la lettre de l'etat oise

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LA LETTRE DE L'ETAT dans l' Oise LA LETTRE DE L'ETAT dans l' Oise LA LETTRE DE L'ETAT dans l' LA LETTRE DE L'ETAT dans l' Oise Oise NOVEMBRE 2019 13 À LA UNE : JOURNÉE INTERNATIONALE DE LUTTE CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES ISSN 2649-8081

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LA LETTRE DE L'ETATdans l'OiseLA LETTRE DE L'ETATdans l'OiseLA LETTRE DE L'ETATdans l'LA LETTRE DE L'ETATdans l'OiseOise

NOVEMBRE 2019

13N°

À LA UNE :JOURNÉE INTERNATIONALE DE LUTTE

CONTRE LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES

ISSN

264

9-80

81

4

SOMMAIRE

DÉCOUVERTE

VARIA

SOMMAIRE

Lettre de l'État - Novembre 2019

1 2A LA UNE

3EN IMAGES

Lettre de l'État - Novembre 2019

Lettre de l'État - Novembre 2019

Plus de photos dans la rubrique "EN IMAGES"

1.1.A LA UNE

3

DÉPLACEMENT DE NICOLE BELLOUBET, MINISTRE DE LA JUSTICE, À BEAUVAIS

Le jeudi 14 novembre, Nicole Belloubet, Garde des Sceaux, ministre de la Justice, s’est rendue dans l’Oise pour un déplacement sur le thème des relations entre la justice et les citoyens.

Le déplacement a débuté par une visite de la mairie de Beauvais où les services qui accueillent les usagers ont présenté l’échange dématérialisé de données d’état-civil, une mesure de modernisation et d’accélération des procédures de délivrance des titres.

À l’issue de cette présentation, madame la ministre a participé à une table ronde avec la chambre départementale des notaires, où les échanges ont porté sur les enjeux de transformation numérique des procédures administratives et des actes juridiques de la vie quotidienne des Français.

L’après midi, la ministre s’est rendue au centre pénitentiaire de Beauvais pour visiter les différents quartiers de l’établissement ainsi que pour échanger sur les difficultés rencontrées par les agents de l'administration pénitentiaire, en particulier les projections d'objet parfois dangereux par-dessus l'enceinte du centre.

4Lettre de l'État - Novembre 2019

Préfecture de l'Oise – service communication

25 novembre : journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes

Le 25 novembre, à l'occasion de la journée internationale de la lutte contre les violences faites aux femmes, le préfet de l’Oise est allé à la rencontre d'acteurs de la gendarmerie en première ligne face à ce phénomène : le groupement d’atteintes aux personnes (GAP) et le réseau des correspondants territoriaux de prévention (CTP) à Froissy.

Ce déplacement en présence notamment du procureur de Beauvais, du colonel commandant le groupement de gendarmerie départementale, du directeur de l’association France victimes 60, et de nombreux élus locaux visait à mettre en lumière l’important travail partenarial à l’œuvre.

Le groupement d’atteintes aux personnes réunit des agents formés spécifiquement au recueil de ce type de plaintes, ce qui leur permet de déployer une action efficace et ciblée, ayant permis une réduction notable du délai de traitement des plaintes.

Les associations qui travaillent en partenariat avec le GAP ont ainsi souligné la disponibilité des gendarmes et leur implication dans le suivi des victimes. De même, le réseau des correspondants territoriaux de prévention joue un rôle précieux dans le dispositif de prévention et d’accompagnement, dès le plus jeune âge.

En zone gendarmerie, dans l’Oise, on dénombre en 2018 35 viols sur des mineurs, 33 viols sur des majeurs et plus de 600 plaintes pour coups et blessures volontaires déposées par des femmes. Or, seulement 10 % d’entre elles portent plainte.

Le préfet a salué le professionnalisme et l’engagement des acteurs présents, mobilisés dans la lutte contre les violences, de la prévention à la répression.

Les échanges nourris à l'occasion de la table-ronde organisée à la mairie de Froissy ont permis de brosser des pistes d’amélioration de la lutte contre les violences sexistes et sexuelles et de préparer la mise en œuvre dans le département des réformes annoncées ce jour par le Gouvernement.

5Lettre de l'État - Novembre 2019

Préfecture de l'Oise – service communication

Le mardi 19 novembre, les compagnies de gendarmerie de Senlis et Chantilly ont bénéficié d'une session de formation et de sensibilisation aux violences conjugales afin de mieux prendre en compte cette problématique dans leur travail quotidien.

45 gendarmes ont participé à cette session, avec l'intervention de Madame GADILHE, substitut du Procureur près le TGI de Senlis, du Docteur PATRU, médecin légiste de l'UJM de Creil, et de Madame GUALINETTI de l'association France victimes 60. Cette rencontre s'est déroulée à l'hôpital de Senlis, et a été conjointement organisée par le groupement de gendarmerie, le Parquet près le TGI de Senlis, l'hôpital de Senlis et Nathalie HASSINI, déléguée départementale aux droits de femmes.

Cette session visait à reprendre les dispositifs pouvant être déployés par les gendarmes (Téléphone Grand Danger, éviction du domicile des auteurs de violences, ordonnance de protection, etc.), à exposer les différentes formes de violences et les mécanismes du cycle des violences et à mieux identifier l'accompagnement existant par France victimes 60.

Les gendarmes formés aux problématiques de violences conjugales

6Lettre de l'État - Novembre 2019

Préfecture de l'Oise – service communication

La prévention des feux de moisson dans le département de l'Oise

Le vendredi 29 novembre, une réunion présidée par le préfet s'est tenue à la préfecture avec les représentants du monde agricole (Chambre d'agriculture, FDSEA et Jeunes agriculteurs), la présidente du conseil départemental, l'Union des maires de l'Oise, le service départemental d'incendie et de secours, les forces de l'ordre, plusieurs élus municipaux et intercommunaux, des représentants des services départementaux de l'État et de divers organismes (Météo France, ONF).

Cette rencontre avait pour objectif de définir les mesures qui pourraient être mises en oeuvre pour éviter la reproduction des incendies de juillet 2019. Pour rappel, le département a connu au cours de l'été dernier un important épisode de feux agricoles, au cours duquel plus de 3 000 hectares de cultures ont brûlé. Au plus fort de la canicule, 1 000 hectares ont brûlé en une seule journée, le jeudi 25 juillet. Ce jour-là, jusqu’à une trentaine de feux simultanés dans le département ont été enregistrés.

Le préfet a insisté sur le changement de modèle nécessaire pour faire émerger dans l'Oise une culture de la prévention des feux de récolte.

Il a annoncé la création d’une cellule départementale dédiée au traitement des feux de récoltes qui permettra d’aborder la prochaine saison en ajustant au mieux les moyens disponibles aux besoins. Cette cellule sera ouverte aux élus, à la profession agricole, aux services d'incendie et de secours, aux forces de l'ordre et à Météo France notamment.Durant la période des battages en juillet, cette cellule se réunira chaque jour pour prépositionner pour le lendemain les moyens d'intervention en fonction des indications météorologiques.

En outre, les communes céréalières devront se doter de réserves d'eau artificielles permettant de faciliter le travail des sapeur-pompiers. L'État et le conseil départemental les accompagneront pour ce faire.

Lettre de l'État - Novembre 2019 7

Les services de l’État ont été accueillis le lundi 18 novembre au sein de la mairie de Grandvilliers pour un Comité de direction décentralisé.

Plus communément appelé CODIR, cette réunion, qui se tient un lundi sur deux, permet aux chefs des services de l’État d’échanger sur les sujets d'actualité et de décider des actions à mener dans le département.

Cette réunion s'est exceptionnellement tenue en dehors de la préfecture, afin de permettre au préfet, aux sous-préfets et aux directeurs des services de l’État de participer à la Foire Sainte-Cécile, organisée à Grandvilliers

Un CODIR décentralisé à Grandvilliers

Promouvoir les producteurs locaux

À l’invitation des représentants des secteurs agricoles du département, le préfet de l’Oise et les membres du corps préfectoral ont pu goûter à des soupes cuisinées à partir de légumes cultivés en Picardie Verte, à des crêpes préparées à partir de lait de l’Oise, ainsi qu'à de la viande issue des filières bovines du département.

5

Plus de photos dans la rubrique "EN IMAGES"

L’Oise compte de nombreux producteurs passionnés et engagés. La possibilité de manger local est une chance pour tous les isariens, qui peuvent bénéficier de produits accessibles et de qualité, tout en soutenant les agriculteurs, les bouchers et les commerces de proximité.

Lettre de l'État - Novembre 2019 8

Un exercice de sécurité civile était organisé le 4 novembre à la préfecture afin de tester le PPI de l'entreprise FM France de Longueuil-Sainte-Marie.

Parmi les objectifs : tester la communication de crise, former des nouveaux agents à la gestion de crise et tester le plan particulier d’intervention de l’entreprise, activé par le préfet en cas d’important accident, afin de coordonner la réponse opérationnelle de tous les services.

Environ 25 personnes ont été mobilisées pour cet exercice, appartenant à différents services : le SDIS60, la gendarmerie, l'ARS, la DDT, l'exploitant de l'entreprise, le Conseil départemental, la DREAL, la préfecture de l’Oise, notamment le Bureau de la sécurité civile et de la gestion de crise et le service de la communication interministerielle.

Un exercice de sécurité civile à la préfecture

L’État, garant de la protection des populations, a en charge la gestion des crises liées aux risques naturels et technologiques. L’organisation des secours, la prise en charge des populations, la sauvegarde des personnes, des biens et de l’environnement : tous ces enjeux nécessitent une préparation en amont pour apporter la réponse opérationnelle la plus efficace possible en situation d’urgence.

Pour évaluer en permanence le niveau de préparation des services, des exercices sont régulièrement organisés dans le département. Ils visent à tester les réactions et bonnes pratiques des services et permettent aux acteurs de la gestion de crise d’apprendre à mieux se connaître et d’acquérir les bons réflexes.

Lettre de l'État - Novembre 2019 9

Noël et le jour de l'An génèrent une activité commerciale intense et représentent un enjeu de consommation important. Du 1er novembre au 15 janvier, les agents de la direction départementale de la protection des populations (DDPP) renforcent les contrôles afin d'offrir la meilleure protection au consommateur. Environ 130 contrôles sont prévus dans l'Oise dans l'ensemble des secteurs d'activité économique concernés.

Cette opération porte à la fois sur les fabricants, les grossistes, les importateurs de produits alimentaires et non alimentaires, mais aussi sur les prestataires de service (offres promotionnelles, prestations touristiques ou festives...) et la distribution, qu'il s'agisse de lieux de vente généralistes, spécialisés ou encore des marchés de Noël. Les sites internet feront également l'objet d'une surveillance renforcée.

Retrouvez l'article complet sur notre site internet..

Fêtes de fn d'année : renforcement des contrôles de l'État à la consommation

Dans certains cas, les atteintes liées à cette consommation sont sévères : à ce jour, 8 cas graves sont recensés dans la région chez de jeunes usagers de 18 à 34 ans, avec notamment des atteintes du système nerveux et de la moelle épinière (scléroses combinées de la moelle, myélites).

Retrouvez l'article complet sur notre site internet.

Protoxyde d’azote : l’ARS mobilise 200 000 euros pour lutter contre l’usage détourné de ce gaz

Pour lutter contre les conséquences sanitaires graves liées à l’usage détourné du protoxyde d’azote, consommé en particulier par de jeunes usagers à des fins récréatives, l’ARS mobilise une enveloppe d'urgence de 200 000 euros à destination des collectivités et communes les plus touchées. Un soutien qui fait suite à une mobilisation précoce de l’Agence pour l’information et la sensibilisation des professionnels des champs sanitaire, médico-social, social et éducatif au contact des jeunes publics.

La région Hauts-de-France, comme d’autres territoires en France, n’est pas épargnée par ce phénomène. L’usage détourné du protoxyde d’azote est observé dans la région, en particulier en milieu urbain. Des centaines de cartouches métalliques de N20 ont ainsi été retrouvées par les services de nettoyage de la ville de Lille, mais aussi observées entre autres à Valenciennes, Amiens, Arras ou Saint-Omer.

2.DÉCOUVERTE

10

Texte

L’ACTION DE L’ÉTAT POUR L’HÉBERGEMENT D’URGENCE DES MIGRANTS

La pression migratoire demeure particulièrement forte en France en 2019. En 2018, la France avait déjà enregistré le record de 123 000 demandes d’asile, soit une augmentation de 22% par rapport à l’année précédente, ce qui en a fait le deuxième pays européen d’accueil des demandeurs d’asile.

Or, cette hausse se poursuit en 2019. La France est ainsi le premier pays de destination des migrations dites secondaires, c’est-à-dire que de nombreux demandeurs d’asile arrivent en France après être passés dans un autre pays européen (près de 37% des demandeurs d’asile).

Cette pression migratoire s’exerce en particulier sur le département de l’Oise, ce qui explique un afflux massif et exceptionnel de nouvelles demandes d’hébergement de personnes à la rue depuis un an, qui sature ses capacités d’hébergement en dépit des efforts engagés grâce à la mobilisation de l’ensemble des acteurs.

Elle reste une destination de choix non seulement pour certains ressortissants africains (Guinée, Côte d’Ivoire, Mali, etc.), mais encore pour des ressortissants de pays d’Europe de l’Est (Géorgie, Albanie) pourtant candidats à l’adhésion à l’Union européenne, donc considérés comme sûrs par l’OFPRA.

Lettre de l'État - Novembre 2019

Lettre de l'État - Novembre 2019 11

Le statut des demandeurs d’asile et des réfugiés leur garantit, dans la limite du parc disponible, des places dans des structures dédiées qui sont en nombre très significatif dans l’Oise.

L’Oise est le deuxième département des Hauts-de-France en matière d’hébergement

des demandeurs d’asile.

L’Oise est le premier département de France pour la mobilisation de logements en faveur

des publics réfugiés.

Le demandeur d’asile est une personne demandant à obtenir son admission sur le territoire d’un Etat en qualité de réfugié et attendant que les autorités compétentes statuent sur sa requête. Pendant toute la durée de l’instruction des dossiers, les demandeurs d’asile peuvent bénéficier d’un hébergement accompagné en centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA). L’Oise dispose au 19 novembre 2019 de 1 463 places d’accueil en CADA, ce qui place le département au deuxième rang de la région des Hauts-de-France, avec 26,4 % des places de la région, et au 19ème rang national.

Le réfugié est la personne qui s’est vue reconnaître ce statut à l’issue de l’instruction de sa demande d’asile. Il est à ce titre admis à se maintenir sur le territoire national.

Depuis le début de l’année, dans l’Oise, 300 logements ont été mobilisés pour reloger 453 réfugiés. En septembre dernier, l’Oise était ainsi le premier département de France pour la mobilisation de logements en faveur des publics réfugiés.

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LES STATUTS : demandeurs d'asile et réfugiés

Lettre de l'État - Novembre 2019 12

L'HÉBERGEMENT D'URGENCE

L’Etat se mobilise activement dans l’Oise pour l’hébergement d’urgence de toute personne en situation de détresse, dans la limite des places disponibles

Si le statut de demandeur d’asile ou de réfugié garantit le droit à un hébergement dédié à ses titulaires, tel n’est pas le cas de celui de débouté du droit d'asile dans la mesure où ce dernier a vocation à quitter le territoire national.

Les demandeurs déboutés du droit d’asile peuvent se maintenir jusqu’à un mois dans le CADA. A l’issue de ce délai et compte tenu de l’attente importante des autres personnes ayant déposé une demande d’asile, il leur est signifié une fin de prise en charge.

Or, le maintien sur notre territoire de nombreuses personnes pourtant déboutées du droit d’asile contribue fortement à l’afflux massif et exceptionnel de demandes d’hébergement d’urgence auquel est confronté l’Oise depuis septembre 2018. Chaque nuit, entre 120 et 150 personnes vulnérables, qui ne sont certes pas toutes déboutées du droit d’asile, sont identifiées par le SAMU social comme étant à la rue, sans solution d'hébergement. C’est 2,5 fois plus qu’en septembre 2018.

Alors que depuis 2016 il a été procédé à l’ouverture d’environ 500 places nouvelles, tant dans des structures dédiées qu’à l’hôtel, le parc d’hébergement d’urgence de l’Oise est aujourd’hui composé de 1 103 places pérennes et de 850 places quotidiennes à l’hôtel. Ces 1953 places sont aujourd’hui toutes occupées.

En dépit de cette saturation de ses capacités d’hébergement, l'Etat se mobilise activement pour trouver des sites d'hébergement provisoires pour les personnes les plus vulnérables. Le préfet a ainsi transmis un courrier à l'ensemble des maires du département pour identifier les lieux disponibles qui pourraient être mobilisés.

Sans attendre leur retour, les services de l'Etat ont parallèlement cherché, auprès d'opérateurs associatifs ou privés, des locaux qui pourraient être utilisés à cette fin, disposant de chauffage, de sanitaires et de douches. Plusieurs ont pu être identifiés à cette occasion, comme, à Beauvais, un site de 25 places confié à l'association Adoma pour la durée de l'hiver, et destiné en priorité aux familles avec enfants

Ce type de dispositif ne pourra néanmoins rester opérationnel qu’à condition que les familles ainsi hébergées acceptent un processus de retour dans leur pays d’origine, afin de permettre aux autres familles en attente de disposer d’un délai suffisant pour accomplir des démarches similaires. Pour ce faire, l’Etat met ainsi à disposition une aide au retour aux étrangers en situation irrégulière qui souhaitent quitter la France pour regagner leur pays. Il s'agit d'une aide matérielle et financière au moment du départ pour faciliter la réinsertion dans le pays d'origine.

3.3.

Lettre de l'État - Novembre 2019

EN IMAGES

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Louis Le Franc, préfet de l'Oise, en compagnie du maire de Grandvilliers à l'occasion de la Sainte-Cécile.

Lettre de l'État - Novembre 2019 14

Cérémonie commémorative du 101eme anniversaire de l’Armistice de 1918 à Compiègne,le 11 novembre 2019, présidée par le préfet.

Wagon de l'armistice, dans lequel a eu lieu la signature de l'armistice du 11 novembre 1918

Lettre de l'État - Novembre 2019 15

Nicole Belloubet, garde des Sceaux, ministre de la Justice, en déplacement à Beauvais le 14 novembre 2019.

4.4.VARIA

Lettre de l'État - Novembre 2019 16

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ENQUÊTE DE SATISFACTION

Depuis le 1er octobre 2019, le bureau des polices administratives auparavant situé à la sous-préfecture de Clermont a été transféré dans les locaux de la préfecture de l’Oise à Beauvais.

Plus d'information sur notre site internet

TRANSFERT DU BUREAU DES POLICES ADMINISTRATIVES

Cette année, 8 Français sur 10 bénéficient d’une baisse sur leur taxe d'habitation. En 2020, ils ne la paieront plus. En 2019, le gain moyen s'élève à 347€ pour les foyers concernés de l'Oise.

Découvrez si vous êtes concerné

BAISSE DE LA TAXE D'HABITATION

Les agriculteurs ayant subi des préjudices suite aux mesures de restrictions imposées après l'incendie de l'usine Lubrizol peuvent les déclarer en ligne depuis le lundi 4 novembre et avant le dimanche 15 décembre 2019.

Cliquez ici pour y accéder

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