ecck - projets book - part 1
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ECCK - Projets book - part 1 ECCK propose des concepts et des produits innovants, individualisés et accessibles. Spécialiste de l'identité visuelle. Publicité, Création graphique, Conseil, Conception, Fabrication, Imprimerie.TRANSCRIPT
PROJETS BOOK
http://www.ecck.fr
PART 1
ECCK
La vocation de ECCKest de vous accompagner
dans l’approche globalede votre communication.
ECCK# 2
PARLEGRAFIKPR
OJET
LOGO
LOGOS - déclinaisons Web / identité visuelle
LOGOS - déclinaisons logos dérivés / identité visuelle
Grafik
Parlé
Grafik
Parlé
graphisme . illustration . graffiti art
PARLEGRAFIK est une structure de promotion, un réseau de créatifs indépendants et une pépinière d’initiatives pluridisciplinaires. PARLEGRAFIK réunit des artistes - toutes générations confondues : Graffiti artistes, graphistes, illustrateurs, photographe - qui travaillent dans leur environnement proche et ont pour volonté de fusionner l’Art et le quotidien.
ECCK# 3
PARLEGRAFIK
PROJ
ET
LOGOS - déclinaison Web logos dérivés / identité visuelle
LOGOS - déclinaisons logo dérivés / identité visuelle
Structure de promotion au service de l'image
arléPassociation
Structure de promotion au service de l'image
arléPassociation
ECCK# 4
WEB DESIGN / PUBLICATIONS WEB
PARLEGRAFIKPR
OJET
ECCK# 5
WEB DESIGN / PUBLICATIONS WEB
Grafik
Parlé
Structure de promotion au service de l'image
Mentions légales - licence et droits de reproduction
En se connectant au site PARLEGRAFIK.COM, et de ce seul fait, l'utilisateur reconnaît accepter de Parlé association, éditrice de ce site, une licence dans les présentes conditions.
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PLAN DU SITE CONTACTConce
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Structure de promotion au service de l'image
arléPassociation
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Site
Je soutiens l’association à titre
personnel
de représentant d’une association
de représentant d’une collectivité locale
d’artisan, commerçant ou dirigeant d’entreprise
En tant que
adhérent - membre actif (15,24 et plus)
membre bienfaiteur - droit d’entrée (100 )
+ cotisation (80 et plus)
BULLETIN D'ADHÉSION ANNUELLE 2006Je décide de soutenir l'association PARLÉ et je souhaite être régulièrement informé(e) de son actualité
Je retourne ce formulaire accompagné du paiement du montant de l'adhésion,par chèque, par virement bancaire ou par mandat-cash. Les chèques sont à libeller à l'ordre de l'ASSOCIATION PARLÉ. RIB téléchargeable sur notre site.Votre bulletin d'adhésion est à retourner dûment rempli et complété à l'adresse suivante :
ASSOCIATION PARLÉ - C/O C.CIARI
17 rue Abel GANCE 75013 PARIS
Vous recevrez votre carte d'adhérent accompagné du justificatif de règlement à présenter à l'administration fiscale sous dix jours .
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PARLEGRAFIK
PROJ
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Calendrier
tête de lettre, carte de visite
PARLEGRAFIKPR
OJET
AU SERVICE DE VOTRE IDENTITE, VOTRE COMMUNICATION, VOS EVENEMENTS
JANVIER
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FEVRIER
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MARSL M M J V S D
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MAIL M M J V S D
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JUINL M M J V S D
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JUILLET
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AOUTL M M J V S D
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SEPTEMBRE
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OCTOBRE
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NOVEMBRE
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DECEMBRE
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2007 Grafik
Parlé
www.parlegrafik.com
ECCK 2DI GMD aka GOZE 71
PROaka Prince PRO 76
SODAaka SODA 79
GRAPHISTE ILLUSTRATRICE
GRAPHISTE PHOTOGRAPHE GRAFFITI ARTIST
PHOTOGRAPHEGRAFFITI ARTIST GRAFFITI ARTIST
L’EQUIPE DES CREATIFS DE PARLEGRAFIK VOUS ADRESSE SES MEILLEURS VOEUX.
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CCK
2007
ECCK# 7
VOTRE IMAGE VOTRE COMMUNICATION VOS ÉVÈNEMENTS
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Grafik
Parlé
GRAPHISME . ILLUSTRATION . GRAFFITI ART . PHOTOGRAPHIE
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GRAPHISME
1 - Découpez
POUR CONSTRUIRE VOTRE "PARLEGRAFIK BOX":
2 - Pliez3 - Collez
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Mailing / Merchandising
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Grafik
Parlé
GRAPHISME . ILLUSTRATION . GRAFFITI ART
PARLEGRAFIK
PROJ
ET
WEB FLYERS
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MARTINIQUE CONNEXIONPR
OJET
WEB DESIGN / SITE VITRINE
FLYER / PUBLICITÉ
LOGOS
madinina2.indd 1 16/09/08 17:15:38
Martinique Location saisonnière d'appartements F3 indépendants meublés tout confort chez l'habitant, à la Baie des mulets - commune du Vauclin, Martinique.
http ://www.martiniqueconnexion.com
" F leur des Caraïbes"
Martiniquehttp://www.martiniqueconnexion.com
" F leur des Caraïbes"
MARTINIQUE CONNEXION est un site dédié à la promotion de la Martinique. Service de location d’appartements F3 pour les vacances en Caraïbes - Martinique (madinina 972) de particulier à particulier.
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MARTINIQUE CONNEXION
PROJ
ETFLYER / PUBLICITÉ
WEB DESIGN / SITE VITRINE
madinina1.indd 1 16/09/08 17:12:32
ECCK# 10
SIR ASPR
OJET
CD ARTWORK DESIGN - ALBUM / PACKAGING
SIR AS, leader du groupe O’Taim. Musique est influencée par des tendances caribéennes, soul, afro et jazz
ECCK# 11
SIR AS
PROJ
ET
CD ARTWORK DESIGN - MAXI / PACKAGING
OUTILS MARKETING - invitation, affiche, Web flyer
ECCK# 12
SIR ASPR
OJET
DESIGN MYSPACE - ÉLÉMENTS
ECCK# 13
SIR AS
PROJ
ET
DESIGN MYSPACE - PAGE
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CARRÉ D’AS ENTERTAINMENTPR
OJET
LOGO
tête de lettre, carte de visite
Production et promotion d’artistes.
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FASTLIFE
PROJ
ET
FACE A
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STRICTLY HIP HOP NEWS
ALI VEGAS, ROYCE DA 5’9”,
CAPONE & NOREAGA,
BAD SEED, MYKILL MIERS,
PACEWON
, MAJOR FIG
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50 C
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FEATURING
FEATURING
1 - AFU-RA: "Soul Assassination" 2 - THE DWELLAS: "Leakage" 3 - MYKILL MIERS: "Triggernometry" 4 - STICKY FINGAZ: "Ghetto" 5 - AMIL feat. JAY-Z: "Heard it All" 6 - MAJOR FIGGAZ: "Smooth Thug" Rmx 7 - TOMMY TEE: "Dream On"8 - PHIL DA AGONY: "Kronkite" 9 - LOUIS LOGIC: "Who the fuck are U" 10 - PRODIGY: "Rock dat ****" 11 - 50 CENT: "Slow Doe" 12 - PACEWON: "It's a Secret"
ALI VEGAS, ROYCE DA 5’9”,
CAPONE & NOREAGA,
BAD SEED, MYKILL MIERS,
PACEWON
, MAJOR FIG
GAZ,
50 C
EN
T, L
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1 - ALI VEGAS: "Quiet Money"2 - MYKILL MIERS: "Cut Throat" 3 - ROYCE DA 5'9'': "Friends" 4 - CAPONE & NOREAGA: "The Invicible" 5 - L FUDGE: "The Final Word" 6 - JAY-Z, BEANIE SIGEL & MEMPHIS BLEEK: "Change the Game" 7 - 50 CENT: "Power of the Dollar" 8 - SPORTY THIEVS: "Hit it Up" 9 - PACEWON: "It's a secret" 10 - J-ZONE: "Holly Water" 11 - KARDINAL OFFISHALL: "And What" 12 - BAD SEED: "Pockets" 13 - JAY-Z: "Soon U'll Understand"
1 - ALI VEGAS: "Quiet Money"2 - MYKILL MIERS: "Cut Throat" 3 - ROYCE DA 5'9'': "Friends" 4 - CAPONE & NOREAGA: "The Invicible" 5 - L FUDGE: "The Final Word" 6 - JAY-Z, BEANIE SIGEL & MEMPHIS BLEEK: "Change the Game" 7 - 50 CENT: "Power of the Dollar" 8 - SPORTY THIEVS: "Hit it Up" 9 - PACEWON: "It's a secret" 10 - J-ZONE: "Holly Water" 11 - KARDINAL OFFISHALL: "And What" 12 - BAD SEED: "Pockets" 13 - JAY-Z: "Soon U'll Understand"
1 - AFU-RA: "Soul Assassination" 2 - THE DWELLAS: "Leakage" 3 - MYKILL MIERS: "Triggernometry" 4 - STICKY FINGAZ: "Ghetto" 5 - AMIL feat. JAY-Z: "Heard it All" 6 - MAJOR FIGGAZ: "Smooth Thug" Rmx 7 - TOMMY TEE: "Dream On"8 - PHIL DA AGONY: "Kronkite" 9 - LOUIS LOGIC: "Who the fuck are U" 10 - PRODIGY: "Rock dat ****" 11 - 50 CENT: "Slow Doe" 12 - PACEWON: "It's a Secret"
STRICTLY HIP HOP NEWS
20012001
FACE B
FACE A
VOL.1VOL.1
01 - USHER “Pop ya collar”02 - MYA “Free”03 - JENNIFER LOPEZ “That’s the way”04 - BOYZ II MEN “Good guy”05 - CRAIG DAVID “Walking away”06 - AL JARREAU feat. PHIFE DAWG “In my music”07 - DAMOZEL “You don’t know me”08 - BEATNUTS “Hood thing”09 - CHARLIE WILSON “Absolutely”10 - CARL THOMAS “Emotional”11 - TONI ESTES “Independent lady”12 - CRAIG DAVID & GURU “No more”
01 - USHER “Pop ya collar”02 - MYA “Free”03 - JENNIFER LOPEZ “That’s the way”04 - BOYZ II MEN “Good guy”05 - CRAIG DAVID “Walking away”06 - AL JARREAU feat. PHIFE DAWG “In my music”07 - DAMOZEL “You don’t know me”08 - BEATNUTS “Hood thing”09 - CHARLIE WILSON “Absolutely”10 - CARL THOMAS “Emotional”11 - TONI ESTES “Independent lady”12 - CRAIG DAVID & GURU “No more”
01 - DREAMS “It’s over”02 - 112 “Peaches & cream”03 - BABYFACE “There she goes”04 - ERIC BENNET “Love don’t love me”05 - KANDI “Cheatin’ on me”06 - BRIAN MC KNIGHT “Played yourself”07 - ASHLEY BALLARD “Hottie”08 - DAMOZEL “What goes around”09 - BLUE CANTRELL “Hit’ em up style”10 - CHAUNCEY BLACK “Shame on you”11 - LIL’MO “Superwoman”12 - R KELLY “Fiesta”13 - DAVE HOLLISTER “One woman man”
01 - DREAMS “It’s over”02 - 112 “Peaches & cream”03 - BABYFACE “There she goes”04 - ERIC BENNET “Love don’t love me”05 - KANDI “Cheatin’ on me”06 - BRIAN MC KNIGHT “Played yourself”07 - ASHLEY BALLARD “Hottie”08 - DAMOZEL “What goes around”09 - BLUE CANTRELL “Hit’ em up style”10 - CHAUNCEY BLACK “Shame on you”11 - LIL’MO “Superwoman”12 - R KELLY “Fiesta”13 - DAVE HOLLISTER “One woman man”
USHER, JENNIFER LOPEZ,
DAMOZEL, BEATNUTS, AL JARRREAU,
CHAUNCEY BLACK, DAVE HOLLISTER,
ERIC BENNET, 112 …
FEATURING
Strictly R’n’B
20012001R’n’B
FEATURING
USHER, JENNIFER LOPEZ,
DAMOZEL, BEATNUTS, AL JARRREAU,
CHAUNCEY BLACK, DAVE HOLLISTER,
ERIC BENNET, 112 …
1 - EAST FLATBUSH PROJECT “Ruste Juxx”2 - ALI VEGAS “Brothas Respect Mine”3 - SMUT PEDDLERS “Medicated Minutes”4 - MR. CHALLISH “Money”5 - MASTA ACE “Ghetto like”6 - MAU MAU “Black is Black”7 - BLACK OPZ “Battlecry”8 - APATHY & CELPH TITLED “Chrome Depot Freestlyle”9 - BIG L & C-TOWN “Still Here”10 - SHOCKWAVE “This Generation”11 - BAD SEED “Would You Luh Me ?”12 - AZ “Problems”13 - OBIE TRICE “Mr.Trice”
1 - EAST FLATBUSH PROJECT “Ruste Juxx”2 - ALI VEGAS “Brothas Respect Mine”3 - SMUT PEDDLERS “Medicated Minutes”4 - MR. CHALLISH “Money”5 - MASTA ACE “Ghetto like”6 - MAU MAU “Black is Black”7 - BLACK OPZ “Battlecry”8 - APATHY & CELPH TITLED “Chrome Depot Freestlyle”9 - BIG L & C-TOWN “Still Here”10 - SHOCKWAVE “This Generation”11 - BAD SEED “Would You Luh Me ?”12 - AZ “Problems”13 - OBIE TRICE “Mr.Trice”
FACE A
FACE B
STRICTLY HIP HOP NEWS
FEATURING
FEATURING
STRICTLY HIP HOP NEWS
EAST FLATBUSH PROJECT, BAD SEED,
ALI VEGAS, BEATNUTS, MASTA ACE,
TALIB
KWELI, QB FIN
EST, SMUT PEDDLERS,
CRAIG
MACK, SOLITAIR
, OBIE TRICE …
EAST FLATBUSH PROJECT, BAD SEED,
ALI VEGAS, BEATNUTS, MASTA ACE,
TALIB
KWELI, QB FIN
EST, SMUT PEDDLERS,
CRAIG
MACK, SOLITAIR
, OBIE TRICE …
1 - CRAIG MACK “What Up 4,5”2 - BEATNUTS “No Escaping”3 - BAD SEED “Uhhnnh”4 - AKBAR “Hoy Ya Hot”5 - SOLITAIR “No Doubt”6 - OUTSIDAZ “Keep On”7 - NATURE “The Needle”8 - SADAT X “Cock It Back”9 - LIL’ KIM “Rockin”10 - NAS “Find Ya Wealth”11 - ALI VEGAS “Theme of New York”12 - D.V “Rejuvenation”13 - RASKO “Guns Still Hot”14 - TALIB KWELI “Eternalists”
1 - CRAIG MACK “What Up 4,5”2 - BEATNUTS “No Escaping”3 - BAD SEED “Uhhnnh”4 - AKBAR “Hoy Ya Hot”5 - SOLITAIR “No Doubt”6 - OUTSIDAZ “Keep On”7 - NATURE “The Needle”8 - SADAT X “Cock It Back”9 - LIL’ KIM “Rockin”10 - NAS “Find Ya Wealth”11 - ALI VEGAS “Theme of New York”12 - D.V “Rejuvenation”13 - RASKO “Guns Still Hot”14 - TALIB KWELI “Eternalists”
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FACE B
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STRICTLY HIP HOP NEWS
FEATURING
STRICTLY HIP HOP NEWS
SKREWBALL, CALI AGENT,
SAUNA, ROYCE DA 5’9’’, JAY DEE,
CAPONE & NOREAGA, PLANET ASIA,
ALI VEGAS, RISE, B1, LARGE PROFESSOR …
SKREWBALL, CALI AGENT,
SAUNA, ROYCE DA 5’9’’, JAY DEE,
CAPONE & NOREAGA, PLANET ASIA,
ALI VEGAS, RISE, B1, LARGE PROFESSOR …
1 - M BOOGIE feat. BUCKSHOT “The Real”2 - ALI VEGAS “The Specialist”3 - COMMON - Unrealeased4 - JAY DEE feat. FRANK N DANK “Pause”5 - PLANET ASIA “It’s On”6 - PHIL DA AGONY “Gold Medalist”7 - RISE “Memories”8 - X ZIBIT “Alkaholik”9 - SNOOP DOG “Issue”10 - JAY DEE “Kingz Kounty”11 - LARGE PROFESSOR “Back to Back”12 - HELTAH SKELTA “Caca Gosa Vixen”13 - DILATED PEOPLE “Right and Exact”
1 - ROYCE DA 5’9’’ “Let’s grow”2 - SCREWBALL feat. NATURE “The Block”3 - SAUKRATES feat. REDMAN “W.K.Y.A”4 - GRAND PUBA “Up & Down”5 - NAS “The second coming”6 - CALI AGENT “Neva forget”7 - SAUNA “Orchestrated Heat”8 - LADY LUCK feat. REDMAN “Come get it”9 - B1 “How we live”10 - SCARFACE feat. JAY Z “Get Out”11 - 50 CENT “Jackin for Jay Z”12 - CAPONE & NOREAGA “B EZ”13 - JAY DEE “It’s like that”14 - SWOLLEN MEMBERS “Temptation”
20012001
1 - ROYCE DA 5’9’’ “Let’s grow”2 - SCREWBALL feat. NATURE “The Block”3 - SAUKRATES feat. REDMAN “W.K.Y.A”4 - GRAND PUBA “Up & Down”5 - NAS “The second coming”6 - CALI AGENT “Neva forget”7 - SAUNA “Orchestrated Heat”8 - LADY LUCK feat. REDMAN “Come get it”9 - B1 “How we live”10 - SCARFACE feat. JAY Z “Get Out”11 - 50 CENT “Jackin for Jay Z”12 - CAPONE & NOREAGA “B EZ”13 - JAY DEE “It’s like that”14 - SWOLLEN MEMBERS “Temptation”
1 - M BOOGIE feat. BUCKSHOT “The Real”2 - ALI VEGAS “The Specialist”3 - COMMON - Unrealeased4 - JAY DEE feat. FRANK N DANK “Pause”5 - PLANET ASIA “It’s On”6 - PHIL DA AGONY “Gold Medalist”7 - RISE “Memories”8 - X ZIBIT “Alkaholik”9 - SNOOP DOG “Issue”10 - JAY DEE “Kingz Kounty”11 - LARGE PROFESSOR “Back to Back”12 - HELTAH SKELTA “Caca Gosa Vixen”13 - DILATED PEOPLE “Right and Exact”
FEATURING
FACE B
FACE A
STRICTLY HIP HOP NEWS
FEATURING
2001VOL.4VOL.4
01 - SMUT PEDDLERS “Stank mc’s”02 - DAS EFX “If u luv”03 - MOP & DITC “Pounds ups”04 - M-BOOGIE & TERROR SQUAD “New York, New York”05 - AMAD JAMAL “Rhetoric”06 - BEATNUTS “Contact”07 - EVE “Track 4??”08 - QUEEN PEN “Conversation”09 - BEATMINERZ & FLIPMODE SQUAD “Take that”10 - DJ CLUE & RAEKWON & GHOSTFACE “Cream 2001”11 - JAY DEE “Y ’ all ain’t ready”12 - GROUP HOME “Handle your B.I”13 - DYNAS “My biz”
01 - SMUT PEDDLERS “Stank mc’s”02 - DAS EFX “If u luv”03 - MOP & DITC “Pounds ups”04 - M-BOOGIE & TERROR SQUAD “New York, New York”05 - AMAD JAMAL “Rhetoric”06 - BEATNUTS “Contact”07 - EVE “Track 4??”08 - QUEEN PEN “Conversation”09 - BEATMINERZ & FLIPMODE SQUAD “Take that”10 - DJ CLUE & RAEKWON & GHOSTFACE “Cream 2001”11 - JAY DEE “Y ’ all ain’t ready”12 - GROUP HOME “Handle your B.I”13 - DYNAS “My biz”
01 - JO HELL QUICK MAN “Real recognize”02 - LEXICON “Nikehead”03 - THE LIKS “The best U can”04 - D 12 “Shit on you”05 - J BONE “Same to me”06 - RUN DMC & FAT JOE “Ay Papi”07 - PHIFE DAWG “Miscellanous”08 - RASCO & M-BOOGIE “Bustin”09 - 13 “Slow burnin’”10 - RUN DMC & NAS & PRODIGY “Queens day”11 - ED O.G “What U know”12 - RAIN FLOW “Show on the road”13 - CUT KILLER & COCO BROVAZ “Living legends”
01 - JO HELL QUICK MAN “Real recognize”02 - LEXICON “Nikehead”03 - THE LIKS “The best U can”04 - D 12 “Shit on you”05 - J BONE “Same to me”06 - RUN DMC & FAT JOE “Ay Papi”07 - PHIFE DAWG “Miscellanous”08 - RASCO & M-BOOGIE “Bustin”09 - 13 “Slow burnin’”10 - RUN DMC & NAS & PRODIGY “Queens day”11 - ED O.G “What U know”12 - RAIN FLOW “Show on the road”13 - CUT KILLER & COCO BROVAZ “Living legends”
STRICTLY HIP HOP NEWS
2001
FEATURING
SMUT PEDDLERS, AMAD JAMAL
RAEKWON & GHOSTFACE,
LEXICON, PHIFE DAWG,EVE,
BEATNUTS, 13
, THE LIK
S …
SMUT PEDDLERS, AMAD JAMAL
RAEKWON & GHOSTFACE,
LEXICON, PHIFE DAWG,EVE,
BEATNUTS, 13
, THE LIK
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STRICTLY HIP HOP NEWS
20012001VOL.4
Strictly R’n’B
VOL.1 20012001
COLLECTION MIXTAPES ET CD / PACKAGING
COLLECTION DE MIXTAPES HIP HOP / R’N’B
ECCK# 16
PARAMOUNT /coffrets de noëlPR
OJET
COFFRETS BI PACK / PACKAGING
COFFRETS 3 TITRES WESTERN / PACKAGING
COLLECTION DE COFFRETS THÉMATIQUES DE DVD
ECCK# 17
coffrets de noël / PARAMOUNT
PROJ
ET
COFFRETS 2 TITRES CECIL B DE MILLE / PACKAGING
COFFRETS 2 TITRES JAPANIMATION / PACKAGING
COFFRETS 2 TITRES SUPER HÉROS / PACKAGING
COFFRETS 2 TITRES LES NOUVEAUX ROMANTIQUES
ECCK# 18
PARAMOUNT / opération cadeauPR
OJET
FOURREAUX DVD / PACKAGING
PARAMOUNT - LES INCORRUPTIBLES - RETAIL O-RING - FRANCE
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Chicago, 1931, la Prohibition. Al Capone (Robert De Niro), dieu tout-puissant de la pègre de Chicago, etson gang régnaient sur la ville. Une unité spéciale a été formée, dirigée par l’agent fédéral Eliot Ness (KevinCostner) et son bras droit Malone (Sean Connery). On ne les achetait pas et ils étaient prêts à tout risquerpour arrêter Al Capone. Un film culte de Brian De Palma qui révéla Kevin Costner et Andy Garcia. Une musique de Ennio Morricone. 4 Nominations aux Oscars®
AVERTISSEMENT : Tous les droits de ce DVD sont réservés. Toute utilisation autre que l’usage privé dans le cadre du cercle de famille est strictement interdite.EDV 14. Dolby et le Double-D sont des marques de Dolby Laboratories.
SOUS-TITRES
ES 102900 115 MinEnv.
Anglais, Croate, Français, Grec, Hébreu, Italien, Portugais, Slovène, Espagnol
COULEUR
La bande son Dolby Digital contient jusqu’à 5+1 canauxaudio séparés. La bandeson Dolby Surroundcontient jusqu’à 4 canaux audio encodés. La lecture à partir d’un équipement DVD à 2 sorties est compatibleavec la stéréo et le DolbyPro Logic.
n c5.1 SURROUND
BONUS : Bande-Annonce Cinéma
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FR102900OR
3 333973 157561INTERDIT A LA LOCATION
PARAMOUNT PICTURES PRÉSENTE UNE PRODUCTION ART LINSON UN FILM DE BRIAN DE PALMA“THE UNTOUCHABLES” KEVIN COSTNER CHARLES MARTIN SMITH ANDY GARCIA
ROBERT DE NIRO dans le rôle de AL CAPONE et SEAN CONNERY dans le rôle de MALONE Musique de ENNIO MORRICONE Conseiller artistique PATRIZIA VON BRANDENSTEIN
Montage de JERRY GREENBERG Directeur artistique WILLIAM A. ELLIOTT Directeur de la photographie STEPHEN H. BURUM, A.S.C. Écrit par DAVID MAMET
Produit par ART LINSON Réalisé par BRIAN DE PALMABande originale du film disponible en cassettes et compact disc chez A&M. Lire le livre.TM & Copyright ©1987 by Paramount Pictures Corporation. Tous Droits Réservés.Oscars est une marque de commerce et de service déposée par Academy of Motion Picture Arts and Sciences.
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PARAMOUNT - DIAMANTS SUR CANAPE - RETAIL O-RING - FRANCE
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Vincent ( TOM CRUISE – Minority Report, M:I-2 ) est un tueur à gages calculateur et froid, à la pointe deson art. Max ( JAMIE FOXX – Ray, Ali ) est un chauffeur de taxi rêveur, incapable de passer à l’action.Cette nuit fatidique, Max doit conduire Vincent : une nuit, cinq arrêts, cinq cibles et une cavale. Réunispar hasard et chacun confronté au regard de l’autre, aucun des deux hommes ne sera plus jamais lemême après cette nuit… Cette nuit où tout va basculer.Deux acteurs inoubliables dans un thriller intense, réalisé par MICHAEL MANN, au “rythmeincroyablement dynamique et percutant” (Film Comment), un thriller résumé en un seul mot par le LosAngeles Times : “Perfection".
AVERTISSEMENT : Tous les droits de ce DVD sont réservés. Toute utilisation autre que l’usage privé dans le cadre du cercle de famille est strictement interdite.EDV 14. Dolby et le Double-D sont des marques de Dolby Laboratories.
SOUS-TITRES
EN 110489 115 MinEnv.
SOUS-TITRES DU COMMENTAIRE
COULEUR
La bande son Dolby Digital contient jusqu’à 5+1 canauxaudio séparés. La bandeson Dolby Surroundcontient jusqu’à 4 canaux audio encodés. La lecture à partir d’un équipement DVD à 2 sorties est compatibleavec la stéréo et le DolbyPro Logic.
n c5.1 SURROUND
BONUS : Commentaire du Réalisateur
LANGUES Français, Allemand, Anglais Commentaires anglais
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3 333973 157585INTERDIT A LA LOCATIONA C C O R D P A R E N T A L
DREAMWORKS PICTURES ET PARAMOUNT PICTURES PRÉSENTENTUNE PRODUCTION PARKES/MACDONALD UNE PRODUCTION DE DARABONT/FRIED/RUSSELL UN FILM DE MICHAEL MANN TOM CRUISE JAMIE FOXX “COLLATERAL”JADA PINKETT SMITH MARK RUFFALO PETER BERG BRUCE MCGILL JAMES NEWTON HOWARD JEFFREY KURLAND
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JIM MILLER PAUL RUBELL DAVID WASCO DION BEEBE PAUL CAMERON FRANK DARABONT CHUCK RUSSELLROB FRIED PETER GIULIANO MICHAEL MANN JULIE RICHARDSON STUART BEATTIE MICHAEL MANN
TM & © 2004 DREAMWORKS LLC AND PARAMOUNT PICTURES CORPORATION
PARAMOUNT - IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUEST - RETAIL O-RING - FRANCE
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Un des plus grands westerns de tous les temps, images grandioses, distributionéblouissante, rudesse et sauvagerie du vieux “west”, HENRY FONDA dans le rôle deFranck, le meurtrier implacable et sans remord, CLAUDIA CARDINALE, l’aventurière,CHARLES BRONSON, celui qui ne peut se détacher du souvenir des tortures infligées àson frère, et JASON ROBARDS le métis accusé à tort. La musique inoubliable d’ENNIOMORRICONE a fait le tour du monde et rythme avec brio l’action de ce chef-d’œuvre.
AVERTISSEMENT : Tous les droits de ce DVD sont réservés. Toute utilisation autre que l’usage privé dans le cadre du cercle de famille est strictement interdite.EDV 14. Dolby et le Double-D sont des marques de Dolby Laboratories.
SOUS-TITRES
EN 101999 159 MinEnv. COULEUR
La bande son Dolby Digital contient jusqu’à 5+1 canauxaudio séparés. La bandeson Dolby Surroundcontient jusqu’à 4 canaux audio encodés. La lecture à partir d’un équipement DVD à 2 sorties est compatibleavec la stéréo et leDolby Pro Logic.
n a5.1 MONO
BONUS : COMMENTAIRES - avec la Participation des Réalisateurs John Carpenter, John Milius & Alex Cox, des Historiens du Cinéma Sir Christopher Frayling & Dr Sheldon Hall et des Acteurs & de l’Équipe du film.
LANGUES Anglais Français, Allemand, Espagnol
SOUS-TITRES DU COMMENTAIRE Anglais, Allemand, Espagnol, Français
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3 333973 157547INTERDIT A LA LOCATION
PARAMOUNT PICTURES PRÉSENTEUN FILM DE SERGIO LEONE
CLAUDIA CARDINALE
HENRY FONDA JASON ROBARDS
CHARLES BRONSONDANS
IL ÉTAIT UNE FOIS DANS L’OUESTAVEC GABRIELE FERZETTI WOODY STRODE
AVEC ÉGALEMENT JACK ELAM LIONEL STANDER PAOLO STOPPA FRANK WOLFFKEENAN WYNN RÉALISÉ PAR SERGIO LEONE PRODUIT PAR FULVIO MORSELLA
PRODUCTEUR EXÉCUTIF BINO CICOGNA UNE PRODUCTION RAFRAN – SAN MARCOCOPYRIGHT© 1968 BY PARAMOUNT PICTURES CORPORATION. TOUS DROITS RÉSERVÉS
A C C O R D P A R E N T A L
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PARAMOUNT - IL FAUT SAUVER LE SOLDAT RYAN - RETAIL O-RING - FRANCE
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Consacré par les critiques et plébiscité par les spectateurs à l'échelle internationale, le film de Steven Spielberg, Il faut sauver le soldatryan est un chef-d’œuvre qui a profondément et durablement marqué les esprits du monde entier. Cinq Oscars® ont récompensé ce film:Meilleur Réalisateur, Meilleure Photographie, Meilleur Montage, Meilleur Son et Meilleurs effets sonores. Élu Meilleur Film de l’Annéepar de nombreux groupes de presse dont Time Magazine, USA Today, The New York Times et Entertainment Weekly, il a égalementobtenu les récompenses du Meilleur Film et du Meilleur Réalisateur décernées par les critiques de Los Angeles, Toronto et Broadcast Film.Parallèlement, Spielberg a été élu pour la troisième fois Meilleur Réalisateur par la Guild of America et a obtenu “The Spirit ofNormandy”, une récompense du mérite décernée par Washington, ainsi que la plus haute distinction civile du Département de l’Armée.Sélectionné plus de 160 fois dans les différents Top Ten, Il faut Sauver Le Soldat Ryan a également obtenu de nombreuses autresrécompenses : Golden Globe du Meilleur Film (catégorie Dramatique) et du Meilleur Réalisateur, Meilleur Producteur de la Guild ofAmerica et 10 nominations aux British Academy Film Awards. Il Faut Sauver le Soldat Ryan a été le plus gros succès du box-officeaméricain en 1998.Vue à travers le regard d’une escouade de soldats américains, l’histoire débute le jour du Débarquement au cours de la2 Guerre Mondiale, le long des plages de Normandie. Le capitaine John Miller (Tom Hanks) a pour mission de retrouver le soldatJames Ryan, dont les trois frères sont morts au combat et s’expose ainsi à de nombreux risques. Confrontés à une situation périlleuse,les hommes discutent les ordres. Pourquoi huit hommes risqueraient-ils leur vie pour un seul homme ? Rattrapés par la brutalité de laguerre, chacun cherche sa propre réponse ainsi que la force de vaincre un futur incertain avec honneur, décence et courage.
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SOUS-TITRES
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Env.
Anglais, Arabe, Bulgare, Français, Roumain
COULEUR
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n n5.1 5.1
BONUS : Making of “Into The Breach”, 2 Bandes-Annonces Cinéma,Notes de production, Biographies des acteurs et de l’équipe de tournage
LANGUES Anglais Français
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3 333973 157554INTERDIT A LA LOCATION
TOUS DROITS RÉSERVÉS.
CHEFDÉCORATEUR
DIRECTEUR DE LAPHOTOGRAPHIE
CHEFDÉCORATEUR
MONTAGEDE
RÉALISÉPAR
ETCO-PRODUCTEURS
MUSICDE
PRODUITPAR
ÉCRITPAR
ET
ET
PRÉSENTENTUNE PRODUCTION EN ASSOCIATION AVEC
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Double Couche
UN FILM DE
ECCK# 19
opération cadeau / PARAMOUNT
PROJ
ET
FOURREAUX DVD / PACKAGING
PLAQUETTE ARGU
PARAMOUNT - GHOST - RETAIL O-RING - FRANCE
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Pensez à la plus touchante histoire d’amour jamais vue. Pensez, aussi, à la plus brillante comédie, la plus stupéfiante histoire surnaturelle et le plus inquiétant thriller. Devez-vous regarder 4 films séparément ? Ou êtes-vous parmi les millions de spectateurs qui ont adoré Ghost ?
Ghost vous surprendra, vous éblouira, vous fera croire à l’incroyable. Patrick Swayzeinterprète un fantôme qui, aidé d’une voyante excentrique (Whoopi Goldberg, Oscar®
du meilleur second rôle 1991) tente de découvrir la vérité sur son propre assassinat et de sauver sa fiancée (Demi Moore) d’un danger similaire.
PARAMOUNT PICTURES PRÉSENTE UNE PRODUCTION DE HOWARD W. KOCH UN FILM DE JERRY ZUCKER PATRICK SWAYZEDEMI MOORE WHOOPI GOLDBERG “GHOST” TONY GOLDWYN Musique de MAURICE JARRE
Réalisation des Costumes RUTH MORLEY Montage WALTER MURCH Chef Décorateur JANE MUSKY Directeur de la Photographie ADAM GREENBERG Producteur Associé BRUCE JOEL RUBIN Producteur Exécutif STEVEN-CHARLES JAFFE
Écrit par BRUCE JOEL RUBIN Produit par LISA WEINSTEIN Réalisé par JERRY ZUCKERTM & COPYRIGHT © 1990 BY PARAMOUNT PICTURES. TOUS DROITS RÉSERVÉS.
OSCAR EST UNE MARQUE DE COMMERCE ET DE SÉRIE DÉPOSÉE PAR ACADEMY OF MOTION PICTURE ARTS AND SCIENCES. TOUS DROITS RÉSERVÉS.
Bande originale disponible en Disques, Compact Discs et Cassettes chez Varese-Sarabande.
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SOUS-TITRES
ES 101098 122 MinEnv.
Anglais, Croate, Français, Grec, Hébreu, Italien, Portugais, Slovène, Espagnol
COULEUR
La bande son Dolby Digital contient jusqu’à 5+1 canauxaudio séparés. La bandeson Dolby Surroundcontient jusqu’à 4 canaux audio encodés. La lecture à partir d’un équipement DVD à 2 sorties est compatibleavec la stéréo et le DolbyPro Logic.
n c5.1 SURROUND
BONUS : Bande-Annonce Cinéma, Rétrospective : Ghost : la magie revient, Commentaire du Réalisateur Jerry Zucker et du Scénariste Bruce Joel Rubin
LANGUES Anglais CommentairesFrançais, Italien,Espagnol
cSURROUND
SOUS-TITRES DU COMMENTAIRE Anglais, Français, Italien, Espagnol
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FR101098OR
3 333973 157486INTERDIT A LA LOCATION
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A C C O R D P A R E N T A L
ECCK# 20
PARAMOUNT / trilogie le parrainPR
OJET
Le ParrainOscars
Meilleur acteur, Marlon BrandoMeilleure Image, Albert S. Ruddy
Meilleure adaptation, Mario Puzo, Francis Ford CoppolaGOlden GlObe
Meilleure Image - Drame, Albert S. RuddyMeilleur réalisateur, Francis Ford Coppola
Meilleur acteur - drame, Marlon BrandoMeilleure Musique originale, Nino Rota
Meilleur scénario, Mario Puzo, Francis Ford CoppolabaFTa
Meilleure Musique, Nino Rota
Le Parrain 2Oscars
Meilleur second rôle, Robert de NiroMeilleur décor, Angelo P. Graham, George R. Nelson, Dean Tavoularis
Meilleur réalisateur, Francis Ford CoppolaMeilleure Musique originale, Nino Rota,
Carmine CoppolaMeilleure Image, Francis Ford Coppola,
Fred Roos, Gray FredericksonMeilleure adaptation, Mario Puzo,
Francis Ford Coppola baFTa
Meilleur acteur, Al Pacino
Le Parrain 3OscarsLe Parrain 3 a été nommé dans sept catégories Meilleur second rôle, Andy Garcia Meilleur décor, Dean Tavoularis Meilleure Photo, Gordon WillisMeilleur réalisateur, Francis Ford CoppolaMeilleur Montage, Barry Malkin, Lisa Fruchtman, Walter Murch Meilleure Musique, Carmine Coppola et John Bettis pour « Promise me you’ll remember » Meilleure Image, Francis Ford Coppola
UNE PLUIE DE RÉCOMPENSES le Parrain et ses suites ont été nommés plus de vingt-six fois aux Oscars et ont remporté neuf fois la statuette, puis ont été consacrés par plusieurs Golden Globes et un bafta, équivalent anglais des césars, s’installant ainsi parmi les plus grands films de l’histoire du cinéma mondial.
S teven Spielberg et Georges Lucas, parmi quelques-uns des réalisateurs les plus immenses, définissent cette œuvre comme révolutionnaire.
Eux-mêmes issus de cette génération qu’on a appelée le Nouvel Hollywood et qui ont transformé l’industrie cinématographique, montrent dans les bonus de cette édition comment cette trilogie et son premier opus ont révolutionné la manière de filmer une histoire. Véritable mise en abîme, un des personnages du film parle d’un « nouvel ordre qui renverse l’ancien ». C’est exactement ce qu’a fait Le Parrain, devenant une référence autant par sa musique que par son scénario ou ses dialogues. Cette nouvelle édition permet de découvrir ou de redécouvrir ce qui a fait de cette trilogie une œuvre définitivement culte.
dIsc 1 : l Le Parrain l Commentaires du réalisateur
Francis Ford Coppola
dIsc 2 : l Le Parrain 2 l Commentaires du réalisateur
Francis Ford Coppola
dIsc 3 : l Le Parrain 3l Commentaires du réalisateur
Francis Ford Coppola
dIsc 4 : l Les coulisses du tournagel Scènes supplémentaires l L’arbre généalogiquel Galerie de photosl Bandes-annonces cinémal Récompenses et nominationsl Biographie de l’équipe technique
dIsc 5 : 1 dVd de bOnUs InÉdITs l Le Parrain en référencel Le Parrain et les films
modernes de Gangstersl La restauration d’un filml Le Parrain et le Tapis Rougel 10 choses que vous ne
saviez pas sur Le Parrain
Infos techniques : le ParraIn de Francis Ford coppola
Format 1.85:1, 16:9, Dolby Digital anglais 5.1 Surround, français 5.1 Surround Sous-titres en anglais, français, néerlandais, espagnol
UNE SAGA CULTE
Relations Médias PARAMOUNT HOME ENTERTAINMENT :FHCOM
42, rue des Jeûneurs - 75002 ParisTél. : 01 55 34 24 24 / Fax : 01 55 34 24 25
[email protected] / www.frederic-henry.com
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Paramount Home Entertainment propose une nouvelle édition du Parrain dans un coffret DVD contenant Le Parrain et Le Parrain 2 dans des versions entièrement restaurées, et Le Parrain 3 quant à lui intégralement remasterisé. Pour compléter ce coffret exceptionnel, un nouveau DVD de bonus exclusifs et inédits est joint à celui de la précédente édition. Une occasion de redécouvrir le chef-d’œuvre de Francis Ford Coppola dont le premier opus est classé par l’American Film Institute comme l’un des trois meilleurs films de tous les temps, entre Citizen Kane et Casablanca.
P our redonner toute
la force aux images
de Francis Ford
Coppola et de son directeur
de la photographie Gordon
Willis, un travail minutieux a
été effectué sur les éditions
du Parrain et du Parrain 2
dont les pellicules avaient
subi les ravages du temps.
Les derniers outils techno-
logiques de pointe en ma-
tière de restauration ont été
utilisés sur chaque image,
corrigeant la moindre rayu-
re, tandis qu’un nouvel éta-
lonnage des couleurs pour
le transfert a été supervisé
par Francis Ford Coppola
lui-même, impliqué pen-
dant plus d’une année sur
ce travail titanesque. Les
images retrouvent ainsi
toute la noirceur et toute
la force voulues à l’origi-
ne par l’équipe artistique.
Aussi, pour donner toute
son ampleur à l’ambian-
ce sonore, le son est dé-
sormais remixé en 5.1
sur les trois éditions, que
ce soit en VO ou en VF.
Enfin, un nouveau DVD de
bonus complète les trois
films, soulignant toute l’in-
fluence de la saga dans les
films ou les séries télévi-
sées de ces trente derniè-
res années, de Mafia Blues
aux Sopranos et incluant
les commentaires des plus
grands noms d’Hollywood
tels que Georges Lucas ou
Steven Spielberg. n
A lors que son nouveau film en tant que réalisateur se profile, et après son
grand retour au cinéma à travers L’Homme sans âge, le réalisateur, scénariste et producteur Francis Ford Coppola a déjà montré qu’il excellait quel que soit le genre. On lui doit effectivement les scé-narios de films cultes aussi divers que Paris brûle-t-il ?, Gatsby le Magnifique, la trilogie du Parrain, ou encore un autre de ses chefs-d’œuvre mettant en scène pour la seconde fois Marlon Brando, Apocalypse Now. Des films dont
il a bien souvent été le réalisa-teur comme Dracula de Bram Stocker, la trilogie du Parrain, Outsiders, Peggye Sue s’est mariée ou Apocalypse Now.Enfin, il produit d’autres films très variés comme ceux de sa fille Sofia, avec les succès de Marie-Antoinette ou de Lost In Trans-lation, des séries télévisées à succès qui renouvellent le genre dans lesquels elles sont inscrites, telles que 4400, ou des projets atypiques comme Jeepers Cree-pers ou le American Graffiti de Georges Lucas. n
F rancis Ford Coppola aime à s’entourer de ses proches. Sofia Coppola, fille du réalisateur et elle-même réalisatrice
reconnue pour ses films Lost in Translation ou Marie-Antoinette, interprète Mary, la fille de Mi-chael Corleone, dans le troisième opus, tandis que Talia Shire, éternelle Adrienne dans Roc-ky, qui joue sa tante Connie n’est autre que la véritable sœur de Coppola. De plus, les deux fils du réalisateur sont ici ceux de Tom Hagen (Robert Duvall), le conseiller privé de Michael Corleone. C’est le compositeur Carmine Coppola, le père de Francis Ford Coppola, qui a écrit toutes les musiques directes du film (celles jouées par des orchestres lors de réceptions ou chantées dans le film). Enfin sa mère Italia Coppola apparaît à plusieurs reprises, notamment en remplaçant au pied levé l’actrice Morgana King qui interprétait Mama Corleone et qui refusait d’apparaître dans le cercueil lors de la scène de la veillée funèbre ! n
L e Parrain raconte une histoire d’hommes avant celle d’un individu, celle d’une lignée,
d’une famille, les Corleone, à travers la destinée toute tracée de Michael, fils de Don Vito Corleone, jeune sici-lien qui de son vrai nom Vito Ando-lini était parti en Amérique et avait pris le nom de son village natal pour vivre le rêve de milliers d’immigrants au début du xxe siècle, et surtout pour fuir la violence de son pays. Don Vito Corleone – interprété par deux géants du cinéma : à l’âge du patriarche par Marlon Brando dans Le Parrain et jeune par Robert de
Niro dans Le Parrain 2 –, avait dit un jour à son fils, lorsqu’il était bébé : « Michael, ton papa est fou de toi, fou de toi » alors qu’il venait de tuer un homme de sang-froid. Passation de pouvoir dans la mort, inscrivant dans le sang le destin de son fils Michael, interprété tout au long des trois films par Al Pacino, magistral dans ce premier grand rôle. Sur plus de 40 ans, on le voit protecteur de sa famille, de LA famille, partagé comme dans la plus intense des tragédies entre un sort auquel il ne peut échapper et une rédemption qu’il ne peut obtenir. n
UNE ÉDITION HAUT DE GAMME
FRANCIS FORD COPPOLA LE PARRAIN, UN HÉRITAGEUne référence au cinéma …
… et à la télévision
UNE HISTOIRE
DE FAMILLE
LA FAMILLE
D e nombreux cinéastes n’auraient certainement pas pu avoir leur vision de la mafia sans le chemin tracé par Le Parrain. Les codes déterminés par Coppola se sont déplacés dans
tout le cinéma qui a suivi, modifiant ainsi la perception que la plupart des gens avaient de la mafia italienne et des gangsters en général.Martin Scorsese par exemple avec Mean Streets, qu’il réalisa quatre ans après Le Parrain, en 1976 (ou Les Affranchis et Casino dans les années 90) reprend les thèmes développés dans la trilogie avec une approche différente et le talent qui lui est propre.William Friedkin, réalisateur de L’Exorciste et de French Connection, assure qu’il n’y aurait pas de série telle que les Sopranos sans Le Parrain qui, dit-il, « est devenu la référence ultime et le mètre étalon en matière de films de gangsters ».Dans le film de Reiner Vous avez un message, le personnage de Tom Hanks cite le film en ces termes : « Le Parrain est la somme de toutes les sagesses. »
David Chase, le créateur de la série Les Sopranos, reconnaît qu’il voulait que sa série parle d’une famille de mafieux car il est issu de la première génération à être allé voir Le Parrain au cinéma. Nombreux d’ailleurs sont les auteurs et cinéastes qui se reconnaissent une filiation avec la saga créée par Francis Ford Coppola.La trilogie du Parrain s’est inscrite dans la culture populaire et l’a impré-gnée comme très peu ont pu le faire. On trouve même des citations et références au Parrain dans des séries et des dessins animés à l’opposé de l’univers dépeint par le réalisateur : les Simpsons avec des épisodes comme « Dernière sortie pour Springfield » ou le « Poney de Lisa », South Park dans l’épisode « Toilet Paper », ou encore Les Griffin, pour n’en citer que quelques-uns. n
UN CASTING
DE RÊVE
S tanley Kubrick considérait Le Parrain comme un des meilleurs films jamais réalisé et son casting comme indubita-
blement le plus parfait. C’est en effet ce que soulignait dans une interview au magazine Vanity Fair son ami et coscénariste Michael Herr. Impossible de contredire un des plus grands cinéastes du xxe siècle devant l’évidence to-tale des choix de Coppola : Marlon Brando, James Caan, Robert Duvall, Robert De Niro, Diane Keaton et Al Pacino, autant de noms par-mi ceux des plus grands acteurs américains. Si la plupart avaient déjà une notoriété bien assise, c’était le premier grand rôle d’Al Pacino qui ainsi damait le pion à des acteurs éméri-tes tels que Martin Sheen, Dean Stockwell, Robert Redford, Warren Beatty ou encore Dustin Hoffman. Une interprétation qui lança la carrière du jeune acteur qu’on retrouvait très peu de temps après dans les rôles-titres de Serpico ou Scarface ! n
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TM, ® & Copyright © 2008 by Paramount Pictures. Tous droits réservés.
"Une histoire d'amour en DVD … un bracelet 'I love you' autour de ton poignet …
Tout est dit ! Rien à ajouter …"
'LE CODE DU DVD' EN RÉSUMÉ :
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Visuels non contractuels. Certaines informations sont susceptibles d’être modifiées suite à des décisions prises par le studio.
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Dites-lui …
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LA FABRIQUEPR
OJET
la fabrique
nouvellescènenationale
à SAINT
BRIEUX
ouverture
septembre
2002
la fabriquesaison 2002-2003
Informations pratiques...Les sallesSalle Pierre-Aimé Touchard :1000 placesSalle Jean-Louis Barrault :560 placesSalle Antoine Vitez :210 places
Les trois salles sontaccessibles aux handicapés
Accueil des personnes handicapéesAfin de mieux vous accueillir, nous vousremercions de bien vouloir nous informer devotre venue.
Les galeries d'expositionOuverture
du mardi au samedide 13h00 à 19h00et les soirs de spectacles.
La librairieOuverture les soirs de spectacles à partir de19h30, lors des vernissages et visitescommentées d'exposition.
Le café du théâtreNicole Flattet et son équipe sont heureux devous accueillirde 12h à minuit au Café du Théâtre.Restaurant-brasserie, Piano-Bar; fermeturedimanche et lundi saufen cas de spectacles.Tél : 02.38.62.98.09
Scène Nationale - LA FABRIQUEDirection Claude Malric
Du mardi au samedi :accueil de 13h à I9h
Renseignements :02 38 62 45 68de 13h à 19h
à SAINT BRIEUX
éditoLa Scène Nationale de Saint-Brieux assure la
gestion de la fabrique de Saint-Brieux qui consti-
tue, avec trois salles de spectacles de 1000, 600
et 210 places, un des plus grands théâtres de
France. La Scène Nationale propose une saison
pluridisciplinaire de spectacles représentatifs de
l'actualité du spectacle vivant, tant en France qu'en
Europe (Théâtre, Danse, Opéras, Concerts,
Spectacles du Monde, Musiques en Liberté, Arts
plastiques,). Elle constitue, en particulier avec son
Centre Musical National et par son association
avec le Centre Chorégraphique National, un lieu de
production artistique de référence dans le champ
de la culture contemporaine. Dans son aire
d'influence départementale, la Scène Nationale
développe de nombreuses actions de développe-
ment culturel permettant une meilleure insertion
sociale des productions artistiques.
Une saisonoù les classiquessont présentés parde jeunes metteursen scènes.1003 coeurs, ou les fragmentsd'un catalogue de Don Juan(en hongrois surtitré en français)
Mise en scène : Lazlo Hudi4, 5, 6 octobre 2002
Une vie de chiende Yves ReynaudMise en scène :Francis Freyburger(Théâtre de la Cruelle)6, 8, 9, 10 novembre 2002
Tête d'orDe Paul ClaudelMise en scène :Claude Buchvald29, 30 novembre 2002
BéréniceDe Jean RacineMise en scène :Lambert Wilson13, 14, 15 décembre 2002
De Beaux Héros en Vérité !D'après les nouvellesde TchekhovMise en scène :Pierre Hoden20, 21, 22 décembre2002
Tamerlan Le GrandDe Christopher Marlowe
Mise en scène :Jean-Baptiste Sastre10, 11, 12 janvier 2003
Juliette et RoméoD'après ShakespeareMise en scène :Irina BrookDu 24 janvierau 1er février 2003
Boris Godounov(en russe surtitré en français)De Alexandre PouchkineMise en scène :Declan Donnellan21, 22, 23 février 2003
Je suis une mouette[non, ce n'est pas ça]D'après "La Mouette"de TchekhovMise en scène :Serge Denoncourt26, 27, 28 mars 2003
La Paix!D'après "Les Acharniens"et "La Paix" d'AristophaneMise en scène :Stéphanie Tesson18, 19, 20 avril 2003
Ay! QuiXoteD'après CervantesMise en scène :Omar Porras(Teatro Malandro)25, 26, 27 avril 2003
SEUL EN SCENEDu 4 au 10 mars 2003
Incredibly Incroyable
Avec Bertrand Bossard
Le Bonheur d'être rougeAvec Cécile GérardLe
merle blancAvec Stéphanie Tesson
L'ange de la mortAvec Delphine Simon30, 31 mai et 1er juin 2003
Saburo Teshigawara"Luminous"12, 13 octobre 2003
Mathilde Monnier"Signé, signés"21, 22 novembre 2003
Merce Cunningham"Summerspace; Interscape"24 novembre 2003
Tom Plischke"Events for television (again)"24 novembre 2003
Madhavi Mudgal"Générations"4 mai 2003
Sasha Waltz"Körper"24, 25 mai 2003Het Hans Hof Ensemble"Ville de nuit"Felix Ruckert"deluxe joy pilot"
Mark Tompkins"Hommages"(à Nijinski, Valesca Guert,Joséphine Baker, Harry...)
ImaginaireDe et par le Cirque Eos14, 15, 16 décembre 2003
Michel HermonChante Marlène Dietrich9 octobre 2003
Week-end"Musiqueet littérature"Laurent Petitgirard18, 19 et 20 janvier 2003
MUSIQUE DU MONDEGoran Bregovic2 octobre 2002
Karan CaseyChanteuse "Solas"23 octobre 2002
Abdel Gadir Salim18 juin 2002
MUSIQUE DE CHAMBRE25 octobre 200214 mars 200316 mai 2003
JAZZ26 octobre 200115 mars 200217 mai 2002
FOLIES ANGLAISESDu 16 au 21 octobre 2002En anglais dans le texte!ChipolatasMusique, animationsdans le hallNigel Charnock "fever"DanseSpymonkey "Stiff"ThéâtreStation HouseOpéra"Mare's nest"Théâtre/vidéoTold by an Idiot"Shoot me inthe heart"
ThéâtreBarry PurvesCarte blanche vidéo
VOIX DE FEMMESMichèle Bernard"L'oiseau noirdu champ fauve"(Cantate pour Louise Michel)13 novembre 2002
Angélique Ionatos"D'un bleu très noir"15 novembre 2002
Les Mouettes16 novembre 2002
SEMAINE CHANSONPascal MathieuA l'issue d'une résidence26 février 2003
Chet27 février 2003
Michèle Atlani28 février 2003
Cyrius1er mars 2003
Tom Novembre2 mars 2003
Avant-programmesusceptible de modifications.Le programme définitif sera
diffusé dans la deuxièmequinzaine de juin, période
d'ouverture des abonnements.
tant de manière d'entendre une chosedans un mot. L'univocité n'existe pas.C'est proprement vertigineux. Dansnotre société dite de communication, ildevient, me semble-t-il, encore pluscompliqué de communiquer. Chaquemot est si propre à exprimer tant pourchacun... Il s'agit pourtant d'un vrai tra-vail sur la danse, même si l'on ne dansepas toujours. Je n'aime pas non plusl'appellation " danse ". Elle ne convientplus. En France, ce mot fait d'embléepenser au ballet, à l'image de la dan-seuse virtuose, à la légèreté du corps.Je n'ai jamais été un danseur très per-formant. Je n'ai jamais cherché àimprimer un style censé être le mien,aux interprètes. C'est un travail de cha-cun au sein du groupe. J'y tiens. Quand
j'ai commencé à faire des spectacles,je n'avais pas plus un passé de dan-seur qu'un passé de littéraire. J'ai faitdes études scientifiques que je me suisempressé de fuir. Dans mes premièrescréations, j'ai mis un pe. Quant auxdanseurs, depuis quinze ans que noustravaillons ensemble, je tiens à ce qu'ily ait chez eux, continuité entre le corpset le mot. C'est le même appareillage.C'est la mêmemécanique. Il me sembleque le corps par nature, émet des sons.Nous travaillons dans ce rapproche-ment, non pour raconter une histoire,ni mettre en scène des psychologies nidémontrer une idée. Il s'agit plutôt de
M… Encore!
septembre 2002
Georges Appaix présente M.encore ! Ilen est aujourd'hui à la lettre M commeM.encore ! selon son choix de suivrel'alphabet de A à Z pour intituler sesballets, à l'instar du philosophe GillesDeleuze qui, dans une excellente sérietélévisée, procédait de la mêmemaniè-re avec les concepts. Il rend hommageau mistral, le vent de sa ville natale,Marseille. Il nous parle de ce travail quimêle la danse, les mots, la musique etles images. Au départ, c'était un jeu.J'avais composé trois pièces dont lestitres commençaient par la lettre A. Unpur hasard. Sur le ton de la plaisante-rie, j'ai pensé : " Il serait temps de pas-ser à la lettre B. " Il s'agit d'unecontrainte amusante qui ouvre desespaces de liberté. En outre, quand leproblème du titre se pose, j'ai toujoursun élément qui est la lettre. Cela permetde jouer sur les mots, comme M qui est, M.encore !... Oui, aimer encore. Jen'élucide pas. C'est sans doute aimerencore le spectacle. Avoir toujours désirde remettre du travail en chantier. Lesmots, c'est une illusion de croire qu'onen garde la maîtrise. Le langage est unimmense privilège mais c'est aussi lasource de grands déséquilibres. Il y a
autour de la Compagnie La Liseuse
mise en scène& chorégraphie
Georges APPAIXmusique
Ray BARRETTOWayne SHORTER
J-S BACHvidéo
Renaud VERCOY
danseconvoquer des textes qui ont un lienavec nos préoccupations. Les corpsalors portent sur eux ces écrits-là.Dans M.encore ! en l'occurrence, Ils'agit de phrases tirées de ses pour-parlers. C'est une ouvre proprementlumineuse. Il y parle donc de la pen-sée comme d'un mouvement, qu'ellesoit souffle ou rafale. Toute chose quim'intéresse beaucoup. Òtre en mou-vement dans son corps et l'être aussidans sa tête, c'est intensément lié.
Interprètes :Jean-Paul BOUREL,François BOUTEAU,Pascale CHERBLANC,Montaine CHEVALIER,Jean-Marc FILLET,Stéphane IMBERT,Sabine MACHER,Agathe PFAUWADELet Georges APPAIXCollaborationpour la dramaturgieChristine RODÈSDurée : 1h
qui le caractérisent, dénude, à force, le point
central.
Teshigawara semble aussi alerte et agissant
qu'une corolle de fleur croissant à vitesse
rapide. Dans la complication des garnitures,
le costume de l'interprète s'accorde ainsi à la
fragilité de la plante, symbole poétique un
rien suranné . Il obtient de donner alors à
entendre une circulation secrète entre son
corps et sa ressemblance, inachevée avec la
fleur. Mais sans doute est-ce aussi, sous le
voile noir du costume, une autre ressem-
blance plus ancienne encore, avec la tradi-
tion celle-là, dont ce vêtement compliqué
réchauffe les vestiges. Dans la seconde par-
tie, Saburo Teshigawara et Key Miyata dansent
un duo lent qui fait contraste avec les images
masse sonore du piano qui résonne, ils la
prennent à pleine main. La musique, ils ne la
miment ni ne s'y glissent,
mais littéralement la brassent,comme une
présence vivante, concrète. Teshigawara
démêle les sons depuis ses doigts écartés,
met sur tel aigu la souplesse de son corps,
tous deux s'immobilisent longuement en de
drôles de postures, stoppées sur le vif sur
un fond de ténèbres. Clin d'oil au bûto ? Au
personnage ces frémissements des doigts
Hier, aujourd'hui, demain, ce pourrait être le
titre de cette pièce, Absolute Zero (1), en trois
parties, du Japonais Saburo Teshigawara,
danseur depuis 1981, et qui fonda en 1985 la
Compagnie Karas (les Corbeaux), avec Key
Miyata. Chaque partie s'ouvre sur deux ou
trois minutes d'images vidéo : prise de vues
accélérée d'une fleur, une belle-de-jour qui
tremblote sous la brise ; silhouettes de pas-
sants floues, en noir et blanc ; tunnel de voie
ferrée avec des puits de lumière. Saburo
Teshigawara se faufile depuis le fond de la
salle, après leur diffusion. Du danseur, éclai-
ré par des spots frontaux, le corps ne s'exhibe
guère. Les mains, le visage glabre, contras-
tent avec un vêtement sombre. Créé à partir
de pièces de tissu noir, superposées, ce cos-
tume donne au corps des allures de rose
noire aux pétales brûlés. Les gestes de
Teshigawara , d'une rapidité stupéfiante,
vibrionnent - les bras surtout- comme des
antennes d'insecte. L'interprète gravite autour
de lui-même. La spirale acquiert, avec lui,
une vitesse d'autant plus étonnante qu'il en
soutient longuement l'effort. Vêtu comme il
l'est, tournant sur lui-même, Saburo
dansechorégraphie
Saburo TESHIGAWARAassistante
Kei MIYATAmusique
Saburo TESHIGAWARAKei MIYATA
Saburo TESH
IGAWARA
juin 2003
Absolute Zero
vous en chanter un autre'... et puiselle s'est éteinte comme ça', se sou-vient-il. C'est à l'adolescence surtoutqu'il a senti le besoin de se nourrirdes riches traditions de son pays. 'Afinde me constituer un répertoire, je suisparti sur les chemins à la recherched'une mémoire, nous confie-t-il. J'aitrouvé beaucoup plus qu'une matière.J'ai rencontré l'âme de ce pays et deces gens à travers leurs regards etleurs paroles. Ils m'ont apprisl'engagement dans cette vie et danscette terre.' Il oeuvre pour que lerenouveau des cultures dites minori-taires s'enracine véritablement dansle terreau social et ne soit pas dévoyéen un phénomène de mode. 'Les puis-santes sociétés de production tententde récupérer les fruits de ce renou-veau. Le public, dans une société enquête de nouvelles valeurs, sans pers-pectives de développement, trouvedans cette démarche de nouvelles res-sources. Ce n'est pas seulement unregard tourné vers le passé qu'il y voit,mais aussi la possibilité d'être lui-
même, de quelque part et relié à unefiliation. L'artiste n'est pas seulementlà pour défendre ses propres intérêts,mais pour interroger son public, leremettre en cause, le réconforteraussi.' Kemener a gardé un lien serréavec ces paysans et ces ouvriers parmilesquels il a grandi. Pour lui, chanter,c'est aussi élever la voix contre la déri-ve du monde. De l'Irak, où il s'estrendu, il a gardé 'un souvenir ému',et de la guerre du Golfe, un sentiment
de colère. 'Cette guerre, comme bonnombre de conflits dans le monde,nous a montré, hélas! la puissance del'argent. Là où cet argent va pouvoirfructifier, transgressant toutes valeurs.Le désastre écologique que nous allonstraverser (la qualité de l'eau, la défo-restation, la manipulation génétique,la vache folle...). Les droits del'homme de plus en plus bafoués, sansparler du chômage et des drames quecela engendre, de la manipulation etdu mensonge dans lequel nous vivons.Qu'allons-nous faire de ces millionsde gens laissés chaque jour sur le borddu chemin? C'est aussi pour cela queje chante: donner du plaisir et ame-ner le public à 'prendre son pied' merend heureux.
YANN FANCH KEMENER chante sa terrebretonne . On sera peut-être étonnéde l'entendre accompagné d'un piano,instrument qui n'appartient pas à latradition de la région. Mais DidierSquiban, son compagnon de musique,met en valeur, par la sobriété de sonjeu et par la fluidité de son phrasé, lasubstance première de ces chantsrecueillis auprès des anciens. Detemps à autre, les images sonores deYann Paranthoën évoquent l'orage oules embruns, le ressac de la mer oula voix vacillante d'un vieillard... Dansson spectacle Kemener réunira lerépertoire d’Ile-Exil (L'OZ Production-Diffusion Breizh), témoignant de sapremière collaboration avec le pianis-te. Il semble avoir hérité du plaisir dechanter qui, déjà, animait sa grand-mère. L'aïeule est d'ailleurs morte enfredonnant. 'Elle nous a dit: 'je vais
Y ann-Fañch KEMENER est un initié : issu d'un
monde rural, il a fréquenté l'école des
anciens. Son apprentissage fut oral et a
capella Depuis sa prime jeunesse, il chante la
tradition et ainsi la perpétue. En quête de l'identité de
son pays, la Bretagne, a travers le temps, la
littérature, les légendes et la musique (gwerzioù,
ballades, séries, berceuses), un homme franchit les
trois étapes d'une vie, de la naissance à l'au-delà...
Yann-fañch Kemener est le messager de la Bretagne
d'hier et de demain. Yann-fañch Kemener travaille
depuis longtemps sur le vaste répertoire des chants à
danser qui continue de captiver l'inconscient collectif
du peuple de Centre-Bretagne. Dans cette région, le
Kan ha Diskan, chant à danser, demeure le mode
d'expression privilégié et ne semble rien vouloir
céder de ses prérogatives face aux autres formes,
duos de sonneurs, en tête.
chantYann Fañch KEMENERpianoDidier SQUIBANmise en espaceet en lumièreHervé Lelardouximages sonoresYann PARANTHOËN
autour deYann-fãnch KEMENERIle-
Exilsepte
mbre 2002 gwerz
Placer le corps au plus près de l’image
Danse escaladeAttention, les danseurs quittent
le plancher! Quand la scène ne leur suffit
plus, ils rentrent dans la troisième dimen-
sion en se libérant de la pesanteur. Au festi-
val "Ile danse" qui a lieu chaque année en
C o r s e ,
les danseurs alpinistes de la Compagnie
Retouramont s'attaquent à la verticale.
Fabrice, danseur Cie Retouramont : J'ai com-
mencé par un travail sur le rocher, par
l'escalade, petit à petit j'ai eu envie d'utiliser
cette dimension verticale pour raconter des
histoires, essayer d'habiter cette verticale. Il
y a même une nécessité sociale à se réap-
proprier l'espace urbain. C'est la ville entiè-
re qui devient un espace de jeu donc c'est
sur que c'est une liberté terrible, c'est une
espèce de rêve de voir sur cet espace quo-
tidien des gens qui vont sauter, qui vont pla-
ner, qui vont chorégraphier quelque chose.
Pour Geneviève, chorégraphe, la danse
découvre un nouveau monde. On est à
quelques mètres du sol, il y a cette notion de
danger, il ne faut jamais paniquer. On a ce sol
qui est loin de soi et on a ce sol qui est ver-
ticale et qu'on a sous ses pieds ou des fois
sous les mains mais on en a deux et il faut
pieds à ce moment là, l'espace arpenter des
vidente entre les astronautes en apesanteur
et la danse. En décrivant une trajectoire para-
bolique, l'avion supprime pendant 25
secondes, les effets de la gravité. On flotte
alors dans l'espace comme des cosmonautes
sur orbite. Loin d'être un simple travail de
saltimbanques, ces recherches ont permis
d'élaborer des méthodes d'entraînement pour
lutter contre les troubles psychosensoriels
arriver à gérer avec les deux. C'est une autre
façon d'organisation du corps. Je trouve qu'il
y a une motivation qui est très concrète et ça
donne un mouvement très concret, il faut
monter, il faut descendre, si on met pas les
rencontrés par les astronautes en apesan-
teur. Pour étoffer son travail, Kitsou Dubois
utilise l'eau, un élément qui permet au corps
de retrouver les conditions du vol parabo-
lique. Mais pour tous ces artistes, la finalité
de ces expériences est le retour sur les
planches. Entre vide et non vide, poids et
absence de poids, les danseurs inventent des
gestuelles et des mises en scène qu'ils nous
font partager en spectacle. En recréant ainsi
leurs vertiges, ils nous ouvrent les portes de
l'espace.
Interprètes :Yann Desbrosses
Yves FauchonFabrice Guillot
Geneviève MazinIsabelle Pinon
Création des images :Thibault BelfaudileBaptiste Volobstall
Thierry N’GuyenMichael Menard
SupinfocomDurée : 1h
chorégraphieGeneviève MAZINFabrice GUILLOT
Compositeur,interprète
Jefferson LENBEYEdanse
Avalanc
he intérieu
re
novembre 2002
Helikopter
"Lors de la première audition d’Helikopter
Quartet de Karl heinz Stockhausen, l’idée de
créer une pièce chorégraphique sur cette
musique ne m’a pas du tout effleuré l’esprit
tant cette musique et danse. C’est cependant
pour cette raison même qu’à la seconde
écoute, le désir jubilatoire de se confronter
aux entrelacs des turbines d’hélicoptères et
des glissendi du Quatuor Arditi s’est imposé
"Ce projet est une recherche à laquelle ont
pris part les douze danseurs hommes de la
compagnie : travail sur le masculin et travail
sur le corps, surtout.
Le plateau ponctué par 6 tables (de travail ?
de dissection ? des matières ?) sera un espa-
ce d’interrogation, de mise à plat d’une acui-
té récurrente face à un te prend le pas sur
l’expérience physique ".
d’une façon irrépressible. Exposer 6 danseurs
aux rythmes effrénés et technorganiques de
cette pièce, tel sera l’enjeu de cette création
".
chorégraphieGeneviève MAZINFabrice GUILLOT
Compositeur,interprète
Jefferson LENBEYE
chorégraphieGeneviève MAZINFabrice GUILLOT
Compositeur,interprète
Jefferson LENBEYE
Interprètes :Yann Desbrosses
Yves FauchonFabrice Guillot
Geneviève MazinIsabelle Pinon
Création des images :Thibault BelfaudileBaptiste Volobstall
Thierry N’GuyenMichael Menard
SupinfocomDurée : 1h
Interprètes :Yann Desbrosses
Yves FauchonFabrice Guillot
Geneviève MazinIsabelle Pinon
Création des images :Thibault BelfaudileBaptiste Volobstall
Thierry N’GuyenMichael Menard
SupinfocomDurée : 1h
MC 14/22(Ceci est mon corps) danse
Angelin
PRELJO
CAJ
juin 2003
C'est en 1982, à Trouville, que Durasdicte à son compagnon, YannAndréa, ces quelques pagesintenses (1), comme un défi à luilancé, dans le huis clos d'un appar-tement au bord de la mer où ilsboivent plus que de raison, mais laraison n'a rien à voir dans l'histoire.Elle imagine qu'un homme (lui?),qui n'aurait de sa vie voulu ni frôléune femme, essaierait, pour voir,quitte à payer pour ça...VOICI donc sur scène cet hommeet cette femme. Lui, c'est MichelPiccoli, homme d'âge qui pourraitêtre un enfant, revêtu d'une sortede soutane. Quelque chose d'unprêtre (on songe au GeorgesBataille de 'l'Abbé C.', qui parlaitvolontiers de 'charogne ecclésias-tique'). Elle, c'est Lucinda Childs,sa grâce froide de danseuse mini-maliste, avec une perruque de mar-quise pour boîte de chocolats ven-dus chez Tiffany, dans une longuerobe gris souris au tissu chatoyant,
nantie d'une traîne qui la transfor-me en sirène mondaine. Et nepense-t-on pas à son endroit, deloin, à Delphine Seyrig, figureemblématique chez Duras? Ici sedonne la tragicomédie del'assouvissement du désir impos-sible, l'un et l'autre se répartissantle dire, au fil d'une chorégraphiescrupuleuse tramée sur une lignede fuite oblique. Jeu tout en rup-tures, avec ce qui paraîtrait -ailleurs - comme des incongruités,des bascules de son et de lumièreau sein d'un éclairage gelé (deWilson aussi) quand la musique deHans Peter Kuhn surgit quasi à
l'improviste, mêlée de cris demouette trouant un silence bleu.Un parcours déchirant et grotesque(Piccoli vers la fin sur le dos, telun scarabée, Lucinda Childs drapéedans un éternel féminin inacces-sible), avec des bouffées symbo-listes, des traces maniéristes, desoudaines cruautés de sens quivous percent ainsi que des flèches.Qu'en est-il, là, de l'homme face àla femme, de son impuissance às'y fondre entièrement? Demanded'amour inextinguible de vieille
dame indigne écrivant? Définitifconstat de séparation de corpsentre les sexes? Démonstrationontologique, en creux, du caractè-re inéluctable de l'homosexualité?Et si la mort c'était cette femmeglaciale, intouchée, intouchable?Tout cela se subodore, pêle-mêle,aucunement asséné, avec une vir-tuosité dialectique digne du plusvif éloge, qui permet au spectateurd'organiser son propre théâtre inti-me devant ces questions essen-tielles, par définition sans réponse.
(1) 'La Maladie de la mort' estpubliée aux Editions de Minuit. Surles circonstances de la composi-tion de ce texte, voir 'M.D.', parYann Andréa, même maison.
M arguerite Duras publiait 'la
Maladie de la mort' en 1982.
Robert Wilson porte ce texte à la
scène. On se résignerait presque au tout-venant
(a-t-on vraiment le choix?), à la convention
naturaliste la plus éculée - la rentrée dans le
théâtre privé est là pour ça - et puis l'on tombe
sur 'la Maladie de la mort', mise en scène de
Robert Wilson sur le texte fameux de Marguerite
Duras. On se reprend du coup à espérer. L'art, au
théâtre, cela existe encore. On peut être, le temps
de la représentation, tour à tour ou en même
temps surpris, irrité, fasciné, conquis, sans que
jamais l'émotion esthétique, malgré les
raffinements techniques déployés, sente si peu
que ce soit la besogne. Tout se passe comme si ce
texte, à la fois précis et allusif, sensiblement
abstrait dans sa visée d'écriture, se mettait
soudain à trouver son mode d'emploi concret
tandis que son poids d'énigme délibérée semble
miraculeusement préservé. Wilson n'illustre pas,
n'explique rien. Il interprète à sa façon. Ce
morceau de littérature, il le sublime. Forcément.
la maladiede la mort
janvier 2003
danse
autour de Marguerite DURAS
mise en scèneRobert WILSONdiction du texteMichel PICCOLLILucinda CHILDSimprovisation musicaleQuatuor IXIengagement des corpsDuo-Danse
affiche programme
Centre culturel.
ECCK# 27
LA FABRIQUE
PROJ
ET
Saint-Brieuxmulti-art média
N°01mens
uel cultur
el
édité parla fabriqu
e
septembre 2002
éditoLa Scène Nationale de Saint-Brieux assure la
gestion de la fabrique de Saint-Brieux qui
constitue, avec trois salles de spectacles de
1000, 600 et 210 places, un des plus grands
théâtres de France. La Scène Nationale propo-
se une saison pluridisciplinaire de spectacles
représentatifs de l'actualité du spectacle
vivant, tant en France qu'en Europe (Théâtre,
Danse, Opéras, Concerts, Spectacles du Monde,
Musiques en Liberté, Arts plastiques,). Elle
constitue, en particulier avec son Centre
Musical National et par son association avec
le Centre Chorégraphique National, un lieu de
production artistique de référence dans le
champ de la culture contemporaine. Dans son
aire d'influence départementale, la Scène
Nationale développe de nombreuses actions
de développement culturel permettant une
meilleure insertion sociale des productions
artistiques.
ATTENTION, LES DANSEURSQUITTENT LE PLANCHER!Quand la scène ne leur suffit plus, ils rentrentdans la troisième dimension en se libérant dela pesanteur. Au festival "Ile danse" qui a lieuchaque année en Corse,les danseurs alpinistes de la CompagnieRetouramont s'attaquent à la verticale.Fabrice, danseur Cie Retouramont : J'aicommencé par un travail sur le rocher, parl'escalade, petit à petit j'ai eu envie d'utilisercette dimension verticale pour raconter deshistoires, essayer d'habiter cette verticale. Il ya même une nécessité sociale à seréapproprier l'espace urbain. C'est la villeentière qui devient un espace de jeu doncc'est sur que c'est une liberté terrible, c'estune espèce de rêve de voir sur cet espacequotidien des gens qui vont sauter, qui vontplaner, qui vont chorégraphier quelque chose.1003 coeurs, ou les fragmentsd'un catalogue de Don Juan(en hongrois surtitré en français)Mise en scène : Lazlo Hudi4, 5, 6 octobre 2002
Pour GENEVIÈVE, CHORÉGRAPHE, la dansedécouvre un nouveau monde. On est àquelques mètres du sol, il y a cette notion dedanger, il ne faut jamais paniquer. On a ce solqui est loin de soi et on a ce sol qui estverticale et qu'on a sous ses pieds ou des foissous les mains mais on en a deux et il fautarriver à gérer avec les deux. C'est une autrefaçon d'organisation du corps. Je trouve qu'ily a une motivation qui est très concrète et çadonne un mouvement très concret, il fautmonter, il faut descendre, si on met pas lespieds à ce moment là, l'espace change, onpeut pas faire une voltige, alors il y a quelquechose de très concret.Une vie de chiende Yves ReynaudMise en scène : Francis Freyburger(Théâtre de la Cruelle)6, 8, 9, 10 novembre 2002
Si LA COMPAGNIE RETOURAMONT peutarpenter des verticales et maîtriser la chute,c'est grâce aux nouvelles techniques venuesde l'alpinisme et du saut à l'élastique. Maisd'autres chorégraphes vont encore plus haut :Kitsou Dubois collabore avec le CentreNational d'Etudes Spatiales pour expérimenterl'apesanteur, la vraie. Nous danseurs, onpasse notre temps à défier les lois de lagravité, donc il y a une analogie à peu prèsévidente entre les astronautes en apesanteuret la danse. En décrivant une trajectoireparabolique, l'avion supprime pendant 25secondes, les effets de la gravité. On flottealors dans l'espace comme des cosmonautessur orbite. Loin d'être un simple travail desaltimbanques, ces recherches ont permisd'élaborer des méthodes d'entraînement pourlutter contre les troubles psychosensorielsrencontrés par les astronautes en apesanteur.Pour étoffer son travail, Kitsou Dubois utilisel'eau, un élément qui permet au corps deretrouver les conditions du vol parabolique.Mais pour tous ces artistes, la finalité de cesexpériences est le retour sur les planches.Entre vide et non vide, poids et absence depoids, les danseurs inventent des gestuelleset des mises en scène qu'ils nous fontpartager en spectacle. En recréant ainsi leursvertiges, ils nous ouvrent les portes del'espace.Tête d'orDe Paul ClaudelMise en scène : Claude Buchvald29, 30 novembre 2002
Quand la scène ne leur suffit plus, ils rentrentdans LA TROISIÈME DIMENSION en selibérant de la pesanteur. Au festival "Iledanse" qui a lieu chaque année en Corse, lesdanseurs alpinistes de la CompagnieRetouramont s'attaquent à la verticale.Fabrice, danseur Cie Retouramont : J'aicommencé par un travail sur le rocher, parl'escalade, petit à petit j'ai eu envie d'utilisercette dimension verticale pour raconter deshistoires, essayer d'habiter cette verticale. Il ya même une nécessité sociale à seréapproprier l'espace urbain. C'est la villeentière qui devient un espace de jeu doncc'est sur que c'est une liberté terrible, c'estune espèce de rêve de voir sur cet espacequotidien des gens qui vont sauter, qui vontplaner, qui vont chorégraphier quelque chose.1003 coeurs, ou les fragmentsd'un catalogue de Don Juan(en hongrois surtitré en français)Mise en scène : Lazlo Hudi4, 5, 6 octobre 2002
On est à quelques mètres du sol,IL Y A CETTE NOTION DE DANGER,il ne faut jamais paniquer. On a ce sol quiest loin de soi et on a ce sol qui estverticale et qu'on a sous ses pieds oudes fois sous les mains mais on ena deux et il faut arriver à gérer avecles deux. C'est une autre façond'organisation du corps. Je trouve qu'ily a une motivation qui est très concrèteet ça donne un mouvement très concret,il faut monter, il faut descendre,si on met pas les pieds à cemoment là, l'espace change,on peut pas faire une voltige,chose de très concret.Une vie de chiende Yves ReynaudMise en scène : Francis Freyburger(Théâtre de la Cruelle)6, 8, 9, 10 novembre 2002
Si la compagnie Retouramont peut arpenterdes verticales et MAÎTRISER LA CHUTE,c'est grâce aux nouvelles techniques venuesde l'alpinisme et du saut à l'élastique. Maisd'autres chorégraphes vont encore plus haut :Kitsou Dubois collabore avec le CentreNational d'Etudes Spatiales pour expérimenterl'apesanteur, la vraie. Nous danseurs, onpasse notre temps à défier les lois de lagravité, donc il y a une analogie à peu prèsévidente entre les astronautes en apesanteuret la danse.Tête d'orDe Paul ClaudelMise en scène : Claude Buchvald29, 30 novembre 2002
En décrivant une trajectoire parabolique,l'avion supprime pendant 25 secondes,les effets de la gravité. On flotte alorsdans l'espace comme des cosmonautessur orbite. Loin d'être un simple travailde d'élaborer des méui permet au corpsde retrouver les ces artistes, la finalitéde ces expériences est le retour surles planches. poids, les danseursinventent les portes de l'espace.1003 coeurs, ou les fragmentsd'un catalogue de Don JuanMise en scène : Lazlo Hudi4, 5, 6 octobre 2002
YANN FANCH KEMENERCHANTE SA TERRE BRETONNE .On sera peut-être étonné de l'entendre accompagné d'un piano, instru-
ment qui n'appartient pas à la tradition de la région. Mais Didier Squiban,
son compagnon de musique, met en valeur, par la sobriété de son jeu et
par la fluidité de son phrasé, la substance première de ces chants
recueillis auprès des anciens. De temps à autre, les images sonores de
Yann Paranthoën évoquent l'orage ou les embruns, le ressac de la mer
ou la voix vacillante d'un vieillard... Dans son spectacle Kemener réuni-
ra le répertoire d’Ile-Exil (L'OZ Production-Diffusion Breizh), témoignant
de sa première collaboration avec le pianiste. Il semble avoir hérité du
plaisir de chanter qui, déjà, animait sa grand-mère. L'aïeule est d'ailleurs
morte en fredonnant. 'Elle nous a dit: 'je vais vous en chanter un autre'...
et puis elle s'est éteinte comme ça', se souvient-il. C'est à l'adolescence
surtout qu'il a senti le besoin de se nourrir des riches traditions de son
pays. 'Afin de me constituer un répertoire, je suis parti sur les chemins
à la recherche d'une mémoire, nous confie-t-il. J'ai trouvé beaucoup
plus qu'une matière. J'ai rencontré l'âme de ce pays et de ces gens à
travers leurs regards et leurs paroles. Ils m'ont appris l'engagement
dans cette vie et dans cette terre.' Il oeuvre pour que le renouveau des
cultures dites minoritaires s'enracine véritablement dans le terreau
social et ne soit pas dévoyé en un phénomène de mode. 'Les puissantes
sociétés de production tentent de récupérer les fruits de ce renouveau.
Le public, dans une société en quête de nouvelles valeurs, sans pers-
pectives de développement, trouve dans cette démarche de nouvelles res-
sources. Ce n'est pas seulement un regard tourné vers le passé qu'il y
voit, mais aussi la possibilité d'être lui-même, de quelque part et relié
à une filiation. L'artiste n'est pas seulement là pour défendre ses propres
intérêts, mais pour interroger son public, le remettre en cause, le récon-
forter aussi.' Kemener a gardé un lien serré avec ces paysans et ces
ouvriers parmi lesquels il a grandi. Pour lui, chanter, c'est aussi élever
la voix contre la dérive du monde. De l'Irak, où il s'est rendu, il a gardé
'un souvenir ému', et de la guerre du Golfe, un sentiment de colère.
'Cette guerre, comme bon nombre de conflits dans le monde, nous a
montré, hélas! la puissance de l'argent. Là où cet argent va pouvoir
fructifier, transgressant toutes valeurs. Le désastre écologique que nous
allons traverser (la qualité de l'eau, la déforestation, la manipulation
génétique, la vache folle...). Les droits de l'homme de plus en plus
bafoués, sans parler du chômage et des drames que cela engendre, de
la manipulation et du mensonge dans lequel nous vivons. Qu'allons-
nous faire de ces millions de gens laissés chaque jour sur le bord du che-
min? C'est aussi pour cela que je chante: donner du plaisir et amener
le public à 'prendre son pied' me rend heureux.
BRÈVES
édité par
LA FABRIQUErédacteur en chef :
Claude Malricjournal istes :
Jean-Paul BOUREL,François BOUTEAU,
Pascale CHERBLANC,Montaine CHEVALIER,Jean-Marc FILLET,Stéphane IMBERT,Sabine MACHER,
Agathe PFAUWADELet Georges APPAIX
rubriques:Christ ine RODÈS
pigistes :Yann DesbrossesYves FauchonFabrice Gui l lot
Geneviève MazinIsabel le Pinon
comité de rédact ion :Thibaul t Bel faudi leBapt iste Volobstal lThierry N’GuyenMichael Menard
en français. C'est une littérature qu'on ne peut donc
ignorer. La participation de ces auteurs et lecteurs à des
rencontres et débats contribuera sans doute à enrichir
le festival. Les actions jeunesse / illustrateurspour la jeunesse : La littérature destinée à la
jeunesse connaît un essor remarquable en Afrique fran-
cophone. Parallèlement, le public de jeunes lecteurs
ne cesse de croître et permet
d'espérer que le livre
occupera une place de plus
en plus grande dans les
loisirs. Il est donc nécessaire
d'accompagner cette évolu-
tion favorable en consacrant
une part importante aux
actions en direction des
jeunes et à des ateliers
d'écriture et d'illustration qui contribueront à améliorer
la qualité des ouvrages proposés par les auteurs et les
illustrateurs. Les journées scolaires et universi-taires : Si les rencontres entre auteurs, élèves et
étudiants lors de la première édition du festival ont
été une réussite, c'est parce qu'elles répondaient à
une double attente : celle des élèves n'ayant jamais
l'occasion de dialoguer avec les auteurs dont ils
étudient les ouvrages, et celle des auteurs soucieux
d'entendre l'écho de leurs voix en des lieux insoup-
çonnés. Ces journées scolaires seront donc poursui-
vies et amplifiées cette année. Des spectacles etdes concerts: L'an passé, le Centre Culturel Françaisde Bamako profitait du festival pour présenter deux
pièces de théâtre "La Cocadrille", montée par une
troupe d'Angers, ville jumelée à Bamako, et une pièce
de Bernard-Marie Koltès "Tabataba", préparée par une
troupe malienne. Cette année, des conversations et des
rencontres avec des artistes maliens nous permettront
d'organiser un grand concert réunissant des griots
mandingues et des chanteurs de guerz bretons. Le
chanteur Yann-Fanch Kéméner nous a déjà confirmé
son accord pour participer à cette aventure. Lesrencontres de la presse africaine francophone:Des contacts sont en cours avec la rédaction du premier
quotidien régional français Ouest France et des écoles
de journalistes (EFJ à Lille, IUT information - commu-
nication de Lannion) pour l'organisation de journées
de formation et d'ateliers pour les jeunes journalistes
francophones. Des expositions : De nombreux projetsd'exposition sont à l'étude et notamment une exposi-
tion sur la nouvelle génération d'écrivains africains
proposée par l'Association pour la Diffusion de la
Pensée Française (ADPF). Une programmation defilms documentaires et de fictions : Une large
programmation de documentaires est en préparation,
notamment avec le concours de la chaîne européenne
ARTE et de RFO : portraits d'écrivains, documentaires
sur l'Afrique, récits de voyages seront à l'honneur. Nous
travaillons également à la projection à Bamako du film
adapté du roman de l'écrivain Aminata Sow Fall "La
grève des Battu" (Le Serpent à plumes).
La première édition d'Etonnants Voyageurs, qui
s'est tenue du 15 au 19 février 2001 à Bamako a été
un vrai succès. La presse a bien traduit ce
sentiment, partagé par tous les écrivains présents,
d'avoir participé à un événement fort, intense
Réunir des dizaines d'écrivains, d'hommes de
science et d'éditeurs pour une grande fête du
livre dans un pays d'Afrique pauvre et dont la
population est en majorité analphabète pouvait ressem-
bler à une gageure. ursuive en s'amplifiant, non pas
pour le Mali seulement, mais pour toute l'Afrique. Cette
manifestation a été co-organisée dans un climat de
parfaite entente par l'association malienne "Etonnants
Voyageurs Afrique", présidée par Moussa Konaté et
"Etonnants Voyageurs" que préside Michel Le Bris. Les
deux associations y trouvent leur intérêt : la nécessité
du dialogue et de l'échange vaut pour tous les partici-
pants. Les littératures africaines, en plein essor malgré
les difficultés sans nombre, où tant de voix nouvelles se
font entendre, contribuent fortement à l'enrichissement
du roman d'expression française actuel, à sa diversité,
à son universalité. C'est même un des enjeux de l'année
qui vient : faire connaître et reconnaître pleinement en
France les littératures africaines. Pour que déferle cette
" nouvelle vague africaine " nous imaginons de
prolonger Bamako 2002 par une édition d'Etonnants
Voyageurs, à Saint-Malo, du 16 au 20 mai 2002, sur le
thème de l'Afrique - et, en prenant appui sur ce thème,
de l'élargir à celui du " roman français dans tous ses
états ". Nos perspectives pour Bamako 2002 Nous
n'étions pas venus à Bamako avec l'idée de réussir un
" coup " : la création de l'association "Etonnants
Voyageurs Afrique", notre souci de la voir se développer,
et prendre une part croissante dans l'organisation du
festival en témoigneLes invités : Il ne s'agit pas pour
nous de gonfler chaque année un peu plus le nombre
d'invités. Soixante nous paraît, au vu de l'expérience, un
bon chiffre, en y incluant les écrivains maliens. Par
contre, il nous paraît important que soient présents cette
année (ils ne l'étaient pas en 2001 pour cause de budget
trop faible) : - cinq écrivains de l'Afrique anglophone
pour une confrontation d'expériences qui nous paraît
nécessaire et est d'ailleurs souhaitée par nombre
d'auteurs présents à la première édition,- sept écri-
vains antillais, ou, plus largement, de la francophonie
(la présence cette année de Monique Agénor ou de
Gisèle Pineau, par exemple, a été très positive),- dix
écrivains français de renom. Là aussi la confrontation
d'expérience, les discussions sur la question même de
la littérature sont souhaitées par tous les participants.
Etonnants Voyageursà Bamako 21 - 25 février 2002
R éunir des dizainesd'écrivains, d'hommes de
science et d'éditeurs pour unegrande fête du livre dans unpays d'Afrique pauvre et dontla population est en majoritéanalphabète pouvait ressem-bler à une gageure. ursuive ens'amplifiant, non pas pour le
Mali seulement, mais pourtoute l'Afrique. Cette manifes-tation a été co-organisée dansun climat de parfaite ententepar l'association malienne"Etonnants Voyageurs Afrique",présidée par Moussa Konaté et"Etonnants Voyageurs" quepréside Michel Le Bris. Les
deux associations y trouventleur intérêt : la nécessité dudialogue et de l'échange vautpour tous les participants. Leslittératures africaines, en pleinessor malgré les difficultéssans nombre, où tant de voixnouvelles se font entendre,contribuent fortement à
l'enrichissement du romand'expression française actuel, àsa diversité, à son universalité.C'est même un des enjeux del'année qui vient : faireconnaître et reconnaître plei-nement en France les littéra-tures africaines. Pour quedéferle cette " nouvelle vague
africaine " nous imaginons deprolonger Bamako 2002 parune édition d'EtonnantsVoyageurs, à Saint-Malo, du 16au 20 mai 2002, sur le thèmede l'Afrique - et, en prenantappui sur ce thème, de l'élargirà celui du " roman françaisdans tous ses états ".
Michel LE BRIS Présidentde l'association Etonnants Voyageurs.Né en 1945 à Plougasnou (Finistère),écrivain et essayiste, il dirige depuisdouze ans le Festival International
du Livre de Saint-MaloEtonnants Voyageurs.
Le Café littéraire et les rencontresPour correspondre aux attentes des différents publics
et proposer un maximum d'accès au festival, nous
multiplierons les rencontres en direction des publics
spécifiques (lycées, collèges, universités) autour de
thèmes ou de l'œuvre de l'un des écrivains invités. En
parallèle à ces rencontres, et profitant de la longue
expérience du festival à Saint-Malo, le Café littéraire,
animé par Maëtte Chantrel, se développera : en plein
air, sur la terrasse du Centre Culturel Français de
Bamako, il favorisera les rencontres entre écrivains
dans un grand esprit de convivialité. Les contes :L'an passé, la présence du conteur breton Lucien
Gourong au côté de conteurs maliens avait été l'un des
moments forts du festival. La grande richesse de la
littérature traditionnelle orale africaine n'est plus à
démontrer. Si cette littérature continue d'exister, c'est
parce qu'elle a encore un auditoire
important constitué - potentiellement
- des populations n'ayant pas la
chance de lire ou d'écrire dans
aucune langue. En fait, c'est la litté-
rature populaire par excellence.
Organiser des séances de contes
dans des endroits publics et ouverts,
permettre la rencontre de conteurs
africains et français, donnera au
festival une nouvelle dimension. Des rencontres etdes débats n langues nationales : Il existe au
Mali, comme dans d'autres pays de l'Afrique occiden-
tale francophone (Sénégal, Burkina Faso...) des écri-
vains de langues africaines, nationales ou
sous-régionales telles le peul, le soninké, le bambara,
etc. Leurs lecteurs, le plus souvent, ne s'expriment pas
Les contes : L'an passé, laprésence du conteurbreton Lucien Gourong aucôté de conteurs maliensavait été l'un des momentsforts du festival.
ATTENTION, LES DANSEURSQUITTENT LE PLANCHER!Quand la scène ne leur suffit plus, ils rentrentdans la troisième dimension en se libérant dela pesanteur. Au festival "Ile danse" qui a lieuchaque année en Corse,les danseurs alpinistes de la CompagnieRetouramont s'attaquent à la verticale.Fabrice, danseur Cie Retouramont : J'aicommencé par un travail sur le rocher, parl'escalade, petit à petit j'ai eu envie d'utilisercette dimension verticale pour raconter deshistoires, essayer d'habiter cette verticale. Il ya même une nécessité sociale à seréapproprier l'espace urbain. C'est la villeentière qui devient un espace de jeu doncc'est sur que c'est une liberté terrible, c'estune espèce de rêve de voir sur cet espacequotidien des gens qui vont sauter, qui vontplaner, qui vont chorégraphier quelque chose.1003 coeurs, ou les fragmentsd'un catalogue de Don Juan(en hongrois surtitré en français)Mise en scène : Lazlo Hudi4, 5, 6 octobre 2002
Pour GENEVIÈVE, CHORÉGRAPHE, la dansedécouvre un nouveau monde. On est àquelques mètres du sol, il y a cette notion dedanger, il ne faut jamais paniquer. On a ce solqui est loin de soi et on a ce sol qui estverticale et qu'on a sous ses pieds ou des foissous les mains mais on en a deux et il fautarriver à gérer avec les deux. C'est une autrefaçon d'organisation du corps. Je trouve qu'ily a une motivation qui est très concrète et çadonne un mouvement très concret, il fautmonter, il faut descendre, si on met pas lespieds à ce moment là, l'espace change, onpeut pas faire une voltige, alors il y a quelquechose de très concret.Une vie de chiende Yves ReynaudMise en scène : Francis Freyburger(Théâtre de la Cruelle)6, 8, 9, 10 novembre 2002
Si LA COMPAGNIE RETOURAMONT peutarpenter des verticales et maîtriser la chute,c'est grâce aux nouvelles techniques venuesde l'alpinisme et du saut à l'élastique. Maisd'autres chorégraphes vont encore plus haut :Kitsou Dubois collabore avec le CentreNational d'Etudes Spatiales pour expérimenterl'apesanteur, la vraie. Nous danseurs, onpasse notre temps à défier les lois de lagravité, donc il y a une analogie à peu prèsévidente entre les astronautes en apesanteuret la danse. En décrivant une trajectoireparabolique, l'avion supprime pendant 25secondes, les effets de la gravité.Tête d'orDe Paul ClaudelMise en scène : Claude Buchvald29, 30 novembre 2002
KITSOU DUBOIS utilise l'eau, unélément qui permet au corps de retrouver lesconditions du vol parabolique. Mais pour tousces artistes, la finalité de ces expériences estle retour sur les planches. Entre vide et noninventent des gestuelles et des mises enscène qu'ils nous font partager en spectacle.En recréant ainsi leurs vertiges, ils nousouvrent les portes de l'espace.Une vie de chiende Yves ReynaudMise en scène : Francis Freyburger6, 8, 9, 10 novembre 2002
KITSOU DUBOISEXPÉRIMENTEL'APESANTEUROn sera peut-être étonné de l'entendre accompagné d'un piano,
instrument qui n'appartient pas à la tradition de la région. Mais
Didier Squiban, son compagnon de musique, met en valeur, par
la sobriété de son jeu et par la fluidité de son phrasé, la
substance première de ces chants recueillis auprès des anciens.
De temps à autre, les images sonores de Yann Paranthoën
évoquent l'orage ou les embruns, le ressac de la mer ou la voix
vacillante d'un vieillard... Dans son spectacle Kemener réunira
le répertoire d’Ile-Exil (L'OZ Production-Diffusion Breizh),
témoignant de sa première collaboration avec le pianiste. Il
semble avoir hérité du plaisir de chanter qui, déjà, animait sa
grand-mère. L'aïeule est d'ailleurs morte en fredonnant. 'Elle
nous a dit: 'je vais vous en chanter un autre'... et puis elle s'est
éteinte comme ça', se souvient-il. C'est à l'adolescence surtout
qu'il a senti le besoin de se nourrir des riches traditions de son
pays. 'Afin de me constituer un répertoire, je suis parti sur les
chemins à la recherche d'une mémoire, nous confie-t-il. J'ai
trouvé beaucoup plus qu'une matière. J'ai rencontré l'âme de
ce pays et de ces gens à travers leurs regards et leurs paroles.
Ils m'ont appris l'engagement dans cette vie et dans cette
terre.' Il oeuvre pour que le renouveau des cultures dites
minoritaires s'enracine véritablement dans le terreau social et
ne soit pas dévoyé en un phénomène de mode. 'Les puissantes
sociétés de production tentent de récupérer les fruits de ce
renouveau. Le public, dans une société en quête de nouvelles
valeurs, sans perspectives de développement, trouve dans cette
démarche de nouvelles ressources. Ce n'est pas seulement un
regard tourné vers le passé qu'il y voit, mais aussi la possibilité
d'être lui-même, de quelque part et relié à une filiation.
L'artiste n'est pas seulement là pour défendre ses propres
intérêts, mais pour interroger son public, le remettre en cause,
le réconforter aussi.' Kemener a gardé un lien serré avec ces
paysans et ces ouvriers parmi lesquels il a grandi. Pour lui,
chanter, c'est aussi élever la voix contre la dérive du monde. De
l'Irak, où il s'est rendu, il a gardé 'un souvenir ému', et de la
guerre du Golfe, un sentiment de colère. 'Cette guerre, comme
bon nombre de conflits dans le monde, nous a montré, hélas! la
puissance de l'argent. Là où cet argent va pouvoir fructifier,
transgressant toutes valeurs. Le désastre écologique que nous
allons traverser (la qualité de l'eau, la déforestation, la
manipulation génétique, la vache folle...). Les droits de l'homme
de plus en plus bafoués, sans parler du chômage et des drames
que cela engendre, de la manipulation et du mensonge dans
lequel nous vivons. Qu'allons-nous faire de ces millions de gens
laissés chaque jour sur le bord du chemin? C'est aussi pour cela
que je chante: donner du plaisir et amener le public à 'prendre
son pied' me rend heureux.
C'est en 1982, à Trouville, que Duras dicte à son compa-
gnon, Yann Andréa, ces quelques pages intenses (1),
comme un défi à lui lancé, dans le huis clos d'un appar-
tement au bord de la mer où ils boivent plus que de rai-
son, mais la raison n'a rien à voir dans l'histoire. Elle
imagine qu'un homme (lui?), qui n'aurait de sa vie voulu
ni frôlé une femme, essaierait, pour voir, quitte à payer
pour ça... VOICI donc sur scène cet homme et cette
femme. Lui, c'est Michel Piccoli, homme d'âge qui pour-
rait être un enfant, revêtu d'une sorte de soutane. Quelque
chose d'un prêtre (on songe au Georges Bataille de 'l'Abbé
C.', qui parlait volontiers de 'charogne ecclésiastique').
Elle, c'est Lucinda Childs, sades bascules de son et de
lumière au sein d'un éclairage gelé (de Wilson aussi)
quand la musique de Hans Peter Kuhn surgit quasi à
l'improviste, mêlée de cris de mouette trouant un silen-
ce bleu. Un parcours déchirant et grotesque (Piccoli vers
la fin sur le dos, tel un scarabée, Lucinda Childs drapée
dans un éternel féminin inaccessible), avec des bouffées
symbolistes, des traces maniéristes, de soudaines cruau-
tés de sens qui vous percent ainsi que des flèches. Qu'en
est-il, là, de l'homme face à la femme, de son impuis-
sance à s'y fondre entièrement? Demande d'amour inex-
tinguible de vieille dame indigne écrivant? Définitif constat
de séparation de corps entre les sexes? Démonstration
ontologique, en creux, du caractère inéluctable de
l'homosexualité? Et si la mort c'était cette femme gla-
ciale, intouchée, intouchable? Tout cela se subodore, pêle-
mêle, aucunement asséné, avec une virtuosité dialectique
digne du plus vif éloge, qui permet au spectateur
d'organiser son propre théâtre intime devant ces questions
essentielles, par définition sans réponse. C'est en 1982, à
Trouville, que Duras dicte à son compagnon, Yann Andréa, ces
quelques pages intenses (1), comme un défi à lui lancé, dans
le huis clos d'un appartement au bord de la mer où ils boivent
plus que de raison, mais la raison n'a rien à voir dans l'histoire.
Elle imagine qu'un homme (lui?), qui n'aurait de sa vie voulu
ni frôlé une femme, essaierait, pour voir, quitte à payer pour ça...
VOICI donc sur scène cet homme et cette femme. Lui, c'est
Michel Piccoli, homme d'âge qui pourrait être un enfant, revê-
tu d'une sorte de soutane. Quelque chose d'un prêtre (on songe
au Georges Bataille de 'l'Abbé C.', qui parlait volontiers de
'charogne ecclésiastique'). Elle, c'est Lucinda Childs, sa grâce
froide de danseuse minimaliste, avec une perruque de mar-
quise pour boîte de chocolats vendus chez Tiffany, dans une
longue robe gris souris au tissu chatoyant, nantie d'une traîne
qui la transforme en sirène mondaine. Et ne pense-t-on pas à
son endroit, de loin, à Delphine Seyrig, figure emblématique
chez Duras? Ici se donne la tragicomédie
de l'assouvissement du désir impossible,
l'un et l'autre se répartissant le dire, au
fil d'une chorégraphie scrupuleuse tra-
mée sur une ligne de fuite oblique. Jeu
tout en ruptures, avec ce qui paraîtrait -
ailleurs - comme des incongruités, des
bascules de son et de lumière au sein
d'un éclairage gelé (de Wilson aussi) quand la musique de
Hans Peter Kuhn surgit quasi à l'improviste, mêlée de cris de
mouette trouant un silence bleu. Un parcours déchirant et gro-
tesque (Piccoli vers la fin sur le dos, tel un scarabée, Lucinda
Childs drapée dans un éternel féminin inaccessible), avec des
bouffées symbolistes, des traces maniéristes, de soudaines
cruautés de sens qui vous percent ainsi que des flèches. Qu'en
est-il, là, de l'homme face à la femme, de son impuissance à
s'y fondre entièrement? Demande d'amour inextinguible de
vieille dame indigne écrivant? Définitif constat de séparation
de corps entre les sexes? Démonstration ontologique, en creux,
du caractère inéluctable de l'homosexualité? Et si la mort c'était
cette femme glaciale, intouchée, intouchable? Tout cela se subo-
dore, pêle-mêle, aucunement asséné, avec une virtuosité dia-
lectique digne du plus vif éloge, qui permet au spectateur
d'organiser son propre théâtre intime
devant ces questions essentielles, par défi-
nition sans réponse. C'est en 1982, à
Trouville, que Duras dicte à son compa-
gnon, Yann Andréa, ces quelques pages
intenses (1), comme un défi à lui lancé,
dans le huis clos d'un appartement au bord
de la mer où ils boivent plus que de raison,
mais la raison n'a rien à voir dans l'histoire. Elle imagine qu'un
homme (lui?), qui n'aurait de sa vie voulu ni frôlé une femme,
essaierait, pour voir, quitte à payer pour ça... VOICI donc sur
scène cet homme et cette femme. Lui, c'est Michel Piccoli,
homme d'âge qui pourrait être un enfant, revêtu d'une sorte de
soutane. Quelque Seyrig, figure emblématique chez Duras? Ici
se donne la tragicomédie de l'assouvissement du désir impos-
sible, l'un et l'autre paration de corps entre les sexes?
Démonstration ontologique, en creux, du caractère inéluctable
de l'homosexualité? Et si la mort c'était cette femme glaciale,
intouchée, intouchable? Tout cela se subodore, pêle-mêle, aucu-
nement asséné, avec une virtuosité dialectique digne du plus vif
éloge, qui permet au spectateur d'organiser son propre théâtre
intime devant ces questions essentielles, par définition sans
réponse..
Comme un défi à lui lancé,dans le huis clos d'unappartement au bord de lamer où ils boivent plus quede raison, mais la raison n'arien à voir dans l'histoire.
autour de Marguerite DURAS
BRÈVES
magazine
ECCK# 28
LES FRANCAS 93PR
OJET
93
NOS PARTENAIRES:Le Conseil Général de Seine-Saint-Denis avec :
la direction de la Culture, du Sport et de la Jeunesse,
la direction de la Communication
et le Parc départemental de La Courneuve.
La Préfecture de Seine-Saint-Denis : Politique de la Ville.
Le conseil départemental de la Croix Rouge française
de Seine-Saint-Denis .
La direction départementale de la Jeunesse et des Sports .
Peugeot .
La fédération nationale de Caisses à Savon .
Le comité régional Ile de France de Caisses à Savon .
Les CAISSES
à SAVONENSEINE-
SAINT-DENIS
Une caisse à
savon est un
véhicule roulant,
sans moteur, muni
d’une direction
et de freins …
LES CAISSES À SAVONaujourd’hui en Seine-Saint-Denis
Pour en savoir plus…
Les Francas de Seine-Saint-Denis38, rue d’Anjou 93000 BOBIGNY
e-mail : [email protected]
tel : 01 41 60 13 06 fax : 01 41 60 13 13
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CC
K 2
002
Le projet caisses à savon mobilise environ 500 enfants
et jeunes de 6 à 18 ans, issus de centres de loisirs, de
centres sociaux, de collèges, d’I.M.P.P, de foyers A.S.E,
de 14 communes du département… Des projets pour la
plupart dans la catégorie Loisirs, 3 clubs en 2000 se sont
inscrits en formule compétition (sélection au championnat
de France et au championnat Européen)…
En 2001, les séquanos-dyonisiens du club CASCAD de
Dugny ont remporté les premiers prix nationaux
en C1 et C2 Promotion.
Le championnat départemental est également une grande
fête qui rassemble plus de 3000 spectateurs aux abords des
pistes, parmi eux de nombreux supporters sont
aussi récompensés.
Une caisse à savon est un véhicule à quatre roues, sans moteur, sur unchâssis de structure en bois ou en métalpossèdant une direction fiable et desfreins obligatoires sur deux roues.
La piste d’entraînement
permanente au Parc
départemental de La
Courneuve est ouverte dès
Avril, un calendrier est mis en
place avant et après le
championnat pour permettre
aux constructeurs de tester
leur caisse à savon.
A la Toussaint, se tient le
salon de la caisse à savon
dans les murs d’un centre
commercial. C’est l’occasion
pour les enfants et les jeunes
qui ont pris part à la
construction de caisses de
faire parader leurs belles
mécaniques, de les montrer
à un large public composé
aussi bien de fins
connaisseurs que de
badauds intéressés.
Nous mettons à votre
disposition la panoplie
du véritable apprenti
constructeur qui vous fera
devenir un faiseur de caisses
à savon avéré et averti.
Elle est composée :
fi d’une journée de formation
pour les éducateurs en
janvier/février,
fi du règlement en vigueur,
fi de la malle légo technique,
petit laboratoire portatif
simulant les lois physiques
et mécaniques auxquelles
est soumise une caisse à
savon en mouvement,
fi du guide de construction
avec ses plans,
En Seine-Saint-Denis, les
Francas du département
soutiennent, développent et
organisent l’activité caisses à
savon, participent aux
instances régionales (Comité
Régional d’Ile de France de
Caisses à Savon,C.R.I.F.C.A.S.)
et nationales, et jouent le
rôle de cellule pédagogique
pour la Fédération nationale
de caisses à savon.
La conception de ces
fabuleux engins
roulants répond
à des exigences et à des
normes particulières et
précises, définies par
le règlement national.
Caractérisé par son aspect
éducatif, le projet caisses
à savon consiste à réaliser
les véhicules mais aussi à
participer à des animations,
rencontres, courses, sur
des pentes ou en poussée
sur du plat.
C’est un projet de groupe :
plaisir de créer, plaisir de
se retrouver… Un projet
scientifique, technique
sportif et ludique.
La Fédération nationale
coordonne l’activité
caisses à savon,
organise tous les ans
le championnat national
et participe aux instances
européennes.
Huit pays sont
représentés lors du
challenge annuel
européen :
La France, l’Allemagne,
la Belgique, l’Italie,
les Pays-Bas, la Suisse,
la république Tchéque,
la Slovaquie.
�CAISSE QUE C’EST ?
fi du guide scientifique
et technique,
fi de cassettes vidéo de
course et de formation,
fi d’un jeu de
connaissances
du règlement destiné
aux enfants.
Nous encourageons
et encadrons également
sur l’ensemble du
département toutes
volontés et tous projets
relatifs aux caisses à savon.
Pour épauler vos actions,
nous vous proposons toute
une série de guides action
locale : organiser une
course, une exposition,
une animation …, et notre
navette Caisses-Infos,
ainsi qu’une possibilité
de prêt de matériel
nécessaire à une course
ou à une exposition.
CAISSE QUE NOUS METTONS EN PLACE ?Le championnat
départemental de caisses
à savon qui se déroule en juin
de chaque année au parc
départemental de La
Courneuve métamorphosé
alors en piste de course,
constitue un moment
fort de jeu et d’enjeu.
Cet évènement est l’occasion
où des pilotes aguérris et
des conducteurs débutants
se rencontrent et s’affrontent
dans un esprit d’émulation
au cours de différentes
épreuves : parcours de
maniabilité, relais
de 300m, descente en
formule loisirs et
compétition .
93
NOS PARTENAIRES:Le Conseil Général de Seine-Saint-Denis avec :
la direction de la Culture, du Sport et de la Jeunesse,
la direction de la Communication
et le Parc départemental de La Courneuve.
La Préfecture de Seine-Saint-Denis : Politique de la Ville.
Le conseil départemental de la Croix Rouge française
de Seine-Saint-Denis .
La direction départementale de la Jeunesse et des Sports .
Peugeot .
La fédération nationale de Caisses à Savon .
Le comité régional Ile de France de Caisses à Savon .
Les CAISSES
à SAVONENSEINE-
SAINT-DENIS
Une caisse à
savon est un
véhicule roulant,
sans moteur, muni
d’une direction
et de freins …
LES CAISSES À SAVONaujourd’hui en Seine-Saint-Denis
Pour en savoir plus…
Les Francas de Seine-Saint-Denis38, rue d’Anjou 93000 BOBIGNY
e-mail : [email protected]
tel : 01 41 60 13 06 fax : 01 41 60 13 13
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Le projet caisses à savon mobilise environ 500 enfants
et jeunes de 6 à 18 ans, issus de centres de loisirs, de
centres sociaux, de collèges, d’I.M.P.P, de foyers A.S.E,
de 14 communes du département… Des projets pour la
plupart dans la catégorie Loisirs, 3 clubs en 2000 se sont
inscrits en formule compétition (sélection au championnat
de France et au championnat Européen)…
En 2001, les séquanos-dyonisiens du club CASCAD de
Dugny ont remporté les premiers prix nationaux
en C1 et C2 Promotion.
Le championnat départemental est également une grande
fête qui rassemble plus de 3000 spectateurs aux abords des
pistes, parmi eux de nombreux supporters sont
aussi récompensés.
Mouvement d’éducation populaire, association complémentaire de l’école, reconnue d’utilité publique
plaquette
Affiches
ECCK# 29
LES FRANCAS 93
PROJ
ET
dépliant
agenda
ECCK# 30
LES FRANCASPR
OJET
bâche sticker
tapis de jeu
kakémonos
Mouvement d’éducation populaire, association complémentaire de l’école, reconnue d’utilité publique
ECCK# 31
CUSTOMGRAFF
PROJ
ET
Promotion du custom graffiti
WEB DESIGN
ECCK# 32
URBAN KAFÉPR
OJET
Flyer
Menu
Flyer
Sous bock
Café / restaurant / concerts / expos
ECCK# 33
ANUMAN INTERACTIVE
PROJ
ET
Annonce presse
ECCK# 34
C’EST ZAOPR
OJET
Agence de communication.
WEB DESIGN
ECCK# 35
TEE SHIRT DESIGN
PROJ
ET
2010Bonne Année - Happy New Year - Feliz año nuevo
http://www.ecck.fr
http://www.ecck.frTous les travaux présentés dans cette publication sont des créations graphiques originales. © ECCK.