La réforme des rythmes à l’école primaire
Rentrée 2013
Réunion des directeurs Circonscription de Montbéliard 3
IEN Mme BécouletLe 5 mars 2013
L’expression « rythmes scolaires » est ambiguë et renvoie indistinctement à : = la progression des élèves dans leurs apprentissages
= la problématique des rythmes de l’environnement(alternance des moments de repos et d’activités imposés par l’école emploi du temps, vacances, calendriers scolaires…)
= la problématique des rythmes propres aux enfants en situation scolaire(variations périodiques des processus physiologiques, physiques ou psychologiques propres aux individus rythmes biologiques)
Les rythmes biologiquessommeil et alimentation
comportement, vigilance, attention, mémoire
Les rythmes de l’écoleJournée, semaine ou année scolaires
Sommeil et Alimentationrythmes circadiens (circa diem : environ un jour)
Rythmes dont la période est d’environ 24±4h
Attention et Apprentissagerythmes ultradiens (ultra : au-delà)
rythmes dont la période fait apparaître plus d’un cycle dans les 24 heures
Période de démarrage au début de la journée8h30-9h
«échauffement»intellectuelde 30 minutes environ qui ne permet pas d’aborder les tâches les plus difficiles
Fin de matinée et début d’après-midi11h30-15h
Baisse de l’activité qui ne permet plus d’aborder les tâches les plus difficiles. Privilégier les activités non évaluées ne demandant pas de performance
20
22
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26
28
30
08h 40 11h 20 13h 40 16h 20
Heures de la journée
Per
form
ance
s
Epreuve verbale
Stucturation spatiale
Opérations
D’après Testu (1994), INSERM, 2001, p. 54.
Attention et vigilance Le temps passé à une tâche
Sa durée varie en fonction de l’âge de l’enfant, de la tâche elle-même et de l’environnement.
GS : 15 à 20 min.CP-CE2 : 20 à 30 min.CM1 : 25 à 35 min.CM2 : 30 à 40 min.
À l’intérieur de ces périodes d’attention, il y a des courts moments de déconnexion…… quelques secondes à plusieurs minutes.
Le débat sur les rythmes scolaires est un débat récurrent qui porte aussi bien sur le système éducatif que sur l’adéquation des temps périscolaires et extrascolaires
Brève histoire du temps scolaire
• 1922 : allongement des vacances de 6 à 8 semaines• 1937 : allongement des vacances de 8 à 10 semaines • 1960 : question de l’organisation et de la distribution des vacances (début du
zonage)• 1969 : suppression de la classe du samedi après-midi• 1985 : découpage de l’année scolaire (7 semaines de travail / 2 semaines de
vacances)• 2008 : suppression de la classe du samedi matin et création des nouveaux
dispositifs (stage de remise à niveau, aide personnalisée)• 2012 : allongement des vacances de Toussaint
• Une conférence nationale, rapport de synthèse, janvier 2011
• Suite de la réflexion nationale depuis mai 2012
• Proposition d’une réforme des rythmes scolaires à l’école primaire : décret paru au JO du 26 janvier 2013
• Mis en œuvre à la rentrée de septembre 2013(Possibilité de report de la mise en œuvre en septembre 2014)
Synthèse nationale, janvier 2011les principes
• La volonté de changement est unanime• Le bien-être de l’enfant est au centre des débats• L’évolution des rythmes scolaires engage une
réflexion globale• L’importance de l’évolution de la société doit elle
aussi être prise en compte
• La journée est trop longue et fatigante, à tous niveaux.
• La semaine de 4 jours est inadaptée (fatigue des élèves, resserrement des enseignements).
• Le temps global de l’enfant est morcelé.• Les temps de vie « hors-temps scolaire » sont laissés
aux solutions individuelles ou aux aléas locaux.• Les devoirs viennent alourdir une journée déjà
longue.• La place de l’aide personnalisée dans la journée est
déterminante.
Synthèse nationale, janvier 2011les principes
Synthèse nationale, janvier 2011
Synthèse nationale, janvier 2011
Synthèse nationale, janvier 2011
Tableau année scolaire européenne
Synthèse nationale, janvier 2011les avis (1)
• Des horaires et une charge de travail à adapter au niveau d’enseignement :– Un temps d’enseignement modulé de l’élémentaire au lycée (5h, 6h, 7h)
• Une journée moins lourde et non pas nécessairement moins longue:– qui alterne suffisamment les activités pour respecter les rythmes de
l’enfant,– qui inclut le travail personnel,– où les pauses sont de vrais temps de repos.
Synthèse nationale, janvier 2011les avis (2)
• Une semaine à rééquilibrer dans le primaire :Une grande majorité des organisations entendues se prononce
pour une semaine de 4,5 jours, soit 9 demi-journées,
afin d’équilibrer le rythme et la charge de travail sur la semaine ,afin de sauvegarder le week-end en famille.
• Des programmes à revoir en fonction des nouveaux rythmes.
La réussite des élèves à l’école primaire dépend pour une part essentielle des conditions dans lesquelles se déroulent les apprentissages
Un objectif pédagogique sous tendu par l’intérêt de l’enfant et de l’élève
Pourquoi une réforme des rythmes scolaires ?
• Une réussite insuffisante des élèves
o 12 % des élèves n’ont pas une maîtrise suffisante des compétences de base, à la fin de l’école primaire, pour réussir la suite de leur scolarité
o 20 % des élèves de 15 ans connaissent des difficultés en maîtrise de la langue française
o En lecture, en CM1, les élèves français ont un score inférieur à la moyenne européenne (520 points contre 534) dans l’enquête internationale PIRLS.
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570
Malte
Roumanie
Belgique (Comm. fr.)
Espagne
France
PologneLituanieAutriche,
SlovénieBulgarie
Rép. slovaqueMoyenne européenne (534)
HongrieAllemagne, Italie, Portugal
SuèdeRépublique tchèque
Pays-Bas
Angleterre, IrlandeDanemark
Irlande du Nord
Finlande
Finlande 568Irlande du Nord 558Danemark 554Angleterre 552Irlande 552Pays-Bas 546République tchèque 545Suède 542Allemagne 541Italie 541Portugal 541Hongrie 539République slovaque 535Bulgarie 532Slovénie 530Autriche 529Lituanie 528Moyenne européenne 534Pologne 526France 520Espagne 513Belgique (Comm. fr.) 506Roumanie 502Malte 477
Classement des pays européens participant à PIRLS 2011
une année scolaire raccourcie le nombre de jours d’école le plus faible des 34 pays de l’OCDE : 144 jours contre 187 jours en moyenne
une semaine plus courte 4 jours d’école par semaine, contre 5 voire 6 chez nos voisins européens
un nombre d’heures annuellement plus important 864 heures par an contre 774 heures à 821 heures en moyenne au sein de l’OCDE
des journées plus longues 6 heures contre 4 à 5 heures en moyenne
Une organisation atypique du temps scolaire
• Donner et mieux répartir le temps pour les apprentissages
• Assurer un plus grand respect des rythmes naturels d’apprentissage et de repos de l’enfant :
mieux répartir les heures de classe sur la semaine
alléger la journée de classe
programmer les séquences d’enseignement à des moments où la faculté de concentration des élèves est la plus grande
Des objectifs portant sur l’intérêt de l’enfant et de l’élève
assurer un encadrement éducatif des élèves
prendre en charge les élèves si possible jusqu’à 16h30
permettre aux élèves d’accéder à des activités sportives, culturelles, artistiques en cohérence avec les enseignements dans ces champs disciplinaires
Permettre une meilleure articulation des temps scolaire et périscolaire
Favoriser
une meilleure articulation des temps de l’enfant la recherche d’une plus grande cohérence et
continuité du projet d’école et du projet éducatif territorial.
l’élaboration d’un projet éducatif territorial PEDTqui optimise toutes les ressources du territoire.
Connecter l’école à l’ensemble du territoire
Un cadre national garant des principes et des objectifs favorisant les ambitions éducatives des territoires
(décret n° 2013-77 du 24 janvier 2013)
Répartition des 24 heures d’enseignement hebdomadaire sur neuf demi-journées :
correspondant à 4 journées entières (lundi, mardi, jeudi et vendredi)
incluant le mercredi matin comme ½ journée supplémentaire
une journée de classe de 5 heures 30 maximum
une demi-journée de 3 heures 30 maximum
une pause méridienne de 1 heure 30 minimum
Des activités pédagogiques complémentaires dispensées par les enseignants dont l’organisation est arrêtée par l’IEN de la circonscription sur proposition du conseil des maîtres :
à raison de 36 heures annuelles par enseignant (1 heure par semaine)
organisées en groupes restreints afin d’aider les écoliers rencontrant des difficultés dans leurs apprentissages pour accompagner le travail personnel des élèvespour mettre en place une activité prévue par le projet d’école en lien avec le projet éducatif territorial
Le temps est placé sous la responsabilité des enseignants. Les APC sont gratuites. Le maître de chaque classe dresse, après avoir recueilli l’accord des parents ou du représentant légal, la liste des élèves qui bénéficient d’APC.
Les activités périscolaires sont sous la responsabilité des collectivités territoriales et peuvent avoir lieu parallèlement.
La diminution de la journée scolaire entraîne une réorganisation des temps de l’enfant et de l’élève.
L’organisation de la semaine scolaire concerne les écoles publiques et porte sur :
la durée de la pause méridienne les horaires d’entrée et de sortie les modalités d’articulation des temps d’enseignements et périscolaires.
Les propositions d’organisation du temps scolaire et périscolaire émanent des conseils d’école ou des EPCI ayant la compétence scolaire
Les propositions sont transmises au DASEN avec avis de l’IEN et avis du maire ou président de l’EPCI (avis réputé acquis en l’absence de notification au DASEN d’un avis exprès dans une délai de quinze jours à compter de la saisine).
Sans proposition de la commune ou de l’EPCI, le DASEN arrête l’organisation du temps scolaire après avoir sollicité l’avais du maire ou du président de l’EPCI et après avoir consulté le président du Conseil Général.
Le Projet Éducatif Territorial (PEDT) créé par la loi d’orientation et de programmation (art.46)
• sert à définir un périmètre d’action correspondant à une problématique éducative territoriale bien identifiée
• permet de structurer et de mieux articuler le temps scolaire organisé par l’éducation nationale et le temps périscolaire:
• est élaboré à l’initiative de la collectivité territoriale en associant l’ensemble des acteurs intervenant dans le domaine de l’éducation, et repose sur :
un diagnostic partagé des caractéristiques du public scolaire et de l’offre d’activités périscolaires sportives, culturelles, artistiques
des objectifs s’inscrivant dans une démarche territoriale
une définition des ressources financières et humaines mobilisables
une démarche d’évaluation
• mobilise toutes les ressources du territoire en s’appuyant notamment sur l’expérience des collectivités, afin d’offrir à chaque enfant un parcours éducatif cohérent et de qualité :
pour garantir une plus grande continuité éducative entre les projets des écoles et les activités proposées aux élèves en dehors du temps scolaire
pour permettre d’assurer la complémentarité avec les différents dispositifs : CLAS, CEJ, CUCS
s’inscrit dans une cohérence territoriale (CDC, RPI…)
Le Projet Éducatif Territorial (PEDT) créé par la loi d’orientation et de programmation (art.46)
Le Projet Éducatif Territorial (PEDT) créé par la loi d’orientation et de programmation (art.46)
Objectif : Garantir la meilleure continuité éducative projet d’école/activités périscolaires (notion de parcours et d’articulation temps scolaire, temps éducatif) .Modalités : Initiative de la collectivité territoriale concernée avec diagnostic partagé au niveau local. Engagement contractuel des partenaires. Assouplissement des conditions d’encadrement des mineurs pour une durée transitoire de 5 ans : 1 animateur pour 14 enfant de moins de 6 ans, 1 animateur pour 18 enfants de 6 ans et plus. Avant- projet qui définit le périmètre du territoire, les ressources mobilisées et le type d’activités prévuesFormalisation et déclinaison du projetValidation du PEDT par la DSDEN et la direction départementale de la cohésion socialeLes PEL et le CEL pourront évoluer vers un PEDT – Intégration des CLAS existants
Les modalités pour la mise en œuvre de la réforme
Une mise en œuvre à la rentrée 2013
ou
À la rentrée 2014 sur demande du maire ou du président de l’EPCI avant le 31 mars 2013
Des dérogations possibles …..
Les dérogations et les demandes de report de la réforme
Report de la réforme à la rentrée 2014 ; demande adressée à la DASEN avant le 31 mars 2013. Cette demande reçoit, par principe, l’accord de la DASEN
Dérogations
La DASEN peut autoriser des dérogations sur :
Les horaires maxima ou minima (journée, demi-journée, pause méridienne)Le choix du samedi ou du mercredi
la dérogation peut être accordée lorsqu’elle «est justifiée par les particularités du PEDT» et que l’organisation proposée présente des «garanties pédagogiques suffisantes » Pas de dérogation possible sur le volume des 9 demi-journées d’enseignement et des 24 heures hebdomadaires La maire ou le président de l’EPCI saisit le conseil général avant le 9 mars 2013. Si au terme d’un délai de 20 jours après saisine, le conseil général n’a pas fait connaître son avis, ce dernier est réputé favorable.
Le temps d’activités périscolaires Pas de PEDT obligatoire Activités non obligatoires pour les familles Personnels pouvant intervenir sur le temps périscolaire
Personnels autorisés par l’arrêté du 9 février 2007 modifié, associations partenaires de l’école, mouvements d’éducation populaire, associations sportives ou culturelles locales.Enseignants volontaires et rémunérés par la collectivité
Activités sportives, culturelles, artistiques consacrées au numérique ou à l’éducation citoyenne compatibles avec les activités autorisées en milieu scolaire
Lieux possibles : salles de classe ou autres lieux, sous réserve que les enfants soient pris en charge à la sortie de l’enceinte scolaire par un ou plusieurs animateurs.
Pas de remise en cause de l’accompagnement éducatif existant sur les territoires d’éducation prioritaire.
Quelques modes d’organisation possibles
Accompagnement de la mise en œuvre de
la réforme par la DSDEN du Doubs
L’accompagnement de la réforme
•Une mise en place d’un fonds d’amorçage visant à aider les communes et les EPCI :
Une dotation forfaitaire de 50 euros par élève en 2013
Une dotation complémentaire de 40 euros pour les communes éligibles à la DSU cible ou DSR cible, soit 90 euros par élève
Cette majoration sera prolongée pour l’année 2014-2015 pour toutes les communes éligibles à la DSU et DSR cibles, qu’elles aient choisi de mettre en place la réforme en 2013 ou en 2014 et s’élèvera à 45 euros par élève
Les communes entrant dans le dispositif en 2013, adressent par courrier au Préfet et au DASEN leur demande d’éligibilité au fonds d’amorçage avant le 30 avril 2013
Le calendrier de mise en œuvre
JANVIER FEVRIER– Publication du décret relatif à l’aménagement
des rythmes
– Information des élus par le courrier du Ministre
Publication d’un guide pratique
Organisation de la réponse aux élus en fonction des questions soulevées
Information des écoles (directeurs d'école, conseils d'école, familles, etc.) sur les modalités d'application de la réforme. Courrier du DASEN aux équipes des écoles
Constitution des équipes d'appui au niveau académique pour accompagner les communes dans la mise en œuvre de la réforme
Réunions des élus (Préfet et DASEN) sur les trois arrondissements du Doubs.
MARS AVRIL– A partir de début mars : réunion des conseils
d’école pour consultation
– 09 mars : date limite de saisine du Conseil Général par le maire ou président de l’EPCI pour le report à la rentrée 2014
– 31 mars : retour des demandes de dérogation (pour mise en œuvre en 2014) des maires ou présidents d’EPCI
– Élaboration d'un projet d'organisation du temps scolaire émanant du maire ou du président de l'EPCI et/ou par le conseil d'école
– avril : • Etablissement de la liste des collectivités entrant dans le dispositif à la rentrée 2013
• Communication à la presse
– Mi avril : Transmission des projets d'organisation du temps scolaire au DASEN, après avis de l'IEN et, le cas échéant, des lignes directrices du Projet Educatif Territorial (pré projet du PEDT)
– Avant le 19 avril : information des parents d’élèves sur le passage ou non à 9 demi-journées
– Avant le 30 avril : • les communes, entrant dans le dispositif en 2013, adressent par
courrier au Préfet et au DASEN leur demande d’éligibilité au fonds d’amorçage
• consultation du conseil général par le DASEN sur les projets d'aménagement du temps scolaire. Son avis est réputé favorable dans un délai d'un mois à compter de sa saisine (article D. 213-30 du code de l'éducation)
Le calendrier de mise en œuvre
MAI JUIN
– Information du conseil départemental de l'éducation nationale par le DASEN :
Fixation de l'organisation de la semaine scolaire par le DASEN dans le cadre du règlement type départemental qui indique les horaires d'entrée et de sortie des écoles
Liste des communes ayant demandé le report de l'application de la réforme à la rentrée 2014.
– A l’issue du CDEN : information du conseil général, des communes, des EPCI et des écoles par le DASEN sur le règlement type départemental
– Mise en place par la commune des lignes directrices du PEDT :• Concertation entre les collectivités
porteuses d'un PEDT, les autorités académiques et l'ensemble des partenaires
• Déclinaison des lignes directrices du PEDT en programmes d'action et préparation des conventions nécessaires à leur mise en œuvre
– Accompagnement des communes entrant dans le dispositif à la rentrée 2014
Le calendrier de mise en œuvre
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Organisation de la semaine scolaire
50
Organisation de la semaine scolaire
Organisation de la semaine scolaire
Possibilité de reporter l’application de la réforme
53
Calendrier
Demande de report à la rentrée 2014 Date limite
Le maire ou le président de l'EPCI peut demander le report de l'application du décret à la rentrée 2014, pour toutes les écoles de sa commune ou des communes de l'EPCI.
31 mars 2013
Le maire ou le président de l'EPCI saisit le département, 9 mars 2013
lequel doit émettre son avis dans les 20 jours suivant la saisine ;à défaut cet avis est réputé favorable.
Le DASEN communique sa décision au maire ou au président de l'EPCI ainsi qu'au département.
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Calendrier
Mise en œuvre à la rentrée 2013 Date limite
Le conseil d’école, la commune ou l'EPCI transmet son projet d’organisation du temps scolaire avec avis de l’IEN. 11 avril 2013
Examen préalable du DASEN sur la conformité des projets et envoi au maire ou au président de l'EPCI. 17 avril 2013
Avis du maire ou du président de l'EPCI dans les 15 jours suivant la saisine par le DASEN ; à défaut cet avis est réputé favorable.
Consultation du Conseil Général par le DASEN
Décision finale d'organisation du DASEN, valable 3 ans et annexée au règlement type départemental, après consultation du CDEN. mai 2013
L'enfance a des manières de voir, de penser, de sentir qui lui sont propres ; rien n'est moins sensé que d'y vouloir substituer les nôtres.
Jean-Jacques Rousseau
Dossier de presse et
informations en ligne sur le site du Ministère de
l’Education nationale
www.education.gouv.fr