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Numér 9

Au Sommaire

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Votre Nouveau M@g est arrivé

Le M@g deGeneston

* Une PublicationDu site d’information

De la Région de Genestonwww.stefline.com depuis 2002

2009MARS

La Maisonnette ouvrira cet étéGeneston Randonnée prend son pied au Bignon

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Mag'm : le macaron crée de l'emploiEconomie : Petit macaron devient grand

La 19ème Rando des huîtres :plus de 3 000 marcheurs

Coupe de Loire-Atlantique - 1/2 finale :Le MGBB rêve d’un doublé historiqueRue d’Anjou : une déviation mise en place

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Les loups sont entrés dans la villeJazz manouche à l’Andalou

La rue d’Anjou barrée jusqu’à mi-2010

Le site d’information, www.stefline.com, vous propose son neuvième M@g de Geneston. Vous retrouverez toute l’actualité de notre commune en version grand format pour le mois de mars 2009.

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Bonne lecture à tous

L’actualité de Geneston

« Le M@g de Geneston » N°9 Mars 2009

L’actualité de Geneston

Une publication du site web : www.stefline.com

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La Maisonnette ouvrira cet étéUn programme pilote inédit, autour de la garde d’enfants, est lancé dans la commune

L’objectif est de permettre aux parents qui travaillent de trouver un mode de garde adapté à leur situation. L‘été prochain, la Maisonnette accueillera officiellement les premiers enfants dont les parents ont un emploi du temps professionnel atypique. Vendredi, le conseil municipal a entériné le choix de la maison retenue pour une expérience pilote inédite en Loire-Atlantique le projet «Feader ».

La Maisonnette pourra accueillir quatorze enfants d e 0 à 10 ansObjectif : permettre aux parents qui commencent leur travail de très bonne heure ou qui finissent tard de trouver un mode de garde adapté à leur situation. Cette micro crèche s’adressera aussi aux parents qui, en urgence, doivent faire garder leurs enfants de façon occasionnelle. « Lorsque nous avons créé notre association en septembre 2007, notre ambition était de rompre l’isolement, de dissocier vie privée et vie professionnelle et de pouvoir se regrouper pour exercer ensemble, explique Delphine Amaro, présidente de la Maisonnette. Mais le chemin a été long car au début, ce concept était illégal. Aujourd’hui, la loi est en notre faveur».Une maison de 100m2En décembre 2007, soit trois mois après la création de la Maisonnette, la mairie contacte les assistantes maternelles, à l’origine de l’association et les informe qu’une rencontre va être organisée par le pays de Grand Lieu, Machecoul et Logne durant laquelle sera justement abordée la question du regroupement. Mais c’est surtout à cette occasion qu’une grande aventure commence pour les quatre assistantes maternelles. Le «Pays» veut en effet piloter un programme inédit sur la Loire-Atlantique : le « projet Feader ». La « Maisonnette » pose alors sa candidature.Elle retient l’attention d’Anne Charlot, une animatrice locale, qui va suivre l’évolution du dossier.Les assistantes maternelles, soutenues par la PMI (protection maternelle et infantile) et par la municipalité, partent dans l’inconnu. Elles vont alors visiter des maisons, mais au départ aucune ne convient pour l’accueil des bouts d’choux. Jusqu’en février dernier où elles ont un coup de coeur pour une habitation tant attendue. Rue des Garêts, une maison de plain-pied de 100m2 avec trois chambres et un grand jardin de 800m2 reçoit l’accréditation du médecin de la PMI. Un compromis pour le loyer est même trouvé à 760 € mensuel.La mairie paiera le loyerComparable à un système de halte-garderie, la Maisonnette devrait être opérationnelle le 15 juillet. Elle pourra accueillir quatorze enfants de 0 à 10 ans, dont deux en urgence. «Il y aura une période d’adaptation pour les parents et les enfants de juillet à fin août », souligne Delphine Amaro. La Maisonnette a, d’ores et déjà, sollicité le Conseil général et la CAF au titre des subventions. La mairie, séduite par le projet, paiera le loyer. « Un an après l’ouverture, nous dresserons un premier bilan mais le concept va fonctionner, c’est évident», estime Madeleine Rivalin, élue en charge du dossier. La PMI interviendra régulièrement pour proposer des ateliers, prodiguer des conseils et apporter un soutien efficace aux quatre mamans qui nagent encore un peu dans le flou.

Geneston Randonnée prend son pied au Bignon

La randonnée, une passion. Par n’importe quel temps le randonneur entamera sa longue marche dans la nature. Mais il n’est pas seul, il effectue sa randonnée en groupe. Partager ce moment est aussi important que de parcourir un chemin. L’association Randonnée Geneston organise de nombreuses manifestations dans l’année. Tous les dimanches matin, une marche est proposée. Comme ce dimanche 15 mars. La plupart des adhérents ont participé à larandonnée organisée au Bignon pour trois parcours : 25, 12 et 7 kilomètres. Un nombre impressionnant de marcheurs a entamé, tôt le matin, l’un des trois circuits. L’association propose également une sortie dans l’année. Cette année, ce sera en mai, pour quatre jours, avec la découverte de nouveaux circuits, ainsi que la visite touristique de la région parcourue. En outre, le 22 mars, les adhérents participeront à la marche organisée à Sainte Luce ; le 29 mars ils seront au “tour de Rezé” en avril à Machecoul, ainsi qu’à Saint Philibert-de-Bouaye.

L’actualité de GenestonL’actualité de Geneston


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Mag'm : le macaron crée de l'emploi Fondée en 2005L'entreprise emploie 82 personnes et table sur une centaine d'embauches d'ici cinq ans.

Leurs macarons sont appréciés au festival de Cannes, en principauté de Monaco ou encore à Roland Garros. On les trouve également dans les grandes et moyennes surfaces et, plus surprenant, dans les avions ministériels ! Charles Mathé, David Micheneau et Laurent Gibielle ont eu le nez creux quand ils se sont lancés dans la production de macarons. Quatre ans après sa création àGeneston, Mag'm est aujourd'hui le premier fabricant français de ces petites douceurs sucrées au coeur fondant. Une sacré performance au milieu des géants de l'alimentaire comme Tipiak, Brossard, Pasquier ou Holder. Les trois amis forgent leur succès sur une soixantaine de références, comme les

macarons abricot-chocolat, pain d'épice-figue et griotte-pistache. « Le marché est en pleine expansion, observe Charles Mathé. Quand on a fondé l'entreprise, on savait qu'on avait une belle carte à jouer à condition d'innover. »Les Japonais raffolent du macaron !Le pari est réussi. Les recettes élaborées par Laurent Gibielle, un pâtissier de métier qui a façonné son art chez Lenôtre, et une quinzaine d'autres professionnels de la pâtisserie, régalent les papilles du monde entier ! « La part à l'export représente 14 % de notre chiffre d'affaires (5,2 M€ cette année). Nous sommes présents en Angleterre, en Belgique, aux Pays-Bas, au Canada, en Australie [...] et, plus récemment, au Japon où la population raffole de nos produits. » Mag'm investit aussi les marchés américain et qatari et lorgne vers les Émirats Arabes Unis. 120 000 macarons sont fabriqués quotidiennement à Geneston, où la société s'est installée l'année dernière dans un atelierrelais, sur un terrain de 10 000 m2, propriété de la communauté de communes de Grand-Lieu. Fin 2007, Mag'mcomptait 27 salariés. Ils sont désormais 82 à travailler au coeur de la zone artisanale de la Croix Danet, dont une dizaine d'intérimaires. Et ce n'est pas fini. « Nous allons produire 50 000 macarons supplémentaires par jour », annonce Charles Mathé. Un nouveau produit en projetUne troisième ligne de fabrication sera opérationnelle avant la fin du premier semestre 2010. « On compte lancer un nouveau produit en dupliquant le concept du macaron en terme de conditionnement, de marché et de diversité ». Le projet est mûr mais classé, pour l'instant, top secret. Ce qui est moins mystérieux, ce sont les intentions de Mag'm. Pour poursuivre son développement et atteindre son objectif de 18 millions d'euros de chiffre d'affaires en 2011-2012, la PME mise sur un agrandissement et des embauches. « Nous avons actuellement 1 143 m2 de bâtiments, dont 240 m2 de bureaux, locaux sociaux et de zones de maintenance. Nous allons gagner 200 m2 supplémentaires. » Mag'm a prévu d'investir 1 M€ pour réaliser cette extension et lancer la troisième ligne de production. Une aubaine pour l'emploi. « L'effectif va rester stable en 2009-2010. Mais d'ici cinq ans, nous espérons employer 200 personnes sur le site. »

Economie : Petit macaron devient grandInstallé dans la zone de la Croix Danet à Geneston, le fabricant de macarons connaît une croissance vertigineuse. En quatre ans, la société est passée de 4 à 82 salariés ! Et ce n’est pas fini : l’atelier-relais va s’agrandir de 400 m2 et être doté d’une troisième ligne qui créera un nouveau produit.

C’est l’histoire de trois trentenaires, issus de l’agro-alimentaire mais aussi des assurances, qui, en 2004, décident des’associer pour monter leur propre société. Leur créneau : les macarons. Un gros pari. Cinq ans plus tard, lespremières manches du défi ont déjà été gagnées. Flash-back de l’étroit local à côté d’un concessionnaire auto occupé par les trois gérants et une secrétaire, puis une vingtaine de salariés, Mag’m a traversé la rue de cette zone industrielle de la Croix Danet, à Geneston, pour s’installer dans un bâtiment neuf de 1200 m2, en 2008, dans lequel travaillent 82 personnes. “Dont une douzaine d’intérimaires”, précise Charles Mathé, l’un des trois pionniers. Un effectif capable de travailler en équipes, 24 heures sur 24 et 6 jours sur 7 au moment des



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D’ailleurs, la société va financer le premier projet d’agrandissement des lieux. Avec une croissance de vente de 140 % en 2008 sur la grande distribution, les locaux deviennent vite petits pour les rois du macaron. Il y a 15 jours, les élus de Grandlieu ont donné le feu vert à l’extension. A savoir 200 m2 de vestiaires et de bureaux, ainsi que 200 m2 d’ateliers supplémentaires. Dans le nouvel atelier, Mag’m y prévoit une innovation en 2010. Après les macarons, l’entreprise souhaite en effet fabriquer un autre produit. “Pour l’instant, c’est top secret. Ce sera à l’essai sur une 3e ligne”, sourit Charles Mathé, confiant sur ce nouveau défi, “Si ça marche, on pourra continuer à agrandir et à se diversifier. L’emprise totale est d’un hectare”.32 millions de macaronsAvec 32 millions de macarons fabriqués par an, la société sait que la marge de croissance se réduit pour cette spécialité. “Nous sommes leader en France. Notre seul potentiel est à l’export : en Grande-Bretagne mais aussi au Japon, où ils sont férus de produits français, ou aux Etats-Unis où on sera prochainement distribué par une chaîne demagasins bio (Whole food). L’étranger représente 14% de nos ventes”, exprime Charles Mathé. Outre l’export et les grandes surfaces, les macarons se retrouvent dans le circuit de distribution professionnel pour les hôtels, les restaurants et les boulangeries-pâtisseries. Ils engendrent parfois un certain prestige. Les macarons genestonnais sont ainsi croqués dans les avions ministériels, dans le palais de Monaco, lors du festival de Cannes et durant la quinzaine de Roland Garros. Malgré l’aspect industriel, le produit est conçu avec un certain savoir-faire. “Pas moins de 15 pâtissiers professionnels ont intégré les équipes”, note le cogérant. Une rareté. A l’image de l’essor de cette entreprise.


périodes de pointe. 400 m2 d’extensionConcernant le site, il est la propriété de la communauté de communes de Grandlieu. Les élus ont décidé de soutenir le projet en finançant cet atelier-relais. “Après deux ans d’existence, malgré notre essor, on ne pouvait investir deux millions d’euros dans une usine. Les banquiers nous regardaient avec de grands yeux. Aucun établissement ne voulait nous suivre. On a failli partir en Vendée. Finalement, les élus de Grandlieu nous ont épaulés”. Ils ne regrettent pas. A terme, comme ce type de procédé l’exige, Mag’m se portera acquéreur des lieux.

La 19ème Rando des huîtres :plus de 3 000 marcheurs

Ils étaient plus de 3000 personnes dimanche à parcourir les sentiers pédestres de Geneston pour la 19ème randonnée des huîtres. Venus de tout le département mais également de Lusant en Eure et Loire où 67 personnes avaient loué un car pour être présentes ce jour-là. Comme le souligne Louis Bioteau président de Geneston Randonnée « Je tiens à remercier les 170 bénévoles permettant grâce à eux le bon déroulement de cette journée, encadrement, signalisation, sécuritéroutière, ravitaillement aux différents points du parcours,... »A midi a eu lieu la remise du trophée pour les 1600 km parcourus aux participants de Lusant, puis vinrent les coupes : la Rando Bocéenne 670 km, MVA Montaigu 630 km, les Pieds Rieurs Sainte-Luce 610 km, Les Pieds Vers Tout 600 km, Rand’ognon le Bignon 590 km, Agir et sortir ensemble Nantes 550 km. L’association Geneston Randonnée remercie les communes de Saint Philbert De Bouaine, Saint Colomban et Genestonpour leur collaboration à maintenir les chemins ouverts au public, et la municipalité de Geneston pour les différentes aides apportées.



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qui s’annonce décisif pour la montée. Car l’objectif de “la première place”, dixit Bruno Mahne, est largement à la portée des coéquipiers de Yohann Gaudin. Il leur reste quatre matchs avant la fin des hostilités. Pour le technicien, les comptes sont établis ainsi “Si on gagne à Sainte-Luce, on monterait en Régionale 2 car on a un goal averageparticulier beaucoup plus supérieur”. Cette équipe est décidément incroyable. En Départementale 4 en 2004, elle est aux portes de la Régionale 2 désormais. Quels sont les secrets de cette machine à gagner? “Les gars sont réceptifs aux entraînements. C’est une bonne bande de copains qui arrive toujours à s’en sortir. On est encore plus fort que l’an passé. Je n’ai plus à faire à des gamins. Ils commencent à avoir du métier et tout le monde s’est mis au niveau, tous ensemble”. L’entraîneur ne cache pas son bonheur de manager une telle équipe. Ça se comprend.... et de la finale. Finaliste malheureux l’an passé, le MGBB peut encore prendre sa revanche dans cette coupe de Loire-Atlantique. En avril 2008, la Similienne de Nantes était tombée en demi- finale devant des Rouges indestructibles, évoluant pourtant deux divisions en dessous de leur adversaire. Ce samedi, la donne est inversée : les favoris de la demi-finale sont les partenaires de Yohann Clavier. Ces derniers rencontrent malgré tout un adversaire qui est leader de la D1, La Chevrolière. Bruno Mahne : “C’est le tirage le plus difficile. On les avait rencontrés trois fois l’an passé pour trois victoires. Il faut savoir que La Chevrolière a enregistré trois renforts et pas des moindres, des anciens joueurs de Rezé qui jouaient en Nationale 3. On va se faire rentrer dedans physiquement”. En jouant cette demie sur un terrain neutre (à Saint-Sébastien), les chances de revoir la finale sont réelles pour le MGBB. Comme celles de réaliser un doublé historique pour ce club. “On aimerait gagner les deux mais le championnat reste la priorité. Si on monte en R2, la saison serait très belle”.


Coupe de Loire-Atlantique - 1/2 finale : Le MGBB rêve d’un doublé historiqueLeader de la Régionale 3 depuis le week-end dernier, le MGBB n’en finit plus de surprendre. Le promu peut même réaliser le doublé coupe-championnat cette saison. Pour parvenir à la finale, il faut d’abord sortir La Chevrolière, première de la D1.

A une victoire de la montée... Cette fois-ci, le MGBB (Montbert-Geneston-Le Bignon) occupe seul les devants. Après leur “facile” victoire obtenue dimanche dernier contre Le Mans Gazonfiers (93-53), les Rouges sont désormais leaders de la Régionale 3, devantSainte Luce B qu’ils rencontrent dans quinze jours pour un match

Rue d’Anjou : une déviation mise en place

Depuis le 16 mars la rue d’Anjou est interdite à la circulation,de la place Georges Gaudet à la rue du Taillis. Une déviation a été mise en place au sud de Geneston pour rejoindre Montbert. L’ensemble des travaux d’aménagements durera jusqu’à la fin de l’année.



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Les loups sont entrés dans la ville

Les enfants ont écouté les comptines sur le loup. “Loup y es-tu, entends-tu que fais-tu ? “. Les enfants qui ont participé à la lecture de contes organisée par les bénévoles de la bibliothèque ont su y répondre. Tous les enfants connaissent cette comptine et tant d’autres sur le loup.Mais ce qu’ils connaissent moins, c’est l’histoire du loup à travers les siècles et les légendes. C’est l’objet de l’exposition proposée par la bibliothèque jusqu’au 23 mars, animée par une vingtaine de bénévoles, dont Ghislaine Bernard et Hélène Errien, qui ont accueilli une vingtaine d’enfants mercredi 4 mars.


Chaque année, la bibliothèque propose une exposition sur des thèmes soumis par la bibliothèque départementale. Dans la salle d’accueil. plusieurs panneaux expliquent l’univers du loup. “Nous avons invité des enfants de la commune a participé à la lecture de contes sur le loup. C’est la première fois que nous proposons cette activité”, explique Ghislaine Bernard.

Jazz manouche à l’Andalou

Après les tournois de fléchettes, le karaoké, Malika Espinoza, gérante de l’Andalou, organise des concerts dans son établissement. “Ça faisait un moment que je voulais mettre en place cette activité”. Régulièrement, un groupe animera les soirées de l’Andalou. Malika pense déjà à la nuit de la musique.Samedi soir, la bande à Moblo a fait vibrer les murs de la brasserie. Le jazz manouche, c’est plein de vie. Avec Molo à l’accordéon et au chant, Polo à la guitare ainsi que Stéphane également chanteur et Charles à la contrebasse. “Nous chantons aussi de la chanson française : Aznavour, Brel, mais revue et corrigée pour que ça swing davantage. On chante aussi nos compositions”.

Le M@g de Geneston est une publication de stefline.com qui regroupe les informations des quotidiens locaux ou autres documents publiques. N’oubliez pas de vous inscrire à la newsletter sur le site www.stefline.com pour être informé de la prochaine parution.


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La rue d’Anjou barrée jusqu’à mi-2010Les travaux de la rue d ont débuté le 16 mars dernier. Ils se feront en deux tranches. En principe, ils se termineront mi-2010. Pendant cette période, la rue sera interdite à la circulation.

Premier coup de pelleteuse lundi 16 mars, après la mise en place de la barrière interdisant le passage à la circulation. Mardi, le maire Gérard Gouraud et Joseph Bouchaud, adjoint à l’aménagement du territoire, étaient présents pour la mise en place du chantier. “Tous les mardis matin, il y aura ainsi un rendez-vous de chantier pour faire le point de l’avancement des travaux”, ont-ils précisé.Les travaux d’un coût de 900 000 euros, réalisés par la société Blanlœil, se feront en deux tranches. La première, sur 500 m, se terminera décembre 2009. Tout est à refaire. “Il faut décaisser, retirer

les anciens réseaux eau, gaz, assainissement qui sont en place depuis plus d’une cinquantaine d’années, explique Joseph Bouchaud. Il est également prévu d’enfouir tous les fils”.Le conseil général prend en charge le décaissement de la rue, ainsi que l’enrobé. Au terme de ces travaux, sera réalisé l’aménagement de la voirie par l’entreprise Gadais. “C’est une rue sur laquelle il n’y a jamais eu de travaux. L’enrobé actuel est en très mauvais état, et trop bombé. Il fallait vraiment tout revoir”. Ce projet a été initié par la précédente municipalité.Accès aux maisonsLe temps des travaux, les riverains devront prendre patience. L’accès à leur mai son, en voiture, ne sera pas simple. “Les habitants devront retirer leur voiture le matin. Mais nous ferons en sorte d’assurer

l’entrée de leur véhicule le soir. A mesure de l’avancement des travaux, on rebouchera les tranchées dès que possible, pour que l’accès a leur maison soit gêné le moins longtemps possible”. Début 2010, départ de la deuxième tranche, sur les 200 m suivant. “Les travaux seront moins lourds, et dureront probablement six mois”. Ils porteront essentiellement sur le remplacement des différents réseaux, sans qu’il y ait tout à refaire.La rue d’Anjou barrée, cela implique évidemment la mise en place d’une déviation. Mais les avenues de Bretagne et de Vendée (D937), avec leur fréquentation de 15 000 véhicules par jour, sont surchargées par la circulation déviée, principalement sur le boulevard de la Vendée en direction de la place Georges Gaudet. Aujourd’hui, tourner à gauche pour prendre la direction de Saint-Philibert de Grandlieu demande beaucoup de patience, car le feu n’est pas adapté à ce surcroît de circulation. Le passage au vert de l’autre feu tricolore sera retardé pour qu’un plus grand nombre de véhicules puisse prendre cet axe.

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