i îfemonihurl - bn-r · 2011-05-20 · t la au pi pas, elle, de ces oaifs bas su te coasictérait...
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L'Avenir de Roubaix-Tourcoing • nr*» MT\
sacttTC iniYME laTOÉUSATlON
à eapttal varlaMe SIÈGE A CROIX UodiUcttion de Société
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Ronbail, lei 16 novembre, 1* •Membre 1900 et 11 Janvier H01, portant cette meolion :
a KÎrtgialrè e Iloubiix , le • eaaai janvier 1801. tolio 79, a e- 14 et suivantes. Hecu huit .(renée vinjt-cioo
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SECS&MANCHONS AUER
, Rapporter la galerie t t nnaiûmité des membres m u a . e de ia tiee mckcl
(tablée générale 1 at%in M n o u ï ( l a u m & n eamiaoi de la Société Anonyme iTCTAWGÏUSATION, dont
ses devant ledit M" VAHI loHtet \mi, enregistres e
m» .mu de cette modifications,
porté aui eiété diven notamment celles suivi
La société se soumet
Ka conséquence, le fonda 10 e'inl sera suseeotibie d'augmeo-tation pur des versements sac ««tifs faits par les associés OL par l'admission d'associés non veaux, et de
fois être r duit au des trois cents francs.
Quant kprésenl.tecai riâleai fixée la somme i cents francs, et divisé en douze parts de as francs chacui peut être augmenté sens «elle autorisation de rassemblée générale, jusqu'à concurrent 3'nne somme de Ï.MO franco par rémission de 88 nouvel parts de ï> francs chacune.
Chacun des membres de li nociété ne w u r n èlrî tenu dei «ettes ou engagements de li soeiété que jusou'à concurrent du montant des pari» par lu souscrites ; en conséquence, iei tiers ne pourront exercer leun étD'it» ou poursuites que sui l'actif soci,->!.
La Eoeiêté ne sera point dis state par la mort, la retraile, l'interdiet.cm, la faillite ou la .déconfiture de l'un des associé* : elle continuera de plein droit antre le» aulres essoe.éï.
« Eipéd.t' a été i « 1901 : « justice de ratx des canton: « Eft-O'JCst de Iloubaix, l'autn « au greffe du tribunal de com « merce de ladite fille, a
Pour extrait et mention (Signé) : A. VAHÉ.
EtudedeM-Julc- DF.LMOTTE notaire à Lille,
4? rue du Molinc-l, 42
W A K 0 1 1 H V L • n lieu dit le Petit Co'tign.e.*.
à proximité du eau'il et de lagatedeCfoix-Waï^uebal,
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par adjudication publique. Lan 1901. le LI'NDI 18
I lAHIhW. u im^lM-uresde s'aprés-miùi. eu l'une '1 - s;ilW de la Mairie île Croix, ù la ïequétede M. l>.-,ri.;oi^ Obéis. liquidaUi.r ù Lille, rue de l'Arc. lô, en f|•talif.i il>' liquidateur de In Société anonyme pour l'exj-loiiation dans lea stfpartc-uiijiits du Nord et -lu Pas-de-CBlaid de .'A.v-M.-m; pur, procédés Raoul Pictat.
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Les demandes sont reçues chez tous las Bauqui t Changeurs de la région.
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M ùs, le m.Un raém, debJter, elle Mt, — co Johannesburg, du reste,
jour où el.e démit : toute la ville ds stirpriie eitraordi-
DEL'XIËHi: PAKT1E
pe Tavaiefit ils pas Ait a Tant lui. «ai, h Londres, fc Ansttrdata. a B*ri taeaat t Johaaineiburg, proclamais
scecs d orgueil.
t la au pi
pas, elle, de ces oaifs
Bas su te coasictérait nullement cornai! une pwsss)ne estraeroiaiire, et son ferme petit bin •cas l'empeciiait de jamais prendre au aérieus cette qmlifcaiicHi da • célèbre > qu'on accolait tosmurs à son nom.
U e était «ntlement keurenee de rair le me-«es Vacconapasjoer partout, dans cette etittence •••• imiBstac , indépendante, où elle avait Kts*j»H ironvé I 'MMI de i unique cnigria de sa
Bt, Ici, son bonbsur sa doublait de la joie de • M père, im regain de jeunesse qui avait suivi S** •noces imprévu an drqae Jshn Carter. . Cssa rsiariaii u «Mènent, inévitable hélas! • J l t H * " * * * * pars ésaraét prendre née invs-
£ile venait d'acheter sa toilette, et Ca»im!r pénétrait dans sa clutrjbre. le rhapeau tig^rt* ine;it casse assiette, son premier cigire s la
Lui, ét-'il allé chercher ses jo-ireaux, ces bons journaux, qui. deuuis une
s-moiun peu ça.
t MARIQUIT.V qu'on aurait pu I
- Et tout cela pour toi, petite f... Hein f... s t . . . Ça marcbe-t-il ? Vraiment. John
Carter te chauffe ton sucées... M&riquita troncs légèrement tes sourcils et
d i t : — C'est t rop . . . c'est trop. pèrt,^,Cela ie-
ient absurde... Que veui-tu quoo puisse raconter sur moi pendant tant de colonnes?
— Eh I Lis le, t Bt Casimir, avec la confiance d'un homme que rien n'a jamais étonné.
* Les ss-tu lues, t«i T — Non. Puisque jn t'apporte lea journaux
pour que nous lea Hsiawa ensemble 1 Le visage plutôt eaanyè, MariajuiU, tout ea
••linart d'agrafer asa corsage, se pencha sur le journal que Caaiaanr tmnit tout étalé devant sa
aj | p t i pMUtMMt;
- Mor ch'ri.™,
- Hein
-m> lion d» a - A h !
me tu te 1 'I...Q10: il n'oit p> 0! là d>dan • :,... çuo
le
r,. l'a
M r, , tutti
, d i ra nie
n?.
ptre
quïs-
. l'ns
Et il retournait le journal, mail lire, le brandissait l'arieusement, partir en bataille.
Mariquita le calma en risnt : — Eh. mon oapi, est-ce que ce
riqoita n'est qu'à moi ?... Nous sauriens bien s'il 7 a L ici uni
t artiste. Cest que 1 C'est tout boum heur, père : aftst tout bonnement lé nom qo'on
de donner à un-î mine d'or... Une mine d'or V.. . Ma ri q ai ta T. . . On a
dooné ton nom É f... Voyons, toyons. . . Kl cette coïncidence abasourdissait Casimir ; Mariquita, quoique affectant beaucoup de
légèreté, de gaieté, en était, au fond, assez im-Et Casimir répétait : — T M nom*.. . On a donné ton soin à ? . . .
Ça. par exempte, c'est trop fort 1 Cependant 11 s'asseyait devant la t nb -, com
mençait de parcourir l'énorme article et sa stupéfaction grandit encore.
— Mais tsia-tu que t'est CÎ faoïeai Trabcn-w a T . . . Mais c'est taoui, inouï, petite 1
Mariquita avoua : — Cest une coïncidence su moins étrange! Et, penches taus les J
dévorèrent l'article qj -ésoltatsdec
Jnhsnneshurg.
nQn les péri-
iionoait tout
t de Trebor-discutait •
impré puissant, presque un inviolable.
D« reste, eam droit avait été reeesua séance teoute par les autorité* UaMsiilianansl ; Mt
Qu'est-ce çué© le fëhapirognph ?
Le c n a i ' Mli,ll< atui
•ptj .pour tn>
Gnapirofirapn
prtu t> ïeavover penaaut t> )w - MBuanasat
. , , 1 i . ; . ' . . • . • :
iai fle réesTpeoiÛon'
tHE CHA PIROGRAPHi Co'LW"V. Plaee et la Bourse, Parla.
11 mm
ixi r* / i y :lîl ï'ï!lli-*5Slal
#3F 3 i i ea ?c8eM!i E - P r> 22 E t j i ; 3 S : Ï = | S 2 H «i
illî^!l-]ll£jt:"'0
5P_ . r3S5 h LIEBIG
LIEBIG
LIEBIG
LIEBIG
Véritable Extrait
de Viande
[ IEBIG INDISPENSABLE dans toute
bonne cuisine, peur préparer et améliorer potages, sauces, légumes, ragoûts, etc.
papiers étaient parfaitement possession parfaitement indiscutable.
Et les compagnies, qui s'attendaient a parer de tout le terrain, n'avaient plus q gociers
triomphe de Georges Treborsoo, occupait sieurs colonnes, et le nom de Mariquit était pas encore imprimé.
faites sur le beau gymsatiarque pour lui acheter sa conquête.
Mais Treborsoo avait montré une superbe énergie, ex<fé cent mille livres sterling, alors qu'on lui ea offrait dix mille, puis vingt, puis trente...
Il était demeuré toute une journée inébranlable devant toutes les propositions, même
lui offrir la somme réellement énorme de deux millions de frsncs pour les quelques milliers de terrain qu'il devait à ton audace et aux jarrets de cas chevaux, Georges Trabortan, encore plus intraitable que la veille, irait répondu iranqaillemen :
qui m'appartiennent je fsis 1 mine, — je trouverai les capitaux necesssii — et cette mine, dont je veux faire la raine mines d'or, s'appellera LA M.MHfjt'iT*.
Arrivés a ce point du récit, Mariquita et père cassèrent de lire.
Leurs jeux se brouillaient, leur gorgé se 1
Eh quoi I il existait t quelques jsnrnéei
ent déjà, c'est-à-dire beaucoup de rocaille entrecoupé* é* bina pauvres pâturages... £1 ee terrain ratant ans
' ippaiait Mariassta.
ïitrage, était ce Georges Treborson, que C si r avait aï inopinément suppléé le soir da rriTée a Johannesburg t — Petite, petite t a'écria Casimir, il y 1
quoique chose d'extraordinaire. O leique chose qui le grisait, t'a vague sei ent que lui ausii monterait un matin à c
' qu'il courrait devant lui follement,
audratt de
- Ab î petite, petite ! Si pareille chose nou: Si tout d'
millionnaire! Ah f petite, pourrait plus te dédaigner,
Était venais la fille d'i petite 1 personne ' ; faire de la peine... pas m-'me...
Nais, comm* il prononçait ces derniers nota 1 voix s étrangla dans sa gorge. Sou enthousiasme irréfl-chi l'avait entraîné parler de ehosea qui, pour eux, devaient être
lortes, k évoquer le seul chagrin qui
iff?! — Oh I chérie ! c a r Ei il M précipitait 1
mander pardon.
Ile, était prêt a dé
fi achevons notre lecture... Seulement..
Elle le menaça.: ueaûment du doigt Seuiem
bnlier. Car elle aussi, an instant
un coup de folie, là griserie la sensation que, dans ti riquila. il dttait bi pour elle.
Mais elle se repeaaaât. — Làians lis csnrir après l.
n'Us s*n
laissont, plus em-
in être plus heureux que nous, toi déj pprecié par le pubiic de ton cirque, et roo âis plaire, J'Y compte bien, \ celui de
Oui, oui . . . tu as raison, fit Casimir rede-t sage. Et puis, du reste. . . rallia bien qu'il se cooso;lt de la décep-[ui suivait son coup de folle espérance de . l'heure et qu'il se prouvai à'lui-même
que les choses étaient pour le mieux avec SA
1 te plus dédaigne1 r a t
t>u reste, il parait que, dans ce pays, perd les millions au moins aussi vite qu on
Jet gagne... Ce n'était donc pas la peine d'essayer d'en
gagner. Et qu'avait-il k désirer ? Y avait-il riches»; imparable aux grands veux bleus de sa le, k ces lèvres si fraîche» dont toai les
baisers étaient pow lai. à ces bras d'un ai pur dessin qui ae s'etrroutaienl qu'autour de son cou, à cette souple et ferme poitrine qu'il aimait
nt à sentir battre sur la sienne ? Et qs'étsit-cs qu'une mine d'or, même una iae a'appeisat h Mariquita, atiprcs c'
tas bureaux, soit h la Rourse,
a n . . . Attx-vous Uariamiu?
•'abordaie
U aa»r <U la
» t 4 ( u « • , avait aja't MajtXiMtl