La biographie de la faim (Amélie Nothomb)

La Biographie de la faim est un roman d’Amélie Nothomb. Elle raconte la histoire d’elle même depuis son enfance jusqu’a quand elle devienne adulte. C’est une autobiographie.

Elle commence en parlant du Vanuatu, une île ou elle habitait. C’est un lieu ou personne n’ont pas faim. Il y a des meilleurs plats, fruites, douces. Elle ne connaissait pas la faim quand elle y habitait. Elle disait : « Au Vanuatu il y a de la nourriture partout… C’est terrible ». Elle pensait que le Vanuatu était le contraire qu’elle, car elle était la faim. Pour Amélie la faim c’est vouloir, implorer ceci que n’y est pas. L’affamé est la personne qui cherche. Pour elle la satiété c’est une chose mauvaise, parce que est bon qu’il y ait une part insatisfait ou puisse exister le désir.

Son père était un homme très occupé. Il était diplomatique et devait se déménager avec la famille tout le temps. A son avis, son père était un martyr alimentaire. Il mangeait beaucoup et trop vite, et après il devait se mettre en un rigoureux régime. Par rapport à sa mère, Amélie sentait faim d’elle. Faim de son attention et son amour. Sa mère disait qu’elle était son père. Son sœur, Juliette, était la fille plus belle du monde. Et enfin, son frère, de qui elle ne parle pas beaucoup.

Ils sont allés au Japon. Elle allait à une école japonaise. Elle était la seul enfant non-Nippone. Elle n’aimait pas l’école mais soupçonnait. Elle parlait le franponais. Une fois elle devait chanter l’hymne Japonais, mais elle ne comprenait pas les mots, et simulait tout le temps. Dans ce moment elle s’est paralysée puisque avait été mise en évidence. Alors, elle décidait de ne pas aller à l’école. Depuis ce moment elle a commencé à aimer la liberté. En plus de sa famille elle avait une nourrice, Nishio-san qui prenait soin d’elle. Amélie l’aimait.

Elle a commencée à montrer symptômes d’une fixation orale sans limites, en développement d’une potomanie, entre autres. En plus, elle est devenue obsédée par les sucres et l’alcool. Elle expérimentait surfaim et sursoif.

Aux 5 ans ils ont dû laisser le Japon et ça mère japonaise Nishio-san, et aller au Pékin. La Chine était sèche par rapport au Japon. Elle détestait le Pékin, une terre ou les animaux sont prisonniers, et ou les personnes ont faim.

La famille s’est déménagé de nouveau, à New York cette fois, pour l’anniversaire de ses huit ans. Elle aimait ce ville, complètement opposée au Pékin ; les lumières, les ascenseurs supersoniques, les excès de tout type, les comédies, la recherche de plaisirs, l’alcool, et, enfin, Inge, une femme très belle de dix-neuf ans. Son frère avait été envoyé au Belgique et elle est laissée seul avec son aimé sœur. Ses parents sont étés affectés dangereusement après tels années de dictature. Il fallait tout suivre, tout connaitre, tout manger et boire.

Elle a commencé l’école à New York, un Lycée français pleine d’Américains et quelques Français. Elle était la seul Belge. Elle était très aimée par des filles de sa classe. D’ailleurs, elle allait à l’école de ballet.

Amélie est tombée amoureuse d’Inge. Elle lui écrivait des poèmes, et Inge les lissait en fumant une cigarette. Inge était amoureuse d’un homme plus vieux, un garçon qu’elle regardait dans l’ascenseur, dans la laundry, etc. Il semblait Robert Redfort, sérieux et toujours dans costume.

Un jour, l’homme a parlé avec elle et lui a invité à diner. Elle a rejeté l’invitation. Elle ne comprenait pas pourquoi, est après ce moment elle est devenue une femme triste et mélancolique.

Un jour, Amélie craignait qu’ait tué un enfant de ça classe. Elle avait désiré sa mort la nuit entière et, au matin, l’ont annoncé que était mort.

Pour les vacances, ils sont allés dans un camp d’activités pour la jeunesse. Le professeur, Peter, est tombé amoureux d’elle. Il avait trente-cinq ans, et Amélie seulement neuf. Une nuit, il est entré chez elle, en portant un objecte dans un tissue. Etait le casque de son père murant dans la guerre. Alors, il a fait son déclaration d’amour.

Amélie sentait un fort désir pour sa mère. Un désir toujours fort, comme un faim féroce. « Aime-moi ! Aime-moi ! » , disait-elle. « Aime-moi plus fort ». Ça mère a répondu : « Si tu veux que je t’aime encore plus, séduis-moi ». Amélie avait besoin de trop d’amour, cependant elle ne savait pas comment le gagner. Heureusement pour elle, il y avait Juliette, avec qui l’excès était inconditionnel.

Au onze ans, ils sont allés au Bangladesh, le pays le plus pauvre du monde. Son père avait été élu ambassadeur. Ce pays était plein de gens en train de mourir. Touts les gens avaient feu dans les yeux, ardeur, due à la faim. Ils étaient en luttant pour la nourriture et pour ne pas mourir. Amélie et Juliette avaient pleine conscience d’être privilégies. Elles ne voulaient pas sortir du bunker. Alors, elles commençaient à lire beaucoup.

Dans la rue, elle a vue des choses terribles, personnes morts, malades, famines. Ses parents ont aidé une léproserie comme volontaires.

Ils ont connu des villes pauvres en Inde, mais rien en comparaison au Bangladesh. Ils ont visité Népal, ou elle a connue le temple de la Déese Vivante. Elle s’est sentie bouleversé par ça : une enfant choisie par les brahmanes et traitée comme une divinité des sa naissance. La fille ne pouvait pas laisser le temple, sauf une fois par an, quand elle était admirée par les gents. Au douze ans elle perdait son statut et devait abandonnée le temple pour toujours. Elle a eu treize ans en Birmanie, le pays le plus beau du monde.

Elle est devenue grand et bizarre en peu temps. Elle avait besoin de manger beaucoup d’ananas et saigner. Etait comme une obsession d’auto destruction. Ça lutte cessait un peu sa rage. L’ont appris que la faim disparaissait vite ; par conséquent, elle et sa sœur ont laissé de manger. Elles sont devenues squelettiques. Sans nourriture, elle a décidait de manger tout les mots dans le dictionnaire. Elle était fière de son maladie. Elle avait faim d’avoir faim. Elle est arrivée à peser trente-deux kilos avec un mètre soixante-dix. Elle était fascinée pour cela.

A Laos, elle a eu une expérience terrible. Un jour, elle sentait que était proche a la morte. Sa tête acceptait, mais son corps refusait. Alors, elle se est levée est allée a la cuisine à manger. A partir de ce moment, elle à mange tout les jours. Elle s’est identifiée par la bête de la métamorphose.

A dix-sept ans elle est allée à l’université de Bruxelles. C’était un pays difficile de comprendre, par conséquent elle a commençait à écrire.

A vingt et un an, proche a son diplôme de philologie, elle est allée au Tokyo. Elle a trouvé un garçon intéressé à elle. Il l’invitait au musée, au restaurant, et même elle a connu ses parents. En Japon, elle est allée à la maison de son enfance. Un jour, elle a appelé Nishio-san. Elles se sont réunies. Amélie est sentie une grande émotion en la regardant.

En retour à Bruxelles, Amélie a appris d’un tremblement de terre ou Nishio-san habitait. Elle a appelé, et a parlé avec elle. Nishio-san était bien mais avait tout perdu. Amélie l’a conseillé d’ouvrir un compte dans une banque.