Économie et gestion de la santÉ mÉdecine du travail ... · a université libre de bruxelles...

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Université libre de brUxellesÉcole de SantÉ Publique

Économie et Gestion de la santÉ

ÉpidÉmioloGie et Biostatistique

mÉdecine du travail

politique et santÉ

internationale

promotion de la santÉ

santÉ environnementale

santÉ, sociÉtÉ, laïcitÉ

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Étudier à l’École de Santé Publique de l’ULB, c’est faire un choix judicieux ! Le bon choix de la discipline d’abord. En effet, la santé publique est cette science qui permet d’étudier et de comprendre la santé des populations dans une approche globale intégrant tous les aspects de la santé (promotion, prévention, traitement, revalidation). Elle étudie l’homme dans son environnement physique et psychosocial et cherche à comprendre comment styles, lieux et conditions de vie et de travail peuvent influencer la santé et le bien-être. Cette discipline vous passionnera parce qu’elle est multidisciplinaire, multiculturelle, multiprofessionnelle, et profondément humaine. Le bon choix de la formation ! À l’École de Santé Publique, vous suivrez des enseignements théoriques et pratiquerez des travaux au sein de classes et groupes à taille humaine ; vous bénéficierez d’un encadrement individualisé ; vous côtoierez un public d’étudiants international ; vous rencontrerez des chercheurs aux centres d’intérêts variés. Cette formation vous donnera accès à de nombreux débouchés. Venez nous rejoindre !

CONTACTSt 02 555 40 11 M [email protected]

www.ulb.ac.be/esp

Un large éventail de métiers

Une expertise de cinq centres de recherche

étUdiants

Un encadrement personnalisé

Une oUvertUre internationale

Une approche mUltidisciplinaire de la santé

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«La vocation, c’est d’avoir pour métier sa passion» Stendhal

SOMMAirE

UNiVErSiTÉ LiBrE DE BrUXELLES - École de SantÉ Publique

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L’ÉCOLE DE SantÉ Publique

LES + À L’ESP

> Une équipe d’enseignants dont l’expertise est reconnue internationalement

> Une approche multidisciplinaire de la santé

> Un cadre de travail stimulant et convivial> Un stage de longue durée permettant de

se plonger dans les métiers de la santé publique tant en Belgique qu’à l’étranger

> Des contacts avec les équipes de recherche

> Des séminaires et des débats > Une grande ouverture vers l’international

La santé des populations est un enjeu capital pour notre 21e siècle !Depuis plus de 50 ans, l’École de Santé Publique de l’ULB a pour mission de former des professionnels et des chercheurs de haut niveau dans le domaine de la santé publique. Cette mission se décline au travers de formations de deuxième cycle (Masters) et troisième cycle (École doctorale et doctorat) mais aussi au travers de nombreux programmes de formation continue. Toutes ces formations font de l’ESP un acteur très important en santé publique tant au niveau national qu’au niveau international. Ouverte sur le monde, elle a depuis de nombreuses années construit un réseau et des partenariats nombreux tant au Nord qu’au Sud, lui permettant une prise directe sur les questions et enjeux de santé publique dans une perspective de santé mondiale.

POUrqUOi VENir ÉTUDiEr À L’eSP ?

Nos programmes de formation sont en lien direct avec les besoins sociétaux des pays, les diplômés de l’ESP deviennent très rapidement des acteurs importants dans de nombreux secteurs en relation directe ou indirecte avec la santé et le bien-être des populations. Nos formations permettent non seulement l’amélioration des pratiques professionnelles mais

suscitent également un intérêt et un engagement dans les politiques et les programmes de santé publique. Nos étudiants ont des parcours professionnels et académiques variés, nos formations mettent en avant l’importance des approches globales et intersectorielles, seule voie possible pour l’amélioration de la santé et du bien-être des populations.

DES PrOGrAMMES DE fOrMATiON de niveau MaSter

L’ESP propose différents programmes de formation de niveau master déclinés autour de 6 finalités :> la Gestion et l’économie de la santé, > la Santé et l’environnement, > les Politiques et systèmes de santé, > l’Épidémiologie et biostatistique, > la Promotion de la santé, > les questions de Santé, Société et Laïcité ou de niveau masters complémentaires :> Médecine du travail, > Santé et développement, > Méthodologies de santé publique mais également une formation doctorale et un doctorat.

L’ÉCOLE DE SantÉ Publique C’EST :

Une importante activité de recherche : cinq Centres de recherche regroupent plus d’une centaine de personnes qui travaillent dans les domaines de l’Économie de la santé, la Gestion des institutions de soins, les Sciences infirmières, l’Épidémiologie, la Biostatistique et la recherche clinique, les Politiques et systèmes de santé, la Santé internationale, l’Environnement, la Santé au travail, les Approches sociales de la santé. Notre École de Santé Publique s’investit délibérément dans la plupart de ces domaines en cherchant à apporter les connaissances scientifiques qui doivent permettre de mieux appréhender les problématiques de santé et de choisir les stratégies d’action et de prise en charge les plus efficaces.

De nombreux cycles de formation continue : plus d’une vingtaine de cycles de formation continue sont proposés à l’École de Santé Publique, très souvent en collaboration avec d’autres Universités ou d’autres institutions de formation. La liste complète de ces cycles est disponible sur les sites web : www.ulb.ac.be/esp et http://formcont.ulb.ac.be

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Des activités satellites en phase avec les débats actuels autour de la santé publique :> des séminaires d’actualité ;> des journées scientifiques (santé au travail, santé

environnementale, économie de la santé) ;> des universités de printemps et d’été en recherche

sur les systèmes de santé, en gestion, en épidémiologie, en biostatistique, en promotion de la santé, en économie de la santé.

coordonnÉeS

rESPONSABLE DE L’ADMiNiSTrATiON fACULTAirEt 02 555 40 21

SECrÉTAriAT DE L’ÉCOLEt 02 555 40 11m [email protected]

HOrAirESt 02 555 40 58

master en sciences de la santÉ puBlique

COUrS iSOLÉS ET CUrSUS DEVANCÉSt 02 555 40 14m [email protected]

masters complÉmentaires

MÉDECiNE DU TrAVAiLt 02 555 40 13m [email protected]

PUBLiC HEALTH METHODOLOGYt 02 555 40 13m [email protected]

SANTÉ PUBLiqUE, OriENTATiON SANTÉ ET DÉVELOPPEMENT

t 02 555 40 88m [email protected]

Formation doctorale et doctorat

SCiENCES DE LA SANTÉ PUBLiqUE t 02 555 40 88m [email protected]

L’ÉCOLE DE SantÉ Publique C’EST AUSSi :

6 finalités de niveau Master,

3 Masters complémentaires,

5 centres de recherche, 80

enseignants, des débouchés

variés en constante

augmentation, chaque année

nombreuses possibilités de

stages, 150 diplômés par an,

des échanges internationaux,

des doctorats nationaux et

internationaux (cotutelle).

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L’orGaniSation GÉNÉrALE DES ÉTUDES UNiVErSiTAirES

qUELqUES MotS-clefS

les crÉdits ects (EuropEan CrEdit transfEr systEm)La charge de travail de l’étudiant, pour chaque enseignement, est exprimée en crédits ECTS. Un crédit correspond forfaitairement à 30 heures d’activités d’apprentissage : participation aux cours magistraux, séminaires, laboratoires, stages, recherches, ainsi que le travail personnel requis pour la préparation des travaux et la réussite des examens.Une année d’études comprend 60 crédits ECTS, donc environ 1.800 heures de charge de travail.

l’annÉe acadÉmiqueUne année académique se déroule du 15 septembre (si le 15 n’est pas un lundi, les cours commencent en général le 1er lundi qui suit cette date) au 14 septembre de l’année suivante. Elle est divisée en 3 quadrimestres (du 15 septembre à fin janvier, de début février à fin juin, et du début juillet au 14 septembre).

la structure des Études universitairesÀ l’Université, les cursus sont qualifiés de «type long» et sont organisés en 3 cycles : un 1er cycle dit de transition (les programmes de Bachelier) ; un 2ème cycle de Master, Master complémentaire, Médecin, Médecin vétérinaire et enfin un 3ème cycle comprenant la formation doctorale et les travaux relatifs à la préparation d’une thèse de doctorat.

à LE gradE aCadémiquE dE BaChELiEr (1er CyCLE)

Le «Bachelier» est le grade académique sanctionnant des études de premier cycle de 180 crédits ECTS en 3 années au moins. Cette formation de base offre une approche générale de la discipline et permet à l’étudiant de développer les capacités d’autonomie, d’esprit critique, de créativité… propres à la formation universitaire.

à LE gradE aCadémiquE dE mastEr (2ème CyCLE)Le «Master» est le grade académique sanctionnant des études de deuxième cycle de 60 crédits – Master en un an – ou de 120 crédits ECTS – Master en deux ans. il faut noter que le Master 60 ne permet cependant pas de choisir une finalité spécifique, ni de poursuivre sa formation par un Master complémentaire ou un Doctorat.Au cours du Master, l’étudiant approfondit les connaissances acquises en BA. Le Master comprend

la rédaction d’un mémoire destiné à mettre en évidence diverses qualités de l’étudiant telles que l’autonomie, le sens critique, les qualités personnelles et les compétences professionnelles. Le programme comprend également des cours organisés dans une des trois finalités au choix : > la finalité approfondie, qui prépare principalement à

la recherche scientifique, comprenant à la fois des enseignements approfondis dans une discipline particulière et une formation générale au métier de chercheur ;

> la finalité spécialisée, visant des compétences professionnelles ou artistiques particulières ;

> la finalité didactique, qui prépare les futurs enseignants du secondaire supérieur et leur donne le titre requis pour enseigner (agrégation).

à LE gradE aCadémiquE dE médECin ou médECin vétérinairE (2ème CyCLE)

il s’agit des grades académiques qui, au deuxième cycle, sanctionnent ces études. Chacun comprend dorénavant 180 crédits ECTS (3 années d’études).

à LE gradE aCadémiquE dE mastEr CompLémEntairE (2ème CyCLE)

Ce grade académique sanctionne des études de deuxième cycle qui peuvent être suivies après une formation initiale d’au moins 300 crédits ECTS (bachelier + Master). Ces masters visent à faire acquérir une qualification professionnelle spécialisée correspondant à l’un des objectifs suivants :> autoriser l’exercice de certaines professions, dans le

respect des dispositions légales correspondantes ; > répondre aux besoins de formations spécifiques

conçues dans le cadre de programmes de coopération au développement ;

> donner accès à des titres et grades particuliers exigés par la loi ou aux compétences particulières et reconnues des équipes de recherche et d’enseignement, qui présentent un caractère d’originalité, d’unicité et de spécificité en Communauté française.

à L’agrégation dE L’EnsEignEmEnt sECondairE supériEur (aEss)

Les titulaires d’un deuxième cycle de l’enseignement supérieur peuvent s’inscrire à l’agrégation de l’enseignement secondaire supérieur (AESS) dans un certain domaine d’études. Cette formation pédagogique prépare les futurs enseignants du secondaire supérieur et leur permet d’acquérir le titre requis pour enseigner. L’AESS peut être également conférée conjointement avec le grade académique de master à finalité didactique.

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à LE doCtorat (3ème CyCLE)Après un Master en deux ans, les étudiants intéressés peuvent également poursuivre leur formation par un troisième cycle, comprenant la formation doctorale et les travaux relatifs à la préparation d’un Doctorat. Ceux-ci forment le doctorant aux métiers et à la pratique de la recherche.

l’orientation Une orientation indique une spécificité du programme du cycle d’études suivi. Elle correspond à un ensemble d’activités d’apprentissage totalisant entre la moitié et les deux tiers des crédits que comporte le cycle d’études.

les options ou mineuresUne option indique le choix par l’étudiant d’un ensemble cohérent d’activités d’enseignement particulières qui caractérisent tout ou partie de son programme du cycle d’études, sans que le total des options ne puisse dépasser la ½ des crédits que comporte le cycle d’études. Les mineures favorisent une articulation plus souple entre les études de premier et de second cycles.

les GuidancesLes facultés organisent des guidances ou activités destinées à accompagner l’étudiant dans ses apprentissages. Ces guidances peuvent être librement suivies.

la moBilitÉL’université se caractérise par son ouverture sur le monde. Si elle accueille un grand nombre d’étudiants étrangers, elle promeut également les échanges de ses étudiants (Programmes Erasmus entre autres), stages à l’étranger, double diplôme, organisation de programmes en anglais), mais aussi de ses chercheurs et de ses enseignants.

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LE doctorat4 ans environ

une formation à la recherche diversifiée permettant au candidat de mener à terme son travail doctoral.

à Capacité d’analyse approfondie des problèmes de santé publique

à Capacité de conception, d’expertises et de supervision de projets / programmes de recherche

à Compréhension approfondie de l’approche multidisciplinaire de la santé publique

LES MaMasters 2 ans (120 ECTS)

Sciences de la santé Publiqueà Épidémiologie et biostatistiqueà Gestion des établissements et services

de soinsà Politiques et gestion des systèmes

de santéà Promotion Éducation Santéà Santé environnement à Santé, Société, Laïcité

LES baBachelier 3 ans (180 ECTS)

à Sciences humaines et sociales mineure en santé publique en BA3 (faculté des sciences politiques et sociales)

LES McMaster complémentaire en 4 ans (240 ECTS)à Spécialité médicale : Médecine du Travail

Masters complémentaires en 1 an (60 ECTS)à Santé publique Orientation Santé et

Développementà Public Health Methodology

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LE PASSAGE DU bacHelier AU MaSter

L’ACCèS AUX MaSterS

pour les Bacheliers universitairesLe BA est un cycle de «transition», conçu pour donner accès à différents MA. L’accès est automatique vers le MA qui est dans la ligne directe du BA, mais il existe par ailleurs des «passages» qui permettent également d’accéder à d’autres MA, dans la même faculté ou dans d’autres facultés.Le tableau suivant présente le MA de l’École de Santé Publique accessible aux étudiants ayant effectué un BA universitaire. pour les Bacheliers non universitairesLa Communauté française offre à l’étudiant engagé dans des études supérieures la possibilité de réorienter son parcours d’études ou de le prolonger vers d’autres formations que celles qu’il a initialement choisies, mais dans un cadre défini.Ces «passerelles» qui permettent l’accès aux études de deuxième cycle à l’université sont fixées dans un arrêté, prévoyant tant des accès du supérieur non universitaire de type court que du supérieur non universitaire de type long vers l’Université.

Ce type de passerelle peut s’opérer de deux manières :> Un accès conditionné à la réussite d’une

année préparatoire de 60 crédits maximum ; > Un accès sur base d’une procédure

d’admission tenant compte de l’acquisition des matières prérequises. Cette admission peut se faire sur base d’un examen universitaire ou interuniversitaire. À l’issue de la procédure, le jury pourra autoriser l’accès immédiat de l’étudiant en première année de deuxième cycle sans que son programme de l’année ne puisse dépasser 75 crédits.

quelle que soit votre situation, nous vous invitons à consulter sur le site de l’ULB les conditions d’accès spécifiques aux études que vous souhaitez entreprendre.

http://www.ulb.ac.be/ma/

Vous êtes titulaire d’un Bachelier en … vous pouvez poursuivre vos études en Master en Sciences de la Santé publique :

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Sciences des religions et de la laïcité

Sciences humaines et sociales

Droit

Sciences économiques

ingénieur de gestion

Sciences psychologiques et de l’éducation

Sciences psychologiques et de l’éducation, or. Logopédie

Médecine

Médecine vétérinaire

Sciences dentaires

Sciences biomédicales

Sciences pharmaceutiques

Sciences de la motricité

Kinésithérapie et réadaptation

Sciences mathématiques

Sciences informatiques

Sciences physiques

Sciences chimiques

Sciences biologiques

Sciences géologiques

Sciences géographiques

Sciences de l’ingénieur, or. Bioingénieur

Sciences de l’ingénieur, or. ingénieur civil

Sciences de l’ingénieur, or. ingénieur civil architecte

remarque : ce tableau n’est pas contractuel et il ne peut reprendre toute la complexité de certaines conditions d’accès. C’est pourquoi, nous vous invitons à toujours vous référer à la rubrique «conditions d’accès» de chaque Master et parfois même des finalités.


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LA PrÉPa ects

gestion, droit, économie 14

santé publique 12

sciences psycho-sociales 11

méthodes 7

options 3 à 9

> Théorie 39 %

> Exercices 7 %

> Séminaires 2 %

> Travaux personnels 52 %

PRÉPA

ANNÉE PrÉParatoire EN SCiENCES DE LA SANTÉ PUBLiqUE

En Belgique, l’étude des Sciences de la santé publique ne peut s’entamer qu’au niveau du Master. il est dès lors nécessaire pour y avoir accès, pour un certain nombre d’étudiants, de réaliser une année préparatoire dont l’objectif est de leur permettre d’acquérir les bases nécessaires à l’accomplissement du programme de Master. Elle est obligatoire pour les étudiants terminant un baccalauréat en Haute École (passerelle 1) et conseillée pour les étudiants souhaitant étudier la santé publique après des études dans un domaine très différent. Les conditions d’accès sont bien spécifiées dans le catalogue des cours.

AXES DE fOrMATiON

Le programme offre une préparation à la gestion (principes d’économie, comptabilité, principes du management), aux méthodes utilisées dans le champ de la santé publique (mathématiques, microbiologie, sciences humaines, recherche), une introduction à diverses disciplines en lien avec la santé publique (psychologie, sociologie, anthropologie, droit).

Le programme comprend aussi une initiation très pratique aux techniques informatiques et à la communication scientifique.

Enfin, plusieurs cours à option sont proposés pour aider l’étudiant dans le choix de la future finalité du Master qu’il souhaite entreprendre.

SPÉCifiCiTÉS

Cette année préparatoire, organisée en horaire de jour et en horaire décalé est une étape indispensable pour permettre à des personnes intéressées par la santé publique mais ayant des cursus de base très différents (sciences de gestion, sciences infirmières, logopède, kinésithérapeute, sciences politiques, etc.) de rejoindre le master en sciences de la santé publique.

Cette voie d’entrée permet d’accepter dans le cursus de master des profils très diversifiés qui font la richesse de cet enseignement et qui garantissent la nécessaire multidisciplinarité de la santé publique.

Les enseignements de cette année préparatoire peuvent également constituer des prérequis pour les étudiants qui peuvent s’inscrire directement au Master en sciences de la santé publique (avec un maximum de 15 crédits).

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/ep-sapU

inFormations, proGramme, etc. consultez le site :

PrÉP

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MASTEr EN ScienceS de la SantÉ Publique

Le Master en Sciences de la santé publique est organisé avec 6 orientations disciplinaires différentes. il est accessible aux détenteurs d’un grade académique de Bachelier universitaire (au moins 3 ans), du domaine médical, paramédical, social, des sciences humaines et sociales ou des sciences de gestion. Des passerelles existent pour les diplômés des Hautes Écoles. L’étudiant peut aussi obtenir une reconnaissance des acquis personnels (sur examen du dossier).

LE CUrSUS

la première année du Master est construite autour d’un tronc commun de 40 ects. Ces enseignements communs aux différentes finalités doivent permettre de construire des bases solides en santé publique et en méthodes ainsi que dans le champ des Sciences humaines.

la deuxième année du Master est complètement spécialisée. Elle intègre des cours théoriques, des travaux pratiques, des séminaires, des travaux personnels et aussi des stages dans le milieu du travail en Belgique et à l’étranger.

Cette deuxième année permet des choix d’options qui sont détaillées dans les pages qui suivent.

Selon la finalité, la durée des stages peut valoir jusqu’à 20 ects.L’étudiant devra rédiger et défendre un mémoire en fin de cursus (15 ects).

LES SPÉCifiCiTÉS

Des travaux individuels et des travaux de groupe font partie du dispositif pédagogique. Cette formation favorise au maximum les échanges d’expériences et la prise en compte des parcours de chacun, qu’ils soient professionnels ou académiques. Le recrutement des étudiants touche de nombreux pays du monde ; cette diversité géographique enrichit de façon importante les apprentissages et les échanges.

Organisée en horaire aménagé (3 jours par semaine), cette formation permet également de mener de concert une activité professionnelle (à temp partiel).

LES ATOUTS PrOfESSiONNELS

Étudier la santé publique, c’est apprendre à connaître ce qui détermine la santé de la population, en tenant compte des aspects physiques, psychosociaux et socioculturels. il s’agit de comprendre la façon dont les styles de vie et les conditions de vie (y compris l’environnement) influencent la santé. C’est aussi apprendre à agir en vue d’améliorer la santé de la population, en collaboration avec d’autres disciplines : biostatistique, droit, économie, médecine, sociologie, psychologie, sciences de l’alimentation, pédagogie, hygiène, épidémiologie, management, politique ou communication. La vision de la santé donnée par ce MA est globale.

Le diplôme permet de travailler en Belgique ou à l’étranger dans des structures soucieuses de promouvoir la santé des individus, familles et communautés, ou dans celles centrées sur les domaines tant préventifs que curatifs :> recherche publique et privée,> observatoires de la santé, > institutions sanitaires, > bureaux d’études, > institutions de santé publique, > ONG,> instances internationales,> hôpitaux et structures de soins

(services infirmiers, Maisons de repos, direction médicale).

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/ma-sapU

inFormations, proGramme, etc. consultez le site : DÉBOUCHÉS

Les débouchés sont très larges et très variés selon la finalité que vous choisissez.

Pour plus de précision sur ceux-ci, référez-vous aux pages détaillant les différentes finalités.

LES Maà épidémiologie et biostatistique

à gestion des établissements et services de soins

à politique et gestion des systèmes de santé

à promotion et éducation santé

à santé environnement

à santé, société, laïcité (en interfacultaire)

Ma


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Ma

DÉBOUCHÉSorganismes de santé ou services recueillant ou gérant des bases de données à Observatoires de santéà ONEà Ministèresà iNAMià Organismes de coopération

internationaleà instituts de veille sanitaireà Mutuellesà Hôpitauxà instituts de santé publique

Firmes pharmaceutiques à Gestion des essais cliniquesà Data managerà Analyse de données biomédicales

équipes de recherche médicale

équipes de recherche en santé publique

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ ÉPidÉMioloGie et bioStatiStiqueLa finalité Épidémiologie et biostatistique est destinée à des étudiants qui souhaitent travailler dans divers secteurs qui collectent, gèrent, utilisent des données de santé. L’épidémiologie est la science qui permet de décrire les problèmes de santé, de rechercher leurs causes mais aussi d’évaluer l’efficacité des traitements ainsi que des actions dans le domaine préventif et curatif. La biostatistique est indispensable à la réalisation de ces missions. Cette formation vise à donner aux participants un ensemble d’instruments méthodologiques en statistique, épidémiologie et en recherche opérationnelle, incluant les méthodes d’analyse quantitative. Simultanément, l’étudiant se familiarise avec des applications informatiques en santé publique et en médecine.

CUrSUS

la première année du Master en sciences de la santé publique à finalité Épidémiologie et biostatistique comprend un tronc commun de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation dans la finalité.

la deuxième année du Master de cette finalité comprend les cours de spécialisation, les stages (20 ects), et le mémoire que l’étudiant devra rédiger et défendre en fin de cursus (15 ects).Ce master est organisé en horaire de jour (horaire aménagé 2 à 3 jours/semaine).

SPÉCifiCiTÉS

Cette finalité est principalement axée sur l’utilisation des méthodes quantitatives en santé publique avec un grand nombre d’applications pratiques basées sur des études réelles qui permettent d’appuyer la théorie. Par cette approche, les étudiants acquièrent la maîtrise de l’utilisation des méthodes quantitatives en santé et sont à même d’en interpréter les résultats. Au cours de leur formation, et via les travaux pratiques et personnels, les étudiants se sont formés de manière approfondie à l’utilisation de logiciels d’analyse ainsi qu’à un gestionnaire de base de données.

ATOUTS

La finalité prépare les étudiants à pouvoir réaliser des enquêtes quantitatives dans le domaine de la santé depuis la rédaction du protocole jusqu’à l’analyse et la présentation finale des résultats en utilisant des méthodes avancées en biostatistique et épidémiologie. Elle les prépare également à rédiger des articles scientifiques, des présentations orales ou encore des rapports d’études impliquant l’usage de méthodes quantitatives.

MA1

MA2

sciences humaines 13 -

méthodes 8 5

santé publique 10 4

cours de spécialisation (ma1) 20 -

options (ma2) : > Méthodes quantitatives en cliniques > Méthodes quantitatives en santé publique - 16

stage - 20

mémoire (préparation) 9 15

total ects 60 60



> Théorie 50 %

> Exercices 22 %


MA1

> Théorie 15 %

> Exercices 15 %

> Séminaires 2 %


> Stages 33 %

MA2


10

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ GeStion deS ÉtabliSSeMentS et ServiceS de SoinS La finalité Gestion des établissements et services de soins est particulièrement destinée aux étudiants visant des responsabilités de gestion dans des établissements et services de soins (hôpitaux, hôpitaux de jour, cliniques, maisons de repos et de soins, structures d’accueil et de revalidation,…), que ces responsabilités soient orientées vers le management ou la clinique.

CUrSUS

la première année du Master en sciences de la santé publique à finalité Gestion des établissements et services de soins comprend un tronc commun de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation dans la finalité.

en deuxième année du Master, l’étudiant devra choisir entre 3 options différentes :> Gestion des institutions : Hôpitaux,

Maisons de repos et de soins (MrS), Maisons de repos pour personnes âgées (MrPA)

> Gestion du département infirmier et des services infirmiers

> Soins infirmiers cliniques.

Cette deuxième année comprend les cours de spécialisation, les stages (9, 10 ou 13 ects selon l’option choisie), et le mémoire que l’étudiant devra rédiger et défendre en fin de cursus (15 ects).

Ce master est organisé en horaire de jour (horaire aménagé 2 à 3 jours/semaine) et en horaire décalé (soirée et samedi matin).

SPÉCifiCiTÉS

Ce master a pour objectif d’apporter aux étudiants une formation complète pour la gestion des institutions et services de soins, tout en offrant un bagage solide en santé publique. Cette orientation permettra aux étudiants de se spécialiser soit vers une filière à orientation «management» (Gestion des institutions : Hôpitaux, MrS, MrPA ; Gestion du département infirmier et des services infirmiers), soit vers une orientation plus clinique (Soins infirmiers cliniques) qui elle, est réservée aux étudiants disposant déjà d’un diplôme d’infirmier(e).

ATOUTS

Seule finalité du Master en santé publique, organisée à la fois en horaire de jour et en horaire aménagé.

Les Professeurs sont issus à la fois du monde académique mais également du monde de l’entreprise (hôpitaux, maisons de repos, consultants hospitaliers, etc.).

Les trois orientations s’appuient sur un socle commun solide en santé publique et en gestion. Seule finalité qui approfondit les règles de fonctionnement, la législation, les règles de financement des établissements et services de soins belges.

MA1

MA2

sciences humaines 13 2

méthodes 13 16



options (ma2) :> Gestion des institutions : Hôpitaux, MrS, MrPA> Gestion du département infirmier et des services infirmiers> Soins infirmiers cliniques

- entre 9 et 16

stage - entre 9 et 16


total ects 60 60Ma

> Théorie 53 %

> Exercices 19 %


MA1


11

DÉBOUCHÉS

les débouchés sont nombreux : à postes de gestion/management/

fonction clinique dans les institutions de soins au sens large,

à recherche (secteur publique ou privé),

à bureaux d’études,à institutions de santé publique,à observatoires de la santé,à etc.

exemples de métiers selon la finalité choisie : à directeur médical, chef de service

médicalà directeur du département infirmier,à cadre infirmier,à responsable qualitéà directeur financier,à contrôleur de gestion,à directeur de maison de repos,à infirmier clinicien,à chercheur en économie de la santé

ou en soins infirmiers,à etc.

Ma



> Théorie

> Exercices

> Travaux pratiques

> Travaux personnels

> Stages

MA2

Gestion des institutions

18 %

19 %

3 %45 %

15 %

MA2

Gestion du département in�rmier et des services in�rmiers

18 %

13 %

48 %

21 %

MA2

Soins in�rmiers cliniques

26 %

15 %42 %

17 %


12

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ Politique et GeStion deS SyStèMeS de SantÉLa finalité Politique et gestion des systèmes de santé vise à donner aux étudiants un ensemble de connaissances et de méthodes (choix et définition de politiques de santé, conception et planification de programmes, évaluation, épidémiologie et information sanitaire,…) permettant d’appréhender les questions relatives aux systèmes de santé. Cette finalité vise aussi à acquérir les aptitudes nécessaires à l’analyse de situation, à la prise de décision, à la mise en place d’actions favorables au développement de stratégies ciblées sur les besoins et les attentes des populations. Enfin, elle vise à former à la réalisation de travaux de recherches. Elle se caractérise par une approche interdisciplinaire et intersectorielle.

CUrSUS

la première année du Master en sciences de la santé publique à finalité Politique et gestion des systèmes de santé comprend un tronc commun de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation dans la finalité. Ce premier niveau de spécialisation établit les bases de connaissances théoriques dans le domaine des politiques, des systèmes et des programmes de santé. il se complète par le développement d’activités pédagogiques d’intégration à travers un séminaire d’analyse et par la mise en œuvre d’un exercice personnel portant sur un système de santé particulier, le système belge. La partie séminaire comprend des rencontres approfondies avec des acteurs-clés en Belgique et dans la fédération Wallonie-Bruxelles.

la deuxième année du Master, l’étudiant poursuit sa formation approfondie dans le cadre de 2 options au choix :> Contextes sociopolitiques des pays à

haut et moyen revenus (’Europe’) > Contextes sociopolitiques des pays à

bas revenus (‘PED’).

Cette deuxième année comprend les cours de spécialisation, les stages, et le mémoire que l’étudiant devra rédiger et défendre en fin de cursus. Ce niveau de spécialisation poursuit la formation théorique à propos des politiques de santé, des systèmes de santé et des programmes et projets de santé, et la complète par des travaux personnels, des séminaires et des exercices d’intégration en groupe. Une large part est laissée aux questions d’actualité par rapport aux problèmes de santé et aux services, en relation avec la réalisation de stages.

Ce master est organisé en horaire de jour (horaire aménagé 3 jours/semaine).

SPÉCifiCiTÉS

Ce master est basé sur une approche pédagogique interactive et participative, notamment en 2e année où différents travaux pratiques réalisés en groupe permettent aux participants d’acquérir des compétences de travail en équipe, nécessaires à leur future profession dans le domaine de la santé publique.Un des objectifs pédagogiques de ce master est de favoriser l’autonomie et la pensée réflexive des étudiants pour qu’ils puissent devenir des acteurs efficaces pour la promotion et le développement des systèmes de santé.

> Théorie 50 %

> Exercices 17 %

> Séminaires 3 %


MA1

> Théorie 13 %

> Exercices 7 %

> Séminaires 8 %


> Stages 22 %

MA2

Ma

MA1

MA2


méthodes 8 4



options (ma2) :> Système de santé Europe> Systèmes de santé en PED

- 10

stage - 15


total ects 60 60

UNIVERSITÉ LIBRE DE BRUXELLES - École de SantÉ publique

13

AToUTS

Les enseignants de ce master appartiennent à différentes disciplines (sociologie, santé publique, médecine, économie de la santé,…) ce qui permet d’offrir aux participants des visions complémentaires des différents enjeux en santé publique. La plupart des enseignants ont une expérience de terrain de plusieurs années et sont promoteurs de projets de recherche dans différents systèmes de santé, au Nord comme au Sud. Ces expériences permettent

d’assurer un enseignement varié et actualisé pour tenir compte des enjeux nouveaux en termes de réformes des systèmes de santé : qualité des soins, décentralisation, partenariats privé-public, participation des populations.Les participants viennent de différents pays du Nord comme du Sud et de différents horizons professionnels. Dans le cadre de nos enseignements, une place importante est donnée aux échanges d’expériences entre participants.

DÉBoUCHÉS

à Les diplômés sont préparés à œuvrer dans le cadre de situations professionnelles variées telles que la planification, le pilotage et la coordination de projets, la gestion et l’évaluation de programmes, le développement de politiques de santé locales, régionales ou nationales, la réalisation de recherches scientifiques, la conception de cadres, protocoles et outils dans le domaine de la santé publique.

à Ils peuvent travailler dans des contextes variés tels que des ministères/administrations, structures parastatales, observatoires de la santé, associations nationales, oNG et organisations internationales, et ce en tant que consultants, administrateurs, gestionnaires de programmes et de projets, formateurs ou chercheurs.

Ma

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/MA-SAPU

InformatIons, programme, etc. consultez le sIte :


14

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ ProMotion et Éducation SantÉ

La finalité Promotion et éducation santé vise à former des cadres capables d’évaluer les besoins de santé d’une communauté, d’une région ou d’un pays, de poser un diagnostic épidémiologique, environnemental, comportemental, politique et pédagogique, de concevoir des programmes et des actions de santé et les planifier, de coordonner et gérer des activités préventives, curatives, de réhabilitation, d’éducation et promotion de la santé ainsi que de les évaluer. Ces actions vont de l’entretien motivationnel avec un patient au travail intersectoriel visant une amélioration des conditions de vie et du bien-être, en passant par le développement communautaire ou les politiques publiques saines. L’analyse systémique, les approches participatives et les décisions basées sur les preuves sont favorisées.

CUrSUS

la première année du Master en sciences de la santé publique à finalité Promotion et éducation santé comprend un tronc commun de santé publique de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation dans la finalité (planification, politiques, méthodes qualitatives et quantitatives, éducation et communication).

en deuxième année du Master (pour l’année académique 2013-2014), l’étudiant devra choisir entre 3 options différentes : > Santé communautaire et promotion de

la santé en pays en développement> Promotion de la santé en Europe > Promotion de la santé des enfants et

des jeunes.

Chacune des options propose une approche globale au travers de cours et séminaires dont les acquis sont mis en pratique dans l’exercice d’intégration, en

collaboration avec une équipe de terrain et en relation avec une communauté ou un groupe de population précis.Ce master est organisé en horaire de jour (horaire aménagé 2 à 3 jours/semaine).

SPÉCifiCiTÉS

Les étudiants ont trois occasions de mettre en pratique leurs acquis et de développer une méthode personnelle et efficace d’autoformation professionnelle : les stages, l’exercice d’intégration et le mémoire. Ces travaux personnels ou de groupe sont «dirigés» dans la mesure où des enseignants et assistants sont disponibles pour guider les étudiants dans leurs recherches scientifiques et méthodologiques. Les thèmes de leurs travaux ainsi que les ancrages de terrain dépendent des intérêts des étudiants et leur éventuel plan de carrière. L’usage d’un compendium pédagogique (outil

d’identification des objectifs et acquis personnels de formation) guide l’étudiant parmi les compétences identifiées au niveau international comme indispensables ou utiles en promotion de la santé.

ATOUTS

Les étudiants représentent chaque année une variété de formations de base (dont infirmières, médecins, diététiciens, sociologues, pharmaciens, etc.) du nord comme du sud. Les enseignants sont issus de disciplines scientifiques diverses (médecine, sociologie, pédagogie, psychologie, santé publique, etc.) et ont accumulé des compétences de recherche et de formation en Europe et/ou dans les pays en développement. Cette variété enrichit les débats et le partage lors des séminaires et travaux dirigés.

Ma

MA1

MA2


méthodes 8 6



options (ma2) :> Santé communautaire et promotion de la santé en PED> Promotion de la santé en Europe> Promotion de la santé des enfants et des jeunes

- 8

stage - 17


total ects 60 60


15

DÉBOUCHÉS

débouchés flexiblesà Les étudiants diplômés en licence,

puis en maîtrise de promotion et d’éducation santé occupent des fonctions très diverses dans les pays industrialisés ou en développement. ils font partie ou dirigent une équipe d’éducation ou de promotion santé au niveau local, régional, national ou international, par exemple en promotion de la santé, éducation du patient, nutrition, communication, éducation et environnement, centre de référence cancer ou autres.

possibilités variées de travailà ils sont fonctionnaires, enseignants,

chercheurs, gestionnaires de projets,

coordinateur de programmes et d’équipes, évaluateurs ou cadres hospitaliers. Certains diplômés coordonnent des recherches cliniques hospitalières ou ont fondé une asbl (Association Sans But Lucratif) qu’ils gèrent (petite enfance, accueil de personnes en détresse).

institutions diversifiéesà Les institutions qui les emploient

sont spécialisées en éducation ou promotion de la santé, comme un institut national ou régional de prévention ou de promotion santé, une ONG internationale de prévention, une asbl de prévention de drogues ou du SiDA, une équipe de santé scolaire. D’autres ont engagé un nouveau diplômé pour qu’il développe cet aspect dans l’entreprise ou le service

(un home, une asbl ou ONG, une ville ou commune). Observatoire de la santé, ministère, mutuelle, institut de santé publique, organisme parastatal de santé, maison médicale ou de quartier, firmes pharmaceutiques, services médico-sociaux publics ou associatifs et universités sont d’autres employeurs, tant en Belgique qu’à l’étranger.

L’évaluation des formations montre que l’exercice d’intégration est un excellent moyen de préparer efficacement l’étudiant au monde du travail dans le secteur de la promotion de la santé ou de la santé publique au sens large. Ce travail en collaboration avec une équipe de terrain ainsi que les stages permettent chaque année à un, voire deux étudiants de se voir offrir un emploi en promotion de la santé.

Ma



> Théorie 47 %

> Exercices 13 %

> Séminaires 8 %


MA1

> Théorie 10 %

> Exercices 2 %

> Séminaires 17 %


> Stages 26 %

MA2


16

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ SantÉ environneMentLa finalité Santé environnement vise à l’appropriation par les futurs professionnels d’un ensemble de connaissances, de méthodes et d’outils dans une démarche scientifique permettant d’appréhender l’impact des paramètres de l’environnement dans leur globalité sur la santé humaine. Les cours alternent des mises en pratique et un stage en entreprise afin de permettre l’acquisition des aptitudes nécessaires à l’analyse de la situation, le soutien à la prise de décision, la mise en place d’actions et le développement de recherches et de nouveaux outils.

CUrSUS

la première année du master en sciences de la santé publique à finalité Santé environnement comprend un tronc commun de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation. Ces derniers visent l’introduction, la mise en pratique de notions spécifiques à la santé environnementale. Ce premier niveau de spécialisation établit les bases des connaissances théoriques dans les liens entre l’environnement et ses conséquences sur la santé humaine. il se complète par des activités pratiques allant d’exercices, aux travaux pratiques et aux rencontres avec des professionnels de terrain actifs principalement en Belgique.

en deuxième année du master, l’approfondissement des cours spécifiques, le choix de cours à option et leur mise en pratique se fait en parallèle. Cette deuxième année comprend les cours de spécialisation, le stage et les séminaires organisés en collaboration avec les étudiants. L’étudiant devra rédiger un mémoire qu’il défendra en fin de cursus. Cette

deuxième année poursuit la formation théorique, l’approfondit et la complète par des travaux personnels et en groupe. L’actualité en santé environnementale occupe une large partie des activités pratiques que ce soit via le stage ou par le contact avec des acteurs et conférenciers. Le master est organisé en horaire de jour aménagé sur 3 jours par semaine.

SPÉCifiCiTÉS

La finalité Santé environnement vise à positionner les futurs professionnels comme des généralistes qui par la suite peuvent approfondir des contenus spécifiques mais toujours pourront intervenir en soutien à la décision que celle-ci soit individuelle comme lorsqu’il s’agit de prévention et de promotion de la santé mais aussi et surtout lorsqu’elle est collective et intervient en amont sur les décisions de planification dans la cité. Cette formation conjugue les approches méthodologiques et les contenus. Certains cours sont communs avec le Master complémentaire en Médecine

du Travail et d’autres avec le Master en Gestion de l’Environnement de la faculté des Sciences.

ATOUTS

La santé environnement est une discipline multidisciplinaire et cela se vit à la fois par la diversité des contenus des cours, séminaires et exercices (toxicologie, approche systémique, bio-contaminants, technologie industrielle, nuisances, épidémiologie appliquée à la santé environnementale, politique, sociologie et communication), la multiplicité des disciplines dont sont issues les enseignants mais aussi la diversité des formations des étudiants. Cet ensemble participe à la richesse des échanges et la construction de savoirs en continue évolution. Parmi les objectifs pédagogiques de cette finalité, se retrouvent à la fois le travail en équipe mais aussi l’autonomie et la réflexion critique des étudiants afin qu’ils deviennent des acteurs efficaces en santé environnementale.

Ma

MA1

MA2

sciences humaines 13 -

méthodes 8 2

santé publique 10 -

cours de spécialisation 20 28

stage - 15


total ects 60 60


17

DÉBOUCHÉS

les débouchés sont nombreux : à recherche (secteur public ou privé)à Bureaux d’études, fédérations

d’entreprises, industries et entreprises, firmes pharmaceutiques

à institutions de santé publique, observatoires de la santé, organismes de santé publique et d’environnement, ministères, services médico-sociaux publics ou associatifs, services scolaires, autorités locales

à ONG nationales et internationalesà instances internationales.

exemples de métiers selon la finalité choisie : à Gestionnaire de projet dans le

domaine de la santé publique et de la santé environnementale

à Postes à responsabilités dans les ministères de la santé, dans la gestion de programmes, dans les organisations internationales ou sur le terrain.

à Conseiller en environnement, santé et sécurité

à etc.

Ma



> Théorie 18 %

> Exercices 8 %

> Séminaires 7 %


> Stages 25 %

MA2

> Théorie 54 %

> Exercices 17 %

> Séminaires 8 %


MA1


18

MA1

MA2


méthodes 8 2


cours de spécialisation 20 14

stage - 15


total ects 60 60

MASTEr EN ScienceS de la SantÉ PubliqueÀ fiNALiTÉ SantÉ, SociÉtÉ, laïcitÉLa finalité interfacultaire Santé, Société, Laïcité vise à former des cadres disposant des connaissances sur les différentes conceptions de vie reconnues en Belgique et capables de :> poser un diagnostic, politique, philosophique et pédagogique ;> concevoir des programmes et des actions de santé ;> de coordonner et gérer des activités préventives, curatives, de réhabilitation ;> d’agir comme personne-ressource auprès des institutions psychosociales.Ces actions vont de l’entretien individuel au travail intersectoriel en visant une amélioration des conditions de vie et du bien-être, et en passant par le développement communautaire.

CUrSUS

la première année du Master en sciences de la santé publique à finalité Santé, Société, Laïcité comprend un tronc commun de 40 ects auquel s’ajoutent 20 ects de cours de spécialisation dans la finalité.

la deuxième année du Master de cette finalité comprend les cours de spécialisation, les stages (15 ects), et le mémoire que l’étudiant devra rédiger et défendre en fin de cursus (15 ects).Ce master est organisé en horaire de jour (horaire aménagé 2 à 3 jours/semaine).

SPÉCifiCiTÉS

La finalité interfacultaire Santé, Société, Laïcité du Master en Sciences de la santé publique donne aux étudiants tous les outils pour aborder, de manière libre exaministe, toutes les questions éthiques et philosophiques telles qu’elles se posent aujourd’hui, dans notre monde pluriel. Elle aborde les notions de santé communautaire dans un esprit qui prône l’intérêt général et ouvre des débouchés dans tous les domaines de la santé publique et dans le monde associatif dont

l’action est tournée essentiellement vers l’humain. Dans le cadre de la formation, les étudiants seront amenés à partager des enseignements et des séminaires avec des étudiants de la faculté de Philosophie et Lettres.

ATOUTS

Certains enseignements sont dispensés selon un horaire adapté aux disponibilités des étudiants.

DÉBOUCHÉS

La finalité Santé, Société, Laïcité du Master en Sciences de la Santé Publique ouvre des débouchés dans tous les domaines de la santé publique et dans le monde associatif dont l’action est tournée essentiellement vers l’humain.

> Théorie 48 %

> Exercices 17 %

> Séminaires 3 %


MA1

> Théorie 17 %

> Exercices 6 %

> Séminaires 5 %


> Stages 25 %

MA2

Ma




19

LE CUrSUS

La formation s’étend sur quatre années : les deux premières sont essentiellement consacrées à l’acquisition de connaissances et les deux suivantes à des stages temps plein – selon les modalités proposées par le Jury d’études – ainsi qu’à l’élaboration d’un mémoire de fin d’études centré sur l’étude d’un aspect particulier de la santé au travail.Les cours sont dispensés, dans la mesure du possible, le vendredi après-midi et le samedi matin.Le programme vise à dispenser une formation de haut niveau dans une approche pluridisciplinaire conforme aux nouvelles orientations et directives prises en médecine du travail dans le concept élargi de santé au travail (= bien-être physique, mental, social).Le programme établi tient donc compte de toutes les orientations nécessaires au futur médecin du travail pour accomplir ses missions et ses objectifs.

LES SPÉCifiCiTÉS

Le Master complémentaire en Médecine du travail est organisé sous l’égide de l’Académie universitaire Wallonie-Bruxelles, par l’École de Santé Publique de l’ULB.Les cours se donnent sur le Campus Erasme de l’ULB, à 1070 Bruxelles.

LES ATOUTS

Au terme de leurs études, les étudiants devront être capables de :> remplir les missions imparties à la

pratique de la santé au travail ;> se conformer aux exigences de la

reconnaissance et de l’agrément en Médecine du travail ;

> entreprendre et finaliser seul ou en collaboration des travaux de recherche et participer aux travaux de recherche scientifiques en santé au travail ;

> gérer des problèmes professionnels et concevoir, planifier, créer des services de Médecine du travail ;

> enseigner aux collaborateurs et résoudre les problèmes professionnels.

DÉBOUCHÉS

Cette spécialité médicale, pour les porteurs d’un diplôme de base de médecine reconnu en Europe communautaire (à faire reconnaître en Belgique, si ce n’est pas le cas), permet, par l’obtention du titre de spécialiste en médecine du travail (délivré par le SPf Santé publique), la pratique de la médecine du travail en Belgique, ainsi que la mobilité dans l’Europe communautaire pour cette spécialité.

Cette spécialité médicale, également ouverte aux médecins, non porteurs d’un diplôme de base de médecine reconnu en Europe communautaire, permet l’obtention du diplôme de Master complémentaire en Médecine du travail.

Les candidats spécialistes devront le faire reconnaître dans leur pays d’origine selon les modalités propres à chaque pays, ce qui leur permettra l’exercice de cette spécialité médicale dans leur pays d’origine.

MaSter coMPlÉMentaire DE SPÉCiALiTÉ MÉDiCALEMÉdecine du travailLe Master complémentaire en Médecine du Travail est une spécialité médicale répondant au standard européen en médecine du travail. il est destiné aux médecins souhaitant acquérir cette spécialité.

Mc

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/mc-mtra



20

LE CUrSUS

Le programme d’études est organisé comme suit :> introduction à la santé publique

internationale (30 heures) ;> méthodes quantitatives en santé

publique (165 heures) ; > politiques et systèmes de santé (150

heures) ; > prise en charge des problèmes de

santé publique dans les pays en développement et approches en santé publique (75 heures).

> promotion de la santé (45 heures)

LES SPÉCifiCiTÉS

Ce programme est organisé en inter-académies, en collaboration avec les Écoles de Santé publique de l’Université libre de Bruxelles (ULB), de l’Université catholique de Louvain (UCL) et de l’Université de Liège (ULg).

Les cours se donnent sur les sites de l’UCL et de l’ULB principalement en les regroupant par journée entière sur un même site. quelques journées entières de cours sur l’année sont organisées sur le site de l’ULg.

Le Master complémentaire en santé publique est une formation pluridisciplinaire orientée vers les problèmes des pays en développement.Les participants sont d’origines diverses et de nombreuses nationalités sont représentées.La langue des cours est le français. Une connaissance passive de l’anglais scientifique est nécessaire.

Les cours sont organisés en horaire de jour, sur une année académique. Les étudiants bénéficient, dans la mesure du possible, de l’accès aux diverses structures des trois Écoles de Santé publique ainsi qu’aux ressources

accessibles aux étudiants des trois facultés de Médecine.Le Travail de fin d’études (TfE) représente 16 ects.

LES ATOUTS

Au terme de leur formation, les étudiants seront à même :> d’identifier, d’analyser les déterminants

et de mesurer l’importance des problèmes de santé dans les PED ;

> de définir des priorités en vue de la santé et du développement ;

> d’élaborer, de mettre en œuvre et d’évaluer des stratégies d’intervention sanitaires et médico-sociales adéquates ;

> de contribuer à la mise en œuvre de politiques et de programmes intersectoriels pertinents pour le développement.

DÉBOUCHÉS

Postes à responsabilités dans les ministères de la santé, dans la gestion de programmes, dans les organisations internationales ou sur le terrain.

MaSter coMPlÉMentaire EN SANTÉ PUBLiqUEOriENTATiON SantÉ et dÉveloPPeMentLe programme d’études est proposé à des universitaires travaillant ou désireux de travailler dans le secteur de la santé dans les pays en développement (PED). Les PED ont un besoin pressant de cadres universitaires capables de concevoir, organiser, gérer et développer des services et des activités ayant pour but de rétablir, maintenir ou promouvoir la santé de leurs populations. Le programme d’études proposé vise à former ces cadres par une approche multidisciplinaire, afin de leur permettre d’acquérir les connaissances et les compétences nécessaires à l’animation et à la gestion du système de santé dans les PED.

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/mc-sapU


Mc


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CUrriCULUM

The compulsory programme is built around two main axes : disciplines relevant to public health research methodology:> fundamentals of epidemiology > Clinical epidemiology > Demography > Statistical quantitative and qualitative

methods > Statistics with computing > Contextual factors in public healthand modules related to the planning, management and evaluation of health systems and services:> Operational research and health

planning > Health services strategies and

evaluation > Principles of management > Human resource management > Health systems management > Hospital management.

The programme is taught through a variety of teaching methods including : lectures, practicals, field visits (hospital, medical house), self-directed study followed by seminars and groupwork with peers.

DiSTiNCTiVE fEATUrES Of THE PrOGrAMME

The programme is jointly run by two universities members of the Académie Wallonie-Bruxelles (ULB and UMons) which have a partnership agreement with the University of Liverpool for the part of the programme related to the qualitative methods.At the side of the programme, the students have the opportunity to follow two lectures (fifteen hours each) given by two invited lecturers from middle or

low income countries. The lectures deal with specialized topics within the area of expertise of the lecturers. One of the lecturers is usually a former student which brings stimulating exchange with the class.Students are also invited to attend the annual seminar of the Belgian Platform for international Health (Be-cause Health).

ASSETS Of THE PrOGrAMME

The programme aims to develop knowledge and skills but also to help students to turn what they learnt into action. The students acquire a large degree of autonomy in the use of public health methods and the transmission of this knowledge in professional life. The multidisciplinary approach of the programme opens a wide range of career prospects : oriented towards research or towards field action or policy making.

The diversity of the students’ backgrounds and experiences brings a variety of viewpoints in learning activities but also the opportunity to develop relationships all over the world.

advanced MaSterin Public HealtH MetHodoloGyThis course aims to strengthen the links between academic research and applied topics such as health programmes and health systems management. it aims to equip graduates with the knowledge and skills to undertake epidemiological and public health research as well as to provide leadership and technical support in public health programmes and policy, particularly in middle and low income countries. Students acquire a large degree of autonomy in the use of public health methods and the transmission of this knowledge in professional life. Students come from a wide range of backgrounds and countries. At least one year’s experience in public health related work is recommended but not required. The programme is taught in English.

Mc

CArEEr PrOSPECTSà Academic sector : the programme

may serve as excellent preparation for students wishing to go on to take a PhD

à Universities, health research centres : epidemiologist, biostatistician, researcher in health services and policies

à Community and hospital medicine : public health physician, district officer

à National and international health agencies : programme or project officer/manager, public health surveillance specialist

à Non-governmental organizations : medical coordinator, project manager

à Health Ministries : regional programme coordinator, consultant/officer in national health policy and planning

http://catalogue.ulb.ac.be/prog/mc-stme



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le doctorat

LE CUrSUS

L’étudiant choisit un sujet de thèse dans le domaine de la santé publique et obtient l’accord d’un enseignant de l’École pour encadrer sa thèse. En parallèle avec la réalisation de sa thèse, le doctorant réalise une formation doctorale de 60 crédits. L’évolution du travail de thèse est également suivie par un comité d’accompagnement. Le titre de Docteur en Sciences de la Santé publique est décerné après la réussite d’une défense privée et d’une défense publique de la thèse.

LES SPÉCifiCiTÉS

Le Doctorat en santé publique est caractérisé par son aspect pluridisciplinaire de sorte que les thèses peuvent être orientées vers une approche quantitative de la santé, ou plutôt économique, sociologique ou psychologique…L’École de Santé Publique fait partie intégrante de l’École Doctorale Thématique en Santé publique, Santé et Société, qui regroupe les Écoles et facultés de Santé Publique de l’UCL, l’ULg et l’ULB. L’objectif de cette École Doctorale est double. il s’agit d’une part de créer pour les doctorants un milieu favorable à la recherche de haut niveau dans le domaine de la santé publique par une approche multidisciplinaire à la base du concept même de santé publique, et d’autre part de former ses doctorants.

LES ATOUTS

Dans le cadre du Doctorat, une formation doctorale diversifiée permet au candidat de mener à terme ses recherches. À la fin de ses recherches, le doctorant aura acquis une capacité d’analyse approfondie des problèmes de santé publique ; une capacité de conception, d’expertises et de supervision de projets et/ou programmes de recherche dans le domaine de la santé publique, ainsi qu’une compréhension approfondie de l’approche multidisciplinaire de la santé publique.

doct

ora

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DÉBOUCHÉS

à carrière académique

à recherche

à postes de haut niveau dans les organismes internationaux, les observatoires de santé, et tout organisme de santé publique

à firmes pharmaceutiques

Le Doctorat en santé publique s’adresse à des détenteurs d’un Master (ou titre équivalent) désireux d’entreprendre un travail de recherche dans le domaine.

www.ulb.ac.be/esp


23

LE PÔLE SantÉ

UN DOMAiNE COMMUN : la SantÉ

Le Pôle Santé est une plate-forme de collaboration qui réunit depuis 2008 quatre facultés/école de l’ULB : la faculté de Médecine, la faculté de Pharmacie, la faculté des Sciences de la Motricité et l’École de Santé Publique. Cela représente plus de 5 300 étudiants et quelque 1 000 employés sur le Campus Erasme.Le concept commun à ces entités est la problématique de la santé au sens large, qui ne recouvre pas uniquement le diagnostic et le traitement des affections mais évolue, de plus en plus, vers la notion de «bien-être». La prise en charge de la santé inclut donc désormais aussi bien une approche individuelle que collective, le curatif autant que le préventif, la promotion de la santé, l’amélioration de l’environnement physique et psychosocial ainsi que l’organisation des services de santé.

UNE iDENTiTÉ GÉOGrAPHiqUE : LE CAMPUS eraSMe

Trois des quatre entités constitutives sont situées sur le campus Erasme, ainsi que la Bibliothèque des Sciences de la Santé de l’ULB ; la faculté de Pharmacie, actuellement sise sur le campus de la Plaine, doit prochainement les y rejoindre. Mais on trouve sur ce même campus ou à sa périphérie encore bien d’autres acteurs du domaine de la santé, ce qui facilite de multiples partenariats fructueux : l’Hôpital universitaire Erasme (qui sera bientôt rejoint par l’institut Bordet et un centre de recherche de pointe en oncologie), le CEMUBAC (ONG de l’ULB active dans la coopération Nord-Sud), la Haute École i. Prigogine, l’institut reine fabiola, l’asbl facere (centre d’hébergement de personnes adultes handicapées), l’asbl «Les Jardins de la Mémoire», et enfin des sociétés privées de recherche et de développement.

DES OBJECTifS PartaGÉS

Le Pôle Santé permet la mise en commun de ressources pédagogiques, scientifiques, administratives ou matérielles, avec les objectifs suivants : répondre au mieux aux besoins et spécificités du campus Erasme ; constituer et mettre en valeur des filières d’enseignement/de recherche dans le domaine des Sciences de la Santé à l’ULB et renforcer leur lisibilité ; favoriser l’émergence de réflexes de dialogue et

de collaboration entre les équipes pédagogiques, scientifiques et administratives ainsi qu’entre les étudiants des différentes filières ; renforcer la visibilité des activités de l’ULB dans le domaine de la santé.

UNE STrUCTUrE DE cooPÉration

Le Pôle Santé est structuré autour d’un organe de décision collégial composé des autorités académiques et administratives de ses entités et d’un Coordinateur académique, qui sont assistés par une petite cellule administrative. il existe également des groupes de travail thématiques impliquant des personnels académiques, scientifiques et administratifs des différentes entités aussi bien que des représentants étudiants.

DES rÉaliSationS CONCrèTES

Le Pôle Santé permet la coordination d’antennes de services administratifs généraux, ce qui évite aux étudiants et personnels des déplacements sur le campus du Solbosch (permanences de l’asbl PsyCampus, antennes des services sociaux, du Département recherche ou encore du Service des inscriptions, etc.).Un important travail a également été fait en matière de convivialité sur le campus : amélioration de l’information grâce notamment à la mise en place d’écrans d’affichage et à l’organisation de journées d’accueil et de séances d’information, installation d’une salle d’étude sécurisée en période de blocus, d’un «cyber espace», d’une nouvelle cafétéria, etc.Enfin, le Pôle Santé est aussi tourné vers l’extérieur. Ses autorités académiques sont très soucieuses de faciliter les collaborations scientifiques et les échanges internationaux d’étudiants et d’enseignants. Un accent tout particulier est mis sur le programme Erasmus et la coopération universitaire au développement.Des projets tels qu’un Plan Langues ou la mise en place d’enseignements transversaux entre les différentes entités sont à l’étude.Le Pôle Santé est une structure innovante et dynamique bien insérée dans de multiples réseaux de collaborations aussi bien aux niveaux local que régional, national ou international, qui rassemble sur un campus vert et à dimension humaine des étudiants, des professeurs et des chercheurs partageant un intérêt commun : la santé.

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L’UNiVErSiTÉ LiBrE DE bruXelleS

UN ENSEiGNEMENT DE qualitÉ

Avec ses 13 facultés, écoles et instituts spécialisés, l’ULB couvre aujourd’hui toutes les disciplines en associant très étroitement enseignement et recherche. Elle organise près de 40 programmes de 1er cycle (ba) et 235 Masters (2e cycle), et participe à 20 Écoles doctorales où près de 1700 doctorats sont en cours.

Certains de ces Masters mettent l’accent sur la transdisciplinarité, d’autres sur l’international avec des Masters européens ou le multilinguisme. De nombreuses collaborations avec la VUB (Université néerlandophone de Bruxelles) se poursuivent aussi, depuis plusieurs années.

Soucieuse d’apporter aux étudiants une solide formation de base, un esprit critique et le goût de la recherche, l’Université rencontre aussi les besoins de nouveaux publics. Des cursus à horaire décalé et des formations continues destinés à des adultes engagés dans la vie active côtoient des filières plus traditionnelles ou plus en prise avec la recherche de pointe.

Multiculturelle & internationale

Université francophone, l’Université libre de Bruxelles dispense l’essentiel de ses enseignements en français et propose une offre croissante de Masters partiellement ou entièrement en anglais, voire dans d’autres langues.

université multiculturelle - près d’un tiers des étudiants et des chercheurs proviennent d’un autre pays -, l’Université libre de Bruxelles a fait de l’international une réalité quotidienne à l’image de Bruxelles, ville cosmopolite par excellence. Grâce notamment aux programmes européens de mobilité, les collaborations avec des universités du monde entier s’inscrivent désormais dans une dynamique qui touche l’enseignement comme la recherche. Au-delà des nombreux échanges d’étudiants, l’ULB met en place des formations intégrées avec des partenaires étrangers, allant jusqu’à la délivrance de diplômes conjoints de Master et de Doctorat. Plusieurs de ces programmes ont reçu le prestigieux label «Erasmus Mundus».

Cette dynamique en matière d’ouverture à l’Europe et au monde se traduit par de nombreux accords, collaborations et partenariats privilégiés avec quelques-unes des meilleures universités du monde.

UNE recHercHe DE POiNTE

quatre Prix nobel (Henri La fontaine, Jules Bordet, Albert Claude et ilya Prigogine), une Médaille fields (Pierre Deligne), trois Prix Wolf et deux Prix Marie Curie sont autant de preuves de la longue tradition d’excellence.

fortement impliquée dans l’Espace européen de la recherche, l’ULB participe à près de 80 projets financés par le 7e Programme-Cadre Européen. Ces dernières années, elle a obtenu cinq Starting Grants de l’European research Council (ErC) pour financer des recherches en médecine, économie, mathématiques et sciences politiques, ainsi qu’un Advanced Grant en intelligence artificielle. Son institut d’Études européennes est par ailleurs reconnu «Pôle de recherche européen Jean Monnet» pour ses travaux sur l’intégration européenne. L’Université développe également une recherche en étroite collaboration avec le monde de l’entreprise et valorise ses résultats par le biais de brevets et de spin-offs.

enGaGÉe…

L’ULB est impliquée, depuis sa fondation en 1834, dans le combat sans cesse renouvelé pour la pensée critique et la liberté, qu’il concerne l’opposition aux dictatures ou aux autres dérives nationalistes, l’égalité des chances et bien d’autres enjeux sociétaux.

fondée sur le principe du libre examen qui postule l’indépendance de la raison et le rejet de tout dogme, l’Université est restée fidèle à ses idéaux originels : une institution libre de toute tutelle, engagée dans la défense des valeurs démocratiques et humanistes.

Dans un souci de démocratie, les étudiants participent activement, depuis 1968, aux principales structures de l’Université.

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Université libre de brUxelles

à UNE TrADiTiON D’EXCELLENCE SCiENTifiqUE

à UN ENSEiGNEMENT DE qUALiTÉ

à UNE OUVErTUrE SUr LE MONDE, AU CœUr DE L’EUrOPE

Avec ses treize facultés, écoles et instituts spécialisés, l’ULB couvre aujourd’hui toutes les disciplines en associant très étroitement enseignement et recherche. Elle organise près de 40 programmes de 1er cycle (BA) et 235 Masters (2e cycle), et participe à 20 Écoles doctorales où près de 1700 doctorats sont en cours.

Soucieuse d’apporter à ses étudiants une solide formation de base, un esprit critique et le goût de la recherche, l’Université rencontre aussi les besoins de nouveaux publics…

www.ulb.ac.be

infor-étudesinformation, orientationrelations avec l’enseignement secondaire et supérieurt 02 650 36 36 - m [email protected]

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d’étUdiants internationaUx issUs de 130 pays

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Économie et gestion de la santÉ mÉdecine du travail ... · a université libre de bruxelles...

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