la libre immo du 20 septembre 2012
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Batireno, clap neuvièmeTRANSCRIPT
© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
Supplément à La Libre Belgique - N°162 - Semaine du 20 au 26 septembre 2012
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BATIRÉ
NO
CLAPNEUVIÈMEBATIRENO,
Vie de château Question time AnnoncesDans ce supplément,6 pages pour trouverle bien de votre choix.
De l’intérêt de placer unpatrimoine immobilier dansune société. Page 6
C’est en l’hôtel de ville que lechâteau dit d’“En Haut” deGerpinnes s’est mué. Page 5
D.R.
PP. 7 > 12
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2 Le dossier SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO 3Le dossierSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
l Salon
Batireno,le salon de proximité
h Le salon namurois fait la part belle auxmétiers de la maison, depuis la décorationintérieure jusqu’à la construction. Et est axé,cette année, sur les solutions durables.
LA NEUVIÈME ÉDITION DE BATIRENO, LE SALON DE LAconstruction et de la rénovation, se tiendra du 22 au 30 septembre prochains, sur le site de Namur Expo. L’occasion pourles candidatsbâtisseurs et les apprentisrénovateurs de s’informer, prendre des contacts, glaner des idées, apprivoiser denouvelles techniques, découvrir des produits innovants…Et de patienter en attendant son équivalent à grande échelle,
le bruxellois Batibouw (du 21 février au 3 mars 2013) ? “Non,rétorque Christine Koenigs, responsable de la communicationdu salon.Car Batireno se place dans un tout autre registre que Batibouw. Il s’agit d’un salon régional, proche de son public, comme ily en a dans presque toutes les provinces en Belgique. Les exposantssont, pour la plupart, plus artisans que fabricants, plutôt constituésen PME qu’appartenant à de grands groupes. Et majoritairementimplantés en Wallonie.” Par ailleurs, celleci précise égalementque les visiteurs passent généralement la porte du salon enayant un projet concret en tête. “Ils sont à la recherche de réponses précises à leurs questions, soulignetelle.Contrairement à Batibouw, Batireno voit peu de badauds déambuler dans ses allées.”C’est aussi l’avis de Laurent Brasseur, directeur commercial deSCIDPortes et fenêtres (stand93), fidèle au salondepuis ses débuts. “Nous sommes présents à Batireno en tant que revendeursdes châssis Pierret System. Tandis que la firme dispose d’un stand àBatibouw. On remarque que le volume des contacts créés est prochede celui de Batibouw, mais de qualité nettement supérieure.”Le salon s’articule autour de divers événements. Parmi les
quels, l’habituelle Journée des Seniors (le 25/09) et le Ladies’Day (26/09) – entrée gratuite à la clé – mais aussi la Nocturne (28/09), animée par deux conférences. L’une listera unesérie de trucs et astuces pour éviter les pièges tant du secteurde
la construction que celui de la rénovation (lire page 4). L’autreabordera en détail le sujet du certificat de performance énergétique des bâtiments (PEB), qui accompagne obligatoirementtoute vente ou location d’un logement résidentiel enWallonie.Un sujet on ne peut plus actuel, qui a d’ailleurs inspiré les or
ganisateurs du salon. En effet, cette année, celuici est placésous le signe des solutions écologiques. “L’année passée, nousavions pu observer un véritable boom des panneaux photovoltaïques, explique Christine Koenigs. Tandis que cette année, nos exposants se sont diversifiés, à la demande du marché, en explorantplusieurs pistes d’économie d’énergie, depuis l’isolation aux pompesà chaleur, en passant par les lampes LED, etc.” Une tendance confirmée par Laurent Brasseur, qui a vu ses ventes de triple vitrage exploser en trois ans de temps, grimpant de 20 % à 60 %.Tandis que le promoteur immobilier Matexi Projects (stand82), présent sur le salon pour la seconde fois, y voit l’opportunité de présenter au public son projet d’écoquartier à Bouge,dans le namurois. “Nous allons exposer une maquette reproduisant les 76 maisons et 13 appartements qui composent le projet,intervient Michel Louis, responsable commercial NamurHainaut. Et ce, afin de réitérer l’expérience positive de la Semaine del’Aménagement durable, lors de laquelle la maquette était aussi exposée.” Mais aussi profiter de “l’enclin des visiteurs du salon pourla nouvelle construction”.Quelque 25 000 visiteurs sont attendus. Beaucoup de Namu
rois, bien sûr,mais aussi desWallons de tous les horizons : Hainaut, Brabant wallon (les deux autres provinces les plus représentées), Liège, Luxembourg. “Nous avons même des visiteurs venant de Flandre, de Bruxelles et de Paris”, note Christine Koenigs,qui se félicite de la renommée grandissante de Batireno.Frédérique Masquelier
UBatireno, Namur Expo, avenue Sergent Vrithoff, 2 à 5000Namur. Du 22 au 30 septembre, du lundi au jeudi de 13h à 18h, levendredi jusque 21h et les weekends de 10h à 19h. Infossupplémentaires : www.batireno.be
Suite page 4
Plus de 150 exposants sont attendus sur le site de Namur Expo. Dont certains participent à la thématique 2012 : les solutions durables.
Épinglé
Une récente étude du Crioc(septembre 2012) conclut quepour la grande majorité desBelges, le logement représentedavantage qu’un simple toitprotecteur. Et précise, dans uncommuniqué, qu’il est “tout à lafois reflet de leur statut social,signe de reconnaissance, expres-sion de la personnalité, et inves-tissement au long cours, garan-tissant une sécurité financière.”Rien d’étonnant, dès lors, à ceque ceux-ci en prennent un soinparticulier. De même qu’unebonne partie de leur budget.Ainsi, 11 % des consommateursinterrogés ont consacré quelque11 600 euros à des rénovationsau cours de l’année 2011. Tandisque ceux qui projettent derénover leur logement dans lesmois à venir (5 %) y affecterontun peu plus de 15 000 euros.Voire une bonne dose d’huile decoude, puisque la moitié descandidats-rénovateurs – laproportion est plus importanteen Wallonie – se charge person-nellement des travaux. Que cesoit avec l’aide de professionnels(24 %) ou… en réalisant l’ensem-ble du travail, de A à Z (24 %) !Vingt-trois pour cent d’entre euxdéclarent ne pas se charger duchantier eux-mêmes, maiscoordonner les rénovations. L’èredu “do it yourself” est loin d’êtrerévolue. Par ailleurs, quand ilparle rénovation, le Belge entendtout d’abord rafraîchir sonlogement (35 %), l’isoler (29 %),le réparer (26 %) et remplacerles fenêtres, portes et câblesélectriques (24 %). Les consom-mateurs wallons sont la plupartportés sur la réparation du bien(39 %). À la différence, le (rem)placement des revêtements desmurs (13 %) et du sol (11 %) estmoins courant. De même, lesrevêtements des plafonds (7 %)et des façades (5 %), la terrasse(2 %) et les portes intérieures(1 %) font plutôt rarement l’objetde rénovations. De toutes lespièces de la maison, c’est lacuisine qui est le plus sujette àrévision (44%). Suivie de prèspar la salle de séjour (37 %), lachambre à coucher (27 %) et lasalle de bain (25 %). Seize pourcent des travaux portent sur lasalle à manger, 15 % sur l’entrée.La terrasse, le jardin, les toilet-tes, le garage, le dressing ou lebureau ont tendance à êtreoubliés des grands plans immo-biliers des Belges. (F.Ma.)
BATIRE
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3Le dossierSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
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4 Le dossier Suite SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO 5Vie de châteauSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
l Vie de château l 637
Gerpinnes,une maison pour tous
hC’est en l’hôtel de ville quele château dit d’“En Haut”s’est mué.
hUn domaine étroit qui nemanque pas d’intérêt.
LE RUISSEAU D’ACOZ COULE AUXpieds du château de Gerpinnes dont ladestinée depuis 1972 est désormaisd’être ouvert à toute la population del’entité, soit plus de 12 000 habitantsrésidant sur près de 4 700 ha. Le château est classé depuis le 19 septembre1985. Le ruisseau avait fait des ravagespar ici en 1987 lors d’une crue historique causant la mort de trois personnes.Le village s’en souvient encore. Gerpinnes est célèbre pour samarche de sainteRolende dont les restes sont conservésdans la superbe église du village, dotéed’une puissante tour romane, comme ilen existe une autre à Biesme. Le villagedeGerpinnes est fait de déclivités diverses, ce qui le rend assez pittoresque. Unpetit biez passablement pollué mais quiva être assaini grâce à un futur égouttage, nommé le “SaintPierre”, reçoit lespremières eaux de la source de sainteRolende qui émergent derrière le châteauferme de “La Tour”, dont on parlera sûrement un jour.Le cidevant château était jadis un
châteauferme fortifié qui défendait leslimites du comté de Namur contre lesrisques du voisinage immédiat avec laprincipauté de Liège, raconte CécileDouxchamps qui ne connaît guère lasuite des maîtres de maison. L’auteurcite juste l’existence d’une tour au début du XVIIe siècle dont il est fait men
tion dans l’un des albums de Croÿ. Ilsemble certain que le château actuel remonte au XVIe siècle. Et ce sont les Bruges deGerpinnes qui l’édifièrent dans samouture actuelle. La date de1679apparaît sur le mur qui regarde sur la facecôté cour, vers le ruisseau d’Acoz, parl’entremise d’ancres. Le bourgmestrePhilippe Busine nous a aimablementtrouvé des éléments de dévolution. Il signale que les armes des Bruges apparaissent sur un linteau de la porte d’entrée de la maison Bouillon, avec la datede 1612, ce qui montre que les Brugesétaient puissants et bien installés dansle village depuis le XVe siècle. Ils occupèrent de nombreuses charges publiquesdans la région. Par ailleurs, un des salons du rez abrite au château une cheminée dont la plaque porte les armoiries des Croÿ; elle est agrémentée de ladevise “J’aime qui m’aime”.Le mayeur nous apprend que le châ
teau fut vendu en 1930 par Amour deBruges au lieutenantgénéral Léond’Orjo de Marchovelette (18481946)
puis qu’il fut repris par son fils Charles(18881958), porteur du même grade.Les deux filles de Charles vendirent ledomaine à la commune en 1970.Le parc est piqué au nord d’une tour
carrée isolée près d’un ancien court detennis. On en trouve une autre avec unpetit appentis sur le flanc occidentalquand, au sud, l’œil est attiré par un petit pavillon d’époque Louis XV en briques et pierre calcaire. Il pourrait s’agird’une ancienne chapelle. Les deux tourssont construites en moellons de pierrebleue et de grès. Elles sont ornées de jolies toitures à clochetons et bulbes.Le château est totalement peint en
blanc et comporte plusieurs élémentsd’époques différentes, sous quatre toitures accolées. Le plus ancien bâtimentest celui de droite, assez trapu et procheen termes de style du très bel immeublede la rue N. Anrys, posté en face, del’autre côté du ruisseau. Il s’agit sansdoute de part et d’autre de maisons demaîtres de forges. La maison communale qui ne comporte que quatre tra
vées sur deux niveaux placés sous unesuperbe toiture, fut pour sa part agrandie vers le nord. Une sorte de tour detrois niveaux et deux travées fut accoléepuis vint une aile complémentaire dequatre travées où l’on peut notammentcélébrer les mariages. Notons que la bâtisse primaire animée de belles lucarnes, possède un escalier en pierre bleueancien donnant vers les jardins en terrasses (en partie occupées par d’autresterrains de tennis), mais son accès estmuré. Dans cemur vers la vallée on voitune grande verrière à arc en plein cintrequi éclaire la cage d’escalier intérieure.Les décors des salons du rez sont conservés. On y trouve de belles boiseries,des trumeaux et des dessusdeportepeints et des cheminées de marbre. Lespeintures sont en partie de Oliverius Pirotte, peintre liégeois (16991764) et,pour une seule composition, l’œuvre dePierreBalthazar de Bocq ou de Block,artiste né à Anvers en 1729.Accès public bien sûr.
Philippe Farcy
Épinglé
Fernelmont contemporain Jusqu’au30 septembre le baron Patrice de Granceyet Gustavo Urruty reçoivent les visiteurs deleur 4e salon d’art contemporain. Unetrentaine d’artistes parfois très connuscomme Sabatte, Fabre, Case, Quint, Baraou Ullens et quelques chinois sont repré-sentés. C’est une belle manière de décou-vrir ce château étonnant. Ouvert tous lesaprès-midi sauf les lundis. Gratuit pour lesjeunes. Visites guidées les samedis etdimanches. 77 rue des Combattants àFernelmont.
Le château de Gerpinnes est posé sur une sorte de colline.Il a été construit pour la famille de Bruges et sert de maison communale depuis 1972.
PH.FY.
PH.FY.
Le petit édificed’époque Louis XVau sud du jardin,pourrait être uneancienne chapelle.
Les pièges de la constructionh Les Belges sont de plus en plus nombreux à conduire leurs travaux en personne. Mais, dans le même temps, au vu de lacomplexité des techniques et des produits, ils n’ont jamais été aussi mal informés.
DIDIERHERMANS, DIRECTEURDE BatiInfo, donnera deux conférences le vendredi 28 septembre, lors de la nocturne dusalon Batireno. Au cours de la première(17h30), il s’attachera à dépister les piègesdans lesquels tombent nombre de candidatsbâtisseurs etautres apprentisrénovateurs.De quoi armer lesmaîtresd’ouvrage en herbe pourmener à bien leurs travaux derénovation ou superviser aumieux la construction de leurlogement. Car ceuxci sont deplus en plus nombreux à saisircrayon et papiermillimétré,truelle et niveau demaçon, sepassant, ce faisant, de l’intervention des corps demétiers.Voire… de l’architecte.“Il y a vingtcinq, trente ans,l’architecte était de tous leschantiers, explique Didier Hermans. Il étaitmême chargé de réaliser un plan d’étude surl’éclairage !” Et de remarquer, depuis unedizaine d’années, l’implication croissantedes Belges dans les travaux de leurmaison.“Qu’il s’agisse d’unemaison à rénover oud’une construction neuve, on observe qu’unnombre toujours plus grand de postes sontsoustraits à la supervision de l’architecte,ajoutetil. Ce dernier est surtout chargé del’administration et du suivi du chantier ence qui concerne le gros œuvre fermé.” Tandisque la pose du carrelage, le plafonnage,l’électricité, etc., sont dûment surveilléspar les propriétaires des lieux. “Sans parlerde la recrudescence du nombre de gens quifont leurs travaux euxmêmes !”, reprendl’expert. Et de pointer le coût du chantiercomme de lamaind’œuvre, qui incitentles particuliers à se débrouiller, pour diminuer aumaximum l’ardoise.Ce qui n’est pas unmauvais choix, en soi,
pour autant que ces entrepreneurs improvisés sachent comment s’y prendre. “Or, cesmenus travaux ont lieu, bien souvent, dansla plus parfaite méconnaissance des produitset des techniques, déplore Didier Hermans.
En ce qui concerne les économies d’énergie, par exemple,les gens ont tendance à sefixer sur les primes et lesincitants fiscaux. Maisoublient qu’avant de parler dechauffage, il faut parlerd’isolation. L’énergie la moinschère est celle qu’on ne consomme pas. C’est pourquoi ilfaut d’abord veiller à isoler latoiture, responsable de 32 %des perditions de chaleur, puis,dans l’ordre, les châssis, lesmurs et les sols.” Et encore, ensupposant que tous sontétanches ! “Prenons l’exemple
de la laine minérale, poursuitil. C’est unexcellent isolant, d’un bon rapport qualitéprix pour un climat comme celui de la Belgique. Mais si elle est placée contre une toiturenon étanche et que la pluie ou le vent entrenten contact avec, elle perd toutes ses qualitésisolantes.”
Audelà des pièges ayant trait aux travauxà proprement parler, Didier Hermansdonne également quelques conseils plusgénéraux. “Il faut aussi, dans le cas d’uneconstruction neuve, être vigilant lors del’achat du terrain, soulignetil. En effet, laplupart des jeunes pensent prix et situation,s’engagent, font les démarches auprès dunotaire, puis, à quelques semaines des travaux, tombent sur un os quand l’entrepreneur leur demande les résultats de l’essai desol, afin de déterminer son devis.” Résultatsqui sont, idéalement, à inclure en tant queclause suspensive aumoment de signer la
convention de vente du terrain, aumêmetitre que la réserve ayant trait au prêthypothécaire. “Un essai de sol coûte entre500 et 600 €, TVA comprise. Mais les résultats de ce dernier sont essentiels pour évaluer le coût, entre autres, de la mise en œuvredes fondations de la maison.” Il arrive tropsouvent que lesmaîtres d’ouvrage soientmis devant le fait accompli, pris à la gorgepar des frais supplémentaires parfoisastronomiques.Dans lamême veine, le choix de l’architecte est sujet à précaution. “L’architecte, unpeu comme l’avocat, ne dispose pas d’uncontrattype, insiste Didier Hermans.Celuici est fonction du projet et de la personne qui fait appel à ses services. Du coup,le contrat se négocie, un peu comme l’achatd’une cuisine ou d’un salon !” Et ce, entenant compte du bouche à oreille, en serenseignant sur les précédents chantiers del’architecte en question, en évaluant sesréférences et ses compétences. Idem lorsdu choix de l’entrepreneur. “Pour chaqueposte, il faut demander aumoins cinq avisdifférents, et établir autant de devis. Car,même ici, au salon, cinq exposants différentsse revendiquent tous comme cinq championsdumonde !” Et de donner un petit trucpour s’assurer, une fois son choix arrêté, dela bonne conscience professionnelle de cedernier. “Avant de signer le contrat, lemaître d’ouvrage doit faire insérer uneclause bien particulière, glisse l’expert.Quistipule que les 50 % restants du solde destravaux seront libérés à condition quel’audit thermographique soit correct”.Histoire de vérifier que le travail a été bieneffectué, “et de s’assurer que le patron est unpeu plus derrière ses ouvriers !”, souritil.F.Ma.
UGuide BatiInfo 20122013, 8,90 €. Infossupplémentaires : www.batiinfo.be
Quelque 60%des exposants
sont des habituésdes lieux,
se déplaçantchaque année
pour l’occasion.
BATIRE
NO
Épinglé
La ConfédérationConstruction l’assure : lesecteur de la constructionn’est pas en si mauvaiseposture qu’on pourrait lecroire. Elle constate, en effet,une hausse de 4,4 % desautorisations de nouveauxlogements résidentiels entrejanvier et mars 2012, et cepar rapport au dernier tri-mestre de l’année 2011(octobre à décembre). Lesautorisations de rénovation,elles, grimpent de 7,2 %.Et d’observer ensuite unestabilité de l’activité deconstruction durant ledeuxième trimestre de l’an-née 2012, d’après les derniè-res données de l’Institut desComptes Nationaux. Pourpreuve, le carnet de comman-des des entrepreneurs s’estmaintenu, assurant uneactivité de 5,43 mois pendantla période de juin à août. Enoutre, le nombre de faillites adiminué de 3,9 % pendant lapériode de mai à juillet 2012.Quelque 440 entreprises deconstruction ont déposé lebilan alors qu’elles étaient460 au cours des trois moisprécédents, de février à avril.Un mieux somme touterelatif, étant donné que lenombre de faillites se main-tient à un niveau élevé encomparaison avec les annéesprécédentes.(F.Ma., avec Belga)
BATI-IN
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5Vie de châteauSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
l Vie de château l 637
Gerpinnes,une maison pour tous
hC’est en l’hôtel de ville quele château dit d’“En Haut”s’est mué.
hUn domaine étroit qui nemanque pas d’intérêt.
LE RUISSEAU D’ACOZ COULE AUXpieds du château de Gerpinnes dont ladestinée depuis 1972 est désormaisd’être ouvert à toute la population del’entité, soit plus de 12 000 habitantsrésidant sur près de 4 700 ha. Le château est classé depuis le 19 septembre1985. Le ruisseau avait fait des ravagespar ici en 1987 lors d’une crue historique causant la mort de trois personnes.Le village s’en souvient encore. Gerpinnes est célèbre pour samarche de sainteRolende dont les restes sont conservésdans la superbe église du village, dotéed’une puissante tour romane, comme ilen existe une autre à Biesme. Le villagedeGerpinnes est fait de déclivités diverses, ce qui le rend assez pittoresque. Unpetit biez passablement pollué mais quiva être assaini grâce à un futur égouttage, nommé le “SaintPierre”, reçoit lespremières eaux de la source de sainteRolende qui émergent derrière le châteauferme de “La Tour”, dont on parlera sûrement un jour.Le cidevant château était jadis un
châteauferme fortifié qui défendait leslimites du comté de Namur contre lesrisques du voisinage immédiat avec laprincipauté de Liège, raconte CécileDouxchamps qui ne connaît guère lasuite des maîtres de maison. L’auteurcite juste l’existence d’une tour au début du XVIIe siècle dont il est fait men
tion dans l’un des albums de Croÿ. Ilsemble certain que le château actuel remonte au XVIe siècle. Et ce sont les Bruges deGerpinnes qui l’édifièrent dans samouture actuelle. La date de1679apparaît sur le mur qui regarde sur la facecôté cour, vers le ruisseau d’Acoz, parl’entremise d’ancres. Le bourgmestrePhilippe Busine nous a aimablementtrouvé des éléments de dévolution. Il signale que les armes des Bruges apparaissent sur un linteau de la porte d’entrée de la maison Bouillon, avec la datede 1612, ce qui montre que les Brugesétaient puissants et bien installés dansle village depuis le XVe siècle. Ils occupèrent de nombreuses charges publiquesdans la région. Par ailleurs, un des salons du rez abrite au château une cheminée dont la plaque porte les armoiries des Croÿ; elle est agrémentée de ladevise “J’aime qui m’aime”.Le mayeur nous apprend que le châ
teau fut vendu en 1930 par Amour deBruges au lieutenantgénéral Léond’Orjo de Marchovelette (18481946)
puis qu’il fut repris par son fils Charles(18881958), porteur du même grade.Les deux filles de Charles vendirent ledomaine à la commune en 1970.Le parc est piqué au nord d’une tour
carrée isolée près d’un ancien court detennis. On en trouve une autre avec unpetit appentis sur le flanc occidentalquand, au sud, l’œil est attiré par un petit pavillon d’époque Louis XV en briques et pierre calcaire. Il pourrait s’agird’une ancienne chapelle. Les deux tourssont construites en moellons de pierrebleue et de grès. Elles sont ornées de jolies toitures à clochetons et bulbes.Le château est totalement peint en
blanc et comporte plusieurs élémentsd’époques différentes, sous quatre toitures accolées. Le plus ancien bâtimentest celui de droite, assez trapu et procheen termes de style du très bel immeublede la rue N. Anrys, posté en face, del’autre côté du ruisseau. Il s’agit sansdoute de part et d’autre de maisons demaîtres de forges. La maison communale qui ne comporte que quatre tra
vées sur deux niveaux placés sous unesuperbe toiture, fut pour sa part agrandie vers le nord. Une sorte de tour detrois niveaux et deux travées fut accoléepuis vint une aile complémentaire dequatre travées où l’on peut notammentcélébrer les mariages. Notons que la bâtisse primaire animée de belles lucarnes, possède un escalier en pierre bleueancien donnant vers les jardins en terrasses (en partie occupées par d’autresterrains de tennis), mais son accès estmuré. Dans cemur vers la vallée on voitune grande verrière à arc en plein cintrequi éclaire la cage d’escalier intérieure.Les décors des salons du rez sont conservés. On y trouve de belles boiseries,des trumeaux et des dessusdeportepeints et des cheminées de marbre. Lespeintures sont en partie de Oliverius Pirotte, peintre liégeois (16991764) et,pour une seule composition, l’œuvre dePierreBalthazar de Bocq ou de Block,artiste né à Anvers en 1729.Accès public bien sûr.
Philippe Farcy
Épinglé
Fernelmont contemporain Jusqu’au30 septembre le baron Patrice de Granceyet Gustavo Urruty reçoivent les visiteurs deleur 4e salon d’art contemporain. Unetrentaine d’artistes parfois très connuscomme Sabatte, Fabre, Case, Quint, Baraou Ullens et quelques chinois sont repré-sentés. C’est une belle manière de décou-vrir ce château étonnant. Ouvert tous lesaprès-midi sauf les lundis. Gratuit pour lesjeunes. Visites guidées les samedis etdimanches. 77 rue des Combattants àFernelmont.
Le château de Gerpinnes est posé sur une sorte de colline.Il a été construit pour la famille de Bruges et sert de maison communale depuis 1972.
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Le petit édificed’époque Louis XVau sud du jardin,pourrait être uneancienne chapelle.
PH.FY.
© S.A. IPM 2012. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.
6 En pratique SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
A l’agenda
PlanificationsuccessoraleLes Maisons du notariat deBruxelles et Wallonie organisent, le 16 octobre à 18 heures,des soiréesconseils gratuits surles successions et leur planification. Les notaires répondrontnotamment à la question de savoir ce que l’on peut encorefaire sans risque aujourd’huidans l’environnement des mesures antiabus fiscal. “Planifiersa succession constitue tant sur leplan fiscal que sur le plan familial,un gage de sérénité”, ajoute le
notariat qui invite le public à serendre dans sesMaisons de Bastogne, Bruxelles, Charleroi,Huy,La Louvière, Liège, Mons, Namur, Tournai, Verviers et Wavre. Les conférences sont suiviesd’une séance de questions/réponses. Elles sont gratuitesmaisles participants doivent s’inscrire préalablement. e
Les 2es résidencess’exposentLa 13e édition du salon SecondPlace s’annonce : elle aura lieu
du 28 au 30 septembre à Brussels Expo (le vendredi entre 14et 18 heures, le samedi et dimanche entre 11 et 18 heures).Plus de 25 pays s’y retrouveront(une centaine de stands, quelque250participants), qui exposeront plus de 2 500 projets, etdix fois plus de secondes résidences. Le prix d’entrée s’élèveà 10 euros. Le salon SecondPlace réunit sous un même toittout ce qui intéresse les personnes désireuses d’acquérir oud’aménager une résidence secondaire. Les seuls exposantsadmis à ce salon seront les pro
fessionnels spécialisés dans lesappartements ou lesmaisons devacances et ce, aussi bien enBelgique qu’à l’étranger. D’expérience, son organisateur, FairsConsult, sait que ce salon attireplus particulièrement le groupecible très spécifique des médiors : familles à deux salaires(supérieurs à la moyenne) quiont plus dequarante ans et dontles enfants ont déjà quitté lamaison. Ils achètent pour pouvoir profiter des vacances, pours’y installer définitivement oucomme investissement. L’andernier, les destinations prisées
furent la France, l’Espagne, l’Italie, le Portugal et la Turquie.Cette année, l’organisateur table sur l’Espagne (et ses bonnesaffaires), les pays de l’ancienbloc de l’Est et les EtatsUnis.Outre une vaste offre d’exposants, Second Place entend également proposer une plateforme de rencontre au sein dumarché des secondes résidences. C’est pour cette raison quele salon organise des séminairesconsacrés aux aspects financiers, juridiques et fiscaux liés àl’achat d’une seconde résidence. e
l Gestion publique l Logements inoccupés
Bruxellesa horreur du vide
h La Région de BruxellesCapitalerenforce son appui financier auxcommunes qui luttent contre leslogements inoccupés.
DANS SA VOLONTÉ DE FAIRE DE LA LUTTE contreles logements inoccupés une priorité, la Région deBruxellesCapitale a récemment lancé le principed’une amende régionale sur les logements inoccupésdepuis plus d’un an, qui vient sanctionner les propriétaires qui ne remédieraient pas à l’inoccupation dansun délai raisonnable, alors même que des mesuresd’accompagnement et de soutien, comme la gestionpar agence immobilière sociale (AIS) ou encore l’aide àla rénovation, leur sont proposées par la Région.Dans le même but, et sous la même impulsion de
son secrétaire d’Etat au Logement Christos Doulkeridis, elle a décidé de renforcer son appui financier auxcommunes qui mettent en œuvre le droit de gestionpublique. Ce droit autorise un opérateur immobilierpublic (régional ou local) de prendre en gestion à laplace du propriétaire un immeuble inoccupé, en vuede lemettre en location à un loyer plafonné et au profit de personnes à bas revenu.Pour encourager lamise enœuvre de ce dispositif, la
Région peut octroyer des prêts sans intérêt pour fi
nancer des travaux de rénovation et mise en conformité du bien. Concrètement, le Gouvernement a décidé de relever la part des travaux finançables par cetemprunt à taux zéro : de 50 à 70 % et de 80 à 90 % (enzone de Développement Renforcé du Logement et delaRénovation). Le prêt pourradoncdésormais s’éleverà 35 000 ou 45 000 euros par logement (les travauxne pouvant dépasser 50 000 euros par logement).L’arrêté adopté prévoit aussi que le délai de remboursement des prêts accordés aux opérateurs publics parla Région pourra dépasser le délai des 9 ans imposéauparavant.Avec ce renforcement du soutien financier au droit
de gestion publique, l’appel aux communes est clairpourChristosDoulkeridis, cité dansun communiqué :“Chaque niveau de pouvoir, chaque autorité publique, aun rôle à jouer dans la lutte contre les logements inoccupés et ce, en fonction des armes dont elle dispose. Ce nouveau soutien financier est un réel coup de pouce et un appel à mettre en œuvre cette mesure particulière, dite deréquisition douce.” Le secrétaire d’Etat au Logements’adresse aussi aux propriétaires : “Le droit de gestionpublic est une mesure forte, car il n’est pas acceptable dedélaisser des logements ou de spéculer dans une Régionqui souffre d’un manque criant de logements. La Courconstitutionnelle l’a reconnu : le droit de propriété n’estpas absolu. Il est de la responsabilité des pouvoirs publicsd’y opposer le droit au logement lorsque les circonstancesl’imposent”.
Les logementsvides sont de plusen plus harceléspar la Régionbruxelloise.
Libre Immo. Supplémenthebdomadaire à La LibreBelgique.Coordination
rédactionnelle:Vincent Slits. (02 211 29 13 [email protected]) Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: Sodimco. Directeur général: DenisPierrard..Rédacteur en chef:Vincent Slits.Rédacteur en chefadjoint: Pierre-François Lovens.Conception graphique:Jean-Pierre Lambert (responsable graphique), BrunoBausier. Publicité: Véronique Le Clercq (00322 21127 64 [email protected])
Question time
Un patrimoineimmobilierdans une société ?Lorsque l’on entend le terme société, toutes lessortes de société surgissent à l’esprit comme lessociétés anonymes, les sociétés à responsabilité limitée, etc.En principe, elles ont toutes en commun le faitd’accomplir des actes dits “de commerce”. En réalité, une forme de société se distingue de ce principe : la société patrimoniale. Une société patrimoniale prend la forme d’une de celles prévues par leCode des sociétés (au choix donc une société anonyme, une société à responsabilité limitée). Vue del’extérieur, elle ne se distinguera pas des autres sociétés. Elle possède toutefois un objet social différent qui est de détenir et de gérer des immeubles.En guise d’avantages, on notera la possibilité dedéduire fiscalement les frais de l’immeuble et decomptabiliser les amortissements sur les bâtiments. Un autre point positif se situe auniveaudesdroits d’enregistrement. La personne, souhaitantacheter un immeuble à une société de patrimoine,peut acheter soit l’immeuble, soit les actions.L’achat des actions évite les droits d’enregistrement de 12,5 %. Enfin, la donation d’actions peut,moyennant certaines conditions, être exonérée dupaiement des droits de donation et de succession.Toutefois – et c’est le revers de la médaille – il estdifficile de faire “sortir” un immeuble de la sociétépatrimoniale. Bien souvent, en cas de vente del’immeuble, le prix est inférieur à celui que l’onobtiendrait si l’on vendait l’immeuble en nompropre. Par ailleurs, l’achat d’un immeuble en société suppose d’emprunter les sommes utiles autravers d’un crédit d’investissement. Les conditions de celuici sont différentes de celles d’unprêthypothécaire d’habitation. Et, bien souvent, les indemnités de remploi demandées par l’organismefinancier sont significatives. e
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7immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
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8 Annonces immobilières SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
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9immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
MAISONS À VENDREde 125.000 à 250.000 €
21-100060601-01
21-100134401-01
MAISONS À VENDREde 375.000 à 500.000 €
21-100149703-03
21-100147501-01
21-100149102-02
21-99842304-04
21-100149702-02
MAISONS À VENDREplus de 500.000 €
21-100147510-10
21-99842305-05
21-100147806-06
21-100146402-02
21-100147506-06
21-100149706-06
21-100147509-09
21-100147507-07
21-100149804-04
21-100147808-08
21-100147503-03
21-100147502-02
21-100146404-04
21-100149103-03
21-100149107-07
21-100149805-05
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10 Annonces immobilières SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
21-100147512-12
21-100149705-05
MAISONS À VENDREprix non précisé
21-100149806-06
21-100149807-07
21-100149808-08
21-100147804-04
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 125.000 à 250.000 €
21-100146409-09
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 250.000 à 375.000 €
21-100146401-01
21-100146406-06
21-100149108-08
APPARTEMENTSÀ VENDRE
de 375.000 à 500.000 €
21-100149802-02
21-100146408-08
21-100146405-05
21-100149707-07
21-100146403-03
21-100147801-01
21-100147516-16
21-100147514-14
APPARTEMENTSÀ VENDRE
plus de 500.000 €
21-100147803-03
21-100149104-04
21-100149106-06
21-100149101-01
21-100147517-17
21-100147807-07
21-100147513-13
21-100147802-02
21-100149803-03
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11immobilièresAnnoncesSEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
21-100146410-10
21-100146407-07
21-100147504-04
21-100149801-01
21-100147810-10
21-100147809-09
21-100147515-15
21-100147511-11
21-100147508-08
21-100147505-05
21-100147518-18
21-100147805-05
VIAGER
21-99893306-06
21-83200403-03
21-67470110-10
21-99893305-05
21-99893301-01
21-99893302-02
21-99893303-03
TERRAINSà vendre
21-100151101-01
21-100149105-05
IMMEUBLESDE RAPPORT
21-100149701-01
BUREAUXà louer
21-99591601-01
COMMERCESà louer
21-99842302-02
SALLE DE VENTE PAR NOTAIRES34, rue de la Montagne 1000 Bruxelles
21-100006901-01
21-100007201-01
21-99786401-01
21-99786402-02
VENTES PAR NOTAIRESdes autres provinces
21-100151601-01
VENTES DE GRÉ À GRÉ
21-100152301-01
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12 Annonces notariales SEMAINE DU 20 AU 26 SEPTEMBRE 2012 LIBRE IMMO
RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBruxelles
21-100061101-01
21-100061102-02
21-100061103-03
21-100061104-04
RÉSULTATS DES VENTES PUBLIQUESBrabant
21-100061105-05
21-100061106-06
VENTES PAR NOTAIRESBrabant
21-99804801-01
21-100007001-01
21-100153303-03
21-100153304-04
21-100153305-05
21-100153306-06
21-100153307-07
21-100153701-01
21-100153702-02
21-100153703-03
21-100153301-01
21-100153302-02
21-100154501-01
21-100154502-02
21-100154503-03
21-100154504-04