jésg iuârd - bmsenlis.combmsenlis.com/data/pdf/js/1906/bms_js_1906_05_06_mrc.pdfaimée. — if*...

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aimée. if* $4 * dâQ GBNTHIBS r- w C^Q CENT11IB9 Rar^ss^t le Jeudt et le Dimanchè. IDE SENLIS Rédactetff en dief b IBS^EnüROZ. Dmanehe 6 Mai 4 Paraissaint le Jeudi et le Olmanche^ ^ • taBictOlnb AHtMiÿ !&*■•••■Aa*s*(«a> S fr> 9 £x noû.'. ...... 4fr. Sfr. O m gUm oi» n s D r»»»» Ai Jeond «t (fra* tons les borcaBX da posta. — X'iboonemaiU est paipa^ ffassBca al contiaiisde plciadrcît jù^*& m ^tioa d'isls contzaira. '^Ê^^ÊBSbi Zai .AfroimamaBte jianaas db en da iS <to efragaa mets. BtlBMPX. RËDAG l^ N & ADMPaSTRATION S£N1<1S - 11 , Raee de WIM#» VHlc, 11 'SEBri.lS a.» 4 I^mamt9eritLbts£r£*wiiàii^ 33BB ixrsBBo^ioxrs : Annonces Ifcales ftSO c. la ligne. I Réclamas.................... , .... ;... 0 3 0 c.friBgaa Annonces Tolontaires ................ | dira^................................ | ’fp, . -«S OHh'acckptk Pas n'crsEBiros AC-®Essoirs db i fsaxc neats sczn rceoes dÎBectçmr|i^ l«es auMMKOSj rédames, etc^ eonceniant Pans etles Dé» *..-7'^ T .A . ig - 1a 1' ^ i * ~ ~ S^M *■ -- - - * 6 AUX URNES! PAS D’ ..Làtlr :>••'■. f Première Circonteription : V otez p<|HP M . fieoR gos AUOIfilER. Estions ligislatives JKJ « MAI 1906 •’Js' '•'i* - GmiUdet RéjrubUeain l ” CIRCONSCRIPTION CknaoQler maoicipal de. Sonlis, Sépaté sortant. ♦ - -• 2* CIRCONSCRIPTION Candidat Républicain jésg T iuârd ConsefUer général de l'Oise- Oépnté sortante Senlit, le 5 M ai 1906. AUX URNES! K l’heure où nous écrivons.ees hgnesi quelques instaats s a le ment nous séparent de l’ouver ture dn scrutin. A la fin de la période électorale au ccrars .de laquelle nous'avons dédaimë lés injures et les calom nies, u noos est permis plus que jamais de compter sur le ^ u sens, le patriotisme, le .républi canisme des électeurs. lia'cause est entendue, ie public est édifié ^ r les tristes événements du jour qui sont les cdnsétmençes de la politique des r é d ^ ù i- socialistes. La victoire de nos .candidats républicainslibéraux eslàssaxée ; BOUS ne fntins à persoi^ie l’in jure d’en d(wter im sBmTmstcmt. Les séhatôôrs' ridyâlLX ï de rOSe ontienVvain dôaôé^Iebr ctampille aux candidats blo- eards ; c’est an conteai^ ce -qni mettra en éveil les cHôÿehs sou cieux de sauvegarder .UPS i s o lations républicaines, nos droits et nos prérogatives. Eiecteors ! lu nom de vos intérêts les plus chers et- des prindpes véri- tablemoit démocratiqiK^' vous voterez dans lapr^nièrecircons- CTiption de ..jSsnIis .pour M . délité rorixiu, par son. entier dé- yonement à u cause républicaine libérale, mSife pfins '!^e jamais la œnfiwce dmtf .ymis honoré il y quatre ans. Dans lay urconscription, vous voterez pour M. Jnles G ILi- L> ARD, député sortant, et ainsi vous enverrez siéger à la Cham bre un député dont le long passé politique, les nombreux services rendus à la cause des travailleurs et les hautes vertus démocrati ques ont fait un homme popu laire qui a su conquérir j ’es time et la sympathie, même de ses adversaires politiques. Electeurs ! En votant pour ces deux hono rables députés, les ardents défen seurs de nos libertés, vous bar rerez la route aux .radicaux- socialistes qui, par leurs compro missions et leurs alliances avec les internationalistes, les sans- patrie, les antimilitaristes con duisent la France à la ruine. En votant contre les sectaires du Bloc vous contribuerez au triomphe de la République Libé rale et vous rendrez à notre nialheurenx pays courbé sous le joug de la Franc - Maçonnerie lé calme, la prospérité à l’inté rieur, sa grandeur et son prestige aux yeux de l’étranger. Electeurs ! A mx Urnes ! Pas d’abstentions ! Votez tons pour le candidat républicain libéral e.tprogressiste de la circonscripfîbn. ’Wive la RépaUiaae Eiibé- raie ! L odp BE.ITROZ. PAS D’ABSTENTIONS ! Nous sommes absolument cer tains, d’après tous les rensei- gnemenis gui nous parciennenl de différents côtés de Varron- dissement,.du sucrés rfeHM. AUDIGIEK et G IILiL.4RO, au premier tour de scrutin avec une majorité imposante. "i Pais.d’abstédtioi& ! Un dmeners deM C/em»ne»m f I y on. — U. Clemeoceaa apcwoBCé jen- di, a Lyon, nn grand discours^. d c ^ noos exUayons les passages soîTani»: •- / . Le ministère ' 'I < Des modérés d’action ^ ont aliandon- »é le» laedéfés dlaertie. des aüicanx, des radicanx-socialistes, an aoâeiste - même,' ont pn se réonir, soas la présidence d'nn ferme répoMicain uniTersellement honoré, ponr constituer nn gouvernement de défen se républicaine ; rôle modeste qui nous in terdit sans doute des ambitions sublimes, mais qui nous laisse la charge de consacrer tous les edorts de l'heure présente à main tenir les conquêtes républicaines comme' à préparer les voies pour des conquêtes nouvelles. 1 ! i>>'ul de nous n'a rien renié de ses opi nions, mais les violentes manifestations de la crise actuelle nous ont inspiré l’incbran- lable volonté de faire tous ensemble face à l’ennemi, pour sauver d’alxtrd des entre prises de domination de l’Eglise ou de la monarchie ie bien commun de tous les Français, la liberté républicaine déjà fon-, dée, la justice sociale en devenir. » I 1 L’affaire marocaiae M. Clemenceau se félicite en ces termes de l'heureuse solution de l'afiaire marocai ne, i « La Conférence d'.Mgésiras n’avait pas encore abouti àdissiper le cauchemar d’une pais européenne troublée par l'incursion inattendue d'une puissance non méditerra néenne dans la Méditerranée. .Aujourd'hui, l’oubli commengp à se foire, trop tôt peut- être, sur les émotions d'un si récent pass-é. t .Avec le concours de nos alliés, de nos aînis, j'ose dite qne nous nous sommes ti rés de ce pas dlfhcil?, à notre Iwnneur. Nos intérêts essentiels ont été sauvegardés, la diguitâ de la France est demeurée intacte, grâce au gouTernement républicain. 11nous reste à gard.er dans la mémoire, la leçon de cet inquiétant coup de théâtre, comme amainteniret àdévcloppertous les moyens de défense qui sont la garantie nécessaire de l’indépendance française. Que les senti nelles veillent sur la tour. • j j - Les inventaires ' ; ! A ’oici la conclusion du passage du dis cours ministériel, relatif aux inventaires : ' < Comme j’ai déjà dit à la tribune du 5é-' nat, nous refusâmes la guerre civile qui nous était offerte pour un compte de cier ges et do chandeliers. Mais cela ne signifie pas que la loi ne sera pas strictement ap-! pliquée. Nous avons fait l’apaisement par une modération qui n'était pas sans méri té, mais il demeure entendu que les biens cultuels ne pourront être transmis scion' la loi, qu’aiwes avoir été dûment ïnvento-l liés. » — — ;- --••«&.; • ..ri j Le compiat ''.4> • . Le mouvement a été fomenté » par la dé-' mence des partis réactionnaires, dans l’es pérance de faire renverser la Bépnbliqué par des émeutes dont les forces de-la reac- tiaa sauraient bientôt venir à bout, ainsi que le constate l’une des pièces présente ment aux mains de la justice. Et, pour ag gravation suprême, voici que le retour des saisons noos amenait, arec le mai, la fête printanière du travail : une belle et no-' ble idée;.dont llmpatience de quelques im-| pol5i& sembla vouloir faire une menace de guerre tavile. » . - j t » ;. La répression ' ' ' € Qu’on me dise si saccager les maisons des traraiileurs, piller les fermes, des mar chés, chasser les femmes et les enfants de lâtir /lAmwAtlA trâinop nnA mAlhAnroncA Deuxième CiriÿMerîÿtvm : a V otez p»ar^lH. jp iy g a il l a r d . . jdéiÆirés.snr la placé' p a ^ B é de Laos, lorsque toatsoDcrifflé â td ’aroir téa mari au travail, s’emparer I ifootriefd létenant de la mine; leur met- ! treau front des écriteaux infamants,les 1 aaO i ■unduîlfci' m s les coups, les oon- , tnandre A demander pardon- éfavoirtra-' 1 vaBé .aLpooree crime, à su déclarer ffû- i oàtBti, ^ '« a m e dise siceseatiàdea actes I gglun .y oTeruement ne saurait réprimer ' sais déMnicer [ai-inémé comme un . gouvernement de réacteurs. '1 > Fattends la réponse. Et l’on n’ose pas me répondre, je soutiendrai qu’il est indi gne de politiques sincères d’avoir, peur de dire la vérité aux ouvriers quand ils sc met tent si manifestement dans leur tort et de les rappeler aux principes qu’ils revendi quent si haut quand il sagit d’eux-mêmes ^ u r les méconnaître si complètement quand c’est autrui qui est en cause... . j Conclosion - ' Voici la conclusion de ce long discours ; « Qu’il vienne dn passé on qu’il prétende jégler l’avenir, nous n’avons pas chassé l’absolu du ciel ponr l’installer sur la terre. La République, c'est-à-dire le droit égalitai-, re pour tous, par le gouvernement libre de tous, le droit de chacun garanti par la force de tons : c’est le fond du débat dans une grande ooosultatiQn populaire. 11 s'agit de savoir si'les citoyens de France veulent maintenir, protéger, développer leurs droits, ou les livrer à la coalition sénile de toutes les impuissances. La question est po- sée.aux électeurs de répondre. Nous savons d’avance qu’ils déjoueront une fois encore toutes tes entreprises d’asservissement, — obüqucs ou dîTectes — pour rester fidèles an grand principe de la Uévolution françai se : Fordre de jusUce dans la paix, par la li berté. » à 1 --------------------------- ''ï ATranrs la Pressé A'propos du <»Mai 1 m I La roLc du Pettple publie la protes- j talion suivante du comité de la Confédé- Iration générale du travail : [ i En vue du l«r mai, le gouvernement a mis Paris en état de siège et il a étendu ses j folles mesures de provocation à quantité de centres ouvriers. i t Au ridicule de l’immonde complot qu’il a inventé, il a ajouté le ridicule d'une mobi lisation criminelle. I i i Le pouvoir a-t-il au moins la pitoyable satisfaction d'avoir enrayé l'élan du inôtive- ment ouvrier? Non :... Et quoi qu'il tcnte.il n'y parvien dra pas ; Déjà des résultats appréciables sanction nent les dix-huit mois de cette propagande pour la conquête de la journée de huit heu res, dont le comité coufédéial, mandatépai le congrès de Bourges, a assumé la coordi nation. j L'idée de la journée do hait heures, de la dimiflutiandu temps de travail, a pénétré tous Ira cerveaux. Les plus réfractaires, hier encore, aux idées des revendicatioiis sociales sont emportés par le courant. L’aic- lion engagée par les ouvriers groupés dans leurs syndicats, dans leurs fédérations cor- poratirés, dans leurs Bourses du travail va porter les fruits quiattestercmt la puissance d'un prolétariat trop longtemps méconna et dupé, maisqui, aujourd’hifi, sait vouloir et iFattendqne de sà force propre la réali- lation de son' idéal de bien-être et de li berté. f j: ‘ Les réacteurs de toutes catégories peu vent se mettre en travers,laclasse ouvrière, J çst en noiche vers son émancipatioa —j, rien ne l’arrêtera ! I te dtsonars de H. d éiâi è Ü ^ a n ' ^ Du Radteal, M. -^. M a o j^ ; M j M. Clemenceau a pronoiM^'j un vfiscouts'qdi mérite o'ê*----- i Lÿon, tous tes rénablicains. Qull défiâaele gmmme du cabinet, qu’il'tcaitédealifvea- taires. de la révolte militaire, d tt cécèntés (gnnres do^)rd ot du r ô f e d é la' î^venir de la République, le ‘mmiistre de llntérieur a trouvé de fortes inrôles qui certainement ont été droitau cœur de ceux qui l'écoutaient. . i C'est par une pvomesse de victoire que M. Clemenceau a dos son beau discours. Cett 1 victoire, c’est celle qui consacrera, le B mai la détàitc des partis réactionnaires coalisés. e ir . , i Du Siècle : - ^ C'est copieux et redondant comme du Jaurès : c’est poncif et vide comme du Combes. Il y a de tout, là-dedans. Ce qui se déga^, c’es’t le besoin de sq.justifier<^ac- cusatrons d'incohérence et de palinodies dont il a été accusé. I 11 a eu une mauvaise presse, il Tavouc humblement. Les perfides adversaires de Il faction romaine et les faux amis du so cialisme unifié lui ont créé bien des sou cis ; mais il veillait, et il a tout confondu, les grcvislcs et les conjurés : rien n'a écliapp-éà son regard clairvovant et à sa ré pression sévère. Il a dispersé ceux qui com plotaient et ceux qui intriguaient, et, s’il existe encore un Capitole, ii. réclame l'hon neur d’y monter, escorté par celte brave et loyale armée dont il apprécie tant les ser vices depuis qu'elle a contribuer à sauver la paix sociale et son portefeuille ministé- i* . , Le Fiparoi ' ^ î ~ ’v i i 11 faut posséder, par devers soi, une au dace singulièrement voisine dn cynisme pour reprocher aux libéraux dtivdir semé l’alanne et la pehr. .Ah iis'n'entPrafcht pas besoin ! Cette mauvaise besogne a été faite sans eux et contre eux par ces’émeutiers du Nord et du Pas-de-Calais, par ces insurgés de l’Ouest et du Midi dont nos blocards ont été si longtemps et sont encore an peu les complices. Ce qui a impressionné nn pu blic naturellement impressionnable, c'est le souvenir de ces anciennes connivences, attestées par de trop significatifs enixinrage- ments. I On a douté — et le doute était bien per mis — que certains hommes fussent capa bles d’arrêter une révolution avec laquelle ils ont pactisé et flirté toute leur vie. i Voict les vrais responsables, et ce sont précisément les chets du Bloc. Que les élec teurs ne l'onWient pas ! ^ i LefîqKfôfs, M.L.Desmoalios : ^ M. Clemenceau nous expose la crise,mais il n’indiqué aucun moyen de la terminer ; il se peut qu’il ait des Idées sur l’armée, les finances, surtout la question sociale, mais iLÿige pas à propos de nous les &ire eon-i naître, et son discours, qui n’est à vrai dire qu’un article d’un journaliste plus épris de I AU MAROC / L» latte du Préteadant contre le Saltaa Madiid.—D'après les nouvelles reçues de Mèlilla.'nn triple combat aurait eu lieu sur les bords de la Jfoulouya entre lès troupes du Sultan et celtes du Prétendant. Le.Roght aurait été vaincu et ses pertes seraient de 400 hommes. 1 Il est resté à Selouan d’où il envoie du renfort _ i s—. le-f I I^eFfl’titpfosfrsBe-iDaçoi -I S tain u question de iqa cot< tiahsiejl. (Jiir.pir, V. Docaefa n'aitra (ftiH ce l'ai ait p’ irs par ie de f M c BKç-Hme ie dans les te m » <âer|i- qoes q 18 TOÎci ; , < — La frjEC iD3çosEeriel»’élsût pa«, i on institution, u* e-recfréfrfîM»-; -eéûn onescc’élé pbilact'repique ; une soeiéii d’hommes de bien, visant un but lcrab'a. Quand j’y eaî'ai, je favaii m'affliie.’’ à des imia, à de-' arisans duce idêa saine, d’ase jo iîiquo .e progrès, d-a liberté.; « Pin à peu une t a-nsforEiBlic-n psrni- cieuse s’opéra, et la f arc m.açornvr’e dé viât — et est reMt'e, une coterie, une ca.'ti d’vûptrit'a déiato'’, le bir r.'gîina'ïâ mouchardag-’, du faToritistue, de i’in'er- satiouaiisme. € C-ci n'a jamai;étédaisme»principe^ - i dans mes làéer. « Eh jsnvier f soi j'ai rompu toutes latiors avec les ü- j' e.u is qui IravaiüaiéBt à i'inéanti^fciufi t du valriotisnip, q'tfS ecmprome’i.a'erl rrt'e èé'éîirerati'crim^ € J'ai re;ris uit li'reric rovj. jt^-e c^j^t ’at à la D'é'-j.i"tro de •'haub'iî ccmâe à ta présiden-c ie R?pu> 1q e r f a l rcisp ave ■ la'/ac'.-c .a.onnerie slio d’en finir avec cette cliestè'e déshoncranftS» C'est net et définitif. M. Doomcr a-fit (pé ialilé de. fonnales Ispidsires : la sciectê’e défhcncrarte » va prendre place à côté dn < péril national > et de la- f Bohême mt'faissLle. » LesBadicaDisontao P oqtot Les radicnnx sont au poa» Toir et les paysans voient leur? impôts augmenter pendant que diminuent leurs revenus. Les raslicaax sont aa pos- Toîr et les petits fonctionnaires sont traqués, mouchardés et ré- voqzés. La liberté de conscience leur est refusée et ils sont à lu merci d’une dénonciation calom nieuse. Les radieanx sont an pa<i> Toir et le ministère a fait tout ce qu’il a pu pou r empêcher la Chana- Ére de voter la loi garantissant le secret du vote, afin de profiter de la pression officielle. A bas la candidature officielle .’ Les radieanx sent an pon« voir et larmée détournée de sa mission, est mise en face du peuple dans les contlits sanglants- Votez contre les radicaux ! Votez pour M. Gcorçcs DBGIER. ÎHraxHOH su C O ÏXN tSi V ËtXKBf P») ’■ PA* . SeBzi DBM M SB. ^ PABT1£ m 1 ' IMS JSSSCOJS MABIA6* ICOOTDABI fjOim or . ^ * i Lêjeone homnie s’était montré, toor à jom&iy fiadrn» < été OLveloppant, eanleleux, ri. nn moment, terrible. — Le drôle ! avait pensé*dtee Fey- roUes. Il est plus fort, eaeace, ^ne jen e le pensais ! Allons î je suis roulé ? accep tons et 'aisons bon visage. Je n’ai rien i à lutter davantage, au con.- trérelAh lia Canaille î Comme il aÔait lêpiMidFe, on .firappa &la porte dn cabin^ — Entrez I cria M. Tanala Un valel'parct et dit : —IWbiBelBitfceiBtfcier. saaolBtaâe ponr tie. vi.îi ev >î<,. beaucoup mieux.'Enepne Monsieur de ne pas quitter l’hôtel sans l’avoir vue. Bien ! fit le jeune hômine Dites à Ma dame que je suisà se?ordres. Le valet se retira. Cependant M* Fe^oUes s’étaU assis devant lebuftiâu. à f a p l^ occupée, un instant auparavant, par son débiteur. Il avaitpm uHe^uaie'ef 3 aviut ac quitté son compte. — J e suis beau jouenri fit-fl, miand il se retrouva seul avec M. Tanala. Xai perdu ! Je paie i Une autre fois je me garderai tnieux r E t il se leva, souriant. M. Tanaifrzépr^ sa place, saisit la piumeèsoBtoorjets^aa nn reçu de soixante miOfifrûcs, qq'3 remit an no taire, après avaic constaté que la quit- tancfr é te z z^ie. — Nions sommes quittes! dit-il, le plussérieuaemmitda meodc. Toutefois, je reste votre obligé! En vérité, cher maître, c’èst un jplaisir réd que de trai ter avec vous. NW s ferons encore des afiakes ensemble. Quand vt>n? voudrez JeTeste tout à vo*re disposition; mais dans d’autres conditions ! A présent, je me sauve ! Il est tard, il me semble, et j'ai deux visi tes Afidrie' avahtlfe dqeuaer. A bientôt, mon cher ! 'Ab! -voas irec loin : vous ^es umaslm V'- A demâhLçzrje compte toujours sur vous pdtkr'iÉre mon t6aom ? — Parbleu ! Je suis trop fier de l'hon- neur quc voas m’aoez-faiten me eboi- sâH tm oorvo— ^asisïaler en ce jour soienno f A’dêaiw ! Mes hommages à madame je 'Vous pne ! — Merci 1 Les deux hommes se serrèrent la main et maître Feyrolles sortit. Besté seul, M. Tanala alluma une cigarette—il fumait toute la jounée presque sans interruption — et, s’éten dant dans un fauteuil, il pensa ; —Bien joué, comme on dit dans la Tour de Nesles ! murmura-t-il. Pauvre Feyrolles, il me faisait pitié ! Cestégal, je craignms qu’il n’y eût plus de ctirage » Best ■vrai que je le tenais! Oui, oui, bien joué, décidément ! Allons ! tout va bien ! Cette affaire arrangée, je suis maître de la situation ! Enfin ! Lorsqu’il articula ce mot : « énfin >, il apparut, tout à coup, superbe d’au dace et d’énergie ! Ce n’était plus le godelureau, sédui sant autant par sa grâce élégante que par cette nonchalance téline, pleine de coquetterie, qui était la caractéristique de sa personne ; mais un être énergique ambitieux, puissant... même; unhomme qui eût é’é capable de grandes choses, pAt-être, s’il avait été de bonne heure dirigé, s’il avait pu maîtriser ses pas sions très vives et son besoin de jouis sance. Je suis riche 1 pensa-t-il, je suis im mensément riche ! Plus de folies ; gros-, sir cette fortune, devenir puissant, do miner ! Si quelque obstacle se dresse sur ma route je le briserai ! Il se redressa terrible ; puis, ses yeux brillèrent, ses lèvres sourirent, sa tête se courba et il ajouta ; Il n’y a que le premier pas qui coûte et ce premier pas, je Fai fait !... Il le fal lait!...^D fallait que cethommé disparût! Ah ! ce fut ef&ayant!... , Troublé profondément, il s’assit. Le smivenir qu’il avait évoqué lui avait causé une émotion indicible!... Cela lui arrivait chaque foi» qu’il son geait à ce fait : le meurtre de M. Bou- relly!... A présent, tête basse, pâle, comme ef- frave. il tremblait!... f e m’occuperai de cet Oli vierVouraQIe que cet imbécile de Hobin a chassé si so^inent, se dit-âl. Privé de son gagne- p ^ , il s’aigrirait!... La misère l’exas pérerait Ipeut-étre. Il faut éviter cela à tout prix!... Si je pouvais l’éloigner!... 'VoUà ce qu 3 faudrait ; oui, je veux qu’ü s’éloi gne, j’y songerai!... n n’y a plus que cela qui me gêne, à présent ! Quant à ma futaçe femme je la materaL Et, ento, quant à cette en'ant bizarre, cette petite Fifi-, cette créature rêveuse et ro manesque, devant qui je me sens tout troublé, moi, — c’e^t folie, vraiment, — si elle me gêne par trop, je p-endrai, rcontre elle,, les mesures nécessaires. A partir de demain, n aurai-je pas barre sur elle! N e. serai-je pas son père t Dailleucs, pcmrquoi m’alarmer à ce su jet t Je n’ai rien à redouter d’elle, c’est une enfant. C'est égaU nous verrons. 'Voyons, mainienant, ma future emme doit avoir fini de se bichonner. Si j'allais la ■voir ? Je dois lui aire ma cour. Et il ajouta en ricanant : E js c ^ une-fois, on frappa à la porte. C’était le valet, gardien du vestibule. Qae voulez-vous ?... lui demanda M. Tanala. n y a là un homme qui demande à parler i Monsieur...' ' ^ •■ov • Un homme ? Oui, Monsieur ! Qu’est ce que c’est que cet homme ? Je ne saurais le dire, au juste, à Mon sieur ; il a l’air d’un ouvrier endiman ché... M. Tanala parût inquièt. — Son noin t... reprit-il. — Il n’a pis voulu le dire I il prétend qu’il veut parler à Monsieur pour une affaire urgente et grave. Je dois ajouter que cet individu a un drôle d’air. — Quel air î — Ma foi... comment dirais-je ? Mau vais air ! Je crois qu’il n’est pas dans son assiette. Il m’a paru être un ■peu gris. Même, il a une physionomie qni ne me dit rien de bon. L’inquiétude de M. Tanala s’aug menta. Est-ce un homme jeune ? demanda- t-il encore. — Oui, monsieur. M Tanala réfléchit un momect. — Dites que je n’y suis pas fit-il, — C'e-t que .. — Quoi ! — 11 assure que Moa.sieur est ici!... 1! prétend qu'il l'y .a vu entrer. — N'importe ! Dites que je n’y suis pas, et, s’il insiste, chassez-le. Le valet s’inclina et marcha vers la porte. Mais M. Tanala le rappela. Attendez ! dit il. D'abord, demandez- lui SOT nom, et, s'il re'use de le donner, cougédiez-!e. ^ B;e ’, Monsie-dr! Le laquais sortit. . — Qui est ce ? Que me veut-il ? muré mura le jeune homme. Voilà qui est étrange! Pourquoi donc suis-je troublé? Q-a'est-ce que cet individu ituttenter contre moi ? Le valet reparut. — J’ai répété les paroles de Monsieur à cet homme ; alors, il a écrit îon nom sur un papier et il 1a mis sous enveloppe La voici. M. Tanala s’efforça de cacher son trouble au laquais — qui l’observait : l’aventure étant assez étrange pour que sa curiosité fût excitée considéraWé- ment — il prit l'enveloppe, il l’ouvrit et lut ce nom, écrit, évidemment, par une main mal assurée : < Sauveur MouraiUe >, >L Tciaa'a divint très pâle. — Faites entrer cethomme'.’ ordonra- t-il. Et le In'i'-i-ais. stupifaT. sortit. — Sa UV: A, me veu pourquoi ; ms's danger m ?.[urai!i le fils de.. Que e l'.'iudsc-" ! Je ne siî» ne iemble qu'un ce . {A Sidrre.) E- poli, prévenu ; c eorrs.lionreUs I æ préTiJesl — Vous veurz d'enî-oaère le t-inroin A 1» suite è’ure dispute dans un Câfé, vcos »v»a presque assuœrac le plaipnint Acoupa de cm- rafe. Qa’asej.To-is à répocdre ? __ I y eva t lve-t»nïe dérense t „ Lm ■vmit été Iteppée rréalable-seat. *

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R a r ^ s s ^ t l e J e u d t e t l e D im a n c h è . IDE SENLISRédactetff en dief b IBS EnüROZ.

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'^ Ê ^^ Ê B S b iZai .AfroimamaBte jianaas db en da iS <to efragaa mets.

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3 3 B B i x r s B B o ^ i o x r s :Annonces Ifcales ftSO c. la ligne. I Réclamas.................... , . . . . ; . . . 0 3 0 c .fr iB g a aAnnonces Tolontaires................ — | dira^................................ | ’fp , . -«S

OH h'acckptk Pas n'crsEBiros AC-®Essoirs db i fsaxcneats sczn rceoes dÎBectçm r|i^l«es auMMKOSj rédames, etc^ eonceniant Pans etles Dé»*..-7' T.A. ig - 1 a 1' ^ ■ i * ~ ~ SM *■ -- - - *

6AUX URNES! PAS D’ ..Làtlr :>••'■.

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Première Circonteription :V o t e z p < | H P M . f i e o R g o s A U O I f i l E R .

Estions ligislativesJK J « M A I 1 9 0 6•’Js' '•'i* -

GmiUdet RéjrubUeainl” CIRCONSCRIPTION

CknaoQler m ao ic ip a l de. Sonlis, S é p a té so rtan t.

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2* CIRCONSCRIPTION

Candidat Républicain

jésgTiuârdConsefUer g é n é ra l de l'O ise-

O ép n té so rtan te

Sen lit, le 5 M a i 1906.

AUX URNES!K l’heure où nous écrivons.ees

hgnesi quelques instaats s a le ­ment nous séparent de l’ouver­ture dn scrutin.

A la fin de la période électorale au ccrars .de laquelle nous'avons dédaimë lés injures et les calom­nies, u noos est permis plus que jamais de compter sur le ^ u sens, le patriotisme, le .républi­canisme des électeurs. lia'cause est entendue, ie public est édifié ^ r les tristes événements du jour qui sont les cdnsétmençes de la politique des r é d ^ ù i - socialistes.

La victoire de nos .candidats républicainslibéraux eslàssaxée ; BOUS ne fntins à persoi^ie l’in­jure d’en d(wter im sBmTmstcmt.

Les séhatôôrs' ridyâlLX ï derOSe ontienVvain dôaôé^Iebr ctampille aux candidats blo- eards ; c’est an conteai^ ce -qni mettra en éveil les cHôÿehs sou­cieux de sauvegarder .UPS i s o ­lations républicaines, nos droits et nos prérogatives.

Eiecteors !lu nom de vos intérêts les

plus chers et- des prindpes véri- tablemoit démocratiqiK^' vous

voterez dans lapr^nièrecircons- CTiption de ..jSsnIis .pour M.

délitérorixiu, par son. entier dé- yonement à u cause républicaine libérale, mSife pfins '!^e jamais la œnfiwce dmtf .ymis honoré il y quatre ans.

Dans lay urconscription, vous voterez pour M. Jn le s GÂ ILi- L> ARD, député sortant, et ainsi vous enverrez siéger à la Cham­bre un député dont le long passé politique, les nombreux services rendus à la cause des travailleurs et les hautes vertus démocrati­ques ont fait un homme popu­laire qui a su conquérir j ’es­time et la sympathie, même de ses adversaires politiques.

Electeurs !En votant pour ces deux hono­

rables députés, les ardents défen­seurs de nos libertés, vous bar­rerez la route aux .radicaux- socialistes qui, par leurs compro­missions et leurs alliances avec les internationalistes, les sans- patrie, les antimilitaristes con­duisent la France à la ruine.

En votant contre les sectaires du Bloc vous contribuerez au triomphe de la République Libé­rale et vous rendrez à notre nialheurenx pays courbé sous le joug de la Franc - Maçonnerie lé calme, la prospérité à ■ l’inté­rieur, sa grandeur et son prestige aux yeux de l’étranger.

Electeurs ! A m x Urnes !

Pas d’abstentions !Votez tons pour le candidat

républicain libéral e.tprogressiste de la circonscripfîbn.

’Wive l a R épaU iaae Eiibé- ra ie !

L o d p B E .IT R O Z .

PAS D’ABSTENTIONS !Nous sommes absolument cer­

tains, d ’après tous les rensei- gnemenis gui nous parciennenl de différents côtés de Varron- dissement,.du sucrés rfeH M . AUDIGIEK et G IILiL.4RO, au premier tour de scrutin avec une majorité imposante.

"i Pais.d’abstédtioi& !

U n d m e n e r s d e M C / e m » n e » m

f —I y on. — U. Clemeoceaa apcwoBCé jen- di, a Lyon, nn grand discours^. d c ^ noos exUayons les passages soîTani»:

• - / . Le m inistère ' ' I< Des modérés d’action ^ ont aliandon-

» é le» laedéfés d laertie . des aüicanx , des radicanx-socialistes, a n aoâe is te - même,' ont pn se réonir, soas la présidence d'nn ferme répoMicain uniTersellement honoré, ponr constituer nn gouvernement de défen­se républicaine ; rôle modeste qui nous in­terdit sans doute des ambitions sublimes, mais qui nous laisse la charge de consacrer tous les edorts de l'heure présente à main­tenir les conquêtes républicaines comme' à préparer les voies pour des conquêtes nouvelles. 1! i> >'ul de nous n'a rien renié de ses opi­nions, mais les violentes manifestations de la crise actuelle nous ont inspiré l’incbran- lable volonté de faire tous ensemble face à l ’ennemi, pour sauver d’alxtrd des entre­prises de domination de l’Eglise ou de la monarchie ie bien commun de tous les Français, la liberté républicaine déjà fon-, dée, la justice sociale en devenir. » I 1 L’affaire marocaiae

M. Clemenceau se félicite en ces termes de l'heureuse solution de l'afiaire marocai­ne, i

« La Conférence d'.Mgésiras n’avait pas encore abouti àdissiper le cauchemar d’une pais européenne troublée par l'incursion inattendue d'une puissance non méditerra­néenne dans la Méditerranée. .Aujourd'hui, l’oubli commengp à se foire, trop tôt peut- être, sur les émotions d'un si récent pass-é.

t .Avec le concours de nos alliés, de nos aînis, j'ose dite qne nous nous sommes ti­rés de ce pas dlfhcil?, à notre Iwnneur. Nos intérêts essentiels ont été sauvegardés, la diguitâ de la France est demeurée intacte, grâce au gouTernement républicain. 11 nous reste à gard.er dans la mémoire, la leçon de cet inquiétant coup de théâtre, comme am ainteniret àdévcloppertous les moyens de défense qui sont la garantie nécessaire de l’indépendance française. Que les senti­nelles veillent sur la tour. • jj - Les inventaires ' ;! A’oici la conclusion du passage du dis­cours ministériel, relatif aux inventaires :' < Comme j’ai déjà dit à la tribune du 5é-' nat, nous refusâmes la guerre civile qui nous était offerte pour un compte de cier­ges et do chandeliers. Mais cela ne signifie pas que la loi ne sera pas strictement ap-! pliquée. Nous avons fait l’apaisement par une modération qui n'était pas sans méri­té, mais il demeure entendu que les biens cultuels ne pourront être transmis scion' la loi, qu’aiwes avoir été dûment ïnvento-l liés. » — — ;- --••«&.; • . . r ij Le compiat ''.4> •. Le mouvement a été fomenté » par la dé-' mence des partis réactionnaires, dans l’es­pérance de faire renverser la Bépnbliqué par des émeutes dont les forces de-la reac- tiaa sauraient bientôt venir à bout, ainsi que le constate l’une des pièces présente­ment aux mains de la justice. Et, pour ag­gravation suprême, voici que le retour des saisons noos amenait, arec le mai, la fête printanière du travail : une belle et no-' ble idée;.dont llmpatience de quelques im-| pol5i& sembla vouloir faire une menace de guerre tavile. » . - • jt » ;. La répression ' '' € Qu’on me dise si saccager les maisons des traraiileurs, piller les fermes, des mar­chés, chasser les femmes et les enfants delâtir /lAmwAtlA trâinop nnA mAlhAnroncA

Deuxième CiriÿM erîÿtvm : a

V o t e z p » a r ^ l H . j p i y g a i l l a r d .

. jdéiÆ irés.snr la placé' p a ^ B é de Laos, lorsque toatsoD crifflé â t d ’aro ir té a m ari au travail, s’emparer

I if ootriefd lé ten an t de la mine; leur met- ! tre a u front des écriteaux infam ants,les 1 aaO i ■ unduîlfci' m s les coups, les oon- , tnandre A demander pardon- éfavoirtra-'1 vaBé .aLpooree crime, à su déclarer ffû- i oàtBti, '« a m e dise siceseatiàdea actes I gglun . y oTeruement ne saurait réprimer ' sais déMnicer [ai-inémé comme un . gouvernement de réacteurs. '1

> Fattends la réponse. Et l’on n ’ose pas me répondre, je soutiendrai qu’il est indi­gne de politiques sincères d’avoir, peur de dire la vérité aux ouvriers quand ils sc met­tent si manifestement dans leur tort et de les rappeler aux principes qu’ils revendi­quent si haut quand il sagit d’eux-mêmes ^ u r les méconnaître si complètement quand c’est autrui qui est en cause... . j

Conclosion - 'Voici la conclusion de ce long discours ;« Qu’il vienne dn passé on qu’il prétende

jég ler l’avenir, nous n ’avons pas chassé l’absolu du ciel ponr l’installer su r la terre. La République, c'est-à-dire le droit égalitai-, re pour tous, par le gouvernement libre de tous, le droit de chacun garanti par la force de tons : c’est le fond du débat dans une grande ooosultatiQn populaire. 11 s'agit de savoir si'les citoyens de France veulent maintenir, protéger, développer leurs droits, ou les livrer à la coalition sénile de toutes les impuissances. La question est po- sée.aux électeurs de répondre. Nous savons d’avance qu’ils déjoueront une fois encore toutes tes entreprises d’asservissement, — obüqucs ou dîTectes — pour rester fidèles an grand principe de la Uévolution françai­se : Fordre de jusUce dans la paix, par la li­berté. » à1 --------------------------- ''ï

A Tranrs la PresséA 'propos du <»M ai 1

m

I L a roLc du Pettple publie la protes- j ta lion suivante du comité de la Confédé- I ra tion générale du trav a il : [i En vue du l«r mai, le gouvernement a ■ mis Paris en état de siège et il a étendu ses j folles mesures de provocation à quantité de centres ouvriers. i

t Au ridicule de l’immonde complot qu’il a inventé, il a ajouté le ridicule d'une mobi­lisation criminelle. Ii ’

i Le pouvoir a-t-il au moins la pitoyable satisfaction d'avoir enrayé l'élan du inôtive- ment ouvrier?

Non :... Et quoi qu'il tcnte.il n'y parvien­dra pas ;

Déjà des résultats appréciables sanction­nent les dix-huit mois de cette propagande pour la conquête de la journée de huit heu­res, dont le comité coufédéial, mandatépai le congrès de Bourges, a assumé la coordi­nation. j

L'idée de la journée do hait heures, de la dimiflutiandu temps de travail, a pénétré tous Ira cerveaux. Les plus réfractaires, hier encore, aux idées des revendicatioiis sociales sont emportés par le courant. L’aic- lion engagée par les ouvriers groupés dans leurs syndicats, dans leurs fédérations cor- poratirés, dans leurs Bourses du travail va porter les fruits quiattestercmt la puissance d'un prolétariat trop longtemps méconna et dupé, m aisqui, aujourd’hifi, sait vouloir et iFattendqne de sà force propre la réali- lation de son' idéal de bien-être et de li­berté. f

j: ‘ Les réacteurs de toutes catégories peu­vent se mettre en travers,laclasse ouvrière,

J çst en no iche vers son émancipatioa —j, rien ne l’arrêtera !

I t e d tsonars de H. d éiâièÜ ^a n ' Du Radteal, M. - . M aoj^ ;

Mj M. Clemenceau a pronoiM^'j u n vfiscouts'qdi mérite o'ê*-----

i Lÿon,

tous tes rénablicains. Qull d é f iâ a e le gmmme du cabinet, qu’il'tcaitédealifvea- taires. de la révolte militaire, d t t cécèntés (gnnres d o ^ ) rd ot du r ô f e d é la'

î^venir de la République, le ‘mmiistre de llntérieur a trouvé de fortes inrôles qui certainement ont été droitau cœur de ceux qui l'écoutaient. . i

C'est par une pvomesse de victoire que M. Clemenceau a dos son beau discours. Cett 1 victoire, c’est celle qui consacrera, le B mai la détàitc des partis réactionnaires coalisés. e ir . , i

Du Siècle : - ^C'est copieux et redondant comme du

Jaurès : c’est poncif et vide comme du Combes. Il y a de tout, là-dedans. Ce qui se déga^ , c’es’t le besoin de sq.justifier<^ac- cusatrons d'incohérence et de palinodies dont il a été accusé. I

11 a eu une mauvaise presse, il Tavouc humblement. Les perfides adversaires de Il faction romaine et les faux amis du so­cialisme unifié lui ont créé bien des sou­cis ; mais il veillait, et il a tout confondu, les grcvislcs et les conjurés : rien n'a écliapp-éà son regard clairvovant et à sa ré­pression sévère. Il a dispersé ceux qui com­plotaient et ceux qui intriguaient, et, s’il existe encore un Capitole, ii. réclame l'hon­neur d’y monter, escorté par celte brave et loyale armée dont il apprécie tant les ser­vices depuis qu'elle a contribuer à sauver la paix sociale et son portefeuille ministé-

i* ., Le F i p a ro i ' ^ î ~ ’v ii 11 faut posséder, par devers soi, une au­dace singulièrement voisine dn cynisme pour reprocher aux libéraux dtivdir semé l’alanne et la pehr. .Ah iis'n'entPrafcht pas besoin ! Cette mauvaise besogne a été faite sans eux et contre eux par ces’émeutiers du Nord et du Pas-de-Calais, par ces insurgés de l’Ouest et du Midi dont nos blocards ont été si longtemps et sont encore an peu les complices. Ce qui a impressionné nn pu­blic naturellement impressionnable, c'est le souvenir de ces anciennes connivences, attestées par de trop significatifs enixinrage- ments.I On a douté — et le doute était bien per­mis — que certains hommes fussent capa­bles d’arrêter une révolution avec laquelle ils ont pactisé et flirté toute leu r vie. i Voict les vrais responsables, et ce sont précisément les chets du Bloc. Que les élec­teurs ne l'onWient pas ! ^i LefîqKfôfs, M.L.Desmoalios : M. Clemenceau nous expose la crise,mais il n ’indiqué aucun moyen de la term iner ; il se peut qu’il ait des Idées su r l’armée, les finances, surtout la question sociale, mais iLÿige pas à propos de nous les &ire eon-i naître, et son discours, qui n’est à vrai dire qu’un article d’un journaliste plus épris de

I A U M AROC /L» latte du Préteadant contre le Saltaa

Madiid.—D'après les nouvelles reçues de Mèlilla.'nn triple combat aurait eu lieu sur les bords de la Jfoulouya entre lès troupes du Sultan et celtes du Prétendant. ’

Le.Roght aurait été vaincu et ses pertes seraient de 400 hommes. 1

Il est resté à Selouan d’où il envoie du renfort _

i s —. • le-f

I I ^ e F f l ’titpfosfrsBe-iDaçoi-I S ta in u question de iqa cot< tiahsiejl. (Jiir.pir, V. Docaefa n'aitra (ftiH ce l'ai ait p’irs p a r ie de f M c BKç-Hme ie dans les te m » < â e r |i- qoes q 18 TOÎci ; ,

< — La frjEC iD3çosEeriel»’élsût pa«, i on institution, u* e-recfréfrfîM»-; - e é û n

onescc’élé pbilact'repique ; une soeiéii d’hommes de bien, visant un but lcrab'a. Quand j ’y ea î'a i, je favaii m'affliie.’’ à des imia, à de-' a risans d u c e idêa saine, d’ase jo iîiquo .e progrès, d-a liberté.;

« P in à peu une t a-nsforEiBlic-n psrni- cieuse s’opéra, et la f a rc m.açornvr’e d é ­viât — et est reMt'e, une coterie, une ca.'ti d’v û p t r i t 'a d é ia to '’, le b ir r . 'g îin a 'ïâ mouchardag-’ , du faToritistue, de i’in 'er- satiouaiisme.

€ C-ci n'a jam ai;étédaism e»principe^- i dans mes làéer.

« Eh jsnvier f so i j'ai rompu toutes latiors avec les ü-j'e.u is qui IravaiüaiéBt à i'inéanti^fciufi t du valriotisnip, q'tfS ecmprome’i.a'erl r r t 'e èé'éîirerati'crim ^

€ J'ai re;ris uit li'reric rovj. jt -e c^ j^ t ’at à la D'é'-j.i"tro de •'haub'iî ccm âe

à ta présiden-c ie R?pu> 1 q e r f a l rcisp ave ■ la'/ac'.-c .a.onnerie slio d’en fin ir avec cette cliestè'e déshoncranftS»

C'est net et définitif. M. Doomcr a-fit (pé ialilé de. fonnales Ispidsires : la sciectê’e défhcncrarte » va prendre place à côté dn < péril national > et de la- f Bohême mt'faissLle. »

L esB ad icaD iso n tao P oqtot

Les radicnnx sont au poa» Toir et les paysans voient leur? impôts augmenter pendant que diminuent leurs revenus.

L e s r a s l i c a a x s o n t a a p o s - T o îr et les petits fonctionnaires sont traqués, mouchardés et ré- voqzés. La liberté de conscience leur est refusée et ils sont à lu merci d’une dénonciation calom nieuse.

Les radieanx sont an pa<i> Toir et le ministère a fait tout ce qu’il a pu pou r empêcher la Chana- Ére de voter la loi garantissant le secret du vote, afin de profiter de la pression officielle. A bas la candidature officielle .’

Les radieanx sent an pon« voir et larmée détournée de sa mission, est mise en face du peuple dans les contlits sanglants-

Votez contre les radicaux ! Votez p o u r M. G c o r ç c s

D B G I E R .

ÎHraxHOH su C O ÏX N tSi V Ë tX K B f P»)

■ ’■ PA* .S e B z i D B M M S B .

^ PABT1£

m 1 'IMS JSSSCOJS MABIA6* ICOOTDABI

fjOim or. * i

Lêjeone homnie s’était montré, toor à jom&iy fiadrn» <

é té OLveloppant, ean le leu x , r i . nn m om ent, te rrib le .

— Le drôle ! avait p en sé* d tee Fey- roUes. Il est plus fort, eaeace, ^ne je n e le pensais ! Allons î je suis roulé ? accep­tons et 'aisons bon visage. Je n’ai rien i à lutter davantage, au con.-tré re lA h l i a Canaille î

Comme il aÔait lêpiMidFe, on .firappa & la porte dn c a b in ^

— Entrez I cria M. TanalaUn valel'parct et dit :—IWbiBelBitfceiBtfcier.

saaolBtaâe p o n r t i e .

vi.îi ev >î<,.

beaucoup mieux.'Enepne Monsieur de ne pas quitter l’hôtel sans l’avoir vue.

Bien ! fit le jeune hômine Dites à Ma­dame que je suisà se?ordres.

Le valet s e retira.Cependant M* Fe^oUes s’étaU assis

devant lebuftiâu. à f a p l ^ occupée, un instant auparavant, par son débiteur.

Il av a itp m uH e^uaie'ef 3 aviut ac­quitté son compte.

— J e suis beau jouenri fit-fl, miand il se retrouva seul avec M. Tanala. Xai perdu ! Je paie i Une autre fois je me garderai tnieux r

E t il se leva, souriant.M. Tanaifrzépr^ sa place, saisit la

p iu m e èso B to o rje ts^ aa nn reçu d e soixante miOfifrûcs, qq'3 remit an no­taire, après avaic constaté que la quit- tancfr é t â te z z ^ ie .

— Nions sommes quittes! dit-il, le plussérieuaemmitda meodc. Toutefois, je reste votre obligé! En vérité, cher maître, c’èst un jplaisir réd que de trai­ter avec vous. N W s ferons encore des afiakes ensemble.

Quand vt>n? voudrez J e T e s t e toutà vo*re disposition; mais dans d’autres conditions ! A présent, je me sauve ! Il est tard, il me semble, et j'a i deux visi­tes Afidrie' avahtlfe dqeuaer. A bientôt, m o n cher ! 'A b ! - voas irec loin : vous ^ e s um aslm V'-

A dem âhLçzrje compte toujours sur vous pdtkr'iÉre mon t6aom ?

— Parbleu ! Je suis trop fier de l'hon- neur quc voas m’aoez-faiten me eboi-s â H t m o o r v o — asisïaler en c e jo u r so ie n n o f A’d ê a i w ! M es h om m ages à

madame je 'Vous pne !— Merci 1Les deux hommes se serrèrent la

main et maître Feyrolles sortit.Besté seul, M. Tanala alluma une

cigarette—il fumait toute la jounée presque sans interruption — et, s’éten­dant dans un fauteuil, il pensa ;

— Bien joué, comme on dit dans la Tour de Nesles ! murmura-t-il. Pauvre Feyrolles, il me faisait pitié ! Cestégal, je craignms qu’il n’y eût plus de ctirage » B est ■vrai que je le tenais! Oui, oui, bien joué, décidément ! Allons ! tout va bien ! Cette affaire arrangée, je suis maître de la situation ! Enfin !

Lorsqu’il articula ce mot : « énfin >, il apparut, tout à coup, superbe d’au­dace et d’énergie !

Ce n’était plus le godelureau, sédui­sant autant par sa grâce élégante que par cette nonchalance téline, pleine de coquetterie, qui était la caractéristique de sa personne ; mais un être énergique ambitieux, puissant... même; unhomme qui eût é’é capable de grandes choses, pAt-être, s’il avait été de bonne heure dirigé, s’il avait pu maîtriser ses pas­sions très vives et son besoin de jouis­sance.

Je suis riche 1 pensa-t-il, je suis im­mensément riche ! Plus de folies ; gros-, sir cette fortune, devenir puissant, do­miner ! Si quelque obstacle se dresse sur ma route je le briserai !

Il se redressa terrible ; puis, ses yeux brillèrent, ses lèvres sourirent, sa tête se courba et il ajouta ;

Il n’y a que le premier pas qui coûte et ce premier pas, je Fai fait !... Il le fal­

lait!...^D fallait que cethommé disparût! Ah ! ce fut ef&ayant!... ,

Troublé profondément, il s’assit.Le smivenir qu’il avait évoqué lui

avait causé une émotion indicible!...Cela lui arrivait chaque foi» qu’il son­

geait à ce fait : le meurtre de M. Bou- relly!...

A présent, tête basse, pâle, comme ef- frave. il tremblait!...

f e m’occuperai de cet Oli vierVouraQIe que cet imbécile de Hobin a chassé si so^ inen t, se dit-âl. Privé de son gagne- p ^ , il s’aigrirait!... La misère l’exas­pérerait Ipeut-étre. Il faut éviter cela à tout prix!...

Si je pouvais l’éloigner!... 'VoUà ce qu 3 faudrait ; oui, je veux qu’ü s’éloi­gne, j’y songerai!... n n’y a plus que cela qui me gêne, à présent ! Quant à ma futaçe femme je la materaL Et, en to , quant à cette en'ant bizarre, cette petite Fifi-, cette créature rêveuse et ro­manesque, devant qui je me sens tout troublé, moi, — c’e^t folie, vraiment, — si elle me gêne par trop, je p-endrai,

rcontre elle,, les mesures nécessaires. A partir de demain, n aurai-je pas barre sur elle! N e . serai-je pas son père t Dailleucs, pcmrquoi m’alarmer à ce su­jet t Je n’ai rien à redouter d’elle, c’est une enfant. C'est égaU nous verrons. 'Voyons, mainienant, ma future emme doit avoir fini de se bichonner. Si j'allais la ■voir ? Je dois lui aire ma cour.

E t il ajouta en ricanant :E j s c ^ une-fois, on frappa à la porte. C’était le valet, gardien du vestibule. Qae voulez-vous ?... lui demanda M.

Tanala.

n y a là un homme qui demande à parler i Monsieur...' ' ^ •■ov •

Un homme ?Oui, Monsieur !Qu’est ce que c’est que cet homme ?J e ne saurais le dire, au juste, à Mon­

sieur ; il a l’air d’un ouvrier endiman­ché...

M. Tanala parût inquièt.— Son noin t... reprit-il.— Il n’a p is voulu le dire I il prétend

qu’il veut parler à Monsieur pour une affaire urgente et grave. Je dois ajouter que cet individu a un drôle d’air.

— Quel air î— Ma foi... comment dirais-je ? Mau­

vais air ! Je crois qu’il n’est pas dans son assiette. Il m’a paru être un ■peu gris. Même, il a une physionomie qni ne me dit rien de bon.

L’inquiétude de M. Tanala s’aug­menta.

Est-ce un homme jeune ? demanda- t-il encore.

— Oui, monsieur.M Tanala réfléchit un momect.— Dites que je n’y suis pas fit-il,— C 'e-t que ..— Quoi !— 11 assure que Moa.sieur est ici!... 1!

prétend qu'il l'y .a vu entrer.— N'importe ! Dites que je n’y suis

pas, et, s’il insiste, chassez-le.Le valet s’inclina et marcha vers la

porte.Mais M. Tanala le rappela.Attendez ! dit il. D'abord, demandez-

lui SOT nom, et, s'il re'use de le donner, cougédiez-!e.

^ B;e ’, Monsie-dr!

Le laquais sortit. .— Qui est ce ? Que me veut-il ? muré

mura le jeune homme. Voilà qui est étrange! Pourquoi donc suis-je troublé?

Q-a'est-ce que cet individu itu tten ter contre moi ?

Le valet reparut.— J ’ai répété les paroles de Monsieur

à cet homme ; alors, il a écrit îon nom sur un papier et il 1 a mis sous enveloppe La voici. ■

M. Tanala s’efforça de cacher son trouble au laquais — qui l’observait : l’aventure étant assez étrange pour que sa curiosité fût excitée considéraWé- ment — il prit l'enveloppe, il l’ouvrit et lut ce nom, écrit, évidemment, par une main mal assurée :

< Sauveur MouraiUe >,>L Tciaa'a divint très pâle.— Faites entrer cethomme'.’ ordonra-

t-il.E t le In'i'-i-ais. stupifaT. sortit.— Sa UV:

A ,me veu pourquoi ; ms's danger m

?.[urai!i le fils de.. Que e l'.'iudsc-" ! Je ne siî»

ne iemble qu'unce .

{A Sidrre.)

E- poli, prévenu ;

c eorrs.lionreUs Iæ préTiJesl— Vous veurz d'enî-oaère le t-inroin A 1»

suite è’ure dispute dans un Câfé, vcos »v»a presque assuœrac le plaipnint A coupa de cm- rafe. Qa’asej.To-is à répocdre ? __

— I y eva t lve-t»nïe dérense t „ Lm ■vmit été Iteppée rréalable-seat. *

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8 1 M I T H . T Oi r - . f - — ,w ^-5v rî ’ t t

U r w t i âiaro^iBt ài^VEelcUri' ;■ '.^>lf(st pa»a»ez'das grèves et da^’ef ;

deeËalnément de v i o l e n ^ ' lon(; «Bt é t i la îMrétoxto; non* Tofci rive-;'

Umps de R avichol é l de 1*' j— par la bom be. No'is- avons

'tsoins' f u n .mms,. tontes le s i^nnês ae ra tién ta t anarchiste. Le cam a- Mide Poneet e t ses disciples de Ja Conté- ddiatioB généraledatravailavaisntdit: <Le « eoop oupo 'gnardet laconp-dedynamile, < vieux js n e t mauvaise siTaire ; on raât d e e m édiocre bssogne e t le p u qu’on fait, r on le paye de sa. peou. Voyez Vaillant, c Henry, Caserio !... Donc plus d’action

„ a . isrlée ; l’action en m asse, nar le syndicat c e tla grève générale, vers l’exïiropriation

c capitaliste e t la dictature ouvrière ! » t E t nous eûm es les tragédiesde F ressen-

‘ nev illa de L ens, de Denain, la série des incendies et des pillages. Du m oins nen- aiots-nous être délivrés do nos effro:s d'antau ; on n’entendait plus parle r d’ex-

, plosionsdans les cafés; I t pondre verte guère que les tètes «m u m ii*

ItéM.Les adeptes de l’ancienne méthode n’a ­vaient pourtant pafi dit leur d ern ier mot ; là B w aque dont le « prolétariat conscient «t o r » n 's é » noun régale depuis un mois leu r a paru trop belle pour n ’y.pas faire leu r p a rité e t la s voilà qui ren tren t en scèn £ M aintenant les deux écoles rivales s s livrent, su r le sol de la République, .* des expériences ccm psréesdansledessom do détruire, en fait.l’o r iro social con lam - né, on doctrine, par les oères de l’Eglise collectiviste. Elles ont d’ailleurs le| champ absolument libre. Le gouvernem ent laisse fiûre. *■

Elections LégislativesD U « M A I 1 9 0 6

1” GlRGONSGRIPTICet.

Candidat Républicain

1 ' . r GIRGI

W s

flnnèfiillrr m un ic ipal d e SMiBè, D ép u té so rtan t.

w— ^

Une Prédiction.

U n e m a j o r i t é d ’i m b é c i l e ^ .Rappelons c’est d’actuslité, la prédiction

de Paul B ert au sujet de la séparation. Les électeurs, il faut l’espérer n’attendront pas * an», avant de balayer cette msjorité tfim bériles.

c 11 se trouvera un jour disait Pau l ttvxt dans c» pays une majorité d’imbé- ci’os pour b riser le Concordat et fiaire ' la Séparation : pas un de eaux qui l’auront volée ne reviendra au Parlem ent huit an s après.

' C’est l’ami et le collaborateur de Gam- batta qui s’exprim ait ainsi I Sa prédiction •Accomplira.

ÉCHOS ^NOUVELLESléCS iç a rd e s c h a m p ê t r e s

d e X ^ a n c a .. Au congrès national des gardes champêtres qui se tiendra à Tourcoin'g (Nord) les mardi ^ et mercredi 30 mai prochain sont inTÎtés tans les gardes champêtres de France.

Parmi les rerendications à présenter aux pouTOirs publics figurent la question de la atabilité dans les fonctions et celle de trans* ports à prix réduits sur les chemins de fer, améliorations indiquées dans la proposition 4a loi déposée par M. Dron, député.

Paur obtenir une réduction sur les chemins de fer» les délégués au congrès sont priés de s’adresser, avant le h mai, à M. Duprez, garde cüampètre, à Mouvaux (Nord).

»

U n e lâ c h e a g r e s s io n .Les apaches du « bloc » continuent leurs

ézploits: Dimanche à ÂrpajoD, àla suite d’une grande réunion publique qui arait amené la déroute du can d id at blocard Dalimier, aide de camp de Mascuraud, le T aillant député

I f . 'Georges Berthoulat, a été l’objet d’âne sadTage agression.

XJne Tiegtaine d’apaches du msscurisme se ddnt précipités sur lut, par derrière, alors qn’ü sortait le premier de la salle de réunion, Font Séparé de ses amiS; frappé à coups de ]|>itds, de poings et de canne. Sans l’interven­tion de quelques courageux citojens, il étgit assommé.. De violentes bagarres s’ensuivirent. La gendarmerie a ouvert une enquête contre les agresseurs. La population , unanimement iaiignée, a fait une ovation à M. Berthoulat, ddàt la réélection est d’ailleurs brülanunent asaurée.

Bépubiicains LibérauxO rganises-vous p o u r la surceil-

lance d e l’affichage jO rganises-vous p o u r la d is tr i-

bfttion des bulletins ;O rganisez-vous p o u r le dépouil­

lem en t d u scru tin jO rganisez-vous p o u r d é jouer les

m anoeuvres de la dern ière heure.P u is a lle z a u sc ru tin avec con­

fiance , p o u r la L ib er té , p o u r la P p ia ^p o u r laR épub lique libéra le !

I- ................ r» . ---------------------

K S P E C T AUX A FFIC H ESI^es affiches des candidaJts nos

amis ont été, en certains endroits, lacérées, salies ou agrémentées d’inscriptions, de vignettes visant à la méchanceté, mais qui ne sont que ridicules et bêtes.

Nous adjurons nos amisque cette Bianière d’agir pourrait inciter à user de- représailles de n’en rien l'aire.

Nqus leur demandons, instam­ment, au contraire, de respecter scrupuleusement les affiches de n0s adversaires.

Lacérer les affiches, c’est porter Îttteinte à la liberté que nous pos- g^fons fous de faire connaître nos s ^ im e n ts politiques.

W t 9 m K . t m e U L E > ^ r S S S ! i r

\ V o s e n f a r ^ ^ u e v o u s a v e z é l B ^ S ! lèt nouig^B josqu’à l’âge d ^ l ans Msont p tô is pioar le régimeiS^ p ^ - .«ant à ^ ro n U è re . ^

Aujo«ft!^Kii, ils sont facéVftfefr’ avec qui ?

Avec leurs frères de travail cx- cUés rticu liè ren jen t par les d pufésf^qttL fenr Cnt promis plus qu’il n’est possible d’obtenir.

Les vrais coupables sont ceux qui ont alléché l’ouvri». par des prom|ss,es mensongères.

Êloig,nez-les, empêchez-les de poursjiiyre celte vilaine besogne qu’Us ne demandent qu’à con- tinuR ii.

Ne volez pas pour M. Chopînél ! iietOB poar w c

politiqué de haine et de luttes fratricides, pour M, AuAlgrter.

N iiirss .. valsÉtilrev

A R R Ê T É du. Jtftnisfrc de guerre,en. date ou 18 ourtZl906, relatif à Vappl’catüjn du décret du 13 du même mots t

^ qayoofomonfiifeTarfioZe 39 IS Jh^SS fS ^

té& eft d’an 4écret qv oxn'L1999Mes*}eunes gens qui remplissaient avant la m ue an vigueur de la loi du 21 mars 1903. les conditiODS .requises pour contracter l'en- g,^geaent spécial prévu par l’evant-deroier «linAa Am ^ de loi ^ jâiBet 18?9,

:cèptiOBnellemetit con tm ter cet du 10 au 31 mat 1906.

dbedm ü à béoéfieidr ^ .«ette. jens qui ont atteint Végé de

18 «ta du 0 octobre la date de la miste n ^ p ü v d e loTdu 21 mars 1903 ;

2*Ceux qui s’étant présentés pour s’en­gager, avant le 9 octobre ont été ajournés5^ % ^ <»mma a -

a r a «m ^areaux de recrutement et qui se­raient été veconatA propres au asTribé après nouvelle vîfita.

‘Les câteaeadants dés bureaux de recrute fia'ddVroUt déttrrer les certificats d’ap-

m td é qu^rak jeunes gens a jan t toute la v i r a n r .ilécassaitiè pour faire im bbâ service a c ^

.Lèstef^pfsée seront admis à contracter leufèSdfitf^e&t au titre de l’un des régi­ments 9*S|anterie désignés par la circulaire de répaitfrtxbn dû 31 août 1903, pour recevoir les hommés de la subdivision dans laquelle leur famille est domiciliée, appelés pour trois ans.

Ils devront être répartis entre ces régi­ments, de manière que chaque corps n’en rev ive que quatre au plus

L^acte d’engagement sera conforme au mo- 2 annexé au décret du 28 septembre

L es Candidatsd e l a p r e m i è r e C l r c o n t c r i p U o n

La situation, dans la première Cir- conscri|tion de Senlis, vient de se mo­difier par des candidatures, ou peut le dire de lu- dern'ére hsnre. Résumons eu deux mots. M. A u d ig ie r , député sortant, républicain progressiste et libé­ral, sollicite le renouvellement d’ua mandat qu’il a rempli à la satisfaction de la majorité des républicains. C’est le candidat de tous ceux qu’a dégoûté la politique du B loe, de ceux qui ne veulent plus de la guerre religieuse, de la dé­sorganisation de l’armée, de la délation et de la tyrannie.

Les concurrents sont ;MM. le D’ C hopinet, soutenu par

le ban et l’arriére ban radical, par tous le.s sectaires et les intolérants ; B é r in g e r , ouvrier senlisien, qui se présente comme socialiste indépendant ; E r n e s t-^ ig o t , un Parisien, sa disant aussi socialiste, et enfLn. H e n ry G ran- g ie r , facteur révoqué récemment par M. Bartbou.

Ce d ern ie r e st sou tenu p a r le p a r t i socialiste un ifié , ses affiches on t été apposées h ie r e t le u r lec tu re est in s­tru c tiv e pour l’ouv rie r qu i s’est laissé le u rre r , p a r les m irifiques pronw sses d slC . C hopinet ! lequel e s t au j o u r f h u i , d’après ce qu’il p ré ten d , p a r tisa n des p ro je ts:d e lo i on réform es ^om t il é ta it l’a d v o 'ta ire il y a q sa tre an s !

A P R O P O S D ’U N E A F F I C H E

Je n’ai pas à revenir sur la grève des typos. Je dis qu’elle est terminée pour le Courrier parce que le personnel est

dia

r-enouveM et que le travail a repris ré­gulièrement J ’ai exposé les circonstan­ces dans lesquelles nos anciens ouvriers avaient interrompu brusquement et volontairement leur travail. J ’ai donné des explications suffisante», etpa t pure courtoisie au délégué du syniiieat qui les a entendues devant un ouvrier gré­viste,lequel n’a pu réfuter aucun de mes arguÂenisi "

Aujourd’hui, par voie d’affiches, si- lées < le Synm csts par' tlntecmé-

iaire d’un journal socialiste, on insinue ce qui est absolument faux, que j’ai congédiémon ancien personnel. Ou met ainsi à exécution des menaces qui m’ont été faites. La cause est suffisamment entendue de tous les Senlisiens qui m’ont témoigné leurs sympathies en cette circonstance ; je n’ai p?s de po'é- miques à engager,pas plus avec le syn­dicat qu’avec les anciens ouvriers, qui croiraient devoir exhaler leur colère de s’être lancés d’eux-mémes dans un guê­pier contré lequel je les avais mis en garde. Lmssons ceux qui n’osent signer ni leurs articles, ni leurs affiches racon­ter leur histoire à leur façon.

Le public est édifié et ils en seront pour leurs frais d’imagination et d'élu­cubration s.

L o u p B er t r o z .

A t r s T m SBnlis.VILLE DE'SENLIS

F o ir* © S a i n t - - .0 ^

Dima?iche Q m a i, à S h , de raprès-m id i,

ASCENSION DU BALLONL E P E T I T J O U R N A L

Flace du Cha'et.

aient nillemiaot,

aTnetemeneàr*

Crc fie qui ker et

difiçètur à vrM erR.'«^^r dêft'

18 an|ssem

c mt Ofi

rtonc

M m aèn a » •: HTréson

B ÿ n l^ v e m e n t

3 V O E é ^ -far la Soe'êli

ê t^acU ons,. Saj’e t^ '

Ce ifiiŸ’tiffqns b iHon a Il l'.f Journal. tu Cayalca .

leTnbnà*! IvieDeiaichT _

fi se 1ô(|^ à Cri COTK&èx'les ièN fiv u ^ û rt

es 3 et 9 Marsd’aa procêfcd*am

;oie 331 a i£ èe të» ^ aa t pfef chMsI-comifiB âiambré-fi

.is de seco7A th-«U sse, B f '^es«4e.gaiBgq; fitts

Il:emier —Gra-ifiépour cefa’t

* 4 condas^é fi 50 fr

L e soiPf d 0 heurfs,

F*e^*u .FI C5 (Il thaiet. -

» - i

. i t* -” STavalr détoDé ua Caiîer,.eatlr».Deur ft Cban-

Croixr^HI,g,v_ F rance. ^lardi prochain 8 mai-aura -1160,0 rÈvêcbé, la réunion de, la ^Spçiété’dê Secours aux' blèàSés lâilitaifeè.'sons la r r i i fini—

Une conférence sera faite par M. le D ' Espaulard, s’il est rentré de son ser­vice commandé dans le Nord.

' U e C o a r o n n e m m a t ' < t e l a R c M è r e

Nous apprenons que .hfU de^f^lle A n g ^ Ragois, bkmçiiiiiiaéiise, iM e u - rant chez ses parents, à Seplis, a été choisie pour rece\ oirdtgrailcftffA FHS tel de 'Ville, le prix de vertu fondé par t lv P e S B c l^ . '

Nous féircitoBs . bien sincèrement notre aimhbèéccacjtoyehne.

-*------V o le u r s d e z in c

Clément Henri Drocourt, 20 ans, et Françis Sellier, 21 ans, tous deux ma- TOuVrierïà Senlis, ont fait une bien ttSuvaièe féncontre ces jours-ci.

Alors que les deux individus venaient de dérober des gouttières et tuyaux de zinc dans un bâtiment en ruines situé dads là forêt d’fisdlàtté ét ^parténan t i M. Sagniez, de Verberié. Ils oht .reii- èontré nos gendarmes qui ‘es oht arrê­tés et conduits â la prison.

Drocoüt, qui était en bannes d isp c ^ t i^ s , a é u ê ^ avoué ua vol de zinc commis dans le même bâtimeitt, il y a six mois, ea, compagnie de Ildep^qnj^ Delayen, %âhé, manOu-vrierau hainééiâ déVilIelrert.

Celui ci a réconu le vol.

ch-enïMrCETa.^'«l!y, Bi-- . ,♦riY . . 3 y .1 p.lfcenier,i - J-L-afeglm t \ -1.TI <baïrt!n»-eiï-;Servâ!, » ea-r t a i ôcttèyerS jours de prison. — Il attrape t a oûtre S-frenes d'ameade .pour nlavdlrit&ts fait sa 'dSclarafîon d’étranger, et ibécéficiv pour ces deux peines de la ldi de suiyU.„L<fmofïo'ys. — Huit jours de ptisdb e’t Sâ francs d’au te^e , à Laiuberl; '{LQÛlàX, ans, qui Te 3 revHer dernier, a été trouvé, visitantd» ............................... ■■

A b a t t o i r d e S en H a.Du 2-1 mars au 20 avril 1906,

est entré à TAbattoirz21 bœufs, pesan t... 12.486 kil.

1 taureau, > . . . 619 >25 vaches, > . . . 12.678 »59 veaux, » . . . 6.927 »

179 moutons, » . . . 8.441 »126 porcs, > . . . 10.981 1En outre, il est entré en vianc

dépecées ;Bœ uf........................ 1.355 kil.

562 >Mouton..................... 676 >Porc....... ................. 198 »

lée

P r i x d e l a v ia n d e fiai pour le mois de mai i906

En exécntion de la convention par MM. les Bonchen le % mars 4 le prix de la viande â Senlis, pour le mois de mai 49C6, est fixé comme suit

Bam/.{" catégorie : Tendre de tranche, enlotte,

giteilanoix,tran- chegiasse et cotes convertm, le kilo.

V — Plats de côte, épatf*,côtes sousl’éj^nle,tendron.............

flanchet, gros hont de poitrine, cel­lier . . . . . . . . . . . .

fM It.I” catégorie : Pan de veau

î* —

4 fr. 65

4 i5

4 45

F 3*

4» catégorie F —3» _

^ n l e , poitrine... Cellier..................

Mouton.: Gigot, filet, côtel*“* fipanle.. . . . . . . . . .Poitrine, collier...

■■■♦■------------

40»>70

250579

Objets tiH suvésMadame Carluis a trouvé une somme

de 46 francs qui a été remise à M. Recq, son légitime propriétaire.

M. Cottereau Eugène, a trouvé une ;oie qu’il tient à la disposition de son propri^aire.; Nos féticitations sincères à ces hon- <nêtes personnes.

» ■—Btat eioil de Senlis.

NaUêance, — 29 avril : Berge Aofiré-Lucieo* M anas,rue de Beaavais 2.

Bicèt, — 2 mai» : Harie-Clotilde Zêsaî de Lojvr, Vve Tesson, blanchisteatey 36 «ds, r u a ^ n laubourg St-Maitlfi. V 8 m a i: Mœa Legris, née Marie Gravnoix» maaouvrtère, 54 ans, rsa faubourg St*Martin.

PafilieatlaAa de mariagee. — 29 avrÜ Entre M .'Fmo«oU Maately comptable, fitsnfurant fi Compiègne e t demoiselle-Alice MaTia>Su- génie rouv. sans profession dem eunud fi

— Éotre V . Al£rfidJSeibFB3rss,<aaaiiOtt* viler e t Mme Berlhe-Blanche Linder, Vve Prê«'o«t, manouvrière, tous fieux demeurant fiBanlis.

Pmllce oorreotioB B elle d e Senlte ,Audience du S3 aitril 4906.

Pfésitoce de M. Paisaet, président. léhdstèrB poîilic : If. WARRAm

procureur.Autfieui7-en-Valois.— Le 11 Mars, Gauthier

Adolphe^Zi ans,'et fiarmoni.er fiUne,.3lAim, ont été surpris "üsita&t des collets, par le garde CoHin. ~ Gautier récolte 15 jo u n de priaoB^ 50 francs d’amende « t sa compagne 50 francs d'amende.

Beran. I.e 15 Mars, le je te u r des postes Léclerc, se trouvant pour son service .4 Fé- cluse de Boran, fit la rencontre du nsmmé Rayé Albert, 36 ans, manouvrier, sans donîi- cils. — Ce damier qui fitait déjà pris de bois son, demanda au facteur de lui payer.fi bolm. — Le sieur Leclerc ayant refusé, Iqije ta fies pierres e t loi porta ensuite un vio les t coup de poing. — Il est condaniBéfi iS jotws fieprteon.

CfioattUp-CreiL — Sont comdamnéa pour chis«e sans permis, lanu it, et à l’aide fi’ej^ in s prohibés :

Benoit (Eugène), 32 ans, fi l'm ois e t 15 jours fie prison iOü franes d’amende v Piçbn (Léo-‘ pôld), 47 ans, à 23 jours de .prison ICO francs d’amende; Boulanger (Louis)» 34 ans.» - fi 15 jours fie prison 50 n ’tnçs d’amende ; M u ieu x (Charles), 24 ans, fi 16 jours de prison 100 fr. d’amende; Decreus(Auguate),26aas, à Im o is e t 23 jours de prison 150 francs d’amende ; Mortier (George»), '39 ans, fi 2 mois e t 23 jours deprison 200 francs d’amende; Legros (Eugène). 38 ans. fi i mois de prison 50 francs d’amende; Lambert (Marie Henri), 40 ans, fi 2moi% de pHson 50 francs d’ammde; OumontCharles). 20 ans, à 0 mois e t 23 jours de prisou 3*0 fr. d’amende ; Demichy (-Benii), 0 t àlls,' f i 'l mmsaLibioura de pnsoo 100 freacB fifaiteBde; nom ecoq (André). 27 ans, fi .Amp^%dffpris‘ n 159francs d’amende; Toffîn fi 15 jours de prison 50 frfincs d’amtDue.

les cellfitÿ par iê fiafdis-champètre Heivin.AfonMrfifrfi..^Li^21Maxv,'après avoir passé

raprfis*>mml fi boire, Cardot (Alphonse), 29 ontàtàirê, se trouvant vers 5 heures

du soir, dans le débit Bureau, se sont pris de querelle pour une question futile, et en sont venus aux mains, Voursuivis pour coups réci­proques, ils s’en ten^o t condamner à23 francs Citfiiende avec application'4é la loi Bérenger.*•* ExpuMé du débit Dep^s&ènbier, où il

causait . fcan^lfi. fifins la soirée du Di* tdencbç-ifilimfri^^^i^ia (Ja1êb),30 à|is»aûjet bèlga, a ^ rîse a cô'aps de pred la porte d’en­trée dè la jfiUe de bal. — Coût : 25 francs E*amehdê.

Montépül^- ~ Le 26 Mars, Brussehmtnn (Charles). 40 ans, et Wandèls (Camille)-, 27 ans, sujetis^belges, se sont porté xécipfioq'ùe- ment des cuip s. — Par défaut, chfictn'0 jours de prison.

Vtttciwmur-xur-Terftêrîê. — Herbet (Séra­phin), 28 ans, manouvrier à Villeneuve, a tendu des collets et est vécu les visiter le 14 Février vers 7 heures du soir.—Il fut surplis dans sa besogne,parlesgar4.ês,CJHaraud et Dîrras, qui luiverbal. — Il paiera 50 frfincs fi fiaeftdiéb

F41TS LOGAOXA p r o M i i t . — Fxstival 8k Tlk. —

L9 CaKôçrhrz-FMttTKl ia Tir orgahirt par < l*Uait^ ÀiprtüBOÛôfrs » là ^ Avril dérnier, â obtoM 1% lompi incar- ta!n, nn rit Hteoés.■ Dès six hmrM da matin, Iqs clairons de la Sociéié Itisaiont retentir la «ôhôèrie vive et jojrtrase da réveil qni jotsit dans l’air Ohe note gaie; à huit hsures 4/i, c l ’Cnich Apremontoisg » recevait tuc- cessivemsot â leur arrlvca les Sosiélés de Tir ; € rAamontoise , d’Aumont, « I a Revaoche , de Lataule, c La Patriote » de Nogent-ler-ViergM *l <i le Révoil » de Morienval et îès eoniaisirent au Stsnd, où le concours leur offrit une lutte ccur- tohe, mais acharnée, ainsi que la couce rs d’amateurs ouvert le même jour, â deux beuras. Les Sociétés se rendirent à la mairie, ou avait lieu la réception ofScielie, de M. Daraad, maire, président d'honoeur, de M. le Colonel Coussand Dullie, prési dent de la Société de T r Natieaale de France et du Cous,il mouicipal. Ensnile le défilé auquel participait les Soeié:éi de Tir, la Cempsguia d« Sapeurs- Pom$ier>, la Compagnie d’Arc, les Membres hono raires de 1 Union Apremontoise, a eu lieu dans le« rues de la cemmone, décorées et pavoi-ési à celte occasion, aux accents entraînants de c l'Uoiox m;sicale > de Samt-Maiimia, qui prêtait son concours à cette fête. Le défilé s’est terminé au Stand de la Société, où un vin d'honneur atten­dait les invités.

Après un discours de M. Durand, maire, qni eréseata en même temps les excuses de M. Gaillard, notre sympathique député empêché au dernier metnent, et dont l’absence fut regretté, M. le Colonel Coussand Dullie, fait un d scours très applaudi sur les bienfaits do tir et schi utilité et accorde quelques neminations parmi lesquelles celle de M. Ducroq, le déroué présider t de «la Patriote» de Nogent, nommé Inspectiur cauteial. ja^te réoompense ù laquelle tout la moade applaudit.

EU quelques mots, M. Bigot, présidant de « l’IJnioa Aprementoise » remercie les Sociétés, les Présidents et tontes les personnes qui ont donné leur appui au Concours et à la Société ; et la distribution des prix a lien.

t** prix : une couronne de Terme 1, la Patriote de Nôgent ;

2 " prix : une couronne d’argent, la Revanche de Lâtanle ;

S”» prix : une palme de vermeil, TAu- moatoise d’Aumont ;

prix : une pallie d’argent, le Révôl de Morienval ;

4*.' prix individael : M. Bray, de li Patriote ;

i “* prix indhridnelî M. 0:en* H. de la Revanche ;

3"* prix ixdtTiduel : M. Durand, de la Patriote.

Des médailles sont rc--o'dâ:s comme Eouvesir, â la musique de Sa'ut-Msximin, à la compagnie de Sapeurs Pompiers et à la compagnie d’A -e.

M. (^uard , inspecteur d'arrondisse ment, lait une conférence cnr rutilité d’une Fédération dans l'Oise, qui existe déjà et à laquelle plusieurs sociétés ont déjà adhéré.~Le soir un grand bal offert par i Union Apremontoise, terminait cette bellejournée malheurt nsement troublée par quelques averses. Jeunes gens et'jeuîês filles, riva­lisèrent d’entrain, jusqu’à uce' heure très avancée de la ni:it.

La société de tir < rUuion Aprmon- toise » remercie les personnes qni l’ont a l^ dans sa lâche et aosonce aux ama­teurs, qre son concours annuel, qui com. prend 300 francs de prix, est ouvert tees les jours, au Stand, chez V. Lefèvre.

B a ro n . — Vol.—Le 23 caurant. vers 7 heures du matin, le comptable Adolphe Guiliet. de la sucrerie de Baron, a décou­vert que i'on avait sourirait dans la .bureau: 47 couvertures de liine grise, 2 ^quets de bsngij al 8 chaises.'

;Les propriéuiras de l’usine ont porté p'âinfe, à la gendarmerie, qui a onrect use enquête.

B é tb lo y - S a f n f^ M s u r U ix . — Tir dkl ’o is e a u . — I a première ocmpagoie d’Arc de B thisy St-Uart-'n s’i-ft lénnie diman­che dernier [our son tir annuel. L'oiseau a été abattu par la flèche du chevalier Théophile Didelot qui a été immédiat(| ment proc’aiité roi etempereir pour l’aL- née 4906-4907 I' est à remarquer que M. Didelot a été déjà deux fois proc'amé roi de l’oiseau.

Dans la partie du jardin, qui suivit, les prix offerts par noire aimable caoitain». ont été g'gnés par MM. Gressier-Hujard et Anatole G-eisior, le plus jeune archer de la Cf m:> gnte.

Puis, ïamDùur baltant, les archers se rtntire*: cdfz M. tesuènr cù l'on p'o.1 céda à l’élection des chefs pour l’année. Vôtci le résultit de cette lÿ-inion ;

in. irgeroB.

C ^ Ü .— BkLXK KiUiaOKRfippLICAJHK. La c a n d id a t u u agMrOxaËriamiAtaAadK..'- Dimanche a Iff i ^ i ^ lé vM teïa lS ' des Fêtes du Grand Hô'.el du Ghet^Me- fer une rénuisn O'gaDitée par la m i - rati^ réBtAÜcgllte ittmenrtt^-ettTfarFr cirronscnginm de Smuis. « t ûasi .ëomposé : présidenL^ M; l^tiRtrd, député; tioepréàioe^: mK. ! S Jacqnpi, p ]^ fj^ jld ;m a io h dSbiOùifati'^e'an rautoM de ’Crait. ft Depeat maire de Boranj^rUmttdeJLlUmçjâ^F^bUca’ne dém o clà^ ^d acah ^d e '

président du Comité républ'ctia démccra tique do Pont S'e-Vaxence; ser-étaire gé­néral: M. 6 Lepetiti trésorier : M. Hiédal.

Après eette féfim|nL renée 1^1 obtint u t o k ^ s ) pèrsouais o n v lro u .^ ^ { p ^ it$ tr tme aUéèutioa t r é ^ dpnae llparo'e àh^i^iigjfi tèorfle Seme et-Mà*fib, président de la gauehe répnb’i^ulne du Sénat, ùui prc- nosce d’uae vOix fort) un tr'és h/èrMsïnt discotusi frétmomlhent d’Vppyiudiii- semelità ÿbuixis, c’est e u s i^ lé t&r de M. P ^ BeaitivgjrJ. d ^ é ‘ de la^erdo, membre de 1 lusiitut, qui n’est pa* iuconnu pour nous. M. B'auregard, pa-lant sur le mode hntnoristiqae det tri vaux delà Chtm- bre quo.Mthi. uéhM . iÜ: T i intérlHàe vivement l’audiloire qui, psur se» rirqj et

pris à l’eoteiidre.' ..___C’est ensuite ff. LS^tît, secrétaire gé­

néral de la Fédérathn, qni établit un pa­rallèle ent'hhn t r m o f ^ ^ i lard, le dootefir â Félitien P «h :parMnl de ée demWr. m a trn r dit;......« 'M g r iM è n M tf i i tp r i lm h ant attrapent fat ètertwrs'dhrnefre cfréeet- cription U M iM tteübi fu’ilMitaped éStw ) M — ' — -----"les ùHÉbtars t tiolkr 'ptnir M.''G>lR-ir; dévoué représe6tR in

M. ledoctenï jànqtnt'vat aiût voit ùn ordre dn joor asçtoMgt 1« 'candidatitre de W. Gilllard, cet o r ^ du jour (st adopté à l’unantmité.

A la porte sont reeeetUies dé nombreuses adhésions an Contité itàpiubtiesia.

Eu résuinè, honosjfrûnée dont les ré­sultats seront cxcelleim:

C’est par sitite d'itt^tgreur de mi e ea page que le côihnte rendu de cette confé rence n'a pas été tns'^é daût notre dernier numéro.

— É lk ctio ss liorsiiAiiVE — I es ppé rations électorales adront lieu, comme i l’ordinaire, à l’Ecole matemella de

- rue de Yerneuil ( enfréê par l i rite Bour- iier^, ledimincheduohntatds 8 h, du matin à 6 h. du Soir. " “

Le 4” mu. — Ueô importante frariion de la giroison da §èatis et an roriain nombre de gendarmes à cheval, qui avalent été envoyés à Creil le matin, font partit raprèt-raidi vers 3 h 4/», après qu’une délégation d’ouvriers' en ait domàudé au sous-préfet la roirsit.

Le maire avait pris uâ arrêté interdi­sant les attroupements.'

Dans les uiines suirsintss, le chômage était complet : Verrerie B iaüan, Creil, et fonderie Layerno, Govnay-Montataire, depuis le matin ; -coffre ffa-rts Foiehet, Cie Ginèrale d’Eleçtricité, PÔBts métalliques Daydé et Pillé, de Creil, depuis midi

Les ouvrier* de là verrerie-Bém'laa se sont réunis en na banquet salU Roê:»

Des groupes d’onvriers t l i ciriuité dans les mes, à ce tsihs m ^éc ts p:écédés d’un et même de d Aux drapa.ùy rocgés, chantant des rejratns ^éyMh^oooaires mais n’ont commis aucané déprédation.

— Arrssiatjoss. — Les jnees Gu'gan Joseph, 46 ans, etyillars François, 47 ans. ont été arrêté* sep* l’hSFûlpâtmh de vaga­bondage et conduits à Senlis.

— Les nomin<s L«grand, 48 ans. et Le maire, t9 ahsriftfùvéï .éou(Â.fà j.é'adi ihatin à 3 h. 4/2 dans un - et^qiuÿiJBent de 4"’ clais«A.la Gsm |enM t ftinrèuivis pènr avoir pérétré dans l’enceinte de la .voie ferrée sans autoriaatia^

— V ol — P ro fl^ t d'une csniiB absence de la'ffimiTâliî; un rndlvldu resté inconnu a pénétré d u s soBdopkiie n e Despiias et a dérobé une montroM or eetimée 100IV.

Une d^me H. qui aurait giflé nn gamin qi'jetait des pierresdan< l i ja rd in ^ ion beau-frére lerà pounolvi de ce Mt.

C re i l . — ARRSSTATiOh. — La nommée Charpentier Héléhe; p4 ans, origiQàire de Cuts, a été arrêtés pour Tsgabordige et infraction à la police des chemins de fer et conduite à Smi is.

— It r k ssk . — Co travontion a été rile- vée contre BRhàrd Uêlestin, 28 ans. ma- nom risr, rencontré rue de la Rêpubliiué, etcoatre Ovulez Alfred Joseph, 39’àh», tisserand, de passage à Creil. venant de Tourcoing ; ce dernier est vepu se jeter dans la gueu'e duioup, ayant été rencon­tré rua des Champs ; Û a été rendnit au violon.

— N écrologie — Nous avons le regret d’apprendre la mort de M. Tellier, l’hono­rable prés dant de la < Lyre amicale », survenue dans lan iit de jeudi à vendredi. Ses obsèques auront lieu lundi prochain. Condoléances à la famille.

Gontiraventiqn a. éié relevée contre M.Théverot. pour défont d’éclair^go- de malérianx déposés suria voit publique me de la République.E ta t civil de Creil du 20 a u 27 Avril

Eais*'3nce8 — 25. Pliêbut Gaston Ciiarles Antoir e.

pubiicâtioRS de f ifx n V ^ r- E aU e M. Ry- kaert A lp h o n se ,manoejvfe» ftMfilIfi.Gpfidroa J u lie , laveu se , tou s d 'û ^ fioôâ lâ liès fi.CieiU

E n trêM . D ovillé He-rri chaudronniér, do­m ic ilié fi N euU ly »ur C ién a ea t ( O i s e ) « t M ella H tgaud Ju ie lte Eugénie, conturière, d om iciliée d e .fa 't fi C reil, e t de droit à V en- d6m e.

Afariageê —21, ootre M . L orson Edouard B enjam ia, é lec lr ic ieo et MeHe Feccfivée L é - on ie Clém encê, ch em isière, tous d eu x doini^ c ilié s à Creil* , ,

26, £ot* e M. Guillot AibertCharles ajusteur et Melle Alvat Marie Gibiielle, sans profts- sioo, tous deux do.mi< ihéf fi Creil.

26, Entre Dèipré Léon Charleê, ouvrier d*u- siae, et ThuilUer Charlotte Marie, liomestique tous deux domiciliés a CreH-

Dé'è« — 21, Mmgurt Copstence Fraocina, Vcave Denoçux, 61 au», mafiourrière 'hôpital )- 21. Slock Augustin Bsreanl, 2 mbu. — 22, Gueudet VictorïaeArm*odtee,i4«D6. apifrê'r- tiecouturière;*—23, SaiiithéraEÿilélise; ~iS «u*. do mesli.que ; ~ 23»filin4Ch>rlea Raiilt Casimir 56 an*, ample vé au Kord; Lacroix! 'Sû-gèae Louis, 17 mois

Q ianJjU ly . — VOtô, r r & m fat H itdn Tjtàit43 Morant, il a é ^ .eoariMé « h des anjgei«tU«ûu ri|M W « aae qnii

t e 45 e o u ._ ^ i ,» .» » m. u , été tonst^aito an préjudice d’a n des lads

e H. Gtildon, eo tn io en r, pendant que> deraipr était à X’qxerciG* j — ' ------^Plââto a.dfà t

qui a ouvert une eEùuéie à seule fia déeottjrit- l’authur u s ce vol.. — Eh VTsrrsirm i s <»uJtT8._;;^i.o.gBaBr : m éPisça]il;eorô;9, q ù i,lë 4 7 M arsd « iie r d tïtrfifcT ithFdef'visiter des coUM qu’il avait to iid u , a jM p e e d n t son truvall, U virite inatiendne des tendirinbs qui M ont mis hi th lin au-tien ée collet. -

Ç*‘!d une éb itraifim pàr corps, a é t é rgiiÂMI

■d i*4neig!i>ejiuiil l'BBwWifr’ '

— > 1 “ PpibRÔT. — Le même jour, lepMvrot Godard qui est bien connu, sur la place i^ a iy ja re aégalem ent é tèag a fit -par les

M Mftiu d’un « x fra it/e jng»- tnmit, ef e o p ffa ita ss ià lap rise n d e Senlis pour purger sa p in fc

-“-.R a u ;^ . -a -S « p rv i^a ta lU tfÿ ip ap sr de Chantilly, anrù lieu Mercredi 9 Mai. R sndfi von* fixé à 3 heures, à Cbau- moatel ; la fin au maulin de Luzirches.

C o y e . — R iia . — Dans la soirée du 4 6 courant, une rixe, celà arrive encare ^ s t t fréquemment, a éclaté devant le débit Caaces, entre nn nommé T . . , palfrenier à Lamorlayeet les nommé* G... L ... et L... de é^ le localité.

Üae enquête a été faite à_.c# snjet et procès^varbal dressé e e n ln e à individus.

— tornhotd de la fête de printemps i908— Numéros gagnants dont les lots n ’ont pas encore été réclamés ; 240 — 2C7 — 466 — 7 7 6 4 4 8 7 — 1872,

C rtd F S N em -V ia lo ls . — t ux b t i s t i q ; ^ (ihat|um |B ggirég Me clô­ture le dimanthe fijt’graï, dcmaés par le Cercle artistique danp la salle du tiiéâtM. Les e L d i S ia î^réussies à souhait gtàsa aux ezeellents artistes qui se sentxmmiiuteeieaiià mon­trés à la*«ime<dele6«iSè.~lDlê Van- dexoorde, MmeN... et M. Bertiq gnl i'é tort àpidandtt d ^ leurs rwmnam^jit ehantens; Ig première a déSalemêlil dwuié dcni csun» de H. M ueL ^iân^m s La joune IJÿe» et le * d’uneRose 9 ; ht ssainde nous a charmé par l’air dn < B o c ^ éptds > des « Mousque­taires de la Reingx. stparias conpkets dn « Domino noir > et M/Bertin a chan'é avec tonte son âme s Savarq Torelli » et au * Clair de là Luno », Q saut à l’orches­tre. il fut comme toujours, délicieux ; « A Madrid n et le c Ballet de X aist » exécu­tés en entier nous m ontrèrent qu'il est de plus en p’us parfait; les mandolines aussi ont droit à toutes nos félicitrtions e t ellef eut montré qu’elles ne le cédaient èn r m é leur siué, l’orchestre, par trois efasnnâata morceaux snr : < Sur l’ondey, le j tL ifn AmoiHenz*» et < Sur Iâ’"Bsrgé » R arca- rolle de notre ooneit.yea M. Gnillet, pré- si4ætdB-& £cle.

Là partie théâtrale, disions-nous pins haut, a été aùssi fort réassiè ; nous avons admiré comme il convient h s déimrs de <t Gislaine », pièce en un acte de^Nà®» Riconx dppt les doux vers d’amoifr ont éM in te ip ré ^ PV Ulle Norot aveu Uâmeqàè chacun lui connaît. Quelle gentille châte­laine,niais quelgentit trunh||4qprapssiqqp H.Cohnoht! Les àpplaudissemùùttxé leur furent pas ménagés, ainsi d ’a iilw rs qti’à M. X... d ^ s lo r o l i du d ic et à HM.Lher- mitte et Bonniol dans ceux duprim ir et du comte de Baehis.

Une pièce ti'és amusante éq trois actes terminait là soirée : t Feu Tonpiqqlji ; ce ne fut qu’u n (Ou rire du eomatenosmeitt â la fin. Les personnages féminins ont été

' tenus par Mlles Druelle (Valentioe), Bou­langer [Angélë), LeUévre (Jos^jdime) e t Npirot (ttssalie). D’autre pairi, Cbl- mo.nt,. Lherinitte, Bonniol,et flarbin o ''t droit à tous nos éloges pour Imir jeu par­fait dans les rôles de Dopsrron, Mathieu, Valaury; quant aux personnages de Lftel- lipr e t de Fltel ils ont valu aussi un twau succès à MM. Marie et Dufour.

Ainsi qu’on peut le voir, le Cerôlèhrtis- tiqne a remporté an nouveau succès potfr cette soirée de clétime et neu* devoas éû fé’uR er t ^ .ceuN qiti PBt c râtribué à l’éclat d e ( ^ u r ^ r é ^ t a t i f p ; . , ..

L ap ério ^ /d é repos où ra lu |« - ciété pendant les mois dlété jùê séiyt ^ impre4actîf«; certaines indisei^iioiis nous p .ra n m n td a te croira et'nens eh vêtawis le* preuves au commencement de Ja pre- cbaine laisqntiréâtrale.

C r é p y - e i i - V s ü o i s . — Réuuiox.— Après demain, mardi, 8 mai, huit heures et demie du soir, réunion u-eu.-snc-lle au siège de la Sotié'é café, du commerce des Membres' dg Comité membre; de la Commision (TËipo Itio'ns ;

b rd rè du jonr important.Présence indispensable.

— A cciD ^rs n i travail. Le.25 axril dernier dans la cour de la gare le terras- sior Fontaine A ithnr est tontité d ’un w sgfa chargé de travertè», le D ' Portémér à re^ conna une plaie coutuse du po-'goei droit et a prescrit 8 jours de repos.

L e -28 jlon«Mer-Son jo?r s Puni d e 1 UsiM Clair a eu le doigt blessé à sou tour. Soins du D ''P6rtem ër, 3 joors de re .oi.

Le 30. U m sçin Galonné JiS^ph, ouvrier chez M. lan h é est tombé d'un échafaudage. Contu.ioas au bas de la régioa dorsiiê, 40 jours de repos.

—A la GDtDARnRiu —L’ouvrierpeintie H... a été prié de se tenir â la disposition de la juitice paur avoir apposé des a ‘fiches non maniig.dnTHttbre de dlmeâmdh.

—Les murs deso trevillereçoivcntenee moment les affiches du syndi 'at des typo­graphes accasant notre diractecr-d’iuiirile sévérité â l’égard de ses ouvriers qu’il con­gédia lors de la dernière grève, alo s qu’ils avaient abandonné leur travail en ple.n tiag a :

Notre jédacteuE en chef a exposé la si. tm tioa d'une façon claire' et irréfn'ahle ; l’qlfichà en question othale h .«oléiudas ouvriers qui se lout mis enx-m éaM dans une htosse aitnation.

Pharmacie miTerle. Bouigqugnon, rue .Nitwaale.

D a v y . — A cciprai. — Le 23 avril, le maçon Bpron, au servce-de-M- L a«é .-en - trepreuénr A Grêpÿv travaStait â Duvy, quand il tomba d’un échafaudage se bles­sant â la face, huit jours dq repos.

w V • •

G l« ig ;a e s .-T -P la u iz r — IL L e n y , m »ebattddaheis-A . Sjdnt-JaM)iwnriR>isi - a porté 'plainte coatre Petit A n ^ tq , . Jifi- cbeçwt-à ü l j ^ e q , qui lu i a sojtsf- ’* - —' s tè j te à :^ i^ .(b e n B « é d è i w ' dans le p ire de Séry-M agnm l.

délinquant

s o m m é eGculombel]

'. M o n t ttlris. — L 2» avril, y

■ B e u irê rtO q u e .» '. - -T-Avis.j tera cuver

Etat ci^

JfaUtan

QSÜHe, 90f sotte A freefle, •

don Brock J IM eèe^

« P M e a t iion Victo Modfifite, 1

lanno:

d é ^ L é g i | phanii,flti mmnhred Aiphsad,^la Tille lln s tib ^ J

sentons iqR o c q

nmmeacq 24 avril meau du Roquemod le moteur I

préju'dicej f i r u n e r

. O n au die À une] . Ssdné La populij de Saint j tanta an i habitants I

Diniinn. Saint

^ Le re résultat ( 4904, soif

L Saiy.JOh h o o s j du nom i son tempf non pas, vulgaire ]

. nos prepg Chopinet J •on patro par jonr i A%digier.|

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. mSTS. mit» qm à» L’MmqmêrnnnB]l*QnMBt.A8nttS» It bOBl À-déCOIlTnE f t s t n r A c* T o t q]d B’ttsit q t’cnD«è]lléL^Md8ii»irà&t H hameta da I j t conmmaa de ttmiHrlsje.

ProeèHTertïri t 4tt dressé eonbe ce délicqeact -

i a À i i â * S a t e à > O M i s — Unetiiainte pour Mops a été déposée é la gei- danurie de Neeil’;^«i^TlfcUe par la gommée Ossole Félide, contre le sienr Cenlombél Eofége son mari.

S f o n t a t i d r e . — E cid iO H S l<gisla- tlT(S. — Par art été daptétet en date da i6 aTTil. t»î o p ^ io e s éleetarales asroat lien i ré^ te œateradîe, roe de la Bépi- kliqae, »' <7.

Avis. — La pharnace Gasnier res­tera oaverte te dimanclM 6 maL

£tat civil de Monlalaire du S7 Avrilau 3 Mai i906. r

y a ia a n c e t . — 17 B vaosM rt Florantéa H enri 4r . P a . t . l B gAsdré Sdmard. 30.ïo s t in e , » H an otiin ix E donard Albart, I « Pa- MiBOtte A a d r i» C tlina, 2 ^Gandat^AojoaJ in e Marcana, t . G od ait M aartca B lf f i t , X Vi dan B rock R obert a é m e n t .

m d é de la s i lx S f ^ n dès Poinideca CEcjaBtàtvtd'ailliârà<ia»lt Boorgaeis déârait la p l i e s .é*æa--Iienienant. ' a e * $ e 4 U flea p a g n ie^ â tni-’a dit teztnet

^.temwitrgrn e» eeeifàr obltniir et due r'eetis lüsârex teüs^aoet a a ^ vouera'lier awBibik

QoanJ; a B .p ( ir a e |n t rédn 1 1 em jlojar de4el»B ?ecèiJs q i ’ît se n i l i parti perde».

Vo»bcv{jp. GAM'N MSPABU. —Nous avoas neaaté dans cotre dt^rnier aoméro Vil ssée d’on eiifint. de 41 a ly^qii S7i-dUaEtétaU.à la racber ha da aaa parwta qa’ü avait prrdn lors de ron passage i Se t s an mameat On 11 s’était àrrêtt ponr voir la cavalcade. Ce gm ia qei était v^nn s’-'ctooer à Verbene, et avait été conlcit cbrz .H. Corbon, maire qni loi a docsé amangiB' et l’a fait^on h^r, ce petit |a çoa pour remercier K Corton des beos tom< qaM lai avait prodignéa et Inipconvir a ecanïissancen’at'oevé.'-ien de mitnt que de prt- dre la poaira d’es­campette .ans tambO' r ni trompella de sorte que l'on sedeman'e si Tèn n’a p en iffûre é on escroc en terbe.

Ts*joa''s est il qa’i' a dispahi— Bei.^'r dis GBÉvis — ITans a pr»--

nons qne te IXjtoa gendarnia à rb val de abriga’e de w ^ r i e f$t ren té .armi

flScè, _ 2L Beudia lAuds ChadoUe. 15 jo a nB. Ptadesa A ltaefia^ te » X D ^ ^ G«»-ton Victor, 1 moi» 112. Hochaid Frsrçoi»; Modeste, 11 jo n n .

L sw io r la y e . — C a b i to « o t o a i s . — Onannocce le procbaii mariage da M. PhB Daeanv l 'a , ancien sénateur, Ol&c er de la Ugiete d’h e n n w ame Hidetea Al- pbiDd,fitte dn M. Fa je , sa m st^membre de lInsUtnt et btele-tlte de H. Aipbaîd, aaeiaB diredenr de» trasanx de la Ville de Paris, égeteBŒt teteBire de llnstitiH.Ktete u issex t aux tWtebranx amis qne possèdrat toa frtn » é p n . m m pré- m tons nos meillears vcea de bonbenr.

R o c q a e m o te t . — InaHDix. — ün fOHimencenent d'inceinBe s’ete déclaré le 21 avril vers t h. »/* dn anir au ba meandu Pie-sis-Cb.itteaia commnne de Roqnemont dans tm bangar en se tronre le motenr à pétrole de la Baebne i battre.

M. Henri Péters caltiTatroréprouve un prdjodics dolSOO fr. couvert beurettsemeut par nnd aKurance à l’Hnton.

On attribnn ceco-nmencement d’incen­die i une cause aeeide itella.

Saint-Firmeite. — Bicmstemn. — La population mnnieipate da la commune de Saint Finnin, qui était da 4S03 babi- tsnts au recensemaotde 4901 est de 4495 bibitants au receasamant de 4936.

Oiminntion de 8 hairilants.iiiâmt>L,éoBa»<l. — HaCRisiuBT.

a- Le recen'ement de 4906 a donné un résultat de «38 babitanU, contre 565 en 4994, soit une augmentation de 73 babi-tteltS. -

S i l l y . — Dk feu sb d b db M . Ch o pb sk i Ou Hocs ÉCBiT : — Un cantonnier de l’Stat, du nom de Condron, et habianr SUij pasw MB temps, que les contribuabres payeiit. Bon pas, à réparer les ehentiap, caoame te vulgaire pourrait le croire, mais à faire ene prepsgmide eflrenée en faveur da M. Obopinei. Il déclare aux ouvriers, que si son patron est élu, il* tru'haroitt A francs par jour au lieu da 2 fr.. 50 si c’est Mg Audigier.

nous, retoir des grèves da Coarriére.i, od il est rvs é anvicnn six semaisas.

— C03K31I. — D mancba dorai r 29 avril à quatre heares 4/tdn -o r la société l'Union mnsi.ate de Verbste sens l’bab la direction ds son chef, te. Touvenel, a don­né s ir ia pl x»dn marché en concert qni a t'ès bi n réu si, malgré le mauvaU temps. Uoe l o ^ onamae!» a acclamé, chalau eu- lement nos musfeians.' Un i DisPABiTioîi. — Ute jem e ille Bose Manteau âgé» da quinze ans l / i i disparu dan* la naît de dimanche à luadi.

On pest te'retBute* lés su^ôiîtfoBs au ' nqte de èéit» disparition, im a celte qni ' serait le plap vraisembltetle & notre avis, s’est que Cupidoa n’est pat étrarger à l’affaire. ^ “TOIcjae iiv n teete -V e r b e r ie . — Bxaaisiiuin. — D après les opérations du rvKeasement qui vieanent d’avoir lien, ÔB caÎRite K tff^ i^unu é VOtenen- ve-inr Va barie, centre 181 en 4901, soit une anfr.cntatioe de 35

— Nocviau KAiBi. — 11. Vervsl Hmri, CB’tivateur, vient d’étre élu maire de ViJen. uTe--.ur-y*rbfrte.

— CUCTB DAItS LA (74RRIÈBB. — Parsuite dua ébAufrmsnt qui s'est produit

'ces jo.r<-ci, & la carrière d« sable de Vülene.ve sur-y*iberie (xloité* par H. Rocbart, d-A<bmp'*gne, un homme, deux chvvaux «t ciaq WAgons ont été précipités d'une hsutenr de dix mètres environ au foBd de la carrière ; par bonheur cet acci - dent n'aura pas de suites gr-ves, il n’j a que l’uu des deux choraux qui a été légècdment cootnsioBné. »

P r o p r i é t é s m é d ic in a le s d u c h o u .

Le ch’u, de la famille de* crucifères (4), est connu depuis U plus haute ant quité. 11 j eû a une vingtaine d’eqtèce* etua nombre considérable da vartetés cultivée un peu partout : te cbsu de Beauvais, i larges cdtes, le cfron braucfau. Te cbou brocoli, le chou da Brnxeros, le chou- llsnr, le chou Cavalier, la efim cabns ou rommé, le chou friië, -e'c , e'c. Ceux que l’on ron-omme habitueltemenf, sont pins

pattiiuliéraeeet le» chamc pm m ét ou cabus. snrtDXt le chou de Hila3,teche« Qaiebdr «u d ’Alsaea, te chou de Bm ei-

' Itei te cBaufliuf et te broimli... Bous ne vcn ’-rs pas parier du chou-rave et du çT.ou navet. £* câdtsre es est généra- tem^ Lete ' e t i la portée da tout le. nunde.

L'.Antqaité a Ihit te plus grand usage d î chôi et il faisait partiè des Théria- q es ou codex aceias. Prenant rang parmi 'es yrinc'paiés stibstances tég'ta- les que teiihr'date axait mises en wgne, on en avait fait une espère d’élecinvire, ou panacée universelle, destiné i guérir tons tes ma’ i d’une façon fort coU'euse et incrojable i prendre. Du ro’te, le chon rouge est encore pré leux peur f3ire.(Tez celtents sirop* contre la ioui et la b'ou cbite.

L’eogonemmit de nos ancêtres a bien dimirné et ob est h> bUué à ne plus avoir dac* te ( hou bu’un légume vulgaire, que beancoup de- gens estiment médiocre­ment et regardent à peine, fions ne vou­lons parler icTque des qualités du chou vu'gaire, du chou pomme (Bfassica ole- racea):

Les cabas ont é é considérés dés la plus hante aaX'quité, nous d't un rédacteur du Coeae'-e- un reméd î précieux poircou'batira la b’te, la goutle, e'c. ; etcomme un pcteervatif de la peste.

Leurs vertus ont été célébrées par Py- thagofe.

Hippocrat» prescrivait le cbou cuit con­tra la ceKque et la dysenietie.

Gallien, après Dteucbès, doitt il rap- peUa I* traité spécial sur le cbc u, en pro­clame également les qualités bienfaisan­tes.

Jutes Ifassé recommande également la traitamsot du docteur Bécamier, en indi­quant qu'il faut enlever la nervure mé- tiane des feuiltes en méoiâ temps qu’on les contuse grossièrement pour les faufiler l'une sur l’aufre, par trois, quatre ou cinq auBlès;ntfBB4ffiuiflb unuuiw avant de les

douloureuse, où on les ma'ntieit picdant dix à douze heures, pour les remptecarparun autre cataplasme ou uuJit d’ouate.

A]>uion* qaela décoction da la g-aine da cbou est vantée comme’veimifage pour les entent*.

On m'obyecte que le chou est lourd à d^érer. Je dis non, si on le cnit arec six à dix gousses d’ail'et un peu de bicarbonate de sénde. En tout cas, cuit par moirié avec des pommes de terre, U est, même déjà seul, maùf surtout ainsi, un bon diarétiq e utile anx aithritiquu. De plus, le cbou d’Alsaea coupé et mis fermenter avec du tel, danne une cboacrcute exceil nte avec de l’aetee lactique pour la faire bien digé­rer selon qu’on sait l’assaisonner.

En voila a*sez; nous pourrions singu­lièrement allonger cette liste des bieifiits du chou ; il teut se borner, et cela sulfit ponr que désormais le* lecteurs ânJoumal puissent se mettre à l’abri de tous les mata. Qn’ils se souviennent cependant, dans l’intérét du prochain, que le chou a cattaine vertu d’ordre particnliar et que ceux qui sèment le vent s’exposent à ré­colter Ta tempête !

Quoi qu’il en soit, l’usée de cette pana- ienr permettra d’économiser les visites du médecin et les notes du pbarmtcien, or, en ces t e ^ s de misère, c’est une considé­ration qui n’est p u ù négliger,f Journal de la Santé ) D'-Rossblot.

( l ) . l i e s t en ten d u qne ch aq ue rédacteur est resp on sab le de so n op in ion ; i l a le droit de baser son op in ion su r IfS foD cth ies de son estom ac... moi» p er so n n e U e m e & t» n e p n is le diriger I DtF.M.

P r i è r e a m es e o n e s p o o d a ia t s d e it'écxéxm q o e d 'u n c ô t é d e fm aOlet, a f in d e IteciU ter le tira- vra& dea compoattenrei.

Hm. jagem ^t deUn qMtefit traversât à teBigT&&suan

vfllam de l’a rondissèment de Picr ’ Une ltnne euBene put se gwer & eut leepaltes'brL’é 's Aux cris-des ebde la vtffttfflè, la terinièré sortit de sa

. c^sitteetarri.ri ju te pour éfre témqin du limllleut. La cycliste f vait saUté de sa ma- ciiiae d attmidait, voulant rèpirdr te dom- msgu qu’il a n it causé.

— Inutile dë crier, dit-il, ni mêate de so:f4tehm7 j’ai estropié une eace, je le re­grette et jë liais vous te psyer. Combien valait-elle?

— Deux francs, répondirent les detu époux.

- • Votre ettimstion est peut-être bien un peu terrée, loilà 4 fr. 50, gardez votre cane:..

— Nous n’avons pas 1 habitude de mau- gm noure volaille : donnez-nous 2 francs, l’oiseau est à voas

Là-dessus, discussions, (ris. Â la fin, les denx parties décident de s’eu rapporter au cantoniner, qni se rapproche an bruit de la discussion.

Le cantonnier rffléchit un iestant et pronorça : — Vous, monsieur, donnez moi 4 fr. 50 que vous offrez.. j ’ajoute 50 cen imes de ma pocbe pour compléter la somme rétfamée de 2 francs, et je garde la ra re dont vous ne voulez ni l’an ni l’anfre.

Aiasi fut fait, et, chose ra-e, les plai­deurs furent satisfaits... et le juge aussi.

k Bos Leeleeps et GoFpespoBànts AVIS IM PO RTA N T

Nous rappelons instamment à nos aimables correspondants que toute communication destinée à la publicité : articles, faits divers, avis, réclames ou annonces, doit nous parvenir a u p lu s ta rd p a r le d e rn ie r c o u rr ie r d a m a rd i oa d u v end red i de chaque se­maine.

Sa^f! le s cas d ’e.xtrêm e n r- ETcnce. lès correspondances qui ne nous parviendront que dans la matinée d u m erc red i ou du sam ed i seront renvoyées a n n iunéro .solvant.

Ce nombre d’informations que nous recevons à l a d e rn iè re b e n re augmentant chaque jour, nous sommes dans l’obligation d’adopter cette mesure pour la régularité des services de nos abonnés et de nos dépôts.

L’Esprit des autres.G odiveau va doaner u n e soirée.— Q ue n ou s chan teras-tu , fîilUe? demander

t-il à M lle G odiveau, excellen te m u sicienn e,•o Q ui au ras-tu com m e io y iîé s f— D’abord, Balindard, le gros m archand de

bois...Eb b ien , je chanterai G ala tkéc... l ’a ir de

la coupe.

L a fem m e d ’un h au t fonction n aire d es p os­te s e t télégrap h es gronde son p e tit garçon.

S i tu n’e s pas sage, lu i d it-elle , j e te m et­trai dans le cab in et noir.

> Je B’en a l pas peur... fa it le bam bin. P ap a a d it l’autre jou r qu’i l n 'y en a p lu s 1

'— 0 —

En cour d’assise s.P ltanchard com parait com m e tém o in à d é­

ch arge e t c ite des fa its to u t à la lou an ge de l’a cc u sé .

— V o tre d ép osition e s t a ltérée, lu i d it l’avo­c a t gén éra l.• — R ien d’éton n ant à ça , rip oste P ltanchard,

o ilà tro is h eures que durent le s débats e t je -n’ a i pas p u sortir pour prendre un verre 1

S o r te b ou l«v» rf,C «de^ * un « m l:

r f o e i t r f t e ^

U n b rav e m étayer d i s ^ d e n ito ré m & t^ ^ f f de ne s jtran ds agriculteurs» cB b n vu ttiraart

( la béta il de s<m doibiaiBa : _■—'.Ab! monsieur» j e t t e saiv p a s pourquoi

e a pa rie t n t de la race bov^e,teJtt»U niiM i< ' sine lu i e s t p o u rtan t b ien sapérieu re !

-lO—S ur le perfon de la Bourse r— V ous co cnaisse i ce n tfn s iéu f qu i v ient

de passer devan t nous ?»—• Beaucoup... aussi je n e le salué pti.— C’e s t donc p on r câa qu 'en vous aperce*

van i, il a détourné la tè te ?— Ah ! s’il n ’avd îtJam ais détourné que cala!

SeîOûtESRIGOLESRIGOLES

DIOESniV

S É le is iâASSÀIHlf

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Far r^ ^ c a d o n de son amFaff, dont il est te .sw propriétaire, M. \xacl)al*’a - gage.àÏBteiniemc toutes tes hemieBOtl qu’enfroiff lo vélums ou l’anciennoté, des­centes, ruptures, cassures, âii'B 'y taav» la gnériaos radicale par des milUtrs ia t - testatione identiques à la suivasle ;

Toici une lettre de constatation ;< J'ai at'endu 6 ans pour vous r e o ^ îe r

de mon entière guéris'io, obtenu m i mois, par votre nouveau bandage Sm- pape. De^oh, je n’ai jamais vu repiralfr» ma hernie. Je suis heureuse de vous en­voyer (ieUe attestation ciHnme gage de b m èterBeHrrëeennaissance.

Madame DESBODBSES, ffouvelte Q t^ Fosse r i 3, à Lens (B.-de-C.).

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L'adjudicatiott aorâ lieu le M u n c h e 2 7 M a i 1 9 0 9 ,

è deux hessrt* de rflevé^ b iB l a t r i e l a T t — Al-— a IA bb

pir le vwi-vitttAy de AL* R icjluid,, aoteire à Pori-Saiate-Mazeflce,

coaia ie à cet efièt»

Monsieur Léon Grenier» maçon, meuRUit à Montlaville, ooamBue de Vezneeil-sar-Oite.

« Agissant an nom et comme su- m brogé-tnteur du mineur Noël • Goieet^sas-nommê, nommé à cette « fisnc^ u par délibération du ron- « séil de-£nnillé dudit mineur.tenue « sous la présidence de Monsieur « lë Jugé de paiz de Pont-Sainte- « Mazence» le vingt-six jajuier. mü « neuf cent-siz. »

II sera procédé- S la vente stop îlcxta^ (îqb, pg» adjudicahon, aux encheves pubSques et am plus offrant et dernier enchérieeeur, le D im atiehe vingt-sept M ai m il n eu f ceèa-six, à deu x heattre* dsrs lévée , en la M airie de Vem suUr sur-Otsè êt psr le m in istre de

notaire A Pont-Saiato-Maxence, oomm's A cet odet, des Immeubles dont U désiguâtion suit :

Pr m ûr LotUne K ttis«a»siM à lfontlavilie»-COii-

«vKtmnt on cinq pièces par bas» appentis le fond de u cour, cellier denière,

eteTB sous les I âtimentA» sur la rue grange et écurie avec grenier au-dessus, p etto étalde» toit à porcs, porte cochëre, cour avec pompe.

Jardin deoiëre les bâtiments.Ta tout j compris remp'acm nnt des

bâtiments d’une contenance de dix-neuf Tinit centiares» portée au cadasti^

■octiog C, numéros I2TO, partie à 1275 poux 10 are« 40 centiare», tient

3'uncété Monsieur Havy Zéphir»d'autN; d’OU bOUt le ÏOSSé

Maeard, et d’autre bori la rue de Mont- lâville.

Mryt â prix : 9 j5® 0

Beuxûme LotTran£e-8épt ares quatre-Tingts cen­

tiares de terre.terroir de Vcrneml, heu ■ffitTes Tlbceaux, cadastres, section A, jB u n é ïo lîS a partie, tenant d’un côté lé » héritiers Doudie. d'autre cote les Triritierr Salenrin ; d’un bout les Pla- ' rpMTH- fit .'d’a u tn bout M. Charles Le- cvnbest.

ir iM ip E x s :

d'autre côté M. Benoist ; d’un bout M. Charles Léramhert et d’autre bout le chemin de la VâHée Saintc-Genc- viève.

Mise â prix : 1 6 0 ûr.

Stpiîème LotSix ares trentosept céhtiases de bris,

lieu dit les Grouettes, cadastrés, sec- tiou A, numéros 1109. partie, IllOpartie et 1111 partie, tenant d un côté Mennes- bier, d'autre côté Perceval; d'un bout le chemin des Qrouettes et d’autre bout plttsîeues.

Mise à prix ; 4 0 fr.

Huitième LotSept ares seixante-dix centiares de

friche, lieu dit les OzonatSes. cadastrés, section A , sumésD l l l i partie, tenaai d’un côté, veuve Lhirondelle, d’autre côté Grison-Ledoux ; d’un bout les côtes .dfl la YaHée et dfautra bout M* Goiset»

Mi&e à prix : SO fr.

Neuvième LotDeux ares rinqnante-ciuq centiares de

terre, mêmes terroir et lien dit, cada»* très, section A , numéro IU 8 pour un» contenance de deux ares quatre-vingt’ quinze centiares, tenant d’un côté Mon- ffiaur Tbtodore Larsonnicr- Grison : d’antre côté Madame veuve Poucalet : d’un bout M. Théophile Rousseau et d'autre bout M. Théodore Larsonnier- Qrisou.

Mise â prix t B O fr.

Dizième LotQuatre ares soixante-dix-huit centia­

res de terre, même terroir, lieu <ht la Récompense, cadastrés, section CŸ nu­méro 660, pour quatre ares quatre-vingt- cinq centiares, tenant d’on côté M. Lé- rambert; d’autre côté M. Goset Joseph; d’un bout les héritiers Leclerc et d au­tre bout le chemin.

Mise à prix :

tk £tit savoir à tous ceux ija ’i l sp* toundra : -J k ’eu exécution d'an j n g e ^ ^ e o ^*6etoirement r e n & p a r i e ’TWbim r i ^^ d e première in sta n ced r S er in ^ ir

mil neuf, cent-sixg finr riptré’w

requêtes, poursuite et diü- d’autre côté du midip ea v d a i vr«itste h*,»» kont M.^^^tittièmeut. — Monsieur Geoxms 'ton» cafetier, demeurant à ScinVYxr-*5 (Oi»r. - •’Bmriinnmt. — MiHuinir AsdA y v y , enlÜTÎtwir, demourMit à Yen- tofi-TOT^Oiee.

• Ag»«— en qoaüté d'hfritiers • riiacan pour un tiers de M* Dieu- ■ donné Griaet» en soa vivant en- « trepnneur de travanz puMics.

• )*nvier «»îi nenf centrix . • d j û t M* Savasx pour avoué.

prtooGe OB W Idûment appelé

A AgusanL awi» m»».. y». ■<. » i• m comme tateurnatorel etB ifri.• e»r ‘ ‘

H oèl, m lliva*_________ j1 enr Qtoi.

« Agtoant an. s<a nom personiml • comme tateurnatorel etB ifid GharlflU MoéU ^ mioeur,• ri kYaamàdrmr-Qâa^tmtma^• cinq tori m il n eu f euBtimarde

•Goiset, son *^eniîrBil, Ja.

âavaumm» décédéO à

• m i s i a i im ^ I n t t n a n S c S m - V t e s . .

9>gt ](• SiteteBM*» m r c»aé. *■ m fMmaaa «IW^4~

lés:

Troisième LotTRnte-hnit M » 30 centiare» de bol»,

m P t a e e n s , «c tion A , numéro IS A partie.' ten sst d’m côté du n ort l'article Diécédent, d’autre .côté du midi le che- w S iX fT m T iffiê , d’un bout M. Létsm- bert, d'autre bout les vendeurs.

Miae k pria t 8» fir.Quatrième Lot

Trente-tpoia are» de- boi», m ^ e ter­roir, lieu dit le» P laceeoi, cadastrés, Kctiou A . miméro 1260 pmtie, _poi» vinet-neuf æ a tiente-lm it centiares,

d -te n t té Jules S t ^ l , . ; dten're oôtè les Ixéritiers Salentin ; d'uu bout fL. X^àoibert, e t d’autre bout aiB R s -

JCae k prix : £sl

Cinquième Lot Q uanste-sept are» de bede, m taee

terreir et lien £ t , cadastrés, sectisn A, in s ié r a 1*52 potâe, pour quanntmcféii ares soixanteimx-kBit centtarea, tenant -d’un eé ié M. Chaoles LérmubeeM'ant». cOté fr» héritien Saleniin^ (Fus bout Monsieor Rngéue L edouv, et f w t r e bout les Placeauz.

-M ise-hprixt 6 # # f r .

S'sihno Lot

6 5 fr.

côté Madame veuve Boulnois ; d'autre cété Monsifiur Havv Maurice ; d'on bout le ch»min du Mflîeû et d autre beat le chemin de la Vigne Dourdan.

BCse à prix : 1 9 0 fre

Quinzième LotQuarante ares soixante-six centiares

de ttttre, même terroir, lieu dit la Ré­compense» cadastrés, section C, numéro 741, pour quatre-vingts ares, tenant d'on côté plusieors ; d'autre côté M. Havy Maurice ; d'un bont Madame veuve Lbi- rondrilô et d'autrs bont Madame veuve Toullier.

Mise à prix : 9 0 0 fr.

Seizième LctSix ares trente-sept centiares de terre,

môme terroir, lieu, dit la Mare aux Cor­beaux, cadastrés» seêtion 6 , numéro 417 pour six ares quâtre-vlngt-quinze cen­tiares, tenant d’un, côté ranutia 22 ci-

Onsième LotCinq ares dix centiares de bois et fri­

che. même terroir, lieu dit les Côtes de Vmllon du Midi, cadastrés, section B, amnéros 299 partie, 3*j0 partie et 3îH p., tenant d'un côté M. Larsonnier-Grison ; d’autre côté les carrières ; d'un bout M. Dupont et d'autre bout plusieurs.

Mise à prix : 9 9 &

Douzième LotSept ares srizante-siz centiares "de

bois, à Mo&t!a^'iile, lien dit les Côtes de yailloa du Nord, ou la eavée Loriot, cadastres, section C, numéro 3 J^rtie» pour sept aces vingt-deux centiares, te­nant d'nacôtéieahéritiers Louis 'Wasse; dAriractité las horitièrsBanaîst.;,d'aa bout la cavée Loriot et d’autre bout anx (Orres.

Mise à prix : 3 0 fr.

Treizième LotTrois aces trente-deux centiar^ to

terre et bois» même terroir, lien dit les Côtes de VriUon du Mid^ cadastrés, section B, numéro 347, pour trois arer scixanîe-dix centiares, tenant des denx

après; d’autre côté M. Morin; d’un bout M. Théophile Havy, et d’autre bout le chemin d e là Queue des Bois.

Mise â prix : 1 3 8 fr.

Dix septième LotDix-neuf ares quinze ceotiires de

terre» même teTroir, lieu dit l'Aigillière, cadastrés» section C» numéro 15?» pour vingt ares qnatre-vingt-cinq cen'iares, tenant d'un côté M. Havy Maurice, d’antre côté M. Théophile Drueiie ; d'un bout an bois et d'autre bout M. Havy Maurice et autres.

Mise à prix : 3 7 5 fr.

Dix-huit ème LotDeux ares soixante-quinze centiares

de terre, même terroir, iieu dit la Queue de ^ is » cadastrés, section C, numéro 8ti5, pour denx ares quarante-cinq cen­tiares» tenant d’un côte Madame veuve Bd. Touillitr» d'autre côté plusieurs, d’un bout r»rticle 26 et d’autre bout M. de Rothschild.

Mise à prix : S 5 fr.

Dix-neuvième LotNeuf ares cinquante-sept centiares de

terre, même terroir, lieu dit les Tron- ces» cadastré.^, section B, numéro 244, onr dohze ares quinze centiares, tdnaui

Jun côté M. Morin. d’autre côté l'arti­cle 18, d’un bout M. Ruskoné, d’autre hnm les héririers Séguin.

Mise à prix; 4 9 0 &.'

vingtième LotU n Cttvps d e F e r m e , sis à Verneuil,-

consistant en divers bâtiments d’habita­tion et d’exploitation, cour et jardin derrière» d’une contenance totale de vingt ares quvraate-quaire c., cadastrés, section C, numéros ^^-993. tenant d’un côté M. Leroux-Pol, de Kogent-Ies- Yiergea, de l’antre côté la rue des Grange», d’un bout Madame veuve Lhi­rondelle et d’autre bout Madame veuve Grison-Ledoux.

Mise A p rix : 1 0 ,0 0 0 fr.

Vingl-et-vnüme LotHuit ares de terre, même terroir, lieu

dit les Tronces, cadastrés, section B,

rayon et d’autre bout aux terres.B H s e ip r ix t 1 8 fr.

Quatorzième Lotl^ n i arrâ c in q u ^ e-h n it centiares de

terre, même terroir» lieu dit la Yigne Doiunaii ou les Trnnces» cadastrés, sec- t o u B » m é r o 200, pour huit ares som sftt-q toize centiaxe*, t e ç n t f m

d e Scnlis» d'un b k nnmâtoJSlti» tenant d’un côté à r.irticle16, ci-devant : d'autre cÔ:é M. Théo- p l^ e Havy; d’uu bout M. Ruskonê et d’entre bont les héritiers Séguin. 'H B e à ' p m : d d O fr .

Ttngt-deuxilme LotDouze ares cinquante centiares de

tara» même terroir, lieu dit la Charbon- |uèiu, cadastrés, section C, numéro 276,

pour onze ares vingt centiares, tenant u’un côiê les héritiers Salentin : d’autre côté M. FraBçois Perceval. d’un bout M. Pinsson et d’au tre bout le petit che­min de Sentis.

Mise â prix : 3 2 0 fr.

Vingt-troisième LotCinq ares qnatrc-v in^-deux centiares

de bois, même terroir, lieu dit les Côtes de Vaillon, cadastrés, section C, nu­méro 2 panie, pour cinq ares quatre- vingts centiares, tenant d 'un côte les héritiers Drmeüe, d’autre côté plusieurs; d’un bout la Cavèe Loriot e t d’autre bout les héritiers Béquet.

Mise à prix s 2 0 fr.

Vingt-quatri>me LotSix ares trente-neuf ceaiiare» do terre,

même terroir, lieu dit la M are aux Cor­beaux. cadastrés, section C, numéro 41S, pour six ares quatre-vingt-quinze caaüa- res, tenant d’un côté l’article 13 ci-de­vant ; d 'au tre côté M. de Rothschild, d 'un bout M. Théophile Havy ef d'autre bout le chemin de la Queue de Bois.

Mise à prij^ : I S O f r .

Vingt-c'nquüm e LotHuit ares quaraaie-cicq centiares de

terre, môme terroir, lieu d it la Cavée Louis Dooche. cadastrês.^ectiou D, nu­méro 794, pour huit ares quarante-cinq ceutiares. tenant d 'un côté M. Deneuf- maison, d 'autre côté M. Em ery Valen- tin, d 'un bout M. Baptiste Berna et d 'autre bout la Gavée Louis Douche.

Mise â prix : 5 0 fr.

vingt-sixième LotV ingt-neuf ares de terre, mémo ter­

roir. heu dit la Cavée Louis Douch®. cadastré», section D. numéro 76ÿ, pour trente arcs quarante centiares, tenant d'un côté Madame veuve Larue, d 'autre côté la m êm e; d 'un bout Monsieur Bouffé H^nri et d 'au’re bout la petite Cavée de CreiL

Mise â prix : lO O fr.

Vingt-septième LotHuit a re i seize centiares de ja rd in et

bois, à Verneuil, cadastrés,.section D, numéros 901 partie, 905 partie, 906-907 partie, pour quinze arcs soixante-dix- neuf centiares, tenant d 'un côté Mon­sieur Luce, d’autre côte Madame veuve Lecomte ; d’un bout Madame veuve Deaubonne et d 'au tre bout la rue de la Mivoie.

Mise à prix : 3 9 0 fr.

vingt-huitième LotQuatorze ares trente-sept centiares de

terre, même terro ir, lieu dit la Cavée Douche, cadastrés, section D, numéros ÿ2ô ét 8‘?T, pour seize ares quinze cen­tiares. tenant d’un côté Madame veirre Del&ruelle, d’autre côté la succession Fontaine-Seigné : d’un bout M onâetir

.Bourdon et d’autre bout Madame veuve Deaubonne.

Mise à prix : 3 0 fr.Tingt-neuxième Lot

Deux ares quarante-cinq centiares de te rre , même te rro ir , lieu d it la Queue de Bois, cadastrés, section C, numéro 805, pour d®ui ares quarante-cinq cen­tiares, tenant d’un côté plusieurs, d’au­tre côté Madame veuve TouMier : d’un bout l’article 15 et d 'autre bout Mon- sTéhr Bôucompague.

Mise â prix : 3 5 fr.

la Cavée Louis Douche, cadastré?,' sec­tion D. numéros 709 et X7m. p*cir seize ares U’eme centiares, tenant d 'un eOte Monsieur F rigaax . d’autre côté l'article 23 : d’un bout Monsieur Bouffé et d’au­tre bouc la Cavée de l'Eglise ou de Crcil.

Mise à prix : 8 0 fr.

Trente-et-anume LotTrente-sept ares quatre-vingts centia­

res de bois et friche, même terro ir, lieu dit les P laceaui. tenant d’un côté i'arti­cle 29 ci-après, d 'a'jfre côté Monsieur Lêram bert ; d'un bout plusieurs et d’uutre bout plusieurs, <'adastrés, section

numéros 1254 et 1255, pour trente et un ares dix centiares.

Mise â prix : 8 5 fr.

Trente deuxième LotQuatre-vingts ares de buis et friche,

même terro ir, liou dit les Piaceaux. ca­dastrés, section A, numéro 1257, pour quatre*vingt-quinze ares soixante-fiuinze centiares» tenant d 'un côté à l'article 3f ci-après ; d 'autre côté M onsieur Lérom- bert, d 'un bout les héritiers Ledoux et et d’autre bout Madame veuve Vallé.

Mise à prix : 1 7 5 fr.

Trente troisième LotCinq ares dix centiares de bois.même

terroir, lieu dit les ('ôtes de Vaillon du Midi, cadastrés, section B. numéro 356 p an ie , pour quatre ares cinquante cen­tiares, teo.ant d 'un côié Mousieiir Bci- lanuer. d’autre côté M. Maurice Grison: d’un bout M onsieur' Douche ; d'autre bout l’article ci-après*

Mise â prix ; 5 0 fr.

Trente-quatrième LotCinq ares vingt-huit ceutiarcs de bui«

Ueu d it la, Vigne D uurdaa uu ;es Côtes de Vaillon du Midi, cadastrés, section E, numéro 356 parti?, tenant d 'un côte Monsieur Grison-Ledoux. d'autre côté h représentant ("Vrison : d'un bout le che- mm et d 'au tre bout la commune de V er- neniL

Mise â prix : ' i 0 ir.

Trente-cinqüüme LotSept ares quatorze centiares de bois,

même te rro ir, lieu dit les Côtes de Vaii- lon du Midi, cadastré?, section 3 , nu­méros 325 partie et 326 partie, tenant d 'un côté M uusieur Héron, d 'autre coté Madame veuve Touiilicr ; d’un bout un inconnu-et d 'au tre bout un incuanu.

Mise à prix : 4 5 ù*.

, Trente-sixième LotDix-neuf ares quinze centiares de terre,

même terro ir, li ïu d it la Vigne Dour J.ao, cadastrés, section B, uim riro 194. pour vingt-et-un arcs dis centiares, tenant - ’nd côté M onsieur Désiré Druelle, d’autre côté les hérit'ers G rir:n-.\b îsis ; d’un bout M onsieur Théodore Larson- nier, et d 'au tre bout le che.min du nii- lidQ.

Mise à prix : 4 3 5 fr.

Trente-seplième LotDouze ares soixante-dix-sept centiares

d» terre, même terro ir, lieu dit la Char­bonnière, cadastrés» section C, numéro z î7 , tenant d 'un côté plusieurs, d 'autre côté les héritiers Goiset : d 'un beu*- Pinsson et d’autre bout le petit chemin de Benlis.

Mise à prix : 3 4 0 fr.

Saifjte-Geneviève, cadastrés, section A, numéro 1137 p.-irtie, tenant d’un côté la Cavée des Tronces, d ’autre côté plu­sieurs : d 'un bout Caillot, d 'au tre bout au chemin de F ont.

Mise à prix : 8 0 fr.

Trente-neuvième LotE t neuf ares cinquante-sept centiares

de terre et boi«. même terro ir, lieu dit la Vigne Dourdan, cadastrés» section B» numéro 292 pour sept ares quarante centiares, tenant d 'un côte Havy, d’autre côté M ennessier : d 'un bout Sauvai Emile et d 'au tre bout plusieurs.

8 0 fr.Mise â prjx ;

T O T A L D E 9 M IS E S A P E L E

Trentième LotD ix*M f m » quinze centiares de fri-

cli’s 0» c u iiè r n , même terroir, lieu dit

Trente-huitième LotN euf ares c'mquante-sept centiares de

bois, même terroir, lieu dit la Vallée

F our le F ' lot, sur la mise à prixde...................................... 5 , 5 0 0 fr.

Pour le 2‘ lot, sue la mise â prix d e . . . . . . . . 3 5 0

Pour le’3* lot, sur lamise â p*ix d e .............. 8 8

P our le 4* loi, sur lamise à prix de.............. 8 8

P our le 5* lot, sur lamise à prix d e 4 0 0

Pour le 6* lot, snr lamile à prix de 1 6 0

F our ie 7* lo», sur lamise à prix de 4 0

P o a r le S* lot, sur la mise ù prix de S v

P o u r‘le 9* lot, sur lamise â prix de ............... 4 0

Pour le 10* lot, sur la mise à pri.v d e . . . . . . . . 0 8 ,■ Pour le IL* lot, snr lamise à. prix de............. 8 0

P our le 12* lot. sur lamise â prix de..............« 3 0

F our le 13* lot, stzr lamise à prix de 4 8

P our le 14* lot, sur lamise à prix de ..............* 4 9 0

Pour le 15* Ici, sur lamise à prix de 9 0 0

Pour le 16’ lot, sur lamise à prix de 4 8 5

P o u rle 17* lot, su r la ^mise à prix d e ............... 3 7 3

P our le 18* lot, su r lamise â prix de 3 5

P our le 19* lot» su r lamise à prix d e 4 8 0

P our le 20* lot, su r lamise à prix d e .............. 4 0 > 0 0 0

P our le 21* lot, sur lamise â prix de 4 4 0

P our le 22* lot, sur laâ prix de 3 3 0

Pour*ie 23* lot, sur lamise à prix de............... 3 0

P our le 24* lot, sur lamise à prix de................ 1 8 0

P o u rie z5* lot, sur lamise à prix de.............. 5 0

P our le 26* lot, su r iamise û prix de............... 4 0 0

P eu r l e 27' lot, sur lam«?e â prix d e .............. 3 9 0

P our le 28* lot, sur iamise à prix de............... 2 0

Pour le z9* lot, su r lamise à prix d e .............. 3 5

P our le .%• lot, sur lamise â prix d e 9 0

F our le 31* lot, su r lamise à prix d e .............. 8 5

Pour ie 32* lot, su r la mise h prix d e . . . . . . . . 4 7 5

P our le 33* lot, su r lamise â prix de ............... 5 0

Pour le 34® lot. su r lamise â prix da.............. 4 0

Four le 33* lot, sur lamise â prix d e ............... 4 8

i P o u rle3 6 * lo t, s u r la

mise à prix de..............Pour le 37* lot, sur la

mise à prix d e . . . . . . . .Pourie 38* lot, sur la

mise à prix de..............Ponr le 39* lot, sur la

mise â prix do..............

Total des Mises à prix.................................

4 3 8

3 4 0

8 0

4 8 » « 6 0 fr.

F ait et rédigé par l'avoué poursulTtoè soussigné»

Senlls, le 30 avril 1906.Signé ; 0 . SAVARY.

S adrésser p o u r Us reTUcignememts :1* A M* SAY A BT» avoué à 8 « I is ,

poursuivant la vente ;2* A M* SAINTE-BRUNE, aveaé à

Senlis» présent â la vente ;3* Et â M* RICHARD, notaire à

Pont-Sainte-M axence, dépositaire du cahier des ehai^es.

A rt. 2 -- - -G R E F FE

DU TRIBUNAL DE COMMBRCB DE SENLIS

(Oise).

CON'CORDAT

Le? créancier? de la faillite du ;ÿeur De.'NOux Eiiuêne. dit Donon, dit Car­dinal. dit Denuiiy, etc., ancien m ar- ch.aud eu i-pie"i*irt. mm esiiblesot grains, dem eurant c:-devaut ii .Saint - LÂ>na«^ près Senlis Oise, et dorénavaiti à Saint- (Termain-les-Couilly. rrc s Meaux, sdnl invités :i se trouver le vendred i onse m at m il n e u f cent s ix , à dix heures et iemie du matin au greffe du T rib u n ^

de Commerce de Senlis, Place S ^ t - Pierre. â l'effet de délibérer su r un con­cordat à la suite ' des proposition» qui pourraient être faites par le déhiteurg

P ou r insertion :Le Greffier du T r ib u n a l

t MIGNOT.

Etude de M* DELAUNAY, noltiir» â Senlis.

.\diuili<^ition ô Senlis. en l'étude et par le ministère de M* Df'iaunay, M m ard i 15 m a i 1906, d'une t n t e o M sise à Senli.«. rue de r.\pport-au-Pain ,

’ 16. et rue du Long-Filet. — S'adîfl»- T à M* Delaunay. noiaire.

Etude de M* M EZIERE, notaire

A-ijudicaiion volontaire en la istir ie e Thnry-en-v'oiois, par le ministère, de i" .Nlêzicre. noiaire â Betz, le dtm ute-

che 12 m ai 1906, à 2 hetsres, dMse tn a if io e h o T ir g e o is e avec cour, jhr- din et dépendances, et d'un beau ja ra a de 10 ares 73 centiares, le tout sfr- k Thury-en-Valois. — S’adresser fr- 34* Mèrière notaire. ~ X '

X *M B É T 9 9 8 ’

Adjud'cation volontaire p a r le 1ère de 51* Mézière, notaire, enTgLmjto» de Thimy-en-Valois, le ifr tn n m lfîj^ m ai 19C6. à trais A* u-*#», sise à Thurv-en-Valois. rue de M arô e^

S 'ad resse ra M*.

V o ir la su ite des judic ia ire* p a g e 4.

r jc m c iA ïB E S “

» 5.Bt d i de?ir' r sC A V T ,

IKfvaé à S t f ï l i i X n ie de Yi'levert.-ryT* *

•e W U C E

l) '!» jageüiBfc ^ àd ft eonfradic^oire Bmb( entre iM ^ ak ic s par le Tnbuoal 9Ü ÎI de !Jenlis le deux tnai mil neuf ciaq, co*ejei8tré, coofirraé dar un «n et d e là C o u m i^ ie l d*Amxene du TÎogt-

i ' n d l^ a ü neof eent six, enre- • ifW » * :

Bjqn* 1 il *i^>€rt :One le Tribunal a prononcé le dtvorce

•n tl» Memidevr Loms LimastOn, ségo* ô â à t deméQi> nt à Flaütîr et la do me A m a n Kae Pkan, sa femme, dosiicâlée de.drotlA HUÎlfy, m aiï résidant de fait à U Cbipê'Ùft-en-SerYal, ch^ï Moa ieurPéat^ soapêrc et ce, à la rc<iuê:e et au profit chacun d'eox ;

Paît et rédigé par l ’aToué soussign?, A Seu^s, le cinq mai mil neuf cent

six.V S^gné : Louis ESCAVY.

Akt. 6.Btude de Lo b I h tS C A V r ,

aTOtté à SenUs, 7 m e de VUlevert.

• —— i • éruDM w t —.«»_H t» L o u i s ï S G A W ,

i Senli»,7* tn e £ VillcTort ;

a m b > r d ,

DIVORCE

jag.xncnt contrad'cloîrementTWidl p « 1» Tribunal ci'il il: Seuils,

B ’oa

i f v m i c » '- agréé a Senlis,

m e Eu Ghétel.

V E N T Es u r p u ^ J x ^ ’a l i o n s j v d i c i a r t S j

^ fall'Ite»DR-: 1*

m i o u i i ^sUré à D tiV V ,

canton de Crépj'-eû-Vplois»jdit te «oui « Sainte C-lherine;

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£tnde de H* FERKT,. notaire k BéthlsT-Saint'FUTre.

A «en dre i F a i b l e , o n e 3K!Au«»r l usage de boucherie, et s » sU à aforieuTal, le tont Icné- Jvsq u ts 1918, moyenuantéKO franc* par an. — Tadresset à M' Ferry, uotaire.

i I D I T Don? appoi'^ttimeots fix=-t ^ ou fortes remises, homin*'

I dame, peur place* b n lïp -i rf*«ttve •’.ivoas et cafés. Mais'U -rès sérieuse.' écrire : U. TEOMASSIN, à Saîo*.

207

le neuf jaaricr in ilneuf cent 4* . —gistré ; I d-'pendant de la fail ito

BntreMadameLéontineLuROY, épouse | de M. F klix LEMOINE, ancien brasseui rarrier. I i CréDT««n-ValOJS.de Monsicnr Charles Pâaocas, carrier,

avec lequel elle demeure a Magenta commune de Montatairc, mais résidant de tait séparément chez ses parents à 8aint*yaast-lcs-Mello ;

Demanderesse au principal et défen­seu r à la demande recoaventlounelle C 'nsperant com luaut et plaidant par M* SaYsry son avoué con'«tit;jé ;

D une part ;Et Monsieur Charles PÊr-OcuE, carrier,

demeuraat 'k Magenta commune de Mo:>utaire ;

Défen<feur nu principal ot demandeur reconventionnel coœp*rant et p ia ilan ti i .fi. .-i ' r.*"par M* Louis Bscavy, [son avoué cous-1 avoues-agréés a Seniis, tittté; I - — i»*- j - n-.

D'autre part ;n uppert :

Que le T ^ u n a l a prononcé l' divorce entre les épbûx PÉROcnB-LraOY, à la requête et au profit dé Monsieur Péro- CH«. avec toutes ses conséquences de droit;

Pour extrait fait et rédigé par l’avoué eouMsigoé :

A Sealis le einq mai mil neuf cent

à Crépy*«n-Valois.Mises à prix : 4 .C 0 0 f. et 4 f.

L ’adju(^cation aura lieu

le ftS ard i S M a i 1 9 0 6 ,à m idi,

en l'audience des <*riées du Tribana’ civil de Senlis (Oise), sise au Palai? dt Justl^'e do ladite ville, rue de U République.

^'adresser p o u r les renseignements :

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Étude de M* Edmond RICHARD, notaire à pont-Sainte-Maxence.

H alaem avec Jardin et 3 P iè c e s d e T e r r e e t B o le , sis commune et terroir de Roberval, à vendre à Ta- raiable. — S'adresser h M* Richard, notaire.

Signé Louis ESCAVY.

Axt. 7.Etude S* L o n î» ESGAÎ^V,

avoué à ScnUs, 7 rue de Villevert.

A sslatan ce Ju dicia ire.

D écision du 22 décembre 1901.

D IV O R C E

D'un jugement contradictoirement fendu par le Tribunal civil de Senlis,1% donse décembre m il neuf cent cinq, enregistré ;

Entre Madame Fidéline M.\«son ^ t t s e de M . Jules Pichot, mar-'chid ferrant avec lequel elle d'^ineure d droit à Verberie. mais de fait h Pan rue des Bourdonnais, n® 0,.

« Admise à l’assistance judiciaire sui- • vant décision du bureau «k- Senlis « vingt deux décembre mil neuf c< m quatre; »Demanderesse au principal et défende­resse à la demande reconvealionnel: *, comparant concluant et plaidant par M® Louis Escavy son avoué constitue ;

D'une part ;Et Monsieur Jules Picnor, maréchal

ferrant demeurant à Verbcrie ;• Admis à l’assistance judiciaire sui-

« Tant V is io n du bureau da Senlis du « huit a<At mil neuf cent cinq ; *»

Défendeur.rîtu principal, demandeur reconventionnel, comparant, concluant et plaidaàit par M* Sainte-Beuve son avoaé constitué ;

D’autre part ;n a p p ^ :Que le B&ibunal a prononcé le divorce

de piano d'entre les époux Picuot-M as- soN à la r^ u ête et au profit de cliacun

-avec touteSB^ conséquences légales ;Pour extrait rédigé par l'avoué soussl

8* î . . ^A Senlis le cinq raax mil neuf cent

six.Signé : Loni? ESCA'\’Y.

Etudes de M* S A I!X T S -3£U V E ,Or" avoue à Senüs,

de ** PlîU LRR O Ü C . nottire à Crépy, et de M* n'--tairc

■ à Pout-Sainte-Maixeace,

3 iU R lA G IT A .7 iO N Afitre majeur-'^ t rnins'urs.

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Poûlpoiût,BT

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■isee. terroir do POSTPOINT, em cIm qnaBfe-ffeax totu,

aveqfâçtütéàe réunion partielleou totale L 'ad^dkatioii aura lieu savoir :

1* Pour le* • Immeubles terroir de Pontpoint

D taiftacfee 4 3 H a l 4 9 0 6 ,Il fit"** d e relevée*

E n la U a ir îe de la com mune de E O N T P O iN T , p a r Je m in istère de A f J îffd ir c ir A lfP o ’, n ota ire à Po7if-5**-

sMascfince, com m is à cet effet ;*• Pour le* Immeubles terroirs, de

• Crêpy et Duvy.L e D feuim ehe SO S a i 4 9 0 8 ,

à d e a z h e a r e s d e re lev é e , E r i- ' jW M r e t p a r le m inistère de li^ .E IL L E B O lJ T , n o ta ire à Crépy » en-Totow , comtms à cet effu .

l* B lifm fr J l a renseignements

ÿt A Î4?"II0RAND, avoué à Senli: pr^iwit à'iâ vente ;

ÿ À M* PILLHÎBOUT, ootaîre à Crépy-en-yaloi*, dépasitair« du eahjvrj d- * «marges pour les immeuble.j terroirs j d c .< ^ t e Ü 4 t o '7 ; i

4* B t i M* BEAÜCHAMPS. Lû'a:rc | à Ponfr3*iûte^axéa>e,' dépo-im râ du |eàM*r.deeebaMe< pôur le* jmmeulnes j

da^pDfi^mnt.

2' An greffe du Tribunal « v il de Senlis. ou le cahier des chargea est déposé;

3* Ê t sur les lieux pour visiter.

Étude de M* BALÉZBAUX, notaire à Chantilly»

A V E I M D R ^par adjudication volontaire,

E n l'E tude et p a r U m inistère de M* B aléseaux, uotaire,

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S'adresser :Pour visiter, sur les lieux ;Et pour renseignements,_à M® B aiê

ztAUX, notaire. 3 '

Etude de 31’ n B a lé z e a u x , notaire à Chantilly.

V E N D R Epar Adjudication

A Chantilly, en l’Et-dc de M'Balézeaox, Le Jeudi 10 M ai 1906, d ix heures du m atin ,

' 'ONE

M A I S O Na r e c * ï a r d î n ,

sise à G O V V IEU X , en bordure d e là forêt du Lys,

[et route de Gouvicux à Lamorlayo.

Jouissance de suite.

I Requête! de M. et M” ’ Landry.

S’adresser pour tous renseignement?, i M® B.ALÉZEAUX, notaire. 360

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Etude de M® D U P ü T , notaire à Yillers-CüUerêts.

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par afijudicatipn S A iX T - ï S U -

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notai'■e.L e D im anche 10 Ju in 1906,

àjbtne heure de relevée,

DEUX MAISONSI s t 11'Heet 6 9 a ra s 8 5 cent.

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