faire des travaux à l’officine (1/2)

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34 pratique exercice professionnel Actualités pharmaceutiques n° 476 Juillet-Août 2008 Aujourd’hui, les titulaires ont pour objectif principal de maintenir leur chiffre d’affaires ainsi que leur marge. Mais ils sont également de plus en plus sensibles au confort de leur clientèle ainsi qu’à celui de leurs collaborateurs. Agencement, travaux, remise au goût du jour sont les principaux outils pour maintenir la valeur du patrimoine professionnel, mais aussi optimiser les revenus professionnels et l’imposition fiscale du pharmacien. D e l’idée de réaliser des travaux jusqu’à la réception du chantier, le pharmacien s’engage dans un che- minement de réflexions qui va du choix de l’esthétique à celui des fournisseurs et inter- venants. Il s’agit d’un processus complexe dont le cahier des charges doit être défini précisément et dans son intégralité. Définir le business plan et les objectifs Le business plan a pour objectif d’être le fil conducteur du projet. Manuel de pilotage du pharmacien, ce document de référence per- met de suivre le projet, de son élaboration à sa réalisation, et même lors des années qui suivent. Les objectifs du projet et les moyens pour les atteindre doivent y être définis. L’essen- tiel n’est pas le passé mais la vision que l’on a des six prochaines années et, plus préci- sément, des trois prochaines. L’élaboration du business plan n’est pos- sible que lorsque des réponses à un cer- tain nombre de questions sur la clientèle, le marché, la conception personnelle qu’a le pharmacien de son exercice et le disponible financier, ont été obtenues. La clientèle de l’officine s’analyse grâce à différents éléments : – la pyramide des âges ; – les catégories socioprofessionnelles ; – les motivations d’achat ; – les habitudes d’achat. Le pharmacien doit ensuite décider s’il sou- haite conserver la typologie de la clientèle, avec ses habitudes, ou apporter des amé- liorations : facilité d’accès, assortiment pro- posé, positionnement (prix discount, valeur ajoutée…). Le marché et son évolution s’identifient en analysant : – la répartition des achats (produits vignettés ou conseil, parapharmacie…) ; – la valeur du panier moyen ; – les cinq dernières années et, prospective- ment, les six ans à venir ; – les modifications du marché pouvant éven- tuellement obliger l’officinal à changer de stratégie : transfert, installation d’une phar- macie discount à proximité, modification de la politique de prix, apport de nouveaux services (orthopédie, maintien à domicile…), passage des médicaments à prescription médicale facultative devant le comptoir… La conception personnelle du mode d’exercice officinal s’exprime par des choix concernant : – le prévisionnel (chiffre d’affaires, marges, charges) ; – l’ergonomie (amélioration globale de l’outil de travail, des conditions de travail et pré- vention des risques professionnels) ; – l’esthétique… Le disponible financier dont dispose le pharmacien pour réaliser ce projet doit être évalué. Sur ce point, toutes les officines ne sont pas égales. Les pharmacies ayant rem- boursé leur emprunt, qu’elles soient pros- pères ou de rentabilité non optimale, auront plus de facilité à financer leur projet que les officines lourdement endettées. Même si, pour ces dernières, cet investissement peut représenter une opportunité pour restructu- rer leur prêt. Faire des travaux à l’officine (1/2) © BSIP/MAY Rendre l’officine accessible aux personnes handicapées est une priorité lors de l’aménagement de la pharmacie.

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Page 1: Faire des travaux à l’officine (1/2)

34pratique

exercice professionnel

Actualités pharmaceutiques n° 476 Juillet-Août 2008

Aujourd’hui, les titulaires

ont pour objectif principal

de maintenir leur chiffre

d’affaires ainsi que leur

marge. Mais ils sont

également de plus en plus

sensibles au confort de leur

clientèle ainsi qu’à celui

de leurs collaborateurs.

Agencement, travaux,

remise au goût du jour

sont les principaux outils

pour maintenir la valeur

du patrimoine professionnel,

mais aussi optimiser

les revenus professionnels

et l’imposition fiscale

du pharmacien.

De l’idée de réaliser des travaux jusqu’à la réception du chantier, le pharmacien s’engage dans un che-

minement de réflexions qui va du choix de l’esthétique à celui des fournisseurs et inter-venants. Il s’agit d’un processus complexe dont le cahier des charges doit être défini précisément et dans son intégralité.

Définir le business plan et les objectifsLe business plan a pour objectif d’être le fil conducteur du projet. Manuel de pilotage du pharmacien, ce document de référence per-met de suivre le projet, de son élaboration à sa réalisation, et même lors des années qui suivent.Les objectifs du projet et les moyens pour les atteindre doivent y être définis. L’essen-tiel n’est pas le passé mais la vision que l’on a des six prochaines années et, plus préci-sément, des trois prochaines.L’élaboration du business plan n’est pos-sible que lorsque des réponses à un cer-

tain nombre de questions sur la clientèle, le marché, la conception personnelle qu’a le pharmacien de son exercice et le disponible financier, ont été obtenues.

La clientèle de l’officine s’analyse grâce à différents éléments :– la pyramide des âges ;– les catégories socioprofessionnelles ;– les motivations d’achat ;– les habitudes d’achat.Le pharmacien doit ensuite décider s’il sou-haite conserver la typologie de la clientèle, avec ses habitudes, ou apporter des amé-liorations : facilité d’accès, assortiment pro-posé, positionnement (prix discount, valeur ajoutée…).

Le marché et son évolution s’identifient en analysant :– la répartition des achats (produits vignettés ou conseil, parapharmacie…) ;– la valeur du panier moyen ;– les cinq dernières années et, prospective-ment, les six ans à venir ;– les modifications du marché pouvant éven-tuellement obliger l’officinal à changer de stratégie : transfert, installation d’une phar-macie discount à proximité, modification de la politique de prix, apport de nouveaux services (orthopédie, maintien à domicile…), passage des médicaments à prescription médicale facultative devant le comptoir…

La conception personnelle du mode d’exercice officinal s’exprime par des choix concernant :– le prévisionnel (chiffre d’affaires, marges, charges) ;– l’ergonomie (amélioration globale de l’outil de travail, des conditions de travail et pré-vention des risques professionnels) ;– l’esthétique…

Le disponible financier dont dispose le pharmacien pour réaliser ce projet doit être évalué. Sur ce point, toutes les officines ne sont pas égales. Les pharmacies ayant rem-boursé leur emprunt, qu’elles soient pros-pères ou de rentabilité non optimale, auront plus de facilité à financer leur projet que les officines lourdement endettées. Même si, pour ces dernières, cet investissement peut représenter une opportunité pour restructu-rer leur prêt.

Faire des travaux à l’officine (1/2)

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SIP

/MAY

Rendre l’officine accessible aux personnes handicapées est une priorité lors de l’aménagement de la pharmacie.

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exercice professionnel

Actualités pharmaceutiques n° 476 Juillet-Août 2008

Le disponible financier va dépendre du prévisionnel et des objectifs fixés. Ainsi, de nombreux paramètres sont à prendre en compte :– la trésorerie disponible et la rentabilité ;– la diminution du chiffre d’affaires durant la période de travaux (désagrément pour la clientèle, diminution des linéaires…) ;– l’augmentation de l’assortiment en fin de travaux grevant la trésorerie ;– le prévisionnel avec ses objectifs de crois-sance et de rentabilité.En général, il est admis que la capacité d’investissement ne doit pas excéder 10, voire 15 % du chiffre d’affaires, sauf dans certains cas particuliers. Il appartient alors au pharmacien de faire des choix pertinents.Cette première étape d’analyse approfon-die de la situation permet d’élaborer diffé-rentes hypothèses : travaux lourds, simple remise au goût du jour, conservation du carrelage, réaménagement se limitant à la surface de vente… Le coût d’un agence-ment étant variable (de 1 000 à 3 000 € le mètre carré), il est important d’utiliser au mieux l’existant (colonnes tiroirs, meubles à rhabiller…) afin d’adapter le projet au budget disponible.Lors de cette phase d’élaboration, parfois délicate, le pharmacien peut se faire accom-pagner par :– des sociétés d’agencement qui conseillent et proposent différentes options en indiquant des fourchettes de prix ;– un comptable qui est alors un interlo-cuteur irremplaçable durant cette période. En effet, de par sa connaissance précise du marché et de l’économie de la phar-macie, il est à même d’établir des prévi-sionnels précis en s’appuyant sur des cas similaires à celui de l’officine en question (modification des ratios…). Mais surtout, il saura mettre en place le financement adéquat.

Le “phasage” du projetIl est important que le pharmacien se fasse accompagner dans un tel projet. Le titulaire manque souvent de recul pour organiser au mieux son officine. Cette compétence relève, pour des tra-vaux lourds, de professionnels du bâti-ment ou, pour une simple mise au goût

du jour, d’agenceurs et de merchandiseurs en pharmacie.

Le bon partenaireDe nombreuses structures peuvent accom-pagner le pharmacien durant toutes les pha-ses du réagencement.

présen-tent généralement à leurs clients des étu-des complètes, englobant les prestations commerciales (représentation graphique, réflexion sur l’organisation de la pharma-cie, conceptualisation, conseils, suivi des travaux…). Leur rôle est principalement de vendre des meubles. Ils s’appuient donc, pour la réalisation de tels projets, soit sur des maîtres d’œuvre en relation directe avec leur réseau (architecte d’intérieur, maître d’œuvre indépendant travaillant en exclusi-vité), soit sur des entreprises générales de bâtiment auxquelles ils proposent l’intégra-lité de la gestion du projet, de l’électricité aux plâtres.

Les agenceurs se caractérisent, en général, principalement par leur concept : moderne, traditionnel, discount…

Des architectes, des décorateurs et autres entrepreneurs peuvent être solli-cités à condition que soit complètement dissociée la gestion des travaux de celle de l’agencement. Leur spécificité, par rapport aux agenceurs entrepreneurs, est qu’ils travaillent en honoraires. Dès le début de l’étude (présentation chiffrée du projet), ils sont donc en droit de demander des hono-raires. Le principal avantage réside dans le fait que ces corps de métier n’imposent pas un concept ou des entrepreneurs : si l’ar-chitecte est responsable de la conception et de la direction des travaux, il respecte les directives du pharmacien.

D’autres structures – établissements spécialisés, grossistes répartiteurs, grou-pements, enseignes, laboratoires ou autres – peuvent également intervenir, en particu-lier dans les phases préalable et finale du projet. Elles permettent, études de marché et études marketing à l’appui, de préciser les besoins en s’intéressant principalement à l’organisation générale du point de vente : amélioration du plan de circulation, opti-misation de l’implantation, réévaluation du poids des différents univers en fonction des catégories socioprofessionnelles de la clien-tèle, signalisation des linéaires, délimitation des espaces de services (coin enfants, point attente, espace diagnostique, borne de mise à jour de la carte Vitale…), développement des spécialisations de l’officine (homéo-pathie, phytothérapie, vétérinaire…).

La sélection des entrepreneursAvant de lancer son projet, le pharmacien doit mettre en concurrence l’ensemble du marché et faire une sélection de quelques entrepreneurs, si possible locaux.Le choix des entreprises doit être réalisé selon des critères rationnels, afin de se

prémunir de toute défaillance de ces intervenants. Choisir une entreprise qui a pignon sur rue est gage de sécurité. En effet, même si la pérennité des entreprises du marché est bonne, aucune entre-prise n’est infaillible. C’est pour-quoi, il peut être nécessaire de vérifier la santé financière (auprès du

Des guides pour accompagner les officinaux dans leurs démarchesL’Ordre national des pharmaciens a réalisé,

à destination des pharmaciens d’officine,

le Guide d’assurance qualité officinale1

ainsi qu’un guide de Recommandations

pour l’aménagement des locaux de l’officine2.

Ce dernier document, élaboré à partir de textes

officiels, vise à préciser la réglementation

en vigueur ainsi que certaines recommandations

déontologiques.

1. Ordre national des pharmaciens. Guide d’assurance qualité officinale, 2002. http://www.ordre.pharmacien.fr/upload/ActuStruc/353.pdf

2. Ordre national des pharmaciens. Recommandations pour l’aménagement des locaux de l’officine, 2006. http://www.ordre.pharmacien.fr/ upload/Syntheses/219.pdf

selon de

gsmprquvé

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36pratique

exercice professionnel

Actualités pharmaceutiques n° 476 Juillet-Août 2008

tribunal de commerce par exemple) d’une entreprise à qui l’on confie son officine. Il ne faut pas, non plus, hésiter à rendre visite à des confrères récemment agencés et à se renseigner auprès de la profession (groupements, syndicats, grossistes, laboratoires…).Mieux vaut éviter de travailler avec des arti-sans (même s’ils font partie de la clientèle ou s’ils sont recommandés) qui n’ont pas d’expérience dans l’agencement des phar-macies ou des commerces de proximité, qui “jouent” aux architectes et s’improvisent tous corps de métiers.

Les esquissesUne fois une première sélection d’agenceurs effectuée, il convient de les mettre directe-ment en concurrence à l’occasion de la pre-mière étape de la conception du projet qui est la réalisation d’esquisses.Cette étape, durant laquelle les entrepre-neurs établissent un état des lieux pré-cis par le biais d’esquisses préliminaires, permet de réaliser une analyse détaillée du projet. C’est à ce moment-là que tous les souhaits du titulaire mais aussi de son équipe doivent être précisés afin d’être pris en compte.

Chaque pharmacie est particulière de par son historique, ses spécialisations, son environnement et la “personnalité” de son équipe. De ce fait, le projet organisationnel de l’espace de travail ne peut être généri-que et applicable directement à un point de vente.

Le back officeLongtemps, le back office a été laissé pour compte lors de la réorganisation de la phar-macie. Qui n’a jamais vu l’arrière d’une offi-cine, voire même le bureau, utilisé unique-ment à l’entreposage de commandes non rangées, de piles de journaux ou de brochu-res conseil oubliées ? Il est pourtant le cœur de l’entreprise, et se doit d’être fonctionnel et ergonomique.La réflexion entreprise à l’occasion des tra-vaux doit intégrer une réflexion globale sur l’utilisation de cette zone, qui doit refléter le mode de fonctionnement et l’organisation de la pharmacie : il doit être aussi propre et bien agencé que l’espace de vente.Il est intéressant d’intégrer la démarche qualité à cette phase des travaux et de prévoir :– des surfaces de rangement optimisées ;– un système opérationnel de gestion des flux, de l’arrivée au stockage des pro-

duits (le back office n’est pas seulement un lieu de réception et de rangement des commandes) ;– un espace de préparation d’ordonnance ;– des pièces aux normes pour les produits volatils et l’alcool ;– un sas de livraison sécurisé ;– de l’ergonomie ;– un local carton ;– un préparatoire fonctionnel, ne devant pas ressembler à une salle de repos ou à une cafétéria avec micro-onde, machine à café… ;– des vestiaires et des sanitaires ;– un espace destiné aux médicaments non utilisés ;– des postes administratifs.

L’espace de venteL’organisation du back office doit être en étroite relation avec celle de l’espace de vente. Ce dernier doit tout d’abord être envisagé dans son ensemble avant que son esthétique soit précisée. Des choix importants doivent donc être faits concernant :– le sens de circulation ;– la quantité de linéaires ;– le nombre et la conception des comp-toirs (qui doivent être suffisamment volu-mineux afin d’être totalement fonctionnels en accueillant les écrans, claviers, impri-mantes, douchettes et même, de plus en plus souvent, des scanners pour les ordonnances) ;– l’accessibilité ;– la visibilité des produits ;– l’organisation de différentes zones (médi-caments à prescription médicale facultative en libre accès, espace enfants, zone de confidentialité…). �

Nicolas Julien

Pharmacien, Bezouce (30)

[email protected]

Les références officiellesL’organisation et la structure de l’officine doivent répondre à un certain nombre d’exigences. Pour les

connaître, rien de tel que de se référer aux textes officiels.

er août 2006 fixant les

à l’accessibilité des personnes handicapées. Ce texte précise tous les critères structurels que doit

À suivre…L’avant-projet, l’étude technique, la réalisation et la réception des travaux.

p.1

CODE DE LACONSTRUCTION ETDE L'HABITATIONGénéré le 14/1/2008

Table des matièresCODE DE LA CONSTRUCTION ET DE L'HABITATION ................................................................................................................................................................. 7

Livre Ier Dispositions générales ........................................................................................................................................................................................................ 7

Titre Ier Construction des bâtiments ............................................................................................................................................................................................ 7

Chapitre Ier Règles générales ................................................................................................................................................................................................. 7

Section 1 Dispositions applicables à tous bâtiments .......................................................................................................................................................... 7

Section 2 Dispositions générales applicables aux bâtiments d'habitation .......................................................................................................................... 8

Section 3 Personnes handicapées ou à mobilité réduite .................................................................................................................................................... 9

Section 4 Caractéristiques thermiques et performance énergétique ................................................................................................................................. 11

Section 5 Caractéristiques acoustiques ............................................................................................................................................................................. 11

Section 6 Responsabilité des constructeurs d'ouvrage ..................................................................................................................................................... 12

Section 7 Contrôle technique ............................................................................................................................................................................................ 13

Section 8 Assurance des travaux de construction ............................................................................................................................................................ 14

Section 9 Dispositions communes ..................................................................................................................................................................................... 17

Chapitre II Dispositions spéciales .......................................................................................................................................................................................... 17

Section 1 Constructions en bordure de voie ..................................................................................................................................................................... 17

Section 2 Sondages et travaux souterrains ...................................................................................................................................................................... 17

Section 3 Servitudes de mitoyenneté ................................................................................................................................................................................ 18

Section 4 Servitudes de vue ............................................................................................................................................................................................. 18

Section 5 Antennes réémettrices ....................................................................................................................................................................................... 18

Section 6 Constructions autour d'une place de guerre ou d'une poudrerie ...................................................................................................................... 19

Section 7 Constructions à proximité des forêts ................................................................................................................................................................. 19

Section 8 Nuisances dues à certaines activités ................................................................................................................................................................ 19

Section 9 Protection contre les insectes xylophages ........................................................................................................................................................ 19

Section 10 Protection des risques naturels ....................................................................................................................................................................... 19

Titre II Sécurité et protection des immeubles ............................................................................................................................................................................. 20

Chapitre II Dispositions de sécurité relatives aux immeubles de grande hauteur ................................................................................................................. 20

Chapitre III Protection contre les risques d'incendie et de panique dans les immeubles recevant du public ........................................................................ 20

Chapitre IV Adaptation des constructions au temps de guerre ............................................................................................................................................. 21

Chapitre V Sécurité de certains équipements d'immeubles par destination .......................................................................................................................... 22

Section 1 Sécurité des ascenseurs ................................................................................................................................................................................... 22

Section 2 Sécurité des portes automatiques de garage ................................................................................................................................................... 23

Chapitre VI Intervention de la police et de la gendarmerie dans les immeubles à usage d'habitation .................................................................................. 23

Chapitre VII Gardiennage ou surveillance des immeubles .................................................................................................................................................... 24

Chapitre VIII Sécurité des piscines ........................................................................................................................................................................................ 24

Chapitre IX Sécurité des immeubles collectifs à usage principal d'habitation ....................................................................................................................... 24

Titre III Chauffage, fourniture d'eau et ravalement des immeubles - Lutte contre les termites .................................................................................................. 26

Chapitre Ier Chauffage des immeubles ................................................................................................................................................................................. 26

Chapitre II Ravalement des immeubles ................................................................................................................................................................................. 27

Chapitre III Lutte contre les termites ...................................................................................................................................................................................... 28

Chapitre IV Diagnostics techniques ....................................................................................................................................................................................... 28

Section 1 Diagnostic de performance énergétique ........................................................................................................................................................... 28

Section 2 Sécurité des installations intérieures de gaz ..............................................................................................................................

Section 3 Sécurité des installations intérieures d'électricité ....................................................................................

Chapitre V Economie des consommations d'eau dans les immeubles ....................................

Titre IV Dispositions relatives à l'industrie du bâtiment ..............................

Chapitre II Etudes et recherches techniques intéressant l

Titre V Contrôle et sanctions pénales

B e r n a r d T E Y S S I É

Code

du travail