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📄 L’histoire du Papier 📜  

L’origine du papyrus  La feuille de papyrus, autrement appelée papyrus, est la                 première sorte de feuille existante, sa naissance remonte à                 pas loin de 5 000 ans.           Le papyrus est     l’ancêtre du papier. La       feuille de papyrus     provient des tiges     d’une plante s'appelant     Cyperus papyrus. Cette     

plante pousse uniquement dans les         pays chauds, dans les endroits humides           et marécageux, de préférence au bord           des cours d’eau. La chair et les racines               de cette plante peuvent être utilisées.

La plante est apparue pour la première fois               

en Égypte. C’est la tige qui, après avoir été                 

transformée, servait de support       

d'écriture aux égyptiens. Ils utilisaient         

donc le papyrus également comme un moyen de communication. Autrefois, les                     

égyptiens se servaient des plumes creuses de roseau comme outil d’écriture sur les                         

parchemins.

La tribu avait réussi à créer une technique pour faire                   

d’une tige de plante, un support papier. Le papyrus                 

était beaucoup utilisé pour créer des parchemins et               

des livres. Ils commençaient à découper les tiges en                 

fines lamelles pour ensuite les humidifier, et après les                 

placer en couches entrecroisées, et pour terminer, les               

compresser. 

Le support d’écriture en papyrus était fragile. Ils               écrivaient sur les parchemins avec de la peinture. Le                 papyrus ne servait pas uniquement à créer des               parchemins, il servait aussi à construire des bateaux,               fabriquer des sandales, créer des pagnes, construire             des nattes et fabriquer des cordes.  Il faut savoir que le papyrus avait, lui aussi, un ancêtre

qui était la tablette d’argile. Sur les tablettes d’argile, les

égyptiens gravaient leurs écritures et leurs dessins.

 

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📄 L’histoire du Papier 📜

C’est uniquement à partir du Moyen-Âge que le papyrus sera remplacé par le papier qui est une invention chinoise. Le papier a été découvert sous le règne de l’empereur Hoti. Le papier est fabriqué avec des écorces de bois séché. Le bois utilisé pour faire le papier est surtout du bois de pin, de peuplier, de châtaignier, de bouleau et d’épicéa. Il est beaucoup plus résistant comparé au papyrus. Le papier est beaucoup apprécié pour l’écriture, la peinture, l'impression, le dessin…

Il n’y avait pas uniquement les égyptiens qui utilisaient le papyrus. Les grecs, les                           romains et les personnes du Moyen-Orient l’utilisaient également. Les feuilles de papyrus se vendaient assez bien mais il y avait beaucoup de concurrence                             avec les ventes de peaux d’animaux comme celle des veaux et celle des brebis. De nos                               jours, le papyrus est devenu très cher et très rare, comparé à avant où le papyrus n’avait                                 presque aucune valeur car il y avait une grande production.

Peau de veau Bateau en papyrus Plume creuse de roseau Sandale en papyrus 

Nolann Robert  

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🎤 Interview du Mois 📹

Pour ce dernier journal, Erwan et Benjamin ont décidé d’interviewer des personnes extérieures : Thomas et Léo.

Présentez-nous en quelques mots et quelques lignes votre projet. 

En quoi consiste-t-il ? Quel est votre but ?

Tout d’abord, l’idée de ce projet a débuté quand nous avons regardé une vidéo sur le réseau social “Tik-Tok”. Elle consistait à échanger un savon avec un objet un peu plus cher et ainsi de suite pour arriver par exemple à l’achat d’une maison. On en a parlé par la suite avec Thomas et on s’est dit pourquoi pas nous ? On a donc pris une tasse, créé un compte Instagram et monté une petite vidéo d’explication.

Cependant, si notre projet marchait, on voulait que l’argent serve à quelque chose, pas pour notre besoin personnel, mais quelque chose de plus grand… On a donc eu l’idée de donner l’argent récolté à une association, “l’UNICEF”, qui aide les enfants dans le monde.

Parlez-nous un peu de votre parcours ? 

 

Notre parcours est assez banal, nous venons de deux villages à côté du Mans, Thomas habite à Sainte-Corneille et moi à Yvré-L’Évêque. Nous avons passé notre jeune scolarité là-bas, puis nous nous sommes rencontrés ensuite au lycée “Yourcenar” en seconde. Le feeling est passé direct, on savait déjà qu’on allait devenir potes. Puis au fur à mesure des années, avec une grande imagination et une bonne alchimie, nous avions les mêmes objectifs de monter un projet en commun. Et ce projet, c’est celui-ci.

Comment avez-vous découvert les actions de l’Unicef ? 

Par quoi avez-vous été poussés pour monter ce projet et lui faire voir le jour ? 

 

Par la suite, en une soirée, on a cherché sur Internet l’association qui nous correspondait le mieux. On voulait que ça touche surtout notre génération. Puis nous sommes tombés sur le site de “l’UNICEF”, où nous avons pu voir des témoignages d’enfants. L’un d’entre eux a perdu sa jambe lors d’une attaque aérienne, il était en train de faire un match de foot, et ne peut désormais plus jouer. Pratiquant le foot dès notre plus jeune âge, cette histoire nous a particulièrement touchés.  

 

 

 

 

 

 

  

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🎤Interview du Mois 📹   

Comment peut-on participer à votre projet ? Comment pouvons-nous vous aider ?  

Pour participer, il suffit de nous suivre sur le compte Instagram “Giveandreceive” et de regarder les stories. Puis, si un objet à échanger vous intéresse, il suffit de nous envoyer un message en privé. De plus, quand toute cette période de l’année sera derrière nous, nous allons sûrement faire des brocantes au Mans pour vendre un maximum de ces petits objets. Aujourd’hui, notre compte a un peu plus de 200 abonnés, nous espérons en avoir plus prochainement. Voici le premier objet échangé : une tasse d'une valeur de 5 €. Et le dernier objet                                 

échangé : des chaussures Nike d'une valeur de 110 €. Continuez la boucle !   

Avec les biens que vous allez récupérer, une fois vendus, à quoi va servir l’argent 

récolté ? Comment l’Unicef va utiliser cet argent ?  

L’argent récolté sera donc versé à l’UNICEF par leur site Internet où nous pouvons faire un don par carte bancaire ou autre. Ensuite, l’UNICEF va transformer cet argent en donnant des milliers de comprimés, ou pour avoir de l’eau potable, ou encore plein de savons, et autres services pour aider les enfants et familles dans les pays pauvres ou en guerre. 

 

Avez-vous déjà réalisé d’autres actions sociales dans le passé ?   

Non, c’est notre première action de ce genre, nous verrons donc bien comment ça se passe, mais nous sommes très déterminés et enthousiastes. Et pourquoi pas en faire d’autres dans l’avenir...

Quels sont vos centres d’intérêt dans ce projet ?  

Dans un premier temps, notre centre d’intérêt principal est d’aider ces différentes populations dans le besoin. Puis ensuite, le fait de dire que notre génération n’est pas qu’une simple génération “obsédée” par Internet, nous voulons prouver qu’elle peut aussi avoir de beaux projets et être présente dans la vie réelle.

Quelle conclusion allez-vous pouvoir tirer à la fin de ce projet ? 

Qu’est-ce que cette expérience vous aura apporté ?   

La conclusion que nous allons pouvoir tirer de ce projet est, tout d’abord, le fait qu’une simple idée et beaucoup d’ambition peuvent par la suite construire un vrai projet d’aide sociale. Puis d’un point de vue personnel, c’est très important pour nous, ça va nous permettre d’avancer vers le monde adulte, de se sentir utiles et d’être fiers de ce que nous allons accomplir. Car oui, ce n’est que le début. (Fiers également que l’UNICEF ait vu notre projet et nous ait affichés en story).

 

S’il y a une phrase que nous pourrions retenir de votre action, quelle serait-elle ?  

En échangeant ou en donnant des objets dont vous ne vous servez plus, vous pourrez aider des enfants dans le besoin sans donner d’argent (40 euros donnés équivalent à 50 000 litres d’eau potable). Merci à Thomas et Léo pour leur interview.

Interview réalisée par Erwan Fossé et Benjamin Valéri

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Infos Écolos  

QU’EST-CE QU'UNE PLANTE PYROPHYTE ?

On les appelle plantes pyrophytes ou pyrophiles. Elles supportent le                   feu ou ont besoin de lui pour vivre. Dans certains écosystèmes, les                       incendies leur sont même nécessaires pour se reproduire.   

Où les trouve t-on ?   

Dans les écosystèmes soumis au climat méditerranéen (pourtour               

méditerranéen, Chili, Australie, Tasmanie, Nouvelle-Zélande, Chine, Corée,             

Ouest des États-Unis) et dans les climats tropicaux.   

Quel rôle joue le feu sur la plante ?   

Son passage, quand il est rapide, en détruisant des plantes plus sensibles                       

ou moins bien protégées, peut diminuer la concurrence et favoriser l'abondance,                     

voire la dominance de l'espèce pyrophile. Le passage du feu, soit à cause de                           

l'augmentation de la température, soit par l'action des fumées dégagées, est                     

nécessaire pour lever la dormance des graines des plantes pyrophiles et ainsi                       

permettre la reproduction.  

Info  

Il existe 3 types de plantes :   

Les plantes pyrophytes passives 

Le liège se consomme très doucement. Grâce à son écorce, le Chêne liège                         

(Quercus suber) résiste bien aux incendies, aux flammes et aux coups de chaud.  

Le Niaouli (Melaleuca quinquenervia), très commun en Nouvelle-Calédonie,               

et le Séquoia géant (Sequoiadendron giganteum) sont eux aussi dotés d’une                     

écorce épaisse qui les protège des flammes. 

Les plantes pyrophytes actives 

Leur stratégie est totalement différente. Elles s’enflamment pour mieux                 

vivre et empêcher les autres plantes de menacer leur hégémonie. C’est le cas des                           

Eucalyptus qui produisent des vapeurs inflammables destinées à faire place                   

nette autour d’eux. Une façon de régner sans partage. 

Les plantes pyrophiles

Elles ont besoin du feu pour se reproduire. C’est le cas des Cistes. Sans                           

l’intervention du feu, seuls 10 % des graines vont germer. En cas d’incendie, c’est                           

90  %.  

   

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Infos Écolos 

 

Mais aussi du Rince-bouteille (Callistemon citrinus). Si vous observez cet                   

arbuste, vous verrez des petites capsules de bois en grappes, plaquées sur le                         

bois. Ce sont les fruits du Callistemon qui peuvent demeurer sur l’arbre de très                           

longues années. Si un incendie éclate, les graines explosent et elles s’éparpillent                       

dans la nature par centaines de milliers.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Eucalyptus  Tissu cicatriciel du Fruits du Rince-bouteille  

Séquoia Géant 

 

 

FILM SUR L'ÉCOLOGIE  

HOME : En 200 000 ans d'existence,             

l'Homme a rompu l'équilibre sur lequel la             

Terre vivait depuis 4 milliards d'années.           

Réchauffement climatique, épuisement des       

ressources, extinction des espèces :         

l'Homme a mis en péril sa propre demeure.               

Mais il est trop tard pour être pessimiste :                 

il reste à peine dix ans à l'humanité pour                 

inverser la tendance, prendre conscience         

de son exploitation démesurée des         

richesses de la Terre, et changer son mode               

de consommation.  

 

(Yann Arthus-Bertrand / 2h00 / 2009) 

 

 

VINCENT GOUGET 

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Innovation 

 Fini les piles lithium, bienvenue aux piles papier !!  

Et non vous ne rêvez pas ! Depuis quelques années,                   les piles électriques, et plus particulièrement les petites               piles des objets à usage unique sont devenues un fléau                   pour les industries de recyclage et pour la planète à cause                     du lithium qui est une substance très difficile à recycler. De                     plus, elles sont parfois rejetées en pleine nature, ce qui                   pollue les sols. En effet, chaque année, c’est l'équivalent                 d’une tour Eiffel et demi que l’industrie du recyclage                 français recycle. Un milliard de piles sont vendues chaque année, soit environ 19 800                           tonnes. Ces chiffres peuvent paraître impressionnants, et pourtant, ils sont bel et bien                         réels.  

Voilà pourquoi, depuis 2017, l’entreprise         française BeFc (Bioenzymatic Fuel cells) s'est lancée             dans un pari fou : réussir à produire d’ici 2022, 5 millions                       de biopiles par jour, pour les objets connectés à usage                   unique.  

Mais comment est-il possible de créer des piles à                 base de papier ? Comment cela fonctionne ? J’ai décidé                   dans cet article de vous présenter, de façon brève et                   simple, le fonctionnement de cette nouvelle génération             de piles électriques.     

   Il s’agit en fait d’une solution en papier carbone                 durable et sans métal conçue pour alimenter les objets                 connectés, composée de papier et d'enzymes           convertissant les sucres et l'oxygène de l'air en               électricité. Seules quelques gouttes de liquide           permettent d'en activer le fonctionnement (eau, fluides             biologiques tels que la sueur ou l’urine…). Les enzymes                 appliquées au papier produisent plusieurs milliwatts           d'électricité par centimètre carré grâce à la biocatalyse.               

Une opération suffisante pour les capteurs ou émetteurs sans fil basse                     consommation. Voilà, c’est aussi simple que ça, enfin très complexe quand même.                       Surtout quand on sait qu’il a fallu plus de 2 ans aux chercheurs pour mettre au point                                 ce dispositif avant de passer à une production à grande échelle.  

Pour tous ceux qui se demandent à quoi vont bien pouvoir servir ces biopiles,                           elles serviront, comme je vous l’ai dit plus haut, à l'alimentation en électricité des petits                             appareils à usage unique tels que : test de grossesse et d’ovulation, appareil photo                           jetable, patch pour diabétique et bien d’autres encore. Son coût ? Moins de 50                           centimes la pile. Et oui, en plus d'être écologique, cette pile est aussi économique et                             un petit peu moins chère que les piles en lithium classiques.  

Elle a donc tout pour plaire aux consommateurs de demain.   

Rédigé par Erwan Fossé

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💼 Retour dans le Passé 🕗  

Voici l'histoire du Château du “Haut Bois” 

Je dispose de peu d’informations concernant l'origine du Haut Bois. Elle semble remonter à la fin du XVe siècle. Ce château revint au département en 1945 ; les bâtiments ont servi, à partir du printemps 1945 et pendant deux ans, de centre d'accueil et de convalescence aux réfugiés des camps de concentration nazis.

En 1948, une école ménagère s’ouvrit dans les bâtiments et c'est en 1978 que l'établissement fut transformé en Lycée d'enseignement professionnel agricole. Auparavant, il y avait deux formations : monitrice d’enseignement et ménager agricole. Puis les matières étudiées étaient : maths, français, pas de langue, les sciences agricoles, élevages d’animaux, culture, jardinage, cours de pédagogie.

Enfin les cours pratiques : cuisine, couture, entretien de la maison, entretien du linge, cours pratiques auprès d’animaux. Il y avait sur le site un élevage de poules et de lapins. Pour compléter la formation, ils avaient des stages pratiques dans des fermes de l’époque.

Il était possible de préparer le diplôme appelé BAFA à la fin de la première année. Il fallait travailler en colonie de vacances pour valider ce diplôme. Auparavant, ils étaient une dizaine dans le château. À la place de l’atelier des agents d’entretien se trouvait une cuisine.

La salle à manger et les cours théoriques se passaient dans le château. Ils étaient 4 à 5 personnes par chambre. Des études surveillées avaient lieu le soir et même le samedi. Une journée type ressemblait à cela : un cours pratique le matin (cuisine, couture, ménage, soins aux animaux, jardinage), et des cours théoriques l’après-midi (enseignement général, agriculture, pédagogie, psychologie).

Article rédigé par Benjamin Valéri

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Page photos 

Page photos réalisée par Vincent Gouget

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Agir en faveur des autres  

👩 Aider les personnes ainsi que l’écologie 🍂 

 

Dans cet article, je vais vous montrer comment les aides à la personne                         

prennent soin de leurs patients, mais aussi de l'environnement. 

 Pour le transport :  

Nombreuses sont les personnes âgées, fragiles, en situation de handicap ou de                       perte d’autonomie, qui ont recours au service d’accompagnement véhiculé. 

En effet, sortir est un élément indispensable à leur équilibre. Que ce soit pour des                             visites médicales, de confort (coiffeur, pédicure…), pour effectuer des démarches                   administratives, pour faire quelques       courses, ou tout simplement pour         retrouver famille ou amis, pouvoir se           déplacer sans contrainte leur permet de           maintenir une certaine vie sociale, mais           aussi de limiter leur dépendance à l’égard             de la famille ou du personnel des maisons               de retraite. 

Pour ce faire, les entreprises         investissent dans des véhicules       électriques bons pour l’environnement et adaptés à ces personnes. Certaines                   entreprises sont même aidées par l’Etat (environ 7 000 €) pour l'achat de ces                           véhicules qui sont parfois assez chers (jusqu’à 50 000 €).  Pour le ménage et l’entretien :  

L’utilisation de produits ménagers bons pour           l’environnement est devenue une priorité pour           certaines entreprises. Elles font le choix d’acheter             des produits non-polluants, naturels et parfois Bio.             Le vinaigre, le bicarbonate de soude et le savon                 noir sont de plus en plus utilisés.  Dans les autres tâches :  

Le tri sélectif est bien sûr une évidence dans les entreprises, tout comme d’autres                           petites choses telles que : une meilleure gestion de l’eau, de l'électricité et du                           chauffage, ainsi qu’imprimer le stricte nécessaire et recycler le papier en brouillon.  Article écrit par Coleen Tuffier 

 

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Histoire

MON VILLAGE PENDANT LA GUERRE 39-45  

Juigné-sur-Sarthe, petit village rural de la Sarthe, compte près de 300                     ménages en 1939, soit 944 habitants. Ce village est en hauteur, le                       vieux-bourg donne une vue incroyable sur la vallée de la Sarthe, jusqu’à                       l’abbaye de Solesmes. Il se situe à 5 km de Sablé et à 50 km du Mans. Le                                   village s’étend sur 2 066 hectares. 

1 - Mon village à la veille de la guerre  o Les agriculteurs : La commune compte 69 exploitations à la veille de la guerre.                             Les superficies exploitées varient de 6 à 66 hectares. Il y avait des champs de                             blé, d’orge et d’avoine, de betteraves et de choux fourragères. Aussi des bovins,                         des chevaux, des porcs et des ovins pour l’élevage. Aucune machine, toute la                         famille travaillait.   o Les artisans et commerçants : Au bourg et dans les hameaux des Places, des                             Vignes, des Saulneries, de Maupertuis et du Port, les artisans et commerçants,                       nombreux et divers, pourvoient aux besoins quotidiens de la population,                   comme : le maréchal-ferrant, le charron, le bourrelier, le coquetier, le                     ferblantier, le bouilleur de cru…  o Le personnel des châteaux : On compte 3 châteaux à Juigné-sur-Sarthe :                         “Château de la Grange”, “Château de la Hartempied” et “Château de Juigné”.                       Dans chaque château, il y avait au moins 20 personnes pour s’occuper des                         propriétaires, et entretenir l'intérieur ou l'extérieur du château.   o Une activité industrielle prospère au XIXème siècle : Les mines d’anthracite de la                           Sanguinière, des Saulneries et de Maupertuis ont employé jusqu’à 600 ouvriers. Les carrières, marbreries et fours à chaux ont employé 600 ouvriers du bassin                         de Sablé.  o Vie scolaire : Le village compte 4 écoles, toujours existantes, qui ont été                           fréquentées par 113 enfants. 

2 - La guerre est déclarée  o En 10 jours, 4 734 200 Français, soit 11,4 % de la population française, dont                               12 000 sarthois, sont appelés. À Juigné-sur-Sarthe, 127 juignéens sont                   mobilisés. La moitié a entre 20 et 30 ans, l’autre moitié a entre 30 et 40 ans, et 3                                     ont entre 40 et 48 ans.  o Les restrictions limitent le stockage des denrées alimentaires et le contrôle                       des prix se durcit.  

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Histoire

3 - Les réfugiés affluent au village  o Des réfugiés viennent dans notre village. Il y aura 4 vagues : la première en                               1939, des réfugiés de l’Est et du Nord ; la deuxième en 1940, des réfugiés fuyant                               l’offensive allemande ; la troisième en 1943, des réfugiés des zones côtières et                         de l’agglomération mancelle ; enfin, la quatrième en 1944, des réfugiés des                       côtes de l’Atlantique et de Normandie.  

4 - Juigné-sur-Sarthe à l’heure allemande  L’armée allemande envahit le territoire français au rythme de son avancée                     fulgurante. La ville de Paris est occupée le 14 juin 1940, Orléans le 17 juin, Le                               Mans le 18 juin, La Flèche le 19 juin, Brest le 20 juin et Lyon le 22 juin… Au soir du 19 juin, toute la Sarthe est envahie.  Les 19 et 20 juin, les Allemands sont à Juigné. Ils s’installent dans les châteaux                             et réquisitionnent de la nourriture, des véhicules, des armes, des munitions et                       des femmes. Le 24 juin, une Kommandantur s’ouvre à Sablé. 

 o La captivité de 50 prisonniers juignéens : Sur les 127 mobilisés, 50 prisonniers                           sont envoyés dans les Stalags allemands, soumis à la dure réalité des camps                         nazis. Tous les prisonniers n’ont pas eu la chance d'être libérés rapidement.                       Entre juin et décembre 1940, 34 juignéens retrouvent leurs foyers. Bénéficiant                     des libérations, 2 rentrent en 1941, 1 en 1942, 2 en 1943 et 1 en 1944. Enfin les 10                                     restants rentrent en 1945, après la libération des camps par les alliés. Pour                         certains, ils ont été éloignés de leur famille pendant 5 ans.  o On compte 6 000 soldats allemands au Mans, 200 à Juigné-sur-Sarthe. En                         1941, une Kreiskommandantur ouvre à la Flèche.  

5 - Faits de guerre, bombardements, destructions, victimes  

La commune de Juigné est dotée d’installations stratégiques. Elle est donc la                       cible de fréquents bombardements, mitraillages et sabotages. Elle accueille sur son territoire la ligne ferroviaire Paris-Nantes, toujours                   existante, l’embranchement de la ligne Sablé-Sillé, une gare et le pont de                       Solesmes. 

 o 4 juillet 1943 : Un avion américain s’écrase à côté de Juigné, à Poillé-sur-Vègre. o 14 juin 1944 : Bombardement de la gare de Juigné : 1 tué, 2 blessés et de gros                                     dégâts matériels. o 2 août 1944 : Bombardement du hameau “Port-Étroit” : 3 tués. 

 

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Histoire   o 7 août 1944 : Une école détruite par les Allemands. Le viaduc de Chantemesle à                               Port-Étroit et une ferme plus loin ont été sabotés par les Allemands. Puis, le                           pont de Solesmes est explosé aussi par les Allemands. Enfin, avant de partir, ils font exploser le pont de Sablé. 

 Les juignéens subissent destructions d’immeubles et de fermes, pertes de                   bétails, de récoltes, de matériels et de vies humaines, de la part des Allemands,                           mais aussi des alliés.  

 6 - La Résistance se structure au fil de l’occupation nazie 

 Pendant la Résistance, face à l'oppression nazie, des résistants juignéens ont                     combattu dans l’ombre, au péril de leur vie, pour libérer le pays occupé depuis                           4 années.  

 o 22 novembre 1942 : Vol d’explosifs à Juigné, à des fins de sabotage. Ce sont 4                                 FTPF (Francs-Tireurs Partisans Français) qui volent des explosifs de la carrière.                     Ils volent 24 détonateurs électriques, 8 rouleaux de mèches lentes et 37 paquets                         de cheddite de 22 cartouches entières. Ces explosifs ont servi au sabotage de la                           plaque tournante de la gare de triage du Mans le 9 janvier 1943, au sabotage de                               la voie ferrée Le Mans-Paris le 17 janvier 1943 et à celui de la voie ferrée                               Paris-Le Mans le 26 janvier 1943.  o 16 janvier 1944 : 5 FTPF attaquent des Allemands à Sablé. 

 7 - La Libération mais pas la fin des sacrifices 

 Le 6 juin 1944, le D-Day, les alliés débarquent sur les plages de Normandie. Le                             7 août 1944, les habitants d'Avessé sont les premiers à accueillir les                       Américains libérateurs de la Sarthe. Puis, vient le tour des habitants de                       Poillé-sur-Vègre, d’Auvers-le-Hamon, de Sablé-sur-Sarthe, de         Juigné-sur-Sarthe, d’Asnières-sur-Vègre... 

  

VINCENT GOUGET 

 

 

 

 

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Histoire  

Les 3 châteaux de Juigné Juigné-sur-Sarthe  

Mine d’anthracite de Juigné Cartes d’identité de Résistants 

juignéens Viaduc de Chantemesle, à Solesmes, détruit  Pont de Solesmes détruit 

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VINCENT GOUGET

Infos Environnement  

🌍 Une invasion de criquets en Afrique 🌍 

 

Peut-être l’avez-vous déjà vu, une invasion de criquets ravage l’Afrique de l’Est                       

depuis quelques mois. Dans cet article, je vais vous                 

expliquer comment ils sont arrivés là, quels sont les                 

dangers pour l’agriculture locale et les populations,             

et quelles mesures sont prises pour que cela cesse.  

Comment cela est arrivé ?  

Les insectes à l'origine de cette invasion sont les                 

criquets pèlerins, dont les populations prolifèrent           

dans le sillage des épisodes de pluie intense qui                 

touchent leur habitat, d'ordinaire       

aride, en Afrique et au         

Moyen-Orient. Les principaux     

coupables de cette invasion seraient         

une longue période aux conditions         

météorologiques exceptionnellement   

humides, ainsi que divers cyclones         

qui se sont abattus sur l'Afrique de             

l'Est et la péninsule arabique ces 18             

derniers mois.  

Quels risques pour l’agriculture locale ?  

Les criquets, qui envahissent les villages entiers à ce jour, raflent tout sur leur                           

passage : les cultures, les prairies et même les arbres. En une journée, ils sont                             

capables de décimer des hectares entiers.  

Quels risques pour les populations locales ?  

Puisque les cultures sont dévastées, les villageois se demandent comment ils vont                       

faire sans nourriture pour subvenir à leurs besoins. On estime à plus de 13 millions                             

le nombre de personnes touchées par ce problème.  

 

Cela va-t-il s'arrêter ? 

 

Malheureusement, les scientifiques sont plutôt pessimistes sur cette question. Ils                   

ont peur qu’ils se reproduisent de plus en plus et que la situation ne devienne plus                               

gérable pour les pays concernés. 

Quelles mesures sont prises ? 

 

Des mesures sont prises mais elles sont nuisibles à l’environnement. Les pays                       

larguent des tonnes d’insecticides sur les endroits les plus touchés par cette                       

invasion.   

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Article écrit par Anatole Malin Éducation 

 

📚 L’Enseignement Agricole en France 🐑 

 

L’Enseignement Agricole (EA) dépend du Ministère de l’Agriculture et est une                     composante active du système national d’éducation. Cet enseignement est caractérisé à                     la fois par sa parité avec l’Éducation Nationale (EN) et par ses spécificités.   

Il est régi par le livre 8 du Code rural et de la pêche maritime, mais certaines                                 dispositions du code de l’éducation lui sont applicables. L’Enseignement Agricole est                     assez ancien, les premiers établissements de l’EA datent de l’Ancien Régime mais,                       en dehors des écoles vétérinaires, il n’en existe plus.  

Des écoles techniques, supérieures mais aussi professionnelles sont               

créées tout au long du 19ème siècle. Les lois de modernisation instaurent la                         

parité avec l’Education Nationale tout en           

laissant la compétence de l’Enseignement         

Agricole au Ministère de l’Agriculture.  

 

L'EA dispose d'une Direction Générale         

de l'Enseignement et de la Recherche.  

 

Le Conseil National de l'Enseignement         

Agricole (CNEA) est représenté par un           

membre au sein du Conseil Supérieur de             

l'Éducation (CSE). Au niveau régional, le           

Ministère est représenté par les Directions           

Régionales de l'Alimentation, de l'Agriculture         

et de la Forêt (DRAAF).  

 

Cette carte indique les établissements de l’EA sur le territoire français. 

 

L'Enseignement Agricole est donné dans les lycées d'enseignement               général, technologique et professionnel, ainsi que dans les Centres de Formation                     d'Apprentis (CFA) ou dans des établissements privés comme les Maisons                   Familiales et Rurales (MFR) et les établissements du réseau CNEAP (Conseil                     National de l’Enseignement Agricole Privé) ou de l’UNREP (Union Nationale                   Rurale d’Education et de Promotion). Il existe des lycées spécialisés plus                     particulièrement dans l'horticulture, les lycées horticoles.  

Enfin, il existe un certain nombre d'établissements publics et privés                   dispensant des formations de BEPA et de Bac professionnel par la voie de                         l'enseignement à distance (par correspondance). Cet enseignement peut               commencer dès la quatrième du collège, tandis que d’autres élèves le rejoignent                       plus tard. Il permet de préparer les diplômes suivants qui sont les équivalents                         de ceux de l’enseignement général, technologique et professionnel : 

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 Éducation 

 ● Certificat d’Aptitude Professionnelle agricole (CAPa) - ex : CAPA SAPVER                   

(Services Aux Personnes et Vente en Espace Rural) au LPA de BRETTE 

● Brevet d’Études Professionnelles Agricoles       

(BEPA) ● Baccalauréat Professionnel Agricole 

● Baccalauréat scientifique, spécialité Écologie,       

Agronomie et Territoire (EAT) ● Baccalauréat Sciences et Technologies de         

l’Agronomie et du Vivant (STAV)  

D’autres diplômes peuvent être obtenus en           

formation adulte ou en apprentissage :  

 

❖ Brevet Professionnel Agricole (BPA), diplôme de           

niveau 5 

❖ Brevet Professionnel (BP), diplôme de niveau 4 

❖ Certificat de Spécialisation (CS), diplôme de niveau 5, 4 ou 3.  

 

Voici quelques chiffres sur       

l’Enseignement Agricole :  

 

Pour terminer, l’Enseignement Agricole est destiné aux personnes               

passionnées d’agriculture, de nature, d’écologie mais aussi à tous types de                     

profils, car l’Enseignement Agricole a des secteurs comme SAPAT, Vente…  

 

 

Article écrit par Benjamin Valéri 

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Innovation  Quand lire en étant dyslexique ne devient plus un problème 

   Pour la deuxième innovation que         j’ai décidé de vous présenter dans ce             journal, j’ai choisi une lampe. Et pas             n’importe laquelle : une lampe qui           permet à des personnes dyslexiques de           pouvoir lire sans soucis. Pour ce superbe             projet, ce sont deux chercheurs français,           Albert Le Floch et Guy Ropars, qui ont               mis au point la lampe Lexilight.     En fait, il s’agit d’une lampe qui combine               à la fois une lumière pulsée (que l’on               utilise fréquemment pour des soins         curatifs ou esthétiques de la peau) et             une lumière modulée. Ce qui va           permettre aux dyslexiques d’enlever       l’effet miroir qui leur fausse la lecture.  

 Qu’est-ce que la dyslexie ?  En fait, les dyslexiques ont la particularité d’avoir leurs deux yeux                     

dominants. Ils envoient simultanément deux informations différentes au               cerveau. C’est à cause de cette confusion qu’un effet miroir perturbe la                       lecture du dyslexique. Ex : confusion entre le p et le b.  

 Ainsi, la lampe Lexilight       

permet au cerveau de traiter         l’information comme si elle       provenait d’un seul oeil       dominant, plus d’image miroir. Et         voilà, à présent, la possibilité de           retrouver un confort de lecture         immédiat, une lecture plus       rapide, plus longtemps, et sans         fatigue.  

   

 En revanche, il faudra compter environ 549 € pour cette lampe. Mais le                         

prix pour cette part de technologie correspond pleinement aux capacités que                     Lexilight offre à ses utilisateurs. 

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 Rédigé par Erwan Fossé

Agir en faveur de l’environnement 

 

👑 Le prince Charles, le prince à la main verte 🍂 

 

En dehors des apparences royales et nobles de Charles de Galles, plus connu sous                           

le nom du Prince Charles, on lui doit une grande passion pour le jardinage et le                               

bio. 

 

Son jardin :  

Le prince Charles a créé son propre jardin,               

le jardin de “Highgrove”, où il entretient             

et choisit lui-même (avec quelques         

jardiniers, quand il doit s’absenter) les           

végétaux présents dans celui-ci. Le jardin           

est entièrement bio. On y trouve une             

chapelle et de nombreux monuments qui           

rappellent des endroits dans le monde           

entier. Dans une interview, il a déclaré             

qu’il aimait tailler lui-même les arbustes qui composent son jardin et qu’il avait de                           

très bonnes connaissances en reconnaissance des végétaux, il peut donner le nom                       

scientifique de centaines de plantes ainsi que leurs caractéristiques. 

Je vous propose de voir quelques photos de ce jardin dans la prochaine page. 

 

 

Agriculture biologique :  

Le prince Charles est l’un des symboles de               

l’agriculture biologique au Royaume-Uni.       

c’est lui qui, bien avant les autres pays en                 

1990, a décidé de mener une campagne pour               

inciter les agriculteurs à se lancer dans le bio                 

et les consommateurs à privilégier les           

produits bio. Il a même acheté une ferme et                 

créé sa marque de produits bio (Duchy             

Originals Organic). Aujourd’hui, cette       

marque est visible dans chaque supermarché anglais et en grand nombre. Mais cette                         

marque ne vend pas seulement des produits alimentaires, elle propose aussi des outils de                           

jardin et des médicaments à base de plantes. Le bénéfice de ces ventes est donné à la                                 

fondation caritative que le prince Charles a créée pour aider les jeunes défavorisés à faire                             

des activités ou trouver un emploi. La somme des dons peut s’élever à plusieurs millions                             

de Livres Sterling par an (1 000 000 £ = 1 141 265 €). Grâce à tout ce qu’il fait pour                                         

l’environnement, le prince Charles a reçu, en 2015, le prix François Rabelais. 

 

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Article écrit par Anatole Malin 

 

Agir en faveur de l’environnement  

 

 

 

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A la découverte d’un végétal 

 

🍁🍂 Un mois, une plante 🍂🍁  Aujourd'hui, nous découvrons le Fagus sylvatica ‘Tur’  Quelques infos sur cette plante :   Nom latin : Fagus sylvatica  Cultivar : ‘Tur’ Famille : Fagaceae Origine : Europe Hauteur : 20 à 30 m Largeur : 8 à 10 m Feuillage : caduc, simple, noir  Floraison : crème Période : avril - mai Utilisation : isolé, haie  Sol : sol normal, pas trop sec à frais  Exposition : soleil, mi-ombre   L'histoire de cet arbre :   Beaucoup de personnes connaissent le Fagus           sylvatica ‘Purpurea’ mais peu connaissent le cultivar             du Fagus sylvatica ‘Tur’. C’est un arbre             remarquable qui possède un feuillage noir mate peu               commun. Il est assez rare à trouver et peu utilisé                   dans nos jardins même si le rendu est juste                 magnifique une fois adulte. Il peut être utilisé en                 isolé pour mettre son feuillage en avant, cela               apportera une touche de nouveauté dans votre jardin. 

          

Rédigé par Adrien Hulot  

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Citations du Mois

“Les humains achètent des fleurs étrangères, qui viennent du monde entier.  Alors que les plus belles se trouvent, tout simplement, chez soi.” 

“ Cette guerre bactérienne anéantit le monde entier, fait souffrir des milliards de personnes.  Nous n’avons aucun remède. Mais une chose est sûre, pour le vaincre, le meilleur vaccin est l’union de toute l’humanité.  

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Le temps s’est arrêté, notre vie est bloquée... Comme des soldats, nos héros sont tous les jours au front et grâce à eux nous pourrons sortir de notre bunker.  Alors MERCI.” Retrouvez-le sur Instagram : vinc_ggt.72

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