Et parmi les pratiquants : 2ème niveau : le choix du sport n’est pas indifférent et relève d’objectifs : intégration, aspiration, culture…,3ème niveau : dans un sport donné, les niveaux d’entraînement et de compétition choisis ne sont pas indifférents
LES RELATIONS ENTRAINEUR- ENTRAINEQuelques Le pédagogueTypologies Le techniciend’entraîneurs Le mage
Facteurs psychologiques et mentaux
• Lesquels, pour réussir dans sa spécialité ?• Quels moyens d’analyse?• Pour qui (niveau de pratique) ?• Par qui (cadre sportif, psychologue, médecin) ?• Comment interpréter les données et résultats?• Quelles retombées (conséquences pratiques) ?• Qui peut intervenir en cas de problème ?
Sport de haute compétition:gestion du (des) risquegestion du (des) stressastreintes, contraintes, récupération,(mal)adaptationssurentraînement, surcharge, saturation, méforme
A noter : ni suppléments diététiques (placebo) ni médicaments : autonomie, responsabilité /dépendance et … pas d’effet secondaire
Facteurs morphologiques et anthropométriques
• Lesquels pour réussir, déterminants => secondaires ?
• Quels méthodes, moyens et techniques de mesure ?• Pour qui (type, niveau, âge, sexe…) ?• Par qui (CS, médecins, anthropologues) ?• Comment interpréter les données et résultats ?• Quelles retombées (conséquences pratiques) ?• Qui peut intervenir en cas de problème
(pédiatre, médecin…) ?
Méthodes physiques d’évaluation de l’état nutritionnel :
la composition corporelle• Taille, poids, épaisseur plis cutanés• Hydrodensitométrie (densité dans l’eau)• Impédancemétrie bioélectrique (résistivité)• DEXA (absorptiométrie biphotonique, DMO, MM, MG)• TDM (tomodensitométrie, scanner)• Eau corporelle par eau marquée• K total (intracellulaire)• RMN (résonance magnétique nucléaire)• Activation neutronique ou photonique,…
Facteurs énergétiques
• Lesquels pour réussir (principal, accessoire?) ?• Quels moyens d’analyse (général, local) ?• Pour qui, par qui où, quand, à quel prix ?• Comment interpréter les données et résultats?• Quelles retombées (conséquences pratiques) ?• Qui peut intervenir en cas de problème ?
Le muscle et l’organisme à l ’exercice
Les muscles et les sportifs:Au repos : 20 % besoins en énergieA l ’exercice : + de 80 % : Dépenses énergétiques x 1,1 à 10 :Apports énergétiques + à augmenter
POIDS spontané /de FORME / optimal
Faire le poids, pour qui, pourquoi, quand, à quel prix (quels sacrifices)?• Masse grasse (tissu adipeux),
masse maigre et masse hydrique :le juste équilibre ?• Taille, poids et morphotype• Le poids de forme /P optimal (% MG) :
comment l ’atteindre ?
Des masses grasses variables d’un sport à l ’autre et pour un même sport
Ici pour des pratiquants de loisir
POIDS de FORME• Perte de poids (MG) progressive• Régime peu hypocalorique
(sportif 2 à 3000 kcal/j : - 500 kcal/DE)• Diminution +++ Acides Gras Saturés• Maintien AGMI et AGPI (essentiels)• Diminution glucides (sucres) rapides• Maintien fruits, légumes, Gl « lents »• Maintien apports en protéines, eau
Critères Disciplines sportivesFaible poids : Apports
énergétiques chroniquement insuffisants destinés à réduire la masse adipeuse à un minimum et à assurer une silhouette considérée comme optimale
Gymnastique, gymnastique rythmique, patinage artistique, aérobic, voltige équestre, sports hippiques, natation synchronisée et par extension, les danses, en particulier classique
Poids de compétition : Régimes amaigrissants drastiques pour atteindre catégorie de poids désirée
Sports à catégories de poids : judo, lutte, aviron, boxes…
Diminution des graisses : Réduction pondérale radicale, pour diminuer la masse grasse
Culturisme
Athlètes végétariens Sports de fond (course à pied, ski de fond…)
Sports à haut risque d’insuffisance nutritionnelle
(Brouns, 1994)
ATP, seul substrat pour l’action ATPasique de la myosine
• 1 molécule d ’ATP = 42 kJ• 5 mmoles ATP / kg muscle• réserves ATP disponibles M Inf : 100 mmoles• soit 4,2 kJ (20 kg muscles M Inf)• soit qq dixièmes à qq secondes d ’exercice• Donc très peu, d’où : resynthèse rapide et
fait appel à d’autres substrats énergétiquesles 3 filières AA, AL et aé
STOCKS d ’ENERGIE• 1 g glycogène (+ 2,7 g eau) = 4 kcal (16 kJ)• 1 kg muscle = 15 à 35 g glycogène• 20 kg muscle = 300 à 800 g glycogène,
soit 1,2 à 3,2 MJ• 1 g tissu adipeux = 6 - 7 kcal (25 kJ)• 1 kg tissu adipeux = 24 à 28 MJ (7000 kcal)
(4 à 15 % H, 12 à 25 % F)
Filières énergétiques : plan d’étude• Métabolisme : créatine-ph, glucose, AG
• Réserves musculaires et/ou à distance• Délai mise en jeu, inertie (immédiat à qq min)• Puissance ou débit maximal (facteurs limitants)• Capacité max (volume, quantité, facteurs limitants)• Récupération (délai demi-R, totale, mécanismes)
• Types d ’exercice, méthodes d’entraînement• Implications nutritionnelles (ir)réversible)• Explorations fonctionnelles, épreuves de terrain• Effets sur la santé (CV, enfants, âgés…)
Voir prochains cours sur métabolismes énergétiques
Facteurs moteurs• Lesquels pour réussir ?• Quels moyens d’analyse ?• Pour qui, par qui où, quand, à quel prix ?• Comment interpréter les données et résultats?• Quelles retombées (conséquences pratiques) ?• Qui peut intervenir en cas de problème ?
EQUILIBRATION• Techniques d’évaluation :
Planchettes Stabilométrie Autres : spécialité ORL, neuro
• Importance : exemple trampolinistes (10/20)• Problèmes : si défaut : quelle origine?
Oreille interne, mandibule, articulé dentaire rachis cervical, dorsal, lombaire, articulations MI (hanche, genou, cheville) pied (articulations, voûte, peau) (proprioception, mécanorécepteurs)
CONCLUSION• DEMARCHE lors de l’étude
d’une spécialité sportive en vue d’une
programmation rationnelle de l’entraînement
prenant en compte toutes les composantes et facteurs de réussite de la performance
• D’abord ANALYTIQUE puis SYNTHÉTIQUE• Problèmes : qualité des données, des moyens,
rôle des caractéristiques individuelles