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INFORMATIONS MEDIA CEREMONIE DE CLÔTURE COUPE D’AFRIQUE DES NATIONS TOTAL GABON 2017
5 FEVRIER 2017 STADE DE L’AMITIE – LIBREVILLE
Concept
La cérémonie de clôture de la Coupe d’Afrique des Nations Total Gabon
2017 met en scène deux actes symboliques qui célèbrent l’Afrique et l’unité
du continent, tout en rendant hommage au sport et à la compétition qui
s’achève. Plusieurs centaines de jeunes gabonais et gabonaises
participeront activement à cette cérémonie.
Le concept du premier acte de cette cérémonie est de susciter la promesse
d’une Afrique unie dans la lutte contre le cancer, et en particulier celui qui
touche les femmes au lendemain du 4 février, journée mondiale contre le
cancer.
Au-delà d’un simple spectacle, la mission de cette cérémonie est de
montrer une Afrique solidaire et de proposer que la lutte contre le cancer
soit une cause continentale tout au long de l’année 2017.
Seul un engagement fort face à ce fléau pourra mieux protéger les citoyens
et notamment les femmes qui sont le ciment de nos sociétés.
Le second acte célébrera la compétition de football, l’ensemble de ses
acteurs, des publics et sublimera l’arrivée de la coupe sur le terrain de jeu.
Début de la cérémonie : 18:18:00
Acte 1 : L’Afrique unie dans la lutte contre le cancer (durée : 00:37:00)
Cinq des plus belles voix féminines du continent se succéderont sur scène
pour témoigner de leur engagement dans cette lutte contre le cancer.
Entre parallèle de ce concert, une chorégraphie sur le terrain reconstituera
tout à tour le fameux ruban, symbole universel de la lutte contre le cancer,
et le continent africain au cœur de cette lutte.
Les divas africaines qui interviendront au cours de la cérémonie sont :
Josey, Charlotte Dipanda, Pamela Badjogo, Rokia Traore et Coumba Gawlo
Afin de symboliser cette Afrique unie, un titre écrit et composé par Coumba
Gawlo spécialement pour l’occasion, « Pour nos sœurs et pour nos mères»,
sera interprété pour la toute première fois par Coumba Gawlo, Charlotte
Dipanda, Josey et Pamela Badjogo.
Pour cette chanson, les performeurs recréeront en particulier le cœur d’une
Afrique qui bat au rythme de la musique.
Acte 2 : Hommage à la CAN : 19:38:00 (durée : 00:04:10)
Dans un second temps, un spectacle festif et pyrotechnique mettra à
l’honneur la compétition, les seize nations participantes et l’arrivée de la
coupe.
Le logo de la compétition et les drapeaux des seize équipes qualifiées pour
la phase finale viendront prendre place sur le terrain.
Des danseurs accompagneront ce show avant de former une haie
d’honneur pour accueillir l’Enfant portant la coupe, objectif final du tournoi.
JOSEY Côte d’ivoire
Josey est une artiste chanteuse originaire de la ville d’Abidjan.
Son amour pour la musique commence très jeune. Dès ses 8 ans, elle
commence à côtoyer la musique en se produisant en live dans son église.
En 2009, Josey rencontre Eric Didia, artiste chanteur Ivoirien et animateur radio
connu sous le pseudonyme de Robert Levy Provençal alias ‘’RORO’’.
Il s’ensuit une collaboration sur les trois albums de ‘’Roro’’ qui auront un grand
succès.
Entre 2009 et 2011, Josey se produira à l’Acoustique, célèbre cabaret d’Abidjan,
qui lui ouvre petit à petit les portes de la notoriété. Parallèlement, elle collabore
sur l’album de l’artiste rappeur Tusty sur le titre « Malaika».
Et en 2012, elle participe au très célèbre concours de chant panafricain CASTEL
LIVE. À l’issue de ce concours, Josey termine à la deuxième place. En 2013,
Josey débute sa carrière solo et collabore avec les artistes Kil’Heur et
Rikwane sur le titre « Chéri(e), tu me saoules » qui aura un succès international.
En 2014, elle sort un maxi single qui va la faire connaître du grand public ou elle
prend la défense des femmes dans le titre « On Fait Rien Avec Ça ». À la fin de
cette même année, Josey collabore avec Dj Bonano sur le titre « Abidjan La
Joie», ainsi que « Koba» avec le célèbre Dj Arafat.
Elle interprétera son titre « Diplôme » lors de la cérémonie de clôture.
CHARLOTTE
DIPANDA Cameroun
Epanouie au sein d’une famille de musiciens, la jeune femme née il y a trente et
un ans au Cameroun, a grandi entre Yaoundé et Douala. Elle commence à se
produire dans les cabarets dès l’adolescence et se taille très jeune une
réputation dans le milieu du rap avant de bifurquer vers la chanson.
En 2001, elle fait une rencontre décisive qui change le cours de sa carrière, alors
qu’elle n’a que 16 ans, le chanteur congolais Pascal Lokua Kansa la convainc de
venir à Paris.
Charlotte s’inscrit à l’Institut Art Culture Perception (IACP), où elle perfectionne
sa voix, apprend le solfège et le piano. Puis elle fait petit à petit son trou comme
choriste auprès de Manu Dibango, Axelle Red ou Rokia Traoré.
En 2008, elle se lance dans une carrière solo et se fait connaître quatre ans plus
tard avec son deuxième album Dube L’Am. « Massa », son troisième album
paru en 2015, est celui de la consécration : aux All Africa Music Awards en
2015, Charlotte Dipanda est élue meilleure artiste contemporaine de l’année,
meilleur album de l’année et meilleure artiste d’Afrique centrale.
Avec cette triple couronne, l’artiste qui interprète avec grâce des chansons entre
makossa (musique urbaine camerounaise), bikutsi (musique traditionnelle
camerounaise) et chanson congolaise, réalise une carrière internationale.
Elle interprétera son titre « Elle n’a pas vu » lors de la cérémonie de
clôture.
PAMELA
BADJOGO Gabon
Pamela Badjogo est née en 1982 à Libreville au Gabon où elle a grandi avant
de s’installer au Mali en 2005 pour poursuivre ses études de microbiologie. En
2007, elle conquiert le public malien et africain lors de la première édition de
Case Sanga, émission de télé-réalité musicale diffusée sur la chaine
panafricaine Africable, dont elle remporte la seconde place. Elle prête sa voix
dans la comédie musicale Kirikou & Karaba et s’illustre sur scène et en studio
comme choriste aux cotés d’artistes de renom tels que Matthieu Chedid, Salif
Keita, Oumou Sangaré, Cheick Tidiane Seck, Tiken Jah Fakoly, Danakil ou Dee
Dee Bridge Water...
Parallèlement, elle présente pendant quatre ans l’émission culturelle
hebdomadaire Artiste à la une sur Africaine.
Pétillante et débordante d’énergie, Pamela Badjogo dévoile avec générosité son
univers musical à travers son premier album solo Mes Couleurs, sorti en Janvier
dernier.
Une palette de sonorités blues et afro-jazz qui puise son inspiration dans les
traditions bantoues et mandingues. Elle entrera dans l’histoire de la musique
française en obtenant un disque d’or. Il s’agit en effet du premier album en
indépendant à obtenir une telle récompense.
Elle interprétera son titre « Koulé » lors de la cérémonie de clôture.
ROKIA
TRAORE Mali
Rokia Traoré est née le 24 janvier 1974 à Kati au Mali. Fille d’un diplomate
malien et d’une infirmière, elle est la quatrième d’une fratrie composée de sept
enfants. Son enfance est marquée par de nombreux déménagements selon les
affectations de son père, entre l’Arabie Saoudite, l’Algérie, la Belgique et la
France.
La petite fille montre très tôt un intérêt pour la musique. Son père, saxophoniste
amateur, lui offre sa première guitare et parfait sa culture musicale en lui faisant
découvrir le jazz. Au lycée, l’adolescente devient la chanteuse d’un groupe de
rap. Les membres du groupe se cotisent et réussissent à financer un clip.
Surprise! Le clip est diffusé à la télévision malienne. Parallèlement, Rokia Traoré
poursuit ses études d’anthropologie à l’université.
Dès 1997, la jeune chanteuse se fait remarquer en France sur la scène du
Festival Musique Métisses d’Angoulême. Le succès de son premier album,
Mouneïssa (1998), et le prix Concours Découvertes Afrique de RFI lancent
rapidement sa carrière. Elle enchaîne avec deux albums Wanita (2000) et
Bowmboï (2003) qui confirment sa place sur la scène musicale internationale,
puis se consacre à un projet musical collectif. En 2005, elle parcourt les Etats-
Unis avec Dianne Reeves et Fontella Bass et participe à un spectacle en
hommage à la chanteuse de jazz américaine Billie Holiday, Billie and me. Rokia
Traoré multiplie les collaborations et explore d’autres univers musicaux.
En 2007, à la demande de Peter Sellars, elle conçoit la musique d’un spectacle
consacré à Mozart. De retour dans les bacs, son quatrième album,
Tchamantché, lui permet de remporter une Victoire de la Musique en 2009.
En 2013, elle publie un nouvel opus qui célèbre son pays natal, Beautiful
Africa. En mai 2015, elle est membre du jury du 68ème Festival de Cannes.
Elle interprétera ses titres « Kenia » et « Tu voles » lors de la cérémonie de
clôture.
COUMBA
GAWLO Sénégal
Descendante d’une famille de griots, Coumba Gawlo perpétue la musique de ses
ancêtres et puise dans ses racines pour trouver l’inspiration.
Coumba Gawlo se met au chant, dès l’âge de 7 ans, en accompagnant sa mère
Fatou Kiné Mbaye, une célèbre griotte. En 1998, le single “ Pata pata “ de son
album “ Yomalé “ produit par le chanteur français Patrick Bruel lui vaut une
grande consécration sur la scène internationale.
Ce tube, hit de l’été 98 en Europe, lui a valu un double disque d’or et un disque
de platine. Ses succès, à travers le monde, ont fait d’elle une véritable
ambassadrice de la culture africaine. Son association Lumière pour l’Enfance
(Awag) œuvre en faveur des enfants malades et déshérités.
Elle collabore également avec l’Unicef et Plan International.
Marraine du Haut commissariat des Nations Unies pour les réfugiés, la
chanteuse a visité plusieurs camps au Sénégal et dans la sous région. Elle y
donne à chaque fois des concerts gratuits. Son riche répertoire, son
engagement, sa détermination, les actions menées tout au long de sa carrière,
ainsi que sa disponibilité en faveur des populations défavorisées, ont fait de
l’artiste Coumba Gawlo un Ambassadeur de bonne volonté de UNDP pour la
lutte contre la pauvreté.
Elle interprétera ses titres « Sa Lii Sa Léé » et « Allez Africa » lors de la
cérémonie de clôture.