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MPA Nº30 - juin-juillet-août 2016 1
MPACTUALITÉS
LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
Nº30
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JUIN-JUILLET-AOÛT
Cent seize agences françaises sont parties à la chasse aux Lions lors de la 62e édition du Festival international de la créativité, qui s’est tenu à Cannes en juin dernier. Cinquante-trois d’entre elles ont remporté des trophées, un bon score mais loin des 80 Lions de 2015 et des 84 Lions de 2014. Une baisse qui ne remet pas en cause la créativité, qui est plus que jamais le nerf de la guerre, tant pour les agences que pour les marques, comme nous le confi rment Mercedes Erra, fondatrice de BETC, présidente exécutive de Havas Worldwide, et Elisabeth Billiemaz, présidente de l’agence Les Gaulois.
HAVAS FAIT RUGIR SA CRÉATIVITÉPALMARèSBETC – EVIAN : POOL LOUNGER, SUNBED, DIVER, PALM TREEPrix : Bronze en Outdoor, catégorie DrinksLa saga Evian s’est enrichie d’une collaboration originale entre l’eau minérale naturelle des Alpes et la marque de mode Le Slip Français pour raconter une histoire ludique autour du Made in France. Cette union imaginée par BETC Paris a donné naissance l’été dernier à une collec-tion capsule (slip de bain, T-shirt, espadrilles) pour ha-biller et chausser les bébés et les ex-bébés à la plage car, comme le revendique Evian, « vous pouvez vous sentir jeune quel que soit votre âge, c’est un état d’esprit ». La campagne primée se décline en a� chage, dans
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CANNES LIONS 2016QUAND CRÉATIVITÉ RIME AVEC EFFICACITÉ
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Cent seize agences françaises sont parties à la chasse aux Lions lors de la 62international de la créativité, qui s’est tenu à Cannes en juin dernier. Cinquante-trois d’entre elles ont
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international de la créativité, qui s’est tenu à Cannes en juin dernier. Cinquante-trois d’entre elles ont remporté des trophées, un bon score mais loin des 80 Lions de 2015 et des 84 Lions de 2014.
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remporté des trophées, un bon score mais loin des 80 Lions de 2015 et des 84 Lions de 2014. Une baisse qui ne remet pas en cause la créativité, qui est plus que jamais le nerf de la guerre, tant
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Une baisse qui ne remet pas en cause la créativité, qui est plus que jamais le nerf de la guerre, tant pour les agences que pour les marques, comme nous le confi rment Mercedes Erra, fondatrice de BETC,
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pour les agences que pour les marques, comme nous le confi rment Mercedes Erra, fondatrice de BETC, présidente exécutive de Havas Worldwide, et Elisabeth Billiemaz, présidente de l’agence Les Gaulois.
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La saga Evian s’est enrichie d’une collaboration originale entre l’eau minérale naturelle des Alpes et la marque de
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entre l’eau minérale naturelle des Alpes et la marque de mode Le Slip Français pour raconter une histoire ludique
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mode Le Slip Français pour raconter une histoire ludique autour du Made in France. Cette union imaginée par
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autour du Made in France. Cette union imaginée par BETC Paris a donné naissance l’été dernier à une collec-
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BETC Paris a donné naissance l’été dernier à une collec-tion capsule (slip de bain, T-shirt, espadrilles) pour ha-
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS L’EXPERT HAVAS
Mercedes ErraPrésidente exécutive Havas WorldwideFondatrice de BETCTél. : +33 (0)1 56 41 36 [email protected]
le prolongement de la campagne en diptyque « Little Big Baby ».
BETC – LACOSTE : URBANITEPrix : Bronze en Design, catégorie Photography« Life is a beautiful sport », un sport de courage et d’engagement total. BETC illustre une nouvelle fois la signature de Lacoste par de magnifi ques images signées Matthieu Ra� ard d’un homme « au-dessus » des épreuves de la ville et de la vie, dont le terrain de jeu est un décor urbain minimaliste. Cette campagne reprend la métaphore de « l’esprit Lacoste » qui reste sport et décontracté face aux défi s.
BETC – ORANGINA : UPSIDE DOWN CANPrix : Silver en Outdoor ; Bronze en Promo & ActivationLes fans d’Orangina le savent, il est im-portant de bien secouer la pulpe avant de boire. Mais si c’est un réfl exe ancré avec la boisson en bouteille, c’est moins le cas chez les acheteurs de canettes. Pour inciter ces derniers à secouer leur canette pour bien mélanger la pulpe avant de boire, Orangina et l’agence BETC Paris ont eu l’idée créer une canette inversée, avec l’ouverture en bas. Le consommateur est ainsi obligé de la retourner, et donc de secouer la pulpe, avant de la consommer.
BETC – UBISOFT : THE END OF SOCIETY SIMULATOR : COLLAPSEPrix : Bronze en Digital Craft, caté-gorie Data Storytelling ; Silver en PR, catégorie Use of Web Platforms & Apps ; Bronze en Creative Data, catégorie Data VisualisationLes États-Unis détruits en cinq jours suite à un virus mortel pro-pagé lors du Black Friday, New York en proie au chaos après une attaque terroriste chimique : bien-venue dans l’univers apocalyptique du jeu vidéo Tom Clancy’s The Di-vision d’Ubisoft. Pour soutenir sa sortie, BETC Paris et BETC Digital ont conçu un simulateur interactif et immersif, baptisé «¡Collapse¡», qui reproduit les conséquences de la contagion dans la ville de l’inter-naute via des données issues de Natural Earth Data, d’OpenStreet-Map, Google Street Maps et de vols IATA. Une expérience personnali-sée qui a trouvé son public : en un peu moins d’une semaine, 1 million de personnes ont testé le simu-lateur et les ventes ont explosé. (suite en page 4)
« Les agences se battent pour exister en termesde réputation créative » Mercedes Erra
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ITEPrésidente exécutive Havas Worldwide
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ITEPrésidente exécutive Havas Worldwide
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Les fans d’Orangina le savent, il est im-
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Les fans d’Orangina le savent, il est im-portant de bien secouer la pulpe avant
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portant de bien secouer la pulpe avant de boire. Mais si c’est un réfl exe ancré
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Pour inciter ces derniers à secouer leur canette pour bien mélanger la pulpe
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de réputation créative » Mercedes Erra
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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DÉVELOPPEZ VOTRE PERFORMANCE BUSINESS AVEC UNE GARANTIE DES RÉSULTATS !
Bertrand Fraboulet : [email protected] | Christophe Le Marchand : [email protected]
- 320 spécialistes dans 38 marchés di� érents.- Une expertise multi-leviers : SEO, paid search,
a� liation, emailing, display à la performance et optimisation des conversions.
- Des produits multicanaux : Ecselis Performance, Ecselis Tra� c in Store et Ecselis Engagement.
MERCEDES ERRA, PRÉSIDENTE EXÉCUTIVE DE HAVAS WORLDWIDE
Le Festival international de la créativité de Cannes compte 7 % de plus de travaux inscrits. Est-ce que cela renvoie un signe à la notion de créativité ?
Non, cela ne me paraît pas être un signe majeur d’un sursaut de créa-tivité. C’est un signe de la compé-tition extrême qui règne dans notre
secteur. Les agences se battent pour exister en termes de réputation créative, et ne veulent laisser passer aucune occasion de récompense. Bien sûr, il y a aujourd’hui plus de media, de canaux, et en sophistiquant les catégories dans lesquelles on peut candidater, on invite à postuler davantage avec des travaux auxquels on n’aurait pas for-cément pensé, qui combinent di� érentes disciplines, de l’événementiel au CRM, au mobile, etc. Cela rend le festival un peu moins brillant.
Sur un marché qui reste tendu, la créativité est-elle toujours le nerf de la guerre publicitaire ?
Bien sûr, et elle doit le rester. Plus les messages abondent, plus la puissance de l’idée est un levier pour émerger. C’est vrai quels que soient les ca-naux sur lesquels elle se déploie.
Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité et si c’est le cas dans quelle direction ?
Oui, bien sûr. Le règne de la data et de ses infi nies pos-sibilités tend à prioriser l’intelligence des algorithmes par rapport à la pertinence et à la force des contenus, et à occulter que les gens trient et délaissent les contenus qui ne les engagent pas. Au fi nal, pourtant, je suis prête à parier que les travaux primés en digital feront encore la preuve de la supréma-tie des idées. Le digital, c’est d’abord un lieu d’échange entre les humains et un lieu d’accès à l’information, dans lequel il faut inventer des formes de commu-
Le digital, c’est d’abord un lieu d’échange entre les humains et un lieu d’accès à l’information, dans lequel il faut inventer des formes de communication nouvelles
—Mercedes Erra
présidente exécutive de Havas Worldwide
nication nouvelles adaptées à ce terrain de jeu-là. L’entertainment, le serviciel répondent bien aux enjeux de la culture digitale.
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- 320 spécialistes dans 38 marchés di� érents.
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abondent, plus la puissance de l’idée est un levier
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abondent, plus la puissance de l’idée est un levier pour émerger. C’est vrai quels que soient les ca-
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Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité
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Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité
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Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité et si c’est le cas dans quelle direction ?
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Oui, bien sûr. Le règne de la data et de ses infi nies pos-Oui, bien sûr. Le règne de la data et de ses infi nies pos-
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Oui, bien sûr. Le règne de la data et de ses infi nies pos-sibilités tend à prioriser l’intelligence des algorithmes
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délaissent les contenus qui ne les engagent pas. Au fi nal, pourtant, je suis prête à
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parier que les travaux primés en digital feront encore la preuve de la supréma-
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
LES GAULOIS – LIGNE ROSETPrix : Silver en Print & Publishing, catégorie Home Appliances & Fur-nishings Pour présenter les nouveaux modèles de la collection Ligne Roset – Pierre Paulin, l’agence Les Gaulois a mis en avant l’intemporalité des créations du designer français par une campagne presse dans les pages du magazine Ideat composée de trois visuels et d’un jeu-concours permettant de gagner la banquette Daybed, meuble emblématique des années 1950.
LES GAULOIS – TRANSAVIA : HOLIDAYS ON DEMANDPrix : Bronze en Promo & Activation¡; Bronze en Cyber ; Bronze en MediaDes vacances véritablement à la demande, c’est le service inédit qu’a imaginé l’agence Les Gaulois pour la compagnie low cost du groupe Air France-KLM. Partant de l’idée que les fi lms nous donnent souvent envie de voyager dans les pays qui leur servent de décor, Transavia a créé, en parte-nariat avec Canalplay, une nouvelle option présente sur chaque fi lm de la plateforme, l’option HOD (holi-days on demand). En la sélectionnant, les utilisateurs de Canalplay décou-vraient qu’en plus de voir leur fi lm, ils obtenaient instantanément le billet d’avion pour partir le vivre sur place.
L’EXPERT HAVAS
Elisabeth BilliemazPrésidente de l'agence Les GauloisTel : +33 (0)1 80 03 77 [email protected]
En tout, plus de 120 fi lms correspondaient à des destina-tions Transavia. Un dispositif serviciel inédit signé Les Gaulois pour Transavia qui s’inscrit dans la ligne des campagnes #ByeBye ou #SnackHolidays.
ROSAPARK – THALYS : SOUNDS OF THE CITYPrix : Silver en RadioC’est une nouvelle idée d’a� chage interactif pour une im-mersion totale dans les trois capitales desservies par Tha-lys qu’a imaginée l’agence Rosapark. Elle a capturé plus de 4¡000 sons di� érents à Paris, Bruxelles et Amsterdam,
et installé cette ambiance sonore sur les plans des villes avec des prises jack. Les passants étaient invités à brancher leurs écouteurs sur les a� ches pour se plonger dans l’ambiance parisienne, bruxelloise et amstellodamoise. Une jolie idée pour donner envie de visiter ces villes en Thalys.
« le monde de la communication est en train d’évoluer,les manièresde résoudre les problématiques pour les marques sont plurielles, plus servicielles, plus ludiques, plus engagées » Elisabeth Billiemaz
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En tout, plus de 120 fi lms correspondaient à des destina-tions Transavia. Un dispositif serviciel inédit signé Les
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mersion totale dans les trois capitales desservies par Tha-lys qu’a imaginée l’agence Rosapark. Elle a capturé plus
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lys qu’a imaginée l’agence Rosapark. Elle a capturé plus de 4¡000 sons di� érents à Paris, Bruxelles et Amsterdam,
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de 4¡000 sons di� érents à Paris, Bruxelles et Amsterdam,
et installé cette ambiance sonore
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et installé cette ambiance sonore sur les plans des villes avec des
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sur les plans des villes avec des prises jack. Les passants étaient
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prises jack. Les passants étaient invités à brancher leurs écouteurs
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invités à brancher leurs écouteurs sur les a� ches pour se plonger dans
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sur les a� ches pour se plonger dans l’ambiance parisienne, bruxelloise
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l’ambiance parisienne, bruxelloise et amstellodamoise. Une jolie idée
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et amstellodamoise. Une jolie idée pour donner envie de visiter ces
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pour donner envie de visiter ces
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LES GAULOIS – TRANSAVIA : HOLIDAYS ON
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LES GAULOIS – TRANSAVIA : HOLIDAYS ON
Bronze en Promo & Activation¡;
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Bronze en Promo & Activation¡; Bronze en Cyber ; Bronze en Media
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Bronze en Cyber ; Bronze en MediaDes vacances véritablement à la
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Des vacances véritablement à la demande, c’est le service inédit qu’a
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demande, c’est le service inédit qu’a imaginé l’agence Les Gaulois pour la
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imaginé l’agence Les Gaulois pour la compagnie low cost du groupe Air
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compagnie low cost du groupe Air France-KLM. Partant de l’idée que les
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France-KLM. Partant de l’idée que les fi lms nous donnent souvent envie de
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fi lms nous donnent souvent envie de voyager dans les pays qui leur servent
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voyager dans les pays qui leur servent de décor, Transavia a créé, en parte-
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de décor, Transavia a créé, en parte-nariat avec Canalplay, une nouvelle
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nariat avec Canalplay, une nouvelle option présente sur chaque fi lm de
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option présente sur chaque fi lm de la plateforme, l’option HOD (holi-
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la plateforme, l’option HOD (holi-days on demand). En la sélectionnant,
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villes en Thalys.
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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ELISABETH BILLIEMAZ, PRÉSIDENTE DE L’AGENCE LES GAULOIS
Le Festival international de la créativité de Cannes compte 7 % de plus de travaux inscrits. Est-ce que cela renvoie un signe à la notion de créativité ?
Il y a surtout une surenchère glo-bale du nombre de catégories et de sous-catégories qui démultiplie mathématiquement le nombre d’ins-criptions. Le Cannes Lions s’est beau-coup complexifi é dans ses modalités d’inscription et d’organisation des catégories. Certaines, axées sur l’e� -cacité, consistent même à inscrire des campagnes récompensées par des Lions les années précédentes. C’est devenu une industrie en termes d’organisation, et un vrai business qui coûte très cher aux agences. Tout le monde entre dans le jeu, c’est de-venu une vraie rente pour le Festival de Cannes. Après, il est vrai que le monde de la communication est en train d’évoluer, que les manières de résoudre les problématiques pour les marques sont plurielles, plus servi-cielles, plus ludiques, plus engagées et augmentent ainsi les possibilités
—Elisabeth Billiemaz
présidente de l’agence Les Gaulois
d’être créatif, et donc de postuler avec des cas intéressants.
Sur un marché qui reste tendu, la créativité est-elle toujours le nerf de la guerre publicitaire ?
Plus que jamais, et c’est ce qu’attendent de nous nos clients. Des idées neuves pour réinventer le dialogue entre les marques et les consommateurs via une campagne de publicité, un événement, un service… Imaginer des idées neuves, c’est de la créativité dans tous ses états.
Le digital déplace-t-il le curseur de la créativité et,si c’est le cas, dans quelle direction ?
Oui et non, car, envisagé en termes strictement publici-taires, le digital est un tuyau de plus. Ce que change le digital en matière de créativité est justement de dépasser cet aspect d’émetteur publicitaire pour inventer des sys-tèmes de communication innovants, un nouveau storytel-ling, qui créent de la conversation entre les marques et le consommateur, qui apportent en temps réel des services, de la distraction ou de l’information, et de pouvoir le quan-tifi er sur tous les spectres de l’e� cacité. Dans ce sens, le digital ouvre un nouveau champ d’intervention créatif. À Cannes, on a pu noter que beaucoup d’idées qui émergent développent un important volet serviciel, et en cela, le di-gital est un outil qui permet de faire la démonstration de ce que la marque peut changer dans la vie des gens. Cela peut être via des applis, des bots, ou des sites dans lesquels on invente un nouveau service pour une marque, à l’instar de ce que nous avons fait pour Transavia avec Canalplay en créant le service Holidays on Demand. Ou encore, toujours pour Transavia, en imaginant un convertis-seur qui permettait de convertir l’argent de la vente
d’un objet sur eBay en billet d’avion. L’agence Les Gaulois dispose depuis l’an dernier d’une cellule d’open inno-vation, l’Antichambre, qui est en veille permanente sur tout ce qui est inno-vation technologique. Avec un objec-tif : surprendre le consommateur dans des points de contact qui viennent le chercher là où il s’y attend peut-être le moins et lui faire vivre de nouvelles expériences de marques.
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ITEd’un objet sur eBay en billet d’avion.
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ITEd’un objet sur eBay en billet d’avion.
L’agence Les Gaulois dispose depuis
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L’agence Les Gaulois dispose depuis l’an dernier d’une cellule d’open inno-
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l’an dernier d’une cellule d’open inno-vation, l’Antichambre, qui est en veille
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vation, l’Antichambre, qui est en veille permanente sur tout ce qui est inno-
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permanente sur tout ce qui est inno-vation technologique. Avec un objec-
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taires, le digital est un tuyau de plus. Ce que change le taires, le digital est un tuyau de plus. Ce que change le
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digital en matière de créativité est justement de dépasser digital en matière de créativité est justement de dépasser
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digital en matière de créativité est justement de dépasser cet aspect d’émetteur publicitaire pour inventer des sys-
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cet aspect d’émetteur publicitaire pour inventer des sys-cet aspect d’émetteur publicitaire pour inventer des sys-
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cet aspect d’émetteur publicitaire pour inventer des sys-tèmes de communication innovants, un nouveau storytel-
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tèmes de communication innovants, un nouveau storytel-tèmes de communication innovants, un nouveau storytel-
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consommateur, qui apportent en temps réel des services, de la distraction ou de l’information, et de pouvoir le quan-
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de la distraction ou de l’information, et de pouvoir le quan-tifi er sur tous les spectres de l’e� cacité. Dans ce sens, le
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digital ouvre un nouveau champ d’intervention créatif. À Cannes, on a pu noter que beaucoup d’idées qui émergent
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Cannes, on a pu noter que beaucoup d’idées qui émergent développent un important volet serviciel, et en cela, le di-
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développent un important volet serviciel, et en cela, le di-gital est un outil qui permet de faire la démonstration de
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ce que la marque peut changer dans la vie des gens. Cela peut être via des applis, des bots, ou des sites dans lesquels
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peut être via des applis, des bots, ou des sites dans lesquels on invente un nouveau service pour une marque, à l’instar
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on invente un nouveau service pour une marque, à l’instar de ce que nous avons fait pour Transavia avec Canalplay
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de ce que nous avons fait pour Transavia avec Canalplay en créant le service Holidays on Demand. Ou encore,
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en créant le service Holidays on Demand. Ou encore, toujours pour Transavia, en imaginant un convertis-
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toujours pour Transavia, en imaginant un convertis-seur qui permettait de convertir l’argent de la vente
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seur qui permettait de convertir l’argent de la vente
chercher là où il s’y attend peut-être le
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chercher là où il s’y attend peut-être le moins et lui faire vivre de nouvelles
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
Le petit poisson bleu amnésique n’a au moins pas oublié la recette du succès. Avec plus de 136 millions de dollars de recettes pour son pre-mier week-end d’exploitation aux États-Unis en juin, Le Monde de Dory de Pixar a réalisé le meilleur démarrage de l’histoire pour un fi lm d’animation. La suite des aven-tures du Monde de Nemo, sorti il y a treize ans, détrône à ce titre Shrek de DreamWorks, qui le détenait depuis 2007 avec ses 121,6 millions de dol-lars engrangés dès sa sortie en salles, et fait mieux que Toy Story 3 de Pixar, qui n’avait réalisé «¡que¡» 110,3 millions de dollars à sa sortie améri-caine. Et Le Monde de Dory, qui en était déjà à 286,6 millions de dollars
CinémaFilm d’animation : recette d’un succès annoncé
C’est le genre qui rassemble le plus d’ingrédients pour faire venir les spectateurs dans les salles obscures. Les sorties en cours en apportent une nouvelle confi rmation.
En 2015, un film d’animation inédit est distribué en moyenne dans 338 établissements en première semaine, contre 136 établissements tous genres confondus
L’EXPERT HAVAS
Geoffrey GalabertData analyst, AdcityTél. : +33 (0)1 46 93 16 78 [email protected]
au bout de deux semaines d’exploitation outre-Atlan-tique, devrait continuer à nager vers le succès. Les fi lms d'animation font venir les spectateurs dans les salles obscures françaises et boostent le cinéma, comme le confi rme la huitième étude sur ce marché publiée par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) à l’occasion de l’édition de juin dernier du Festival inter-national du fi lm d’animation d’Annecy. «¡L’animation génère en moyenne davantage d’entrées par fi lm que les autres genres. En 2015, 29,4¡% des fi lms inédits d’anima-tion réalisent plus de 1 million d’entrées, contre 6,6¡% de l’ensemble des fi lms inédits¡», relève le CNC. Et ces fi lms, qui «¡représentent 5,2¡% des fi lms inédits sortis en France en 2015, génèrent 16,4¡% des entrées de l’ensemble de ces fi lms et 14,8¡% des recettes¡». Des ratios qui incitent producteurs et distributeurs à les faire bénéfi cier d’une large exposition tant en salles qu’en media. «¡En 2015, un fi lm d’animation inédit est distribué en moyenne dans 338 établissements en première semaine, contre 136 éta-blissements tous genres confondus. Et la part des fi lms d’animation inédits sortis en salles en 2015, et ayant fait l’objet d’une campagne publicitaire sur au moins un des cinq grands media, s’élève à 92,2¡%, contre 77,8¡% tous genres confondus. En moyenne, l’investissement publicitaire brut tarifé d’un fi lm d’animation s’élève à 2,5 millions d’euros en 2015, contre 1,1 million d’euros tous genres confondus¡», détaille le CNC en se basant sur les chi� res de Kantar Media. L’an dernier, la fréquentation des salles obscures françaises, pour les fi lms d’animation, était en augmentation de 27,7¡%, à 29,8 millions d’entrées, dont 5,6 millions pour les fi lms français (+ 10,9¡%) comme Pourquoi j’ai pas mangé mon père (2,4 millions d’entrées) et Le Petit Prince (1,9 million). Le Monde de Dory par-
viendra-t-il à égaler les 4,7 millions d’entrées cumulées en juin par Zootopie de Disney,
l’un des plus grands fi lms d’animation de la programmation 2016, et le plus
gros carton du premier semestre devant les 4,6 millions d’entrées des Tuche 2 – Le Rêve américain ? De ce côté de l’Atlantique, le petit poisson bleu de Pixar mis à l’eau le 22 juin a rassemblé 200 000 fans le premier jour, et les pro-nostics des spécialistes parient sur une moyenne de 4 millions d’entrées dans l’Hexagone.
QUAND L’ANIMATION S’AFFICHE
L’univers ludique du dessin animé donne des idées aux pros de l’OOH. Ainsi, la semaine de la sortie du fi lm Le Monde de Dory, le pôle Create de Clear Channel a imaginé d’intégrer une machine à bulles connectée à ses totems qui se déclenchait de façon synchronisée avec le conte-nu de la vidéo di� usée à l’écran. À chaque fois que le petit poisson de Pixar gonfl ait ses joues à l’image, de vraies bulles sortaient du to-tem, pour le plus grand plaisir des clients. Présente dans huit centres commerciaux nationaux, cette cam-pagne a été imaginée par Disney France et Silenzio, en collaboration avec Adcity, Havas Media et Turn Right Prod. Chaque totem était décoré à l’e� gie de Hank le poulpe, le nouveau camarade de Dory, et les horaires des séances du cinéma du centre commercial s’a� chaient en bas de l’écran en temps réel pour
—Geoffrey GalabertData analyst, Adcity
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C’est le genre qui rassemble le plus d’ingrédients pour faire venir les spectateurs dans les salles
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au bout de deux semaines d’exploitation outre-Atlan-tique, devrait continuer à nager vers le succès. Les fi lms
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tique, devrait continuer à nager vers le succès. Les fi lms d'animation font venir les spectateurs dans les salles
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d'animation font venir les spectateurs dans les salles obscures françaises et boostent le cinéma, comme le
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confi rme la huitième étude sur ce marché publiée par le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC)
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Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) à l’occasion de l’édition de juin dernier du Festival inter-
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à l’occasion de l’édition de juin dernier du Festival inter-national du fi lm d’animation d’Annecy. «¡L’animation
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national du fi lm d’animation d’Annecy. «¡L’animation génère en moyenne davantage d’entrées par fi lm que les
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génère en moyenne davantage d’entrées par fi lm que les autres genres. En 2015, 29,4¡% des fi lms inédits d’anima-
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autres genres. En 2015, 29,4¡% des fi lms inédits d’anima-tion réalisent plus de 1 million d’entrées, contre 6,6¡% de
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tion réalisent plus de 1 million d’entrées, contre 6,6¡% de l’ensemble des fi lms inédits¡», relève le CNC. Et ces fi lms,
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l’ensemble des fi lms inédits¡», relève le CNC. Et ces fi lms, qui «¡représentent 5,2¡% des fi lms inédits sortis en France
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qui «¡représentent 5,2¡% des fi lms inédits sortis en France en 2015, génèrent 16,4¡% des entrées de l’ensemble de
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en 2015, génèrent 16,4¡% des entrées de l’ensemble de ces fi lms et 14,8¡% des recettes¡». Des ratios qui incitent
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ces fi lms et 14,8¡% des recettes¡». Des ratios qui incitent producteurs et distributeurs à les faire bénéfi cier d’une
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producteurs et distributeurs à les faire bénéfi cier d’une large exposition tant en salles qu’en media. «¡En 2015,
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338 établissements en première semaine, contre 136 éta-blissements tous genres confondus. Et la part des fi lms
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blissements tous genres confondus. Et la part des fi lms blissements tous genres confondus. Et la part des fi lms
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blissements tous genres confondus. Et la part des fi lms d’animation inédits sortis en salles en 2015, et ayant
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d’animation inédits sortis en salles en 2015, et ayant d’animation inédits sortis en salles en 2015, et ayant
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d’animation inédits sortis en salles en 2015, et ayant fait l’objet d’une campagne publicitaire sur au moins
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genres confondus¡», détaille le CNC en se basant sur les chi� res de Kantar Media. L’an dernier, la fréquentation
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chi� res de Kantar Media. L’an dernier, la fréquentation des salles obscures françaises, pour les fi lms d’animation,
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des salles obscures françaises, pour les fi lms d’animation, était en augmentation de 27,7¡%, à 29,8 millions d’entrées,
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était en augmentation de 27,7¡%, à 29,8 millions d’entrées, dont 5,6 millions pour les fi lms français (+ 10,9¡%) comme
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dont 5,6 millions pour les fi lms français (+ 10,9¡%) comme Pourquoi j’ai pas mangé mon père
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QUAND L’ANIMATION S’AFFICHE
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QUAND L’ANIMATION S’AFFICHE
L’univers ludique du dessin animé
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L’univers ludique du dessin animé
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
MPA Nº30 - juin-juillet-août 2016 7
c’est l’investissement des chaînes de télévision françaises dans la production de fi lms d’animation agréés par le CNC entre 2006 et 2015. La chaîne payante qui a le plus investi est Canal+ (48,7 millions d’euros), et la chaîne gratuite dont l’apport est le plus élevé est France 3 (20,6 millions d’euros)
101,2 millions d’€
UNE APPROCHE AUDIENCE PLANNING - GARANTIE D’IMPACT ET D’ENGAGEMENT CONSOMMATEUR SUR LES MÉDIA OOH ET LOCAUX
AMPLIFICATION MEDIA
CONVERGENCE OOH, MEDIA DIGITAUX ET MOBILE
INTERACTION CLIENT
UN CONTENU ENRICHI POUR DE NOUVELLES CONNECTIONS
CLIENTS
ACTIVATION DATA
UNE APPROCHE DATA DRIVEN SUR LES HABITUDES
COMPORTEMENTALES DES CONSOMMATEURS
achever de donner envie. Cette opération événemen-tielle était complétée par 399 faces digitales dans les malls, 430 faces digitales dans les gares et 1 011 faces en a� chage bus du réseau de Clear Channel. Autre univers, autre dispositif, à l’occasion de la sortie en salles du fi lm Ninja Turtles 2, les quatre tortues Leonardo, Donatello, Michelangelo et Raphael se sont appropriées quatre colonnes Morris sur les Champs-Élysées à Paris du 21 juin au 4 juillet. Chacune était habillée des bandeaux bleu, violet, orange et rouge propres à chaque héros mis en avant par l’a� che du fi lm. Les passants pouvaient gagner des places de cinéma en postant un selfi e à côté d’une des quatre colonnes Morris «¡Ninja¡» avec le #Nin-jaTurtles2. La sortie de Ninja Turtles 2 était également accompagnée par plus de 7 000 faces JCDecaux dans près de 130 agglomérations françaises. Ces dispositifs créatifs ont un objectif commun à celui des designers et story-boarders des studios : faire rêver. On se souvient notamment du dispositif digital d’immersion dans une ville conçue par et pour des animaux imaginé par Ad-city/Havas Media, Turn Right/Disney France et Metro-bus sur le quai de la station de métro Concorde pour
la sortie de Zootopie de Disney. Une stratégie créative générale qui conforte la position de l’OOH sur ce marché. Selon CNC-Kantar Media, entre 2006 et 2015, l’a� chage est
le media de prédilection du secteur avec 33,4¡% des investissements bruts destinés à la promotion des fi lms d’animation, devant le cinéma (28,2¡%) et la presse (24,0¡%).
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c’est l’investissement des chaînes de télévision françaises dans la production de fi lms d’animation agréés par le CNC entre 2006
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la production de fi lms d’animation agréés par le CNC entre 2006 et 2015. La chaîne payante qui a le plus investi est Canal+
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et 2015. La chaîne payante qui a le plus investi est Canal+ (48,7 millions d’euros), et la chaîne gratuite dont l’apport est
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(48,7 millions d’euros), et la chaîne gratuite dont l’apport est le plus élevé est France 3 (20,6 millions d’euros)
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UNE APPROCHE AUDIENCE PLANNING - GARANTIE D’IMPACT ET D’ENGAGEMENT CONSOMMATEUR SUR LES MÉDIA OOH ET LOCAUX
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Une stratégie créative générale qui conforte la position de l’OOH sur ce
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MPACTUALITÉS
LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
CANAL+ JOUE EN EXCLU SUR FIFA 17
L’éditeur de jeux vidéo EA Sports et le groupe Canal+ ont signé un par-tenariat qui fera de Canal+ le seul partenaire media à apparaître dans le jeu FIFA 17 qui sortira le 29 sep-tembre prochain sur PS4, Xbox One, PC, PS3 et Xbox 360. Pierre Ménès y succède à Franck Sauzée aux com-mentaires, aux côtés de son col-lègue du Canal football club, Hervé Mathoux. L’annonce de l’arrivée de l’homme, que L’Équipe place en 10e position des 30 personnalités «¡qui font le foot français¡», s’est faite via une vidéo de brand content repre-nant les codes des bandes-annonces de la chaîne réalisée par Studio B. D’autres activations publicitaires illustreront le partenariat EA Sports-Canal+ d’ici à la rentrée.
FOOT TOUJOURS
Entre 2010 et 2015, le football a représenté 41 % de l’actualité spor-tive dans les JT, soit 949 sujets par an en moyenne, nous apprend l’Ina Stat dans un bilan des six dernières années de médiatisation du sport dans les JT du soir des six chaînes historiques. Le tennis se maintient en deuxième position avec 9,1¡% de l’ensemble, tandis que le rugby accé-lère sa percée pour générer 8,5¡% des sujets. «¡La médiatisation accom-pagne la professionnalisation crois-sante de ce sport depuis 1995¡», ana-lyse l’Ina. Au total, 13 950 sujets ont relaté l’actualité sportive dans les JT, soit six sujets par jour en moyenne sur la période.
LA MESURE TV 4 ÉCRANS EST EN ROUTE
À compter du 27 septembre, les résultats seront partagés avec l’en-semble des souscripteurs du Média-mat National Quotidien, mais 13 chaînes ont d’ores et déjà souscrit à la mesure dont Médiamétrie four-
BrèvesOn vous l’aura dit !
nit les premiers résultats depuis avril dernier : TF1, TMC, NT1, HD1, France 2, France 3, France 5, France 4, France Ô, M6, W9, 6ter et ARTE. Elles retrouvent ainsi chaque jour, dans l’interface Web Restit’TV, les audiences de leurs programmes TV sur les quatre écrans (télévision, ordinateur, smartphone et tablette), par émission, avec le détail par écran et par mode de consomma-tion : live, di� éré et replay. Et Mé-diamétrie continue de dérouler sa feuille de route : à partir d’octobre, l’institut livrera mensuellement aux chaînes souscriptrices une audience Chaîne TV 4 écrans avec le profi l des téléspectateurs, et, d’ici à la fi n de l’année, des audiences des écrans publicitaires en live, selon des mo-dalités en cours d’élaboration avec les acteurs du marché : chaînes TV, agences media et annonceurs.
GRAZIA.FR EN VERSION GRAND FORMAT
Header surdimensionné, visuels qui se déploient en version panora-mique pour s’adapter aux nouveaux écrans 16/9 des mobiles, carrousels en hauteur… La nouvelle version du site de Grazia propose une expé-
rience de navigation qui amplifi e l’approche visuelle. Les articles produits par une équipe éditoriale renforcée sont valorisés par trois mises en avant modulables selon l’actualité et les partis pris de la rédaction. Côté publicité, le site propose également des formats événementiels et une visibilité optimisée par des pavés publicitaires qui restent présents tout au long de la lecture de l’article et du scrolling sur la page.
LE CHIFFRE
53 % des consommateurs français ont déjà acheté des produits sur un site marchand basé à l’étranger, à 58¡% pour faire des économies et à 39 % pour trouver des pro-duits indisponibles en France. Vêtements et produits électroniques arrivent en tête de leurs achats. Source : étude Trustpilot/YouGov.
M6 ADAPTE SATURDAY NIGHT LIVE L’émission iconique di� usée chaque semaine sur NBC depuis quarante ans arrivera à la rentrée en version fran-çaise sur la chaîne. M6, Together Media – de Renaud Le Van Kim et Guillaume Lacroix – et le réalisateur Éric Hannezo planchent sur l’adaptation française, en repre-nant le concept de sketchs, parodies, performances mu-sicales du show américain. Les auteurs Julien Hervé et Philippe Mechelen (Les Guignols, Les Tuche 2), ou Chris-tophe Duthuron (Brice 3), seront chargés de l’écriture des sketchs et des parodies inspirés de l’actualité culturelle, sportive et politique, française et internationale. Le pro-gramme sera di� usé en direct autour d’une troupe de comédiens récurrents.
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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BRAND MEDIA
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DEEP, LA NOUVELLE SÉRIE DIGITALE INTERNATIONALE DE SAVE FERRIS ENTERTAINMENT, EN COPRODUCTION AVEC STUDIO+, EST DESTINÉE À SÉDUIRE LES MILLENIALS, CIBLE NUMERO 1 DES SÉRIES SUR MOBILES
PLONGEZ AVEC SAVE FERRIS C’est au cœur du monde de l’apnée et de la réalité des profondeurs sous-marines que nous entraîne Deep, la nouvelle série digitale interna-tionale qu’achève de tourner Save Ferris Entertainment, studio de pro-duction du groupe Havas, en copro-duction avec Studio+, l’o� re de séries pour mobiles et tablettes de Vivendi Content. Cette série de dix épisodes de huit minutes qui réunit Ornella Mutti, Caterina Murino, Pauline Le-fèvre, le freediver quadruple record-man du monde Pierre Frolla et Gilles «¡Stomy Bugsy¡» Duarte est un ex-ploit technique, avec des séquences sous-marines tournées en vertical et son binaural, et de la réalité virtuelle. Une approche audacieuse, à l’instar de Brutal et Surf Therapy, destinée à séduire les Millennials, cible numéro 1 des séries sur mobiles. Mais aussi les marques, comme Citroën, Hamil-ton ou Jaked, dont les produits sont mis en avant dans Deep.
AUTO PLUS FAIT SALON La marque print et digitale de Mon-dadori est le partenaire éditorial du
Mondial de l’automobile, qui se tien-dra à Paris du 1er au 16 octobre pro-chains. À ce titre, Auto Plus réalise notamment la rédaction de la news-letter o� cielle du salon qui est d’ores et déjà envoyée tous les quinze jours et qui passera à un rythme hebdoma-daire en septembre. Objectif : relayer les actualités, bons plans, nouveau-tés, animations du Mondial. Un clic sur la news renvoie vers le site o� -ciel du salon.
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
C COMME CLAQUE
Participer au Festival SXSW, c’est recevoir une vraie claque, car nous n’avons pas en France cette qualité de conférences, cette transparence et cette authenticité dans le discours, cette manière très décomplexée de dire les choses. C’est aussi un élec-trochoc qui est venu enrichir nos intuitions. Au fi l des conférences, est apparu un fi l rouge qui reliait tous les concepts avec lesquels nous jonglons dans notre métier : la communication, le marketing, la stratégie, le digital, la data, le programmatique, jusqu'à la big data, l’intelligence artifi cielle, les robots, sujets sur lesquels nous sommes régulièrement interrogés par les annonceurs. Le Festival apporte des éclairages et des axes di� érents qui enrichissent en accéléré notre connaissance du monde.
Reconnu comme l'un des plus grands rassemblements dédiés aux nouvelles technologies, le Festival américain SXSW (South by Southwest) d’Austin est une source d’inspiration inégalée. Capucine Pierard, Managing Partner, Chief Data O� cer chez Havas Media qui y assistait avec d’autres membres de l’équipe Havas nous livre ses impressions en quelques mots-clés.
Flash-BackSXSW, le Festival de tous les possibles
L’EXPERT HAVAS
Capucine PierardManaging Partner, Chief Data OfficerTél. : 33 (0)1 46 93 35 [email protected]
C COMME CONTENU
Notre monde est celui d’une généra-tion connectée, qui adopte très rapi-dement les innovations et vit dans l’instant. Dès qu’apparaît un nouveau media, un nouveau réseau social, un nouveau device, il est très rapidement adopté comme outil du quotidien. L’at-tention est beaucoup plus fugace, les contenus sont vite zappés, les formats changent extrêmement rapidement.
Pour nos métiers, il est di� cile d’an-ticiper les audiences, qui sont
beaucoup plus fragmen-tées et en même temps
convergent vers des plateformes de plus en plus conséquentes comme YouTube, Fa-cebook. La disruption est devenue la norme
et la monétisation des audiences se révèle très
complexe. Les intervenants du
SXSW se sont accor-dés pour dire qu’il
fallait absolument adapter la forme à la plateforme sur lequel le contenu est dispensé. Typi-quement, on ne
peut plus comme avant se reposer uniquement sur du 30” en télévision, en se basant sur la force d’une image. Il faut aujourd’hui arriver à développer des formats de plus en plus pertinents, impactants, en donnant priorité à la vidéo. Il faut réfl échir au message que l’on veut faire passer mais en entrant dans le prisme du consommateur. Une conférence baptisée «¡How to stop speaking in bullshit¡» a rappelé que le maître-mot devait être l’authenticité, c’est-à-dire la fi n du discours lisse. Il vaut mieux dire la vérité aux gens plutôt que leur vendre un rêve qu’ils n’atteindront pas. Autre mot-clé mis en avant pour s’adresser au consommateur¡: l’empathie. Ces axes de réfl exion nous confortent dans les questions que nous posons régulièrement : qui est le consommateur ? Que veut-il ? Où et comment vit-il ? Quels sont ses besoins ? Comment s’organise sa vie quotidienne ?
E COMME ÉMOTION
Le message est revenu souvent lors du Festival SXSW :le monde digital est de plus en plus une a� aire d’émotion. De nombreuses initiatives en attestent. BuzzFeed bâtit sa réussite sur des contenus viralisés grâce à l’émotion qu’ils suscitent, en partant du principe que «¡Empathy and human connection are the new superpowers for building large audiences¡». Brené Brown, chercheuse et standUpAr-tist, conseille de se servir de ses émotions pour avancer. Sans oublier la réfl exion menée par Google sur le marke-ting des émotions. La fi rme de Mountain View a développé des recherches sur la voix, et notamment les émotions qui passent dans la voix à partir des requêtes faites sur Google Now. L’objectif est d’apporter des réponses di� érentes se-lon que la demande est formulée sur un ton plutôt joyeux, triste, stressé… Les requêtes vocales sont de plus en plus utilisées et vont encore se développer dans les prochains mois avec notamment l’essor d’Amazon Echo.
35 000 personnes venues de 85 pays.2 500 intervenants dont Barack Obama, premier chef d’État américain venu au Festival, pour célébrer les 30 ans.
Le Festival SXSWen chiffres
—Capucine PierardManaging Partner,Chief Data Officer
LE FESTIVAL APPORTE DES ÉCLAIRAGES QUI ENRICHISSENT EN ACCÉLERÉ NOTRE CONNAISSANCE DU MONDE
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Reconnu comme l'un des plus grands rassemblements dédiés aux nouvelles technologies, le Festival américain SXSW (South by Southwest) d’Austin est une source d’inspiration inégalée. Capucine
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Pierard, Managing Partner, Chief Data O� cer chez Havas Media qui y assistait avec d’autres membres de l’équipe Havas nous livre ses impressions en quelques mots-clés.
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Pour nos métiers, il est di� cile d’an-ticiper les audiences, qui sont
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baptisée «¡How to stop speaking in bullshit¡» a rappelé que le maître-mot devait être l’authenticité, c’est-à-dire la fi n du
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le maître-mot devait être l’authenticité, c’est-à-dire la fi n du discours lisse. Il vaut mieux dire la vérité aux gens plutôt que
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discours lisse. Il vaut mieux dire la vérité aux gens plutôt que leur vendre un rêve qu’ils n’atteindront pas. Autre mot-clé
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leur vendre un rêve qu’ils n’atteindront pas. Autre mot-clé mis en avant pour s’adresser au consommateur¡: l’empathie.
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mis en avant pour s’adresser au consommateur¡: l’empathie.
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R COMME ROBOT
Les robots ont été les stars du SXSW 2016. Il existe deux types de robots. D’une part, les robots d’apparence plongeant : ils peuvent accueillir les consommateurs dans un magasin, les conseiller, avoir en quelque sorte des relations «¡d’humain à humain¡». D’autre part, les robots à qui on va donner une apparence très fonction-nelle qui e� ectuent di� érents types de tâches. Ces robots ont donné lieu à de nombreux débats, en particulier sur leur potentiel de créativité. En e� et, grâce au deep learning, plus les robots apprennent, plus ils sont intelligents. Se pose alors la ques-tion «¡comment faire pour que ce ne soit pas les robots qui d’eux-mêmes fassent les choix¡» ? Les chatbots, en pleine expansion, vont développer à grande échelle cette intelligence pour apporter aux consommateurs plus de facilité et d’expériences réussies.
VR COMME RÉALITÉ VIRTUELLE
Autre ligne de force du Festival, la ré-alité virtuelle. Elle sera le plus social des media sociaux, car il s’agit bien d’une nouvelle manière d’interagir
à travers le digital. Cette tendance lourde va s’appliquer dans de nombreux domaines et aura un impact majeur sur la santé, l’éducation mais également sur des indus-tries comme l’automobile. Cette révolution, aussi forte que l’imprimerie, nous fait entrer dans un nouveau para-digme, un nouvel univers. Pour nos métiers, confrontés au défi de mettre en place des communications moins intrusives et d’o� rir au consommateur une expérience à valeur ajoutée, l’impact sera également énorme. La réa-lité virtuelle va permettre de transformer le message que l’on veut faire passer en une expérience émotionnelle, sensorielle, que les consommateurs vont vivre de ma-
nière complètement immersive : en plongeant par exemple, dans l’uni-vers de la vigne et des domaines lors d’une foire au vin, en meublant un intérieur virtuellement, etc. La réa-lité virtuelle propose de nouvelles formes d’écriture, avec le consomma-teur comme élément central. Autant de développements pour notre mé-tier qui nous amènent à penser que nous sommes vraiment au meilleur endroit au meilleur moment.
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dans de nombreux domaines et aura un impact majeur sur la santé, l’éducation mais également sur des indus-
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sur la santé, l’éducation mais également sur des indus-tries comme l’automobile. Cette révolution, aussi forte
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intrusives et d’o� rir au consommateur une expérience à valeur ajoutée, l’impact sera également énorme. La réa-
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valeur ajoutée, l’impact sera également énorme. La réa-lité virtuelle va permettre de transformer le message que
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lité virtuelle va permettre de transformer le message que l’on veut faire passer en une expérience émotionnelle,
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l’on veut faire passer en une expérience émotionnelle, sensorielle, que les consommateurs vont vivre de ma-
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
Le digital est partout. Notez-vous une évolution dans les demandes qui vous sont faites ?
C’est moins la nature des demandes qui a évolué que le niveau d’exi-gence du rendu visuel attendu par les directeurs de création et les marques. L’époque où l’objet digital – site Web, appli, site mobile – devait avant tout être fonctionnel est révo-lue. Aujourd’hui, il est à la fois une vitrine, un point d’échange, un point de vente, et le niveau d’exigence at-tendu sur le digital s’est aligné sur celui des media traditionnels. Les attentes de perception qualitative en termes de rendu graphique et de qualité d’animation et d’interactions
La production digitale relève de l’architecture. Une interface digitale, c’est avant tout une construction qui allie design, navigation dans l’espace et architecture technique. C’est ce que nous explique François Barral, directeur général de Havas Digital Factory, le hub de production digitale mutualisé pour les agences du groupe Havas.
HAVAS DIGITAL FACTORY« Le but final de touteactivité créatrice estla construction »
L’EXPERT HAVAS
François BarralDirecteur général de Havas Digital Factory Tél. : +33 (0)1 58 47 88 90 [email protected]
ont rejoint les niveaux d’exigence de la télévision et du Print. Un mot que l’on entend beaucoup en ce moment traduit bien cette attente : le Craft, c’est-à-dire littéralement la matière, la qualité de la réalisation. On ne parle pas de fonctionnalité, pas de technologie, on jargonne de moins en moins, on juge le résultat sur pièces, sur le rendu esthétique, sur le rendu en termes d’animation, de navigation, d’interactivité. Les fron-tières se brouillent, on peut intégrer du motion design ou des vidéos sur les sites Web, ce qui permet aux métiers créatifs de se rejoindre. C’est une période très intéressante. L’objet digital est véritablement
devenu un objet créatif. La preuve en est que les direc-teurs de création, qui en déléguaient la production à des gens plutôt techniques, se l’approprient aujourd’hui totalement et l’ambition d’une agence est d’aller gagner un prix à Cannes avec un objectif digital. Le Festival de Cannes a d’ailleurs ouvert cette année une nouvelle ca-tégorie nommée «¡Digital Craft¡».
C’est moins la nature des demandes qui a évolué que le niveau d’exigence du rendu visuel attendu par les directeurs de création et les marquesREPRO
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construction qui allie design, navigation dans l’espace et architecture technique. C’est ce que nous explique François Barral, directeur général de Havas Digital Factory, le hub de production digitale
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explique François Barral, directeur général de Havas Digital Factory, le hub de production digitale
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HAVAS DIGITAL FACTORY« Le but final de touteactivité créatrice estla construction »
Je remarque aussi qu’il y a cinq ans, on avait tendance à penser que small était beautiful et que le gazon était plus vert ailleurs, en l’occur-rence chez les petits studios pure players. La tendance de fond s’est in-versée, elle n’est plus au decoupling mais au recoupling, c’est-à-dire que les clients demandent à l’agence en laquelle ils ont confi ance de sa-voir produire la totalité d’une cam-pagne de manière très agile et de façon très qualitative. Cette logique de recoupling est mise en place chez nous. La raison pour laquelleHavas Digital Factory a été créée est, en e� et, de proposer au sein d’une entité unique tous les métiers liés à la production digitale, et de travail-ler avec les agences partenaires qui connaissent l’ADN du client à qui elles ont vendu une stratégie et une campagne. Nous travaillons avec elles en mode d’intégration plus que de collaboration, et ce très en amont, dès la création. Aujourd’hui, la qua-si-totalité des agences du groupe Havas nous confi e leur production d’objets digitaux, et Havas Digital Factory illustre à l’extrême la straté-gie de Village Havas mise en place par Yannick Bolloré.
Quels objets digitaux réalisez-vous plus spécifi quement ?
Nous avons quatre grands types d’activités. Les sites ou applications de marques de type Corporate constituent le gros des sujets que nous traitons. La Digital Factory met un site en ligne tous les trois jours à peu près. Nous réalisons aussi des sites de campagnes publicitaires, qui ont une durée de vie plus courte et des budgets très inférieurs. Le troisième grand bloc d’activité concerne la production de formats drive to site Web, regroupés sous le nom de «¡Banner Factory¡», c’est-à-dire tous les objets et animations digitaux qui donnent envie à un client de venir sur le site Web ou sur le site de campagne. En revanche, la Digital Factory ne fait pas du tout de Social Media, nous considérons que c’est du ressort des agences et des clients. Enfi n, une fois que le site est produit, il faut l’héberger et le sécuriser, au niveau de la plateforme technique comme des couches d’applicatifs que nous utilisons, c’est notre quatrième métier. Tous les sites subissent régulièrement des tentatives de hacking, pour en extraire des données et les re-vendre, par simple goût du challenge chez les hackers avec toujours, in fi ne, le souhait de nuire à l’image et à la réputation d’une marque. À chaque fois qu’une faille est iden-tifi ée, l’éditeur crée un patch, et nous devons le mettre en place sur les di� érents applica-tifs que nous utilisons. Ce travail de sécurisa-tion est quotidien, à faire en permanence et relève de la gestion des risques chez le client.
Dans la mesure où la prestation n’est pas visible, sa valeur est parfois mal appréciée par les clients alors que leur réputation est pourtant en jeu.
—François BarralDirecteur généralde Havas DigitalFactory
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
Le baromètre POE Digital 2016 de Havas Media sur l’exposition des marques sur les leviers digitaux a notamment montré l’importance des sites et des applis dans l’écosystème des annonceurs. Comment voyez-vous évoluer cette tendance ?
Je ne raisonne pas en termes de sites, d’applis, de plateformes, etc., qui sont des noms de caté-gorie d’objets digitaux. Ce que je constate, comme l’a montré Havas Media, c’est que les marques inves-tissent dans un écosystème pro-priétaire que l’on peut considérer comme un media gratuit, qu’elles cherchent à valoriser en complé-ment du media payant dans lequel elles investissent et du Earned me-
dia dont elles bénéficient au travers du Brand Content, relayé gratuitement par leur Communauté. Je me dis tout simplement que, quelle que soit l’évolution de l’univers digital et des technologies, il y aura toujours besoin de produire des lieux d’exposition, des points de vente, des points de contacts. Aujourd’hui, cela s’appelle des sites Web ou des applis, selon la finalité ou l’usage ; demain, cela s’appellera autrement mais nous les produirons. Ce seront des lieux interactifs qui seront remplis de technologie Oculus, de 3D, de réalité augmentée, proposant des expériences très im-mersives. Nous nous adapterons toujours aux usages de nos consommateurs en intégrant la technologie au fil de son évolution. Nous nous devons d’intégrer les technologies au bon moment, ni trop tôt parce qu’en matière de digital, les «¡Never seen before¡» qui ne fonc-tionnaient pas ou qui ont fait "pschitt" sont nombreux. Ni trop tard parce que, alors, nous ne servirions pas nos clients. La raison d’être de la Digital Factory est la capacité et l’expertise de faire de la production digitale.
C’est d’ailleurs pour afficher claire-ment l’ambition de l’agence que j’ai choisi ce nom. L’agence produit à 99¡% des objets digitaux pour les comptes des agences, en France dans un premier temps, mais aus-si en Europe comme par exemple pour Havas Düsseldorf depuis plu-sieurs années ou plus récemment pour Havas Bruxelles.
Ce sont vos perspectives ? Nous avons deux sites de production majeurs situés à Puteaux et Rennes. Nous avons également trois autres sites de production à Budapest, à Sofi a et Dakar et nous allons ouvrir un sixième site o� shore au Vietnam à la rentrée, en collaboration avec l’agence Ekino du groupe Fullsix que Havas vient d’acquérir, qui sera spé-cialisée sur certaines activités tout à fait spécifi ques qui requièrent peu d’échanges au niveau de la gestion du projet.Nous sommes une agence en hyper croissance et nous nous construi-sons chaque jour. Ce qui est impor-tant pour moi c'est de se construire comme une agence qui fonctionne en réseau et surtout pas un réseau d’agence. Ce n’est pas qu’un jeu de mot, c’est un autre type d’entre-prise, cela change tout. Je veux une agence qui soit capable de grandir tout en conservant un mode de fonctionnement très agile sinon nous ne ferons pas mieux que les autres, tout en ayant des outils de travail collaboratifs qui nous per-mettent de rester très rigoureux. Par ailleurs, Havas Digital Factory est le hub de production digitale mutualisé pour les agences de Havas REPRO
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en France mais pas uniquement, car de plus en plus d’agences du groupe travaillent avec nous. Nous travaillons depuis quatre ans avec Havas Düsseldorf pour la BCE, nous avons travaillé avec Havas Londres et même hors d’Europe avec Arnold Worldwide à Boston, nous commençons à travailler avec Havas Bruxelles. Un développe-ment européen n’est ni une fi na-lité ni une priorité, mais il s’avère que ce développement se met en place progressivement avec le sou-tien du management européen de Havas, notamment avec l’Italie et
l’Espagne. Si nos perspectives sont de créer des objets digitaux à la fois esthétiques, fonctionnels et inno-vants qui fassent entrer le digital dans la vie de chacun et qui servent les intérêts de nos clients, mon am-bition est de bâtir une agence di� é-rente autour des valeurs d’exigence, de bienveillance et de solidarité qui sont pratiquées au quotidien, et de donner du sens à notre travail avec une vision qui va au delà du métier. Le manifeste du Bauhaus écrit par Walter Gropius au lendemain de la première guerre mondiale est tou-jours actuel. Ce n’est pas étonnant
que le manifeste de ce mouvement qui voulait réunir l’art et la technique s’applique à l’activité de production digitale car une interface digitale, c’est avant tout une construction qui allie design, navigation dans l’espace et architecture technique. La production digitale relève de l’architecture.La Digital Factory, c’est une maison de la construction, en création permanente. Un Bauhaus digital dans la ligne du Manifeste du Bauhaus de Walter Gropius.
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de l’architecture.La Digital Factory, c’est une maison de la construction,
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La Digital Factory, c’est une maison de la construction, en création permanente. Un Bauhaus digital dans la
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ligne du Manifeste du Bauhaus de Walter Gropius.
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MPACTUALITÉS
LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
Havas Réunion a intégré le groupe Havas il y a neuf mois. Steven Potet, dirigeant de Havas Réunion, et Soufyaan Babaï, responsable digital, nous dressent un premier bilan.
HAVAS REUNIONSurfer sur l’explosiondu digital
L’EXPERT HAVAS
Steven PotetDirecteur associéTél. : +262 (0) 262 41 63 [email protected]
Soufyaan BabaïResponsable digitalTél. : +262 (0) 262 41 63 [email protected]
rité, qui représente un réel potentiel dans le monde d’aujourd’hui. De par son histoire, l’île a une population d’origine africaine, européenne, indienne, chinoise… Un cas quasi unique au monde sur un aussi pe-tit territoire (2¡500 km2). Avec un «¡vivre ensemble¡» intégré et une richesse culturelle multiple qui sont pour nous, publicitaires, autant de sources d’inspiration. Sur le plan régional, les îles de La Réunion, Ma-yotte, Madagascar, Maurice et des Comores ont la particularité d’être toutes francophones. C’est un vec-teur de communication fort, directe-ment porteur pour le business. Une marque globale comme Canal+ pré-sente sur chacun de ces territoires l’a bien compris. La taille de notre mar-ché réunionnais, avec ses taux d’équi-pements en voie de saturation, nous amène naturellement aujourd’hui, agence et annonceurs, à raisonner davantage régional que local.
Vous évoquez l’ampleur prise par le digital à La Réunion. Quel en a été le moteur ?
Soufyaan Babaï : Le taux d’équipe-ment a explosé, la région réunion-naise a poussé l’accessibilité à Inter-net en fournissant des aides aux jeunes pour leur permettre d’acquérir un ordinateur à moindre coût. L’ins-tallation de la fi bre, l’arrivée du réseau 3G qui a facilité l’accès au mobile sont autant d’améliorations technolo-giques qui ont déclenché un véritable engouement pour le digital. Steven Potet : Le marché a compris que quelque chose se passait, le digital a commencé à prendre du sens et de l’importance à partir de ce moment-là. Cela s’est concrétisé chez nous par le recrutement d’experts, qui ont permis de faire l’éducation du marché, de por-
Vous avez rejoint le groupe Havas l’an dernier. Quelles sont les raisons qui vous ont motivés ?
Steven Potet : Avant d’entrer dans la grande famille Havas, l’agence Luvi gérait déjà ici un certain nombre de clients du groupe comme EDF, SFR, le Crédit Agricole, Citroën ou Canal+. Il s’agit donc d’un rapprochement naturel lié à la mutualisation de plu-sieurs clients communs. L’agence, qui fêtera prochainement ses 25 ans, est par ailleurs leader sur son mar-ché et intègre les principales exper-tises métiers, ce qui lui a permis, dès le départ, d’être labellisée «¡Havas Village¡». Notre ambition pour le groupe Havas sera de développer à partir de La Réunion un hub régional pour les îles de l’océan Indien que sont Madagascar, Maurice, Mayotte et les Comores.Outre l’apport technique, en termes d’outils ou d’innovations, nous sommes sensibles à l’écoute et la dispo-nibilité que nous ré-
servent en permanence les équipes de Havas à Paris. Nous nous sen-tons aujourd’hui membres à part entière de la famille. Le partage de ces valeurs renforce notre proximité et nous fait dépasser l’éloignement géographique. Il sera un élément moteur de la belle histoire que nous écrirons ensemble.
Quelle est la spécifi cité de ces marchés par rapport au marché métropolitain ?
Steven Potet : Le niveau des bud-gets, bien sûr, ne peut être comparé avec le national. La bonne échelle est celle des régions, et La Réu-nion est plutôt dynamique avec un volume d’a� aires supérieur à 150 millions d’euros pour le secteur de la communication. Notre typo-logie de marché nous démontre régulièrement que de belles idées peuvent naître sans nécessaire-
ment de grands moyens. C’est avec cette philosophie que s’est construit l’ADN de
l’agence, reconnue pour sa créativité. Avec un certain succès, à travers notamment une centaine
de récompenses sur la zone océan Indien, un Prix Empreintes à Paris et un
Clio Healthcare à New York en 2010. Ces der-nières années, notre terrain de jeu créatif s’est élargi en propo-sant des campagnes innovantes pour des budgets accessibles grâce au développe-
ment du digital. Sur le plan socioculturel, La Réunion a� che une vraie particula-
—Steven PotetDirecteur associé
des Réunionnais
sont connectés à Internet, contre 72 %
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Havas Réunion a intégré le groupe Havas il y a neuf mois. Steven Potet, dirigeant de Havas Réunion,
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Le niveau des bud-gets, bien sûr, ne peut être comparé
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peuvent naître sans nécessaire-ment de grands moyens. C’est
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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& SUNTECHLAB :
notre pôle recherche etdéveloppement
havasreunion.com
ter la bonne parole auprès des annon-ceurs. L’accès à l’achat d’espace en géolocalisation a aussi créé un appel d’air en rendant plus accessible le tic-ket d’entrée. Par ailleurs, cette conver-gence d’évolutions technologiques a fortement développé l’évolution des usages. On compte 370¡000 comptes Facebook sur 845¡000 habitants de La Réunion, et beaucoup de clients, d’entreprises veulent saisir la balle au bond et développer une page busi-ness sur Facebook.
versée au bénéfi ce de la Fondation Abbé Pierre.Soufyaan Babaï : Nous développons par ailleurs une stratégie digitale axée sur le social shopper, via les beacons, ces émetteurs qui détectent la présence de mobiles, pour pouvoir suivre le shopper en magasin et lui proposer du contenu sur mesure. Nous avons beaucoup de clients dans l’univers de la grande distribu-tion, et lier le mobile et l’acte d’achat apporte une autre dimension à ce que nous pouvons proposer.Steven Potet : Et nous avons d’autres projets activables en fonction des problématiques de nos clients. No-tamment des applis mobile pour col-lecter de la data entièrement conçues inhouse grâce aux développeurs sur mobile qui nous ont récemment re-joints. Nous voulons être l’allumette de l’explosion prochaine du mobile à La Réunion. Du fait de notre éloi-gnement géographique, la technolo-gie est dans l’ADN de la région, qui compte quelques start-up reconnues à l’international et qui est en train de soumettre son adhésion au label French Tech. Havas Réunion a tous les atouts pour s’y inscrire en o� rant sa gamme d’expertises.
Après avoir ouvert des pages dans une optique de course aux fans, le marché a pris conscience de l’importance de la qualité de la relation, directement dépendante de celle du fl ux, du contenu. Nous sommes aujourd’hui un opérateur référent dans le domaine, Havas Réunion a été récom-pensé ces deux dernières années par le Prix de l’agence digitale de l’année aux Créatives. Ce qui fait notre force, c’est de parler la même langue que les consommateurs. Nous répondons au besoin d’ancrage local.Soufyaan Babaï : Nous avons fait le constat récemment que les internautes commencent à se lasser des expé-riences digitales standardisées, type jeux-concours, ins-tants gagnants, etc. Il y a un besoin de proximité, d’éton-nement, de vivre une expérience presque physique avec le digital. C’est pourquoi nous avons créé un pôle R&D, le
TechLAB, au sein duquel nous avons doté nos talents Village de nouveaux outils. Nous avons notamment acquis une imprimante 3D et développé la robotique. Nous avons mis en place un incubateur technolo-gique.
Avez-vous des réalisations en cours ou à venir via le TechLAB ?
Steven Potet : La première réalisation de notre pôle R&D allie technologie et marketing expérientiel. Il s’agit
d’un vélo connecté qui comptabilise les kilomètres parcourus et les transforme en kilowatts. Nous
avons proposé en mai dernier ce dispositif à EDF, qui l’a immédiatement adopté pour ani-
mer sa présence au Salon de la maison. Les kilowatts des visiteurs ont été transformés en euros, et la cagnotte ainsi collectée a été
—Soufyaan BabaïResponsable digital
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ITEversée au bénéfi ce de la Fondation
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Soufyaan Babaï :
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Soufyaan Babaï : Nous développons
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Nous développons par ailleurs une stratégie digitale
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par ailleurs une stratégie digitale axée sur le social shopper, via les
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axée sur le social shopper, via les beacons, ces émetteurs qui détectent
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beacons, ces émetteurs qui détectent la présence de mobiles, pour pouvoir
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la présence de mobiles, pour pouvoir suivre le shopper en magasin et lui
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suivre le shopper en magasin et lui proposer du contenu sur mesure.
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proposer du contenu sur mesure. Nous avons beaucoup de clients
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Nous avons beaucoup de clients dans l’univers de la grande distribu-
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dans l’univers de la grande distribu-tion, et lier le mobile et l’acte d’achat
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tion, et lier le mobile et l’acte d’achat apporte une autre dimension à ce
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apporte une autre dimension à ce que nous pouvons proposer.
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que nous pouvons proposer.Steven Potet :
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Steven Potet :projets activables en fonction des
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riences digitales standardisées, type jeux-concours, ins-tants gagnants, etc. Il y a un besoin de proximité, d’éton-
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tants gagnants, etc. Il y a un besoin de proximité, d’éton-nement, de vivre une expérience presque physique avec
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nement, de vivre une expérience presque physique avec le digital. C’est pourquoi nous avons créé un pôle R&D, le
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le digital. C’est pourquoi nous avons créé un pôle R&D, le TechLAB, au sein duquel nous avons doté nos talents
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TechLAB, au sein duquel nous avons doté nos talents Village de nouveaux outils. Nous avons notamment
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Village de nouveaux outils. Nous avons notamment acquis une imprimante 3D et développé la robotique.
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acquis une imprimante 3D et développé la robotique. Nous avons mis en place un incubateur technolo-
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parcourus et les transforme en kilowatts. Nous avons proposé en mai dernier ce dispositif à
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avons proposé en mai dernier ce dispositif à EDF, qui l’a immédiatement adopté pour ani-
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
39,5 millions de Français ont vu au moins une heure des Jeux olym-piques de Londres 2012 sur les écrans de France Télévisions il y a quatre ans (Médiamétrie MMW – Base 4 ans et plus), et le groupe espère bien de nouveau explo-ser ses scores d’audience avec les épreuves des JO d’été 2016 de Rio, qui se dérouleront du 5 au 21 août. Il en est, en effet, le détenteur exclusif des droits de diffusion, parallèlement au groupe Canal+, avec qui il a conclu un accord de sous-licence pour l’exploitation de ces droits. Après Athènes, Pékin et Londres, les JO d’été 2016 de Rio feront à nouveau l’objet d’une dif-fusion en intégralité sur France¡2, France 3, France 4 et France Ô, quatre antennes qui fonctionne-ront en parallèle afin que les ama-teurs de sport ne manquent rien des compétitions. Le département des sports emmené par Daniel Bi-lalian, DGA de France Télévisions en charge des sports, ne consacrera
UEFA Euro 2016, Tour de France, JO d’été de Rio : les fans de sport sont à la fête toute la saisonet les media dans les starting-blocks de la course aux audiences. Zoom sur les grands rendez-vous en cours et à venir.
ÉVÉNEMENTL’été sera sport !
L’EXPERT HAVAS
Augustin PenicaudDirecteur stratégie et business intelligenceTél. : +33 (0)6 87 53 74 10 [email protected]
rien moins que 700 heures d’antenne et 2¡400¡heures de direct sur l’offre numérique francetvsport. Le coup d’envoi sera donné avec la cérémonie d’ouverture, le vendredi 5 août à 23 heures sur France 2. France 2 et France 3 seront en continu 21 heures/24 heures pour proposer l’intégralité des Jeux. France 4 proposera de vivre les tournois olympiques masculins et féminins
La chaîne a mis au point une performance exceptionnelle pour annoncer qu’elle retransmettra en direct l’intégralité des épreuves d’équitation des JO. Lors de la cérémonie d’ouverture, le 5 août, un live tweet #ChevalQuiTweete sera entièrement réalisé par un cheval mené par son cavalier dans un exercice de dressage inédit à l’aide d’un clavier spécialement créé pour l’occasion. Pour permettre cette performance, Equidia Life s’est associée à Mario Luraschi, l’un des meilleurs dresseurs équestres au monde. L’opération, imaginée et orchestrée par Kids Love Jetlag (Fred & Farid), permettra au public d’interagir pendant la cérémonie d’ouverture en direct via Twitter et Facebook. #ChevalQuiTweete sera retransmis en direct sur Equidia Life, equidia.fr et la page Facebook Equidia – la chaîne du cheval. L’équitation aux JO sur Equidia Life sera également soutenue par une campagne media (affichage à l’entrée du métro parisien et sur des vitrines de magasin sélectionnées à Paris, en Île-de-France et dans six grandes villes, presse spécialisée et régionale, digital, spots TV).
Equidia Life fait tweeter un cheval
de football et de rugby à VII et débutera les directs dès le 3 août. France Ô proposera, quant à elle, à partir du 6 août, les tournois olympiques masculins et féminins de basket-ball, handball et vol-ley-ball. Pour ceux qui n’ont pas envie de passer toutes leurs nuits devant le petit écran, France 3 pro-posera chaque matin, de 9 heures à 12 heures, la rediffusion, dans les conditions du direct, de tous les grands moments de la veille.
39,5 millions de français ont vu au moins une heure des Jeux olympiques de Londres 2012 sur les écrans de France Télévisions
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UEFA Euro 2016, Tour de France, JO d’été de Rio : les fans de sport sont à la fête toute la saison
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UEFA Euro 2016, Tour de France, JO d’été de Rio : les fans de sport sont à la fête toute la saisonet les media dans les starting-blocks de la course aux audiences. Zoom sur les grands rendez-vous
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ITEDirecteur stratégie et business intelligence
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ITEDirecteur stratégie et business intelligence
Tél. : +33 (0)6 87 53 74 10
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contact : [email protected]
Une révision sera également pos-sible sur les di� érents magazines TV ainsi que sur le site et les appli-cations francetvsport, car le groupe jouera à fond la carte digitale. Les internautes pourront aussi recevoir des alertes sur le début ou les résul-tats de leurs épreuves favorites. Il leur sera également possible de faire apparaître des données com-plémentaires (bios, statistiques,
oppositions, etc.) sur le player vidéo francetvsport et de retrouver les temps forts de chaque compétition via une timeline. Les journalistes de francetvsport à Rio feront vivre les Jeux sur tous les supports et pro-duiront des contenus spécifi ques, y compris en vidéo live, pour les réseaux sociaux (Facebook, Twit-ter, Instagram et Snapchat). L’o� re numérique sera aussi relayée sur les montres connectées et la TV connectée. Le media radio vivra également, de son côté, à l’heure olympique via RMC, radio o� cielle du Comité national olympique et sportif français (CNOSF) et de l’équipe de France olympique. La station de SFR RadioTV, di� useur o� -ciel des Jeux olympiques de Rio 2016, met aussi en place une couverture média-tique exceptionnelle autour des émis-sions embléma-tiques de la grille, en émettant sur les 34 sites de c o m p é t i t i o n . Les auditeurs de RMC pour-
—Augustin PenicaudDirecteur stratégieet businessintelligence
heures de direct,
consacrées aux JOde Rio,
sur l'o� re numérique
francetvsport
2 400 ront suivre les Jeux en intégralité de 14 heures à 4 heures du matin tous les jours de la semaine. À l’occasion de l’événement, la matinale Bourdin Direct, qui sera consacrée aux JO de 4 heures à 10 heures, sera program-mée sept jours sur sept, week-end inclus. Autant de dispositifs excep-tionnels chez les di� useurs o� ciels
qui devraient aider à compenser le han-
dicap du déca-lage horaire avec le Brésil.
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
20,8 millions de téléspectateurs, dont un pic d’audience à 23,4 mil-lions, ont, en e� et, suivi le match Portugal-France, soit la cinquième meilleure audience historique de la télévision depuis 1989, à hauteur de celle la fi nale Brésil-France de la Coupe du monde 1998, et la meil-leure audience depuis la création de la chaîne de Nicolas de Tavernost (73 % de part d’audience). Au global, pour les 11 matchs di� usés en prime time, M6 a réuni une moyenne de 9,7 millions de téléspectateurs, soit une progression de +40¡% par rap-port à l’Euro 2012. TF1 est sur la même confi guration de matchs avec 9,6 millions de téléspectateurs en moyenne, dont 19,2 millions (69 %) le soir de la demi-fi nale Allemagne-France (dont un pic à 22,2 millions de téléspectateurs). La force du bal-lon rond a même profi té à la TNT, où le match Slovaquie-Angleterre a permis à TMC d’établir son record historique en réunissant 3,5 millions de fans. Seul BeIN Sports, qui re-transmettait l’intégralité des matchs auprès de ses abonnés, gardait le secret sur ses audiences à l’issue de la compétition. Les footeux ont aussi fait les beaux jours de la chaîne 100¡% sport L’Équipe 21, qui a enregistré une moyenne de part d’audience de 1,2¡%, soit une hausse de 50¡% par rapport aux chi� res de la Coupe du monde 2014. L’Euro a, par ailleurs, apporté une nouvelle preuve, si on en doutait, que le plus populaire des sports se vivait en multiconnexion et en version digitale. La seule fi nale a ainsi mobilisé 45 millions
Si Les Bleus de Didier Deschamps – qui, rappelons-le, ont réussi un beau parcours – n’ont fi nalement pas réussi à sortir vainqueur de l’UEFA Euro 2016, il en va tout autrement des chaînes qui ont retransmis l’événement. Sur les 22 matchs di§ usés en prime time sur TF1 et M6, la compétition a� che une hausse record de 30©% d’audience par rapport à l’Euro 2012 (source : Médiamétrie/Médiamat). On s’attendait à un carton plein pour la fi nale du troisième événement sportif le plus important au monde, et les résultats ont été au-delà des espérances de M6, qui en était le di§ useur.
FOOTBALLLa télévision,championne d’Europe
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de socionautes sur Facebook avec 146¡millions d’interactions, et géné-ré 14,2 millions de tweets, soit trois fois plus que pour la demi-fi nale. Et, du côté des chaînes, 6play comme le site Euro 2016 de MYTF1 ont établi des records de connexions tout au long de la compétition, autour des matchs comme des émissions qui leur étaient consacrées, en direct et en replay. L’Euro a, en outre, été l’occasion pour M6 de tester en live un dispositif innovant de réalité vir-tuelle en téléportant des joueurs sur le plateau de 100¡% Euro de David Ginola et Nathalie Renoux. «¡C’est une innovation qu’on va retrouver dans toutes les compétitions spor-tives maintenant¡», a déclaré Nico-
las de Tavernost sur RTL dans une interview réalisée au lendemain de la fi nale et au cours de laquelle le patron de M6 a également confi rmé que sa chaîne, entrée sur le terrain de la retransmission de matchs de football en 2006, était candidate «¡à accompagner encore l’équipe de France au-delà de 2018¡», suite à l’appel d’o� res sur les droits de re-transmission de l’équipe de France pour la période 2018-2022 lancé par l’UEFA. TF1, qui est actuellement le di� useur des matchs des Bleus jusqu’en 2018 (hors phases fi nales), est aussi dans la course. Le succès de l’édition 2016 pour les deux chaînes laisse augurer une belle bataille lors des enchères.
millions de tweets
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L’EXPERT HAVAS
Augustin PenicaudDirecteur stratégie et business intelligenceTél. : +33 (0)6 87 53 74 10 [email protected]
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Si Les Bleus de Didier Deschamps – qui, rappelons-le, ont réussi un beau parcours – n’ont fi nalement pas réussi à sortir vainqueur de l’UEFA Euro 2016, il en va tout autrement des chaînes qui ont
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pas réussi à sortir vainqueur de l’UEFA Euro 2016, il en va tout autrement des chaînes qui ont retransmis l’événement. Sur les 22 matchs di§ usés en prime time sur TF1 et M6, la compétition a� che
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retransmis l’événement. Sur les 22 matchs di§ usés en prime time sur TF1 et M6, la compétition a� che une hausse record de 30©% d’audience par rapport à l’Euro 2012 (source : Médiamétrie/Médiamat).
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une hausse record de 30©% d’audience par rapport à l’Euro 2012 (source : Médiamétrie/Médiamat). On s’attendait à un carton plein pour la fi nale du troisième événement sportif le plus important au
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On s’attendait à un carton plein pour la fi nale du troisième événement sportif le plus important au monde, et les résultats ont été au-delà des espérances de M6, qui en était le di§ useur.
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où le match Slovaquie-Angleterre a permis à TMC d’établir son record
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permis à TMC d’établir son record historique en réunissant 3,5 millions
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de fans. Seul BeIN Sports, qui re-transmettait l’intégralité des matchs
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la compétition. Les footeux ont aussi fait les beaux jours de la chaîne 100¡%
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une moyenne de part d’audience de 1,2¡%, soit une hausse de 50¡% par
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ré 14,2 millions de tweets, soit trois fois plus que pour la demi-fi nale. Et,
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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News en bref
Toutes les équipes et expertises Havas SE ont été mobilisées sur la thématique UEFA Euro 2016 pour accompagner dix de ses clients dans l’élaboration et le déploiement de leurs dispositifs d’activation. Havas SE a notamment accompagné Orange, le Crédit Agri-cole, le PMU, Coca Cola, Hyundai-KIA, Atout France et Carrefour.
HAVAS MEDIA GROUP AIME LE FOOT
Conseil de six groupes annonceurs partenaires de l’Euro ou des Bleus (Orange, FDJ, Crédit Agricole, Car-refour, EDF et Hyundai-KIA) via ses agences Havas Media France, Arena Media France et Forward Media France, le groupe se classe premier investisseur pour tous les di� useurs de la compétition.Havas Media Group a également accompagné une douzaine d’autres marques sur l’événement (Coyote, Peugeot, Citroën, Boulanger, Leroy Merlin, Norauto, Midas, Lactalis, CIC, Sodebo, Le Bon Coin, SFR…) sur les antennes de M6, TF1 et BeIN Sports.
LES FEMMES AIMENT LE FOOT
M6 a réuni une part d’audience de 39 % en moyenne au-près des femmes (femmes responsables des achats < 50 ans) lors de l’Euro 2016. C’est la cible qui connaît la plus forte progression d’audience par rapport à 2012¡: + 70 %.
Source : Médiamétrie/Médiamat
LE FOOT RÉUSSIT À L’ÉQUIPE
Sur l’ensemble de la compétition, les ventes du quoti-dien ont décollé de 33¡% par rapport à la période jan-vier-mai 2016, avec la meilleure vente recensée le 8 juillet au lendemain de France-Allemagne. Du côté du numérique, le site Internet a enregistré 10 millions de visites quotidiennes, soit une hausse de 30 % par rap-port à l’audience du début d’année. L’Equipe.fr a même réalisé une semaine historique du 13 au 19 juin avec 75,8 millions de visites.
Source : interne
TV5 MONDE MET LES JO À L’HEURE AFRICAINE
TV5 Monde Afrique diffusera dans 46 pays d’Afrique subsaharienne les Jeux olympiques de Rio, acquis en partenariat avec TV Media Sport/Infront Sports & Me-dia. Le coup d’envoi de la cérémonie d’ouverture sera retransmis le vendredi 5 août à 23 heures, et à comp-
ter de cette date, six heures de direct par jour seront diffusées de 15 heures à 18 heures (temps uni-versel) et de 19 heures à 22 heures (temps universel) puis, à partir du 12 août, les téléspectateurs pour-ront suivre jusqu’à neuf heures de direct par jour.
STADE 2 CHANGE D’HORAIRE
L’émission de sport dominicale de France 2 sera diffusée à 16 h 30 à la rentrée, soit une heure plus tôt qu’auparavant. Un nouvel horaire qui mettra le magazine beaucoup plus en concurrence avec les di-rects de sport proposés par les autres chaînes.
CANAL+ OFFRE ENCOREPLUS DE SPORT
La chaîne va proposer une nouvelle émission quotidienne à la rentrée qui traitera de l'actualité multis-port du jour. Elle sera diffusée à la mi-journée, du lundi au vendredi, et présentée par Aïda Touihri. Une émission hebdomadaire consacrée à l’e-sport verra également le jour à la rentrée.
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Sur l’ensemble de la compétition, les ventes du quoti-dien ont décollé de 33¡% par rapport à la période jan-
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TV5 Monde Afrique diffusera dans 46 pays d’Afrique subsaharienne les Jeux olympiques de Rio, acquis en
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partenariat avec TV Media Sport/Infront Sports & Me-dia. Le coup d’envoi de la cérémonie d’ouverture sera
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
HAVAS LANCE HAVAS 18/35
Si 1835 fait référence à la date de création de Havas, la nouvelle o� re 18/35 présentée par Yannick Bol-loré, CEO Havas, et Raphaël de An-dréis, PDG de Havas Media Group France, aux Cannes Lions n’est pas tournée vers le passé mais est, au contraire, dédiée à l’innovation et au fi nancement de projets tangibles susceptibles d’avoir un impact sur l’industrie des media. Ce lancement est déjà matérialisé par la réalisa-tion d’un premier prototype baptisé «¡Marty¡», un canapé connecté qui embarque et commande tous les de-vices nécessaires à la consommation media actuelle et future. Le but de ce canapé conçu en partenariat avec la designeuse Loève Saint-Ourens, la start-up Aurasens et les ingénieurs d’Ekino, la SSII intégrée de Fullsix, est de collecter et d’analyser le maxi-mum de data au service du consom-mateur et des marques. Pourquoi un canapé ? Parce que 80 % des interac-tions entre les di� érents media on et o� ont lieu à la maison sur un cana-pé. L’o� re Havas 18/35 regroupera toutes les activités préexistantes du groupe liées à l’innovation telles que Lab 18, Collab et Innovation Lab.
BrèvesOn vous l’aura dit !
CANAL+ REVIENT AUX FONDAMENTAUX
La chaîne cryptée remet ses abonnés au premier plan dans une campagne consacrée au nouveau programme de fi délité Canal Premier Rang. À travers une odyssée spatiale qui conduit l’homme à faire son premier pas sur une nouvelle planète habi-table, le fi lm signé BETC Digital fait
la démonstration qu’être à la meilleure place change tout et montre les avantages concrets dont les abonnés pour-ront bénéfi cier avec Canal Premier Rang (places privilé-giées pour les plus grands matchs, accès aux coulisses des émissions, aux tournages des créations originales…). Deux versions du fi lm (30 secondes et 45 secondes) sont di� usées à l’antenne, sur les réseaux sociaux depuis les comptes Canal+, et envoyées directement par e-mail à tous les abonnés. La chaîne rappelle également qu’elle a été la première à di� user du X auprès du grand public, à travers une campagne 100¡% digitale de quatre fi lms et quatre gifs également signée BETC, qui met en scène de vrais acteurs pornos en action mais sans partenaire. Ob-jectif : montrer que le meilleur du X est parti sur Canal¡! Un site dédié a également été créé pour permettre aux internautes de remplacer les acteurs manquants par des situations étonnantes.
MICHEL CYMES AUSCULTE SUR RTL
La station de la rue Bayard s’o� re celui qui vient d’être consacré « animateur préféré des Français » pour la troi-sième année consécutive selon l’étude OpinionWay pour TV Magazine. Michel Cymes rejoindra, en e� et, à la rentrée prochaine la matinale d’information de RTL orchestrée par Yves Calvi de 7 h à 9 h 30. L’animateur du Magazine de la santé sur France 5 y signera une chronique « Santé et bien-être » avec la liberté de ton et l’humour qui le caractérisent. Un retour pour celui qui avait coprésenté avec Véronique Mounier On refait la chose, émission quotidienne interac-tive sur les questions de sexualité tout au long de l’été 2012.
Marty, le canapé connecté de Havas Media Group
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La chaîne cryptée remet ses abonnés au premier plan dans une campagne
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de fi délité Canal Premier Rang. À travers une odyssée spatiale qui
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travers une odyssée spatiale qui conduit l’homme à faire son premier
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conduit l’homme à faire son premier pas sur une nouvelle planète habi-
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pas sur une nouvelle planète habi-table, le fi lm signé BETC Digital fait
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Marty, le canapé connecté de Havas Media Group
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Marty, le canapé connecté de Havas Media Group
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LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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La donnée que nous manions, croisons, générons est hybride :
attitudinale et comportementale, passive et active, individu et foyer,
qualitative et quantitative.
Apporter aux entreprises et institutions une compréhension fine des comportements des individus pour appréhender leurs besoins, analyser leurs environnements, anticiper leurs évolutions et identifier les leviers d’engagement.
CSA, Consumer Science & Analyticsc’est la synergie de CSA Research,institut de référence des étudesmarketing et d’opinion depuis40 ans et CSA Data Consultingdédié à l’analyse et l’activationde la data au bénéfice desstratégies media-marketing.
La donnée CSA est activable sur tous les leviers marketing : achat media programmatique, CRM, personnalisationdes contenus.
NOTRE AMBITION
NOTRE SPÉCIFICITÉNOTRE FORCE
ÉTÉ WESTERN AVEC PARAMOUNT CHANNEL
Les vacanciers des clubs Sunêlia pourront plonger tout l’été dans l’âge d’or des westerns d’Hollywood, via une sélection de fi lms cultes des studios Paramount réalisée par la chaîne éponyme. Au menu : des projections hebdomadaires des plus grands classiques du genre, des animations spéciales western et des o� res d’abonnement de trois mois gratuits à Paramount Channel sur tablette/smartphone Android pour chaque spectateur. Cette opé-ration se déroulera dans 23 centres à travers la France du 4 juillet au 28 août. Objectif de la chaîne : faire découvrir sa signature «¡Made in Hollywood¡».
LE CHIFFRE
30,8 millions de téléspectateurs et un pic à 44,5 millions, c’est le record d’audience réalisé par le match 7 de la fi nale NBA sur ABC le 19 juin der-nier. Soit 18,9¡% de parts de marché et le meilleur score pour un match de basket depuis l’ultime titre de Michael Jordan, en 1998. Un record
qui confi rme encore le rôle moteur du sport dans les audiences TV.
VOGUE À COLORIER
Réinventer la mode de chaque époque et créer ses propres looks, c’est ce que propose Vogue Paris dans un album original de ses plus belles couvertures à colorier. Les des-sins sont réalisés par l’illustrateur Cédric Rivrain, à partir de clichés des plus grands photographes de mode des années 1930 à nos jours (Horst, Avedon, Klein, Testino…), et séquencés en quatre chapitres (Top Model, Studio, Plein air et Show devant). Chacun est accompagné d’un texte signé de la journaliste Sonia Rachline qui raconte l’histoire de Vogue et de la mode, et son évolution à travers ses cou-vertures les plus mythiques.
LES ECHOS À BLOC SUR L’ADBLOCK
Depuis le 10 juin, l’ensemble de l’audience non abonnée et disposant d’un adblock est incitée à le désactiver ou à souscrire un abonnement pour accéder à la lecture in-tégrale des articles du site de la marque de presse éco-nomique. Cette initiative est la seconde étape d’un test lancé le 19 février et qui ne portait que sur 10¡% de l’au-dience. D’après Les Echos, durant ce premier test, 20¡% de l’audience ciblée avait ainsi accepté de désactiver leur ad-block, sans impact négatif sur l’audience globale du site.
VSD SE RENFORCE SUR LES NEWS INTERNATIONALESQuelques mois après le lancement de son nouveau site,
VSD entame une collaboration avec Spiegel Online, site d’information allemand de référence qui reven-dique 235 millions de visites (Web et mobile – mars 2016) et plus de 18,75 millions de visiteurs uniques par mois (source : http://www.spiegel-qc.de/medien/online/spiegel-online).Ce partenariat donne naissance à une rubrique sur le site VSD.fr baptisée «¡L’œil de Spiegel Online¡» qui pro-pose quatre sujets originaux chaque jour, ainsi qu’à une page dans le maga-zine VSD consacrée à l’international, avec le regard du media allemand.
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signé de la journaliste Sonia Rachline qui raconte l’histoire de Vogue et de la mode, et son évolution à travers ses cou-
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Depuis le 10 juin, l’ensemble de l’audience non abonnée
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Depuis le 10 juin, l’ensemble de l’audience non abonnée et disposant d’un adblock est incitée à le désactiver ou
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à souscrire un abonnement pour accéder à la lecture in-tégrale des articles du site de la marque de presse éco-
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tégrale des articles du site de la marque de presse éco-nomique. Cette initiative est la seconde étape d’un test
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lancé le 19 février et qui ne portait que sur 10¡% de l’au-, durant ce premier test, 20¡% de
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l’audience ciblée avait ainsi accepté de désactiver leur ad-block, sans impact négatif sur l’audience globale du site.
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MPACTUALITÉS
LA NEWSLETTER DE L’EXPERTISEMEDIA DU GROUPE HAVAS
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2 515 000 lecteurschaque jour
ACPM ONE 2015 LNM
Éditeur : Havas Édition - 29/30, quai de Dion Bouton - 92817 Puteaux Cedex
IMPRIMEUR : ti-median - 70/82, rue auber - 94401 Vitry-sur-seine
Dépot légal : JUILLET 2016
Date de parution : JUILLET 2016
N°ISSN : 2271-2666
Directeur de la publication : Étienne Curtil
Direction artistique : Emilia Sausse, coraline vacher
Responsables de la rédaction : Marie Glatt, Nadine Medjeber, aurore benigot
rédaction : lena rose
Suivi de fabrication : Anne Geesen
Contact commercial : Rose-Aimée Gemain
Relectrice : Eve Mougenot
Avertissement¡: document confi dentiel. Son contenu reste la propriété exclusive de Havas Édition (textes et graphiques). Toute reproduction intégrale ou partielle est interdite, sauf
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