CHRONIQUE DE L'AVIATION

Yendtedi G Septemltre i>>35 : 1M. de Uousseau, M. Amado, par-

tant pour Paria; M. Mautner, MissDawn, M. Rosé, partant pour Ixmdres,ont pris le matin, l'avion du service,régulier, qui a quitté le terrain à 8 h. 43

Mme Monm, venant de Marseille;M. Adam, M. Iïargat, venant de Paris,sont arrivés le soir, par le même avionqui a pris le terrain à 18 h. 26.

Samedi 7 Septembre :M. et Sime Fort, partant pour Paris ;

M. Murthy, partant pour 1-ondres, ontpris le matin l'avion du service régu-lier, qui a quitté Cannes à 8 h. 45.

Mr. Caltbeck, Mr. et Mrs. Paît,Mr. et Mrs. Mill. Mr. Strateri, Mr. Zi-dley, venant tous de Londres, «,0111arrivés, le soir, par un premier aviondu service régulier, qui a pris le terraina 17 h. H).

Mr. Coliwn, venant de ï-ondres ;M1»" K.ming. venant de Paris; M"»"Vitrey et M. Vincent, venant de Lyon,sont arrivés te soir par le second appa-reil du même service, qui a pris leterrain à 17 h. 17,

•••MiMcAe 8 Septembre :M Bost, avec un passager, venant

de Marseille, est arrivé à Canncs-St-Cassien, à 12 h. 16, à bord de sorCaudron-Luciole. Il est reparti pouiMarseille, à 16 h. 50.

M, Leibald, avec un passager, vctiiint de Kayencc, est arrivé à 11 h. 30.. l».rd de son Potez-43. H est reparti

1 z heures, pour Nice.M. l.allcmant, avec un passager, est

parti à 14 h. 10, pour Montélimar, àIxml de son Morane. 11 est arrivé àdestination à 16 heures.

M. Scrnicles. avec un passager, ve-nant de Marseille, est arrivé à Cannes-St-Cassien, à 1511.57, à bord de sontVlican. Il est reparti à 16 h. 05, pour

...mdi <» Septembre :M l'Ieury. partant pour Paris,

que Mme ï'arts ; M. Knight et M. Crémieux partant pour Marseille, ont pri:' matin, l'avion du service régulier qu:

quitté l'aéroport à 8 h. 45.M Hianchi. venant de Marseille

Mr. et Mrs. Wiggins, Mr. Hart, Mr.Kocord, Mr. Taylor, venant de Londres. sont arrivés, le soir, par le mêm<avion qui a pris le terrain à 17 h.

D'autre part, M. OConnell, venamtle Paris, est arrivé, le soir, à 17 h. y

Lord de son appareil particulier, ui

Hardi 10 r,et>UM0n .M Montel. partant pour Marseille ;

,1. DoiiRherti, partant pour Londres,it pris, le soir, l'avion du service

égulier.M et Mme Tandi, venant de Pans ;

liss Mnrphy. \enant de I/indrcs ;1 {JpelhU'Hen, venant tic Rotterdam,ont arrivés le soir, par le même avion.

M. Heiss, avec un passager, venantle Lyon, est arrivé à 10 h, 5», i bordle son avion, un Dragon.

Mercredi 1 1 Septembre :M"« Dundnchech/ M. et M"" Cou-

land, M. Portman, Miss Wessler, par-tant pour Paris, ont pris l'avion du

rire rcguliw qui a quitté l'aéroporta S h. -t> le in.'ititi.

M Aùi-Kl-Moulha. M. K- Dr lUv*-*,•nant dp Marseille ; M. Waters et

M. Pans, venant de Pans, sont arrivésle soir par le même avion, qui a prisle terrain à 17 »• .W- v , ,

D'autre pnrt. M. OConnell. a bordîle son appareil particulier, un léopardest parti le matin pour Lyon à M h.

Mm Elizabeth GUIZOLEST NOMMEE CHEVALIER

Jeudi 12M. Vi

pour MaM J

Septembre :icent, MmB Vitrey. partirseillc ; M. Hammer, M.nés, partant pour Pari:

. ont pris le matin l'avion duservice régulier qui a quitté (.amiesà 8 h.45.

MM Parker. Sir Uinl, M- lViestlcy.venant de I.ondres ; Miss Malothauxvenant de Bruxelles, Mme Screy, ve-nant de Pans, sont arrivé» le soir parl'avion du service régulier qui a prisle terrain a iBh. 45.

M'"" E l i zabe th r-. t;v..l femme- (luprat ic ien l.i. .: • •••<• d ' e l l en o m m é e i ii. ll11 <1 h°n -neur , e t i i ,IH- l ' o n a

appris cette uisi ..•». •["' n e l e -vait être mieux méritée.

Car cette nomination \ic»t recom-}>enser les qualités cl. t < i 'l'i mitde M " l i i iW, * " 'ment. pendant la fbre .le la Croix K" .sans répit le» soldat» Uc.»ii., u>uiilpour chacun une parole de réconfort.

Appartenant depuis plus de trenteans a la Croix-Kouge, Mm" Elisabeth(luuol est déjà titulaire de nombreusesdécorations, notamment de la mé-daille des Epidémies.

M.n, 1.. tin 4- Ui K'»TT<- Vf pas mis

battants et des pupilles de la nation.Plusieurs associations, parmi les-

quelles la Société amicale et mutuelledes mutilés, réformés et pensionnés deguerre du canton de Cannes, avaientprésenté sa candidature a la croix dela Légion d'honneur, et ceci prouvebien combien Mmc Elisabeth Guizol asu s'attirer d'estime et de reconnais-sance, où elle a ]>assé.

Aussi, le ruban rouge «lui vient,aujourd'hui, s'épingler sur sa poitrine,est la juste récompense dune vie faitede bonté et de dévouement.

Que M»e Elisabeth Guizol trouveici 1'expres.sinn de nos respectueuses:t très sincères félicitations.

Attribution d'une dott des filles de déposants

à la Caisse Nationaledes retraités pour la vieillesse

Inaugurationde la Colonie Scolaire

de Saint-Vallier(Suite de h page 1)

D'autre part. M. Devaux, venantîle I.yon. est juive à Cannes-St-l'as-sien à 10 h. 15. à boni de son Léopard.

M. et M"" l'Oder et leurs enfants,venant de Gènes, sont arrivés le matinà 12 h. 38, à Cannes-St-Cassien, à bord<!e leur appareil, un Douglas amphibie,pilote par M. 1 lecker cl radio Honreom

M. Decker est parti a 14 h. if, pourMarseille-Marignane, pour revenir àtannes dans la soirée, a 17 h. 15. tou-jours à bord du Douglas.

M. le Colonel Gault. avec un passa-ger, est parti à 15 h. «5 V" Avignon,à bord de son léopard.

M Perkins, avec un passager, e>tparti à 15 h. 30, pour Avignon à bordde son Moth.

M. Fomicles, avec un passager,venant de Marseille, est arrivé a Can-ncs-Saint-Cassien à 19 h. 09, à bordde son Caudron Pélican.

Les obsèquesde Madame Louis Grosso

Us obsèques de M»» Louis Grosso,vrave du regretté "Papa Grosso", ont, le célébrées mercredi après-midi, à11. heures, en présence d'une foule con-i.lérable de parents et d'amis de lawtunte.

[A réunion se fit au domicile mor-uiaire 5. rue Merle. Trois voitures^paraissaient sous des gerbes de,-tirs et de magnifiques couronnes re-nivraient le char funèbre.Sous avons noté celles de l'Office

du Tourisme et de la Propagande ; le. onseil d'administration de l'ASC. :le» joueurs de l'A.S.C. : le personnel.le la Maison Grosso ; le comité d'hn-.ouragement de l'A.S.C; le groupe-ment tles Commerçants Centre-Kst-(.ambetta. etc..

1* deuil était conduit par M"" etM Francis Grosso ; M"' et M. I.éoGrosso M"" et M. Boucher; M'"luliette Coatc ; M»" et M. Perrot etles membres de la famille.

Dans le long cortège, outre les 1111-^îrtantes délégations des joueurs de1\SC du personnel de la maisonGrosso, du Comité d'F.ncouragement,t du groupement des quartiers CentreFsl GamUtla, nous avons remarqué :M Nouveau, maire; MM. Hode. Fs-onle Kuas Sarainilo, Vassiaux, con-

,,.,|lers municipaux: MM. M»uri«Maire, Ilaillard, et Galdirola, conseil-lers municipaux de la Napoule : M"11,-guet président de l'A.S.C. ; Hubert.

cc-f résident: Dr Jean Gazagn;1 maire ; MM. Ferdinand Bret et

Vulal anciens présidents de l'A.S.C. ;\ntoiii ancien adjoint. Gandolphe.Dolla Kibotty. l'emssol. Bourély.Ilouvier. Heymond. anciens conseil-lers municipaux: M. 1-aurens, prési-dent du Tribunal de Commerce de

MM Téaldi. directeur île La fin-•elle M1™ et M. Buchard. directeurde l'agence du Petit .Vif»" : " A " "drau codirecteur de l'agence de\ Kclaireur : Mrel'et M. Tasso-Buchard;cap Coscioli. président du SouvenirFrançais" ; Joseph Merle, juge au Tn-bunal lie Commerce ; I.. Baussy, Sé-néca l'oési, C.iraud. l hay. Campana,Hussat, lioupou. l'crrot. Issaurat,i;erman, Gavault. Beaussy, Seren,r«o Jouan Doraergue. Keboulin,\Vegrove, Dubset. Van den BruRge.M", (arlier; M. et M»- G. Coin;M»" c rotte-Julian ;

MM Vidal, H. lsnard. Brun. F. Flo-ry ] Uaphélls. M. Fioupou. JeanViala. A. Baussy. Sarlin. F.. Caisson.F l'anlucci. A.Mourgues. J.I 'apan,F Kelmflel. A. Gavault. J. Sauvait,Sonnerai. Saumier. Savournin, Kom-tan, lïmothce. K. Laurent, E. Challot,Marius l'ortr, e t c . .

I., cérémonie religieuse M- .leroulaen léglise Nc.tre-1 Mme de lin. Voyageet après 1 absoute, le cortège se remiten marche vers le cimetière du Grand-Jas. où eut beu r.nhu.....t.on dan» un<aveau de famille.

/ pas.armement à,,ui "Vml lo<a\

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<|e Grasse1 ue Hoche

AÉRO-CLUBI.'Aéro-Club de Cannes a tenu sa

réunion hebdomadaire le mardi 3 sep-tembre, à 21 heures, à l'Hôtel Carlton,sous la présidence du Colonel Chape-let

Coupe Hitine Boucher. — Ix Colo-•1 Chapelet fait le compte rendu de

l'arrivée à Cannes de cette épreuve etdes diverses manifestations qui sui-virent, et remercie tous les commissai-res plus particulièrement M- Sittler,qui assura le contrôle technique dePépreuve, et M. C!aillol de Poney, qu.s'occupa avec tant de soin et d'activitéde l'organisation des diverses récep-tions.

I.e président donne connaissancedune lettre de l'une des concurrentesde la Coupe. Miss Béatrice Macdonald.

Exposition des souvenirs de l'avia-tion à Paris. — I es membres qui au-raient des objets susceptibles de figu-rer à cette exposition, organisée a l'a-ris, en novembre prochain, par M. l'in-génieur I*itois, sont priés de le faireconnaître au secrétaire le plus tôt pos-sible en indiquant la nature et ladimension des objets, ainsi que lavaleur pour laquelle ils doivent êtreassurés-

Monument A la gloire des ailes fran-çaises et a la mfmmre du capitaine J,anChampsaur. — l'ne maquette du mo-nument, due au sculpteur ttouraine.est actuellement exposée au l'aimHeach. L'Aéro-Club vient de recevoirune souscription de ioo fr. de la tom-pagnic Air-France.

Secrétariat général. - Ont été ins-crits comme membres nouveaux :M»"1» Andrée et Jacqueline Clément-Hayanl ; MM. K. Keita, J '" IHunontet Haron WauthitT.^

Fn réponse au télégramme de con-doléances qui lui avait été adressé.M le consul de llelgique a envoyé auprésident de lAéro-C.C. la lettre sui-

Xa ." Monsieur le IVWilent. je voussuis très reconnaissant des condoléan-ces que vous avez bien voulu m "adres-ser au nom de votre Club. Croyez bienque j'ai été très sensible a cette mar-que de sympathie envers mon pays.Veuillez agréer, Monsieur le Président,avec tous mes remerciements, l'assu-rance de mes sentiments les meilleurs(Signé): Willy l.amot, consul de Bel-gique. •

Le Docteur Georges ReyDircdmr <lc- Serj-ûet d'Uvgiiiut

est /ait Chevalier

I.c l>r Georges Rey est né à Saint-Vallier (Drôme), en 1877, et, après 4e

es (.'•tildes, il obtenait, en i<)«i, sontitre de docteur diplômé de la Facultéde Médecine de I.yon.

Pendant les dix premières annéesde sa carrière médicale, le Dr Key.médecin de l'Assistance publique deLyon, compléta ses connaissances danscette partie si importante qu'estl'Hygiène ; et, ainsi, dés sa nominationà Cannes, il put s'employer avec zèleet science, au développement du ser-vice dont il avait la direction.

l>c nombreux titres sont venusprouver la confiance accordée à savaleur. I-e l>r Key est, en effet, officierd'Académie, au titre de membre duComité de patronage de l'Ecole pri-maire supérieure de garçons : il esttitulaire de la médaille d'argent desEpidémies ; membre de la Commis-sion départementale d'aménagementet d'extension des villes et villages(section yermanente) ; fondateur etsecrétaire général du Dispensaire d'hy-giène sociale de Cannes ; membre duBureau technique de direction de l'Of-fice départemental d'hygiène socialeet de préservation anti-tuberculeusedes Alpes-Maritimes ; médecin chefdu service médical des écoles et duservice social . membre du Conseild'administration de l'iruvre Grancher(section des Alpes-Maritimes) ; mem-bre du Conseil départemental d'hy-giène des A.-M. ; membre de la Com-mission sanitaire départementale ;membre de la Société des experts chi-mistes de France, et de nombreusesassociations médicales et d'hygiène.

En lui donnant le ruban rouge, leGouvernement de la République cou-ronne trente-six années de servicescivils et militaires.

Nous nous joignons aux nombreuxamis du l>* Georges Key. pour luiadresser nos très sincères félicitations,

Enquête de Commodoet Incommodo

1 e Maire de la Ville de Cannes donneavis au public que. par arrêté du4 septembre 1035. une enqujte estouverte relative à la demande deM. Fillioux. administrateur-délégué dela Société "Cannes-lîaliiéaire",tendantà être autoTiséà aménager un abri pourcanots en fermant, sur une longueude 30 mètres, la terrasse en bétonarmé qu'elle a construite sur le do-maine public maritime.

\ cet etTet. les pièces du dossierrelatif à cette enquête seront déposéesau secrétariat de la Mairie, bureau desfinances N» ». pendant 15 jours con-sécutifs, du il. septembre m.15 au1 octobre l'Jtt et. pendant ™ttcl Pé-riode elles seront communiquées auxpersonnes qui voudraient en pconnaissance et présenter, « "

• T . " ^ ce délai. M. Itan.pard Henri, architecte à Cannes, rece-vra à la Mairie, pendant trois joursles 3 A et •> octobre io.1V en qualitéde commissaire-enquêteur, les récla-mations qui pourraient être formuléesà ce sujet.

p n d r e'il y a lieu.

.t uiit<» tillesil. titulaires«li- , • , . n.male desretraite^ ,iya..t ticvé une famille nom-breuse.

l'our concourir a l'attribution de cesdota, les candidates et leurs parents•V.rint rétmir les tomlitioits suivan-

.levm a v i ren «lchurs

i lesltetrai-

a(filiation à un système collectif deretraites, des versements a la CaisseNationale des retraites pour la Vieil-lesse.

" II ne devra pas être assujetti àl'impôt général sur 1« revenu.

3" La jeune fille à doter devra appartenir à une famille d'au moins troi;entants vivants, être âgée de moin!de quinze ans et n'avoir pas bénéficude l'une des dotations accordées aucours des années précédentes,

Dans le cas où plusieurs sœurstrouveraient dans ICH conditions requi-ses, la dot serait attribuée a la pijeune. I-a sœur cadette d'une jeunefille déjà bénéficiaire d'une dotationaccordée au titre îles années précéden-tes ]ieut donc être admise à concourudés lors qu'elle remplit les conditionsexigées.

Ivn outre, si la famille comprend aimoins cinq enfants vivants (et àdéfaut de sa-ur cadette), la plus jisœur aînée de la jeune fille dotée de>puis au-moins taoU ans pourra é y 'iiit-tit i-ti1!" admise à um-ourir <1<Iles mêmes conditions si. depuis 1>le père (ou la mère) a poursuivi «esefforts de prévoyance.

I.a Caisse Nationale des retraitesversera à la Caisse Nationale d'assu-rance en cas de décès sur des livresde capital différé, la somme nécessairepour constituer, au profit de chaqueenfant admis à la répartition, un capi-tal de i.000 francs, payable quandl'enfant atteindra 25 ans.

Les demandes des postulantes se-ront examinées par la Caisse des Dé-pôts et Consignations et les dots serontattribuées dans la limite des créditsdisponibles en tenant compte :

1" Du nombre d'enfants;2° De l'effort de prévoyance des

parents,

1-es personnes désirant concourirpour l'attribution en 1035 des lotsdont il s'agit, devront remplir unedemande et l'adresser au DirecteurGénéral de la Caisse des Dépots etConsignations (56, rue de Lille, àParis - 7e arrondissement) au plus tardle 30 septembre 1935.

l.es imprimés de demandes sontdéposés au secrétariat de chaque mai-rie où les intéressés devront se présen-ter pour les retirer.

I-es visiteurs officiels félicitèrent vi-vement les artisans de cette œuvresplendide.

Puis, sur le terre-plein, personnali-tés et invités s'installèrent et tour àtour prirent la parole :

M. Koubert Alban, qui remerciaM"" l^uis-Dreyfus et toutes les per-sonnes présentes puis expliqua les buts;le l'Amicale. Il dit sa joie d'avoir réa-lisé son projet et remerrin ses colla-I

Chambre de Commercede Nice et des A. - M.

Avis relatif mt\ examens pour ta déli-vrance du diplôme du Gouverne-— ment de géomètre-expert —

mètre-expert s'ouvrira le 21 octobre

l'Enseignement Technique, 5*reau), jusqu'au ao septembre

bu-"935

M. Jean GANDOLPHEconseiller »

t est fini chiLégion i'Ho

ùci pal•ulier de

On attendait cette nouvelle, car lesqualités de Jean Gandolphe et lessympathies qu'il compte parmi la po-pulation le désignaient pour cette ré-compense justifiée.

Jean Gandolphe est devenu, depuisplusieurs année*, une physionomie po-pulaire de notre ville.

11 est né à Mouans-Sartoux lei« août 1880. il fit de bonne» étudesa Grasse puis, en i*M, entra à laCompagnie des Tramways de Cannespour y rester jusqu'en IOJO et termi-ner une carrière bien remplie avec leixiste d'adjoint à la direction et avecle titre de président de la Société deSecours Mutuels la IVévoyance desEmployés de Tramways qu'il avaitfondée en iyo8.

Jean Gandolphe, en m\i, avait étéappelé par André Capron aux fonc-tions de conseiller municipal, il dutse maintenir jusqu'en 102g à cettecharge par sa popularité qui émanaitde son souci de bienfaisance et aussipar ses créations d'oeuvres sociales.Car il fut un des fondateurs de laCaisse des Ecoles, depuis 1025 il estadministrateur du Bureau de Bienfai-sance et secrétaire du conseil d'admi-nistration de la Caisse d'Epargne.

Il sut, au moment où André Capronn'était pas réélu, rester l'ami de celuiqui avait été pour lui un grain-1 •—*—et lui apporter jusqu'au dem:tout son dévouement affectui

En 1032, Jean Gandolphe étaitréélu conseiller municipal et demeura

r jour

. la ma [> jusqu1 pas pri!

~iînfin Jean Gandolphe est depuisdécembre " ' "" '" "' ' "lant de nDreyfus,des preu

rcs élections auxquelles ilpart comme candidat,

l'auxiliaire le plus vigi-tre député, M. Louis l,ouis-uiquel il donne chaque jourt-s de son intelligente cilla-

. tant pour les travaux util*--*à la ville et à la région que i".m nui-bienfaisance aiKindanti'diî.tnl.ucr ave.clairvoyance.

Jean C.andolphe est titulaire de laMédaille .l'honneur des chemins deter <le !" Médaille d'argent de la IVô-voyance Sociale, il est Officier de l insmiction Publique.

11 méritait vraiment d'être fait che-valier de la I-égion d'Honneur.

Nous applaudissons à c«- «este duCou venu- ment de la République etnous présentons a M. Jean C.andolphenos très sincères félicitations.

Nos Concerts

HARMONIE MUNICIPALE

I.e concert qui terminait, dimanchtune belle journée de braderie, avairéuni sur les Allées, tout ce que laplace pouvait contenir de monde, assisou debout.

Il faut dire que l'opéra Manon, deMiissenct, est un des chef-d'œuvre^.lu maître les plus goûtés du public,et les fantaisies arrangées par Girencique jouent ordinairement l'Harmonieet dans lesquelles se font entendre lesprincipaux solistes : piston, tromboneet baryton, ont toujours beaucoup desuccès. Dimanche, nos solistes 01pour cette fois été détrôné* et remplices par des artistes de chant.

M"»* l-'locia a tout ce qu'il faut ]>oifaire une Manon parfaite : la beautla jeunesse, la gr.ue. comme le chanteDes Grieux, et nous ajouterons aus; 'une jolie voix convenant exactemerpour l'interprétation de ce personnag<l.es duos avec Des Grieux, Cotlou,chantés avec des accents débordantsde passion ou de désespoir, déchaînè-rent les applaudissements.

M. Giorgetti qui est, maintenantun chanteur habituel de nos concertsa fait admirer son beau timbre d<baryton dans les airs de l^scaut e'comme d'habitude, le concert se termina par um- ovation au chef et au)interprète;..

Champ de Tir des Terriersà Nice

I * Général Mollard, comniand'armes de la place d'Antibes, >munique à M. le Maire de Cann< > lanote suivante à la date du «) septembre 1935.

Monsieur le Maire,J'ai l'honneur de vous prier de vou

loir bien (aire connaUte aux habitant.de votre commune que le champ de t,des Terriers, sera utilisé tous les mariet jeudi de chaque sem • s '••"'du 16 septembre.

,'griêr. >-•<

SERVICEJVHYCÏÈNE

II a été M H par les Services .l 'Ily-giène .le la Ville de Cannes, pendantk- mois d'Août M H

Vuimles. — Ifci-uis: 237 kg. plus1, foies et pouniMi \Vmi\ • 1(14 kgy«> grammes " n i n n :Moutons: 1 p... " kg-de f o i n : l'ois*. u,.tes).

fruits. —• 1 •> <ï kK.de prunes ; 250 ' •' k «d'abricots ; 71 V ' ^de pommes ; 765 K" ••> 1 • • i*'1-^-de raisins ; 154 ktf- de iwiutnes ; 311 ky:.d 'amandes ; 7 k>?. l i ^ ' r s .

Légumes. — 8 kg. haricots ; « k^jwivrons ; 30 bottes de céleris ; ,l" k ^do poireaux.

I l " , H , ; , , , , , , - , „ . . ! , „ , , • , , „ - V , U . . . . . . - , ,

souhaita, en passant, que soit crééeaussi une colonie ]>our les adultes.Avec éloquence, il brossa un tableaudes résultats obtenus par les collec-tivités. M. Palo attira l'attention desdirigeants de la colonie sur la néces-sité d'étudier la technicité de l'orga-nisme par le concours philanthropi-que du corps médical. Enfin, il précisaque le problème des cures estivales estdouble : problème social et problèmemédical. Ses dernières paroles vont ala Mutualité réalisatrice, indivisible,à la Mutualité familiale, sociale et pré-ventive dont les cures estivales sontune des formes les plus originales etles plus favorables au problème de lanatalité, à ta protection de la race, àl'hygiène sociale, a la santé publique.

Ces paroles furent chaleureusementapplaudies.

M. Gaslaud, maire de Tanneron, ditensuite sa joie île voir s'ouvrir sur leterritoire de la commune une colonieenfantine. Il déclara que les enfantstrouveront ^ Tanneron repos soleil«•t IK,U .u,. Il midii hommage auxéali^iti-un.. partitulièTvmcnt à M. Al-an Koubert, qui ne ménagea ni sonemps ni sa peine, exprima la recon-laissance de la municipalité pour le•noix de sa commune et souhaita lalienvenue à tous les petits colons mu-

M. Gastaud invita, en terminant,ous les élus à venir en aide à l'œuvre

et à examiner les possibilités d'amélio-ation des routes.

M. Camoli, président de l'Union dé-partementale mutualiste dy Var, di1sa joie d'apporter le salut fraternel des

ilistes de ce département et parlades nombreuses difficultés que rencoitrèrent M. Roubert et ses collabonteurs.

Après avoir expliqué le choix de lamniune de Tanneron. M. Camoli

exprima à l'Amicale et Mutuelle desChauffeurs Franc.ais de Cannes tout<sa reconnaissance pour avoir asla Mutualité Varoise à linaugunde la Colonie. 11 souhaita que l'exemplisoit suivi pour le plus grand bien dil'enfance, et adressa des paroles aimablés à M""" lioubert qui, avec touison cœur de maman, aida son mpour la réalisation de son rôve. Apavoir remercié la municipalité de T;neron pour l'aide efficace apportéedans toutes les démarches entreprisesauprès des pouvoirs publics, M. Camolforma des vœux pour la prospérité dela colonie enfantine mutualiste.

Tour à tour prirent encore la paroliM. Tallcnt. conseiller général, qisura la mutualité de son entier dévoue,ment à sa cause si belle : M. Bcraanau nom du Grand Conseil de la Mutualité, et enfin M. Ixuis Allègre, Tactif secrétaire général de l'Amicale, qiexposa les buts, les résultats et liprojets de sa société.

Sous sa direction le chœur des peticolons chanta "I.a Vaille des Chauifeurs" dont il est l'auteur, accompagipar le jeune Scorcioni et son frère.

M. Allègre dit ensuite avec talei"l.e Héve d'un Mutualiste" et "IKt-vc devenu réalité", do sa composition. I! recueillit dechaleureuxapptodisse ments.

].es chu'urs des enfants chiintèrenencore "Réalisation", "Inauguration'qui leur valurent les applaudissemen'de l'assistance.

P11N M11" Simone Koubertune superbe gerbe de Heurs a M«"Emmy 1-ouis.ltreyius et M"" Jeail>armus, au nom des petits colonsadressa un compliment a M. Houbeien lui remettant une gerbe.

M m" Emmy l.ouis- Dreyfus distribiensuite des diplômes d'honneur demutualité à MM. AIU111 KoubeiIxniis Allègre. Belloneet Lucien FauiUn triple ban fut battu en leur honeur, tandis que Mmo I-ouis-Dreyftfaisait une ample distributionfriandises aux enfants et recueillide toute l'assistance des félicitatioutrès vives pour son aimable gesti

Cette belle fête s'acheva gaieiet au crépuscule eut lieu la dUlocatirNous sommes heureux lie nouscier aux félicitations des personnalitiofficielles pour la réalisation dea-uvre admirable qu'est la c<enfantine mutualiste de Tanner

1 final pour

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. compagnéeslentaires prévues à

irticle 17 de l'arrêté précité.Cette communication annule, en cel'ils ont de contraire, les précédents

L'Affichage du prixdes marchandises

De nombreuses réclamations «irvenues à la l'réfecture des Alpes-aritimes au sujet de l'inobservation

le l'affichage du prix des marchandi-

Le Commissaire Central rappellen'en vertu des décrets et arrêtés enigueur, les denrées alimentaires, ainsiue les produits naturels et manufac-irés, à l'exception des objets de luxe,livent rtre cotés en chiffres connus.!).-> dispositions spéciales obligent

s boucheries et les charcuteries àifficher leurs prix à l'extérieur et àintérieur, par catégories de morceauxI>eux inspecteurs de la Sûreté, spé-

ialement affectés à la répression desraudes, feront des visite» sur les mar-i é s et dans les magasins, et relève-

mt les infractions commises aux finsde poursuites judiciaires.

I.es intéressés sont donc instammentpriés d'observer la réglementation del'affichage des prix.

A quoi reconnâit-on uncardiaque

susceptible, pourvu qu'un prenne soinde lui. de procurer un long et loyal

tion avait été dépistée en•vrait à même de prolonger

-t.- juins jusqu'à atteindre un âgeparfois fort avancé.

Donc, à quoi reconnaît-on un car-diaque ?

C'est à cette question que réjxmdle 1" K 'VHfrnm;nv de Kruce dans1.- ' ' •••• de Guérir.!.. u.ition Mé-1I1 ' vin articledt ... 1 K-.. • ,.i il lonvtenf1

de lire avec attention.I>ans ce même numéro de Guérir.

il faut lire également les remarquablesétudes suivantes :

I.e Quinquina. - I.es Kffets de lachaleur sur les nourrissons. - I,a Cata-racte. - Arnold Kikli, inventeur dubain d'air. - Culture physique; pen-sons aussi aux membres. • Médecinesportive : puis-je faire de la moto > -Manière de prendre la température. -I.es pellicules, prélude de la calvitie. -I..i licsftnte de matrice. - I-es grandes

1 i-iii|i).ii^ de Guérir : le tram médicalîle-, ihi'tniiiots de l'Etat. - I es écoles

| tic piciu air. - l,es groseilles. - l'ne' "uiticme plaie d'Kgypte : la Uilhar-

iose. • I.a hernie crurale et son traite-ment chirurgical. - I-a race française :;s étrangers et la greffe m ter-raciale. -au se ne médicale de quinzaine, e tc . .Guérir est en vente chez tous les

marchands île journaux au prix dft1 francs. A défaut, envoi franco*"Guérir", a bis, rue Keppler, l'an»(16e). (Joindre 1 francs en timbres-poste).

A propos des Autobus

I

.Vous recevons ta lettre suivante, quimérite vraiment l'attention de la Muni-cipalité :

Sur le territoire de Cannes, les usa-gers des autobus sont, depuis quelquetemps, sans en avoir été informés,très mal servis.

Pendant de longs mois, nous avion:le droit île prendre, à Cannes, n'importe quel autobus, pour nous rendnsur la route d'Antibes, quartier de laCalifornie ou de la Source, ou pour

venir de ces quartiers,[.es personnes qui trouvaient pluscommodité à se servir des véhiculi

qui passent par la rue d'Antibes. faî- isaient usage des autobus de la Com- |pagnie des Tramways ; les autres pou-vaient employer tous les autobus qui,par le boulevard d'Alsace, se dirigentvers Golfe-Juan. Antibes ou Nice, oureviennent de ces localités.

Mais, la Compagnie S.T.A.K.. laCompagnie T.N.L. et la Compagniedes Tramways de Cannes, ayant fu-sionné-, il a été interdit aux chauffeursde la S.T.A.K. (c'est-à-dire des carsqui reviennent de Nice ou Antibes,)de prendre des voyageurs, après l'arrêtde la Source, en face du boulevardKugène-C.azagnairc.

En sorte que le client d'autobus quiest à la Californie et qui veut rentrerà Cannes, voit défiler devant lui denombreux autobus qui ne s'arrêtentpas et n'a que la ressource de prendreles autobus bleus de la Compagnie desTramways, qui passent seulement tousles quarts d'heure. Ces autobus sui-vant la rue d'Antibes, il est impossible

autrefois, directement au boulevardCarnot ou dans les parages du boule-vard d'Alsace.

(>r, chose incompréhensible, les au-tobus de la S.T.A.K. prennent, au dé-part de Cannes, des voyageurs pourn'importe quelle station, que ce soitle pont Carnot, le boulevard d'Alsaceou la route d'Antibes.

Pourquoi est-il donc permis de fairelé trajet dan» un sens et pas dansl'autre, et qui peut imaginer cetteanomalie }

Si I» Compagnie des Tramways deCannes s'imagine, avec ce procédé,faire plus de recettes, elle se trompe,parce qu'elle mécontente beaucoup degens et qu'ensuite .les voyageurs quipourraient facilement user de l'auto-bus sur toute la longueur du boulevardd'Alsace et même sur le pont Carnet,pour aller à L'Hôtel de Ville, par exem-ple, abandonnent l'idée d'aller pren-dre, dans la rue d'Antibes, un autobusqui passe trop rarement.

II y aurait un bon moyen de remé-dier k ce mauvais service, soit en rétablissant la faculté de prendre lesautobus de la S.T.A.K. sur tout leterritoire do la ville, soit en créant unsrr\R-r des autobus bleus de- la Compagine des Tramways, qui desservi-rait le boulevard d'Alsace avec despassages plus fréquents.

On est bien en droit de se deman-der si la suppression d'une concur-rence doit desservir le voyageur, et si,avec le grand nombre d'autobus CIT-culant dans notre ville, les Cannoisdoivent être contraints de parcourirle territoire urbain « pedibus cumjambis..

Veuille/ agréer...V» Groupe d'Usagen

des Autobus.

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