habitus sujet personne

8/10/2019 Habitus Sujet Personne

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Structure structurante et structure structure , histoireincorpore faite nature : lhabitus entre sujet et personne

Jean-Michel LE BOT - LARES (Universit Rennes 2)

2000-2005 Jean-Michel Le B!t"et article est le te#te $%&ne c!''&nicati!n a& 5ec!ll!&e $%Anthr!!l!*ie clini&e(Rennes sete'+re ,). Une re'i/re &+licati!n a e& lie& $ans la rev&eTtralogiques(resses Universitaires $e Rennes) n1 , 2ese'estre 2000Le rsent $!c&'ent e&t 3tre rer!$&it ar n%i'!rte &el '!4en &e ce s!it !&rv&&%a&c&ne '!$iicati!n ne s!it eect&e et &e cette n!tice s!it rserve.

I. Position du problme

"6est !&r $asser l6!!siti!n 7scientifiquement ruineuse8 $e l6!+9ectivis'e et $&s&+9ectivis'e a&tant &e !&r s!rtir $e l6alternative !sitiviste entre in$ivi$& et s!cit , &eB!&r$ie& intr!$&it le c!ncet $6ha+it&s &6il reren$ sel!n ses r!res ter'es : la

hil!s!hie arist!telic!-th!'iste (n!n sans l6av!ir reens ar le +iais n!ta''ent $6&nelect&re $e ;&sserl).

La $initi!n $e l6ha+it&s est $!nne : travers t!&te &ne srie $e !r'&lati!ns $!nt &el&es-&nes s&ir!nt : en rerer les l'ents rincia . "ette er'anence er'et *ale'ent&e le '!n$e (les !+9ets le /re la '/re la ratrie etc.) &isse $ans &ne certaine 'es&re3tre v!& in$en$a''ent $e sa rsence i''$iate. Le s!'a ren$rait ainsi c!'te $e la

!ssi+ilit $6&ne certaine 7 ''!ire 8 &6il n64 a a&c&ne rais!n $e caractriser ar &nc!nten& $e rersentati!n l&tQt &e ar &n c!nten& $6activit $e *est&elle et $e !st&res(he#is c!r!relle) !& enc!re $e tensi!n li+i$inale $e $char*e et $e re!&le'ent(c!ntenti!n)=. A&t!risant ar la clQt&re &6il intr!$&it le c&'&l $6e#riences ac&ises ari'r*nati!n $es &sa*es $& 'ilie& envir!nnant le s!'a ren$rait ainsi c!'te $e lac!nstit&ti!n $e l6ha+it&s. Et l6e#rience clini&e $evra !&v!ir $'!ntrer &e a&te $6av!iracc$ a& s!'a l6enant s4ch!ti&e (as!'asi&e) n6acc/$e as n!n l&s : l6ha+it&s.

7Le monde,crit B!&r$ie&est comprhensible, immdiatement dot de sens, parce que lecorps, qui, gr2ce ses sens et son cerveau, a la capacit d#tre prsent l#extrieur de lui-mme, dans le monde, et d#tre impressionn et durablement modifi par lui, a t

longuement &ds l#origine) expos ses rgularits* (B!&r$ie& ,> . ,2) 8

> L63tre-l: $e l6in$ivi$& n6est as cel&i $& s&9et &i n6est as n!n l&s cel&i &e c!n/re l6acc/s : la ers!nne. En!&tre il a&t tenir c!'te $es variati!ns interscii&es < l63tre-l: $e la '!&le n6est sans $!&te as cel&i $&*!lan$ &i s6en n!&rrit ni cel&i $e l6al*&e 'icr!sc!i&e dinophysis sp. &i la c!nta'ine. Si t!&tes ceses/ces rel/vent $e l6in$ivi$&ati!n $init!ire $& vivant al!rs &6a&c&ne $6entre elles n6acc/$e : la ers!nnescii&e'ent h&'aine le *!lan$ acc/$e vraise'+la+le'ent a& s!'a. C&6en est-il $e la '!&le D S&r ce$ernier r!+l/'e v!ir Fe e4ser et al. , &i tentent $e 'ettre en vi$ence $e 'ani/re e#ri'entalel6e#istence $6&n s!'a c!llecti che les !&r'is.

= La $initi!n $e l6ha+it&s n6est $!nc as sans ra!rts avec la $initi!n $e la ''!ire telle &e la r!!se

Sa+!&ra&$ < 7fonction crbrale qui assure toute exprience la persistance d#une trace mobilisable et mettout lment nouvellement rencontr, chose, situation, vnement, en relation avec &tout) le d!-vu, le d!-vcu. 8 (Sa+!&ra&$ ,5 . ?5?.)

>


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T!&t le r!+l/'e $e l6as!'asi&e n6est-il as rcis'ent $63tre cel&i !&r &i il n64 a l&s$e '!n$e a&te &6il 4 ait &n 7 c!rs 8 $e ne !&v!ir ar c!ns&ent 7 tre prsent l#extrieur de lui-mme8 a&te 9&ste'ent $e !ser &ne r!nti/re $e 7 c!rs 8 &i se&le $init&n 7 s!i-'3'e 8 c!rrlati $6&n '!n$e 7 e#trie&r 8 en '3'e te's &6elle er'et7 l6inc!r!rati!n $es str&ct&res $& '!n$e 8 &i $init l6ha+it&s c!''e 7 s4st/'e $e

$is!siti!ns 8 DMais il est al!rs c&rie $6enten$re B!&r$ie& r&ter la criti&e $e ses c!ncets7 $is!siti!nnels 8 en inv!&ant 7 l#vidence des faits8 et n!ta''ent 7 l#vidence8 $e la7 c!n$iti!nna+ilit comme capacit naturelle d#acqurir des capacits non naturelles,arbitraires8 se&le 7prdisposition naturelle des corps humains A***B qu#une anthropologierigoureuse soit en droit de prsupposer8 7 l#vidence8 a&tre'ent $it $e 7 l#apprentissagecomme transformation slective et durable du corps qui s#opre par renforcement ouaffaiblissement des connexions synaptiques8 (,> . ,).

Si B!&r$ie& a rais!n cr!4!ns n!&s $e !ser &ne 7 c!n$iti!nna+ilit 8 $!nt la th!rie $e la'$iati!n tente $e ren$re c!'te : artir $e l6h4!th/se $& 7 s!'a 8 c!''e 7 caacitnat&relle 8 $6inc!r!rati!n &i s6a+!lirait $ans l67 a&tis'e 8 et les 7 s4ch!ses inantiles 8n!&s v!4!ns 'al en eet en &!i cela e&t c!nstit&er &ne 7 vi$ence 8. @l a&t a& c!ntraireen c!nstr&ire la vriicati!n clini&e.

"e rec!&rs : l6ar*&'ent - a&t!ritaire s6il en est - $e l67 vi$ence $es aits 8 $ans le ca$re$6&ne !l'i&e &i '!ntre en !&tre c!'+ien l6illusio$e B!&r$ie& c!ntin&e : investir lecha' hil!s!hi&e (car $6! vien$rait a&tre'ent cet intr3t : !l'i&er avec les

hil!s!hes et 9!&er ainsi le&r 9e&) ne t'!i*ne-t-elle as $e la $iic&lt !&r ne as $ire $el6a!rie &e renc!ntre la th!rie $e B!&r$ie& en ce &6elle '3le en er'anence $ans sac!nceti!n $e l6ha+it&s < ,1 - la r!+l'ati&e $e l6inc!r!rati!n (caacit nat&relle $e7 c!n$iti!nna+ilit 8) 21 - la r!+l'ati&e $e l6ar!riati!n (ar+itraire) &i ait &e 7 les

choses, en tant qu#elles sont appropries8 ar les a*ents s!cia s!nt $!nc 7 constituescomme proprits8 et sit&es 7 en un lieu de l#espace social, lieu distinct et distinctif qui

peut tre caractris par la position relative qu#il occupe par rapport d#autres lieu(. ,,)&i ait enc!re &e 7 l#agent peut tre affect par une chose trs loigne, ou mme absente,mais participant du !eu dans lequel il est engag8 (. ,2) D

@l est a'&sant $e v!ir al!rs B!&r$ie& renv!4er a trava $e Jean-ierre "han*e et :l6omme neuronal !&r tenter $6asse!ir $e 'ani/re $cisive l67 vi$ence 8 $e cet7 apprentissage comme transformation slective et durable du corps qui s#opre parrenforcement ou affaiblissement des connexions synaptiques8 (i+i$.). On e&t se $e'an$eren eet si ce rec!&rs : l6ar*&'ent $6a&t!rit ne t'!i*ne as $e la hte !&r reren$re les

ter'es $6Olivier Sa+!&ra&$ avec la&elle 7 est dploy le paravent capable de cacher qu#ilexiste un problme8 < cel&i $& 7 assa*e 8 !& $& 7 se&il 8 &i se tra$&it a&9!&r$6h&i ar &nhiat&s entre les c!nceti!ns $e l6!r$re nat&rel et celles $e l6!r$re c&lt&rel (Sa+!&ra&$ ,5

. etsq.).

!t!ns $6aille&rs le renv!i $6ascense&r &6!/re "han*e $ans &ne $isc&ssi!n avec a&l Ric!e&r < 7 Lan!ti!n $6ha+it&s telle &e n!&s la r!!se B!&r$ie& ait artie sel!n '!i $es c!ncets-asserelle

!tentielle'ent &tiles $ans les $iverses $iscilines &6il r&nit. Le c!ncet lie la n!ti!n $6arentissa*e : celle$6e'reinte $e l6envir!nne'ent s!cial et c&lt&rel. N... Je le c!'ren$s s&r le '!$/le $e l6ac&isiti!n $&lan*a*e ! l6arentissa*e 9!&e &n rQle $ter'inant en '!+ilisant $es str&ct&res ne&rales $6acc&eil innes et

r!res : l6es/ce h&'aine. L6enracine'ent $es r!cess&s ne&r!na $6arentissa*e est tel che B!&r$ie& &e$ans ses +ditations pascaliennes il 'enti!nne e#licite'ent le ren!rce'ent !& l6aai+lisse'ent $esc!nne#i!ns s4nati&es 8 ("han*e et Ric!e&r . ,=,).

=


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"ar enc!re &ne !is si l6ha+it&s est 7 str&ct&re str&ct&rante 8 $63tre 7 str&ct&re str&ct&re 8 entant &e r!$&it $e l6inc!r!rati!n $es 7 str&ct&res s!ciales 8 c!''ent e#li&er a&tre'ent&e ar &ne r*ressi!n : l6inini le caract/re 7 ar+itraire 8 $es $ites 7 str&ct&res 8 D B!&r$ie&insiste : 9&ste titre s&r le 7poids dmesur des premires expriences8 $ans les anticiati!ns&ltrie&res $e l6ha+it&s. Mais &e l6enant se tr!&ve $6e'+le $ans l6hist!ire et les &sa*es

s!cia ($!nt il s6i'r/*ne et c!nstit&e s!n ha+it&s) ne er'et as a&tre'ent &e ar cetter*ressi!n : l6inini $e ren$re c!'te $& caract/re str&ct&rel $e la ralit s!ciale &i se$init ar $es relati!ns et n!n ar $es 7 essences 8 !& $es 7 s&+stances 8.

A& rincie $e la str&ct&rati!n $& s!cial c6est-:-$ire $& ait &e la ralit s!ciale se rsentec!''e &n '!n$e $e $irence $6cart $e trait $istincti $!nt les r!rits s!nt $es

r!rits relati!nnelles &i n6e#istent &e $ans et ar la relati!n avec $6a&tresr!rits (B!&r$ie& ,? . 20) il a&t c!''e Lacan !ser l6h4!th/se $6&n ex nihilo."6est 9&ste'ent ce &e ait la th!rie $e la '$iati!n avec le c!ncet $e ers!nne &i

er'et cr!4!ns-n!&s $e reren$re la th!rie $e l6ha+it&s sans t!'+er $ans l6a!rie+!&r$ie&sienne.

B. La personne

F/s ,=5 $ans s!n :squisse pour une psychologie scientifique Hre&$ avait relevl6i'!rtance $& 7 retar$ 8 $e la &+ert ain $6e#li&er &e $ans l6h4strie lare''!rati!n $6&n inci$ent &isse s&sciter $ans le s4chis'e 7 un affect que l#incident luimme n#avait pas suscit 8 (le s!&venir re!&l ne se trans!r'ant ainsi en tra&'atis'equ#aprs coup). 7La raison de cet tat de choses, crivait Hre&$ se trouve dans l#poquetardive de la pubert par comparaison avec le reste de l#volution des individus 8. Fans lescas c!nsi$rs ce s!nt 7 les changements provoqus par la pubert8 interven&s entre te's&i ren$ent !ssi+le 7 une comprhension nouvelle des faits remmors. (Hre&$ ,=5 . etsq.) 8

l&s tar$ Hre&$ rel/ve +ien l6!&e $e la &+ert c!''e celle : artir $e la&elle7 l#individu humain se trouve devant une grande t2che qui consiste se dtacher des

parents8 et &e 7 c#est seulement aprs avoir rempli cette t2che qu#il pourra cesser d#tre unenfant, pour devenir membre de la collectivit sociale. (Hre&$ ,,-,,> . ,>) 8

En ,? ceen$ant sa ille Anna Hre&$ $l!rait &e 7 la psychanalyse, qui a si souventpris, comme point de dpart de ses recherches, les phnomnes contradictoires de la viepsychique, s#est !usqu#ici fort peu soucie des problmes de la pubert. (Hre&$ A. ,?. ,2?) 8 A cette 7 n*li*ence 8 $e la s4chanal4se : l6*ar$ $es hn!'/nes $e la &+ert

elle !!sait les 7 impressionnantes descriptions8 !&rnies ar les s4ch!l!*&es 7 desphnomnes psychiques qui accompagnent l#apparition de la maturit sexuelle C %D modifications du caractre , N...troubles de l#quilibre psychique et surtout N...contradictions incomprhensibles qui se manifestent alors dans le psychisme8. ar'i cesc!ntra$icti!ns Anna Hre&$ relevait n!ta''ent les hn!'/nes s&ivants &i v!&ent la$ialecti&e $e la !rte et $& !nt (TEr und FrEcGe) $e e!r* Si''el on, ils ne le rendront toutefois pas malade, en lecontraignant des formations substitutives co(teuses et nocives . l#exigence de la pulsion

sexuelle pourra en ma!eure partie, gr2ce la prfrence prcoce pour l#avidit de savoird#ordre sexuel, se sublimer en pousse de savoir d#ordre gnral et chapper ainsi au

refoulement. (,,0 . ,>,) 8

"6est : artir $6&ne re'ar&e $e Hre&$ &e L&cien @sraVl &i l&i est lacanien raelle : s!nt!&r l6intr3t &e $evrait rersenter la hase &+ertaire !&r la s4chanal4se < n!n as cette!is $ans la 'es&re ! elle er'et l6t&$e $& '!i 'ais en rais!n $e s!n rQle caital 7 dans la

formation du domaine symbolique8. @sraVl rel/ve &e $ans s!n t&$e s&r la s4ch!*en/se$6&n cas $6h!'!se#&alit 'inine Hre&$ est a'en : acc!r$er &ne *ran$e i'!rtance a&ait &e la 9e&ne ille &i c!nstit&e le cas 7 +ean$ sich in $er hase $er &+ertWtsa&risch&n*$es inantilen X$i&sG!'le#es -se trouvait dans la phase de la rgnration pubertaire ducomplexe d#Jedipe infantile - lorsque la dception la frappa. 8 Tr!&vant &e la tra$&cti!n $e

;uffrischungar 7 r*nrati!n 8 laisse : $sirer @sraVl r/re arler $e 7 rveil 8 !& 'ie

$it-il $e 7 re'anie'ent 8 !&r inir ar se $e'an$er ce &e si*niie rcis'ent ce7 re'anie'ent &+ertaire 8. Je cr!is ncessaire ici $e le citer l!n*&e'ent car s!nar*&'entati!n '!ntre &6il a +ien rer l6i'!rtance $e la 'ta'!rh!se &+ertaire 0 tant

: r!!s $& s4st/'e sc!laire &e $e la $istri+&ti!n s!ciale $es $is!siti!ns en 'ati/re $e*!Zt ierre B!&r$ie& e#li&e &e le caital c!n!'i&e et le caital c&lt&rel c!nstit&ent les

,


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$e rincies $e $irenciati!n 7sans nul doute les plus efficients8 $es 7socits les plusavances, comme les :tats-Onis, le ?apon ou la Prance8 (,? . 20).

La n!ti!n $e caital c&lt&rel rcise-t-il s6est i'!se : l&i 7 comme une hypothseindispensable pour rendre compte de l#ingalit des performances scolaires des enfants issus

de diffrentes classes sociales en rapportant la 6russite scolaire6 A***B la distribution ducapital culturel entre les classes et les fractions de classe 8 (,> . ).

S!it. Mais le caital c&lt&rel a9!&te B!&r$ie& a c!''e r!rit $e !&v!ir 3treartielle'ent inc!r!r K l&s rcis'ent il a&rait ceci $e artic&lier &6il e&t e#ister s!&str!is !r'es < 7 l#tat incorpor, c#est--dire sous la forme de dispositions durables del#organisme . l#tat ob!ectiv, sous la forme de biens culturels, tableaux, livres,dictionnaires, instruments, machines, qui sont la trace ou la ralisation de thories ou decritiques de ces thories, de problmatique, etc* . et enfin l#tat institutionnalis, formed#ob!ectivation qu#il faut mettre part parce que, comme on le voit avec le titre scolaire, elleconfre au capital culturel qu#elle est cense garantir des proprits tout fait originales.(i+i$.) 8

A l6tat inc!r!r le caital c&lt&rel est l6&n $es c!nstit&ants $e l6ha+it&s < il est 7 un avoirdevenu tre, une proprit faite corps, devenue partie intgrante de la 6personne6, unhabitus8 (. ?). En tant &e tel il est $ans la t3te $es a*ents 'e&rt avec e (7 avec le&rs7 capacits biologiques8 le&r 7 mmoire8 etc.) et n6est as trans'issi+le hr$itaire'ent . ?>). F6aille&rs ne ais!ns-n!&s as &6e#a&cer&n v!e& e#ri' ar B!&r$ie& l&i-'3'e l!rs&6il air'e &e 7 la sociologie et la

psychanalyse devraient unir leurs efforts8 ce &i s&!se &6elles 7parviennent surmonterleurs prventions mutuelles8 (,> . ,) D !&s ens!ns en t!&s cas &e la s!ci!l!*ie

e&t tirer &n *ran$ +nice $e l6hrita*e lacanien v!ire re&$ien : c!n$iti!n se&le'ent $e7 vi$er 8 les c!ncets lacaniens et re&$iens $e t!&t ce &i c!ncerne l6c!n!'ie li+i$inale."6est : ce ri# &6!n era aaratre &e Hre&$ et s&rt!&t Lacan n6!nt as ait &6e'r&nter: la s!ci!l!*ie $e le&r te's (!sitivis'e et str&ct&ralis'e) 'ais &6ils !nt - : le&r 'ani/re -c!ntri+& : crire &n chaitre !n$a'ental $e la s!ci!l!*ie < cel&i $es c!n$iti!ns '3'es $e las!cialit. Le rec!&rs $& s!ci!l!*&e : l6&n et l6a&tre n6est ainsi !&r &ne +!nne art &6&nerar!riati!n.

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