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Kévin PILLONSArchitecte Diplômé d’Etat
PortfolioCurriculum Vitae
2014
Kévin PILLONSArchitecte D.E.
Infos
- 25 ans
- Titulaire du permis B
Contact
06 18 21 71 47
34 rue Emile Walker59210 Coudekerque
EXPERIENCES PROFESSIONELLES
FORMATION
COMPETENCES
Architecte Diplômé d’Etat
- Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille - 2014 - master 2
Domaine Histoire - Théorie - Projet PFE : Reconstruction et densification du marché Magenta à Pantin
Licence d’Architecture
- Ecole Nationale Supérieure d’Architecture et de Paysage de Lille - 2011
- Lycée Jean Bart - Dunkerque - 2007
Architecte Stagiaire
Mairie de Comines France - Service Aménagement et Urbanisme - Avril à Juin 2014
- Réalisation d’une étude pré-opérationnelle (pré-programme et faisabilité) pour une école maternelle- Relevés et dessin sur Autocad- Définition du programme et des coûts- Participation aux réunions techniques- Développement d’esquisses de projet
Mairie de Lille - Service Maîtrise d’Ouvrage et Coordination d’Opération - Juillet 2010
- Conception et dessin de projets (bureaux et bibliothèque)- Réalisation de permis de construire- Suivi de chantier (Palais des Sports Saint Sauveur et Tripostal pour
l’exposition «La Route de la Soie»)
Expériences complémentaires
Travail saisonnier - Entreprise Proseco - 2007 à 2014
- Travail en tant que manoeuvre au sein de cette sociétée spécialisée dans l’isolation par projection
Informatique
Langues
- Bonne maîtrise: Autocad / Photoshop / Illustrator / InDesign / Sketchup / Pack Office- Maîtrise moyenne: Archicad / Artlantis / 3ds Max
- Anglais: compréhension écrite et orale- Espagnol: compréhension écrite et orale
Vie Associative et Centre d’Interêts- Membre de l’association TANGRAM- Pratique depuis de nombreuses années du baseball et de la natation
Baccalauréat Scientifique
PROJETS UNIVERSITAIRES
Photographie extérieure du marché Magenta à Pantin
Reconstruction du marché Magenta à Pantin
Projet de Fin d’Etude2013 - 2014
Domaine d’Etude: Histoire - Théorie - Projet
Le projet de reconstruction du marché portugais Magenta à Pantin en bordure du périphérique s’inscrit dans la dynamique de rénovation urbaine du quartier des Quatre Chemins, au Nord de Pantin. Sa situation par-ticulière, à la limite administrative entre Pantin, Aubervilliers et Paris, en fait un lieu d’échanges privilégié.
En 1969, deux années après la construction du périphérique, à cause d’incendies survenus dans la halles, la municipalité de Pantin de l’époque décide de construire un marché provisoire. Quarante quatre ans après, cet édifice est toujours présent, identifiable et intriguant par la simplicité et la force de sa mise en oeuvre: parement en brique creuse et structure métallique.Aujourd’hui vétuste et ne répondant plus aux règles d’hygiène actuelle, dans le contexte des restructurations du quartier des Quatre chemins et du Nord-Est parisien, la mairie de Pantin a décidé d’envisager sa reconstruction. Pour équilibrer son financement et, de par sa situation, elle voudrait l’accompagner d’une densification du site, et l’associer à un autre programme envisageable si proche du périphérique.
Parallèlement, ce domaine d’étude implique l’analyse d’un ouvrage théorique d’architecte afin de nourrir la réflexion du projet. Ainsi j’ai choisi de lire “L’art d’édifier” de Leon Battista Alberti. L’ambition première à travers cette lecture était pour moi de démontrer le caractère opérationnel de nos jours de la théorie d’Alberti. Ce travail de recherche est en partie intégré à mon mémoire de PFE. Ce dernier a pour vocation d’exposer plus précisément les enjeux du programme, du site et du contexte qui constituent le socle du projet.
L’idée à travers ce projet à l’échelle urbaine est de venir contextualiser notre intervention en prenant en compte les particularités du site et les différentes typologies de bâtis qui l’entourre. Ainsi, nous avons choisi d’implanter des bâtiments qui se lieraient à ces différentes typologies à la fois par leur forme, mais aussi dans le choix de la programmatique (une maison pour les femmes, un bâtiment lié à la formation artisanale textile et un concessionnaire automobile.)
Le marché devient un socle aux bâtiments de superstructure. Le travail sur la halle fut première dans ce projet. Il nous fallait donc travailler sur la structure qui allait devenir celle de la halle, mais aussi celle qui porte les bâtiments de superstructure. De plus tout en tavaillant sur la définition d’une halle de marché, il nous fallait penser à la mémoire et à l’utilisation du marché Magentin.
- Construction en trois travées de la halle, marquant ainsi son fonctionnement dans la longeur.
- Lisibilité et verité de la structure, ainsi que des sous faces de planchers, afin de montrer les parties qui portent la superstructure.
- Pénétration de la lumière du Sud et de l’Est par la toiture, ainsi que par une ouverture centrale de celle-ci. De plus les façades s’ouvrent très largement dans leur partie haute afin de donner aux per sonnes qui pratiquent la halle des points de repère sur leur position par rapport à la rue. La façade est constituée par des ranges bouteilles en terre cuite rappelant la porosité de la brique creuse.
- Contextualisation de la toiture, qui s’ouvre plus largement au Nord marquant ainsi l’entrée par l’Avenue Jean Jaures.
Plan RDC 1/200°
Élévation Nord 1/200°
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Médiathèque Roland Barthes
Master 22012 - 2013
Domaine d’Etude: Histoire - Théorie - Projet
Au cours de ce semestre, l’objet de notre travail été de concevoir une médiathèque. Pour cela, nous nous sommes dans un premier temps intéressés à l’étude de différentes bibliothèques remarquables dans l’histoire de l’architecture. Ce fut pour moi l’occasion d’analyser celle de Karlsruhe de Oswald Mathias Ungers. A travers ce travail, j’ai notamment pu me questionner sur la place du lecteur au sein d’une bibliothèque.
Dans un second temps nous avons pris possesion du site sur lequel allait s’établir le projet. Situé au niveau de la porte d’Arras à Lille en lieu et place des anciens magasins Lapeyre. Cette vaste parcelle vide lors de ce semestre se situe au Sud de Lille, à proximité du métro aérien, et au croisé de deux voies importantes (la rue d’Arras et le Boulevard de Strasbourg).
La médiathèque s’implante dans l’alignement de la rue d’Arras, afin de se rendre le plus visible possible. L’accés de celle-ci se fait par une place minérale en déclivité douce pour amener le lecteur vers la bibliothèque.A l’intérieur, on retrouve les différentes parties du programme qui composent une bibliothèque, et, plus particu-lièrement, une cafétéria centrale qui organise l’espace et la circulation au rez-de-chaussé.La volontée structurelle est d’avoir une structure fine (métallique), afin qu’elle disparesse.
Il me semble important, en rapport avec l’idée de réaliser une médiathèque Roland Barthes, de faire res-sortir du projet l’idée du “vrai”, la médiathèque, son programme et sa fonction; et le “signifié”, ce qui appartient à la sensation et à l’expérience du corps dans l’espace.
Ainsi, dans ce projet de médiathèque j’utilise la métaphore du “temple du livre”. En effet, sur les façades Sud et Ouest je viens construire une façade qui sert de rayonnages, ainsi les livres sont omniprésents. Cela donne une idée d’abondance; les livres viennent ainsi porter la médiathèque.
Entrepôt Le Brun:un centre de musique au coeur de Paris
Master 12012 - 2013
Domaine d’Etude: Histoire - Théorie - Projet
Le projet de centre de musique consiste en une réhabilitation des entrepôts Hennebique construit en 1913, abritant aujourd’hui un centre bus de la RATP. Au coeur du 13ème arrondissement, le centre de bus est de taille insufisante aujourd’hui par rapport aux besoins de la RATP. Ainsi, cette entreprise ce questionne sur la qualité de ces halles.Ce site présente donc un potentiel foncier important. Dans le cadre d’une délocalisation, la question du devenir du site est alors ouverte.
L’un des enjeux du projet a été de se positionner quant à la conservation ou la destruction complète ou partielle des halles. Il a fallut interroger leurs valeurs patrimoniales, mais aussi leur potentiels de réhabilitation, tout en considérant la rentabilité d’un tel foncier au centre de Paris.
Pour notre part, nous avons choisi de concerver trois halles et de les transformer en centre de musique, car il existe aujourd’hui une forte demande dans Paris d’espace pour la formation musicale, tout comme, de locaux de répétition et d’enregistrements.
Chacune des halles va accueillir une activitée précise: un pôle éducatif et d’apprentissage de la musique, un pôle enregistrement et salles de répétitions, et, pour finir une salle de concert.Sur le front de rue nous construisons une bande de logements, ainsi que des logements étudiant.
Ce choix de créer un centre de musique nous a été dicté par l’idée d’ouvrir les halles au public en ayant un programme à l’échelle à la fois du quartier, mais aussi plus largement à celle de Paris. Cette réhabilitation répond a deux demandes importantes: celle des musiciens et de la culture; et celle du manque de logement dans Paris.
CENTRE DE MUSIQUE ET LOGEMENTS RUE LEBRUN, PARIS 13 LAURA BENCIVENGA / ESTHER ROY / KEVIN PILLONSATELIER VITORIA PIGNOT , DOMAINE HISTOIRE
ELEVATION DE LA FACADE SUR LA RUE LEBRUN 1/200°
PLAN RDC 1/200°PLAN R+1 1/200°
Reconstruction du Vialle de Grillon
Master 12011 - 2012
Domaine d’Etude: Histoire - Théorie - Projet
Ce projet prend place dans un village médiéval situé au sommet d’un promontoire rocheux dominant la vallée du Lez dans le Vaucluse. Aujourd’hui de nombreux bâtiments sont classés à l’inventaire des monuments historique, depuis la demande faite en 1971 par Georges-Henri Pingusson. Il faut noter que cet architecte mod-erne a consacré la fin de sa vie à la reconstruction du vialle.Ainsi, il construit 18 logements HLM, dans une architecture qui s’intègre aux différentes constructions du vialle construitent au XIV ème siècle. A travers ce travail l’architecte remet en cause les fondements de l’architecture “blanche” et de la table rase.
Le travail de projet a concisté à la construction d’une parcelle qui aujourd’hui est laissée libre et qui sert de parking. La question ici posé est celle de l’insertion dans un village médiéval, ainsi que l’approche que nous devons avoir face à la construction avec un mur de rempart.
- Travail de relevé du village haut et plus particulièrement du mur de fortifications. - Travail historique sur le vialle, mais aussi sur l’architecte Georges-Henri Pingusson. - Prise de position dans le choix de l’architecture proposé.
Grillon: projet architecturalLa mise à distance comme dispositif de lisibilité
PLAN R+2
PLAN R+1
PLAN RDC1 / 200
R-1
RDC
R+1
R+2
► TRAVAILLER AVEC DES RAPPROCHEMENTS ET DES ÉLOIGNEMENTS POUR PROFITER DE VUES SUR LE PAYSAGE ET SUR LE MUR
► PRENDRE EN COMPTE LES OUVERTURES EXISTANTES PAR UN DÉCALAGE DE PLANCHER
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ZOOM R+11 / 100
PRINCIPE LOGGIAS R+1
PRINCIPE LOGGIAS RDC
COUPE AA’1 / 200
COUPE BB’1 / 100
COUPE CC’1 / 200
31/05/2012/ JULIE CACHINHO - SOFÍA FERNÁNDEZ - KÉVIN PILLONS / ATELIER PASCAL LEJARRE
PERSPECTIVE D’ENTRÉE DANS LE SITE PERSPECTIVE SUR LE MUR
AXONOMÉTRIE SUR L’EXTENSION DE LA MAISON MILLON
RECHERCHES ET ÉCRITS
LA GLACE TREMPÉE, REFLET D’UNE NOUVELLE ARCHITECTURE
Master 2Mémoire d’initiation à la recherche
2012 - 2013
Au début de ce séminaire de recherche, il nous a été demandé de travailler sur les publicités que l’on pouvait retrouver dans les revues diffusées durant les trente glorieuses, voire même avant. Cette recherche devait nous permettre de définir un matériau ou une technique qui a eu une place dans l’histoire de l’architec-ture. Celui-ci allait devenir notre cheval de bataille durant notre séminaire d’initiation à la recherche.
Après m’être intéressé, dans un premier temps, à l’architecture carcérale, je découvris, à travers ce travail, les verres de sécurité, et je m’aperçus qu’il en existait deux types: les verres feuilletés et les verre trempés. Je décidais donc de poursuivre mes recherches sur l’utilisation de ces verres spéciaux et plus particulièrement le verre trempé dit “Sécurit”.
Ce sujet étant trés large, une étude de cas pouvait recentrer les recherches, dans le but d’une meilleure compréhension du lien entre les nouveaux programmes d’après guerre et les nouveaux produits et techniques.
A la suite de mes recherches et de lectures, je m’orientais par hasard vers l’étude de cas de la Maison de la Radiodiffusion-Télévision de Strasbourg, abritant aujourd’hui les bureaux et plateaux de France 3 Alsace. Ce bâtiment a été conçus par les architectes Paul Tournon, André Devilliers et Pierre Verdier, dans les années 1956 - 1961.
A travers cette étude j’ai voulu comprendre comment un nouveau matériau (apparut avant la seconde guerre mondiale) peut révolutionner l’architecture, et être associé à de nouveaux programmes en offrant dif-férentes techniques et en répondant aux envies de son époque, et aux différentes utopies qui se créaient autour des matériaux verriers.
Au fil de cette recherche, j’ai notamment pu constater une évolution de l’utilisation des produits verriers, et, plus particulièrement du verre trempé dans l’architecture, jusqu’à entrer dans les maisons des particuliers sous différentes formes. Son invention permettra de nombreuses avancées à la fois techniques et esthétiques, les façades se transformeront, s’ouvriront sur l’extérieur à l’image du film Playtime de Jacques Tati au travers duquel il fait une critique de la ville moderne qui se construit à son époque. Il montre à travers ce film l’apologie du verre, ce verre “magique”, que l’on ne voit plus, qui permet d’ouvrir très largement les façades, qui nous coupe du bruit extérieur tout en permettant aux habitations d’éclairer la rue la nuit. Le verre est partout et surprend.
Ce travail de recherche porte sur la glace trempée et plus particulièrement le verre “Sécurit”, mais n’est pas exhaustif. Il n’a pas pour but d’établir une liste complète de constructions utilisant ce matériau, mais plutôt d’analyser des réalisations qui me semblent emblématiques de son utilisation et plus particulièrement la façade du foyer de la Maison de la Radio de Strasbourg. Je me suis donc appliqué à l’étude de la façade de la grande salle. Ce travail a pour but de mettre en avant les innovations dans la conception architecturale en lien avec un nouveau matériau.
Sous la direction de Marie-Céline Masson et d’Éric Monin
Domaine Histoire de l’architecture contemporaine
PROJETS PERSONNELS
TANGRAM est un jeu chinois constitué de sept pièces découpées dans un carré avec lesquelles ont crée des figures. Mais c’est aussi un collectif d’étudiants, d’origines et de disciplines différentes réunis autour d’un même projet: penser autrement la ville, l’architecture et la matière.
C’est un laboratoire d’idées, de réflexions et d’expérimentations, où l’envie d’apprendre, de concevoir, de partager et d’échanger est au coeur du projet.
En répondant à des commandes réelles, nous intervenons sur des espaces délaissés, oubliés ou tout sim-plement anodins pour leur redonner un nouveau sens, et, interpeler les usagers. Appuyer l’initiative habitante est au centre de la démarche.
La Ducasse de Berkem
2012La Madeleine
Cet événement festif initié par la ville de La Madeleine et Lille 3000 prend place sur le site d’une ancienne chaufferie centrale. Ce week-end d’animations et d’activités a été l’occasion pour les habitants de se réapproprier, de façon temporaire, un espace habituellement inaccessible. Afin de gérer la programmation, la scénographie et la réalisation des infrastructures, Tangram a travaillé ici avec le collectif de grapheurs et de street artistes “4Letters” et avec l’appui logistique des services techniques de la Madeleine.
Commande: Un événement fantastique.Création des infrastructures et de la scénographie de l’événement.
Commanditaire: Ville de la Madeleine / Lille 3000
Lieu: La Madeleine 59368
No Focus Suburbiaoeuvre de François Verret Chorégraphe
2012Lille
Ce travail, en deux phases a été réalisé sur le long terme en collaboration avec le chorégraphe François Verret pour son spectacle No Focus Suburbia, à l’opéra de Lille. La première comprenait la réalisation de pho-tographies illustrant pour nous les termes de Suburbia et de No focus. Par ces thèmes les photographies ont été l’occasion de porter un regard sur la ville dans sa forme la plus anodine ou dans ces aspects les plus cachés.
La vingtaine de photographies choisies avaient pour vocation d’être exposées dans l’escalier d’honneur de l’opéra afin de proposer aux spectateurs une introduction à la représentation artistique.La deuxième partie du travail consistait à créer la scénographie de l’exposition et à la mettre en oeuvre.
Commande: Réalisation de photographies sur le thème “No Focus Suburbia” et scénographie de l’exposition. Cette dernière servant de préambule au spectacle de danse de F. Verret.
Commanditaire: Opéra de Lille
Lieu: Opéra de Lille 59000
Beau comme...des initiative d’habitants
2011Lille
Maison de l’Architecture et de la Ville du NPDC
Cet exposition à la Maison de l’Architecture et de la Ville du Nord Pas de Calais proposait une rétro-spective des événements “Les fenêtres qui parlent” et “les espaces qui parlent” qui eurent lieu quelques mois auparavant.Notre travail consistait à compiler les éléments rétrospectifs, et à réaliser la scénographie en créant le mobilier.
Commande: Création de mobiliers et scénographie de l’expositionrétrospective de l’événement “Les fenêtres qui parlent”.
Commanditaire: Réso asso métro
Lieu: Maison de l’Architecture et de la ville NpdC, Lille
Les fenêtres qui parlent
2011Métropole Lilloise (13 communes)
“Les fenêtres qui parlent” ont lieu chaque année dans la Métropole Lilloise. Elles ont pour vocation d’ex-poser des oeuvres d’artistes derrière des fenêtres d’habitants durant l’ensemble de la manifestation (plusieurs semaines). Grâce à la mobilisation d’une vingtaine d’associations, de nombreux habitants, et d’une centaine d’ar-tistes, 18 communes de la métropole deviennent des galeries à ciel ouvert.
Au sein de treize d’entre elles, il nous a été demandé de créer leur “fenêtre événement”, mettant en scène le devoilage des oeuvres..
Commande: “13 fenêtres cadeaux” Installation éphémère mettant en valeur une oeuvre exposée derrière une fenêtre d’habitant.
Commanditaire: Réso asso métro
Lieu: 13 communes de la Métropole Lilloise