engagements de cdc tiers monde 20 ans d’audace et de succès · cdc tiers monde sommaire echos du...

CDC tiers monde

SommaireEchos du terrain 2

Nos actions 5Projets 2004 5Tourisme solidaire 8Commerce équitable 9

En toute transparence 10

Votre participation 11

20 ans d’audace et de succèsOn ne parlait pas encore d’entreprise responsable, en 1985, quand CDC tiers monde a été consti-tuée, ni de l’intérêt que porteraient les agences de notation à la mobilisation du personnel pour lasolidarité nationale ou internationale.Penser que l’entreprise pouvait être un lieu de mobilisation humanitaire et lancer un appel co-signé du directeur général et de toutes les organisations représentatives des collaborateurs, c’étaitalors faire preuve d’audace ! Penser que le développement pouvait progresser à travers de petitsprojets et qu’il était possible de construire là-bas durablement malgré l’image désespérante - mala-dies, corruption, violences - véhiculée par les média, c’était aussi faire preuve d’audace !

Au service du développement durableNotre succès s’est matérialisé à travers plus de 150 réalisations dans 40 pays en Afrique, Asie,Amérique latine ou Europe de l’Est. Nous avons choisi avec attention et rigueur les projets et lesopérateurs. Des témoignages sur la réussite de nos actions nous ont été rapportés à l’occasion desvoyages réalisés, sur leurs fonds personnels et pendant leurs congés, par des collaborateurs duGroupe.Par-delà le financement de nos projets, depuis 2003, nous assurons la promotion du commerceéquitable et du tourisme solidaire.

Avec 500 adhérents 500 adhérents salariés ou retraités du Groupe nous apportent leur soutien depuis les premièresannées ; certains s’engagent dans les conseils de nos sections ou notre conseil d’administration.Nous pouvons compter aussi sur les bénévoles qui viennent nous aider à réaliser notre pro-gramme d’actions et participer à nos travaux de gestion.

Et des partenaires f idèlesNotre succès est le fruit d’un partenariat de long terme avec la mission mécénat qui, au-delà duversement d’une subvention annuelle, favorise nos projets grâce aux dons qu’elle collecte en dis-tribuant les places du Théâtre des Champs-Elysées.Notre succès est le fruit du soutien que nous apportent les directions des moyens généraux, lesdirections de communication des sociétés du Groupe ou leurs organismes sociaux, les établisse-ments d’Angers et de Bordeaux de la CDC.

Dans une recherche constante de transparence et de performanceNous avons toujours eu le souci d’une gestion rigoureuse et économe car nous nous engageonsà ce que toutes les sommes collectées bénéficient à nos projets. Depuis deux années, nos comp-tes sont certifiés.A travers nos conférences, nos expositions, nos publications et notre site intranet, nous essayonsde développer les échanges avec ceux qui nous soutiennent et qui souhaitent favoriser un déve-loppement durable de notre planète.

Elisabeth Guingand

41 %

38 %

21 %

SantéEducation

Développement local

Engagements de CDC tiers monde

j a n v i e r 2 0 0 5

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Cambodge : 48 nouveaux élèves Klakon Thmeï est un village très pauvre situédans la province de Bantay Manchey où, en1999, l’association Les enfants du sourire Khmer(ESK) a fait construire une école pour les enfantsn'ayant jamais été scolarisés. Dotée de troissalles de classe, elle était devenue trop petite.Le soutien financier de CDC tiers monde a permisde construire deux salles de classe supplémen-taires et une salle pour les professeurs. Ainsi, 48 nouveaux élèves ont pu être accueillisà la rentrée scolaire 2003 et les professeurs peu-vent aujourd'hui préparer leurs cours dans debonnes conditions. De plus, le nombre d'élèvespar classe est désormais moins élevé passant

de 54 à 45 élèves en moyenne.L’agrandissement de l'école permet la couverturetotale du cycle primaire, ce qui lui a valu deperdre son statut d'annexe pour acquérir celuid'école à part entière avec un directeur auto-nome.Cette action montre que les populations les plusdémunies peuvent accéder à l'éducation dans debonnes conditions.Un grand merci à CDC tiers monde de leur part.

Dominique KleinVice présidente Les enfants du sourire khmer

ECHOS DU TERRAIN

Sénégal : une maternité communautaire

Cambodge : un soutien pédagogique

Plus de la moitié des femmes Saint Louisiennesdonnent la vie de manière traditionnelle, c’est-à-dire à domicile avec l’aide d’une matrone. Lamère et l’enfant encourent alors de nombreuxrisques en cas de complications pendant et aprèsl’accouchement.La maternité de la Communauté de GoxumBaccà Saint Louis Sénégal doit permettre, d’ici 5 ans,de réduire à moins de 10 % le taux d’accouche-ment à domicile. Cela contribuera à la diminu-tion de la morbidité et de la mortalité mater-nelle et néonatale dans cette zone.

Le partenaire local est l’association AFA « And fegAskanwi » qui signifie « Ensemble, protégeonsla santé de la communauté ».Les partenaires financiers sont CDC tiers monde,le Fonds Social de Développement del’Ambassade de France à Dakar et le Comité deSanté local.

J.C PollefoortPrésident Partenariat avec St-Louis du Sénégal et sa région

Le nouveau projet de Loire Cambodge pour2004 consiste à développer l'enseignement dessciences expérimentales (physique, chimie, bio-logie et géologie) en formant, au Cambodge,des personnes ressources capables d'utiliser lematériel scientifique. Il s'agit également defournir des outils pédagogiques permettant deréaliser des expériences simples pour illustrer lescours des professeurs.L'aide pédagogique apportée par LoireCambodge est complétée par l'élaboration defascicules pédagogiques traduits en khmer. La subvention de 4500 euros accordée par CDCtiers monde pour l'impression de six fasciculespédagogiques est primordiale : les professeurscambodgiens ont habituellement peu de docu-

ments pour préparer leurs cours malgré lesefforts du gouvernement. Les livres de LoireCambodge sont particulièrement appréciés parles professeurs cambodgiens car ils apportentdes compléments de cours illustrés, des exercicescorrigés, des suggestions d'expériences facile-ment réalisables au Cambodge et ils sont biensûr en khmer (les jeunes professeurs sont sur-tout anglophones). Merci donc à CDC tiers monde qui nous permetde continuer à aider les professeurs cambod-giens.

Jean-Patrick LafonPrésident Loire Cambodge

Jeunes écolières devant leurs nouvelles classes

Maternité en construction

Couverture d’un livre de Terminale

CDC tiers monde - 2004

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Niger : des boutiques coopératives gérées par des femmes A la demande des femmes, en 1999, ORION afinancé la mise en place de boutiques épiceriesdans le cadre d’une coopérative. Un bureau a étéélu et une gérante nommée.Dans les boutiques sont vendues des denrées debase : mil, riz, sucre, thé, huile, épices et saveurs.Les marges de 10 à 20 % proviennent de la venteau détail de produits achetés en sacs de 50 à100 kg. Les femmes réapprovisionnent elles-même leurs boutiques et décident de l’utilisationdes bénéfices.Les premiers bénéfices alimentent une caissede secours, gérée par le bureau élu, destinée àaider les plus pauvres.Cette action est une réussite, la promotion desfemmes réelle. Celles-ci acquièrent une réalité

sociale et économique. Elles aident les plusdémunis grâce à la caisse de secours et dispo-sent de médicaments de première urgence.Pour une petite ONG, c’est une action efficace.Le coût de la mise en place est raisonnable auregard du résultat. Après leur lancement, lescoopératives génèrent leur propre croissance.C’est une activité durable qui profite au plusgrand nombre et aux plus vulnérables.ORION a mis en place une trentaine de coopé-ratives réparties sur une zone plus vaste que laBretagne. L’objectif est d’atteindre 40 coopéra-tives.

Guy DuhardPrésident ORION

ECHOS DU TERRAIN

Cambodge : des livres pour les banlieuesdéfavorisées Equipé d’étagères mobiles, de nattes, de petitestables, le bibliobus financé par CDC tiers mondea pris la route le 26 octobre dernier.Sambath YEAR, chauffeur-bibliothécaire, met àdisposition des enfants 1500 livres et 45 jeux.Desservant les banlieues défavorisées de PhnomPenh, il organise deux séances par jour aux-quelles participent environ soixante-dix enfants.Voici comment se déroule une séance : lebibliobus arrive sur la place du village, sonarrivée est annoncée par le haut-parleur. La ses-sion débute par la narration d’un conte par lebibliothécaire, puis les enfants choisissent unlivre et le lisent seul ou à plusieurs. Ensuite arrive le moment du dessin : papierblanc, crayons de couleur et feutres sont mis à

disposition. Un temps pour s’exprimer, un tempspour découvrir de véritables talents.Des adultes se joignent aux enfants et profitenteux aussi de la séance. Deux heures et demie sesont écoulées, c’est l’heure de ranger. Quandtout est en ordre, le bibliobus repart après avoirdonné la date de sa prochaine venue, quinzejours plus tard.Le bibliobus sème le livre dans une terre enfriche. Il permet à des enfants et des adultes dedécouvrir le monde des livres et d’avancer surle chemin de la connaissance.

Bernadette ChaventonResponsable projet SIPAR

Quelques membres d’une coopérative

Le bibliothécaire et les enfants

“Un homme blanc chez les hommes bleus, Touaregs du désert”Guy Duhard, avec ce carnet de voyage, nous fait partager les découvertes de ses amis Touaregsdu Niger. Ce livre est disponible, en prêt, à la bibliothèque de la Caisse des dépôts ; il est éga-lement vendu au profit de l’association ORION : 6 rue Exelmans - 78000 Versailles.


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Maroc : à la rencontre de l’autreVoyager autrement, loin des lieux touristiques tra-ditionnels très fréquentés, c’est possible. J’ai réa-lisé cette expérience pour la première fois en2003, dans la région berbère du sud marocain.Ma motivation dans ce voyage était d’aller à larencontre de la population locale. L’hébergementchez les habitants et les repas pris en communm’ont permis d’avoir une vision réaliste de leurquotidien. Chaque étape a favorisé des échangesriches et diversifiés, non seulement avec leshôtes, mais aussi les associations œuvrant loca-lement pour l’amélioration des conditions devie : adduction d’eau dans les foyers, pré-scola-

risation, travail des femmes en coopérative.Le sérieux, le dynamisme, l’enthousiasme dontfont preuve ces associations qui veillent à impli-quer la population dans leurs actions sont trèsréjouissants.De plus, ce tourisme solidaire représente unatout économique modeste mais appréciablepour la région.

Monique BarraultParticipante au voyage de tourisme solidaire auMaroc

Cambodge : apprendre, lire, jouer, et dessinerLe district de Samlot, ex bastion Khmer Rouge àla frontière thaïlandaise, est une des zones lesplus défavorisées du Cambodge. Ici, pas d'élec-tricité, pas de routes ni d'hôpitaux. La vie quo-tidienne est une survie qui mobilise toutes lesforces de la communauté. L'éducation des enfants pose également pro-blème car ils ne trouvent pas à l'école les condi-tions nécessaires à leur développement. Grâce à l'aide de CDC tiers monde, nous avonspu fournir du matériel et des jeux éducatifs pourles séances de soutien scolaire aux quelque milleenfants des Centres d'Animation mis en place parERM dans six villages isolés de Samlot.

Les enfants ont pu participer aux activités d'éveil(théâtre, danse, peinture…) organisées pourdévelopper leurs capacités motrices et mentales.Un musée mobile a été constitué afin de leurfaire découvrir les éléments essentiels de la cul-ture khmère.Pendant toute l'année scolaire, ces enfants ontdonc pu apprendre, lire, jouer, dessiner et menerune vie d'enfant.

Barbara RadelliCoordinatrice Enfants Réfugiés du Monde -Cambodge

Cameroun : atelier de couture à DoualaNous rentrons de DOUALA où nous avons visitéun atelier de couture mis en place par l’AFSUPES,association de personnes touchées par le sida,avec l’aide de l’APPEL, association d’aide auxenfants du tiers monde.Situé dans le quartier populaire de New Bell,l’atelier regroupe 9 jeunes filles orphelines dusida qui commencent une formation de 2 ans àla couture sous la direction d’une monitrice.Nous avons trouvé ces jeunes filles très moti-vées travaillant à la confection de 100 chemisesen tissu traditionnel très coloré, destinées à unecommande pour les Etats-Unis.Avec la subvention de CDC tiers monde, desmachines et du matériel seront acquis. GTZ

(organisation nationale de coopération alle-mande) a financé l’indemnisation des moni-trices et assure la formation du trésorier.L’APPEL assure le suivi de l’opération qui doitaboutir à la création d’une coopérative danslaquelle les anciennes élèves (20) pourront conti-nuer à travailler.Ces jeunes femmes durement éprouvées audépart, vont pouvoir accéder à des activitésgénératrices de revenus très précieux dans unpays marqué par le chômage.

Docteur Dominique PETITChef de projet de l’APPEL

La responsable de la coopérative des femmesde la région de Tafraout

Les enfants et la lecture

Formation à la couture dans l’atelier

ECHOS DU TERRAIN


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> Construction d’infrastructures sanitaires dans un centre de santé au Burkina Faso

LieuDistrict sanitaire de BogandéContexteLes infrastructures sanitaires de ce district sont insuffisantes en termesquantitatif et qualitatif. Les dispensaires et maternités ont besoin d’êtreréhabilités ou agrandis pour que les patients puissent fréquenter lescentres en toute sécurité et que le personnel de santé travaille dans debonnes conditions.Les incinérateurs permettant d’éliminer les déchets et de garder la salu-brité font défaut ce qui engendre des problèmes d’hygiène alimentairepour les malades, leurs accompagnateurs et la population environ-nante.Du fait de leur ancienneté, les infrastructures sanitaires du district deBogandé présentent des fissures et des détériorations. Nature de l’investissementConstruction de deux logements/locaux de travail, de deux latrines etd’un incinérateur.Montant accordé15 807 €.Association partenaireActions de Solidarité Internationale.

> Construction d’une école maternelle avec cantine au Vietnam

LieuVillages de Kon et de Que au Nord du paysContexteCette province, considérée comme l’une des plus pauvres du Vietnam,est une zone montagneuse peuplée de nombreuses minorités ethni-ques.Kon et Que comptent 78 enfants âgés de 3 à 6 ans. Ces villages ne dis-posant pas d’école maternelle, les enfants de moins de 6 ans restent àla maison et sont livrés à eux-mêmes. Ils ne parlent que peu le vietna-mien et rencontrent des difficultés pour accéder à l’école primaire.40 % d’entre eux souffrent de carences alimentaires qui les rendentplus vulnérables face aux maladies et épidémies.Nature de l’investissementConstruction de l’école maternelle comprenant trois classes, des jeuxd’extérieur, une cantine.Un suivi de santé est prévu pour chaque enfant.La mise en place d’une porcherie et d’un poulailler permettra, à terme,de garantir l’autonomie financière de l’école.Montant accordé12 040 €.Association partenaireSourires d’Enfants.

Projets 2004

CDC tiers monde participe au financement de micro-projets

élaborés et mis en œuvre sur le terrain par des organisa-

tions non gouvernementales, destinés à améliorer les condi-

tions de vie des populations les plus défavorisées. Les projets

sont sélectionnés dans trois domaines principaux : la santé,

l'éducation et l’économie locale.

Les projets, sélectionnés par le conseil d’administration

de l’association et approuvés par son assemblée générale,

représentent un financement de 115 491 €.

> Extension d’un dispensaire pour enfants dénutris à Madagascar

LieuMorondava, région du MénabéContexteLe pays est confronté à de sévères problèmes de malnutrition. Codegaza développé la culture de la spiruline (algue à forte valeur nutritive)pour traiter des milliers d’enfants touchés par la famine.Le dispensaire de Fanantenana dispose d’une section pour les jeunessouffrant de maladies opportunistes de la malnutrition. Les enfantsbénéficiant des soins à la spiruline se rétablissent rapidement.Cependant, beaucoup ne sont amenés qu’une fois au dispensaire et nereviennent plus à cause du coût et des difficultés de transport ; ils sont,de ce fait, mis en danger de mort.Par ailleurs, l’augmentation du nombre de patients et l’exiguïté deslocaux actuels limitent la capacité d’accueil du dispensaire.Nature de l’investissementConstruction d’un bâtiment pour y intégrer un laboratoire, une salle devaccination, une salle d’électrocardiogramme et un dortoir pour lesmères et les enfants suivis.Montant accordé15 000 €.Association partenaireCODEGAZ.

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Santé

Education

NOS ACTIONS


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> Construction de 2 classes de niveau secondaire au Mali

LieuRégion de KayesContexteEn 2000 ont été financés le forage et la construction d’un puits dans levillage de Kérouané afin d’améliorer l’apport en eau potable.L’association ASEKDIC, composée de migrants maliens vivant enFrance, apporte régulièrement son concours pour le développement dela région et motive la population locale.Aujourd’hui, le besoin d’une école secondaire se fait sentir. 150 enfantssont en attente et 116 sont en dernière année de primaire.Il n’est pas souhaitable d’envoyer ces enfants dans un collège de l’au-tre côté du fleuve : l’harmattan (vent violent) et les tornades provo-quent des vagues déferlantes.Tous les ans, des enfants meurent noyés, d’autres n’assistent pas auxcours quand le danger est là. La scolarité de ces enfants est donc trèsperturbée.Nature de l’investissementConstruction de deux classes secondaires.Montant accordé1 482 €. Association partenaireAssociation pour la sauvegarde de l’école de Kérouané (ASEKDIC)

> Soutien à la formation de professeursd’enseignement secondaire au Cambodge

LieuA Phnom Penh, puis sur l’ensemble du paysContexteAprès trente ans de guerre et un génocide, le système éducatif a étécomplètement bouleversé : manque d’enseignants qualifiés, d’écoles etde matériel scolaire.Si l’enseignement primaire se restructure, le secondaire reste rudimen-taire. La plupart des enseignants ne disposent d’aucun ouvrage de réfé-rence moderne, ni de matériel adéquat ou même de carte géographi-que.L’association Loire-Cambodge, en concertation avec le ministère del’Education du pays, apporte depuis 1998 son soutien en formant surplace des professeurs du secondaire (mathématiques, physique, chi-mie, biologie, géographie et histoire).Elle propose de créer des outils adaptés, d’assurer la formation d'en-seignants au Cambodge et d’imprimer des fascicules pédagogiques àl’intention des enseignants formateurs.Nature de l’investissementImpression de six fascicules pédagogiques du programme secondaire.Montant accordé4 500 €Association partenaireLoire-Cambodge

> Achat et équipement hydraulique pour assurer lasécurité alimentaire au Cambodge

LieuRégion de Banteay Mean Cheay, village de Kauk KeiContexteCe village est considéré comme le plus pauvre et le plus vulnérable dela région. Les quelque 470 habitants sont, pour la plupart, des person-nes provenant des camps de réfugiés. Ils ont tout perdu : leur famille, la terre de leurs ancêtres. Installés danscette région délaissée, ils ont été exposés aux affrontements guerriersdes factions politiques diverses et ce, jusqu’en 1998, date à laquelle ilsont trouvé un peu de paix et de stabilité.Face à cette situation, AER a décidé d’aider les villageois des six villagesde la région en créant des écoles, en distribuant des sacs de riz, desemences, d’engrais et en mettant en place un filtrage d’eau manuelpour la rendre potable.Nature de l’investissementEquipements pour capter et transporter l’eau, forage des puits,construction d’un bassin de rétention d’eau et filtrage d’eau potable,formation de villageois à la gestion des équipements.Montant accordé14 790 €Association partenaireAide à l’Enfant Réfugié

> Création de coopératives féminines pour nomadestouaregs au NigerLieuRégion de l’Azawak ContexteDepuis 30 ans, le désert a avancé de 200 km. Les nomades touaregsqui vivent de l’élevage ont perdu beaucoup d’animaux. D’immenseszones de pâturages et des points d’eau ont disparu. Les tribus ont dudescendre vers le sud et se sont en partie sédentarisées. Beaucoup sesont installées dans la grande plaine à l’ouest du massif de l’Aïr, régionhabitée la plus pauvre du pays.Depuis 1999, ORION développe une action en faveur des femmes parla création de boutiques coopératives : chaque coopérative dispose deproduits de première nécessité achetés en gros et revendus au détailavec un petit bénéfice.Nature de l’investissementConstruction et aménagement d’un local, achat d’un âne, d’une char-rette et de petits matériels (balance, pelles, bidons), forfait pour démar-rer l’activité.Montant accordé6 175 €Association partenaireORION AMANAR

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Economie locale

NOS ACTIONS


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> Implantations de serres traditionnellesmaraîchères en Bolivie

LieuDans l’altiplano andin, département de PotosiContexteLa ville minière de Potosi, la plus haute du monde, est située à 4 200 md’altitude. Le Cerro Rico, « la montagne riche », domine la ville et estexploité pour l’argent, l’étain et le plomb. Les mineurs, principalementindiens, travaillent dans des conditions très pénibles et souffrent rapi-dement de silicose. A l’arrivée des Espagnols, malgré la rudesse du climat, les Indiens del’altiplano bolivien cultivaient des plantes vivrières. Ils utilisaient degrandes plates-formes creusées dans le sol et recouvertes de paillepour conserver l’humidité et protéger du froid. On les nommait"Walipinas".Avec l’utilisation des Indiens comme travailleurs dans les mines, cettetechnique a peu à peu disparu mais certains ont conservé ce savoir-faire.Nature de l’investissementImplantation de quinze serres semi-enterrées fonctionnant selon unetechnique ancestrale entièrement naturelle et biologique d’une surfacerespective de 200 m2

Montant accordé10 900 €

Association partenaireVoix Libres

> Achat de matériels et formation de villageois au Niger

LieuRégion de Say ContexteLes indicateurs mis en place par les Nations unies montrent la grandepauvreté dans laquelle se trouve le pays. C'est la prise de consciencedes populations et leur volonté d'améliorer leur situation qui ontconduit SOS Sahel International France à aider ces villageois en leurdonnant les moyens de protéger leurs terres.Sur la base de plans de gestion concertés, il s'agit d'entreprendrel'aménagement de onze terroirs pour limiter les impacts de l'érosion,favoriser le reboisement, la rétention d'eau et son infiltration, amélio-rer la fertilité des terrains, protéger les habitations et les champs contrel'ensablement.A l'issue de trois années, 1880 hectares de terres dégradées serontréhabilités et protégés ; les 26 000 personnes concernées pourront res-ter dans leurs villages, développer la production agricole et prévenir lescrises alimentaires.Nature de l’investissement : achat de matériel topographique, de ter-rassement, de gabionnage et formation des équipes à la lutte contre ladésertification.Montant accordé : 9 831 € Association partenaireSOS Sahel International France

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> Création d’un atelier de couture pour jeunesséropositifs au Cameroun

LieuDoualaContexteLa pandémie du Sida s'est développée de façon très rapide auCameroun ; le nombre de séropositifs est estimé à 1,5 million. La villeportuaire de Douala, forte de près de deux millions d'habitants, estprincipalement touchée. La population séropositive doit survivre dansun contexte économique de chômage et de pauvreté mais aussi luttercontre la marginalisation. Dans le cadre des actions réalisées depuis 10 ans par l’APPEL (campa-gnes de prévention, séminaires de formation, dépistages), le projet s'in-téresse plus spécialement aux conséquences socioéconomiques de lamaladie du sida. Il vise l'insertion sociale grâce à la création d'un ate-lier de couture.Nature de l’investissementAchat de dix machines à coudre, de petit matériel et de fournitures decouture.Montant accordé9 966 €

Association partenaireAPPEL

> Achat et installation de systèmes de conservationpar énergie solaire en Mauritanie

LieuVillage de TawfikContexteLa Mauritanie fait partie des pays les moins avancés. Depuis 1970, l’ari-dité s’est accentuée ; le pays reste loin de l’autosuffisance alimentaireet doit recourir à une aide extérieure massive. La population du village de Tawfik vit dans des conditions précaires. En2002, Jardins d’Espoir a aidé les villageois à mettre en place une sur-face de culture maraîchère de 3000 m2. L'association a fourni lessemences, les outils, le système d’arrosage et le savoir-faire. Les lieuxde pêche ne sont qu’à 40 km, mais l’absence d’un système de froid nepermet pas la conservation du poisson. Le problème est identique pourles légumes de la zone maraîchère.Nature de l’investissementAchat et installation de deux congélateurs, d’un réfrigérateur et d’unecentrale photovoltaïque.Montant accordé10 000 €Association partenaireJardins d’Espoir

NOS ACTIONS


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Promotion du tourisme solidaireAvec 12 % du PIB mondial et 200 millions d'emplois (8 % de l'emploi mondial), le tourisme est lapremière industrie de la planète.En 1998, les 635 millions de touristes ont engendré un revenu de 468 milliards d'euros. Le nombrede touristes est passé de 25 millions en 1950 à 702 millions en 2000. La progression est de 4 %par an.Les pays du Nord sont les principaux bénéficiaires de cet essor sans précédent. L'industrie touris-tique et ses acteurs principaux : compagnies aériennes, tour-opérateurs, agences de voyages,chaînes hôtelières et de restauration, s'y trouvent concentrés. Ce sont les pays du Nord qui vien-nent en tête dans le classement des principaux pays d'accueil (France, États-Unis, Espagne, Italieetc.). Ils restent, et de très loin, les principaux bénéficiaires du développement exponentiel de cesecteur d'activités.En parallèle, les pays du Sud s'ouvrent de plus en plus au tourisme, avec des gouvernements quiconsidèrent que le tourisme favorise leur développement car ce secteur est fortement créateur d'em-plois, produit des devises, a un impact positif sur le développement des infrastructures et permetd'attirer des investisseurs étrangers.Ce tourisme engendre également d'immenses dégâts et perturbations : concentration des infra-structures, renchérissement du foncier, concurrence pour certains biens rares comme l'eau, pré-carité de l'emploi et surexploitation de la main d'œuvre, travail des enfants, prostitution…

Vers un tourisme équitable et solidaireDes formes nouvelles de développement touristique privilégient certains aspects :p le processus du développement touristique doit pouvoir se réaliser essentiellement au profitdes populations du Sud directement concernées ;p il minimise l'impact sur le milieu environnant, permet de valoriser les ressources locales et faci-lite la conservation et la valorisation du patrimoine local (patrimoine naturel, patrimoine bâti,patrimoine culturel, etc.) ;p il conforte les sociétés locales, grâce à des dynamiques économiques autonomes, pour qu'el-les se constituent réellement en forces de contestation du modèle dominant (contre-pouvoir) eten forces de proposition d'alternatives à ce modèle ;p il met l'accent sur le renforcement des ressources humaines, en développant l'information desacteurs de base, la formation et l'appui à l'organisation ;p il met en synergie des acteurs locaux qui se constituent en réseaux d'échanges, de concerta-tion et d'action ;p il joue un rôle essentiel d'éducation au développement pour les populations des pays du Nord.

Des voyages de tourisme solidaire proposés aux collaborateurs de la Caisse des dépôtsLes organismes sociaux ont décidé, avec le soutien de la mission Mécénat, de proposer aux colla-borateurs de la CDC des voyages de tourisme solidaire : Madagascar et VietNam en 2001, Mali en2002, Cambodge en 2003, Brésil en 2004.Le CSE et l’ASOC sont des entités de la Caisse des dépôts qui offrent aux collaborateurs publics ouprivés des prestations sociales dont le tourisme solidaire. Le volet solidaire consiste à proposer auxparticipants de faire un don personnel (somme forfaitaire ou pourcentage du prix du voyage) enplus du coût du voyage, au profit d’une association humanitaire.

Le soutien de CDC tiers monde aux voyages de tourisme solidaireCDC tiers monde a décidé de s’associer à l’initiative des organismes sociaux pour promouvoir untourisme plus solidaire et le conseil d’administration a proposé à l’assemblée générale de réserverdepuis 2003 une enveloppe de 5 000 € afin de doubler les dons effectués par les collaborateursdu Groupe qui ont participé à un voyage de tourisme solidaire.

LE SOUTIEN DE CDC TIERS MONDE AUX INITIATIVES COLLECTIVES OU INDIVIDUELLES

Des initiatives individuelles ou collectives,destinées à marquer la solidarité des colla-borateurs de la CDC avec les populationsdémunies rencontrées au cours de leurvoyage, ont vu le jour depuis 2003. Le conseild’administration a donc précisé les règlessuivantes :

1) Une enveloppe « tourisme solidaire »est fixée chaque année en conseil d’admi-nistration et validée en assemblée générale

2) La contribution de CDC tiers mondepeut être obtenue dans le cadre desvoyages proposés par les organismessociaux du Groupe :• voyage de groupe de tourisme solidaire,avec don obligatoire de chaque participant,• voyage de groupe de tourisme classiquedans un pays en développement, avec donsvolontaires des participants,• voyage individuel dans un pays en déve-loppement, avec don volontaire du partici-pant.

3) Les modalités sont les suivantes :• les fonds sont versés à une associationhumanitaire française répondant aux cri-tères fixés par CDC tiers monde (ONG loi1901, 3 ans d’ancienneté, preuves de sonexistence et de ses actions sur le terrain) ; • les dons des voyageurs sont versés à CDCtiers monde qui adresse à l’associationchoisie un chèque représentant le doubledes sommes reçues ;• un reçu de la somme versée et de son affec-tation est retourné à CDC tiers monde ;• les remerciements sont adressés aux dona-teurs ; la lettre précise l’affectation des fondsprévue par l’association destinataire et estaccompagnée d'un reçu fiscal correspon-dant au montant versé par chacun. Uneinformation sur le montant versé, le nomde l’association destinataire des fonds et deleur affectation, est également adressée auxorganismes sociaux.

NOS ACTIONS

8 CDC tiers monde - 2004

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LA PROMOTION DU COMMERCE ÉQUITABLEPAR CDC TIERS MONDE

CDC tiers monde assure la promotion ducommerce équitable en proposant aux col-laborateurs des produits alimentaires (café,thé, miel, confitures, chocolats, etc…) etartisanaux, lors de ses manifestations surles différents sites du groupe Caisse desdépôts.Ces produits sont, en majorité, achetés à lacentrale d’achats "Solidar’Monde" qui fournitles magasins "Artisans du Monde" répartissur tout le territoire français. D’autres achatssont également faits à "Service Entr’AideLiaison" et aux "Artisans du Soleil".

Pour compléter la gamme et offrir un plusgrand choix, CDC tiers monde achètentdirectement des articles artisanaux à sesassociations partenaires. Ces articles sonten série limitée parce qu’ils sont fabriquésdans de petites coopératives artisanales quiservent de levier à l’activité économique duvillage ; ils permettent d’assurer des revenuspour le fonctionnement de certains projetsfinancés par CDC tiers monde. C’est ainsique des articles du Cambodge, du Vietnam,du Burkina Faso, du Niger, du Mali, del’Equateur ou de Madagascar ont pu êtreproposés.

Les consommateurs ont un rôle à jouer ! Enachetant des produits du commerce équi-table, ils contribuent à une meilleure rému-nération des producteurs du Sud et encou-ragent des pratiques respectueuses desdroits de l'homme et de l’environnement.

Pour vous renseigner sur les prochainesexpo-ventes organisées par CDC tiersmonde, contactez les responsables des sec-tions (voir page 12).

Soutien au commerce équitableAu cours des vingt dernières années, les échanges internationaux de biens et de services se sontfortement développés ; le volume du commerce mondial est aujourd'hui 14 fois supérieur à celuide 1950. La mondialisation ne profite pas à tous et les déséquilibres entre les pays pauvres et lespays riches s'aggravent. Les producteurs et artisans du Sud voient leur marge s’éroder sous la pres-sion des industriels et des distributeurs ; ils sont contraints de travailler dans des conditions inhu-maines, voire d'esclavage. Des millions d'ouvriers et de petits cultivateurs sont privés de droits fon-damentaux tels que les moyens de nourrir leur famille, d'envoyer leurs enfants à l'école et d'investir,ne serait-ce que très modestement, dans un avenir durable.

Consommer autrementDepuis quelques années, le commerce équitable s'impose comme une alternative efficace pourredonner à l'homme sa place dans les échanges internationaux.

Il se définit comme un partenariat, fondé sur le dialogue, la transparence et le respect, qui vise plusd'équité dans le commerce international. Il contribue au développement durable en garantissantaux producteurs marginalisés du Sud de meilleures conditions marchandes et le respect de leursdroits.

Le commerce équitable repose sur l'observation des principes suivants :p assurer une juste rémunération du travail des producteurs et artisans en leur permettant de

satisfaire leurs besoins élémentaires ;p garantir le respect des droits fondamentaux des personnes ;p instaurer des relations durables entre partenaires économiques ;p favoriser la préservation de l’environnement ;p proposer aux consommateurs des produits de qualité.

La Plate-Forme pour le commerce équitableCréée en 1997, elle est le seul organisme national de représentation des acteurs du commerce équi-table et regroupe différents types de structures (importateurs, boutiques, associations de promo-tion et de labellisation).Cette Plate-Forme a notamment pour vocation de sensibiliser le grand public ; elle organise chaqueannée la "Quinzaine du Commerce Equitable" sur l'ensemble du territoire.Pour en savoir plus sur le commerce équitable, vous pouvez consulter le sitewww.commercequitable.org

Qu'est-ce-que le label Max Havelaar ?Max Havelaar, organisation indépendante, délivre un label aux marques respectueuses des règlesinternationales du commerce équitable.L’octroi de ce label repose sur le respect d’un cahier des charges exigeant et le contrôle, sur le ter-rain, des différents acteurs impliqués (producteurs, importateurs et industriels).Ce label offre la garantie aux consommateurs que les aliments ont été produits dans des conditionsde travail satisfaisantes pour tous et achetés à un prix correct aux producteurs.

Consommez équitable grâce à AGR et SVDImpliquées dans une démarche de développement durable, AGR et SVD sont des entités quiproposent aux collaborateurs de la CDC des services de restauration et de distribution.Dans leurs restaurants ou points de vente, il est possible de consommer ou d'acheter desproduits du commerce équitable. Dans les cafétérias AGR, vous pouvez "consommer res-ponsable" et demander un café supérieur ou "max" à la place de votre café standard.

NOS ACTIONS

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COMPTE DE RÉSULTAT 2003 2002

Cotisations et dons 18 689,28 20 160,19Contribution CDC 16 094,21 18 303,39Contribution TCE 34 024,00 41 431,93Ventes diverses 25 740,64 29 353,08

Sous total produits 94 548,13 109 248,59

Achats de marchandises 8 700,15 7 845,65Achats de fournitures de bureau 167,11 824,19Financement projets accordés 106 149,00 67 004,97Frais de déplacement 508,30 1 181,97Achats de documentation 0,00 104,73Services bancaires 26,00 62,46Autres charges 65,34 87,50

Sous-total charges 115 615,90 77 006,74

RÉSULTAT D’EXPLOITATION -21 067,77 32 241,85

Revenus des valeurs mobilières de placement 0,00 780,80Intérêts livret A 63,75

RÉSULTAT FINANCIER 63,75 780,80

Contribution CDC 2001 encaissée 2002 6 701,40Financement projets accordés antérieurement 43 946,30Remboursement de projets non aboutis 5 488,08

RÉSULTAT SUR EXERCICE ANTÉRIEUR 5 488,08 -37 244,90

RÉSULTAT NET -15 515,94 -4 222,25

SITUATION FINANCIÈRE DE L’ASSOCIATION AU 31 DÉCEMBRE 2003

Les travaux d’impression et les frais d’affranchissement de l’association sont pris en charge sur le budget de fonctionnement interne accordé par le Secrétariatgénéral du Groupe.Les comptes de l’association sont co-certifiés par les cabinets Mazars et Guérard et PricewaterhouseCoopers.

Intranet de CDC tiers mondeMis en ligne dans le courant du premier trimestre 2002,http://cdctm.serv.cdc.fr * vous renseignera notamment sur :- l'actualité de l'association (agenda, projets

en cours, évènements…)- les projets soutenus depuis la création de CDC tiers monde,

classés par pays ou par domaine- le bénévolat

* Seuls les collaborateurs ayant accès à l'Intranet de la CDC peuvent consulter ce site.

EN TOUTE TRANSPARENCE


Le solde négatif de l’année 2003 s’explique :- par une diminution des dons, des cotisations et de leur doublement ainsi que des ventes diverses ;- par une transmission tardive des chèques provenant des places TCE qui n’a pas permis de les comptabiliser sur l’année 2003.

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La participation de chacun est indispensableLes cotisations et les dons individuels sont vitauxLes ressources de l'association proviennent en premier lieu des cotisations et dons des salariés dugroupe Caisse des dépôts. Les quatre sections, animées par des bénévoles, assurent localement l'in-formation et l'organisation de manifestations.Depuis sa création, l’association reçoit le soutien de la Caisse des dépôts à travers une subventionégale à la somme des cotisations et des dons versés par les collaborateurs.

Le soutien de la Caisse des dépôtsCe soutien prend également la forme d’une collecte de dons effectuée en échange des places dis-tribuées au personnel pour les spectacles du Théâtre des Champs Elysées ou de la Comédie, ou encoredu festival d’Anjou.Par ailleurs, les frais de fonctionnement de CDC tiers monde sont pris en charge par le Secrétariatgénéral du Groupe (mise à disposition d'un délégué général, d'un bureau équipé et d’un budgetd’impression).

Le soutien des directions de la Caisse des dépôts, de ses filiales ou de ses participations stratégiquesDepuis sa création, CDC tiers monde bénéficie de dons provenant de différentes entités du Groupequi contribuent à augmenter les sommes disponibles pour le financement des projets. En 2004, cesdons ont émané de :- Contrôle général du Groupe : dissolution de l’association "CDC Coopération" (26 882 €)- Direction bancaire de la CDC : Vente de titres anciens (100 €)- Mission Mécénat : vente de disques et de livres d'art, (3 390 €)- Délégation régionale CDC de Basse Normandie- rétrocession de mobiliers au personnel (175 €)- Section USAC « théâtre » : représentation théâtrale (66 €)- Informatique CDC : rétrocession de matériels au personnel (1 740 €)- CDC IXIS AM : rachat de badges, recyclage de cartouches d’imprimantes et de papier (1047 €).

Le soutien des adhérents actifsLes ventes de trousses de première urgence, d'artisanat, de tickets de tombola, de brioches ou deproduits issus du commerce équitable sont destinées à collecter des recettes complémentaires. Mercià ceux qui donnent un peu de leur temps lors de ces ventes.

La réussite de l’action de l’association est aussi étroitement liée à l’engagement individuel desmembres du conseil d’administration, des conseils de section (voir ci-contre) mais aussi de quel-ques bénévoles qui acceptent de donner un peu de leur temps et de leurs compétences. Merci à :- Odette Ballard (Ile-de-France)- Audrey Bégué- Evelyne Chalumeau (Angers),- Gisèle Hersant (Ile-de-France),- Michèle Hiriart (Ile-de-France),- Françoise Laplace (Ile-de-France),- Bertrand Roguet (Ile-de-France),- Josiane Sartoretto (Angers),- Marcel Vendé (Angers).

Merci à tous !Merci aussi à ceux qui contribuent à faire connaître CDC tiers monde !Merci enfin à ceux qui proposent des projets à l’association !

CONSEIL D’ADMINISTRATIONPrésidenteElisabeth Guingand (CDC SMQ)Vice-présidentPhilippe Baumlin (CNP Assurances)TrésorièreFrançoise Detolle-Boulard (CDC SDIL)Trésorier adjoint Marc Boulanger (IXIS)SecrétaireMarthe Marie Chouette (CDC Retraites)Autres membresJean-Luc Alexandre (IXIS CM)Raymonde Ripoll (CDC Retraites)Sarah Samee (IXIS)Guy Platini (Transamo-Transdev)Jean Pierre Flutre (IXIS)Marie-Françoise Dailhé (CDC FRR)Ghislaine Mignolet (CDC Retraites)

Bureaux des sections

p AngersPrésidenteMarthe-Marie ChouetteTrésorièreGhislaine MignoletSecrétaireJean Michel Laurent (CDC Retraites)

p BordeauxPrésidenteRaymonde RipollTrésorierPatrick Hermel (CDC Retraites)SecrétaireFrédéric Duboscq (CDC Retraites)

p Ile-de-FrancePrésidentPhilippe BaumlinVice PrésidenteMarie-Françoise DailhéTrésorierJean-Pierre FlutreTrésorière adjointe Françoise Detolle-BoulardSecrétaireSarah SameeSecrétaire adjointGuy PlatiniAutres membresElisabeth GuingandFrancis Ampe (CDC DR)André Candio (retraité)Marc BoulangerNadine Eck

p LondresPrésidentJean-Luc AlexandreTrésorierMarc Boulanger SecrétaireJane Smith (IXIS CM)

Déléguée générale

Christiane Le Thomas (CDC)

VOTRE PARTICIPATION

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VOTRE PARTICIPATION

Pour les particuliers :Les dons effectués au profit de CDC tiers mondeouvrent droit à une réduction d'impôt égale à60 % du montant des sommes versées, rete-nues dans la limite d'un plafond égal à 20 %du revenu imposable du donateur.

Pour les entreprises :Les versements effectués par des entreprisesouvrent droit à une réduction d’impôt égale à60 % de leur montant. Le plafond des dons estporté à 5 pour mille du chiffre d’affaires.

Toute cotisation ou tout don volontaire à l'initia-tive d'un collaborateur du Groupe CDC estdoublé par la Direction générale de la Caissedes dépôts, sur son budget mécénat.Si vous versez 25 €, CDC tiers monde reçoit unesubvention de 25 € grâce au mécanisme d'abon-dement.

IMPORTANT :DÉDUCTION FISCALE

LA CDC DOUBLE LA MISE !

CDC tiers monde

Publication de l'association CDC tiers monde56, rue de Lille - 75356 Paris 07 SPAssociation loi de 1901 déclarée le 17 avril1985 à la Préfecture de Paris.N° de siret : 444 717 501 00015. Déclaration à la CNIL n°737 267

DIRECTRiCE DE LA PUBLICATIONElisabeth GuingandRÉDACTRICE EN CHEFChristiane Le ThomasRÉDACTRICE Audrey BéguéMAQUETTE ET IMPRESSION Imprimerie Caisse des dépôtsImprimé sur papier recyclé

ANGERSMarthe-Marie ChouetteCDC PCAC - Pièce 305 bât. A24, rue Louis Gain49039 Angers CedexTél : 02 41 05 21 44

ILE-DE-FRANCEPhilippe BaumlinCNP TRÉSOR Centre d’affaires Compans Cafarelli10, place Alfons Jourdain31000 ToulouseTél : 05 62 89 78 59

DÉLÉGUÉE GÉNÉRALEChristiane Le Thomas 56, rue de Lille75356 Paris 07 SPTél : 01 58 50 41 75

BORDEAUXRaymonde RipollCDC PPAIB - Pièce 5183Rue du Vergne33059 BordeauxTél : 05 56 11 42 98

LONDRESJean-Luc AlexandreIXIS Capital Market London BranchCannon Bridge 25 Dowgate Hill London EC4R2GN Grande-BretagneTél : 00 44 207 648 2923

Oui, je souhaite apporter mon aide à l’action de CDC tiers mondeet je fais un don au titre de :

renouvellement d’adhésion : 25 € ou plusnouveau membre : 25 € ou plusmembre bienfaiteur : 75 € ou plussoutien : 10 € ou plus

Je me propose de participer aux actions d’animation et de communication de CDC tiers monde afin de contribuer à son développement.

Mes coordonnéesNom, prénom : ……………………………………………………………………………………Adresse : ……………………………………………………………………………………………Tél : …………………………………………………………………………………………………E-mail : ……………………………………………………………………………………………Société d'appartenanceau sein du groupe Caisse des dépôts : ………………………………………………………………

Je m'engage à me conformer aux statuts et au règlement intérieur de l'association

Date : Signature :

Nos coordonnées

Bulletin de contribution

Ce bulletin de versement et votre chèque libellé à l'ordre de CDC tiers monde sont à adresser à : CDC tiers monde - 56, rue de Lille - 75356 Paris 07 SPUn reçu fiscal correspondant au montant de votre don vous sera envoyé.

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