans-abri sont desblessés, des victimes, des révoltés, des

rêveurs éthyliques d’un chimérique ailleurs». Les mots de PatrickDeclerck, ethnologue, psychanalyste et écrivain, sont précis et francs. Ilsait de quoi il parle. Il doit cette expertise à une longue immersion dansles centres d’accueil de sans-abris de la région parisienne.“On a fort maldormi” met en scène son parcours, ses rencontres et ses propres contra-dictions et devient une plongée bouleversante aux côtés des sans-abris.Le spectacle, porté par le jeu toujours juste de Jean-Christophe Quenon,embarque magistralement le spectateur dans cette expérience hors ducommun et donne une parole forte, vibrante à ces hommes et femmes enmarge de la société. Tarifs : 15 €/13 €/12 €/carte Jean-Renoir : 10 €.

VENDREDI 15 DÉCEMBRE 2017 À 20H30AVEC LA COMPAGNIE COUP DE POKER

PRIX DES LYCÉENS AU FESTIVAL IMPATIENCE 2015 AU THÉÂTRE DE LA COLLINE

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Dis, à quoi tu danses ?

Les Filles de Simone explosent le mythe du bon-heur maternel. Perdues dans un tumulte dequestions et de doutes, ces mères en devenirconvoquent Beauvoir, Badinter, mixant tout çaavec les injonctions contradictoires de leur mère, leur patron, leur médecin… pour unenévrose assurée ! Les deux comédiennes plongent avec un culot libérateur dans ce grandbain qu’est la maternité. Effectivement, ça a l’air un peu compliqué d’être l’origine dumonde ! Prévoyez de venir les rencontrer à la soirée rencontre apéritive, samedi 16décembre à 19h. Tarifs : 19 €/15 €/14 €/carte Jean-Renoir : 12 €.

VENDREDI 12 JANVIER 2018 À 20H30 “ELLES SONT MERVEILLEUSES. DRÔLES, AUDACIEUSES, INSOLENTES, JOYEUSES, INTELLIGENTES.” LE FIGARO

UNE CRÉATION COLLECTIVE DES FILLES DE SIMONE :CLAIRE FRETEL, TIPHAINE GENTILLEAU, CHLOÉ OLIVÈRES

THÉÂTRE

C’est compliqué d’être l’origine du monde

Nouchka et la grande question

C’est l’histoire d'Odette, jeune danseuse dontl'enfance a été massacrée par les assauts “d'unami de la famille”et qui se bat pour se reconstruire.A travers une galerie de personnages et la mise enscène subtile d'Éric Métayer, les mots et la danses'entremêlent et permettent à Andréa Bescond de transporter le spectateur dans ungrand huit émotionnel. Tarifs : 26,50 €/22,50 €/21,50 €/carte Jean-Renoir : 20,50 €.

VENDREDI 26 JANVIER 2018 À 20H30 À PARTIR DE 15 ANSMOLIÈRE DU MEILLEUR SEUL(E) EN SCÈNE 2016UN SPECTACLE ÉCRIT ET INTERPRÉTÉ PAR ANDRÉA BESCOND

MISE EN SCÈNE : ÉRIC MÉTAYER

Les chatouilles ou la danse de la colère

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MISE EN SCÈNE : OLIVIER PROU, ÉCRIT PAR DAVID SIRE

COMPOSÉ PAR SAMUEL STROUK AVEC SERENA FISSEAU,VALENTIN MUSSOU, FRED SOUL

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LE REPAS DE NOËL DES BRETONSPour célébrer Noël, l’amicale des Bretons pro-pose, le dimanche 10 décembre à 12h, unrepas dansant au centre Charlemagne avecl’orchestre de Roger Lemaire accompagné dePhilippe et Jean-Pierre pour vous faire danser.7, rue F.-Braquet. Rens. : 01 47 82 77 92.

LES CYCLADES AVEC SORTIESVOYAGES ET DÉCOUVERTES Découvrez Paros, Mykonos, Santorin… durantle voyage prévu du 27 mai au 3 juin. Rens. J.-M. Montello 06 73 28 49 93.

IL SE PASSE TOUJOURS QUELQUECHOSE À LA MÉDIATHÈQUELa médiathèque sera fermée du 26 décembreau 6 janvier. Avant cette date, distribution pourles fêtes de sacs mystère composés de livres,BD, CD, pour les petits et les grands… etaprès, un nouveau décor, à l'entrée de lamédiathèque. Sans oublier les ateliers infor-matiques du jeudi matin sur inscription.CAFÉ-LECTURE Prochain rendez-vous le samedi 13 janvier (lesnouveautés) de 17h à 19h pour échanger vosimpressions de lecteurs et faire le pleind’idées de nouvelles découvertes.2E NUIT DE LA LECTURELa médiathèque propose, pour les jeunes etles adultes, une nuit de lecture sur le thèmede l’épouvante. Venez trembler le samedi 20janvier. 7, rue Félix-Braquet. Rens. : 01 41 19 83 72.

“IMPRO” À LA MDJVenez assister aux matches d’improvisation dela Liabc (ligue d’improvisation Asnières/Bois-Colombes), les samedis 13 janvier et 3 février à20h. tarif unique : 5€. 50, rue Raspail. Rens. :09 81 97 75 67. www.mdjboiscolombes.fr .

POUR LES JEUNES ET LES MOINS JEUNESLES OPÉRAS DE MOZARTAU CENTRE 72Samedi 16 décembre à 20h30, plongez dansl’univers du compositeur autrichien et ses opé-ras présentés dans leur contexte musical ethistorique. Avec Emmanuel Bujeau (baryton) etMarion André (piano). Entrée libre.Auparavant à 16h : concert spécial jeunepublic. Spécialement adapté aux enfants, ceconcert propose une approche pédagogique etludique des œuvres du maestro.72, rue Victor-Hugo. www.centre72.fr

SILAS BASSA EN CONCERT AU TACInvité en 2016 de la soirée “Labèque andFriends”, Silas Bassa a été choisi, en 2017,comme professeur de piano par l’Académiemusicale Philippe-Jaroussky, installée à LaSeine musicale. Il présente son nouvelalbum Dualità enregistré au TAC, le samedi 9décembre à 20h30. Venez écouter Bach, Mes-siaen, Ravel… 4, rue Marie-Laure. 01 74 63 53 11. lechantdeshommes.fr

BRÈVESGALERIE CHARLEMAGNE

À LA SALLE JEAN-RENOIR, 7, VILLA DES AUBÉPINESJUSQU’AU 5 JANV. LAURENT BESSON L’œil écoute (dessin)DU 8 JANV. AU 28 FÉV. : SEZNY PERON Ardoise, roche vibrante (ardoise et bois)

À L’ESPACE SCHIFFERS, 79, RUE CHARLES-CHEFSONJUSQU’AU 22 DÉC. :RÉGIS IMBAULT (tableaux végétaux)DU 2 AU 31 JAN. : VÉRONIQUE JOLY CORBIN (peinture)

À L’HÔTEL DE VILLE, 15, RUE CHARLES-DUFLOSJUSQU’AU 22 DÉC. : SIRANOUCHE (Nouvelle publication Le Chat Botté)DU 2 AU 16 JANV. : ALINE TAÏEB (photographie, portraits) DU 18 AU 26 JANV. : CHARLÈNE GOGO (aquarelle et peinture)DU 31 JANV. AU 18 FÉV. : LES FRANCILIENS Invitée d’honneur Andrée de Frémont

LES AUTRES EXPOSITIONS

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UN FILM DE PHILIPPE PRUDENT

Monde, épopée en eaux vives

CINÉ-CONFÉRENCE

VENDREDI 2 FÉVRIER 2018 À 14H30

Comment se comporter avec l’eau ?Quelles seraient les conséquencesde sa diminution ? Entre manque deconsidération des uns et profondrespect des autres, découvrez 10régions du globe à la rencontre deceux qui cherchent comment gérerau mieux cette ressource. Tarifs : 7,50€/6,50€/5,50€/carte Jean-Renoir : 4,50 €.

Voici l’histoire drolatique d’un cho-régraphe israélien qui choisit undanseur arabe pour créer une pièceporteuse d’un message de coexis-tence et de paix ! Le spectacle duchorégraphe Hillel Kogan se moquegentiment de la création contempo-raine tout en portant un regard pleind’humour et de dérision qui brocar-de les clichés sur le partage et lacoexistence entre Juifs et Arabes.Attention chef-d’œuvre : ce petitopus léger et court aux vertus percu-tantes est un vrai tour de force d’in-telligence et d’inventivité. Tarif : 26,50€/22,50€/21,50€carte Jean-Renoir : 20,50 €.

MARDI 6 FÉVRIER 2018 À 20H30

DANSE/HUMOUR

TEXTE ET CHORÉGRAPHIE : HILLEL KOGAN

We love Arabs“La femme est l’avenir de l’homme”chantait Ferrat, inspiré de la maximedu poète Louis Aragon. L’évolutionde la condition féminine, la positionsociale de la femme depuis le débutdu siècle dernier et son accessionaux métiers qui ne lui étaientd’abord pas destinés, voilà lafresque historique que retrace lesalon philatélique et cartophile.Enrichie de la conférence, “Lafemme à la Belle Époque” de MichelToulet le samedi 10 février à 15h, lagalerie Charlemagne accueilleral’exposition, les 10 et 11 février.Bourse d’échanges le dimanche 11de 9h à 18h. 7, rue Félix-Braquet. Rens. : 06 95 38 92 41 et 09 54 83 16 79.

Salon philatélique & cartophileLES 10 ET 11 FÉVRIER 2018

LES SAMEDI 20 ET DIMANCHE 21 JANVIER À LA SALLE JEAN-RENOIR

31e festival chrétien du cinéma“Atteindre l’inaccessible…” certains y arrivent !

Créé par les paroisses catholique et protestante d’Asnières etde Bois-Colombes, le Festival chrétien du cinéma conjugueplaisir du cinéphile et soutien à une association caritative.SAMEDI 20 À 15H, Séraphine (2008), de Martin Provost. Séraphine, à la veille de 14/18, convaincue d’être inspirée parla Vierge et les anges, peint en cachette, jusqu’à ce qu’un Alle-mand découvre son talent et la fasse reconnaître. À 17H30 : débat avec le réalisateur et des intervenants.À 19H : dîner-buffet (16 €), résa. conseillée au 01 42 42 12 75. À 20H30, Polina, danser sa vie (2016) de Valérie Müller etAngelin Preljocaj. Dans la Russie des années 1990, pouréchapper à l’académisme ambiant, Polina décide de tout quit-ter pour se lancer dans la danse contemporaine. Suivi d’un échange avec Brigitte Lefèvre, chorégraphe et ex-directrice du Ballet de l’Opéra de Paris.DIMANCHE 21 À 14H30 : Good luck Algeria (2016) de Farid Bentoumi. Pour sauver leur entreprise, deux amis tentent dese qualifier aux JO d’hiver sous la bannière de l’Algérie… Film suivi d’un échange. Libre participation au profit de l’association Les Ateliers de laGarenne (Esat à Gennevilliers).

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VACANCES DE NOËL DU 26 AU 29 DÉCEMBRE 2017 POUR LES 11/13 ANS

Ce mini séjour « raid aventure » au domaine de Comteville près de Dreux, sera axé sur le sport, encadrépar des éducateurs sportifs diplômés (escalade, accrobranche, parcours de cohésion, course d’orien-tation, VTT, …). En parallèle, les jeunes s’exerceront à la cuisine, à la création manuelle, à des ateliersscientifiques, à des grands jeux (Koezio), à des veillées,… ou assisteront à un match de basket pro A.Inscriptions jusqu’au 13 déc. à l’espace Duflos 79, rue Charles-Duflos.VACANCES D’HIVER À L’ESPACE DUFLOS DU 19 AU 23 FÉVRIER 2018Pour les 11/17 ans : un projet slam 2 journées « graff », des sorties patinoire, cinéma, bowling, desactivités sportives et culturelles, des soirées thématiques (raclette party, film-débat,…).Retrait des fiches à partir du 31 janvier 2018 et inscription du 5 au 7 février 2018 à l’espace Duflossitué au 79, rue Charles-Duflos.VACANCES D’HIVER À VARS DU 17 AU 24 FÉVRIER 2018 POUR LES 11/17 ANS

Dans les Hautes-Alpes à Vars Sainte-Marie, ce séjour ski sera enca-dré par un directeur et des animateurs de Bois-Colombes. Hormisle ski pour tous ou le snowboard pour les confirmés dans l’un desplus beaux domaines des Alpes du sud, les jeunes pourront profiterde sorties en raquette, patinoire, jeux de neige, luge, veillées… Inscriptions jusqu’au 14 décembre 2017 aux accueils des mairies.INSTAGRAM DU SERVICE JEUNESSE SJBOISCO

Pour savoir ce qui se passe au Bij, au service jeunesse et pour lesjeunes, connectez-vous sur sjboisco : instagram.com/sjboisco/ettoujours facebook.com/Service.Jeunesse.Bois.Colombes Rens. : espace Duflos 79, rue Ch-Duflos. Tél. : 01 84 11 74 47.

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TEMPS LIBRE

JEUNESSE

AVEC L’ACTION JEUNESSE

BRÈVES

LES ÉVÉNEMENTS DU BIJ- Formation PSC1 (premiers secours) le dimanche 17 décembre.- Soirée d’échanges du BIJ et de la JABC (Jeunesse Associative deBois-Colombes) sur le thème : “Partir à l’étranger et promouvoir sonexpérience”, mardi 19 décembre à 18h30 à l’espace Duflos, entréelibre. L’association anneessabbatiques.com présentera les diffé-rentes façons de partir à l’étranger : volontariat, job, stage, séjourlinguistique.. et les témoignages de Bois-Colombiens sur leur expé-rience à l’étranger.- Conférence pour les parents, sur le thème“Compréhension du développement del’adolescent”, le jeudi 1er février 2018 àl’Hôtel de Ville à 18h30, animée par le pro-fesseur Philippe Jeammet, pédopsychiatre,professeur des universités – praticien hospitalier émérite de psychiatrie et psychanalyste, spécialiste del’enfant et de l’adolescent. Pour toutes ces animations :Rens. au BIJ à l’espace Duflos. Tél. : 01 84 11 74 49

À LA MÉDIATHÈQUE POUR LES JEUNESLes rendez-vous réguliers, sans inscription et selon l’âge : - Des biberons et des livres à 10h, samedi 16 décembre, samedi20 janvier, mercredi 7 et samedi 17 février.- L’heure du conte à 10h : samedi 13 janvier et 10 février.- Club Manga, de 17h à 19h, les sam. 16 décembre et 27 janvierpour les collégiens et les lycéens.- Jeux vidéo, de 16h à 18h, mercredis 13 décembre et 17 janvier,pour les 8/12 ans. 7, rue Félix-Braquet. Rens. : 01 41 19 83 72.

LES ÉLECTIONS DES CMJISTES REPORTÉESL’organisation actuelle du fonctionnement du conseil municipal desjeunes doit être modifiée. C’est pourquoi, les prochaines électionsseront reportées à l’automne prochain. Les jeunes élus en coursde mandat ont présenté les résultats de leur bilan lors de la séanceplénière du 7 décembre dernier.

LES VACANCES AVEC LA VILLE ET LES ASSOCIATIONSSÉJOURS SKI POUR LES 8/10 ANS Du 24 février au 3 mars 2018, un séjour ski est organisé pour 35enfants de 8 à 10 ans dans les Vosges. Encadrés par des anima-teurs de la ville de Bois-Colombes et de l’ESF, ils pourront aussi goû-ter aux joies du biathlon, des patins à glace, de sortie en raquette… Les dossiers d’inscription sont à rendre complétés à partir du 11 décembre 2017. Rens. : www.bois-colombes.com

STAGES À L’ESPACE SCHIFFERSPendant les congés de Noël, du 16 au 29 décembre, il reste desplaces pour les stages baby poterie de 11h à 12h et poterie et des-sin de 14h à 17h pour les 7/12 ans. Rens: 01 55 66 02 02.

STAGES AVEC L’ATELIER GRIBOUILLISStages créatifs de Noël du 27 décembre au 5 janvier pour lesenfants et les jeunes de 3 à 12 ans et +. 2 bis, rue Mertens. Rens: 01 47 84 82 06 et www.atelier-gribouillis.blogspot.fr.

STAGES D’ANGLAIS À LA PHILOTEC 92Préparation à l’entretien d’embauche (niveau intermédiaire B1) :sessions du 15 au 26/01/2018 et du 12 au 23/03/2018, dulundi au vendredi de 10h à 12h.Conversation collégiens (niveau 4e-3e) : sessions du 26/02 au2/3/18 et du 23 au 27/04/18, du lundi au vendredi de 9h30 à 11h.Conversation lycéens (niveaux seconde à terminale) : sessions du26/2 au 2/3/18 et du 23 au 27/4/18, du lundi au vendredi de11h15 à 12h45. Les cours sont dispensés au 31, rue du Gal-Leclerc derrière l’église.Rens. : 06 62 71 19 77 ou [email protected].

Les vacances sont actives

De la scène à la ville

Quand la culture s’invite en ville et à l’école, durant le temps scolai-re, périscolaire ou extrascolaire, c’est un moment particulier pourles élèves, les professeurs et les artistes. Déclamer un texte, dan-ser un rigaudon ou décrypter l’intention artistique sont autant d’ap-prentissage et d’ouverture au monde. Ce plaisir d’apprendre, quis’appuie sur les spectacles de la salle Jean-Renoir et de la ScèneMermoz, se trouve prolongé par les artistes qui passent d’un côtéet de l’autre de la scène pour transmettre la passion de leur art. Leplanning ne laisse aucun répit : pas le temps de s’ennuyer…DANSE

- les 29 novembre et 8 décembre 2017, dans le studio de dansede l’espace Duflos, 2 classes (CE1 et CM1) de Paul-Bert ont tra-vaillé avec la compagnie 6e dimension juste avant la représenta-tion de leur spectacle Dis, à quoi tu danses ?, le 10 décembre dernier. Le spectacle repose sur 3 contes qui abordent la peur, le rêve et la métamorphose. En classe, les contes ont été lus, le mouve-ment hip-hop expliqué et un carnet retracera l’expérience. Le danseur, lui, apportera son éclairage surle vocabulaire chorégraphique, l’éveil corporel et l’expression des sentiments.- du 5 au 15 décembre 2017, les élèves ados et adultes des cours des centres culturels Duflos et Schiffersparticipent à l’atelier de danse de la compagnie Faizal Zeghoudi, dans le cadre de la résidence artistique.LES AUTRES ACTIONS CULTURELLES MUSIQUE ET DANSE BAROQUE

- pendant le 1er trimestre 2018, 6 classes élémentaires, dans le cadre des projets culturels à l’écoleet en collaboration avec le Tac, seront initiées au baroque, avant le 2e festival qui se tiendra en mars. THÉÂTRE

- entre mars et avril 2018, c’est le cours adulte de l’espace Duflos qui partagera un atelier avec lacompagnie Fouic théâtre du spectacle Timeline programmé le 30 mars à la salle Jean-Renoir.- au 2e trimestre 2018, deux classes des lycées Balavoine et Mermoz rencontreront la compagnie Letemps est incertain mais on joue quand même qui interprétera le spectacle Cendrillon le 4 mai.THÉÂTRE ET MUSIQUE

- en décembre, les grandes sections de maternelle approcheront la compagnie En chemins avec lespectacle Après la pluie à la salle Jean-Renoir.- enfin en mars, les petites et moyennes sections de maternelle assisteront, à la Scène Mermoz, auspectacle Blabla des belles bulles de la compagnie Minoscropik.RENCONTRES APÉRITIVES

Et pour tous, dans le hall de la salle Jean-Renoir, venez discuter avec la compagnie Les filles de Simo-ne du spectacle C’est compliqué d’être l’origine du monde, le samedi 16 décembre 2017 à 19h ouavec Coraly Zahonero de la Comédie française avant Grisélidis le samedi 16 mars 2018 à 19h.

Ça danse dans les écoles

Clément Guesdon de la Cie 6e dimension avec les CM1

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Pages 12 et 13

QUAND LA QUALITÉ ET L’ENTRETIEN DU BÂTI PROFITENT À TOUS— De magnifiques villas bourgeoises du XIXe siècle — Pavillons de banlieue : la grande richesse de Bois-Colombes— Des maisons pour ouvriers

Pages 14 et 15

NAISSANCE ET DÉVELOPPEMENT DE L’HABITAT COLLECTIF BOIS-COLOMBIEN — Triomphe de la brique au début du XXe siècle— A l’écart des excès architecturaux et urbanistiques de l’après-guerre — De l’HBM au logement social intégré dans le paysage urbain— Une renaissance de l’architecture dans les années 2000

Ce dossier sur le patrimoine architectural de Bois-Colombes est une première, forcément incomplète. Si vous avez des informations que vous jugez intéressantes sur notre patrimoine, si vous souhaitez compléter la présentation qui en est faite dans les pages suivantes ou si vous notez des inexactitudes, surtout n'hésitez pas, faites-nous en part. Ecrivez-nous à : [email protected]

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Un siècle d’architecture à Bois-Colombes

Avenue du Bel-Air

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PATRIMOINE

Quand la qualité et l’entretien du bâti pr Quelques magnifiques villas bourgeoises du XIXe siècle

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Simple lieu dit avantd’accéder au rang de commune en 1896,Bois-Colombesest avant toutune villepavillonnaire présentant une architecture typiquedes constructionsde la fin du XIXe siècleet du début du XXe

dans un contexted’exode rural,d’industrialisationflorissanteet de développementdu chemin de fer.Anciens lieuxde villégiatureà quelques kilomètresde la Capitale,les secteurspavillonnaires se sontétendus au furet à mesure dudéveloppement de lamétropole et des villesvoisines, pour arriverà des zonesd’urbanisationcontinue recouvrant la campagne initiale.

C’est au XIXe siècle que la proche banlieue de Parisdevient le lieu de villégiature des riches familles pari-siennes et des notables locaux. De superbes villas bourgeoises voient le jour à Bois-Colombes.Ces demeures élégantes marquent une prédilection pour l’artéclectique. Ce style fin de siècle mêle les éléments décoratifs dedifférentes périodes de l’histoire de l’art. Mais on trouve aussidans notre ville quelques très beaux exemples d’un sous-genretrès en vogue jusque dans les années 50 : le régionalisme archi-tectural. Le régionalisme est très apprécié par les propriétairesdes villas de la banlieue parisienne et des stations balnéairesqui prennent leur essor à cette époque. Ce style revisite et subli-me l’architecture des maisons normandes traditionnelles, plusrarement celle des mas provençaux. Elle peut aussi empruntercertaines de ses formes aux maisons flamandes ou à l’architec-ture germanique.Pour la petite histoire, beaucoup de ces maisons s’achetaient surcatalogue. Elles étaient dessinées par des architectes qui en assu-raient également la construction. Témoignant du rang social de

leurs propriétaires, les constructions se distinguent par le recourstotal ou partiel à la pierre de taille et à une toiture imposante. Lesmultiples ornements, destinés à renforcer le caractère unique dechaque bâtiment, prennent la forme de jeu de couleur et de matièregrâce à la juxtaposition de briques, ou encore de joints garnis, depierres incrustées, mais également de chaînage d’angle apparent.On remarque également la présence de ferronneries aux fenêtres.Enfin, il est commun d’apercevoir une tour – voire deux - compléterla façade. Parfois construites a posteriori, ces petites tours mani-festent la volonté de l’architecture française d’imiter l’architecturedes manoirs.Le château des Tourelles est ainsi un exemple typique desdemeures bourgeoises édifiées à la fin du XIXe siècle sur le modèledes manoirs autrichiens. On doit sa construction à Paul et AlbertLeseine, deux architectes très actifs durant la deuxième moitié duXIXe siècle. Hormis le château des Tourelles, ils ont également réa-lisé les hôtels de ville de Colombes et d'Asnières, des groupes sco-laires et de nombreuses maisons et villas de plaisance à Colombes,Bois-Colombes et Enghien-les-Bains.

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ti profitent à tous DOSSIER

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Pavillons de banlieue : la grande richesse de Bois-Colombes

rue de la Paix,rue Charles-Chefson,

rue Victor-Hugo,rue Henry-Litolff,

avenue du Bel-Air…

Fin XIXe, les communes de la proche banlieue se développent etleur population augmente rapidement. C’est en 1896 que Bois-Colombes demande et obtient son indépendance. La populationdouble quasiment en quinze ans. A cette époque, l’habitat indivi-duel reste largement dominant. Ce que l’on a coutume d’appelerle «pavillon de banlieue» se multiplie sous des formes diversesmais présente quelques caractéristiques qui lui sont propres. L’uti-lisation de la pierre meulière et de la brique est fréquente. L’emploide la céramique et la pratique de la ferronnerie se généralisant auXIXe siècle, grillages, portails, ossatures des marquises et garde-corps des fenêtres viennent enrichir les façades des pavillons dudébut du XXe siècle. Evidemment, plus les propriétaires sont for-tunés, plus les ornements sont soignés et importants. Bienvenue chez moiLa porte d’entrée, qui peut être latérale ou en façade, est toujourslégèrement surélevée. On y accède généralement par quelquesmarches surmontées d’une marquise en fer. Le plan le plus simpleest celui d’une façade en pignon comprenant deux fenêtres au rez-de-chaussée, et une à l’étage. Une autre des caractéristiquespropres aux secteurs pavillonnaires de la première couronne pari-sienne construits fin XIXe, début XIXe : l’orientation des toitures.Généralement les pavillons arborent une toiture dite «en pignon»,c’est-à-dire triangulaire, dont le faîtage est perpendiculaire à la rue,ce qui a pour effet de créer un paysage dominé par des toitures endiagonale. Ces toitures peuvent également prendre la forme d’unedemi-croupe lorsque l’on s’élève dans la catégorie sociale. Lespetits jardins devant les bâtisses délimités par les portails donnantsur rue sont typiques de ces constructions. Dans des secteurs sou-vent pauvres en parcs ou en jardins publics, la végétation des jar-dins privés est l’une des seules présences de nature visible dansla ville. En effet si les pavillons sont souvent agrémentés de jardinsarrière formant des écrins de verdure au milieu du pâté de maison,ces derniers ne sont pas visibles depuis les rues. Paradoxalement,la variété des styles architecturaux constitue un troisième repèretypique de ces secteurs pavillonnaires du XXe siècle. L’anciennetéde ces bâtisses a entraîné au fil des années des actions de réno-vation qui ont permis une redynamisation du paysage en diversi-fiant les éléments : façades, portails, matières etc.

Bienvenue dans la modernitéDans les années 30, on voit émerger un nouveau style. Fortementinspiré du cubisme et en rupture totale avec le style Art nouveau.L’Art déco impose des formes simples et surtout, des élémentsparfaitement symétriques. Cette exigence de symétrie se faitnotamment remarquer par le changement de type de toiture et parl’apparition du toit-terrasse, dans le prolongement de la formecubique de la bâtisse. Ces toitures restent dans l’esprit du débutdu siècle grâce à l’utilisation d’ardoise ou de zinc. Pour ce qui estdu matériau, les pavillons sont souvent enduits, d’une couleur uni-forme, dans un souci de sobriété du style Art déco. Très peu ornées,certaines bâtisses peuvent néanmoins admettre quelques ferron-neries, faïences, ou encore briques constitutives du paysage dudébut du siècle. Dans les années 40, l’architecture connaît le der-nier soubresaut du mouvement « baroque » de la fin du XIXe. Lestoitures semblent renouer avec la forme verticale et les ornementsréapparaissent, à l’image des ferronneries ouvragées ou encoredes œils-de-bœuf présents sous les toits. Si les murs peuvent êtreen béton, ils sont généralement plaqués de dalles de pierre ou debriques, dont l’aspect décoratif revient à la mode (motifs de façade,encadrements de fenêtre, chaînage d’angle, etc.). On note égale-ment l’apparition de lucarnes en bâtière sur les toits, comme undernier pied de nez au mouvement cubiste.

Des maisons pour les ouvriersA la fin du XIXe siècle, les logements sociauxn'ont pas encore vu le jour. Les catégories popu-laires habitent des pavillons desservis par desvoies privées, le plus souvent en impasse. Là où le faitage de la toiture des villas bour-geoises est perpendiculaire à la rue, le faîtagedes maisons est lui parallèle, ce qui renforcel’impression d’uniformité de la construction.

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Avec l'urbanisation rapide du territoire au début du XXe siècle, lefoncier se fait plus rare. Les premiers immeubles commencentalors à voir le jour. Se distinguant du tissu pavillonnaire par leurhauteur, ils s’inscrivent dans le style caractéristique de la prochebanlieue de Paris, loin du style haussmannien qui fait fureur dansla Capitale. Surtout implantés en angle de rue et à proximité ducentre et des moyens de transports, ces immeubles épousentle style local. Entre pierre de meulière, briques rouges etblanches, ils sont ainsi en par- faite cohérence avec le tissupavillonnaire qui les entoure. Les immeubles en pierre meulière,à l’image des pavillons et des villas bourgeoises de l’époque,admettent volontiers quelques décors en brique et en faïence,de préférence dans des tons très chauds (rouge orangé, mélan-gés à des briques beiges à des fins esthétiques). Mais en matièred’habitat collectif, la pierre, fut-elle meulière, reste une tendanceminoritaire.Triomphe de la brique au début du XXe siècleTandis que la Capitale passera de la pierre au béton, la majoritédes premiers immeubles de banlieue est réalisée en brique.Grâce à la mécanisationde sa fabrica tion, l’utilisation de la brique

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E Le patrimoine architectural de Bois-Colombes

Naissance et développement de l

1930

19501974

De sa création aux années 60, la population de Bois-Colombes triple. Cet essor démographique n’aurait pasété possible sans l’énorme effort de construction enimmeubles collectifs dans les vingt premières années duXXe siècle. A compter des années 70, la population com-mence à décliner du fait de la décohabitation croissantedes ménages pour commencer de nouveau à augmentertrente ans plus tard avec l’aménagement du quartier desBruyères en lieu et place d’une zone industrielle. De nouveaux Bois-Colombiens s’installent en nombre tandis qu’un nouveau style marque la quête d’une archi-tecture qualitative.

permet aux constructeurs d’avoir accès à un matériau aussisolide et maniable que la pierre meulière tout en restant bonmarché et en respectant la cohérence des bâtiments exis-tants. Bien que principalement réservés à des catégoriespopulaires, ces bâtiments ressemblent sur beaucoup depoints aux pavillons individuels édifiés à la fin du XIXe siècle.Il est courant de voir apparaître des rangées de "bow-windows", sur la façade du bâtiment. Ces éléments serontrepris au début du XXe siècle dans les constructions typiquesdu mouvement Art déco pour en devenir un élément emblé-matique. Le mouvement Art déco marque l’entrée dans lamodernité par une forte volonté de linéarité dans les formes

architecturales. S’il admet quelques parures comme l’usagede briques décoratives ou encore de ferronneries ouvragées,ces dernières doivent respecter l’exigence de symétrie et desimplicité des façades. Hormis l’utilisation de briques de cou-leur chaude, les façades présentent une grande symétrie deséléments et une valorisation des formes géométriques que cesoit pour les fenêtres ou les ornements décoratifs.

A l’écart des excès architecturaux et urbanistiques del’après-guerreA partir des années 50, l’architecture est marquée par l’in-fluence des modernes et, plus particulièrement, du Corbusier,qui domine l’habitat collectif jusque dans les années 80. Cestyle est des plus épurés. Les bâtiments sont construits surla base d’une idée exclusivement fonctionnelle,le toit-terras-se devient la règle,dans le prolongement de l’Art déco, lesfaçades sont parfaitement symétriques. L’utilisation de bétonarmé se généralise. Le béton peut être enduit ou agrémentéde plaques de briques pour entrer en cohérence avec le pay-sage urbain existant. En revanche, l’ornementation est quasiinexistante. Les encadrements de fenêtres sont des plussobres et les rares ferronneries ne sont pas ouvragées. Ellesservent principalement de rambardes aux balcons, lorsqueces derniers ne sont pas creusés à l’intérieur du bâtiment. Sidans les années 50-60, la mode est au défi de la hauteur etde la capacité d’accueil de ce genre de bâtiment, Bois-Colombes reste à l’abri de ces constructions empruntes degigantisme,et privilégie durant toute cette période marquéepar de nombreuses expérimentations – plus ou moins heu-reuses - des constructions à taille humaine.

rues du Général-Leclerc, Philippe-de-Metz, Victor-Hugo, Pasteur, Raspail, avenue Michel-Ricard, 315, avenue

d’Argenteuil, place de la Renaissance,rue du Moulin-Bailly, avenue Renée…

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e l’habitat collectif bois-colombienDe l’HBM au logement social intégré dans le paysage urbain

201620142010

2000 20061928

Dans un contexte d’industrialisation croissanteet de forte évolution démographique pendantl’entre-deux-guerres, les pavillons sont essentiel-lement destinés à loger des catégories popu-laires. Comme les pavillons bourgeois, ce sont depetits pavillons souvent desservis par de petitesrues, voire des passages en impasse. Là ou le faî-tage de la toiture des pavillons bourgeois est per-pendiculaire à la rue, le faîtage du lotissement estlui parallèle, ce qui renforce l’impression d’unifor-mité de la construction.

Le foncier commençant à manquer, les premiersimmeubles voient le jour. L'industriel et député JulesSiegfried fait voter le 30 novembre1894 une loi quiporte son nom,qui encourage la création d'organismesd'habitation à bon marché en mettant en place des exo-nérations fiscales et en donnant la possibilité d’utiliserles fonds de la Caisse des Dépots pour financer ces

A Bois-Colombes, la construction se veut plus qualitativeet aspire à plus d’intégration dans le tissu urbain. A lacharnière des années 70, on voit réapparaître des bal-cons extérieurs dans un style qui rappelle parfois le stylepaquebot développé à la fin des années 30, avec deslignes plus douces et le commencement du développe-ment des baies vitrées. A partir des années 2000, les bâtiments se veulent de

programmes. Dès 1914, des fondations charitables(industries, banques) entreprennent de construire"des logements ouvriers" à très petits loyers. Les premiers logements sociaux sont construits entre1920 et 1928. A la tête de l’office des HBM du dépar-tement de la Seine, Henri Sellier défend l'idée "desensembles de logements propres à assurer la décon-gestion de Paris et de sa banlieue et à montrer que l'onpeut assurer à la classe des travailleurs un logementprésentant le maximum de confort matériel et de condi-tions d'hygiène". Ils sont presque toujours en briques.On sait maintenant teinter les briques dans la masseet les revêtir de faïence, et les architectes en profitentparfois pour jouer des couleurs afin de rompre la mono-tonie de ces immeubles. On fait varier, également, la forme des ouvertures et desbalcons. Les porches sont souvent arrondis (très spé-cifique de l'habitat social). Durant les années 30, le rythme des constructions est

soutenu. Les cours recevant un jardin remplacent lescours dallées, introduisant une note de verdure. Lecadre de vie s'améliore et l'on peut voir apparaître deséquipements, tels des bibliothèques, jardins d'en-fants, salles de gym, lavoirs, dispensaires,etc. Lesouvertures sont en hauteur et les toits pentus. Après-guerre, Bois-Colombes échappe aux grandsensembles qui finiront par être rejetés. Un effort est faitpour rester dans le cadre de programmes à taille humai-ne. L’unique "barre" de Bois-Colombes est détruite en2013. Après avoir mis un point d’honneur à soulignerl’existence spécifique de l’habitat social par des cou-leurs et un style propre, les architectes sont invités àle fondre dans le paysage urbain. Cette tendance estparticulièrement évidente dans le quartier desBruyères où il est quasiment impossible de distinguerl’habitat privé de l’habitat social. C’est en tout cas lechoix fait à Bois-Colombes depuis maintenant plu-sieurs années.

plus en plus "high-tech" que ce soit du point de vue deleur architecture que de leurs performances écolo-giques et environnementales. Faisant appel non seulement à des matériaux légers etéco-responsables, les nouveaux bâtiments se veulentégalement marquer une rupture avec l’environnementarchitectural connu. Si ces bâtiments prennent une forme essentiellement

cubique et extrêmement linéaire due à l’absence d’élé-ments de façade, leur architecture morcelée notammentgrâce à la présence de balcons creusés donne une réelleimpression de légèreté au bâtiment. On voit égalements’élever des bâtiments en apparence fortement inspirésdes constructions des villas des années 50 et l’utilisa-tion de matériaux et d’éléments de façade plus diversi-fiés tels que le bois, le béton ciré, les vitres teintées.

Une renaissance de l’architecture dans les années 2000

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Pour nommer les deux nouvelles voies de la ZAC Pompidou-Le Mignon, les rive-rains ont été consultés par questionnaire et 172 réponses ont pu être collectéesprouvant l’intêret toujours intact des habitants pour leur quartier. Ils ont d’abordchoisi une fleur, allongeant la liste des rues désignées par des plantes, arbreset arbustes : l’allée des Passiflores. De la famille des Passifloracées, riche deplus de 600 espèces, la passiflore est une plante grimpante le plus souvent àvrilles et à feuilles persistantes ou semi-persistantes. Originaire des zones tro-picales d’Amérique et pour quelques-unes d’Asie ou d’Australie, elle vient donnerun petit côté exotique et sucré à cette allée située près du parc Pompidou.Quant à la 2e voie, c’est Eugénie Amélie Augustine Carmignat (7 février 1882 -17 mars 1967) qui remporte les sufrages. Mme Carmignat s’est illustrée durantla guerre de 14/18 dans le cadre de ses activités à la Croix-Rouge où elle soignades blessés. En 1940, elle s’installe comme infirmière à Bois-Colombes. Pen-dant la Seconde Guerre mondiale, elle est infirmière-chef des équipes d’urgencede la Croix-Rouge section Bois-Colombes. Elle prescrit des soins aux réfractairesdu service du travail obligatoire (S.T.O.), aux blessés des bombardements aériensqui ont touché la commune en 1943 et participe à l’ensevelissement des vic-times. En 1944, elle crée la maternité municipale et elle en devient la surveillantegénérale jusqu’à sa fermeture en 1954 (fonction exercée bénévolement). Elle estélue au Conseil municipal de 1947 à 1965 et maire adjoint entre 1953 et 1959en charge de l’état civil et du bureau de bienfaisance.

Après le succès de la première édition du concours photo en 2016, leconseil de quartier a relancé l’opération en choisissant comme thème, cet-te année, la toute nouvelle promenade verte.Depuis le 14 octobre dernier, les candidats photographes avaient jusqu’au18 novembre pour communiquer leur cliché.Le conseil de quartier a sélectionné 5 finalistes. Leurs clichés sont exposésà l’entrée du parc des Bruyères, au square Clemenceau, à l’entrée de la pro-menade verte et dans le tunnel reliant la place Costes-et-Bellonte à la garede Bécon-Les Bruyères.Votez pour votre photo préférée, jusqu’au 17 décembre inclus, en déposantvotre bulletin — disponible chez les commerçants — dans l’urne de la mai-rie de quartier Les Bruyères ou directement sur le site de la ville : bois-colombes.comProclamation des résultats, mercredi 20 décembre à 19h sur le marché desBruyères.

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CENTRE VILLE

NORD

CADRE DE VIE

VIE DE QUARTIER

Communiquez avec Jean-Pierre Le Lausquemaire adjoint du quartier centre :[email protected]. : 01 41 19 83 00Hôtel de ville 15, rue Charles-Duflos

Communiquez avec Henri Vincent,maire adjoint du quartier des Bruyères et des Vallées :[email protected]. : 01 41 19 83 00 Mairie de quartier des Bruyères 2, allée Marc-Birkigt

Communiquez avec Anne-Gabrielle Cantet maire adjoint du quartier Mermoz, V.-Hugo, Argenteuil :[email protected]. : 01 41 19 83 00 Mairie de quartier - 102, rue Adolphe-Guyot

Zac Pompidou/Le MignonRésultat de la consultation sur les noms des nouvelles voies

Les riverains ont choisi

SUD

Concours photo 2017La promenade verte vous inspire

Redécouvrez les dialogues savoureux d’Audiard, père, dans Un Singe en hiverd’Henri Verneuil (1962) avant de retrouver l’œuvre magistrale du fils, avec De battre mon cœur s’est arrêté (2005).

Soirée Ciné samedi 3 février 2018 à 19h à la salle Jean-Renoir

Audiard de père… en fils

Exposition jusqu’au 13 janvier. Mer.,j. et v. 15h/19h- sa. 10h30/12h30 et15h/19h - Dim. 16h/19h. Visite sur RV.10, place de la République 01 42 42 42 52www.galeriemarineenre.fr

À la galerie en Ré

Guy l’Hostis entre Bretagne et Polynésie

Mme Carmignat reçoit la Croix de Chevalier de la Légion d’honneur en 1964 en présence du maire de Bois-Colombes, Émile Tricon.

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ZOOM

ANIMATION

Cette nouvelle manifestation se déroulera du 7 au 13 février 2018 à la salle Jean-Renoir. Pendant unesemaine, tous les publics pourront partager un programme dense et éclectique, entre expositions, inter-views et rencontres, rétrospectives, ateliers pour les enfants… Le programme complet, dévoilé prochaine-ment, s’appuiera sur la projection d’une douzaine de films, une exposition interactive, des ateliers théma-tiques et plein d’autres surprises encore.

Un programme richeEn prélude au festival, l'avant-première de Croman des studios Aardman (Wallace et Gromit, Shaun le mou-ton…) le dimanche 4 février 2018 à 15h30. Pensez à réserver vos places ! (résa : 01 47 81 37 97).Seuls des films d’animation seront projetés durant le festival à la salle Jean-Renoir. A l’affiche, de grandsfilms comme Astérix : Le domaine des dieux de Louis Clichy et Alexandre Astier, Tout en haut du monde deRémi Chayé, Le grand méchant renard de Benjamin Renner, Lou et l’île aux sirènes de Masaaki Yuasa ouencore pour les plus petits Le petit monde de Léo de Giulio Gianini.

En soirée, des séances animées par des intervenants seront prévues :« Rétro Anim' » : retour sur l’animation ancienne avec la projection de chefs-d’œuvre d’autrefois ou de tré-sors et pépites oubliés.-Séance « Animé » : présentation de films d’animationSéance de courts métrages : présentation de films des étudiants des écoles du cinéma (ex : Les Gobe-lins) ou ayant eu des prix dans d'autres festivals.Une exposition sur les secrets de création d’un filmLa salle Jean-Renoir servira aussi d’écrin à une exposition interactive qui vous dévoilera toutes les étapeset tous les secrets de la réalisation d’un court métrage.Des ateliers thématiques et pour enfantsComme il n’est rien rien de tel que de mettre la main à la pâte pour susciter des vocations, des atelierstechniques de l'animation seront organisés pour les enfants : Atelier « Stop motion » sur tablette, atelier «Montage vidéo » avec la Mash-up table ou encore la création d’un flip book.Des rencontres avec les professionnels de l’animationEn amont de la manifestation, les collégiens bois-colombiens réaliseront des interviews des parrains quiseront visibles sur le site internet du festival, afin d’annoncer la manifestation et d’inciter le public à sedéplacer. Des rencontres avec des professionnels de l’animation pourront aussi être organisées dans lesécoles. Le week-end du festival sera le moment privilégié pour permettre au public de rencontrer lesgrands maîtres de l’animation. A travers des séances de questions-réponses ou encore des Masterclasses, le public pourra à loisir en apprendre plus sur leurs parcours, leurs techniques et leurs projets.

6 min MAX !Un concours

de films d’animation amateurCe concours est ouvert à toute personne résidant,étudiant ou pratiquant une activité culturelle en Île-de-France. Deux catégories sont ouvertes : "12/17ans" et "adultes". Chaque candidat ne peut présenter qu'une seuleréalisation : un film d'animation de six minutesmaximum utilisant la ou les techniques de sonchoix, réalisé au moins en 2K HD (résolution :1920 x 1080, HD 1280 x 720) au format .mov ou.mp4 (codec H264). Concernant l'encodage son :AAC ou WAV ou MP3 (256 kbps).Les travaux proposés devront être des œuvresoriginales jamais diffusées dans un festival. Les envois ou dépôts (clef USB, CD-ROM…) doiventparvenir au plus tard le samedi 20 janvier 2018,par mail : [email protected] ou parvoie postale à l’adresse :

Médiathèque Jean-MonnetConcours Film d'animation,

7, rue Félix-Braquet 92270 Bois-Colombes

Règlement du concours du film d'animation sur :www.bois-colombes.com/animART/Infos : 01 41 19 83 72

Après le succès de son Festival BD, Bois-Colombes a décidé de se lancer dans un nouveau challenge : proposer, à un public familial à la salle Jean-Renoir, la découverte d’un nouvel art, celui des images animées. Avec AnimART, tel est le nom de ce nouveau festival, Bois-Colombes s’engage dans la promotion du film d’animationsous toutes ses formes. L’occasion d’appréhender les différentes techniques de réalisation, de rencontrer les acteurs du monde de l’animation et d’offrir aux enfantsl’opportunité de s’initier à l’art magique de l’animation.

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AnimART

Le 1er festival d’animationde Bois-Colombes

Le grand méchant renard Astérix : Le domaine des dieux Lou et l’île aux sirènes Tout en haut du monde

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Les groupes politiques représentés au Conseil municipal ont la parole…

LISTE Bois-Colombes ensemble / 28 élus

LISTE A gauche pour Bois-Colombes / 1 élu

Lors du Conseil municipal du 10 octobre dernier, la majorité a mis auvote une nouvelle demande d’enquête parcellaire pour l’opérationimmobilière dite de « requalification de l’avenue d’Argenteuil ».Comme lors de la demande initiale il y a plusieurs années, nous avonsvoté contre, d’autant que cette délibération semble être une tentativede détournement des conclusions initiales du commissaire enquêteurqui avait, à l’époque, demandé que soient exclues certaines parcellescorrespondant à des pavillons en bon ou très bon état (l’opérationétant motivée par une résorption de l’habitat insalubre). Selon le Maire, cette demande de nouvelle enquête serait justifiée parun changement des règles d'urbanisme. Mais nous n’avons eu stric-tement aucun justificatif à l’appui de cette simple affirmation. Nous pensons donc qu’il s’agit uniquement d’un moyen pour la villede remettre en cause l’enquête parcellaire initiale qui excluait plu-sieurs parcelles.Et nous estimons que c’est toujours aussi irrespec-

Ces 1 697 000 hommes morts pour défendre nos Libertés si chèrementacquises nous rappellent l’humilité. Ils nous poussent à davantage demodestie, car ils ont souffert et connu, dans d’horribles souffrances, lamort. Grâce à cette jeunesse sacrifiée, nous avons la chance au quotidiende vivre libres sur notre territoire. Mais il serait illusoire de penser que la guerre est déterminée. La luttepour nos libertés est un combat de tous les jours. Nous ne pouvons ninous satisfaire ni nous reposer sur les combats précédemment menés.Nous avons, nous aussi, un rôle à jouer. Refusons d’être spectateurs,défendons nos libertés !Ensemble, nous devons promouvoir un esprit de liberté, en rejetant touteforme d’intolérance et d’exclusion. Car, comme nous l’avons appris mal-heureusement ces dernières années, le pire est encore possible. Rienn’est plus fragile que la liberté et chaque jour, l’actualité nous le rappelle.Plus de 99 ans après la Première guerre mondiale et 78 ans après ledébut du deuxième conflit mondial, des militaires français se battent etsacrifient encore leurs vies pour lutter contre la violence intégriste. Cettelutte quotidienne pour la liberté, nos soldats français en font, au-delà d’uncomportement républicain, une vocation. Ils œuvrent chaque jour pourque la liberté triomphe. C’est en défendant la stabilité et la paix dans cespays mais aussi en arpentant nos rue que les militaires défendent aussinos libertés et notre sécurité. A l’occasion de cette tribune, nous tenons à les remercier chaleureuse-ment de leur engagement au service de la France.blogrevillon.blogs.com - boiscolombesensemble.com

tueux de nos concitoyens et de leur droit de propriété de vouloir expro-prier ainsi les propriétaires et occupants de pavillons qui caractérisentnotre commune. Enfin, à l’époque de l’enquête initiale, nous avionsindiqué au Maire qu’en agissant ainsi, il apparaissait comme un maireau service des promoteurs plus que de ses concitoyens. Il nous avaitrépondu qu’il n’était pas inhumain puisqu’il avait accordé un traitementparticulier à une parcelle dont la propriétaire est une dame de 86 anset qui n’avait pas fait l’objet d’une demande de cession forcée. Revenant sur cette décision, le Maire soumet à nouveau cette parcelleà l’enquête.Pour toutes ces raisons, nous avons interrogé le Préfet pour lui exposerla situation et lui demander le fondement juridique justifiant cette nou-velle demande d’enquête (Lire la lettre sur :http://www.changeonsdere.fr/v3/2017/11/conclusions-dune-enquete-parcellaire-nest-satisfaisante-on-refait/).

« Ce ne sont pas des soldats : ce sont des hommes. Ce ne sont pas desaventuriers, des guerriers, faits pour la boucherie humaine […] Ce sontdes laboureurs et des ouvriers qu’on reconnaît dans leurs uniformes. Cesont des civils déracinés. » écrit Henri Barbusse dans son célèbre ouvra-ge Le Feu, journal d’une escouade à l’issue de ce qui constitua la pre-mière guerre technologique de notre Histoire. 1 697 000 hommes fran-çais perdirent la vie au cours de ce conflit mondial provoqué par unesimple étincelle, dans une Europe pourtant riche et puissante. Le 11 novembre, chaque année depuis 99 ans, bien que les récits de sur-vivants disparaissent avec le temps, c’est en direction de ces civils déra-cinés que nos pensées se sont dirigées. Il est important de ne cesserde se rappeler que ces hommes, tombés au champ d’honneur entre1914 et 1918 ont sacrifié leurs « 20 ans » pour que nous soyons libresaujourd’hui. Un second conflit, vingt ans plus tard, privera une nouvelle fois la Franced’une génération. Au total notre continent aura perdu sa jeunesse durantces deux conflits. Ces générations sacrifiées ne l’ont pas été en vain.Chaque année, leur souvenir ravive la force des valeurs pour lesquellesils ont donné leurs vies. Ces valeurs, ce sont les valeurs fondamentalesde notre nation et de la République : Liberté, Égalité et Fraternité. Commel’écrivait Jean-Michel Riou dans La Prophétie de Golgotha : « Desentrailles du peuple, comme des profondeurs de la petite et grande bour-geoisie, des milliers de jeunes gens, tous plus ardents les uns que lesautres, quittant leur famille, sans faiblesse et sans hésitation, ont ralliéleurs régiments, mettant leur vie au service de la Patrie en danger. »

LISTE Bois-Colombes 2008 changeons d’èRe / 4 élus

TRIBUNE LIBRE

A Bois-Colombes, stationner est problématique. Il faut souvent tournerune bonne demi-heure pour trouver une place, même au centre ville oùles places sont payantes. L'État fait des cadeaux au CAC 40 et auxactionnaires, les recettes de l'État diminuent, les subventions auxcommunes diminuent, les communes voudraient donc augmenter leprix du stationnement et aussi augmenter le prix des amendes maiscela ne résout pas le problème.

En rendant toutes les places payantes, il faudra embaucher pour ver-baliser, installer de nouveaux équipements payants. Ce n’est pas unebonne idée. D’autres solutions existent pour une meilleure utilisation de l’espacepublic. Il faut développer les circulations douces, créer des places deparking supplémentaires. Il faut chercher ensemble des alternatives satisfaisantes pour tous.

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Alors que les contours définitifs de la Métropole du Grand Paris(MGP) sont encore incertains,les présidents des départementsfranciliens souhaitent l'élargissement de la Métropole du Grand Paris aux contours de la région. D’autres scenarii proposent des’arrêter aux zones les plus densesou de privilégier la petite couronne. La décision reviendra au Président de la République et devrait être annoncée en janvier.

La future Métropole en questionCommuniqué

Une « métropole ambitieuse, solidaire et démocratique », c'est ce que défendent lesprésidents des Départements des Hauts-de-Seine, du Val-de-Marne, de la Seine-Saint-Denis, des Yvelines, de Seine-et-Marne, de l'Essonne et du Val-d'Oise. Alors que le Gouvernement doit annoncer prochainement ses intentions pour l'or-ganisation du Grand Paris, les élus franciliens soutenus par Valérie Pécresse, pré-sidente de la Région Île-de-France, et Stéphane Beaudet, président de l'Associationdes Maires d'Ile-de-France, proposent une métropole qui engloberait toute l'Île-de-France. Aujourd’hui, la « MGP » regroupe Paris, les trois départements de la petitecouronne et sept communes des départements limitrophes de l’Essonne et du Val-d’Oise, soit près de 7,5 millions d’habitants mais ne couvre que 7 % du territoirerégional… Son périmètre est, par exemple, deux fois moins important que celui duGrand Londres… « La Métropole du Grand Paris actuelle est à la fois trop grandepour être opérationnelle et trop petite pour être stratégique », souligne ÉdouardDequeker, professeur à l’ESSEC. Si l’on prend l’ensemble de l’aire urbaine, on arrive à douze millions d’habitants. Enréalité, la Région est ce qui se rapproche le plus de la manière dont fonctionne éco-nomiquement et démographiquement la Métropole. »

Hyper centreConfinée à l’hyper-centre urbain, la « MGP » est aujourd’hui paradoxalement en gran-de partie en dehors des composantes essentielles de son attractivité, qu’il s’agissedes aéroports internationaux, de pôles de formation et de recherche tel que Paris-Saclay dans l’Essonne, de territoires industriels (Saint-Quentin-en-Yvelines…) ou desites touristiques majeurs… « Le processus de métropolisation favorise la zonedense des agglomérations, précise Édouard Dequeker, avec un risque de rupture de

solidarité avec la grande couronne. » C’est aussi ce que craignent les élus. « Ce projetne peut être parcellaire, explique le président du Sénat, Gérard Larcher. Je ne veuxpas que l’on rende périphériques cinq millions d’habitants de la région ! » « Nous voulons que le Grand Paris concerne l’ensemble du territoire régional, confir-me Pierre Bédier, président du Département des Yvelines. C’est la seule solutionacceptable car toutes les autres reviennent à mettre à l’écart une partie de notrepopulation et à confisquer à nos Départements ce qu’ils ont de meilleur. »

Fait métropolitainTous reconnaissent cependant le « fait métropolitain ». « Pour moi, la Métropole duGrand Paris cantonnée à la zone urbaine ultra-dense est une idée étriquée et dan-gereuse, observe Patrick Devedjian. Il faut construire une vraie Métropole à la foisambitieuse, solidaire et équilibrée qui soit en première ligne pour saisir les oppor-tunités offertes par le Brexit. Pour cela il faut doter la Métropole de compétencesstratégiques comme les transports et le tourisme ». Reste, enfin, la question des Départements de la petite couronne dont certainsarticles de presse ont évoqué la possible suppression. « En quoi les Départements auraient-ils failli à leur mission ? », s’interroge ChristianFavier, président (PCF) du Val-de-Marne. Voirie, collèges, PMI, RSA, « le big-bang ter-ritorial pourrait finir en trou noir pour tous ces services territoriaux de proximité »,s’inquiète Stéphane Troussel, président (PS) de la Seine-Saint-Denis. « Ce serait prendre un risque énorme pour l’économie francilienne, souligne poursa part Patrick Devedjian. Cela conduirait à geler les investissements jusqu’à ce quela Métropole soit opérationnelle, or Hauts-de-Seine, Seine-Saint-Denis et Val-de-Marne réunis investissent un milliard d’euros chaque année… ».

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Lors de la conférence, le mardi 17 octobre, au Palais des Congres de Versailles. De g. à dte, Stéphane Beaudet, pdt de l'association des Maires d'Île-de-France, Jean-Jacques Barbaux, pdt du departement de Seine-et-Marne, Patrick Devedjian, pdt du departement des Hauts-de-Seine, Pierre Bedier, pdt du departement des Yvelines, Francois Durovray, pdt du departement de l’Essonne, Marie-Christine Cavecchi, pdt du departement du Val-d’Oise, Gérard Larcher, pdt du Sénat.

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FAITES VOUS DÉPANNER, PAS ARNAQUER !Il n’est pas rare de trouverune plaquette pour inter-vention d’urgence etnuméros utiles dans saboîte aux lettres mêmeplusieurs fois par semai-ne. Restez vigilants cardes arnaqueurs secachent derrière cesnuméros. La ville a publiéun guide des commerceset artisans de Bois-Colombes en octobre dernier distribué danstoutes les chaumières. Ces numéros ont été vérifiés par nos ser-vices. Retrouvez aussi ce listing sur bois-colombes.com.

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LA BANQUE DE FRANCE SUR RENDEZ-VOUSLa Banque de France améliore son service de prise de rendez-vous.Un module en ligne dédié est maintenant diponible sur son site :www.banque-france.fr/la-banque-de-france/organisation/implantations-de-la-banque.html. Il est également possible de poser des questions en ligne relevantdu domaine bancaire ou financier.

AUTOUR

DE CHEZ NOUS

LE PÈRE NOËL… DE LALETTRE À INTERNETPour écrire au père Noël, onpeut lui envoyer une lettre : Père Noël, 33500 Libourne ; ou se brancher sur le net :https://perenoel.net-c.com.

LE TIMBRE FISCALÉLECTRONIQUE Désormais,vous pou-vez acheterun timbreen ligne,sur le site du gouverne-ment, faisant office de timbrefiscal. Un reçu, envoyé par cour-riel ou par SMS, vous permettrade compléter votre dossier dedemande de passeport ; uneautre façon, simple et sécuri-sée, d’acheter un timbre fiscal.timbres.impots.gouv.fr.

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Dates sous réserve de changement de dernière minute. Pourles urgences, pharmacies de nuit et en week-end, contactez lecommissariat de Bois-Colombes : 01 56 83 75 30.

DÉCEMBRE 201710, rue des BourguignonsAsnières17 — REBIBO363, avenue d’ArgenteuilBois-Colombes24 — REGAYA90, av. des GrésillonsAsnières25 — REMTOULA9, place Le Vau - Asnières31 — REYCC Les 4-Routes3, av. de la Redoute - Asnières

JANVIER 201801 — SEBAG CHARLES1, rue de StrasbourgAsnières07 — SEROR43, rue Gallieni - Asnières14 — TRICOT39, rue Émile-Zola - Asnières21 — VINK1 bis, place de la Gare desVallées - Bois-Colombes28 — ZIBI178, bd Voltaire - Asnières

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LE VILLAGE DE NOËL À LA DÉFENSEJusqu’au 28 décembre, le Mar-ché de Noël de la Défense faitscintiller le cœur de la City. Le Vil-lage de Noël du parvis de laDéfense est le plus authentiqueet le plus grand village de Noëld’Île de France. Petits et grands

assistent à la plus féérique fête de fin d’année. Ce village étendusur plus de 10 000 m² offre un parcours «découverte» de plusde 350 exposants, 400 m² de décoration festive pour les chaletsd’artisanat et une multitude de saveurs pour émoustiller lespapilles... Parvis de la Défense - 92400 Paris La Défense

SALON GASTRONOMIQUE “NOËL GOURMAND”Du 15 au 18 décembre 2017, le salon gastronomique “Noël gour-mand” permet de découvrir le savoir-faire des meilleurs artisansde France et des produits haut de gamme ainsi que des spécia-lités des terroirs. Un divin achalandage - fromages fermiers, platsrégionaux, huiles, épices, champignons, produits de la mer, salai-sons, foies gras, vins, chocolats et confiseries... pour imagineret se confectionner des réveillons de fin d'année inoubliables.34, quai d'Austerlitz 75013 Paris

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LE CARRÉ DE LA CRÉATION ARTISANALELa Chambre de Métiers et de l’Artisanat et les Hauts-de-Seinevous invitent à découvrir la diversité des métiers et savoir-fairealtoséquanais à travers l’exposition-vente « Le carré de la créa-tion artisanale ». Au cœur du marché de Noël, sur le parvis de laDéfense, des artisans créateurs représentatifs de la qualité del’Artisanat du 92 exposeront jusqu’au 26 décembre prochain.

24E SOURIRE DE NOËL JUSQU’AU 25 DÉCEMBREOrganisée par l'Institut des Hauts-de-Seine et le département, Sou-rire de Noël est une campagne pour lutter contre la solitude et l'iso-lement des personnes âgées, des personnes handicapées, desenfants hospitalisés et des familles en situation de précarité. Près de 4 000 personnes sont invitées à cette 24e édition. Les personnes âgées et isolées du département assisteront à unspectacle de cabaret et participeront à un repas de fête sur la Seine.www.institut-hauts-de-seine.org

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NAISSANCES

Yves Révillon et toute l’équipe municipale souhaitent la bienvenue à :

ÉTAT CIVILYves Révillon et toute l’équipe municipale partagent la peine de la famille de :

Gérard CHÂTEAUGuy BRETHENOUXJean-Claude RODASHamada IMADACHEGilles INQUIMBERTBilel BOUAKKAJacques MARINLucien FORETClaude BARREAU Monique JOURDAIN Vve FERCHAUD

Jeanne DORNBERGER

DÉCÈS

Akil EL AHDALMady SARRAurore MOURIERÉlina SALMISolal BÉHARCléophée THOLLON PAYOAlyssa SOUAÏ LEBRUNNeyton MARTINY-BERTHELOTRaphaël RIEUNIER GUARACHIJules RIEUNIER GUARACHISarah WOWK

Yves Révillon et toute l’équipe municipaleadressent leurs sincères félicitations à :

Bérangère MARIN & Louis MOTTE Aurélie LEMÊTRE & Jérôme PETIT-FOURNIERSarah BOUTARFA & Richard DOITEAUZohra BEDDIAF & Abderrahmane AOUISSINathalie PROUHEZE & Paul FRAUSTO BERNALKarine FAUCHON & Jérôme DUVEAUDiane TCHOUAPI NJIEGOUÉ & Frédéric GÉRARDIlinca ARDELEANU & Adrian RADU

MARIAGES

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Lehna est venue au mondele 17 octobre

Léopaul est néle 19 septembre

Maël BENMESBAHRomy POIRIER LYCharles ELOYVictoire COIALouisa PAPILLONBastien PAILHORIESNardjes GARDENESRaphaelle MUNOZJoey TAÏEBAkshara ANTONY JEYARAJCamille Mynard DORNADIC

Le Journal de Bois-Colombes est heureux de vous faire partagerun moment particulier : l'anniversaire des 75 ans de mariageou "Noces d'Albâtre", de M. Daniel et Mme Aimée Pillon, fêtées àla R.P.A. André-Chénier, le 27 octobre dernier, autour d'un dîner,en présence de M. le Maire Yves Révillon et son épouse, ainsique Mme Jauffret, maire adjointe en charge de l'Action sociale etdu Logement, et M. Degny, Directeur des Résidences Seniorsde Hauts-de-Seine Habitat - OPH.M. et Mme Pillon se sont, en effet, mariés le 27 octobre 1942, etsont entrés à la résidence le 27 février 2006.

FÉLICITATIONS

Patrick GRÉLIERMartine BELMANT Div. CUMIN

Maurice FILLETTERobert BONNETPierina TANZI BASSI Vve BASSINI

El Alia OUELHADJ Ép. TIZAOUI

Henriette LAVERDETRené CARIO

Camille a vu le jour le 20 février

LE CERTIFICAT D'HÉRÉDITÉ N'EXISTE PLUS

Il permettait, dans les succes-sions simples, d'établir saqualité d'héritier. Un mairepouvait le délivrer. Cette procé-dure a changé : aujourd'hui, lajustification de la qualité d'hé-ritier varie selon le montant dela succession. En cas de suc-cession inférieure à 5 000 €,vous pouvez prouver votrequalité d'héritier par uneattestation signée de l'en-semble des héritiers. Au-delàde 5 000 €, vous devezdemander au notaire d'établirun acte de notoriété.

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Page 23: DOSSIER PATRIMOINE ARCHITECTURAL Un siècle d’architecture ...€¦ · demeures cossues et de petits pavillons. Ce tissu urbain préservé fait la différence et contribue à l’attractivité

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