journée internationale des doits des femmes : compte-rendu
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La femme que j'essaye d'être là où je pose mes pasC'est l'homme que je suis qui lui ne me suit pasJe perds des pans de mon animalitéJe gagne des flûtes que j'imagine alitées.
Quel paradoxe, cette journée de la femme ; des droits des femmes.Revendiquer une égalité entre les sexes, mais mettre l'accent sur la disparité.Alors oui, il me semble important de montrer du doigt ce contraste flagrant.
Un petit bout de chromosomeFait toute la différence.Part manquante fantasmée,Désirée,Redoutée.Unique et innombrable moitié d'humanité.
Je ne vois pas pourquoi il faudrait avoir honte du féminisme. Certaines femmes ont changé ma vie. Je pense à Simone de Beauvoir, Simone Veil, Jane Austen et ces personnages indépendantes. Je pense à ces affaires où des femmes se sont défendues, d'autres dont elles étaient victimes mais paraissaient coupables.Tous ces livres, ces films, ces personnes anonymes qui osent aller en justice lorsqu'elles se retrouvent victimes de viol, d'abus, d'humiliations.Pour elles, non ; je n'aurai jamais honte d'être féministe.
Chaque individu doit être et rester libre dans ses actions, ses pensées, ses paroles.Quelles que soient les circonstances de la vie, nous devons tous être égaux, car nous sommes tous des êtres humains qui vivons sur la même planète !
Croire en nous et aux autres…Cela devrait suffire.
La malice, tu esquissesDe bonté habitéLa générosité,
Toi, tu l'as inventéLa violence, jamais tu n'y penses
Ton esprit, et ton parti prisLa douceur peut faire peurDe tendresse, tu te dresses
Ce jour du 8 mars, tel un strassTes qualités a camouflé
Une date n'est pas adéquatePour un débatQui ne doit pasFaire de débat.
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Âme, tu pleures, tu saignesDans tes larmes tu baignesIl fait froid dans ton cœur
Où est donc ton âme sœur ?
Tu es forte et tu es lasseDe la glace entre tes seins,
Tu attends mais rien ne vient,Le sang coule et le temps passe.
Une fois de plus, une fois de tropDes cicatrices plus qu'il n'en faut
Une dernière, tout au bout du brasL'eau se fait rouge, fin d'un combat.
Tu l'as aimé, le temps d'une blessureTon corps est froid, et l'eau te rassureTu embrasses la mort, dernière amante
Une dernière berceuse, elle chante, tu chantes.