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Hebdo GRATUIT diffusé par internet Adresse courriel : [email protected] Mise en page : Francis BOCQUILLET
Editorial : Un Cameron en France…C’est pour quand ? La décision de David Cameron de réserver les allocations d’état aux familles Anglaises, n’est ni plus ni moins que la proposition que Mouvement National Républicain faisait il y a plus de 12 ans. Maintenant le problème est ailleurs, puisqu’à force de donner la nationalité aux immigrés venant de toute la planète, les français, ne sont plus que des européens, et leurs us, leurs coutumes, leur religion, ne sont pas assimilables aux nôtres, d’autant qu’ils les rejettent. Alors que pouvons nous faire ? A mon avis, il faut effectivement réserver les prestations familiales à ceux qui cotisent, qui travaillent et qui on démontrés leur volonté de s’assimiler à la civilisation européenne. Pour les autres, ceux qui sont en situation irrégulière, ou qui revendique des droits liés à leur communauté les prestations familiales doivent leur être supprimées, la seule solution pour eux ne peut être que le chemin du retour dans leur pays d’origine. La double nationalité doit bien entendu être supprimé, pour accéder à la nationalité française on renonce à celle de ses parents, mais on peut aussi renoncer à la nationalité française et garder celle de ses parents . Les nouveaux postulants à l’immigration en France doivent savoir qu’ils n’auront pas le droit aux prestations familiales. Concernant les revendications d’ordre religieuses ou coutumières, comme par exemple l’abattage des animaux selon des rites d’un autre monde, aucune dérogation ne doit être acceptée ou tolérée dans notre pays. Si les adeptes des religions qui souhaitent manger de la viande d’animaux tués selon ces préceptes religieux, ils peuvent importer de la viande des pays ou cette pratique est légale. Ce qui par ailleurs permettrait de relancer l’élevage dans ces pays et de créer des emplois sur place, ralentissant ainsi l’émigration vers l’Europe. Je crois aussi qu’une solution simple existe pour freiner efficacement les trafics de drogues, et maitriser l’économie souterraine. Toute demande de carte grise pour un véhicule devrait être accompagnée d’un justificatif de revenus et de la facture de la voiture achetée, pour contrôler l’adéquation entre le prix de la voiture et celle des revenus. Si cette adéquation n’est pas cohérente, le dossier serait confié au service des douanes et des impôts. Le véhicule étant confisqué provisoirement dans un premier temps et définitivement si l’enquête ne démontre pas que l’argent n’est pas le produit d’un travail légal. Il devrait en être de même pour toutes acquisitions de fonds de commerce ou d’immeuble. Voilà quelques mesures applicables qui commenceraient à remettre de l’ordre dans notre pays. Ne croyez pas aux sirènes de la Lépéno-‐socialiste, qui aboie bien, mais qui ne propose pas grand chose possible à mettre en œuvre . Rejoignez le MNR et encourageons Bruno Mégret à revenir très vite sur la scène politique.
Francis Bocquillet
SOMMAIRE 1. Editorial :Un Cameron en France.. 2. Le pape François contre le mariage homo 3. Magdi C .Allam quitte l’église catholique 4. La mission européenne du frère pape 5. L’ordre légitime est du côté des manifestants 6. Des députés anti-mariage gay veulent… 7. J.Bougrab ; Je ne connais pas d’islam modéré 8. Belgique :le problème rom. 9. F.Hollande le président qui se déplace avec 1000 CRS 10. Ce plat président qui est le nôtre 11. Attention F.Hollande, les Français n’en peuvent plus ! 12. Les primes des fonctionnaires outre-mer… 13. E.Zemmour : Hollande, le clientélisme… 14. Val de Marne : Egorgé dans le RER… 15. Pour l’ UMP :Hollande est en rupture… 16. La France offre 16 véhicules et 2000 équipements militaires à l’armée malienne 17. MALI : Faiblesse de l’armée … 18. Immigration : cela sera bientôt humainement insupportable. 19. Les annonces de F.Hollande vues de l’étranger 20. S’il ne s’agissait que de Hollande… 21. Evreux met çà disposition un terrain …. 22. J’étais le jouet sexuel de mon père homo.. 23. ONG au Mali ;Les nids de magouille 24. Hollande c’est moins de riches + de pauvres 25. Dormez braves gens, votre président dort aussi 26. Abdallah Basfar….présent en 2013 au RAMF 27. A droite, on a honte d’être de droite !
N°45- 05 Avril 2013
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Le pape François contre le mariage homosexuel « Distinguer n'est pas discriminer » * «Nous ne voulons pas juger ceux qui pensent et ressentent différemment que nous. (…). Le mariage précède l'État, il est le socle de la famille, la cellule de la société, antérieure à toute loi et même à l'Église. Par conséquent, l'adoption du projet de loi serait un grave recul anthropologique. Le mariage (formé d'un homme et d'une femme) n'est pas la même chose que l'union de deux personnes de même sexe. Distinguer n'est pas discriminer, mais respecter; différencier pour discerner consiste à évaluer correctement, pas à discriminer. (…) Nous ne pouvons pas enseigner aux générations futures qu'il est équivalent de se préparer à développer un projet familial fondé sur un engagement de relation stable entre un homme et une femme, que de vivre avec une personne du même sexe (…). Je vous en conjure, qu'il n'y ait de votre part, ni dans vos paroles ni dans vos cœurs, aucune marque d'agressivité ou de violence envers aucun frère.» Le pape François NDLR : Une formule que nous devrions reprendre !
Magdi Cristiano Allam quitte l’Eglise catholique ! 26 mars 2013 Magdi Cristiano Allam, le très médiatique musulman converti au catholicisme et baptisé par Benoît XVI à Pâques il y a cinq ans, annonce son départ de l’Église catholique. Il s’exprime à travers un long éditorial qu’il signe dans Il Foglio. « Pourquoi je quitte cette Eglise faible avec l’islam », titre-‐t-‐il avant d’expliquer que :
« plus que tout autre facteur, m’a éloigné de l’Eglise la légitimation de l’islam comme vraie religion, d’Allah comme vrai Dieu, de Mahomet comme vrai prophète, du Coran comme texte sacré, des mosquées comme lieux de culte. Je suis plutôt convaincu que, tout en respectant les
musulmans dépositaires comme toute personne des droits inaliénables à la vie, à la dignité, à la liberté, l’islam est une idéologie intrinsèquement violente, historiquement conflictuelle en interne et belliqueuse en externe. Je suis encore plus convaincu que l’Europe finira par être soumise à l’islam (…) si l’on n’a pas la lucidité et le courage de dénoncer l’incompatibilité de l’islam avec notre civilisation et les droits fondamentaux de la personne, si l’on n’interdit pas le Coran pour apologie de la haine. » Et Magdi Allam poursuit : « c’est une authentique folie suicidaire, le fait que Jean-‐Paul II soit allé jusqu’à embrasser le Coran, que Benoît XVI ait posé la main sur le Coran en priant en direction de La Mecque à la Mosquée bleue d’Istanbul, tandis que François Ier a commencé en exaltant les musulmans “qui adorent le Dieu unique, vivant et miséricordieux” ».
Le point de non-‐retour, qui a déterminé la décision de Magdi Allam, fut « la papolâtrie qui a enflammé l’euphorie pour François Ier et a rapidement archivé Benoît XVI ». Et Magdi Allam dénonce le « bonisme » exalté par l’Église, qui s’affiche « comme le plus grand protecteur des immigrés, et surtout des illégaux ». Étant lui-‐même immigré, il est d’autant plus libre de souligner que « la première règle est qu’en Italie nous devons d’abord assurer le bien de l’Italie, en appliquant correctement l’exhortation de Jésus “aime ton prochain comme toi-‐même” ». « Je vais continuer de croire en Jésus que j’ai toujours aimé, et à m’identifier fièrement au christianisme comme la civilisation qui plus que d’autres rapproche l’homme de Dieu qui a choisi de devenir homme », conclut-‐il finalement. Nous déplorons évidemment ce départ. Car l’Église n’est pas un parti politique que l’on peut quitter lorsque surgit un désaccord. La Foi surnaturelle nous fait dire, même dans les périodes de turbulences, surtout dans les périodes de turbulences, que l’Église seule détient les paroles et les promesses de la vie éternelle, car elle est, selon le mot de Bossuet, « le Christ répandu et communiqué ». « Homme de peu de Foi » s’écrie le Christ dans la tempête, lorsque la barque semble parfois vouloir chavirer et que ses apôtres se mettent à douter. Comme conclut Yves Daoudal sur cette affaire : « Plus que jamais il faut rester dans cette Église, prier dans et pour cette Église qui seule a les paroles de la vie éternelle. Même quand elle ne le sait plus« .Source Contre info.com
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La mission européenne du “frère pape” Par François d'Orcival Valeurs Actuelles Si le continent latino-américain compte deux fois plus de fidèles que le nôtre, où est la nouvelle terre de mission ? En Europe. Elle est à reconquérir.
Salut reine Sagesse, disait François d’Assise, que le Seigneur te garde /avec ta soeur, sainte et pure Simplicité. Sagesse et simplicité, voilà ce que l’on souhaite au pontificat du nouveau pape, qui a précisément choisi de s’appeler François en mémoire du poverello d’Assise. Julien Green, emporté par l’émotion des Fioretti, ces instantanés de la vie de saint François, a écrit de lui qu’il était « peut-‐être le plus grand saint que l’Occident ait donné au monde » : « C’est le christianisme dans toute sa fraîcheur matinale. » Et
Malraux : « S’il n’y avait pas saint François d’Assise, le christianisme ne serait pas le même. Il serait le même dans la foi, pas dans le développement historique. » Le choix du nouveau pape est tout sauf indifférent. Lui que les « cardinaux sont allés chercher à l’autre bout de la terre », comme il dit, ne peut pas être plus imprégné de culture occidentale que par ce choix qui traduit un enracine ment dans la terre européenne, cette terre sur laquelle François d’Assise, dépouillé de tout et emporté par la maladie, s’est finalement couché pour mourir, au début de l’automne 1226. Le lendemain de son élection, le pape présidait dans cette même chapelle Sixtine, où s’étaient réunis les cardinaux électeurs, sa première messe de pontife. « Notre vie est chemin, dit-‐il dans son homélie ; si nous nous arrêtons, quelque chose ne va pas. » L’Église, ajoute-‐t-‐il, se bâtit sur du solide, avec des « pierres vivantes ». « Que se passe-‐t-‐il si nous n’édifions pas sur la pierre ? Il arrive ce qui arrive aux enfants quand ils font des palais de sable, tout s’écroule. » N’est-‐ce pas la doctrine même de François d’Assise, lui qui a commencé sa mission d’évangélisateur en ramassant des pierres pour restaurer des églises ? Avant d’être apôtre, il est bâtisseur. Il a 25 ans et quelques disciples quand il se lance dans son aventure spirituelle : des moines bienveillants lui offrent une chapelle en ruine. Celle-‐ci avait été édifiée au IVe siècle par des pèlerins au retour de Terre sainte. Ils l’avaient appelée Notre-‐Dame-‐des-‐Anges. À la fin du XIIe siècle, il n’en restait presque rien. C’est là que le jeune François va fonder sa communauté de frères et vivre pieusement avec eux dans ces lieux qu’il baptisera “la Portioncule”. L’histoire se confond ici avec la parabole. Une fois bâtie l’église et réunis les frères, encore faut-‐il la bénédiction pontificale. L’été 1210, à 28 ans, il décide de partir pour Rome à la rencontre du pape Innocent III. Il convainc le “seigneur pape” de lui donner sa bénédiction pour marcher et évangéliser. Est-‐ce donc un temps serein pour une Église toute-‐puissante dont les réseaux de monastères sont en pleine expansion ? Bien au contraire, rappelle Johannes Joergensen, l’un des premiers biographes de François d’Assise, « ni le siècle de la Réforme ni l’époque de la Révolution n’ont été plus hostiles au pape et à l’Église que les premières années du XIIIe siècle » : le pape est insulté, outragé, tantôt enfermé chez lui, tantôt expulsé de Rome ; à Assise même les habitants préfèrent incendier la citadelle impériale plutôt que d’y voir le pontife. Le calendrier chrétien a été remplacé, les sectes et les hérésies se répandent partout. Ces lectures, cette histoire, le nouveau pape les connaît par cœur . Pape des pauvres et pape des humbles, il sait quelle hostilité, quel scepticisme il va rencontrer dans notre société occidentale du « grand bazar postmoderne », pour reprendre la formule de Jean-‐Christophe Rufin. De quoi aurait-‐il peur ? Ni du sarcasme médiatique ni du fanatisme barbare. Mais voyez quel soin il a pris d’annoncer sans retard son désir de renforcer son dialogue avec le judaïsme, comme si les catholiques avaient à apprendre des juifs l’exemple de la résistance aux persécutions. En se référant à François d’Assise et à amour de la pauvreté et de la nature, il désarme le procès d’intention, tout en sachant qu’il va devoir, le premier, « marcher sans s’arrêter ». Les Jésuites qui ont évangélisé l’Amérique latine ne se sont jamais arrêtés. L’élection de ce nouveau pape traduit-‐elle le basculement de l’Église de son coeur européen vers l’Ouest et le Nouveau Monde ? Certes. Mais si le continent latino-‐américain compte désormais deux fois plus de fidèles que le nôtre, où est la nouvelle terre de mission ? Elle est en Europe, aux origines de la catholicité. L’Europe n’est pas laissée à l’abandon : au contraire, elle est à reconquérir. C’est tout le sens de cette élection. Et celui du choix par le pape de ce prénom de bâtisseur et de missionnaire.
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L’ordre légitime est du côté des manifestants ! par Christian Vanneste Président du R.P.F
Le pouvoir politique et médiatique actuel est occupé par les trublions de Mai 68 et ceux qu’ils ont formés idéologiquement puisque, dans le pays de la droite la plus bête du monde, celle-‐ci a abandonné l’éducation et la culture à la gauche. Le résultat, c’est le nombre des libertaires, maoïstes et autres trotskistes qui, devenus détenteurs de confortables pouvoirs, diffusent et imposent l’idéologie socialo-‐bobo, un mélange de dynamitage des valeurs
inscrites dans la Nation française au nom d’une supposée liberté sans rivage et de répression de la liberté au nom d’un prétendu ordre républicain. Le passage en force et à contretemps de la loi sur le mariage homosexuel sous prétexte que le Président l’avait annoncée dans son programme appartient au dynamitage : les Français n’ont pas élu Hollande pour ses « 60 mesures » et sont d’ailleurs majoritairement hostiles à l’adoption par des homosexuels. L’hostilité déterminée d’une partie importante de la population à ce projet devrait inciter celui qui est le Président de tous les Français à plus de prudence. Je sais pour l’avoir vécu que jamais Sarkozy n’a voulu se mettre dans une situation qui fasse descendre un million de personnes dans la rue. Mais c’est là qu’apparaît le second visage de nos soixante-‐huitards. Hier, je n’ai pas eu le sentiment de vivre dans un pays démocratique. La démocratie suppose le respect des opinions et de ceux qui les expriment. Depuis le début du débat sur le mariage homosexuel, le pouvoir fait preuve d’un mépris abyssal pour les opposants à cette loi. D’abord, il a voulu et veut toujours en minimiser le nombre. Mais le mépris a un autre visage : celui, casqué, de la dissuasion et de la répression policières. Au point qu’on peut s’interroger : y a-‐t-‐il eu des esprits assez tordus pour penser qu’un dispositif policier installé comme une nasse conduirait à des violences dont on accuserait ensuite des extrémistes de droite, ce qui permettrait de faire passer le gigantisme de la manifestation au second plan. Le résultat doit les décevoir : lorsqu’on voit un membre des forces de l’« ordre républicain » asperger de gaz lacrymogène des Français agitant le drapeau national et chantant la Marseillaise, on se dit qu’il le fait au nom de celui qui favorise, à tous les niveaux, le désordre familial dont certains ont fêté l’avènement en brandissant des drapeaux étrangers. Il s’agit, maintenant, de transformer l’essai en faisant pression sur les élus pour obtenir une victoire législative ou un retrait du texte. Les slogans de dimanche n’étaient plus seulement en faveur de la famille et du droit des enfants. Ils visaient clairement le chef de l’État. Mais, paradoxalement, on sentait bien que l’ordre légitime était de leur côté pour restaurer des valeurs essentielles comme celle de la famille, des valeurs qui rassemblent et non qui divisent. La succession d’orateurs de convictions, de croyances, et même d’ « orientations sexuelles » différentes a souligné combien le rassemblement, le « vivre-ensemble » étaient au cœur de la manifestation. En descendant les Champs-‐Élysées, puisque nous n’avions pas pu les remonter comme ceux qui, en 68, avaient sauvé la République, je me disais que nous avions le même but que nos prédécesseurs, à un détail près : aujourd’hui, le pouvoir n’est plus à préserver mais, au contraire, à contester pour garantir un ordre juste. Des députés anti-mariage gay veulent une commission d'enquête Le Point.fr -‐ Publié le 27/03/2013
Quelque 200 élus de droite et du centre réclament des éclaircissements sur le déroulement de la Manif pour tous qui a eu lieu dimanche. Les députés de l'Entente parlementaire pour la famille, opposée au mariage gay - ici Hervé Mariton, Philippe Gosselin et Jacques Myard -, "se réjouissent", dans un communiqué, "de l'immense succès de la manifestation de dimanche dernier". Photo © Sipa
Les déput és de l'Entente parlementaire pour la famille, opposée au mariage gay, ont demandé mercredi la création d'une commission d'enquête sur les conditions du déroulement de la manifestation anti-‐mariage homosexuel de dimanche. Les quelque 200 élus de droite et du centre formant l'Entente parlementaire pour la famille "se réjouissent", dans un communiqué, "de l'immense succès de la manifestation de dimanche dernier".
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Mais, "déplorant les conditions dans lesquelles elle s'est déroulée et considérant que le gouvernement n'a pas pris, volontairement ou non, la mesure du mouvement de contestation, ils déposent une proposition de résolution visant à la création d'une commission d'enquête sur les conditions du déroulement de cette manifestation". Jeannette Bougrab, ancienne secrétaire d’Etat à la jeunesse : « je ne connais pas d’islamisme modéré »27 mars 2013 | par: Dreuz Info
Attention, voilà de dangereux islamophobes. Ces citations ne sont pas nouvelles mais il convient de les rappeler à intervalle régulier tandis que des flics de la pensée comme Aymeric Caron et sa clique tentent de diaboliser les 75% de Français qui se méfient de l’islam. Quelques unes des citations sont peut-‐être déformées (je n’ai pas trouvé toutes les sources), mais elles n’annulent en rien l’essentiel. JPG. CITATIONS DIVERSES :
Jeannette Bougrab, secrétaire d’Etat à la jeunesse : Je ne connais pas d’islamisme modéré. Vladimir Poutine : Bientôt la France sera la colonie de ses anciennes colonies. Alija Izerbegovic, ancien Président de l’Etat européen de Bosnie : Il n’est en effet pas possible qu’une paix ou qu’une coexistence ait lieu entre la Religion islamique et les institutions sociales et politiques non islamiques. Il n’y a pas de principe de laïcité. Alain Gerin, député communiste : Aujourd’hui limiter l’immigration y compris régulière devient vital face à une situation intenable et explosive dans des centaines de villes populaires. Sir Bertrand Russel, Prix Nobel : L’islam et le bolchevisme ont une finalité pratique dont le seul but est d’étendre leur domination sur le Monde. Eric Zemmour : Nous avons connu en France l’alliance du trône et de l’autel, du roi et de l’église. Nous voyons aujourd’hui se mettre en place l’alliance du marché et du minaret. Faites accoster des clandestins sur des plages françaises. Il ne peut rien leur arriver. L’état est impuissant. Les passeurs disent merci à la justice française. Georges Marchais : La poursuite de l’immigration pose de graves problèmes. Il faut les regarder en face et prendre rapidement les mesures indispensables. La cote d’alerte est atteinte […] C’est pourquoi nous disons : il faut arrêter l’immigration, sous peine de jeter de nouveaux travailleurs au chômage. Michel Rocard : La France ne peut accueillir toute la misère du monde. Giscard D’Estaing : Ce type de problème actuel se déplace de celui de l’immigration vers celui de l’invasion. De Gaulle : Nous sommes un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine, et de religion chrétienne. Essayez d’intégrer de l’huile et du vinaigre. Agitez la bouteille. Au bout d’un moment, ils se sépareront de nouveau. Les Arabes sont les Arabes, les Français sont les Français. Vous croyez que le corps français peut absorber dix millions de Musulmans, qui demain seront peut-être vingt millions et après-demain quarante ? Houari Boumediene, président algérien : Dès 1974, lors de la conférence islamique affirme que ” Le ventre fécond de nos femmes nous permettra de conquérir l’Europe et le Monde ”, et à l’ONU : ” Des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Ils n’iront pas en tant qu’amis. Ils iront pour le conquérir. Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire”. Erdogan, premier ministre de Turquie : Les mosquées sont nos casernes, les coupoles nos casques, les minarets nos baïonnettes et les croyants nos soldats.
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Cheik Al-Qaradawi, président du Conseil européen de la fatwa et de la recherche structure juridique mère de l’UOIF : L’islam retournera en Europe en conquérant et en vainqueur. Malika Sorel, écrivain algérienne, membre du Haut comité à l’intégration, auteur du livre Immigration-Intégration : Nous devons rompre avec l’idéologie victimaire qui inspire toute notre politique d’intégration, et qui a échoué. On demande aux peuples européens de disparaître ; c’est une entreprise terrifiante ! Xavier Lemoine, maire de Montfermeil : Il est nécessaire d’ouvrir les yeux de ceux qui ne vivent pas ou qui ne veulent pas voir ce que nous vivons dans un certain nombre de nos quartiers, d’apaiser la désespérance et l’exaspération des populations qui se sentent étrangères chez elles, et de venir au secours et en aide à ceux qui sont submergés et assistent impuissant à la prise d’otage de populations entières. Gilles Bourdouleix : L’immigration économique ? Avec notre taux de chômage, ça n’est plus possible. Quant à l’immigration sociale, il faut y mettre un terme pour résorber nos déficits. Ces gens viennent sur notre territoire pour bénéficier de notre protection sociale avec la complicité de notre administration : on trouve sur les sites du gouvernement toute la liste des aides sociales ! C’est d’un protectionnisme migratoire que la France a besoin ! Yvan Rioufol : Le pays ne tourne plus rond quand il fait appel à des extra-européens pour répondre aux 500.000 emplois vacants tandis que 2.7000.000 chômeurs sont aidés par une solidarité nationale épuisée. Claude Guéant : La France est un pays ouvert, mais elle n’a pas vocation à accueillir des étrangers pour en faire des chômeurs. Jeune Tunisienne de 20 ans vivant à Nice : Ce que l’on appelle l’islam radical, c’est l’islam tout court ; le reste, c’est un islam laxiste. Mgr Abba Athanasios, chef de l’église copte orthodoxe : Il y a un plan d’islamisation de la planète. Rasmussen, Premier ministre Danois : Nous avons un très haut niveau de prospérité au Danemark. Nous serions obligés de l’abandonner si des gens n’ont qu’à mettre le pied dans la porte pour obtenir des avantages financiers sans avoir d’abord contribué à l’économie. Christopher Caldwell, écrivain : Un jour en Europe, l’Islam sera assez puissant pour que les Européens regrettent d’avoir croisé son chemin. Bassan Tibi, sociologue syro-‐allemand : Le problème n’est pas de savoir si une majorité d’Européens sera islamisée, mais plutôt quel Islam est appelé à dominer l’Europe. Jacques Ansquer, président de la Banque alimentaire des Bouches du Rhône et rapporté par La Provence le 28 juin dernier : Nous ne sommes plus dans une situation de non-droit, il y a désormais des zones régies par un autre droit que le nôtre. Renaud Camus, écrivain : Aucun épisode depuis quinze siècles, ni la guerre de cents ans, ni l’occupation allemande n’ont constitué pour la patrie une menace aussi grave, aussi fatale, aussi virtuellement définitive en ses conséquences que le changement de peuple. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © stormopzee pour www.Dreuz.info NDLR : Quand les aveugles ( où complices ? ) qui se succèdent au gouvernement depuis 40 ans vont-ils ouvrir les yeux et prendre les mesures qui s’imposent ? NE PAS OUBLIER : DE TRANSMETTRE CET HEBDO A TOUS VOS AMIS QUI POSSEDENT
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En Belgique : Le problème Rom, par Patrick Sessler L’Union Européenne met un fonds européen de 26,5 milliards d’euro à la disposition des états membres pour financer l’intégration des Roms. En 2011, la Commissaire européenne aux Droits de l’Homme, Viviane Reding, s’étonnait que seulement 100 millions d’euros avaient été utilisés et en concluait qu’il fallait faire mieux. Qui sont les Roms? Le Commissariat européen à la Justice les définit comme suit : «Comme il est communément d’usage dans les discussions et documents politiques de l’UE, le terme «Roms» fait ici référence à divers groupes d’individus qui se décrivent eux-mêmes comme Roms, Gitans, Gens du voyage, Manouches, Ashkalis, Sintis, etc. L’utilisation de ce terme ne cherche en aucune manière à minimiser la grande diversité des nombreux groupes et différentes communautés Roms, pas plus qu’il ne vise à véhiculer des stéréotypes». «En Europe, la population Rom totalise entre 10 à 12 millions de membres, dont 6 millions au sein de l’UE». Les documents historiques révèlent la présence de ces communautés en Europe à partir d’il y a 500 à 600 ans. Leur origine n’est pas clairement déterminée, on cite généralement l’Inde. Pourquoi les Roms posent-‐ils problème? On peut s’étonner du fait que l’Union Européenne a dû créer ce fonds au montant astronomique pour l’intégration d’une communauté présente depuis des centaines d’années en Europe. On ne peut que constater que ces populations ne se sont donc jamais intégrées dans les cultures et les pays où elles se sont établies. D’autre part, il faut certainement suivre le Commissariat européen à la Justice lorsque celui-‐ci souligne que les Roms «subissent des préjudices et sont quotidiennement exposés à l’intolérance, à la discrimination et à l’exclusion sociale. Marginalisés, ils vivent dans des conditions socio-économiques extrêmement défavorables». Il faut donc être prudent et éviter les stéréotypes. Cependant, certaines personnalités se sont exprimées ces derniers temps en termes sévères à l’égard des Roms, laissant penser que les Roms eux-‐mêmes seraient peut-‐être responsable de leur image négative et de leur inintégration: Selon l’Officier de Justice de Arnhem aux Pays-‐Bas, M. Van Elsdingen, «presque tous les Roms sont criminels», «Dans la communauté des Roms, des Tziganes, la criminalité est considérée comme normale. Quelques-uns d’entre eux ne sont pas criminels, les autres le sont», «Lorsque nous parlons de supporters de football qui ne se comportent pas bien ou de criminels Marocains, nous faisons allusion à des exceptions parce que la plupart des supporters de football et des Marocains ne sont pas comme ça. Mais il n’en est pas ainsi en ce qui concerne les Roms. L’activité principale de la communauté Rom est de commettre des actes criminels. Commettre des cambriolages est considéré chez-eux comme une activité tout à fait normale. Ils se défient de notre culture, ce que nous ne pouvons pas accepter». Propos extrêmement sévères de la part de cet Officier de Justice qui ont fait l’objet d’une plainte pour discrimination et racisme de la part des représentants de la communauté Rom (pour la petite histoire, le Ministère Public a considéré que ces propos n’allaient pas trop loin et l’affaire s’est terminée par un acquittement). Même si les propos incriminés paraissent presque caricaturaux, il est permis de penser que l’Officier de Justice a basé son opinion sur son expérience des cours et tribunaux. Voilà un exemple étonnant où un stéréotype reflète peut-‐être une certaine réalité. Nous observons que ceci n’est pas un cas isolé. Certains représentants de l’autorité policière, de justice ou politique, apparemment excédés, hésitent de moins en moins à s’exprimer de façon extrêmement critique vis-‐à-‐vis de ces communautés Roms. Le chef de la section cambriolage de la police du canton de Genève en Suisse, Jean-‐François Cintas, n’y vas pas de main morte: «Si à Genève vous rencontrez deux jeunes gitans, il y a 99% de chance qu’ils détiennent un tournevis dans leurs poches de pantalons» (in Le Temps, samedi 25 février 2012). On voit clairement que la question de l’intégration des Roms est épineuse parce qu’elle baigne dans un climat de préjugés et de stéréotypes d’une part, mais que d’autres part certains comportement commencent à être mis en lumière par des personnalités responsables de l’ordre public et que, c’est un constat, ces comportements semblent conforter certains préjugés et stéréotypes. Par ailleurs, les l’Union Européenne n’a semble-‐t-‐il pas ou insuffisamment tenu compte de l’existence des Roms lorsqu’elle s’est ouverte aux pays où vivent les Roms. Le principe de libre circulation des biens et des personnes est un principe fondateur de l’Europe, mais il faut constater que dans certains cas, ce principe pose de grands problèmes, comme c’est le cas pour les Roms. Plus fondamentalement, l’intégration est une question de changement de mentalité, de la part des non-‐Roms, mais aussi des Roms eux-‐mêmes, afin qu’ils ne donnent plus, ou moins, prise à la critique et donc à la stigmatisation.
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Tout ce qui se dit sur les Roms n’est pas vrai, mais tout n’est pas faux non-‐plus. L’argent n’a jamais imposé l’intégration de populations dont les valeurs diverges d’avec celles du pays d’accueil. C’est le constat généralisé aujourd’hui: l’intégration est un échec en ce qui concerne l’immigration non-‐européenne (même en ce qui concerne la deuxième et la troisième génération, voire plus). Les Roms sont en Europe depuis des centaines d’années et ne se sont jamais intégré aux pays où ils se sont installés. Il s’agit là également d’un échec, mais d’une toute autre nature. La question qui se pose, pour les Roms sans doute plus que pour les autres catégories est la suivante: ont-‐il envie de s’intégrer? Les intégrer de force ne serait pas de nature très démocratique. Alors que faire? Les 26,5 milliard d’euro prévu par l’Europe pour l’intégration des Roms serviront-‐ils a quelque chose? Faut-‐il revoir certains aspects de la réglementation européenne? Brimer toute critique et nier certains faits sert-‐il la cause des Roms? Peut-‐on stigmatiser les contribuables européens qui considère que ces montants sont scandaleusement élevés et ne serviront à rien? Autant de questions à se poser sur un des problèmes les plus complexes auquel l’Union Européenne a été confrontée depuis sa création. L’avis d’une star de la politique en Flandre sur les Roms: attachez vos ceintures Le Bourgmestre de Gand, le socialiste Daniël Termont (réélu triomphalement le 14 octobre dernier) brise tous les tabous: «S’il vous plait, ne montrez pas votre bon cœur, même si vous êtes touché par tant dans de douleur. Ne logez pas les Roms, ne leur donnez pas de couvertures, ni de soupe, parce que plus vous les aidez, plus ils viennent à Gand ett notre ville affiche complet. [... ] «Je comprends que les gens veulent montrer leur bon cœur et le mien saigne souvent mais cela incite les Roms à venir ici de plus en plus nombreux» [...] «Il y en a des milliers qui s’intègrent un peu, mais il y en a de nombreux autres qui ne respectent ni les normes ni les valeurs qui sont les nôtres. Ils font leurs besoins dans la rue ou dans les parcs. Ils sont souvent dépourvus de formation scolaire et ne parlent pas notre langue. Ils commettent des vols dans les magasins, font les pickpockets, font du tapage nocturne, des cambriolage, de la prostitution, des déversages illégaux d’immondices et toutes sorte d’autres faits de petite criminalité» [...] «une maison qui reste vide une semaine est immédiatement occupée». Préjugé ou reflet de la réalité? Populisme électoral ou analyse factuelle? Intégration possible ou impossible? La question doit-‐être posée au Bourgmestre de Gand et aux Gantois, évidemment. Une chose est sûre, la réalité sur le terrain est très éloignée des théories concoctées dans la chaleur des bureaux de la Commission européenne. François Hollande, le Président qui se déplace avec 1 000 CRS
Par Pierre de Bellerive le 29 mar, 2013 Nouvelles de France
C’est presque sans précédent. Ils étaient entre 800 et 1 000 CRS pour protéger François Hollande du rassemblement pacifique de La Manif Pour Tous qui a réuni près de 6 500 personnes devant le siège de France Télévision . Le quartier était bouclé par les forces de police. « Hollande ta loi, on n’en veut pas ! », « Hollande, démission ! », « Casse-toi, Taubira ! », « François, vas-y, prouve que tu existes ! » ou encore quelquefois « Hollande dictateur ! », pouvait-‐on entendre dans la foule des manifestants.
Jamais un Président de la république n’avait eu besoin de tant de protection pour une apparition télévisée. Il faut souligner que, depuis quelques temps, les membres du gouvernement subissent la colère d’un certain nombre de français opposés au « mariage » homosexuel, qui estiment ne pas être écoutés. À l’occasion de leurs déplacements, les ministres sont régulièrement accueillis par des sympathisants de La Manif Pour Tous. La dernière action en date, à Lyon, a été très remarquée puisque le Garde des Sceaux, Christiane Taubira, a été particulièrement chahutée après avoir assisté à un opéra. Dimanche, des marcheurs de La Manif Pour Tous ont également montré leur exaspération en se confrontant aux CRS sur la place de l’Étoile et les Champs-‐Élysées. Une contestation qui monte dans l’opinion. Selon un sondage Ifop pour le JDD paru il y a quelques jours, François Hollande tombe à seulement 31% de personnes satisfaites de son action. Aujourd’hui, 68% des personnes interrogées, contre 62% en février, se déclarent mécontentes « de François Hollande comme Président de la république ». Une impopularité record pour un chef de l’État et son gouvernement, dont le déploiement policier sans précédent devant France Télévision est l’illustration.
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Ce Plat Président Qui Est Le Nôtre… On aurait dû se méfier…Le nom annonçait un problème de niveau. Jusqu’à présent, la digue qui le séparait du pouvoir le protégeait. Depuis dix mois, elle a cédé. Les eaux plates ont envahi la terre plate insoucieuse des tempêtes du grand large, mais elles ne rassurent pas sur le sort du pédalo, en cas de Tsunami. Bref, on a eu hier soir à la télévision d’Etat, un Hollande d’une « platitude » tragiquement en dessous des risques, un petit président affichant une sérénité béate,
affirmant une autorité que l’on ne proclame qu’en son absence, parlant de cap dans un morne paysage sans horizon. Une île demeure visible dans cette submersion : le mariage et l’adoption pour n’importe qui. C’est en fait plutôt une bouée à laquelle il s’agrippe pour dire qu’il applique son programme, un leurre pour tenter de faire oublier qu’il n’avait rien compris à la situation économique et sociale, une tranche de salami destinée à apaiser les nouveaux bouffeurs de curés sans faire gerber la France profonde, avec la PMA et la GPA, qui viendront plus tard. C’est aussi un triple aveu : la préférence pour le conjoncturel, l’immédiat, la mode et l’incapacité à se hausser à l’étage du structurel, de l’essentiel, du durable ; la totale indifférence au spirituel, qu’il n’évoque à propos des opposants que comme une notion qui lui est totalement étrangère ; une obsession du nivellement qu’il appelle égalité et qu’on entend « médiocrité ». Dans le fond, sa seule « bravitude » consiste à pousser la « platitude » à un pareil niveau. Tous les pays qui s’en sortent ont, souvent dans les décennies précédentes et sous des gouvernements de gauche parfois, procédé à des réformes structurelles de grande ampleur pour la dépense publique, la fiscalité, le travail, les retraites et l’organisation administrative du territoire. François est venu avec sa boîte à outils, enfin, sa lime à ongles, sa pelle en plastique, et son tube de colle. Il pouvait dénoncer l’absence de courage de ses prédécesseurs et oser être, comme l’a justement dit Pujadas, mi-‐Churchill, mi-‐Schröder. Ah, le vertige ! surtout pas ! Il ne savait pas l’installation dans un pareil état, en accuse les gouvernements précédents, et se livre ensuite à un bricolage, dont on peut penser qu’il ne réparera rien, qu’il agrandira les fuites, et laissera cependant une facture exorbitante. Il veut de la croissance, mais entre les mesures qui diminuent le pouvoir d’achat de ceux qui ont un vrai travail et bénéficiaient des heures supplémentaires défiscalisées et celles qui veulent l’augmenter en faisant croître l’assistance, entre l’accentuation de la pression fiscale sur les entreprises et l’usine à gaz du Crédit d’Impôt-‐Compétitivité-‐Emploi, il n’a pas choisi entre l’offre et la demande, alors que le choix de la première est vital, notamment pour notre industrie. De cette absence de vision à long terme est particulièrement symbolique le déblocage de l’Epargne de Participation. Il s’agit d’augmenter artificiellement la consommation pendant un temps limité avec de l’argent destiné à l’investissement à long terme ou à compenser un changement structurel de situation. Comme pour l’allocation de rentée scolaire, rien ne dit que cela ne favorisera pas les importations, alors que le bâtiment, auquel était prioritairement réservée la liquidation de cette épargne, soutient l’emploi national. Mais cette mosaïque incertaine de mesures confuses et contradictoires, les unes détricotant l’ouvrage du prédécesseur, les autres le poursuivant comme c’est le cas pour le financement des retraites, les troisièmes mêlant les messages politiques aux solutions économiques, n’a qu’ un objectif, à force d’emplois artificiels et d’injections éphémères de pouvoir d’achat : avoir d’ici la fin de l’année un mois où le nombre des chômeurs sera en baisse. Aucun des obstacles structurels à la croissance de notre pays n’aura été surmonté ! Le seul fil conducteur, la seule logique du discours, c’est de couper les têtes qui dépassent : la « platitude », la « platitude », vous dis-‐je ! Même l’universalisme de la politique familiale sera remis en cause. La richesse, dans ce pays doit être punie ! Elle est par nature coupable. Au pays de PPR et de LVMH, quelle intelligence ! Chirac, c’était le paraître. Il n’a rien fait, mais il a revêtu l’habit. Sarkozy faisait, parfois défaisait et souvent confondait action et agitation communicante, mais il n’a jamais tant paru Président que depuis qu’il ne l’est plus. Hollande ne fait, ni ne paraît : ni par le ton, ni par le propos, encore moins par son contenu, il n’EST le Président des Français. Il a choisi d’ignorer les uns, de stigmatiser les autres, de les diviser au lieu de les représenter en les rassemblant. Pour cela, il lui fallait un courage et une hauteur de vue capables de proposer aux Français un grand dessein et de le réaliser avec eux, sans tenir compte des agitateurs de brasserie. Il a choisi, au contraire, de rester dans le brouillard du plat pays des politiciens professionnels. Christian Vanneste, Président du R.P.F.
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Attention, François Hollande, les Français n’en peuvent plus ! 300.000 manifestants comme l’affirme la préfecture de police – et le journal Le Monde qu’on a connu plus critique face aux chiffres officiels… – ou 1,4 million selon les organisateurs ? C’est loin d’être l’essentiel, même si l’on peut s’interroger sur le sérieux et la crédibilité d’un ministre, Arnaud Montebourg en l’espèce, qui, lui, parle d’une « poignée de manifestants »…
Ne nous focalisons pas sur cette polémique récurrente. Pas plus d’ailleurs sur les incidents qui ont émaillé le rassemblement. Et l’utilisation pour le moins disproportionnée du gaz lacrymogène contre des manifestants simplement venus dire, dans leur immense majorité, leur exaspération de n’être pas seulement ignorés mais méprisés. Et comment ne pas les approuver quand on entend Manuel Valls, d’habitude mieux inspiré, se contenter d’un « il y a une mobilisation forte, mais il y a une majorité forte pour le mariage homosexuel » en forme d’épilogue. À croire qu’il est devenu, comme ses collègues, aveugle à l’exaspération qui gagne le pays, sourd aux inquiétudes qui taraudent les Français. On ne peut pas faire comme si rien ne s’était passé ce dimanche, avenue de la Grande-‐Armée à Paris. On ne peut faire l’impasse sur un mécontentement qui va bien au-‐delà du « mariage pour tous ». On ne peut ignorer la colossale impopularité du chef de l’État. En 1984, François Mitterrand avait su prendre acte de la mobilisation en défense de l’école libre. Faute de le faire aujourd’hui dans cette affaire de mariage gay, le chef de l’État joue avec le feu, s’exposant à ce que les revendications, les peurs, les angoisses des uns et des autres ne viennent se coaguler dans un vaste mouvement de rejet de sa politique et de sa personne. Les Français se sentent menacés dans leur quotidien par un chômage qui semble impossible à juguler, par les mesures envisagées en matière de retraite ou d’allocation familiale. Ils se sentent agressés par un discours au seul service de minorités, de lobbies et d’une immigration vécue, à juste titre, comme une menace pour ce qu’ils sont, ce qu’ils croient, ce à quoi ils sont viscéralement attachés. Ils finissent de perdre le peu de confiance qu’ils avaient encore dans une classe politique dont, jour après jour, ils découvrent, accablés, la médiocrité, le sans-‐gêne, l’irresponsabilité, les passe-‐droits, la cupidité. Les Français n’en peuvent plus. Ils l’ont dit pour certains ce dimanche. Les autres n’en pensent pas moins. Robert Ménard Boulevard Voltaire
Les primes des fonctionnaires mutés en outre-mer : un coût important et des effets pervers Par Eric Martin Nouvelles de France
Les primes des fonctionnaires d’État mutés en outre-‐mer représenteraient 1,3 milliard d’euros chaque année : indexation, prime d’éloignement, prime de déménagement, aide au logement plafonnée… À Saint-‐Pierre-‐et-‐Miquelon, les primes permettent même de multiplier ses revenus par trois, à Tahiti de les augmenter de 84% et dans les Antilles de 40% ! Mais en Nouvelle-‐Calédonie, l’indexation serait responsable de la hausse du coût de la vie. Stéphane Hénocque, un jeune fonctionnaire fondateur du parti politique Convergence Pays, explique que « les fonctionnaires sont extrêmement nombreux en Nouvelle-Calédonie, très bien payés grâce à l’indexation, et du coup, l’économie est artificiellement surrévaluée ». Autrement dit, tout est horriblement cher et « les petites gens n’arrivent pas à suivre ». Depuis 1979 et Valéry Giscard d’Estaing, personne n’a osé réouvrir le débat sur les primes accordées aux fonctionnaires d’État mutés en outre-‐mer…
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Éric Zemmour : Hollande, le clientélisme et le laxisme c’est maintenant ! Par Eric Martin le 25 fév, 2013 Nouvelles de France
Le Zemmour du vendredi. « Qui paye ses dettes s’enrichit, vous connaissez le fameux proverbe, et François Hollande connaît le proverbe mieux que personne. Lui paye ses dettes électorales. Il a conservé intacts ses réflexes d’élu local socialiste : pas une clientèle qui ne soit remerciée, pas un lobby qui ne soit récompensé, pas un proche qui ne soit aidé. Il n’oublie rien, ne néglige rien, les copains d’abord : les anciens de la fameuse promotion Voltaire à l’ENA jusqu’à sa chère Ségolène dont les électeurs n’avaient pas voulu. Les électeurs, justement ! Il ne les oublie pas non
plus… Ceux de sa bonne ville de Tulle vont récupérer leur tribunal, les fonctionnaires ont été récompensés par la suppression du jour de carence que l’odieux Sarkozy avait osé leur imposer, les profs avaient été servis les premiers : jours de vacances supplémentaires, embauches, primes… Et ils se plaignent encore, les ingrats. Comme ces associations qui trouvent qu’on ne les arrose pas assez. Pourtant, le ministre de la Ville a fait son boulot, un rituel plan banlieues pour distribuer un peu plus d’argent à ces 15 000 associations jamais contrôlées. « Une machine sans compteur », avait dit, effarée, la Cour des comptes il y a quelques années. Il est vrai que les banlieues ont voté massivement pour le candidat socialiste. Hollande paye en cash et en symbolique. Puisque Valls a refusé d’humilier les policiers en les obligeant à délivrer un récépissé à ceux dont ils contrôlent l’identité, c’est Taubira qui s’y colle. Et elle le fait avec la générosité qui la caractérise. Après le « mariage pour tous », l’impunité pour tous. Après la risette au lobby gay trop longtemps discriminé, le câlin à ces jeunes injustement emprisonnés. Il ne faut pas exagérer et, pourtant, Taubira ouvre tout grand ses bras et les prisons en entonnant le célèbre refrain de la prison, école du crime, mais où les élèves arrivent déjà diplômés. Tant pis si la France est le pays où déjà 82 000 peines de prison ne sont pas effectuées et où 80% des jeunes auteurs de délits ne voient jamais de magistrats ni même de policiers… Tant pis si l’exemple anglais, récent, démontre que la plupart des condamnés profitaient de leur liberté imprévue pour commettre d’autres infractions… Tant pis si les victimes seront partagés entre la fureur et la peur. Les victimes n’ont pas voté Hollande, n’ont pas un lobby branché ou influent. Et puis, les places de prison, ça coûte cher. Il faut bien faire des économies. C’est la seule contrainte d’Hollande, mais elle est de taille. Elle l’oblige à être moins généreux qu’il ne le voudrait. En fait, le Président n’ignore pas que la majorité silencieuse est loin des lobbies qu’il bichonne ou des clientèles qu’il arrose. Il sait que 80% des Français les plus pauvres n’habitent pas dans les banlieues mais loin des grandes villes et tout prêt des usines qui ferment. D’ailleurs, il ne parle jamais de banlieues ni d’immigration mais de diversité. Il sait que l’électorat populaire attend une plus grande fermeté avec les voyous. Alors, il envoie Valls au charbon, pour faire de l’image et du son, menacer les délinquants qu’il ne mettra pas en prison. Bref, il fait son job de Président, comme disait son prédécesseur : équilibrer des roueries de politicien avec des habiletés de communicant. » VAL-DE-MARNE Égorgé dans le RER avec un tesson de bouteille Un homme d’une trentaine d’années a été mortellement blessé d’un coup de tesson de bouteille à la gorge, jeudi soir dans le RER C entre Paris et Choisy-‐le-‐Roi (Val-‐de-‐Marne), et un suspect a été interpellé. La victime, dont l’identité n’avait pu être établie vendredi matin, a été retrouvée vers 22 h 55 dans un RER, en gare de Choisy-‐le-‐Roi, avec une plaie béante et saignante à la gorge. L’homme a été conduit à l’hôpital Henri-‐Mondor à Créteil, où il est décédé vers minuit. Dans le train entre Paris et Choisy-‐le-‐Roi, la victime aurait eu, pour un motif inconnu, un différend avec un autre homme qui lui a porté un coup de tesson de bouteille à la gorge. L’auteur présumé des faits, âgé de 35 ans et connu des services de police, a été retenu dans le RER par un policier qui n’était pas en service. Il a été interpellé en gare de Choisy-‐le-‐Roi et se trouvait vendredi matin en garde à vue. Le service départemental de police judiciaire du Val-‐de-‐Marne a été chargé de l’enquête. Source: Le dauphine.com
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Pour l’UMP, Hollande est en rupture avec la France Par France Presse Infos -‐ Le Gaulois Les ténors de la droite ont tiré ce matin à boulets rouges sur la politique de François Hollande, accusant le chef de l'État d'être en rupture avec les Français et de ne pas avoir de stratégie pour faire face à la crise. "Les conditions sont hélas réunies pour une rupture profonde entre François Hollande et les Français", a estimé le président de l'UMP, Jean-‐François Copé, sur RTL, au lendemain d'une intervention télévisée du chef de l'État. Le chef du principal parti de droite a notamment accusé François Hollande de ne pas avoir de stratégie face à des indicateurs économiques "terriblement aggravés" et de faire preuve d'une "incroyable légèreté" face à l'insécurité. "Je ne cautionnerai pas ces errements", a dit Jean-‐François Copé. "Il y a un décalage terrible entre celui qui est à l'Élysée et ce qui est en train de se passer dans le pays." Même analyse de la part de l'ancien Premier ministre François Fillon, rival malheureux de Jean-‐François Copé dans la bataille pour la présidence de l'UMP. "Ce que j'ai ressenti, c'est qu'il avait fait perdre 10 mois à la France et qu'il allait continuer", a dit François Fillon sur Europe 1. "Ca n'est pas un président qui combat la crise, c'est un président qui l'aggrave", a-‐t-‐il ajouté. "On sent monter une crise profonde, j'ai envie de dire une crise de régime". Avec Reuters La France offre 16 véhicules et 2 000 équipements militaires à l’armée malienne 30 mar 2013 source Maliweb.net
La France a offert vendredi 16 véhicules et 2 000 équipements militaires d’une valeur de 2,25 millions d’euros à l’armée malienne, a-t-on appris lors d’une cérémonie de remise tenue dans les locaux du ministère malien de la Défense et des anciens combattants.
Le montant des 16 véhicules s’élève à « 1 500 000 euros » et celui des 2 000 équipements militaires (composés notamment de chaussures, de tenues et tantes) est de »750 000 euros » , selon le directeur de l’ information et des relations publiques des armées du Mali, le lieutenant-‐colonel Souleymane Maïga, qui a ajouté que d’ autres dons de la France sont en vue dans les prochaines semaines. En recevant ce don des mains de l’ ambassadeur de France au Mali en fin de mission, Christian Rouyer, le ministre malien de la Défense et des anciens combattants, le général Yamoussa Camara, a indiqué que « ce don vient contribuer au renforcement des capacités opérationnelles de nos unités ». Xinhua NDLR : Et les Français pendant ce temps là doivent se serrer la ceinture ! MALI : Faiblesse de l’Armée, complaisance et négligence du Régime ATT : Les Cinq évènements qui ont conduit le Mali au chaos Du refus de combattre AQMI qui s’est confortablement installé au désert malien à la réception des ex-combattants de Kadhafi à Kidal en 2011 sans les désarmer en passant par la signature des accords d’Alger en 2006 qui démilitarisent le Nord du pays, le régime ATT s’est compromis tout seul. Les raisons de la dégradation de la situation sécuritaire au nord du Mali et la chute du régime ATT évènement par évènement ! Pour lire la suite, suivez ce lien : http://www.maliweb.net/news/politique/2013/03/29/article,136306.html
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Immigration : cela sera bientôt humainement insupportable !
Pâques aux tisons… Donnant un sens plus que macabre au dicton, le week-‐end pascal aura enchaîné les incendies dramatiques. À Saint-‐Quentin, c’est l’horreur absolue pour un père qui perd ses cinq enfants dans l’embrasement de sa maison. À Aubervilliers (trois morts et une dizaine de blessés, dont quatre graves), on découvre malheureusement un scénario devenu habituel dans les quartiers populaires de Paris et la banlieue. Et la nuit suivante, dans le même
département de Seine-‐Saint-‐Denis, le feu détruit, à Bobigny, 500 m2 de baraquements d’un campement de Roms, déjà incendié huit jours plus tôt. Et tout le monde de nous servir l’éternel couplet sur la misère, comme si la pointer du doigt là où elle crève les yeux suffisait à l’analyse et au règlement du problème. À Aubervilliers, les médias tentent bien d’appliquer la grille de lecture pour le prêt-‐à-‐penser, celle du méchant propriétaire qui prospère sur le dos du pauvre monde en laissant courir les rats. Mais madame Duflot, pourtant peu avare de clichés à la Daumier, ne marche plus dans ce coup-‐là. Ceux qui s’en sont tirés racontent : les squats, la drogue, la prostitution et ce qui les accompagne, bagarres et règlements de compte. Sans surprise, le maire explique qu’il s’agit essentiellement de familles d’immigrés, majoritairement Égyptiens et Tunisiens, « des gens qui sont arrivés dans la foulée des révolutions arabes », dit-‐il. Quant aux Roms, on parle de « tensions avec le voisinage de ce bidonville ». Forcément. Le brave Français qui a ramé toute sa vie pour s’acheter un pavillon au bord de l’autoroute est rarement heureux de voir prospérer une décharge sauvage au bout de son jardin. Sans parler des « heurts culturels », comme on dit chez les sociologues… Il faut imaginer ce que produisent en déchets et déjections cinq cents personnes entassées dans des baraquements. Mais tout le monde la ferme. Pas question de trouver des responsables. Le seul qu’on montre du doigt en ce lundi de Pâques, c’est le père de ces pauvres gamins dont on nous répète, de bulletin en bulletin, qu’il avait un peu picolé, ce qui en fait fatalement un suspect. Si en plus il est prouvé qu’il fumait devant ses gosses, alors il va finir en taule. Pour le reste, pour les clandestins, pour les squats, pour les Roms et leurs cloaques, silence. Qui va dire aux Français et à leurs voisins européens encore prospères que ce n’est que le début ? Que fatalement, la misère et le rêve d’un mythique eldorado vont jeter sur les routes des vagues de plus en plus fournies d’immigrés qui vont venir s’écraser aux portes de nos villes ? Qui va dire que cela sera bientôt humainement insupportable ? La Grande-‐Bretagne, jusqu’ici aboutissement de tous les rêves, prend des mesures drastiques pour freiner le phénomène. Il se peut qu’il soit déjà trop tard mais, au moins, elle les prend. Nous n’en sommes pas à la veille. La France, elle, se vide par le haut et se remplit par le bas. Sûre de sa générosité, en toute bonne conscience puisqu’elle a le cœur à gauche. Marie Delarue Boulevard Voltaire.
Les annonces de François Hollande vues de l'étranger Par Mathilde Golla Le Figaro .fr le 29/03/2013
Au lendemain de la prestation de François Hollande sur le plateau de France 2, les médias étrangers retiennent avant tout la taxe à 75% payée par les entreprises. «François Hollande affuble les entreprises d'une taxe à 75% sur les hauts salaires», titre le quotidien indien The Economic Time . «Hollande transfère l'impôt de 75% aux grandes entreprises», peut-‐on lire en une du journal espagnol Expansión . Le suisse Le Temps , dénonce la «nouvelle idée de François Hollande». «Empêtré avec ce sujet depuis des mois, François
Hollande s'en est sorti par une forme de pirouette en renvoyant la ‘responsabilité' sur les entreprises», déplore le journal helvète qui estime que «pour le reste, l'entretien était assez convenu et n'a guère réservé de surprises.» «Si tu ne parviens pas à taxer les riches du premier coup, essaie, essaie encore » CNN
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Pour le quotidien britannique des affaires Financial Times , «Hollande dit aux employeurs de payer une taxe à 75% (...), cette mesure (qui) était une des promesses au cœur de la campagne de François Hollande et qui lui a permis de mettre son prédécesseur, Nicolas Sarkozy, à la porte du palais de l'Élysée». Chez CNN, on ironise: «Si tu ne parviens pas à taxer les riches du premier coup, essaie, essaie encore». Hormis la taxe à 75%, François Brousseau de Radio Canada déplore qu'«on ne parle pas d'Europe, l'Europe n'existe pas, c'est de problèmes français qu'on va traiter avec des outils français». Enfin, pour The Telegraph, l'information qui a vraiment marqué la journée d'hier se situe ailleurs: le quotidien britannique évoque la plainte de l'actrice Julie Gayet suite à une rumeur diffusée sur Internet lui prêtant une liaison avec le président de la République...
S'il ne s'agissait que de Hollande...ces fondamentaux de l'économie auxquels les élites politiques françaises ne comprennent pas grand chose
La crise renforce encore le débat historique qui voit s'opposer des politiques économiques justifiées par des motifs politiques. Si nos élites avaient un peu plus conscience des réalités économiques de notre monde, ils tiendraient certainement un discours différent.
Atlantico : La France est depuis toujours le théâtre d’un affrontement idéologique sur les questions économiques qui bien souvient confinent à penser que les élites politiques et administratives qui dirigent notre pays font preuve d’une profonde inculture économique. Comment expliquer ce p hénomène ? Charles Beigbeder : Une première cause semble résider dans l'enseignement de l'économie au lycée où encore récemment l'économie de marché était illustrée par le trafic de drogue ou la prostitution... et où près de la moitie des professeurs de "sciences économiques et sociales" adhèrent aux thèses marxistes éculées du syndicat trotskiste APSES (Association des Professeurs de Sciences Economiques et Sociales). Ce phénomène étonnant s'aggrave bien entendu à l'université et dans certaines grandes écoles (ENA) dont les membres des cabinets ministériels et de la haute fonction publique sont tous issus. Ce problème pourrait être circonscrit si nos futures élites destinées à la sphère publique se confrontaient à la vie réelle à travers des stages ou des petits jobs dans des entreprises, mais hélas, il n'en est rien car ceci n'est pas pratiqué ni recommandé. Une seconde cause provient de la sphère médiatique. La principale école de journalisme (le CFJ, à Paris) s'est distinguée lors de la dernière présidentielle par son absence totale de pluralité politique : 100% des élèves ont voté à gauche, selon un sondage interne. L'enseignement des matières économiques y est évidemment assuré par des professeurs d'obédience marxiste, donnant ainsi aux futurs journalistes une vision erronée de la réalité. Le problème de l'inculture économique des décideurs publics ne serait pas dramatique dans un pays "normal" où l'emprise publique serait minoritaire, mais malheureusement en France, celle-ci représente plus de 56% du PIB... Les élites du secteur privé ne sont pas exemptes de responsabilité Apres tout, n'ont-‐elles pas cautionné ou laissé faire beaucoup des décisions économiques aberrantes dont souffre la France ? En savoir plus sur http://www.atlantico.fr/decryptage/ne-‐agissait-‐que-‐hollandeces-‐fondamentaux-‐economie-‐auxquels-‐elites-‐politiques-‐francaises-‐ne-‐comprennent-‐pas-‐grand-‐chose-‐684471.html#0MJTreoWhJ5PID4B.99
Evreux met à disposition un terrain municipal pour une grande mosquée Lu dans Paris-Normandie du 2 mars 2013 (extrait) "Le 20 février 2012, le conseil municipal a désigné le parking du 14-Juillet, un terrain de 5 000 m² situé face aux courts de tennis de La Madeleine, pour le mettre à dispositi on de la communauté musulmane et accueillir la future mosquée.(...)Ce terrain, situé sur la commune de Guichainville, appartient à la Ville d'Evreux." Le maire d'Evreux, Michel Champredon est membre du Parti Radical de Gauche.
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« J’étais le jouet sexuel de mon père homosexuel » 30 mars 2013 | par: Jean-‐Patrick Grumberg Andy, violé par ses deux pères depuis l’âge de 9 ans « Si mon père adoptif était dans une relation hétérosexuelle, mes plaintes auraient été entendues plus tôt », explique Andy, car « il semble que le conseil ne voulait pas être considéré comme homophobe. Ils préféraient être regardés comme « politiquement corrects » et laisser mes pères s’en tirer comme ça pour éviter toute répercussion » Les services sociaux ont obligé Andy Cannon à retourner vivre avec ses deux pères, bien que le personnel de Wakefield avait eu six preuves des
violences physiques et sexuelles subies par Andy sur plusieurs années, et il pense que les travailleurs sociaux l’aurait protégé de ses agresseurs s’ils n’avaient pas été gay. Dans un rapport accablant, la justice accuse les services sociaux de Wakefield de « folie et d’énorme manque de jugement » et d’avoir placé la victime dans une situation de « risque important », après avoir raté six occasions de permettre à Andy d’échapper à ses bourreaux. Drogué à l’ecstasy avant d’être violé Durant son calvaire Andy Cannon était drogué à l’ecstasy et au cannabis avant d’être violé par David Cannon et John Scarfe, ses deux pères, mais ses plaintes auprès des services sociaux ont été ignorées, et il a même été diagnostiqué comme ayant des troubles mentaux pour masquer la réalité. Andy Cannon est maintenant père de deux enfants, et il vit à Barnsley, South Yorks en Grande Bretagne. Il a renoncé à son droit à l’anonymat et a décidé de s’exprimer publiquement : « Je n’ai aucun problème avec les gays, pour autant qu’ils ne font pas ce que mon père m’a fait. Cela vaut aussi pour les couples hétérosexuels. » J’étais heureux quand papa et John ont été envoyés en prison Andy Cannon: « Les services sociaux auraient dû être là pour empêcher que cela arrive, mais ils ont tout simplement préféré cacher l’affaire sous le tapis. Bien sûr, j’étais heureux quand j’ai finalement été écouté et que papa et John ont été envoyés en prison. Mais leur condamnation a été bien trop légère comparé à ce qui m’est arrivé. » Andy Cannon: « J’ai fait de nombreuses overdoses dans le passé, et j’ai essayé de me tuer au moins à six reprises après ce qui s’est passé. J’ai fait une dépression il y a quatre ans, et il y a encore des jours où je pense que ma copine aurait une meilleure vie sans moi. » J’étais le jouet sexuel de mon père et de son partenaire Andy Cannon: « J’étais le jouet sexuel de mon père, et plusieurs fois j’ai pensé qu’il allait me tuer. Je me souviens avoir commencé à être victime d’abus sexuels à environ neuf ans. Rien n’avait été expliqué à mes sœurs où à moi. On ne savait pas qu’il était gay – son partenaire était juste un homme qui vivait avec nous ». Quand mon père était contrarié, il me battait, puis me violait Andy Cannon: « Quand je l’ai dit à des travailleurs sociaux, ils ne m’ont pas cru. Quand je rentrais de l’école, si mon père avait été contrarié par quelque chose, il me battait, puis, plus tard, il abusait sexuellement de moi. » Les deux pères ont finalement été arrêtés et inculpés après que M. Cannon fut réadmis aux urgences suite à un incident domestique, durant lequel il réussi à convaincre un infirmier qu’il avait été victime de mauvais traitements. Cannon et Scarfe ont été emprisonnés à Sheffield Crown Court en mai 2006 après avoir été reconnus coupables d’activité sexuelle sur enfant, et prise de photographies indécentes d’un enfant. Ils ont été condamnés à signer le registre des délinquants sexuels et interdits de travailler avec des enfants pour la vie. Le couple vit maintenant dans la région de Leeds. Après une bataille judiciaire de cinq ans, M. Cannon a reçu 25.000£ d’indemnisation du département social de Wakefield en raison des « procédures de soins » qui lui ont été donnés sur une période de sept ans. Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Jean-‐Patrick Grumberg pour www.Dreuz.info NE PAS OUBLIER : DE TRANSMETTRE CET HEBDO A TOUS VOS AMIS QUI POSSEDENT
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Organisation non gouvernementales (ONG) au Mali : Les nids de la magouille Si l’avènement de la démocratie au Mali a engendré la multiplication des ONG, il a aussi ouvert la porte à d’implacables escrocs qui, au nom du peuple, mobilisent les fonds des donateurs à leurs seul profit. Comme nombre de nos structures publiques, la gestion de ces ONG, laisse à désirer dans notre pays. Créées pour améliorer les conditions de vie des maliens qui vivent généralement en dessous du seuil de la pauvreté, ces structures, ne profitent qu’à un nombre très limité de nos concitoyens. Et, les stratèges de ces nids d’escrocs ne sont autres que leurs gestionnaires. Ceux-‐ci élaborent des projets lesquels, s’ils venaient à être réalisés, contribueraient sans nul doute à booster le développement. Mais seulement voilà, : le montage réussi de ces projets n’est qu’une manière pour jouir sans détour de financement. Et, une fois le financement acquis, commence la gabegie. Achats d’équipements, attribution de gros salaires, surfacturations à la pelle et seulement une exécution symbolique des taches… De nos jours, elles sont nombreuses les ONG maliennes à rapporter aux gestionnaires de grosses sommes d’argent. Certains coordinateurs d’ONG sont payés à plus de 500 mille francs CFA, sans compter les primes et autres avantages ainsi que les sous résultants des détournements et surfacturations. Plus grave, ces gestionnaires, en plus d’être trop bien payés, sont dotés de grosses voitures et, passent la plupart de leur temps à se balader de site en site, histoire de suivre les « réalisations ». Et certains, pour masquer leurs détournements, font tout pour que le délai imparti pour la fin des activités ne soit pas respecté. Cela, dans l’espoir de bénéficier d’un rallongement de budget de la part des bailleurs de fonds, lesquels font malheureusement plus confiance aux ONG qu’à nos gouvernants. Cela, malgré le fait que les ONG maliennes, pour la plupart sont de nos jours gérées par des personnages douteux. A titre d’exemple, une école fondamentale de Kalabancoro, financée par des bailleurs reçoit de ceux-‐ci (chaque année), plus de 10 millions de FCFA au nom de ses élèves considérés comme des enfants défavorisés, des orphelins et des démunis. Hélas, les sous destinés à entretenir ces enfants sont empochés par le promoteur qui bénéfice en outre, d’autres fonds dans le cadre de la micro finance. Il y a aussi le cas de cette ONG opérant dans la région de Sikasso, dans le domaine du maraîchage. A en croire nos sources, cette ONG est entrain de réaliser à moitié, des puits à grand diamètres à coup de millions tout en sachant que la qualité d’eau disponible dans le forage ne suffira pas pour entretenir les plantes. En conséquence, les femmes opérant dans ces périmètres ont, courant cette année, vu leurs plantes sécher par manque d’eau. Par ailleurs, des sacs de lait en poudre destinés à des nourrissons et gérés par la même ONG disparaissent régulièrement au sein de cette structure. Paradoxe, l’ONG en question est officiellement réputée pour son travail « bien fait ». Ce qui fait qu’elle est toujours financée par les bailleurs de fonds. Ainsi, gérer une ONG au Mali est devenu le souhait le plus ardent de tous. Il est à retenir également que nombre de leaders politiques qui concourent à l’obtention des financements ne pensent qu’à profiter de ces mannes pour nourrir leur parti. Conséquence : la plupart des ONG maliennes naissent et disparaissent sans poser d’actes concrets. Au Mali, la plupart des ONG sont créées pour enrichir une poignée d’individus et non pour améliorer les conditions de vie de nos concitoyens. Malick CAMARA Source : Maliweb.net NE PAS OUBLIER : DE TRANSMETTRE CET HEBDO A TOUS VOS AMIS QUI POSSEDENT
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Hollande, c’est moins de riches… et plus de pauvres ! « Vous voulez moins de riches, je veux moins de pauvres ! »
On se souvient de cette pique adressée à François Hollande par Nicolas Sarkozy, lors du débat de l’entre-‐deux-‐tours. Si le vote des Français a donné le sceptre au socialiste, on peut dire qu’il s’emploie chaque jour à donner raison à Sarkozy. Mais, stupeur ! La purge des riches s’accompagne d’une augmentation du nombre de pauvres… Mais alors… t’aurais loupé quelque chose, François ?
On les imagine bien, ces politiciens de carrière et ces autoproclamés « grands serviteurs de l’État », à la fin d’un gros gueuleton, dans les salons lambrissés de l’Élysée : -‐ Bon, il paraît qu’il faut trouver de l’argent. Y en a où, Jean-‐Marc ? -‐ Chez les riches… -‐ Brillant ! On va ratiboiser les patrons et les traders. Et avec ça, on va se faire aimer par la populace, euh pardon… le bon peuple. Les entreprises aussi ont de l’argent… se hasarde un jeune énarque, conseiller de Jean-‐Marc. Exact. On va augmenter leurs charges, et taxer à mort les entrepreneurs. Allez, c’est du tout bon, pissez-‐moi une loi vite fait, qu’on n’en parle plus. On fera relire le boulot du stagiaire par le Conseil constitutionnel. Et puis chacun fait ses calculs et la prophétie de Sarkozy se réalise. Les entrepreneurs qui refusent de se faire spolier partent avec leurs idées à l’étranger. L’élite des grandes écoles, courtisée par les groupes internationaux, prolonge sa première expérience à l’étranger. Les derniers acteurs et sportifs qui vivaient encore en France choisissent des destinations improbables pour poser leurs valises. Les entreprises délocalisent leurs usines, leurs sièges sociaux et leurs activités très rémunératrices. Comment les blâmer ? Toutes ces décisions sont rationnelles ! Mais ce sont autant de rentrées fiscales en moins pour notre pays, sans compter les investisseurs étrangers refroidis pour un bon moment. Doit-‐on croire que notre président et ses copains se réjouissent du départ de ces Français bien peu patriotes à leurs yeux ? En tout cas, à la com’ du gouvernement, on est dans le déni complet. Chaque fois qu’un journaliste pose la question, Ayrault charge un de ses 37 ministres de dire : nan, même pas vrai, aucun signe d’exil fiscal ! Et pourtant, les écoles françaises des grandes capitales débordent, les grands appartements parisiens ne trouvent plus preneurs… Rien de grave on vous dit. Et les pauvres, dans tout ça, on en a moins, n’est-‐ce pas ? Ah non ? Les entreprises seraient-‐elles parties avec les emplois ? Flûte ! 28.000 chômeurs supplémentaires par mois sur les dix derniers mois, ça ne fait jamais plus qu’un Renault Vilvoorde tous les 3 jours… Qu’à cela ne tienne, si les entreprises partent, le gouvernement a la solution anti-‐délocalisation : embaucher ! Les 2.000 nouveaux CDI pour Pôle Emploi promis par Ayrault, ce doit malheureusement être ça, les fameux « emplois d’avenir »… Hugo Bonny Boulevard Voltaire
Dormez braves gens, votre président dort aussi ! Il y avait six mois que François Hollande n’avait pas sacrifié au rite du one-man-show présidentiel. Après la semaine horribilis que le chef de l’État et sa majorité viennent de traverser – démission du ministre du Budget, baisse du pouvoir d’achat, hausse du chômage, manifestation monstre contre la loi Taubira, élection partielle de Beauvais, liquidation du groupe chimique Kem One – et les dix mois non moins horribiles que la France, de son côté, a vécus, la masse de plus en plus réduite des fidèles, des pratiquants et des desservants du culte social-‐démocrate pouvait espérer que le président de la République ne se contenterait pas de constater et de déplorer le cours désastreux que prennent les choses, mais qu’il aurait à cœur de démontrer qu’il était vraiment un chef et qu’il savait où il allait — et nous avec lui. Qui sait même si, enfin persuadé qu’une situation exceptionnelle appelle des solutions inédites, il n’allait pas sortir de son chapeau des lapins inattendus ? Il n’en a rien été : au moins ceux des Français – les plus nombreux – qui n’attendaient rien de l’intervention présidentielle n’auront pas été déçus. François Hollande s’est montré tel que nous commençons à bien le connaître, bonhomme, paterne et roublard. Il a revendiqué hautement la responsabilité de tout mais s’est défaussé sur ses prédécesseurs et sur la crise de tout ce qui n’allait pas. Il a compla isamment ouvert sa « boîte à outils » et a fait l’inventaire de tous les instruments qui devraient permettre la reprise et qui jusqu’à présent n’y ont rien fait.
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Il a réaffirmé, assez imprudemment — mais quoi, c’est toujours neuf mois de gagnés —, que l’inversion de la courbe du chômage serait bien au rendez-‐vous de 2013, à partir du 31 décembre. Il a annoncé qu’il y aurait d’ici la fin de cette année 150.000 emplois créés, ce qui ne correspond hélas qu’au nombre des 150.000 emplois aidés. Cette recette miracle est à la portée du premier imbécile venu, et même du deuxième. Il a dit sa préférence, partagée, pour la fin de la crise et le retour de la croissance, objectif qui sera atteint puisqu’il le souhaite, le désire et le veut. Il a beaucoup dit « je » et très peu « nous ». Il a promis qu’en 2014 il n’y aurait pas d’impôts nouveaux, mais seulement une hausse de la TVA. Il a émis le vœu que le niveau de vie des Français ne soit « pas affecté » par les prélèvements, le gel du barême de l’impôt, la désindexation des pensions, enfin « pas trop ». Il a éludé les questions gênantes et multiplié les réponses vagues. Il aime les Français, il n’y a aucune raison d’en douter, mais les Français l’aiment-‐ils ? « Dormez braves gens, le guet veille pour vous ! » Ainsi les archers du guet, au long de leur ronde de nuit, rassuraient-‐ils la population au Moyen Âge. « Dormez braves gens », a dit en substance François Hollande, « votre président dort aussi ! » Abdallah Basfar, interdit de séjour en 2012 pour prescrire le battage des femmes, présent en 2013 au RAMF ! Libération titre L'UOIF présente dresse une liste plus lisse d'invités
C'est une information Saphirnews de ce 28 mars ,principal média musulman français: le cheikh saoudien Abdallah Basfar sera présent ce weekend au congrès de l'UOIF! Ce même Basfar dont Le Figaro rapportait lors de l'interdiction de six prédicateurs au Rassemblement Annuel des Musulmans de France (congrès annuel de l'UOIF) dans son édition du 30 mars 2012 : "C'est à l'occasion d'un congrès de l'UOIF en 20 08 qu'Abdallah Basfar, né en Arabie Saoudite, avait légitimé le fait de battre sa femme si elle n'obéissait pas à son mari" (cité dans Le Figaro du 30/03/2012, Cécilia Gabizon, "Paris interdit la venue de prédicateurs islamistes", page 11) Le Figaro avait eu ces informations directement du Ministère de l'Intérieur, et n'avait pas été
attaqué en diffamation par l'UOIF, on peut donc conclure que ces propos n'ont pas été inventés.Voir le scan de l'article du Figaro de l'année dernière, Abdallah Basfar est le premier personnage en partant de la gauche : Et cette année, virage à 180°, le Ministère de l'Intérieur est d'accord pour que l'islamiste Basfar vienne séjourner en France pour dispenser ce genre d'enseignement ! Mieux, un autre saoudien qui considère Ben Laden avec respect au point de le bénir (source Al-Arabiya), a obtenu aussi un visa! Combien de Mohamed Merah faudra-‐t-‐il pour que le Ministère de l'Intérieur cesse son angélisme avec l'islam? Avec Valls, l'islamisme, c'est maintenant. Oui, avec Guéant, c'était mieux avant. Exemple de propos que l'association des ex-musulmans reproche au Cheikh : Les musulmanes Sur YouTube, le prédicateur explique comment un bon musulman doit battre sa femme: les coups doivent être «light» et ne pas rendre son visage laid. Il y dit aussi qu’il n’y a pas d’âge minimum pour le mariage d’une jeune fille. Les femmes occidentales Sur une chaîne saoudienne, il a affirmé que les femmes occidentales mariaient des chiens et des ânes. Les danoises en particulier Sur la même chaîne saoudienne, il a dit que les Danoises marient «un chien, un âne et ainsi de suite», et que 54% d’entre elles ne savent pas qui est le père de leurs enfants. Les juifs «Il y a un juif derrière moi, viens et tue-‐le», dit-‐il dans un autre extrait de YouTube. Observatoire de l'islamisation, 28 mars 2013
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À droite, on a honte d’être de droite… L’UMP serait-‐elle crypto-‐socialiste ? Une stratégie d’entrisme aurait-‐elle réussi à pervertir un parti qui s’honore encore d’être l’héritier du gaullisme ? On peut le croire au vu des prises de position curieuses de nombre de ses dirigeants. L’autre soir, Nathalie Kosciusko-Morizet participait au dîner des parrains et marraines de SOS Racisme. Si l’on partage ses préoccupations concernant la lutte contre le racisme, on peut
s’interroger sur la présence d’une représentante de la droite à la soirée organisée par un mouvement d’inspiration trotskiste qui instrumentalise trop souvent le racisme à des fins idéologiques. La présence de NKM à cette soirée est pour le moins ambiguë, mais on se souvient que l’ex-‐ministre a dit un jour clairement qu’entre un candidat du FN et un candidat du PS, elle voterait pour le socialiste et donc, implicitement, avec les communistes. Benoist Apparu, député UMP de la Marne, est un autre spécimen de cette droite qui dissimule de moins en moins qu’elle n’en est plus vraiment une. À l’Assemblée, il s’est rallié aux partisans du « mariage pour tous », une trahison à l’égard de ses électeurs conservateurs. Benoist Apparu, qui se revendique d’une « droite moderne, ouverte et généreuse », s’était déjà singularisé comme rapporteur du projet de loi portant sur la réforme des lycées, en 2009. Le rapport provoqua autant la stupéfaction que l’hilarité dans le monde enseignant, car il réalisait l’aggiornamento éducatif de la droite par le ralliement au pédagogisme responsable de la régression du niveau scolaire en France. NKM, Benoist Apparu et la plupart des responsables UMP sont victimes d’un double syndrome : l’obsession narcissique d’être aimé et la phobie de la reductio ad hitlerum, ce procédé rhétorique permettant d’exclure du champ polémique l’adversaire que l’on ne peut contrer dans le domaine des idées. Ces mêmes représentants de la droite, si soucieux de bien penser, n’ont en revanche pas réagi, en mai 2012, lorsque Jean-‐Luc Mélenchon osa affirmer que « le communisme n’a pas de sang sur les mains ». Il est vrai que le prêt-‐à-‐penser humaniste a des indignations à géométrie variable. Les responsables de l’UMP de la jeune génération sont aussi marqués par une inculture dramatique. Le cas de Thierry Solère, député UMP de Boulogne-‐Billancourt est révélateur. En juin 2012, il avait affirmé que « l’extrême gauche en France était du côté de la Résistance et l’extrême droite du côté de la collaboration ». « Idiot utile » d’une gauche qui, elle, ose penser et apprécie ce profil d’homme de droite naïf, monsieur Solère ne savait pas qu’à Vichy, de nombreux collaborateurs venaient de la gauche socialiste et communiste et qu’inversement la Résistance fut dans un premier temps l’œuvre de patriotes issus de mouvements déjà classés à l’extrême droite par leurs adversaires marxistes. Que comprendre ? La droite ne combat pas. On la croit molle et complexée, elle est peut-‐être tout simplement complice. Tout cela n’a guère de sens, sauf si l’on accepte l’idée d’une soumission des dirigeants de l’UMP à une mystique mondialiste développée par une hyper-‐classe mondiale oligarchique, contrôlant à la fois le capital économique et l’esprit des masses dans le cadre d’un projet de synthèse politique inédite : le capital-‐socialisme. Alors, faut-‐il fuir l’UMP ? Bruno Riondel Membre de l’ UMP Boulevard Voltaire NDLR : Rejoignez le MNR, un parti politique qui n’a pas honte d’être de droite, et qui ne flirte pas avec les idées de la gauche. Même M. Le Pen a gauchisé son mouvement politique sur la partie économique.
Réflexions sur la question présidentielle : Super Mariollande Publié le 01 avril 2013 Le Causeur.fr On attendait, en ce 28 mars 2013, François Hollande au tournant : chômage massif, croissance exsangue, tensions sociales et impuissance politique. Il semblait essentiel que le chef de l’Etat vienne répondre aux angoisses des Français sur ces questions. En professionnel avisé, David Pujadas ne manque pas de le faire savoir à François Hollande dès le début de l’intervention : « Croissance zéro, chômage record, il y a de la désillusion, où va la France ? Quel est le cap ? », questionne le journaliste.
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La réponse de François Hollande est surprenante : « Ce que nous n’avions pas anticipé c’est que cette crise allait durer encore plus longtemps que prévu. » Sans rire ? Peut-‐être s’imaginait-‐il qu’elle allait disparaître comme par magie au tournant de 2013, conjurée par la dinde, les chocolats et les boules de Noël ? Au vu de l’optimisme dont fait preuve le chef de l’Etat dans la suite de l’entretien, on ne peut douter de sa sincérité et de sa surprise quand il s’est réveillé le 1er janvier 2013 pour constater que la crise et le chômage étaient toujours là. En ce qui concerne le chômage en tout cas, la prédiction de François Hollande est on ne peut plus rassurante : « Cela va augmenter jusqu’à la fin de l’année et puis nous allons être dans une baisse. » Nous voilà rassurés. On ne sait pas très bien d’où il tient ces informations, peut-‐être de la Pythie de Delphes qu’il est allé consulter en cachette et qui lui a confié par ailleurs que la Grèce allait racheter le Qatar et que Paul le Poulpe allait entraîner l’équipe de France. Il n’y a aucun doute pour François Hollande : la croissance va revenir et grâce à elle, Fanfan va inverser la courbe du chômage à la fin de l’année, un peu comme Joseph Staline proposait d’inverser le cours de la Volga. Comment faire cependant pour faire revenir cette croissance tant désirée ? Contrairement au Brésil ou à la Chine, nous n’avons plus tant de routes, d’hôpitaux ou d’usines à construire et celles qui restent nous coûtent cher à entretenir quand les chefs d’Etat indiens richissimes et peu fair-‐play ne viennent pas nous les piquer. Eh bien la solution est simple. François Hollande a une boîte à outils. Oui, une belle boîte à outils comme Super Mario avec tout un tas de mesures qui vont permettre de sauver la princesse croissance, de vaincre le méchant Koopak-‐40 et de bannir à tout jamais le chômage de l’univers. Quand on lui demande, François Hollande exhibe avec fierté tous ses beaux outils rutilants, les contrats aidés, les emplois d’avenir dans le secteur public et associatif pour les jeunes en difficulté (rien de tel, pour prétendre qu’on « insère », qu’insérer les gens dans de faux emplois au service d’associations dont l’unique rôle est de servir de soupape de sécurité sociale artificiellement maintenue à coups de dispendieuses subventions) et le pacte de compétitivité, l’arme secrète qui va transformer les entreprises françaises en petits bolides, plus rapides que dans Mario Kart, sur le marché international. « Tout ceci va arriver », martèle François Hollande. Il suffit de s’en convaincre, c’est très simple et la boîte à outils est là pour ça. Elle fournit de beaux joujoux rhétoriques qu’on peut agiter sur les plateaux de télévision, afin de renforcer l’impression, déjà sans doute bien acquise par la population, que notre chef de l’Etat et son gouvernement sont décidément en plein déni de réalité, voire en plein délire régressif. Ce n’est pas en tout cas Super David Brosse à reluire qui risquait de contredire le chef de l’Etat. Lui se contentait jeudi soir de faire son boulot et de recevoir le boniment avec son demi-‐sourire ironique de coutume, pendant que l’autre là en face déroulait avec une conviction feinte – on l’espère presque – ses plans de super plombier de la croissance. Il faut quand même que François Hollande se méfie, parce que s’il casse tous ses beaux outils et se casse les dents sur la carapace du monstre chômage, son double maléfique Wariosarko n’attendra pas une minute pour lui faire avaler sa boîte à outils. Mais Super Mariollande a confiance. « Tout ceci va arriver. » Same player shoot again.
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