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Il concorso di Poesia al 29 maggio 2013

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concorso di poesia dell' IS Luigi Barone

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Page 1: Il concorso di poesia dell'  IS Luigi Barone

Il concorso di Poesia al 29 maggio 2013

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Istruzioni

Abbiamo creato un nuovo bloghttp://kidblog.org/AS1213LBConcorso/Con le classi terze B e G ci preoccuperemo di recuperare dai blog tutte le poesieHaikuCopillageche pubblicherete sul  blog della classePer sicurezza dovrete anche inviare una mail [email protected] in modo da non perdere nessun contributo.Noi le pubblicheremo  e le divideremo in categorie tramite gli hashtag che fanno parte integrante di questo progetto:PaeseIl paese verrà indicato con 3 lettere BRU CSA CSV AYA per le scuole primarie e con una lettera per le scuole secondarie di primo grado V e BClassela classe con numero e lettera  1A, 1B. ….1G, 2A………..2H, 2G,……..3G; per le primarie se non esiste la lettera solo la classe 1.2.3.4.5; suggeriremmo di evitare le classi miste ma di segnalare , anche se gli allievi sono in classe mista, la classe frequentate.Tipo di poesia:Haiku            HaiCopillage       CopAltro              AltIn questo modo potremo classificare i lavori in funzione delle età dei partecipanti ed inserirle nel nuovo blog.Cordiali saluti

PS     user name   Haiku, Copillage, Altro  password per tutti barone

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Copillage 3B

Atelier d’écriture : Co-pillage

Création de poèmes pour retrouver ses propres sentiments, ses propres émotions et ses propres visions dans le tableau « Les Nymphéas » de Claude Monet.

Objectifs :  

rompre avec le « J’ai pas d’idées, je ne peux pas écrire » ; faire comprendre que les mots d’autrui éveillent nos émotions et nos idées ; donner le courage pour oser (s’) écrire.

Démarche :

invitation à la lecture de poèmes mis à la disposition des élèves (Edmond de Rostand, Arthur Rimbaud, Baudelaire, Henry de Régnier, Leconte Lisle) ;

lecture de repérage de mots, de phrases qui interpellent les élèves ; construction de réservoir de mots et mise en commun ; écriture d’un texte poétique commun et de textes poétiques personnels.

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Les    Nénuphars                                                                                   Frissons

Dans une eau frissonnante, La lumière de la lune divine à travers des ondulations majestueuses et lentes, Brille parmi les constellations. des Nénuphars blancs, des fleurs vivantes. La tige des fleurs parfumée A l’horizon, le ciel chuchote ses rayons dorés : Frissonne dans l’eau. (Wiam) Il allume le jardin mouillé. (Céline)

Le Bohémien                                                                                                 Les troupeaux

Un homme souffrant la somnolence Des troupeaux de nénuphars S’étend sur un mont divin. Broutent dédaigneux les feuilles Il pousse un soupir géant sur les constellations. Qui s’égouttent. Un météore lui sourit: La rosée émane une odeur de fraicheur. La joie mousse. Un flux froid pleut Son écho résonne dans les mers de la montagne. (Hamza) Sur un paysage majestueux. (Singh)

 La nuit

La nuit, tout est ténébreux. Les petites flaques semblent des océans profonds, L’innocent colibri le corbeau le plus morne, Le vent qui frissonne dans les glaïeuls un confus appel de mort. La nuit met fin à la clarté/consume la clarté : C’est la source de nos peurs. Heureusement, on dort. (Alex)

La folie du ciel

Des flammes frissonnent, Des vapeurs flottent. La lumière éclaire follement le ciel. Il est des parfums riches et triomphants… On rêve doucement. (Tatiana)

Mon étang                                                                       Floraison

Je connais un trou de verdure Au printemps, Où remue un étang. Les épis se dressent sur la terre humide, Mon cœur se noie Les pétales des glaïeuls éclatent dans l’herbe, Dans ce calice d’eau vivante. De blancs nénuphars se balancent sur l’eau, Les rayons du soleil Tels que des haillons d’argent. (André)

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Envahissent la chevelure des arbres Et allument la beauté des nymphéas Et des colibris bariolés. (Valeria)

Avec toi                                                                                       La vie nocturne         

On est dans le ciel, D’un bois ténébreux, Entourés de gros bœufs blancs. A travers des voiles de vapeur, Le soleil nous parle Emerge la constellation des nymphéas. Avec ses flammes implacables. J’entends picoter : L’eau dorée remue majestueusement C’est l’air humide d’une nuit incroyable. Les nénuphars sur leurs lits verts. (Marco) Les colibris s’éveillent dans l’ombre. (Domenico )

Les nébuleuses                                                                            Les oiseaux        

Des glaïeuls poudreux Un colibri picote minutieusement Flamboient de splendeur : Sur un pilier vert. Ce sont des nébuleuses. L’eau tranquille de l’étang Ces fleurs pleines de joie et d’amertume Apaise l’âme : Rendent l’homme heureux Tout se tait. Comme avec une femme. Mon esprit bat des ailes La vie fleurit. (Simone) Comme les oiseaux migrateurs. (Andrea)

Les yeux clos                                                                                 Depuis la fenêtre     

Les yeux clos, dans mon lit, L’air parfumé baigne ma tète : Je fais un somme : Je goûte la surface lisse de l’étang Je vois tomber Illuminée par le bleu de l’été. Une ombre imperceptible de ciel. Ce sont des haillons d’argent Le faîte de l’arbre Qui s’étirent divins. Remue dans le vent. Dans les jardins frais et dormants Je pense à la vaste étendue de rosée : La brise innocente Un frisson parcours mes pieds. Murmure des paroles sublimes Mon âme s’effondre Et caresse mon visage. (Maria Luca) A la pensée d’un soldat Qui marche dans le soleil de sa vie. Un fier colibri vole Dans le ciel infini. Demain matin, je me réveillerai : J’épierai derrière les rêves. Ce soir, je me rendormirai. (Giada)

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Nuit d’été                                                                                                                                                                                Les nuits bleus d’été, les enfants Jouent, les pieds dans les glaïeuls, Dorment , les mains sur la poitrine. Les parfums, les couleurs et les formes divines Charment les rêves Au bord des ravines. (Carmen)

Terre sacrée                                                                                              

Le soleil chauffe la somnolence. Vaste comme la nuit et comme la clarté, La Terre est assoupie en sa robe de feu. Blanche mère des visions : Les colibris fleurissent frais et dormants, Les fleurs sourient comme souriraient Un enfant malade. (Nadia)

Forêt de symboles

Les blancs nénuphars, A la beauté fière, Tissent une pluie de lumière furtive. Les soirs bleus d’été, Un calme ténébreux Couronne l’étang. Des parfums triomphants Picotent les narines. Le bourdonnement des libellules Laisse sortir de confuses paroles. (Serena)

L’infini

Un amour infini pleut Sur la flamme de la lumière Qui va mourir à l’horizon.

La lune et son essaim d’étoiles Offrent à la nuit la douceur D’un sourire profond mais implacable. (Stefania)

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Le feu des fleurs

De superbes nénuphars Sur l’eau frissonnante, Conductrice innocente, S’offrent souriants.

Les soirs bleus d’été, Dans un essaim d’ étoiles, L’air parfumé, habillé de feu, Remplit mon âme d’amour infini.

Séduite par la clarté de la lune, Je laisse le vent baigner Mon esprit brûlant. (Sylvie)

Nature

Les hauts sommets des montagnes Rendent le soir follement sombre. Les frais colibris bleus Volent dans le ciel lumineux d’étoiles. Les nénuphars blancs Flottent sur l’eau brillante, Dans le jardin mouillé. L’air est parfumé de bois et de musc. (Gaia)

Les sens

J’aperçois un sentier Dans la forêt sombre. Des nénuphars reposent Comme des nuages. Je sens un air léger et parfumé, J’entends le bruissement des eaux souterraines. Je lève les yeux : Une constellation de colibris Eclatent de brillantes couleurs. A mes côtés, Des glaïeuls et des épis très doux. Je suis heureuse, je suis l’horizon. (Alessia)

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3A

“Il leone politico”Il leone, re della savana,sempre servito dalle leonessesempre sdraiato sulla sua roccia,fa la stessa vita del politico,servito dai cittadini,sempre seduto sulla sua poltronaa non far niente.Stefano Bianco; 3 A Sempre di Stefano:Oh mia cara nonna,vecchia ma saggiacome l’albero più grande della forestahai visto molte cose. 

 Ora una di Valeria Solari:Al nonno.Di Valeria S. Caro nonno,ormai sei così distante,ma sono forte.Grazie ai bei ricordiche mi hai lasciato.Come il vento,sei stato portato viada mema tutte quelle cosefatte insiememi riportano il sorriso.  

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Aurora.Di Federica Billi. Aurora mia Aurorail tuo nome è semplicee dolce come una rosa.Quando penso a tequalsiasi giornata scuradiventa radiosa.Tu sei un colore, l’oro,perché sei preziosa e brillantecome lui.E’ lei la ragazza,la ragazza della primavera,ogni fiore del prato quandopassi tu canta e mostrai suoi colori in tuo onore.Il tuo dolce profumodi vanigliariesco a riconoscerlotra mille persone, perché solo tuporti profumi cosìbuoni e dolci.

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3 G

Le Monde Le ciel ètait  trop bleu, trop tendre,la lune blanche,La mer trop verte et l’air trop doux,Voici des fruits, des fleurs, des feuilles….L’ hiver a cessé: le lumiere est tiédeL’ aissez-la s’apaiser de la bonne tempete,Et que je dorme un puisque vous reposez. Le vent du matin vient glacer à man frontVoilà ma raute avec le paradis au bautVoici mon coeur qui ne bat que pour vus.Qui vienne l’ été! Que viennent ancoreL’automne et l’hiver!Votre voix me dit:” Marche encore!”. di A.M. 3G

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2 C

Spero che tu sappia quanto mi manchiLasci vuoti nel mio cuoreLasci lacrime , soltanto i ricordi passati insieme portan via…….Ma cambierà armonia ci sarà una nuova rimaE ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai….Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.Vorrei sorridere per te ,ma non so se tu lo sai che per me la tua perdita è un dolore…..Ma i tuoi sorrisi troppo forti e coraggiosi sai per me…..Non morire adesso solo per un piantoE ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai…..Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.Pensami e non dimenticherai quant’è l’amore che tu sai …..  CHE SEI ANCORA QUI…..Il mio cuore non ti dimenticherà mai ….Questo dolore lo sciolga il cuore ,come sa fare con altre cose ….E ci sarà…dentro te e dentro me un sentimento che non si romperà mai….Ci sarà una felicità che ti renderà felice per sempre.Per sempre…….

Eleonora

Sempre 2 C

A VOLTE LE TASSE SI ALZANOE NOI ABBIAM MENO SOLDINILO SAI COSA INTENDO SE DICOCHE A TUTTA C’è UNA SOLUZIONEEEEE TUTTE LE LUCI SI SPENGONOMILIARDI DI SOLDI SI ABBASSANOED ENTRANO A RITMO DI UN BATTITO, DI UN BATTITO,DI UN BATTITOE SOTTO I MIEI PIEDI C’è MONTIE SULLA MIA TESTA C’è INGROIAE IO VIVO PROPRIO NEL MEZZO DEGLI EVASORI FISCALIDOVE SUONAN LE BANCHEE RIDIAMO DI BERSANIE IO ODIO I POLITICISI SPERIMENTANO ARMIPER UCCIDERLI TUTTIDOVE SUONA BERLUSCA,E I PORTAFOGLISI SUOTANOE LE TASSE SI PAGANOE LE TASSE SI PAGANOSIAM SEMPRE NOI CHE PAGHIAMOCI LASCIANO SENZA SOLDONIA VENDERE LE NOSTRE COSEIN CERCA DI NUOVI LAVORIE C’è SEMPRE UN GRAN SOLE A SORPRENDERCINELL’INDIFFERENZA DI GRILLOCHE TRA POCO MUORE DAGLI URLI,CON LA FACCIA DA PAZZOE SOTTO I MIEI PIEDI C’è MONTI

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E SULLA MIA TESTA C’è INGROIAE IO VIVO PROPRIO NEL MEZZO DEGLI EVASORI FISCALIDOVE SUONAN LE BANCHEE RIDIAMO DI BERSANIE IO ODIO I POLITICISI SPERIMENTANO ARMIPER UCCIDERLI TUTTIDOVE SUONA BERLUSCA,E I PORTAFOGLISI SUOTANOE LE TASSE SI PAGANOE LE TASSE SI PAGANOE LA FORZA SI AMPLIFICAED IL SANGUE SI MESCOLAE CASINI è UNA TRAPPOLAMICA SEMPRE PEROOOOOQUALCHE VOLTA TI LIBERA,DALLO STAR TROPPO BENEE TI VIEN VOGLIA DI PRENDERE UN FUCILE E SPARARGLI IN TESTA MAAAASOSTANZA PURISSIMA,CHE TI CHIAMI CERVELLOE CI FAI VENIR VOGLIA DI VIVERE FINO ALL’ULTIMO ATTIMOOO,E C’è MONTI CHE RIDEEENELLA TERRA DEGLI UOMINIE C’è UN POSTO PER CHI TI SORRIDE DA UN ANGOLOFINO ALL’ULTIMO ATTIMOFINO ALL’ULTIMO ATTIMOFINO ALL’ULTIMO ATTIMOOOHHHHHH.

Di Filippo

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2B una poesia di B. Iman

Tu non sai niente, su di me, su di tesolamente  che, tu non sei come me.Tu non cambierai, mai poi mai, mai poi mai.C’è qualcosa che, io vorrei, io vorrei.Pensa a quel che vuoi, ma non scordarti maidi quel che non c’ è stato fra di noi, fra di noi.io provo a parlarti, ma tu pensi ad altro,per esempio solo a te, solamente e solo a tè. Sono così stufa, che non saprei veramente,cosa fare e cosa dire.Io sto qui con te, ma tu non  ascolti maiquel che dico o quel che canto.Io urlo e grido, ma tu non mi ascolti mai.Io urlo e grido, ma tu non cambi mai, mai e poi mai. Sono molto stanca, più stressata e ancora stressataDimmi ora che devo fare, devo fare , devo fare?Pensa alla le lealtà, quella che ricorda me.Apri la tua mente, per sentirti ancor più te.Tienimi all’oscuro, di ciò che riderai       o quello che dirai su di me ,su di me.Cosa devo fare, con te che sai pensare,solo quel che ti pare e soltanto quel che ti appare.  Sono cosi stufa, che non saprei veramentecosa dire e cosa fare .io parlo con te, ma tu non cambi mai, poi mai, poi mai.Io parlo e grido , ma tu non ascolti mai.Io urlo e grido, ma tu non cambi mai, mai e poi mai. Io urlo e grido  ma tu non cambi mai Io urlo e grido ma  tu non cambi mai Io faccio quel che voglioIo faccio quel che voglio

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