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COURS-STAGE I: PLANS DE COURS CADRE PROGRAMME DE 1ER CYCLE
ÉCOLE DE TRAVAIL SOCIAL (UQAM)
Version 2018-2019 préparée par la Direction de programme et la Professeure-pivot.
TRS6350 Stage I : intervention auprès des communautés Cycle : 1
Type de cours : Stage Professionnel
Nombre de crédits : 9
Discipline : Travail social
I. Identification Nom de l’enseignant.e:
Adresse courriel:
Bureau:
Nom de la Chargée de formation pratique: Mme Dominique Allaire
Adresse courriel: [email protected]
Téléphone: 514-987-3000 poste 7043
Bureau: W-4031
II. Descripteurs officiels TRS6300 Stage I : intervention auprès des individus, familles, groupes Activité pédagogique structurée et supervisée réalisée dans un milieu de pratique où l'étudiant peut développer des
connaissances, habiletés et attitudes requises pour intervenir en travail social auprès des individus et des groupes. Ce
premier stage vise l'intégration dans le milieu de pratique, l'identification et l'analyse critique des multiples aspects
des problématiques individuelles, familiales et collectives. Il permet d'amorcer des apprentissages spécifiques à la
phase initiale de l'intervention auprès des individus, familles et groupes en travail social, ainsi que de développer des
capacités d'autoévaluation et d'analyse de ses pratiques. L'activité comporte quarante-cinq jours de stage dans le
milieu de pratique, à raison de trois jours par semaine, ainsi qu'une journée complète réservée à la préparation des
documents relatifs à l'évaluation du stage.
TRS6350 Stage I : intervention auprès des communautés
Activité pédagogique structurée et supervisée réalisée dans un milieu de pratique où l'étudiant peut développer des
connaissances, habiletés et attitudes requises pour intervenir en travail social auprès des collectivités. Ce premier
stage vise l'intégration dans le milieu de pratique, l'identification et l'analyse critique des multiples aspects
caractérisant la collectivité. Il permet d'amorcer des apprentissages spécifiques à l'intervention auprès des
communautés, ainsi que de développer des capacités d'autoévaluation et d'analyse de ses pratiques. L'activité
comporte quarante-cinq jours de stage dans le milieu de pratique, à raison de trois jours par semaine, ainsi qu'une
journée complète réservée à la préparation des documents relatifs à l'évaluation du stage.
Conditions d’accès
Avoir réussi au moins 60 crédits du programme (voir les règlements pédagogiques particuliers du programme) dont
obligatoirement les préalables.
Préalables académiques
TRS1025 - Méthodologies et travail social ou TRS1118 - Parcours professionnel et projet de formation et TRS1520 -
Intervention auprès des individus en travail social et TRS2290 - Intervention avec les groupes en travail social et
TRS2650 - Intervention avec des familles et des proches en travail social et TRS2750 - Action collective et travail
social et TRS2560 - Éthique et déontologie du travail social
III. Objectifs Le stage I doit permettre à l'étudiant-e de : - se familiariser avec un lieu de pratique ; - se familiariser avec le
processus d'intervention sociale ; - se situer dans l'action comme intervenant.e. Fonctionnement : - niveau de
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connaissances élémentaires descriptives ; - niveau de familiarisation et d'implantation dans une pratique : l'étudiant-e
s'initie, amorce des apprentissages d'intervention. À la fin du Stage I, l'étudiant-e devrait être capable de : - connaître
le contexte organisationnel et communautaire d'une pratique ; - reconnaître, nommer et appliquer les composantes du
processus d'intervention sociale ; - identifier ses forces et ses difficultés comme intervenant.e.
Intervention avec individu, famille, groupe Intervention auprès des communautés
1. Connaître le contexte organisationnel du milieu
d'intervention
1. Connaître le contexte organisationnel du milieu
d'intervention
2. Connaître le contexte communautaire du milieu
d'intervention
2. Connaître le contexte communautaire du milieu
d'intervention
3. S’initier au processus d'intervention sociale
3. Développer des relations avec les personnes
susceptibles d’agir collectivement
4. S’initier et maîtriser le processus d’action collective
(analyser, planifier, réaliser, évaluer)
5. Se familiariser avec les approches et méthodes en
action collective ainsi que les techniques d’animation
4. Se connaître dans l'action comme personne et comme
intervenant.e
6. Se connaître dans l'action comme personne et comme
intervenant.e
IV. Structure et stratégies pédagogiques Cours concomitants aux Séminaires d’intégration : les stagiaires doivent suivre et réussir les deux cours à la même
session i.e. à la fois le Stage (9 crédits) et le Séminaire d’intégration (3 crédits). Les cours de stage et de séminaire
d’intégration sont réputés être concomitants et ceci implique que ces cours doivent être suivis et réussis en même
temps.
Le mandat de l’enseignant.e à la coordination des stages
L’enseignant.e à la coordination de stages à la charge d’un groupe de stagiaires. Il. Elle s’assure de l’entente entre
chacun.e des parties (stagiaire, répondant.e, superviseur.e, coordonnateur.trice) par la signature du contrat
pédagogique et que celui-ci soit conforme aux normes du programme de 1er cycle en travail social. Il. Elle
accompagne et conseille au besoin les superviseur.e.s de stage dans leur fonction pédagogique.
En tant que représentant.e de l’université, l’enseignant.e à la coordination de stages exerce un rôle de médiateur.trice
dont le principe premier se fonde sur l’impartialité. Sa responsabilité est de s’assurer que les conditions
d’apprentissage sont présentes en vue de permettre au stagiaire d’atteindre ses objectifs de stage. Pour ce faire, il doit
vérifier celles-ci et intervenir auprès des différents acteurs (stagiaire, superviseur.e, répondant.e, enseignant.e du
séminaire, chargée de formation pratique, direction de programme) lorsqu’il évalue que la situation en stage l’exige.
S’il y a interruption de stage à la suite d’une situation difficile, il a l’obligation de produire un rapport et de
demander aux différents acteurs (stagiaire, superviseur.e et répondant.e, s’il y a lieu) de produire leur rapport
respectif. Ces rapports seront remis à la Direction de programme via la chargée de formation pratique. L’enseignant.e
à la coordination de stage participe également à deux rencontres de développement/partage d’enjeux par semestre
(mi- stage et bilan des stages I), animées par la chargée de formation pratique et la professeure-pivot.
S’assurer de la fréquence et durée des rencontres de supervision : Obligation contractuelle d’un minimum
2 heures et ce, une fois par semaine
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Règles pour l’établissement des heures de stage
Les heures de stages s’appliquent en fonction de l'article 1.4 du règlement no 5 des études de 1er cycle à l’UQAM :
1. (Art. 1.4.1) "Le crédit est une unité qui permet d'attribuer une valeur numérique à la charge de travail requise
d'un.e étudiant.e pour atteindre les objectifs particuliers des cours; il correspond, selon l'estimation de
l'Université, à quarante-cinq heures d'activités d'apprentissages, y compris l'évaluation".
2. Le stage est de 9 crédits correspond à 405 hres (i.e. 9 x 45 hres).
3. Ces 405 heures d'activités d'apprentissages se répartissent comme suit : 294 heures en milieu de stage (i.e. 14
semaines x 21 heures) et jusqu'à 111 heures maximum de travail personnel. (Art 1.4.3 c) "des heures de travail
personnel dont le nombre, variable d'un.e étudiant.e à l'autre, dépend des aptitudes et de la préparation de
chacun.e".
V. Évaluation Contrat pédagogique
Le contrat pédagogique est le document officiel sur lequel l’évaluation se fonde. Il est signé par chacune des parties
en début de session universitaire. L’évaluation doit satisfaire à tous les objectifs de stage. Pour ce faire, le-la
superviseur.e recommande à l’enseignant.e désigné.e à la coordination de stages une note selon le mode
SUCCÈS/ÉCHEC. L’enseignant.e désigné.e à la coordination de stage est responsable de l’attribution du résultat
officiel.
Échéanciers
Rencontre d’entente sur le Contrat pédagogique : septembre- début octobre
Évaluation mi- stage : fin octobre-début novembre
Évaluation finale : décembre
Modalité des rencontres
Ces rencontres sur le contrat pédagogique et l’évaluation peuvent se tenir sur le lieu du stage, à l’UQAM ou à
distance (par exemples: Skype ou Face Time).
Guide d’informations et de procédures en cas de difficulté en stage (Annexe I au Contrat pédagogique)
D’emblée, lors de la préparation des stages et leur réalisation, l’équipe de formation pratique (direction de
programme, enseignant.es à la coordination des stages1, des séminaires et le personnel de la formation pratique)
travaille en très étroite collaboration et plus particulièrement, lorsque certaines difficultés sont vécues en cours de
stage. Ces difficultés peuvent être différentes mais un processus d’intervention s’enclenche dès que l’enseignant.e
responsable du stage est informéE de la situation. À ce titre, le mandat de l’enseignant.e responsable de la
coordination des stages, en tant que représentant de l’Université, en est un de médiateur dont le principe premier se
fonde sur l’impartialité. Par conséquent, le rôle de cet enseignant ainsi que des autres acteurs (étudiant.es,
superviseur.es, chargée de formation pratique et Direction de programme) est très bien décrit. Ce document résume
les différentes étapes à suivre lorsqu’une situation apparaît problématique.
Arrêt de stage
Lorsqu’un arrêt de stage est demandé par l’étudiant.e en stage, tout étudiant.e a le droit d’abandonner un cours
obligatoire et par conséquent un stage (articles 5.13 et 7.6.4; règlement no5; version juillet 2015) au programme de
1er cycle. L’arrêt d’un stage doit être considéré comme une mesure exceptionnelle et respecter les règles de l’éthique
professionnelle. Il y a donc nécessité de se prévaloir de la procédure d’arrêt de stage.
Dans le cas d’une demande d’arrêt de stage de la part du ou de la stagiaire:
Afin de prendre une décision, l’étudiant.e doit prendre en compte qu’un stage ne peut être validé que si toutes les
heures de stage ont été effectuées.
1 L’enseignant.e responsable de stage est la personne qui rencontre les stagiaires, les superviseurs ainsi que les répondant.e.s s’il y a lieu, afin
de préparer le contrat pédagogique et d’être présent pour l’évaluation des apprentissages. Il est aussi responsable de s’assurer que les conditions d’apprentissage soient présentes.
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Aucun.e étudiant.e ne peut abandonner un stage sans motifs sérieux. Tout arrêt de stage par l’étudiant.e stagiaire,
sans l’avis de la Direction de programme, est réputé être un échec de stage;
L’étudiant.e stagiaire doit informer par écrit la Direction du programme de 1er cycle des motifs qui justifient l’arrêt
du stage et ce, en y joignant les pièces justificatives si nécessaire selon la situation présente. La Direction du
programme étudie et évalue la demande d’arrêt écrite par l’étudiant.e stagiaire et en prenant connaissance des
rapports écrits du.de la superviseur.e, de l’enseignant à la coordination de stage et du milieu d’accueil, le cas
échéant. Elle fait alors une recommandation au registrariat : échec ou abandon.
Dans le cas d’un arrêt pour raisons médicales, l’étudiant.e stagiaire doit remettre à la Direction de programme de
1er cycle un papier médical dûment signé par le médecin traitant et qui spécifie les dates auxquelles
l’étudiant.e stagiaire est indisponible aux études. Cela est d’autant plus important si l’étudiant.e prend la
décision d’abandonner en cours de stage, particulièrement au-delà des dates limites officielles d’abandon sans
échec et avec remboursement. Le fait d’en informer la Direction de programme, permet à celle-ci, de
transmettre une lettre au Registraire de l’UQAM pour demander l’annulation des frais de scolarité et de
s’assurer qu’il n’y ait pas de mention « échec » au dossier de l’étudiant.e.
Il faut alors prendre en compte le Règlement no5, art 8.8 Absence de l'Université:
L'étudiante, l'étudiant qui n'a été inscrit a aucun cours pendant trois trimestres consécutifs doit
obligatoirement s'inscrire au quatrième trimestre sans quoi son dossier devient inactif. Sur recommandation
de la directrice, du directeur, ou de la, du responsable du programme au Registrariat, l'étudiante, l'étudiant
peut être autorisé a s'absenter pendant une période additionnelle d'au plus trois trimestres tout en conservant
un dossier actif. L'étudiante, l'étudiant dont le dossier est inactif doit présenter une nouvelle demande
d'admission dans les délais prévus a cette fin, avant de pouvoir s'inscrire a un cours.
Politique d’échec de stage avant la date d’abandon administratif
Dans le cas où une personne autorisée (coordonnateur.trice de stage, milieu de stage, Direction de programme)
demande un arrêt de stage alors qu’il y a manquement grave en stage lié à l’atteinte des objectifs pédagogiques ou
que les règles éthiques et déontologiques sont enfreintes, l’arrêt de stage doit être considéré comme un échec du
stage en conformité avec le règlement no 5 des études de 1er cycle.
1. La note “E” sera alors inscrite au dossier de l’étudiant.e. De plus, rappelons que l’étudiant.e stagiaire peut
reprendre un cours suite à un échec selon l’article 8.4 du règlement no5.
2. Toutefois, selon la situation, la Direction de programme peut émettre un avis de restriction dans la poursuite
des études qui “assigne des objectifs pédagogiques et des modes de cheminement particulier dont l’atteinte
mettra fin à la période de probation”.
3. En même temps, [la Direction] signifie à l’étudiant.e le délai à l’intérieur duquel les conditions mettant fin à
sa probation devront être satisfaites” (art 8.3 du règlement no5).
4. Ce manquement grave doit être lié à des difficultés importantes dans l’un ou plusieurs des objectifs
pédagogiques prévus au contrat de stage; et/ou lié à une faute éthique, voire déontologique. Par exemple:
enfreindre le code d’éthique de l’organisation d’accueil du stage; et/ou à un non-respect des politiques et
règlements de l’organisation d’accueil du stage;
5. La Direction du programme étudie et évalue la demande d’arrêt écrite en prenant connaissance des rapports
écrits des autres acteurs et actrices concerné.e.s (de l’étudiant.e stagiaire. du.de la superviseur.e, de
l’enseignant.e à la coordination de stage et du milieu d’accueil, le cas échéant). Elle fait alors une
recommandation au Registraire de l’Université.
Article 10.1.3. (R5) - Déontologie (résolution 2014-A-16457)
Dans la réalisation de tous ses travaux remis aux professeures, professeurs, maîtres de langue, chargées de
cours, chargés de cours a l’occasion des cours et autres activités suivis a l’Université, l’étudiant.e,
l’étudiant est automatiquement soumis aux règles déontologiques édictées dans les politiques et règlements
de l’Université et aux directives supplémentaires émises par la faculté de laquelle elle, il relève. La
stagiaire ou l’étudiant.e, le stagiaire ou l’étudiant qui va en entreprise ou dans toute autre organisation,
seul ou en équipe, pour y documenter, de quelque façon que ce soit, un travail accompli dans le cadre de
ses études, doit notamment :
- respecter la confidentialité de tout rapport, document ou informations recueillies auprès de l’organisme
d’accueil;
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-respecter la confidentialité de toute donnée nominative obtenue dans le cadre d’un tel travail;
- s’abstenir de diffuser des informations pouvant porter préjudice a l’organisme d’accueil, aux personnes y
œuvrant ou a ses collègues étudiant.es, étudiants;
- avoir des comportements, des attitudes et des propos, tant a l’intérieur qu’a l’extérieur de l’organisme
d’accueil, qui sont dignes et qui préservent la crédibilité, l’image et les valeurs de l’Université.
Par conséquent, dans le cas d’une situation où il y a un manque ou l’absence de respect de ces conditions, la direction
de programme peut prendre la décision de suspendre le stage et d’émettre un avis de restriction aux études.
Bibliographie
Bellot, C. et Sylvestre, M-E. (2017). La judiciarisation de l’itinérance à Montréal: les dérives sécuritaires de la
gestion pénale de la pauvreté. Revue générale de droit, 47, 11-44.
Berteau, G. (2006). La pratique de l’intervention de groupe : perceptions, stratégies et enjeux. Québec :
Presses de l’Université du Québec.
Bogo, M. (2006). Social Work Practice: Concepts, Processes and Interviewing, New York, Columbia
University Press.
Un des ouvrages les plus utiles pour faire un grand survol méthodologique et théorique;
approfondissement des composantes du contexte de pratique en t.s: individu-usager-institution-
contexte macro. Beaucoup d'idées d'activités et questions. Aussi pertinent pour les étudiants de
Baccalauréat que pour des professionnels en réflexion sur leurs pratiques.
Chamberland, M., & Le Bossé, Y. (2017). Rendre visible l’invisible : savoirs et prises de conscience de
femmes immigrantes au sein d’organisations communautaires. Alterstice (Vol. 4, pp. 31–44).
Cohen-Emerique M. (2015). Pour une approche interculturelle en travail social: théories et pratiques,
Presses de l’EHLESP .
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Practice. Social Work Education, 27(1), 70–83. http://doi.org/10.1080/02615470601141409
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Dallaire, N. (2010). «Développer des liens entre l’intervention de groupe orientée vers l’empowerment et le
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groupe, pp. 75-85.
Doël, M. et Kelly, T. (2014). Groups and groupwork. New York (NY) : Palgrave Macmillan.
De Jong, P., & Berg, I. K. (2002). De l'entretien à la solution: [l'accent sur le pouvoir des clients]. Satas.
Très apprécié par les étudiant-es, cet ouvrage traduit donne les principes, techniques et attitudes
favorisant la co-construction de l'intervention en opérationnalisant la notion d'empowerment, dans
les pratiques individuelles et familiales.
Dorvil, H. et Mayer R. (sous la direction de) (2001a). Problèmes sociaux, Tome I, Théories et méthodologies.
Québec : P.U.Q.
Dorvil, H. et Mayer R. (sous la direction de) (2001b). Problèmes sociaux, Tome II. Études de cas et
interventions sociales. Québec: Presses de l’Université du Québec.
Dorvil, H., Racine G. (sous la direction de) (2007). Problèmes sociaux, Tome III, Théories et méthodologies
de l’intervention sociale. Québec : P.U.Q.
Dorvil, H., Racine G. (sous la direction de) (2007). Problèmes sociaux, Tome III, Théories et méthodologies
de l’intervention sociale. Québec : P.U.Q.
Duval, M., Fontaine, A. Fournier D. et J.F. René (2005) Les organismes communautaires au Québec :
Pratiques et enjeux. Montréal: Gaétan Morin éditeur.
Evans, R.G., Barer, M. L. & Marmor, T.R. (1994). Hawthorne : Aldine de Gruyter.
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Fourlas, G. A. (2016). Personal use of social networking and social work ethics: Designing guidelines for
training. (Thèse de doctorat). Capella University.
Gastaldo, D., Magalhaes. L., Carrasco, C. & Davy, C. (2012). Body-Map Storytelling as Research, 1–50.
Genest Dufault, S. Gusew, A., Bélanger E., et I. Côté. (Dir) (2017). Accompagner le projet de formation
pratique en travail social: complexité, enjeux, défis, Presses de l’Université du Québec, 247 pages.
Gray. M. Midgely, J. Webb, S. (2012). The Sage Handbook of Social Work, London, Sage Publications.
Gusew, Annie. (2018) Recueil de textes, Formation aux superviseur.e.s de stages, École de travail social, UQAM.
Hamilton, L., Brown, B. et Rogers, R. (2017). Distance Education in Social Work: A Review of the Literature.
Professional Development: The International Journal of Continuing Social Work Education, 20(2), 45-56.
Harper, E. et Kurtzman, K. (dir.). (2014). Intersectionnalité : regards théoriques et usages en recherche et
interventions féministes : présentation du dossier. Nouvelles pratiques sociales,
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Harper, E., Dorvil, H. (2013). Travail social : Théories, méthodes et pratiques, Québec, Presses de
l’Université du Québec.
Souvent utilisé pour divers cours, cet ouvrage aide à situer les pratiques actuelles dans leur contexte.
Entre autres, il permet d'aborder les questions suivantes: " Comment le travail social peut-il faire en
sorte que l’évaluation demeure axée sur la situation que vit un individu et non sur ses capacités de
fonctionnement et d’adaptation sociale ? Comment -s’assurer que les connaissances et le langage sur
lesquels la profession se base restent ancrés dans la pratique du travail social ?".
Healy, K. (2012). Social work théories in context: Creating frameworks for practice. Basingstoke, Palgrave
Macmillan.
Healy, Karen « Social work théories in context : creating frameworks for practice ». (2014). 2nd Édition,
Palgrave MacMillan, 258 p.
Un ouvrage très complet qui fait le tour des principales théories et approches de l'intervention en
travail social: systémique, anti-oppressive, centrée sur les solutions, brève, etc. L'autre partie du livre
est dédiée à l'analyse approfondie de l'impact de "discours" sur la lecture des problématiques dans les
milieux, et sur les interventions en travail social: discours "dominants" i.e. biomédical, "psy" et
sciences sociales (sociologique), légal, économique (nouvelle gestion publique), et les discours
"alternatifs" (droits citoyens, anti-oppressif, spirituels, etc.) Plusieurs exemples proches des pratiques
sont suggérés (individuel et familial surtout), des questions suscitant la réflexion, activités, et
bibliographie spécifique à chaque thème.
Howe, D (2009). A Brief Introduction to Social Work Theory, London: Palgrave Macmillan.
Karsz, S. (2009). Pourquoi le travail social, 2ieme édition, Paris: Dunod.
Legault, G. et L. Rachédi (sous la direction de) (2008). L’intervention interculturelle. Montréal : Gaétan Morin
éditeur.
Mayer, R. (2003). Évolution des pratiques en service social. Montréal: Gaétan Morin éditeur.
Marmot, M. (2005). The status syndrome. How social standing affects our health and longetivity. NY : First Holt
Paperbacks Edition.
Mullaly, B. (2010). Challenging Oppression and Confronting privilege. (2ème édition). Oxford : Oxford University
Press.
Parazelli, M., & Bourbonnais, M. (2017). L’empowerment en travail social. Perspectives, enseignements et
limites. Sciences et actions sociales, 6, 1-29.
Pour approfondir la compréhension du concept d'empowerment, avec ses différentes visions et
finalités.
Parazelli, M. & Ruelland, I. (2017). Autorité et gestion de l’intervention sociale. Entre servitude et acte pouvoir.
Québec : Presses de l’Université du Québec.
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Parazelli, M. et Bellot, C. (automne 2015). Normativités, marginalités sociales et intervention. Direction d’un
numéro thématique de la revue Nouvelles pratiques sociales, 27(2)
Relais-Femmes. (2009). L'intervention en contexte de milieu de vie: un arrimage indispensable entre le formel
et l'informel.
Peu d'ouvrages abordent les particularités du travail social en "milieu de vie", aussi nommé
"intervention informelle" ou "de proximité". Plusieurs de nos stagiaires sont dans ces milieux et ont
parfois besoin de références pour distinguer cette pratique de celles en milieu institutionnel, qui sont
mieux reflétées par les objectifs de stage et mieux documentées. Ce guide de pratique (sur internet,
gratuit) nomme les concepts pertinents et vient clarifier ce type de travail.
Turcotte, D. et Deslauriers, J.P. (2017). Méthodologie de l'intervention sociale personnelle. 2e édition. Presses
de l'Université Laval.
Nouvelle édition abordant toute la méthodologie de l'intervention (individuelle) et ses étapes, ainsi
que les principales approches du travail social québécois. Très apprécié des étudiant.es pour la
possibilité de réviser les grandes notions, de la prise de contact (alliance) à la terminaison d'une
intervention. En français- peut faire un bon livre obligatoire.
Van de Sande, A., Beauvolsk, M.-A. & Renaud, G. (2003) Le travail social. Théories et pratiques. 2ème édition.
Montréal : Gaétan Morin éditeur.
Wacquant, L. (2015). Les prisons de la misère. Paris : Raisons d’agir.
Pour le groupe
Pelech, W., Basso R., Lee C., Gandarilla, M. (2016). Inclusive Group Work. Oxford University Press.
Steinberg, Moyse D. (2008) Le travail social de groupe, un modèle axé sur l’aide mutuelle, Québec : Presses de
l’Université Laval.
Turcotte, D., Lindsay, J. (2014). L’intervention sociale auprès des groupes. Boucherville : Édition Gaëtan Morin. 2e
édition.
Gitterman, A. (2004). «The mutual aid model» dans (sous la direction de Garvin C., Gutiérrez L.M. et Galinsky, M.
J.). Handbook of social work with groups. New York : Guilford Press, ch. 6, pp. 93-111.
Roy, V. & Pullen-Sansfaçon, A. (2016). Promoting Individual and Social Changes : A hybrid model of social work
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Roy, V., Pullen-Sansfaçon, A., Doucet, M. & Rochette, M. (2013). « IASWG standards for social work practice
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Roy, V., Pullen-Sansfaçon, A. et Rochette, M. (2014). « L’évolution des pratiques de travail social de groupe au
Québec : Des années 1980 aux années 2010 ». Revue canadienne de service social, 31(1), pp. 67-84.
Roy, V., Turcotte, D., Lindsay, J., Bédard, S., et Turgeon, J.-F. (2013). « Quelques repères théoriques pour
comprendre le travail social et orienter la pratique d’intervention de groupe en travail social » dans : (sous la
direction de Harper, É. et Dorvil, H.). Le travail social : théories, méthodologie et pratique. Québec, PUQ :
Collection : problèmes sociaux et interventions sociales, ch. 10, pp.223-242.
Pullen-Sansfaçon, A., Roy, V., Blais, J., & Rochette, M. (2013). « L’état des pratiques de groupe au Québec :
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Laval.
Leclerc, C. (2015). Intervenir en groupe. Savoirs et pouvoirs d’agir. CRIEVAT
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Informations universitaires complémentaires Conflit d’intérêt. Règlement no5 article 7.2 g)
“les membres du personnel enseignant [superviseur.e.s, coordonnateur.trice,s de stage) et les correctrices, les correcteurs doivent
s'abstenir d'évaluer la performance et les travaux des étudiantes, étudiants avec qui leur lien de parenté ou leurs relations
interpersonnelles seraient susceptibles de les placer en situation de conflit d'intérêts, soit réelle, soit apparente. La personne en conflit d’intérêts potentiel doit aviser la, le responsable du cours, s’il s’agit d’une, d’un auxiliaire d’enseignement, ou la direction du
département concerné dans tous les autres cas. Si cette situation s’applique a une directrice, un directeur de département, celle-ci,
celui-ci doit en aviser la doyenne, le doyen”.
En l’occurrence, si un membre du personnel du milieu de stage a un lien de parenté avec le ou la stagiaire ou qu’une relation
interpersonnelle est susceptible d’influencer le travail d’évaluation de la supervision ou de la coordination de stage (ex : relation hiérarchique entre employé.e.s du milieu de stage, …), « La personne en conflit d’intérêts potentiel doit aviser la, [la Chargée de
formation pratique] », et ce, avant la signature de ce contrat, par écrit.
Article 8.4.1 (R5) Échec dans un cours obligatoire (résolution 2012-A-15504)
L'étudiant.e, l'étudiant ayant subi un échec dans un cours obligatoire dans son programme est tenu de reprendre ce cours. Là où les
règlements facultaires et le comité de programme le permettent, la directrice, le directeur du programme peut exceptionnellement
autoriser l’étudiant.e, l’étudiant a reprendre un cours jugé équivalent, suite a l’approbation du comité de programme. En cas d'échec
lors de la reprise d'un cours obligatoire, la directrice, le directeur ou la, le responsable du programme peut donner à l'étudiant.e,
l'étudiant une autorisation exceptionnelle pour s'inscrire une troisième fois à ce même cours. Cette autorisation doit être consignée, communiquée à l'étudiant.e, l'étudiant et versée à son dossier officiel, sous la garde du Registrariat. Dans le cas d'un cours
obligatoire, un échec subi lors de la première reprise, ou de la seconde reprise si elle a été autorisée, conduit à l'exclusion du
programme. L'exclusion ne peut être prononcée que par le Registrariat sur recommandation de la directrice, du directeur, ou de la, du responsable du programme et de la doyenne, du doyen de la Faculté responsable de ce programme.
Article 10.1.2 (R5) - Propriété intellectuelle
Paragraphe a) « les étudiantes et les étudiants sont titulaires des droits de propriété intellectuelle et des droits moraux sur les travaux
qu'elles, ils réalisent lors des activités académiques suivies a l'Université; »
Paragraphe d) « nonobstant le paragraphe a), la propriété intellectuelle des travaux réalisés par l’étudiante, l’étudiant lors de stages
crédites ou non crédites peut appartenir a une tierce partie soit suivant l’application de la Loi sur le droit d’auteur, soit en vertu d’une
cession signée par l’étudiante, l’étudiant; »
Politique no 16 contre le harcèlement sexuel : Stagiaire en situation de harcèlement (psychologique, sexuel, … )
Le harcèlement sexuel se définit comme étant un comportement à connotation sexuelle unilatéral et non désiré ayant pour effet de compromettre le
droit à des conditions de travail et d’études justes et raisonnables ou le droit à la dignité.
La Politique no 16 identifie les comportements suivants comme du harcèlement sexuel :
1. Manifestations persistantes ou abusives d’un intérêt sexuel non désirées. 2. Remarques, commentaires, allusions, plaisanteries ou insultes persistants à caractère sexuel portant atteinte à un environnement propice au
travail ou à l’étude.
3. Avances verbales ou propositions insistantes à caractère sexuel non désirées. 4. Avances physiques, attouchements, frôlements, pincements, baisers non désirés.
5. Promesses de récompense ou menaces de représailles, implicites ou explicites, représailles liées à l’acceptation ou au refus d’une demande
d’ordre sexuel. 6. Actes de voyeurisme ou d’exhibitionnisme.
7. Manifestations de violence physique à caractère sexuel ou imposition d’une intimité sexuelle non voulue.
8. Toute autre manifestation à caractère sexuel offensante ou non désirée.
Pour plus d’information : instances.uqam.ca/ReglementsPolitiquesDocuments/Documents/Politique_no_16.pdf
Pour obtenir du soutien : Pour rencontrer une personne ou faire un signalement : Bureau d’intervention et de prévention en matière de
harcèlement, 514 987-3000, poste 0886
Pour la liste des services offerts en matière de violence sexuelle à l’UQAM et à l’extérieur de l’UQAM : harcelement.uqam.ca
CALACS Trêve pour Elles – point de services UQAM : 514 987-0348; [email protected] ; trevepourelles.org Soutien psychologique (Services à la vie étudiante) : 514 987-3185 ; Local DS-2110
Service de la prévention et de la sécurité : 514 987-3131
Lors d’un stage, la situation de harcèlement peut se produire dans la relation avec une personne du milieu de stage (employé.e, usager.e.s, etc.) ou
du milieu universitaire.
La Direction de programme devrait être prévenue dans les 2 cas, que ce soit une situation en milieu de stage ou en lien avec une personne du
milieu universitaire (UQAM). De fait, le programme souhaite s’assurer de la sécurité des stagiaires et des futur.e.s stagiaires dans ces milieux et
avec le personnel impliqué à la formation pratique.
● Instances institutionnelles (milieux de stage) de réception de plaintes : les CISSS et CIUSSS du Québec sont dotés de “Conseiller.e-
cadre en gestion des risques et éthique clinique”
● En organisation communautaire, on peut s’adresser à la Direction ou à la Coordination générale de l’organisme.
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● La Chargée de formation pratique du programme de 1er cycle en travail social à l’UQAM peut être consultée en toute circonstance.
● La Direction de programme de 1er cycle en travail social à l’UQAM peut être consultée en toute circonstances