Édité par l’association
LES AÎNÉS DE L’UCPA
17 rue Rémy Dumoncel
Dépôt légal ISSN1252-8323
BULLETIN N° 100 — DÉCEMBRE 2011
www.lesainesdelucpa.fr
UNCM MONÊTIER ANNÉES 60
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Édité par l’association
LES AINES DE L’UCPA
17 rue Rémy Dumoncel
75014 Paris
Dépôt légal ISSN 1252-8323
STAGE DE GOLF A JUMIÈGES — SEPTEMBRE 2011
26 PARTICIPANTS
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LE MOT DU PRÉSIDENT
La Trace 100 ème !
Cela claque comme un oriflamme et nous laisse songeur nous dont l’âge n’a que deux chiffres ! 100, c’est le nombre parfait, on ne peut rien lui ajouter, à moins de recommencer par le début. Nommer, c’est créer, c’est dire son essence, pour un être ou une histoire. Cela con-fère une existence, voire une consistance.
En l’occurrence, ce n° 100, concrétise le parcours des Ainés. Depuis les « inventeurs » de l’association et du concept de La Trace jusqu’à aujourd’hui, le monde et l’UCPA ont beaucoup changé. Elle reste ce lien ténu mais fort que nous ont légué ses fondateurs. A l’origine : Raymond Malesset, qui en fut le premier président et Monique Mitrani alors présidente de l’UCPA. Marcel Jaubert et Henri Léveillé en furent les premières « chevilles ouvrières ». Le premier numéro de La Trace, paru fin 1985 ne comportait qu’une seule page et appelait (déjà !) les retraités à venir rejoindre l’Association créée en mai de cette même année, pour lui insuffler leur dynamisme et leurs compétences avec le même élan qui les avait conduits à participer et à impulser le développement (et la réussite) de l’UCPA.
26 ans ont passé… ces enthousiastes pionniers nous ont aujourd’hui quittés, nous laissant la responsabilité de la relève et de la pérennisation de l’Associa-tion. A ces prédécesseurs, nous nous devons d’être à notre tour des passeurs. Aussi je m’adresse à la « garde montante des jeunes Aînés » : Rejoignez-nous, pour continuer à faire vivre notre Association et la maintenir en phase avec le monde d’aujourd’hui. Prenez des responsabilités, soyez citoyen(ne)s. La vie as-sociative est le miroir de ce que vous aurez aidé à bâtir. Soyez actifs et fidèles aux valeurs qui furent (et j’espère restent) les nôtres, pour transmettre aux gé-nérations suivantes les messages de ceux qui nous ont précédés et contribué à ce que « les Aînés de l’UCPA », notre Association, soit ce qu’elle est : fraternelle et dynamique. Mais, une association reste toujours fragile, elle ne repose que sur l’investissement et la seule bonne volonté de ses membres. Pour perdurer il lui faut « du sang neuf » afin de rester vivante et inventive.
Et enfin...bonne année 2012 à toutes et à tous.
Gilbert RHEM
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CALENDRIER DES STAGES A VENIR :
STAGE D’HIVER & ASSEMBLÉE GÉNÉRALE :
Notre stage d’hiver aura lieu du lundi 2 au samedi 7 janvier 2012 au centre
de La Plagne-France.
Inscriptions auprès de Jojo SOURD — 120 chemin des Preynas — 05220 Le
Monêtier-Les-Bains— [email protected]
Envoyer un chèque de 80 € par personne. Date limite : 1er décembre.
Notre assemblée générale aura lieu le mercredi 4 janvier. Voir les docu-
ments de convocation ci-joints.
Nombre de places limité, les premiers inscrits seront les premiers servis.
Hâtez vous si vous voulez skier à La Plagne !
SKI EN MARS OU AVRIL : à définir.
GOLF AU PRINTEMPS : débutants ou confirmés.
CROISIÈRE EN MAI : à bord d’une goélette au départ de Brest. (12 pl.)
RANDONNÉE FIN JUIN : à définir.
MULTI ACTIVITÉS A SORMIOU : 3 au 8 septembre — randonnée + initiation
kayak de mer + via cordata + initiation à l’escalade.
POUR TOUS CES STAGES :
Surveillez les « dernières nouvelles » sur le site des Aînés et/ou le prochain
numéro de La Trace, ( janvier ) les dates et lieux seront inscrits dès que
nous en aurons connaissance.
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RÉSULTAT DE LA DEVINETTE DE LA TRACE N° 99:
Il fallait reconnaître: André Silberman
Jean-Claude Rage - ?? - Alain Trinquet
- ?? - Jean-Claude Roubergue - Minet
Cadoret - Jean-Louis Denis -
VARS hiver 73 ou 74 ou 75.
DEVINETTE DU N° 100 :
Pour donner vos réponses ou pour envoyer vos
photos d’archives : [email protected]
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ENTRETIEN AVEC OLIVIER HINDERMEYER
DIRECTEUR GENERAL DE L’UCPA.
L.T. : Les jeunes en formation à l’UCPA savent-ils
que les « pionniers » ont existé ? Connaissent-ils
l’historique de la maison ?
O.H. : Il est difficile de transmettre l’histoire de
l’UCPA aux jeunes qui arrivent. Le matériel péda-
gogique existe et il ne faut pas renoncer à expli-
quer les projets associatifs. Il nous faut les infor-
mer sur les projets sportifs (valeur et sens) et se
préparer à formaliser avec leur culture et leurs outils le projet UCPA. Les
écouter…
L’histoire de l’UCPA va atteindre les 50 ans et les pionniers sont en voie de
disparition. Il faut faire parler les pionniers.
Que devons-nous transmettre aux jeunes de nos expériences ?
- Notre projet associatif porteur de valeurs humanistes et humaines.
- Notre projet chaleureux de compréhension et de partage : transmission.
- Notre projet sportif basé sur l’apprentissage collectif encadré par des pro-
fessionnels dans un but de réussite et de plaisir sportif.
- Et que notre organisation a une responsabilité économique dont elle ne
peut pas s’abstraire sans risque de disparaître.
Nous constatons depuis plusieurs dizaines d’années que nous recevons de
plus en plus de mineurs et de jeunes adultes actifs alors que la jeunesse qui
est entre les deux, génération oubliée, est en diminution. L’UCPA doit impé-
rativement se préoccuper d’eux à nouveau. Nous n’avons plus de politique
de la jeunesse ; les 16 / 26 ans n’ont plus les moyens de venir à l’UCPA ou
autre organisme. 51% des 18 /25 ans ne sont pas partis en vacances cette
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année. Le chômage des jeunes est de 18 % avec un pic à 25 % en 2010.
Si rien n’est fait, les sports de nature deviendront inaccessibles aux jeunes et
la perte en renouvellement générationnel apportera des difficultés à toute
l’économie de la montagne avec comme conséquence la disparition progres-
sive de l’accès des jeunes générations aux sports de neige.
C’est un tournant pour l’UCPA. Nous devons réagir pour toucher à nouveau
les couches moyennes ou défavorisées. Nous n’avons plus de politique de la
jeunesse à l’échelle de la France. L’UCPA doit remettre en place une politique
pour les jeunes ; pour transmettre aux jeunes, il faut d’abord... qu’ils
viennent !
Si l’UCPA vit encore aujourd’hui, c’est parce qu’elle est toujours animée par
une même passion, du conseil d’administration aux moniteurs.
Elle a su écouter la jeunesse et les pouvoirs publics en restant fidèle à son
éthique et à ses valeurs tout en intégrant une logique économique devenue,
hélas, incontournable.
L.T. : Encore une question : viendrez-vous rejoindre l’association des Aînés
lorsque vous prendrez une retraite méritée ?
O.H. : Quelle question ! Evidemment !
Pour conclure je veux dire que travailler au sein de l’UCPA, à quelle que place
que ce soit, ne peut se faire que par passion.
Pour comprendre cette nouvelle génération née avec les nouvelles technolo-
gies, souvent appelée “génération C”, il nous faut commencer par l’écouter.
Les jeunes ne sont pas “comme nous les voudrions” ; à nous de les amener
où nous souhaiterions qu’ils arrivent, mais cela en respectant leurs outils.
Agir et vivre ensemble, c’est l’enjeu de la société d’aujourd’hui.
L.T. : Merci.
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COMPTE RENDU DU STAGE DE
GOLF A JUMIÈGES
25 SEPTEMBRE AU 1er OCTOBRE
Comme j'étais le dernier arrivé le dimanche soir, mais
également le dernier dans le groupe des aînés golfeurs,
selon la coutume : à moi le compte rendu !
Nous étions 26 à nous retrouver pour ce stage de golf sur la base de JUMIEGES et
évidemment Jean-Pierre CHARRIERE avait tout prévu.
Parlons un peu technique :
Au golf il y a les « bons », ceux qui savent, les « initiés », ceux qui connaissent et
les « autres », ceux qui découvrent.
Dans ce sport on doit s'entraîner beaucoup, le principe : gagner du temps !
- En attendant le moniteur, on se chauffe en faisant quelques balles sur le putting
green ou sur le practice avec les clubs, le coup doit être parfait : il faut gagner du
temps!!
- Sébastien nous l'a bien dit : vous devez faire 4 trous à l'heure. Règle que certains
anciens appliquaient déjà !!! (Mais dans d'autres activités !)
- Si le brouillard ne se lève pas (et il n'est pas le seul!), pas d'inquiétude les cours
continuent.
Les "bons" vous expliquent la bonne prise du club. Ceci dit j'ai mieux compris l'ex-
plication donnée par Jean-Claude MEYRAN en rapprochant son conseil du matin à
son interrogation du soir sur l'installation peu pratique du papier toilette par les
architectes à l'arrière des WC. Je vais pouvoir répéter plus souvent le mouvement:
jeter la main sur l'arrière et saisir le ... (grip!!).
Au practice si votre seau de balles se vide en faisant un tapis à 2 mètres de vous, on
vous indique une meilleure prise : l'angle du V de votre main gauche doit être orien-
té vers votre épaule droite et là, les balles s'éloignent. Comme disent nos moniteurs
Cyrano et Sébastien : au golf seule la progression compte.
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Le dernier jour, nous les novices, avons eu droit au grand parcours de 9 trous, c'est
déjà bien. Les distances nous changeaient de notre compact. Il faisait chaud. Les
premiers trous nous ont permis de connaître les jets dans les arbres ! Mais aussi le
bonheur du golf : réaliser un "par4" en 4 coups.
Le trou N°6 a été notre bérézina : que d'herbe, que d'eau, que dalle, bref une belle
croix sur la carte de score.
Le trou N°7 a été, pour certains, un passage à la plage dans le "bunker", (obstacle
de sable) ; il manquait juste le parasol.
Au 8, l'organisateur, Jean-Pierre CHARRIERE, avait bien prévu le ravitaillement ; noix
et pommes mais pas la buvette, pas fou, il fallait finir le 9 pour la trouver près du
club house. Quelle matinée pleine de rebonds! (Évidemment on est au golf).
Nous avons compris la passion qui anime les "bons" et les "initiés", eux qui com-
mençaient leurs grands parcours de 18 trous dès potron minet et revenaient juste
pour le repas du soir, brisés, trempés, titubants, mais quelle "banane" sur leurs vi-
sages !!
Les soirées à JUMIEGES sont courtes mais instructives:
- "Pour la pêche à pied dans l'océan indien" adressez-vous à Chantal et Jean-Claude
ROUBERGUE, ils connaissent les horaires des marées.
- "Vous envisagez de résoudre le taux d'accident du travail" : Jean-Claude MEYRAN
vous donnera la solution utilisée en république dominicaine, simple et efficace : une
balle et un trou dans la forêt.
- "Une histoire drôle" vous ferait plaisir : adressez vous à Alain RANNOU il choisira
celle du corse....ou celle du Mac pour la 132,133 ou 134
fois, on ne sait plus.
Cette semaine de golf restera un excellent souvenir. J'y ai
retrouvé l'ambiance chaleureuse, le soutien, la complicité,
des valeurs sûres.
Yvon PROVAUX
Ci-contre : Marie-Claude & Cyrano, notre moniteur.
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APPEL A TÉMOINS — SOUVENIR N° 1
En 1948, je me suis mariée : j’avais mal tourné dans les bras d’un moniteur….
Moi, citadine, me voilà débarquant à Briançon, avec ma valise, ma lessiveuse
(cadeau de mariage) pleine de vêtements, précieusement rangés par ma sœur, et
ma machine à coudre à main , modèle 1890.
L’Edmond m’avait prévenue : « Nous allons vivre dans un patelin à 6 km d’un
autre patelin tout aussi paumé et, pour aller de l’un à l’autre , il faut bien souvent,
en hiver, chausser les skis ». Il n’y a pas eu de neige en 1949 !
J’étais mariée… alors je suis venue.
Nous logions dans une pièce sans lavabo ni pipi-room : il fallait passer par l’exté-
rieur… brrrrr
Le « dynamique chef de centre » s’est remué et les problèmes sanitaires furent
résolus : installation d’un lavabo et acquisition d’un pot de chambre (transvaser).
Ça, c’est le côté difficile, mais vivre à 1700 m d’altitude, en pleine nature, dans
une collectivité qui me plaisait, ça en valait la peine.
La neige était rare cet hiver-là. On apprenait le dérapage sur les pentes d’une pe-
tite cuvette, surplombant un parking. Mais, il fallut se résoudre à monter chaque
jour à l’Alpe du Lauzet (35 minutes de chemin), y installer le cuisinier et son ma-
tériel dans un chalet d’alpage, et, pour les skieurs, continuer un quart d’heure de
marche pour trouver le terrain enneigé, adapté à l’apprentissage du chasse-neige.
Les amis Turc m’ont beaucoup aidée à m’adapter et puis, la Marie-Louise m’a
initiée aux joies du ramassage des champignons et des pissenlits, à la cueillette
des framboises et à la confection d’une gelée incomparable. Nous faisions les 2
km à pied avec nos bébés dans les poussettes pour accéder à la « Manne ». (le
trésor : les framboises)
Notre voyage de noces, que nous avions oublié d’accomplir, fut le passage à vélo
du Lautaret sous la neige, le 1° mai 1949.
Sans doute, beaucoup de mes amis ont vécu la même aventure à cette époque et
comme moi, ne le regrettent sûrement pas.
Denise Martin (septembre 2011)
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LE PONT DE L’ALPE—LES FAMILLES GROS, TURC ET MARTIN. 1949
PUIS LE CENTRE DE L’AUTRE PATELIN PERDU… LE MONÊTIER.
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ESCALADE DANS LE VERDON—SEPTEMBRE 2011
Dany & René GONSOLIN, Brigitte & Dominique DUSSOL, Gérard LAMBERT = 328 ans
Nous sommes arrivés, comme de bons stagiaires, le dimanche 25 septembre par mauvais temps. Dès le lundi ce fut le grand beau pour toute la semaine et le samedi nous sommes repartis tout ravis et enchantés de notre séjour. L'an dernier la même équipe s'était retrouvée à Sormiou et là, Stéphanie la directrice du centre de la Pa-lud dans le Verdon, qui était de passage, nous avait motivés pour venir grimper sur son site. Un petit coup de fil vers mi-septembre à Steph' et hop, ni une ni deux, nous avons relevé le défi!! Heureusement, Dany et moi, étions encadrées par nos 3 guides préférés et la pensée de notre Gab's. Cela nous a permis d'affronter la verti-calité et les cotations du Verdon… Donc nous avons fait deux journées de "couennes" puis un autre jour tous ensemble une grande voie dans les dalles grises et enfin pour les hommes, une autre entre eux sur le secteur de l'Escalès, là où les vautours planent sans fin au-dessus des parois. Petites explications éventuelles : -les couennes : celui qui assure est tranquillement assis au pied de la paroi pendant que l'autre essaie de grimper. -les grandes voies dans le Verdon : tous descendent en plusieurs rappels et ensuite, il n’y a qu'une solution, il faut remonter ... Pour reposer nos doigts et nos bras nous avons aussi découvert à vélo cette belle région, par la route des belvédères, le plateau du Lachens où nous sommes allés visiter le centre de parapente en compagnie de Stéphanie. Nous espérons repartir pour d'aussi agréables séjours, en général quand l'automne arrive, nous aimons grimper vers les rochers chauds, et selon les disponibilités des centres nous débarquons. A chaque fois les équipes UCPA nous accueillent avec une énorme gentillesse. C'est formidable. Merci à tous. Brigitte
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STAGE DE VOL A VOILE A St GIRONS DU 3 AU 9 SEPTEMBRE 2011.
Qui n’a pas rêvé de voler sans moteur et tout en finesse comme un oiseau ? L’aven-
ture nous a tentés et nous voilà à St Girons pour une petite semaine. Cependant,
pour y parvenir, ce n’est pas si simple !
Il faut avant tout de très bonnes conditions aérologiques, de bons planeurs et des
instructeurs qualifiés et sympas !
Si les machines ont été super et si les instructeurs ont bien répondu à nos attentes,
les conditions aérologiques n’ont pas été favorables, malgré un beau soleil. Les ins-
tructeurs : Martial, Daniel, Jean-François et Salvador, très motivés ont fait leur
maximum pour faire voler leurs oiseaux, cherchant, comme les buses que l’on sur-
veillait, les ascendances…souvent en vain… et les vols furent très courts.
Merci à Anthony, le treuilliste, pour les bonnes sensations des départs virils, mais
réguliers et agréables !
Les aînés ont été mélangés avec les stagiaires du centre, ce qui nous a tous rajeunis
un peu et l’ambiance a été très sympa, surtout à l’heure de l’apéro.
Nous avons tous renforcé notre souffle et nos muscles en tirage et poussette des
planeurs le long des pistes d’atterrissage, malgré la « golfette » infatigable, à condi-
tion de penser à recharger la batterie !
La vie fut rude pour les fragiles du mal des airs et notre ami Marc Romagnan ne
vous dira pas le contraire : les sardines et le melon ne sont pas compatibles avec cet
exercice ! ! ! beurk ! ! ! beurk ! ! !
Merci à William pour son accueil, sa disponibilité et sa gentillesse. Cadre et menu
du resto de fin de stage furent super et Daniel nous a assuré l’ambiance flamenco
avec sa guitare !
Bravo à Martial pour la mise en place de ce stage et de nous avoir donné envie de
continuer à voler en planeur et peut-être, pourquoi pas, dans les Alpes ! ! !
Betty.
Ont participé au stage: Idesheim Betty et Marcel ; Romagnan Marc ; Pieau Henri et
Marie ; Lepecq Yves et Erwan. (Photo page 19)
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« POUF » (Jean-Bernard SUDRAT) NOUS A QUITTES LE 5 NOVEMBRE.
Début juin 1964, on se rencontre dans le train Paris-Grenoble, destination : Les Étages où « Gab’s » est notre professeur. Puis nous partons chacun dans nos montagnes. Les diplômes s’enchainent… l’Aspi ensemble puis, au hasard des saisons d’été ou d’hi-ver, nous travaillons dans les mêmes centres.
Que d’années de bonheur en ta compagnie et celle de Kine ! Par une belle journée d’hiver, Jacqueline voulait skier au Brévent et toi à la Vallée Blanche ! « En faisant vite, on fait les deux ! » Journée mé-morable, on s’en souviendra longtemps. Ah, si on pouvait remonter le temps… On s’en offrirait bien encore un grand tour avec toi, Jean-Bernard… avec un Picon-bière ! J.M.BEAUGEY
APPEL A TÉMOINS
Dans ce numéro 100, Denise MARTIN a inauguré avec sa verve imagée la rubrique « Appel à témoins ». Il faut que nos anciens nous fassent parvenir leurs souvenirs de l’époque des pionniers de l’Union. Bons, mauvais souve-nirs, comme le demandait Marcel dans le n° 1 : « les vieilles amitiés, les peines et les joies partagées ne peuvent tomber dans l’oubli. »
IMPORTANT : IMPRESSION DE LA TRACE
Désormais, l’impression de notre bulletin est sous-traitée à l’extérieur par le siège et les coûts sont sensiblement plus importants. Il faudrait que cha-cun d’entre nous qui en a la possibilité imprime son propre bulletin pour réduire le nombre d’exemplaires à imprimer et à expédier. Il est normal que nous participions nous aussi à l’effort qui est demandé à tous les per-sonnels de l’Union en ces temps difficiles.
Il vous faudra communiquer votre adresse mail lors de l’envoi de votre chèque de cotisation 2012. Ainsi, vous recevrez votre bulletin électronique à partir du n° 101 et vous pourrez l’imprimer en couleur. Encore merci à l’UCPA de continuer à prendre en charge les exemplaires « papier » qui res-tent indispensables à nombre d’entre nous.
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SOMMAIRE DU N° 100 — décembre 2011
Page 2 … Photos Jumièges Page 11 … Suite
Page 3 … Le mot du président Page 12 … La Trace n° 1
Page 4 … Calendrier des stages Page 13 … La Bérarde & Chamonix
Page 5 … Photo devinette Page 14 … Souvenir n° 1
Page 6 … Entretien O. Hindermeyer Page 15 … Suite / photos
Page 7 … Suite Page 16 … Compte rendu Le Verdon
Page 8 … Compte rendu Jumièges Page 17 … Compte rendu St Girons
Page 9 … Suite Page 18 … Appel à témoins et impression
Page 10 ..Couvertures La Trace Page 19 … Photos St Girons & Verdon
LES AINES DE L’UCPA
Association sans but lucratif (loi 1901) déclarée à la Préfecture de Police de Paris le 21 mai 1985 – J.O. du 12.06.1985), rassemble tous les retraités et les per-
sonnes ayant travaillé ou exercé une fonction bénévole au sein des associations de l’UNCM, UNF ou UCPA.
L’UNCM (Union Nationale des Centres de Montagne) et l’UNF (Union Nautique Française) crées en 1945, se regroupent en 1965 pour donner naissance à l’UCPA
(Union des Centres de Plein Air) association gérée par les associations de jeu-nesse, les fédérations sportives de plein air et les pouvoirs publics.
UNCM—LES ÉTAGES 19??